SCHLOSSER, Piqué d’Epicure aux fleurs effleurées
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La faim justifie les moyens et l’appÊtit vient en peignant.
Amour poétique, éternel et magique, la femme est l’avenir du peintre.
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Schlosser l’épicurien connait bien la musique, souffle rythmique de jardins secrets, saouleries d’alcôve, Malher de Venise noyé dans un baby, comme Bach déconcerté de concerto, sonné de sonate, regain de rengaines. Jouissance de bonne chair, la fin justifie les festins, copains comme cochons, table ouverte et canapés, partage et raffinements de piano d’atelier.
Il est des jours où Cupidon s’en fout et Schlosser attend patiemment, bras, seins, de Brassens, enlacés sur les bancs publics. Le parc est là, complice à deux pas, à portée de main, d’œil et de nez, d’amoureux sympathiques faisant corps, instants d’instinct, anonymement femelles et mâles. Les êtres abandonnés, apaisés, s’effeuillent au pied de l’arbre frémissant des saisons, oraison de frissons, sans le vouloir, sans trop savoir, sans trop se voir.
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Paravent de fenêtres, le jour s’immisce de sa chaleur timide, osmose rosée de lumière alvéolée irradiant l’œuvre, trompe l’œil à même le plancher. Pinceaux de crin pincés de cran, vivant écrin de verdure livré aux jours aguicheurs, aux rayons du printemps naissant, la luzerne lézarde, murmures au pied des murs imbriqués de briques rouges, ocre terre à terre réfractaire à se taire, racé accord de corps à corps enraciné. Havre de paix guetteur de silence, d’images et de contrastes, suiveuse transcendée, déformée, l’ombre chinoise ses mystères de boule de gomme, d’exotisme raffiné, de nuits câlines devinées…
L’espace se livre, délivre sa révolution d’antre de guerre, cible, tir groupé, objectif et rafales… Dans le viseur de Schlosser, cadrée, figée, contrôlée, la pose s’interpose. Prisme de tête, la vie est là, offerte, nue, impudique, intimité subtilement volée, sublimement violée, coulisse de cuisse, dessein de sein, âge d’airain et de fesses, troubles courbes frémissantes de caresses et du vent. La beauté du désir s’apprivoise patiemment, se propose avec délicatesse, streap-tease séquencé avec doigté, garantie de vice caché livré cash, irréparable. Superpositions osées, léchées, couchées sur châssis à clef de sol, la mélodie d’acrylique se passionne, se façonne, lyrique, nostalgique et fragile. Comment oublier que la vie se transmet d’insidieuses pulsions, d’invincibles fantasmes, d’animales propositions, d’irrationnelles natures, d’invisibles philtres, d’incontrôlables liquides, d’actes charnels magnifiés, d’audaces assumées, oiseau rebelle qui n’a jamais, jamais connu de loi.
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Avant le tabac acrylique sur toile sablĂŠe 180 x 100 cm 2011
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Elles sont toujours là acrylique sur toile sablée 180 x 100 cm 2011
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Tu restes acrylique sur toile sablée 80 cm de diamètre 2011
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Un peu plus acrylique sur toile sablée 150 cm de diamètre 2011
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ça reviendrait au même acrylique sur toile sablée 180 x 100 cm 2011
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Voyou, voyeur, voyageur, Schlosser jette un œil expert, le reprend sur grand écran, vagabonde obsessionnellement par le trou des serrures, et s’extirpe des prisons bien pensantes aux regards fuyants comme le temps. Papillons de coton, chrysalides en cocon, les corps s’entortillent, se démènent bras dessus, bras dessous. Ils se révèlent en beaux dessous et dansent entravés, arque boutés, chorégraphie saccadée, parade étouffée aux bras levés, évitement de vêtements. Aperçues dans un trou d’aiguille introvertie, captées rasées en rai de lumière, sublimes tissus subliminaux, ces fulgurantes coquetteries s’exposent à l’œil, explosives anatomies. Patte blanche d’Artisan innocent, les images impressionnent de présence, d’authenticité, d’audace, de grandeur, magistralement imposantes.
Le temps n’existe plus, stoppé net pour l’éternité, pendules d’alchimie, molécules en cellules, gènes et crameurs de rétines aux plaisirs interdits, brûleur d’espion débonnaire de rien, Schlosser de ne pas y toucher.
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Coup de sort entre deux portes ouvertes, coup de cœur flanqué d’odeurs offertes, de pores, de toisons d’or et de jais, brin de fille, panier garni, bouquet de charme, grain de beauté passé à la loupe, l’artiste explore l’amour propre, jolies peaux lustrées des jours patineurs, des cuirs de Russie, belle Irina, Pearl d’ailleurs. Il exhibe l’intense douceur des heures d’attirance, troubles sentiments d’amants aux inévitables destins d’incommunicabilité, tracés sur fond d’abandon. Des êtres rayonnants d’averse ultra violée arborent des bijoux d’aube fine, perles d’arc-en-ciel offertes aux cieux mirifiques, aux regards éblouis, reflets aux poignets rutilants, aveuglantes lueurs, extraordinaires parures précieuses comme l’instant suspendu. Accro de lycra, marotte de culotte, Véronique onirique, Estelle se réveille, Ingrid rêve, candide, Cécile sourcille, Maia dort déjà… Beau dos tendu sur tondo, écloses de pauses, les pleurs du mâle ravivent l’histoire inventée, sublimée d’une main fidèle, fleurs effleurées, caressées du souffle des souvenirs aléatoires, hémiplégique réminiscence des espoirs enfouis, assourdissantes tentations adolescentes.
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Avec qui acrylique sur toile sablĂŠe 180 x 100 cm 2011
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Il l’a toujours été acrylique sur toile sablée 180 x 100 cm 2012
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C’est rigolo acrylique sur toile sablée 80 cm de diamètre 2011
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C’est sa première acrylique sur toile sablée 80 cm de diamètre 2011
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À watts acrylique sur toile sablée 80 cm de diamètre 2011
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Thé ou café acrylique sur toile sablée 220 x 120 cm 2011
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Juste à côté acrylique sur toile sablée 80 x 80 cm 2012
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Tant qu’à faire acrylique sur toile sablée 80 x 80 cm 2013
À l’affÛt, le loup monte ses plans affutés, tapie dans sa tanière aux petits pots, dévoreur de fraÎcheur, mangeur de candeur à toute heure.
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Elle est jalouse acrylique sur toile sablĂŠe 120 x 60 cm 2012
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Trop tard acrylique sur toile sablĂŠe 60 x 60 cm 2013
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C’était différend acrylique sur toile sablée 130 cm de diamètre 2011
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Ford T acrylique sur toile sablée 80 cm de diamètre 2011
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Un certain temps acrylique sur toile sablée 80 cm de diamètre 2011
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Un peu trop acrylique sur toile sablĂŠe 100 x 100 cm 2010
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Dans la cour acrylique sur toile sablĂŠe 80 x 80 cm 2010
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Quel gâchis acrylique sur toile sablée 80 x 80 cm 2010
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C’est tellement mieux acrylique sur toile sablée 80 x 80 cm 2010
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Celui là acrylique sur toile sablée 80 x 80 cm 2010
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Elle doit être périmée acrylique sur toile sablée 100 x 100 cm 2010
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Les jupes écrins, tendres et virginales, s’entrouvrent lascivement détendues sur les fruits défendus. Parures chatoyantes, fils sensibles, elles s’étirent imperceptiblement d’une main divine, importune araignée tisseuse de toile, lisseuse de précieux diamant et de bonne aventure, opportune tarentelle de dentelle. Les hauts se baissent, les bas se blessent, coup de canif au contrat résilié. Résignées, les mailles se dénouent, se déroulent, filent doux sous les doigts avides d’aventure, de conquêtes, d’explorations, de possession. Franches et contrastées, les fibres vibrent de replis, bleues, roses, fleurs psychédéliques, mathématiques à géométrie palpable.
Le fétiche se fait tâche, il prend forme, accouche femme, couple, traits et chemins lumineux, onduleuse vibration et superbes positions. Schlosser promène les sens, balade les repentances, balaie les remontrances, attise l’envie, conte contagieux, épidémie de génie. A l’affut, le loup monte ses plans affutés, tapie dans sa tanière aux petits pots, dévoreur de fraicheur, mangeur de candeur à toute heure. L’innocence repose sur la terre nourricière. Etalée, pensée sans souci, la nature fait bien les choses et le lit des eaux troublées suit son cours. Les amants se tiennent, se devinent, se découvrent, s’abandonnent au soleil, dérivent à la vie, se prennent et se donnent, se caressent, se laissent. L’herbe folle déraisonne au premier plan, grandeur nature d’hérétique oraison excitée, moisson érectile encadrée d’une puissante jeunesse.
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Méli-mélo chiffoné, froissé, elle ploie, se couche, verte d’espoir en nid improvisé des amours d’un jour, d’une existence, d’une humanité des temps infinis. Echange de bon procédés, l’art truque admirablement, pille totalement, transcrit habilement, magnifie vertigineusement pour qui sait voir, vouloir et aimer avec ou sans poil, accrochage en kingsize, sans minauderie, sans trahison, sans concession, sans état d’âme ni posture.
Chirurgicalement esthétiques, les seins s’hérissent, se glissent, laissent tomber leur soutien de peau lisse et se mettent enfin à table. Ils se donnent en mamelles nourricières affranchies, rebelles alanguies, silo tribal et château d’eau des peuples magnifiques aux terres asséchées, aridité meurtrière d’enfants survivants souriant à pleines dents. Objets du délire, pièces à conviction de la rue Titon, les tétons tatillons s’entêtent, tétines tétées, têtus tâtonnés, triturés torturés. Plus loin, amnésiques de céramique, les amants s’oublient sur le carreau de glace, dédain de salle de bain, séparation de syphon, isolement de ruissellement, buée confinée, chaleur humide et souffle écourté. Carmin, outremer, la serviette vive attise, attire, éponge les âmes de feu et d’eau. Elle s’exprime, s’installe, s’étale dans l’indicible perfection de sa matière hallucinée, consternante force de conviction obsédante de vérité.
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En taxi acrylique sur toile sablée 80 x 80 cm 2009
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La rudra-veena acrylique sur toile sablĂŠe 100 x 100 cm 2009
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À peu près acrylique sur toile sablée 150 x 150 cm 2009
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C’est trop loin acrylique sur toile sablée 100 x 100 cm 2010
Les êtres abandonnés, apaisés, s’effeuillent au pied de l’arbre frémissant des saisons, oraison de frissons, sans le vouloir, sans trop savoir, sans trop se voir.
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La Capricciosa acrylique sur toile sablĂŠe 100 x 100 cm 2009
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Du cap vert acrylique sur toile sablée 100 x 100 cm 2009
Causeries de viscose, ton de coton, impressions d’imprimés, les textiles se dérobent.
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Justement le 20 acrylique sur toile sablĂŠe 60 x 60 cm 2009
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Quel autre acrylique sur toile sablée 80 x 80 cm 2010
La beauté du désir s’apprivoise patiemment, se propose avec délicatesse, streap-tease séquencé avec doigté, garantie de vice caché livré cash, irréparable.
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On en a parlé acrylique sur toile sablée 100 x 100 cm 2011
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Schlosser crée pour ne rien oublier, ne rien lâcher, tout emporter, jouir d’hier et de demain, et droit debout, ébranler le mauvais sort. Sa pointe trace le sillon, nourrit la magie, donne la vie éternelle d’exactitude, suggestion à foison de gros plan lumineux, focus fœtal de femmes fatales.
Vivre seul, mourir seul, mémorable destinée... Et patienter entre les bras, sous le regard, bercé du souffle alter ego, homo sapiens dans de beaux draps, consommables, interchangeables... Aliments, éléments, emballage des préservations d’ADN, l’intox de botox a la bouche entr’ouverte. La folle dictature du rayon frais s’épile en chair de poule, table des matières et plat du jour, immense douleur des expériences, intense froideur des renaissances, science et séances des espérances, à la mode de modèles incommodés...
Créateur possédé, fabuleux fabulateur, Schlosser narre l’invisible, pourfend l’invincible, enchante les mers, brave les canons, embrasse les cieux, brosse l’univers d’un regard fasciné. D’un tour de main incendiaire, il allume ses étoiles, embrase ses astres de mèches étincelantes à tous vents, éclat de génie d’une maitrise absolue. Il façonne, applique, étale l’impalpable, chef-d’œuvre illusionniste. Orfèvre de l’art, magicien de l’air, il cisèle sa sidérante prestidigitation, intemporelle tentation de rêves en reliefs, de monts et merveilles, délicat cadeau silencieux d’un lumineux bonheur en couleur. J.C
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C’est simple acrylique sur toile sablée 100 x 100 cm 2011
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ça pique acrylique sur toile sablée 100 x 100 cm 2011
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Le 28 acrylique sur toile sablée 100 x 100 cm 2011
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En douceur acrylique sur toile sablée 100 x 100 cm 2011
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Elle le garde acrylique sur toile sablĂŠe 100 x 100 cm 2010
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Celle de Chereau acrylique sur toile sablée 100 x 100 cm 2010
Objets du délire, pièces à conviction de la rue Titon, les tétons tatillons s’entêtent, tétines tétées, têtus tâtonnés, triturés torturés.
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C’est tout acrylique sur toile sablée 80 x 80 cm 2009
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En face acrylique sur toile sablĂŠe 100 x 100 cm 2009
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La cavatine du 13e acrylique sur toile sablĂŠe 150 x 150 cm 2009
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Pour de bon acrylique sur toile sablée 80 x 80 cm 2010
Les amants se tiennent, se devinent, se découvrent, s’abandonnent au soleil, dérivent à la vie, se prennent et se donnent, se caressent, se laissent.
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Dans le 16e acrylique sur toile sablĂŠe 80 x 80 cm 2010
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Dans le noir acrylique sur toile sablée 80 x 80 cm 2010
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Un peu avant acrylique sur toile sablée 100 x 100 cm 2010
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Tout en haut acrylique sur toile sablĂŠe 100 x 100 cm 2010
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J’y retourne après demain acrylique sur toile sablée 160 x 230 cm 2012
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Il n’y comprend rien acrylique sur toile sablée 160 x 230 cm 2012
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ça lui ressemble acrylique sur toile sablée 100 x 100 cm 2012
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Le plus gros acrylique sur toile sablĂŠe 160 x 160 cm 2012
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Tu étais là acrylique sur toile sablée 100 x 100 cm 2012
Il est des jours où Cupidon s’en fout et Schlosser attend patiemment, bras, seins, de Brassens, enlacés sur les bancs publics.
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C’est du vent acrylique sur toile sablée 100 x 100 cm 2012
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N’importe quoi acrylique sur toile sablée 80 x 80 cm 2012
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ça n’est pas passé acrylique sur toile sablée 160 x 160 cm 2012
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Encore eux acrylique sur toile sablĂŠe 80 x 80 cm 2012
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On sera combien acrylique sur toile sablĂŠe 160 x 160 cm 2012
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C’est n’importe quoi acrylique sur toile sablée 230 x 160 cm 2012
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Dans le rouge acrylique sur toile sablĂŠe 160 x 160 cm 2012
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En apparence acrylique sur toile sablĂŠe 160 x 160 cm 2012
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En 73 acrylique sur toile sablée 160 x 230 cm 2012
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A mes modèles : Aïcha, Alain, Alix, Ana, Birgit, Capucine, Cécile, François, Guillaume, Hervé, Ingrid, Maïa, Marie, Martin, Morgan, Nicole, Pearl, Rudy, Sandra, Stéphane, Véronique et tous les inconnus du jardin de la Cité Prost.
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exposition du 1er au 30 mars 2013
conception graphique : Antje WELDE / www.voiture14.com photos Jean-Louis BELLURGET Marie Laborde Gérard Schlosser TexteS : J.C. impression : Agpograf - Barcelone ISBN : 9782953540505 Imprimé en Europe Achevé d’imprimer février 2013 Dépôt légal, février 2013 © droits réservés