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La lettre de la FNAIM Paris Ile-de-France - avril 2012 - N°8

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L'agent immobilier au cœur de la Cité Éditorial

Action !

L'immobilier responsable "Être homme, c'est précisément être responsable. C'est sentir, en posant sa pierre, que l'on contribue à bâtir le monde" (Antoine de Saint Exupéry, Terres des hommes, 1939). Etre responsable, c'est assumer ses actes et ses décisions. C'est aussi avoir conscience de leur portée collective, de leur importance pour la Cité. Qu'il soit transactionnaire, administrateur de biens ou syndic de propriété, l'agent immobilier est aujourd'hui au coeur des problématiques humaines et citoyennes. Il traite des enjeux qui ne sont pas seulement financiers, mais aussi affectifs. A rebours de l'économie virtuelle où, derrière la transaction, il n'y a personne, l'économie de l'immobilier repose sur un rapport humain, direct, où la confiance se mérite. Cette lettre mensuelle de la FNAIM Paris Ile-de-France est un lien entre tous ses adhérents. Mais plus encore, c'est l'illustration de notre responsabilité collective : faire reconnaître et respecter notre métier. Pour contribuer à bâtir une métropole à l'échelle du monde et qui reste, toujours, au service de ses habitants.

Procrastination ! Pour ceux qui l'ignoreraient, ce mot désigne une tendance à toujours tout remettre au lendemain. Un mal singulier dont notre classe politique semble parfois frappée, à gauche comme à droite. On a vu fleurir toutes sortes de thèmes plus anecdotiques les uns que les autres au cours de cette campagne électorale, alors que des sujets de fond, comme le logement, n'ont quasiment pas été abordés. Pour preuve, le "bail puissance 3" proposé par la FNAIM (cf. La lettre de l'immobilier n°7) a été communiqué à la presse. Il est à la fois sur le bureau des ministres et sur celui des candidats de l'opposition. Cependant, qu'ils soient hommes de médias ou hommes politiques, nul n'en parle. En dehors des professionnels de l'immobilier et du logement, qui connaît seulement son existence ? Il s'agit pourtant d'un dossier sérieux. Dans les zones tendues, la maîtrise des loyers est nécessaire. Le bail puissance 3 permettrait de produire une offre de loyers aux coûts réduits de 50 %, sans diminuer le rendement (de 2 à 3 % environ) de l'investissement pour les propriétaires. Cette proposition est une alternative immédiate à la fausse solution du blocage des loyers et favorise l'augmentation du pouvoir d'achat des locataires concernés. Une campagne électorale n'est-elle pas le moment privilégié pour ouvrir de tels débats ? Et pour les trancher devant l'opinion ? Ce constat pose la question de la nature du politique, qui est l'art d'administrer la Cité. Vivre en sécurité, avoir un toit et de quoi vivre décemment, demeurent des fondamentaux du politique. Ceux qui président aux destinées de la Cité - ou y aspirent - doivent les avoir en permanence à l'esprit. Ils doivent également avoir le courage de décider, c'est-à-dire de procéder à des choix. Il en est ainsi pour la sécurité au sein du Grand Paris. A l'échelle de notre agglomération, la sécurité est un défi qui reste pour l'essentiel à relever. Il concerne non seulement l'organisation urbaine dans son ensemble, mais également chaque citoyen au quotidien. C'est pourquoi la Chambre FNAIM Paris Ile-de-France vient de publier le premier ouvrage d'une nouvelle collection consacré à ce thème. Nous avons recueilli les témoignages d'acteurs institutionnels éminents, mais aussi d'experts et de praticiens, pour livrer des clés de compréhension du problème et rappeler le rôle des agents immobiliers pour contribuer à le maîtriser. Car notre légitimité tient à nos actions concrètes, aux côtés et au profit de nos adhérents. Parce que ce sont eux qui, chaque jour, conseillent et accompagnent nos concitoyens dans la recherche de biens où mieux vivre. Aider, informer, épauler nos adhérents, c'est augmenter la qualité des services rendus à la population toute entière. La sécurité est un sujet politique ? Oui, au sens noble, utile, du terme. C'est pourquoi nous devons nous en emparer. Il est de notre devoir de nous faire les relais, inlassables et crédibles, des attentes qui nous remontent du terrain, en direction des élus et décideurs. Ils finiront bien par entendre, et par passer à l'action !  Gilles Ricour de Bourgies Président de la Chambre FNAIM Paris Ile-de-France

La maison de l'immobilier - L'agent immobilier au cœur de la Cité - N°8 - avril 2012 - page 01


■ Accession à la propriété : un rêve de plus en

plus accessible... mais pas pour tout le monde !

76 % C'est la proportion des maires de France à placer le logement parmi les problèmes dont il faudrait s'occuper en priorité. Juste derrière l'emploi (77 %), mais loin devant l'éducation, la santé et les transports en commun (30 % chacun). Source : Sondage CSA cité par Localtis.info, 30/03/2012.

En 2010, un ménage sur trois était propriétaire de son logement (c'est-à-dire sans charge de remboursement d'emprunt). Cette proportion reste faible par rapport à nos voisins européens, mais elle est en hausse constante depuis trente ans, y compris ces dernières années (+1,5 point par an entre 2005 et 2010 selon l'Insee). Certes, la progression est la plus forte, pour des raisons évidentes, parmi les plus de 65 ans (65 % de propriétaires en 2010). Mais le mouvement est également dynamisé par les ménages jeunes les plus aisés, qui délaissent la location pour acheter leur propre logement. Et ce, malgré une augmentation du montant de l'achat, qui représentait quatre années de revenu en moyenne pour les accédants de 2002-2006, contre trois années pour ceux de 1997-2001. Dans les faits, le taux d'effort global a peu augmenté depuis quinze ans. Un ménage sur deux consacre plus de 18,5 % de son budget au logement, dont la taille (surface disponible par occupant) et le confort n'ont cessé de progresser sur la même période. Mais ces chiffres globaux masquent souvent de profondes disparités, tant sociales que géographiques - tout particulièrement en Ile-de-France.  Le regard de la Chambre : Les chiffres sont têtus ! Une véritable politique du logement devrait en tenir compte pour créer "le parcours résidentiel des Français". Sources : Insee et Les Echos, 16/03/2012.

■ Le Grand Paris sera culturel ou ne sera pas !

"Pour lutter contre la fragmentation, le Grand Paris doit faire naître une conscience métropolitaine commune." Daniel Janicot Conseiller d'Etat Source : La dimension culturelle du Grand Paris, janvier 2012.

"Paris se définit encore comme contenu dans les limites du périphérique. Pour les étrangers, le concept de Grand Paris n’est connu que des cercles spécialisés, il faut donc libérer la perception du projet." Comment ? Par la culture ! Missionné par le Président de la République, Daniel Janicot, Conseiller d'Etat, lui a remis en janvier un rapport étayé et convaincant à ce sujet. Nous le rappelions dans La maison de l'immobilier n°2 (octobre 2011) : "La culture façonne le bien-être collectif, le cadre de vie, la cohésion sociale". Au coeur de "l'économie de l'immatériel", elle contribue à conférer à la fois dynamisme et unité à un territoire. Daniel Janicot passe en revue les nombreux atouts de la région-capitale, dont des lieux connus mondialement et une forte densité d'"industries culturelles" (architecture, arts visuels et cinéma, design, livres-éditions, gastronomie, jeux vidéos, mode, musée et patrimoine, musique, spectacle vivant, métiers d'art). Mais le diagnostic est loin d'être rose. "Paris est et restera une grande capitale, mais elle ne doit pas s’assoupir sur ses acquis. Elle est perçue comme moins inventive et moins dynamique qu’elle ne devrait l’être. Vue de l’extérieur, on a le sentiment qu’il lui faudrait atténuer son formalisme, et s’ouvrir davantage." En bref, Paris dispose d'atouts culturels exceptionnels et reste globalement attractive sur la scène internationale. Mais la ville est menacée par ses concurrentes et souffre d'une perception parfois négative, nourrie par des échecs symboliques en matière artistique et sportive (JO 2012...), l'impression d'une "ville-musée" ou encore la thèse du "déclin culturel français" dans un monde qui bascule de la domination anglosaxonne à la revanche des pays émergents. C'est pourquoi le Grand Paris, "réponse opportune à la métropolisation du monde", est l'occasion unique de faire des facteurs culturels les leviers d'un nouveau développement. A condition de suivre 4 pistes principales : "le Grand Paris doit être l'incarnation de la ‘ville-monde’ et s'ouvrir davantage à la diversité culturelle", il doit également être "un modèle de ville numérique" et l'incarnation de la cité "créative" mais également "partagée". L'enjeu est de taille. Comme l'indique Daniel Janicot en conclusion : "L’avenir culturel de notre pays va s’écrire en partie sur la page du Grand Paris."  Le regard de la Chambre : La dimension culturelle est essentielle. Elle doit permettre de renforcer l’attractivité de l'Ile-de-France, qui s'essouffle depuis quelques années. Source : La dimension culturelle du Grand Paris, par Daniel Janicot,Présidence de la République, janvier 2012, 466 p., www.ladocumentationfrancaise.fr

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L'agent immobilier au cœur de la Cité

■ Bon à savoir Lutte contre le blanchiment : activité en hausse en 2011. Le nombre des signalements de soupçon de délit financier à la cellule de lutte contre le blanchiment et le financement du terrorisme (Tracfin) a augmenté très sensiblement l'année dernière : 24 000 informations reçues (+19 % par rapport à 2010) ! Après enquête, 1 064 affaires ont été transmises aux autorités administratives ou à la justice, 495 dossiers faisant finalement l'objet d'une procédure judiciaire (+ 23 % par rapport à 2010). Rappelons que les risques de blanchiment concernent au premier chef les professionnels de l'immobilier. Sensibilisés par leur Chambre FNAIM, ils sont de plus en plus nombreux, depuis 2 ans, à transmettre des informations à Tracfin. Source : Communiqué du Minefe (Bercy), 15/03/2012.

La Ville de Paris étudie une tarification "différenciée" de l'eau. Le prix de l'eau est un sujet d'intérêt général qui redevient d'actualité. La fondation France Libertés et l'association 60 millions de consommateurs viennent de livrer le résultat d'une enquête attestant, à l'échelle nationale, de pratiques opaques souvent peu conformes à la réglementation en vigueur (cf. www.prixdeleau.fr). La municipalité parisienne entend pour sa part étudier la faisabilité d'une tarification différenciée. L'objectif est de faire payer l'eau plus cher aux consommateurs professionnels et moins cher aux particuliers - ces derniers devant par ailleurs bénéficier d'une tarification sociale et progressive. Derrière une apparence généreuse, une idée peu réaliste. "En milieu urbain, composé essentiellement d'habitat collectif, un tarif progressif est difficilement applicable car il faudrait équiper chaque appartement d'un compteur individuel", prévient la régie "Eau de Paris", qui dépend pourtant de la municipalité. Quant à l'augmentation des coûts d'exploitation pour les professionnels visés (coiffeurs, pressings, restaurateurs...), gageons qu'elle ne participe pas au nécessaire maintien des activités économiques de proximité en coeur de ville ! Sources : La Tribune.fr et Direct Matin, 22/03/2012.

Vers des villes intelligentes ? De nombreuses métropoles utilisent déjà des systèmes de collecte d'informations (capteurs, caméras vidéo, GPS). Mais la vitesse de calcul et d'analyse des données de ces systèmes ouvrent de nouvelles perspectives : créer des modèles et repérer des tendances (circulation, mouvements de foule, catastrophes naturelles...). L'objectif est de faciliter la vie quotidienne comme les interventions d'urgence. Expérimentée à Rio de Janeiro en vue des JO d'été de 2016, "une plateforme virtuelle d'opérations, reposant sur le Web, collecte, distribue et associe des informations qui arrivent via le téléphone, la radio, les e-mails et les textos", permettant aux employés municipaux d'y accéder et de l'enrichir à tout moment. Le marché de ce type de "gestion urbaine informatisée" est estimé à 57 Mds de dollars (43 Mds d'euros) dans le monde d'ici à 2014. Source : The New York Times, cité par Le Figaro, 09/03/2012.

■ Ils ont dit... • Le drame inachevé de l'immobilier américain. "Tiraillé entre la nécessité de ménager Wall Street et l'appel des démocrates à décréter un moratoire national sur les saisies, accusé par les républicains de n'avoir pas attaqué de front la crise immobilière, Barack Obama avait pourtant multiplié les plans d'aide. Sans obtenir le succès escompté. En pleine campagne électorale, il a présenté, voici deux semaines, des mesures beaucoup plus agressives visant notamment à élargir le cercle des prêteurs et à augmenter l'aide aux propriétaires en difficulté. A ce jour, le marché immobilier ne redécolle qu'à certains endroits. [...] Avec un taux de chômage élevé et des conditions de financement de l'immobilier très fluctuantes, de plus en plus d'Américains se détournent de la propriété immobilière pour devenir locataires. Conséquence : les prix de la location flambent." Stéphane Bussard, journaliste au quotidien suisse Le Temps, repris par Latribune.fr, 22/03/2012.

• L'enjeu de la sécurité pour le Grand Paris. "A l'échelle du Grand Paris, la sécurité est un défi qui reste pour l'essentiel à relever. [...] L'enjeu est de permettre à la capitale, à vocation résolument mondiale, de rester une ville où il fait bon vivre, en s'inspirant de la coproduction de la sécurité initiée dans le logement par la FNAIM Paris Ile-de-France depuis plus de 10 ans."

"Le grand axe royal de 8 kilomètres entre la Défense et le Louvre est une perspective unique au monde sur laquelle on retrouve l'histoire de la France." Jean-Pierre Courtiau Géographe et urbaniste Auteur du Quartier de la Défense pour les nuls (First Editions) Source : Le Point, 08/03/2012.

1 870 C'est le nombre de biens que l'Etat entend céder d'ici à 2014, pour un montant estimé à 2,2 milliards d'euros. La moitié de ces recettes est attendue de la vente de 265 biens en Ile-de-France. Les cessions immobilières ont déjà rapporté 4,6 milliards à l'Etat entre 2002 et 2011. Source : Le Figaro entreprises, 27/02/2012.

Gilles Ricour de Bourgies, président de la FNAIM Paris Ile-de-France, Peur sur la ville ?, 03/2012.

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L'Ile-de-France dans le monde : penser global

"Villes durables" : quels modèles pour demain ?

1 sur 2 Plus d'un Français sur deux se déclare gêné par le bruit lorsqu'il est chez lui. Les transports sont la 1ere source de nuisance sonore, surtout dans les grandes villes, mais les habitants des cités souffrent avant tout du bruit provoqué par leurs voisins. Source : enquête Insee, octobre 2002.

23 % Soit la 3e source d'émission derrière les transports et l'industrie manufacturière.

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Source : Atlas des villes durables, p. 66.

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Le regard de la Chambre : L’action des syndics de copropriétés auprès de leurs clients est incontournable pour réaliser les économies d’énergie dans leurs habitations. C’est un dossier prioritaire de la FNAIM Paris Ile-de-France. Pour aller plus loin : Atlas des villes durables, par Yvette Veyret et Renaud Le Goix (dir.), éditions Autrement, 87 p., 17 € ; La ville frugale, par Jean Haëntjens, éditions Fyp, 139 p., 19,50 €.

Extraits

C'est, pour 2006, la proportion des émissions totales de CO2 imputables en France au secteur du bâtiment.

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La "ville durable" est à la mode. Mais de quoi parle-t-on précisément ? Comme le soulignent les auteurs du récent Atlas des villes durables, qui s'attache au continent européen, la notion "échappe à une définition et à une formalisation stricte. A l'instar du développement durable dont elle se réclame, la ville durable ne peut être un modèle figé et unique. Elle est d'abord un projet à construire et une démarche qui doivent être collectifs, réunissant les acteurs locaux autour d'une volonté commune, d'un projet politique." C'est pourquoi chaque ville invente son propre modèle, s'inscrivant dans le long processus d'urbanisation et la pérennité urbaine qui caractérisent l'Europe. Car la préoccupation est tout sauf récente. En 1933, dans la Charte d'Athènes, Le Corbusier déplore ainsi que "la plupart des villes (...) ne répondent aucunement à leur destinée qui serait de satisfaire aux besoins primordiaux biologiques et psychologiques de leur population". Si, globalement, la qualité de vie en ville n'a cessé de croître, bon nombre d'aspects restent encore à améliorer pour faire réellement coïncider environnement de qualité, équité entre habitants et usagers, production de richesses enfin sans laquelle la ville n'est tout simplement pas... viable ! Economiste et urbaniste français, diplômé de HEC et de Sciences Po, Jean Haëntjens estime pour sa part que "la notion de ville durable tend à devenir un slogan marketing ou une formule politiquement correcte, utile pour créer du consensus, mais peu apte à fonder des stratégies pertinentes pour l'organisation urbaine". Il propose dès lors un saut qualitatif avec "la ville frugale", qui se veut "un modèle pour préparer l'après-pétrole". L'objectif reste d'"offrir plus de satisfactions aux habitants en consommant moins de ressources." Lucide, il sait que son modèle n'a pas une prétention universelle. C'est encore une fois sur le Vieux Continent que les conditions optimales sont réunies. Nous sommes donc en toute hypothèse en première ligne de ces mutations à venir. 

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"Le slogan du projet London 2012, ‘Towards a One Planet Olympics’, affirme, dans le cadre des Jeux Olympiques, la volonté d'impulser de nouveaux comportements en proposant des infrastructures et des actions allant dans le sens d'une plus grande durabilité. Présentant sa politique en matière de durabilité, l'Olympic Delivry Authority, organisme en charge de la planification du site olympique, retient cinq thématiques : la gestion des déchets, la lutte contre le réchauffement climatique avec un objectif de zéro émission de CO2, la biodiversité, la promotion de modes de vie plus sains, la cohésion sociale. Privilégiant le développement durable, il s'agit de transformer les 246 hectares de friches industrielles qui constituent le périmètre du parc olympique en un environnement urbain de qualité." (Atlas des villes durables, op. cit., p. 79) "L'urbanisation informelle prospère à Naples dans un contexte de faible régulation publique des usages du sol. [...] Parmi les objectifs du plan territorial régional adopté en 2008 figure la préservation de l'espace qui est désormais conçu comme ressource (récréative, spatiale, hydrique, alimentaire...) pour la communauté. [...] Encore faut-il une volonté politique pour les mettre en oeuvre." (Atlas des villes durables, op. cit., p. 77) 

La lettre de la FNAIM Paris Ile-de-France Une publication de la FNAIM Paris Ile-de-France Directeur de publication : Gilles Ricour de Bourgies ISSN 2259-1567 Conformément à la loi informatique et libertés 78-17 du 06/01/1978, vous disposez d'un droit d'accès et de rectification pour toutes les informations vous concernant.

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Contacts FNAIM Paris Ile-de-France 27 bis avenue de Villiers 75017 Paris Tél : +33(0)1 40 53 73 50 Courriel : contact@fnaim-idf.com www.fnaim-idf.com


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