SEGUI

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GILBERT LASCAULT

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Le vacarme des citadins agités et la mémoire circulaire des garde-robes


Les surfaces rondes et carrées

Les souvenirs d’une garde-robe et le vide

Ici, en 2019, dans la Galerie Laurent Strouk, Antonio Seguí propose des surfaces rondes et carrées, ses tableaux colorés, vifs, allègres. Des teintes intenses surprennent.

En 2017 et 2018, Antonio Seguí représente une étrange garderobe circulaire. Elle serait une armoire dans laquelle on aurait rangé des robes, des vestes et des pantalons masculins, des sous-vêtements (donc des dessous) de femmes et d’hommes, des chapeaux. La garde-robe serait peut-être un vestiaire désordonné, ou bien un dressing-room bouleversé, ou encore la pagaille d’une penderie, d’un placard dérangé.

Toutes les œuvres carrées ont la même dimension : 100 x 100 cm ; elles sont peintes en une technique mixte sur toile. Les autres œuvres sont rondes ; les tondos sont peints à l’acrylique sur bois découpé, chaque tondo mesure 121 x 121 x 8,5 cm. Tous les tondos s’intitulent Memoria de un Ropero (La Mémoire d’une garde-robe). Ils sont peints en 2017 et 2018. Ils ont des fonds différents : jaune, beige, bleu clair, vert léger, rose.

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Le terme italien de tondo est une aphérèse du mot « Rotondo » (un rond). Le tondo a été créé dans l’Antiquité, généralement sculpté en bas relief. On le retrouve souvent en Italie à la Renaissance (par exemple chez Michel-Ange) ou chez les peintres flamands. Entre autres, Le Bain turc d’Ingres, certains Nymphéas de Monet, les Contrastes simultanés de Robert Delaunay sont des surfaces rondes, des sortes de Roues de la Fortune ou encore des boucliers... En juin 2017, le Musée de l’Hospice Saint-Roch d’Issoudun présente une cinquantaine d’artistes dans « Le Tour du monde en Tondo », en particulier un tondo de Seguí. Ainsi, en 2019, les surfaces rondes et carrées de Seguí se retrouvent. Dans une Encyclopédie des symboles (La Pochothèque, 1996), le cercle et le carré sont les symboles géométriques les plus importants et les plus répandus. Les cercles mettent en évidence le Soleil et la Lune. Les mystiques représentent souvent Dieu comme un cercle dont le centre se trouve partout, la circonférence nulle part et qui fait preuve d’une perfection inaccessible à l’humain. Le cercle ne connaît ni début ni fin, ni direction, ni orientation. Le contraire symbolique de cercle serait le carré qui représente le monde terrestre, humain et matériel. Le carré permet aux humains de s’orienter dans l’espace. Le carré établit un système de coordonnées ; il impose une structure au chaos...

Seguí représente alors un bric-à-brac chaotique. Une famille aurait dispersé et dérangé les dessus et les dessous anciens, jetés sur un plancher. L’ espace d’une vaste garde-robe évoquerait les souvenirs des pères, des mères, des enfants. A l’intérieur de la périphérie, tu perçois des vêtements enchevêtrés, un fouillis, un chambardement ; tu retrouves les profils de quelques humains... Mais le centre de la garde-robe est le vide. Le centre est un non-lieu. Il est peut-être une amnésie partielle, une zone des oublis. Tu choisirais le non-agir, le non-dire. Tu t’éloignerais de l’accumulation lourde des choses qui deviendraient inutiles, insensées, vaines, négligeables. Et parallèlement, près du vestiaire circulaire, Antonio Seguí met en évidence les activités des citadins dans les villes carrées.

Les saisons et les rythmes des citadins Antonio Seguí observe les scènes brèves, les instants fugitifs des villes d’Amérique du Sud ou de l’Europe. Tu regardes les gestes des hommes et des femmes, les mouvements des animaux, les fumées, les automobiles, les oiseaux, les palmiers qui se développent, les maisons, les escaliers... Souvent la chaleur épuise ; les hommes ou les femmes nus se baignent dans l’eau fraîche des trous du macadam des rues... Se rencontrent les anonymes et les frères, Gustavo, Tío Juan, les doubles et les cousins, Señor Alfredo, l’homme sans qualités de Musil. Un instant les destins des humains se croisent.

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Les titres des tableaux de Seguí t’amusent. Ce sont les Nudistes dans le village (Nudistas en el Pueblo), le règne de l’hystérie (La Histeria Existe), les chiens énigmatiques et inquiétants (Perros Incomprendidos). Il fait chaud : Nocturno Tropical, De Dubai en Verano, Esos Calores, Hombre al Agua, Insolación Premeditada, Talasoterapia. Tu dois être très prudent : un homme est en colère (Furioso con la Gente) ; ce sont des violences (Arrebatos y Testimonios) ; tu dois te méfier (No Creer en Nadie) ; tu es vigilant : Atención ! Ces humains sont solitaires et tristes (Se Sintieron Solos). Un monsieur est angoissé (Señor Angustiado). Certains sont chassés, harcelés (Gente Perseguida). Dans la rue, des paires de fesses féminines s’exhibent (14 Colas y Ninguna Flor) sans nulle fleur. Un séducteur s’approche d’une jeune femme : « Mademoiselle, votre mouchoir est tombé » (Señorita, se le Cayó el Pañuelo). Le peintre veut raconter pour inventer une histoire : Para Inventar una Historia. Circulent parfois les héros nocturnes des faubourgs, ceux qui fascinent Jorge Luis Borges (1899-1986), leurs prouesses que les tangos et les milongas évoquent.

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Antonio Seguí crée des terrains sans échelle, incontrôlables, rebelles. L’espace se dévoie ; il est souple et subtil. Les lois de la perspective sont oubliées. Souvent les chemins sont inutiles. Les sentiments sont changeants, incertains. Un grand tapis est suspendu avec maisons, palmiers, chiens, marcheurs, avec les fumées, avec les proverbes énigmatiques (comme ceux du peintre Brueghel). Dans les tangos nocturnes, les danseurs « sentent au visage le sang qui monte à chaque cadence » ; ils dansent « comme des fauves parfumés ». Nul ne s’arrête ; mais qui oserait dire de s’arrêter ? Passent les régiments des vivants et des machines. Les marionnettes sont affolées. Dès son enfance, Seguí aimait les caricatures des journaux, les bandes dessinées, les cirques. Les rats rongent les fondements des maisons. « La lecture de mes tableaux (dit-il) n’est ni claire, ni ambiguë. » Ses légendes sont flottantes ; ses fables sont sans conclusion. Avec une ironie douce-amère, avec le sourire d’un dandy alerte. Dans les villes, les visages gigantesques des curieux et des fouineurs indiscrets jaillissent hors des portes de leurs maisons. Les piétons, les coureurs, les danseurs et les danseuses seraient des twisteurs qui sursautent, se trémoussent, gigotent. Leurs bras servent de sémaphore. Ils vivent à temps et à contre-temps,

à nuit et à contre-nuit, parfois dans un rêve bleu (Sueño Azul). Les citadins se remuent dans un mouvement brownien. Ils surgissent ; ils disparaissent ; puis ils reviennent, ressuscités.

Le bruit, les cris, les chahuts, le chaos Tu entends le bruit, les hurlements, les insultes, les aboiements des chiens enragés, les onomatopées, les rires, les gémissements, les rumeurs, les ragots, les slogans, les appels, les proclamations, les protestations, les témoignages, les chansons, la musique des bandonéons, les klaxons, les explosions, les détonations des revolvers, le vrombissement des moteurs des voitures, le bourdonnement de l’agitation nocturne, le tumulte. Ce seraient les chahuts, les bacchanales, le brouhaha, le charivari, le hourvari, les bagarres, le ramdam, les carnavals, le tintouin, le tohu-bohu, le vacarme, le barouf, le boucan, le tintamarre, la perturbation, la cohue, le pêle-mêle, la zizanie. Les musiciens s’apitoient sur les douleurs de la Terre, sur les chagrins des solitaires. Se multiplient les cohues harmonieuses, les chaos ordonnés, les rencontres, les croisements, les amours, les duos, des duels, les échauffourées. L’horizon est placé très haut. Les rues bifurquent. Les incidents innombrables dans l’immensité se disséminent.

La gloire des superbes chapeaux A bien des moments, Seguí admire les superbes chapeaux d’Argentine. « Dans mon enfance (dit-il) tous portaient le chapeau. C’étaient les chapeaux allemands, italiens bien sûr et panaméens. Le fameux Panama (chapeau tressé en paille) n’a jamais été fabriqué à Panama, mais à Cuenca. Ceux que je préfère, ce sont les Borsalino italiens. » Les hommes des cités ne quittent jamais leur chapeau. Sur le lit, ils dorment avec leur chapeau. Ils baisent avec leur chapeau. A l’église, pendant les messes, leur chapeau est posé sur leurs genoux. Tout petits, à l’école, sans enlever leur chapeau, ils chahutaient l’instituteur. Ils pousseront leur râle dans le caniveau, un couteau dans le cœur, le chapeau enfoncé jusqu’aux oreilles... Antonio Seguí est né en 1934 à Córdoba (Argentine). Lorsqu’on lui demande qui l’a le plus influencé, Antonio répond : « C’était l’enfant que j’ai été. »

GILBERT LASCAULT

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GILBERT LASCAULT

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The din of frenzied city-dwellers and the circular memory of wardrobes* *Translation by Jacqueline Hall


Round and square surfaces

A wardrobe of recollections and emptiness

Here at the Galerie Laurent Strouk, in 2019, Antonio Seguí offers us, on round and square surfaces, his coloured, lively, cheerful paintings. Certain intense colours surprise us.

In 2017 and 2018, Antonio Seguí painted a strange circular wardrobe. It’s a sort of closet in which dresses, men’s jackets and trousers have been put away, along with men and women’s underwear (items for the underparts), and hats. Or you could call it a littered changing-room, or a topsy-turvy dressing-room, or a higgledy-piggledy press, or a shambolic clothes-cupboard.

All the square works are the same size: 100 x 100 cm. They are painted with mixed media on canvas. The other works are round. They are tondos, painted in acrylics on wood cut-outs, each measuring 121 x 121 x 8.5 cm. All the tondos are entitled Memoria de un Ropero (Memory of a Wardrobe). They were done in 2017 and 2018. They have different backgrounds: yellow, beige, pale blue, light green, or pink.

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The Italian term ‘tondo’ was formed by aphaeresis from ‘rotondo‘ (round). Tondos were created in Antiquity and were usually carved in low relief. They are frequently found in Renaissance Italy (Michelangelo did some, for instance) and among Flemish painters. Le Bain turc, by Ingres, some of Monet’s Nymphéas, and Robert Delaunay’s Contrastes simultanés are examples of works on round surfaces, rather like wheels of fortune, or shields, perhaps. In June 2017, the Musée de l’Hospice Saint-Roch in Issoudun staged an exhibition entitled “Le Tour du monde en Tondo“ comprising tondos by some fifty artists, notably one by Seguí. And now, in 2019, Seguí’s round and square surfaces are reunited. According to the Encyclopédie des symboles (La Pochothèque, 1996), the circle and square are the most important and widespread of geometrical symbols. Circles refer us to the Sun and the Moon. Mystics often represent God as a circle, a shape whose centre is everywhere and whose circumference is nowhere, so perfect it’s beyond human reach. The circle has no beginning and no end, no direction and no orientation. The square is the circle’s symbolic opposite and represents the earthly, human, material world. The square enables humans to find their bearings in space. It sets up a system of coordinates, it imposes a structure on the chaos.

So Seguí depicts a jumble of odds and ends. As if a family had flung old under- and outer-garments on the floor, and then scattered them pell-mell. The inside of this vast wardrobe might conjure up memories of fathers, mothers and children. Lining the outer edge you can see tangled garments, in havoc and disarray. You rediscover a few human profiles too. But the middle of the wardrobe is empty. It’s a non-place, lacking in evidence, possibly as a result of partial amnesia, a place for things forgotten. In this non-place, you might opt for non-action and non-speech. You might move away from the heavy build-up of items that have become useless, absurd, futile, trifling. And at the same time, close to the circular changing-room, Antonio Seguí highlights the activities of the inhabitants of square cities.

The seasons and rhythms of city-dwellers Antonio Seguí observes short scenes, fleeting instants, in the cities of South America and Europe. You watch the gestures of men and women, the movements of animals, the puffs of smoke, the cars, the birds, the developing palm trees, the houses, the steps... The heat is often exhausting. Men and women bathe naked in the cool water in the potholes of tarmacked streets. Nameless individuals and brothers meet: Gustavo, Tío Juan, doubles and cousins, Señor Alfredo, Musil’s Man without Qualities. Human destinies stride past each other for a second.

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The titles of Seguí’s paintings amuse you. They talk about Nudists in the village (Nudistas en el Pueblo), the realm of hysteria (La Histeria Existe), or enigmatic, disturbing dogs (Perros Incomprendidos). It’s hot: Nocturno Tropical, De Dubai en Verano, Esos Calores, Hombre al Agua, Insolación Premeditada, Talasoterapia. Caution is essential: a man’s lost his temper (Furioso con la Gente), there are acts of violence (Arrebatos y Testimonios). You can’t trust anyone (No Creer en Nadie). You have to watch out: ¡Atención! These human beings are sad and lonely (Se Sintieron Solos). One gentleman is deeply anxious (Señor Angustiado). People are being chased and harassed (Gente Perseguida). Pairs of female buttocks are on show in the street, but there’s no sign of a flower (14 Colas y Ninguna Flor). A lecher approaches a young woman: “Señorita, se le Cayó el Pañuelo“ (Young lady, you’ve dropped your handkerchief). The painter wants to be a storyteller in order to invent a story: Para Inventar una Historia.

about in Brownian motion. They arise, they disappear, and then resuscitate and return.

Sometimes nocturnal suburban heroes are on the roam, the ones that fascinated Jorge Luis Borges (1899-1986), their exploits evoked by tangos and milongas.

Harmonious throngs and orderly jumbles multiply; more and more people meet or just walk past; love affairs, duets, duels and skirmishes proliferate.

Antonio Seguí creates scale-free, uncontrollable, rebellious terrains. Space goes awry, it is supple and subtle. The laws of perspective are forgotten. Paths are often useless. Feelings are changing, uncertain. He hangs up a great carpet with houses, palm trees, dogs and walkers, with puffs of smoke and enigmatic proverbs (like those painted by Brueghel). The tango-dancers in the night “feel the blood rising to their faces at every beat“, they dance “like scented wild beasts“. No one stops, but who would dare tell them to stop?

The horizon is situated very high up. Streets fork. Countless incidents disperse in the immensity.

Regiments of living beings and machines go by. The puppets are panic-stricken. From childhood, Seguí liked newspaper cartoons, comics, circuses. Rats gnaw at the foundations of houses. “The interpretation of my paintings,“ he says, “is neither clear nor ambiguous.“ His legends float, his fables lack a conclusion. His irony is bitter-sweet, his smile that of an alert dandy. In the cities, inquisitive individuals, prying busybodies, thrust huge faces out of the doors of their houses. Pedestrians, runners and dancers, male and female, leap, wiggle and jerk about, as if dancing the twist. They use their arms as signals. They live in time and out of time, with the night and against it, sometimes in a blue dream (Sueño Azul). City folk move

Noise, shouts, uproar and chaos You hear the noise, the howls, the insults, the angry dogs barking, the onomatopoeia, the laughter, the moans, the rumours, the gossip, the slogans, the appeals, the proclamations, the protests, the testimony, the songs, the music of bandoneons, the car horns, the explosions, the revolver shots, the car engines revving, the buzz of hectic nights, the tumult. Or, in other words, the uproar, the drunken revels, the hullabaloo, the rumpus, the bedlam, the brawls, the racket, the carnival parades, the clatter, the bustle, the din, the row, the hubbub, the hurly-burly, the turmoil, the pushing and shoving, the pandemonium, the discord. The musicians are moved by the suffering Earth and the grief of the lonely.

The glory of magnificent hats Seguí often expresses admiration for the magnificent hats of Argentina. “When I was a child,“ he says, “everyone wore a hat. There were German hats, Italian hats of course, and ‘Panamanian’ hats. The famous Panama hat (made of plaited straw) was never made in Panama but in Cuenca [Ecuador]. The ones I like best are the Italian Borsalino hats.“ The men in these cities never remove their hats. In bed they sleep with their hats on. They make love with their hats on. At church, during mass, they lay their hats on their knees. When they’re little boys at school, they torment the teacher without taking their hats off. They’ll lie in the gutter, the death rattle in their throats and a knife in their hearts, with their hats crammed down over their ears... Antonio Seguí was born in 1934 in Cordoba (Argentina). When asked what influenced him most, Antonio replies: “The child I once was.“

GILBERT LASCAULT

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NOCTURNO TROPICAL 18

Technique mixte sur toile - Mixed media on canvas 200 x 200 cm - 78,7 x 78,7 in 2018

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SE SINTIERON SOLOS 20

Technique mixte sur toile - Mixed media on canvas 200 x 200 cm - 78,7 x 78,7 in 2018

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COLAS NUMERADAS 22

Technique mixte sur toile - Mixed media on canvas 200 x 200 cm - 78,7 x 78,7 in 2018

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SEÑORITA, SE LE CAYÓ EL PAÑUELO 24

Technique mixte sur toile - Mixed media on canvas 200 x 200 cm - 78,7 x 78,7 in 2018

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NUDISTAS EN EL PUEBLO 26

Technique mixte sur toile - Mixed media on canvas 200 x 200 cm - 78,7 x 78,7 in 2019

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NO CREER EN NADIE 28

Technique mixte sur toile - Mixed media on canvas 100 x 100 cm - 39,3 x 39,3 in 2017

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PERSEGUIDOS EN DUBAI 32

Technique mixte sur toile - Mixed media on canvas 100 x 100 cm - 39,3 x 39,3 in 2017

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PERROS INCOMPRENDIDOS 40

Technique mixte sur toile - Mixed media on canvas 100 x 100 cm - 39,3 x 39,3 in 2018

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HOMBRE AL AGUA 44

Technique mixte sur toile - Mixed media on canvas 100 x 100 cm - 39,3 x 39,3 in 2018

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DE DUBAI EN VERANO 46

Technique mixte sur toile - Mixed media on canvas 100 x 100 cm - 39,3 x 39,3 in 2018

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COMO EN CASA 48

Technique mixte sur toile - Mixed media on canvas 100 x 81 cm - 39,3 x 31,8 in 2018

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SUEÑO AZUL 50

Technique mixte sur toile - Mixed media on canvas 100 x 81 cm - 39,3 x 31,8 in 2018

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MEMORIA DE UN ROPERO 52

Acrylique sur bois découpé - Acrylic on cut wood 151 x 151 x 7 cm - 59,4 x 59,4 x 2,7 in 2018

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MEMORIA DE UN ROPERO 54

Acrylique sur bois découpé - Acrylic on cut wood 151 x 151 x 7 cm - 59,4 x 59,4 x 2,7 in 2018

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MEMORIA DE UN ROPERO 56

Acrylique sur bois découpé - Acrylic on cut wood 121 x 121 x 8,5 cm - 47,6 x 47,6 x 3,3 in 2018

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MEMORIA DE UN ROPERO 58

Acrylique sur bois découpé - Acrylic on cut wood 121 x 121 x 7,5 cm - 47,6 x 47,6 x 2,9 in 2017

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MEMORIA DE UN ROPERO 60

Acrylique sur bois découpé - Acrylic on cut wood 121 x 121 x 8,5 cm - 47,6 x 47,6 x 3,3 in 2017

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MEMORIA DE UN ROPERO 62

Acrylique sur bois découpé - Acrylic on cut wood 121 x 121 x 8,5 cm - 47,6 x 47,6 x 3,3 in 2018

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MEMORIA DE UN ROPERO 64

Acrylique sur bois découpé - Acrylic on cut wood 102 x 102 x 7 cm - 40,1 x 40,1 x 2, 7 in 2017

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MEMORIA DE UN ROPERO 66

Acrylique sur bois découpé - Acrylic on cut wood 101,5 x 101,5 x 7 cm - 39,9 x 39,9 x 2,7 in 2017

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ESOS CALORES 70

Acrylique sur toile - Acrylic on canvas 92 x 73 cm - 36,2 x 28,7 in 2017

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HOMBRE AL AGUA 72

Acrylique sur toile - Acrylic on canvas 92 x 73 cm - 36,2 x 28,7 in 2017

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ARREBATOS Y TESTIMONIOS 74

Acrylique sur toile - Acrylic on canvas 92 x 73 cm - 36,2 x 28,7 in 2017

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LA HISTERIA EXISTE 78

Acrylique sur toile - Acrylic on canvas 100 x 100 cm - 39,3 x 39,3 in 2018

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INSOLACIÓN PREMEDITADA 80

Acrylique sur toile - Acrylic on canvas 100 x 100 cm - 39,3 x 39,3 in 2018

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14 COLAS Y NINGUNA FLOR 82

Acrylique sur toile - Acrylic on canvas 100 x 100 cm - 39,3 x 39,3 in 2018

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PARA INVENTAR UNA HISTORIA 84

Acrylique sur toile - Acrylic on canvas 100 x 100 cm - 39,3 x 39,3 in 2019

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Seguir ? ... Seguí Daniel Sibony, Éditions du Cercle d’Art – Expression Contemporaine, Paris, France, 1997 Antonio Seguí - La Irónica Espontaneidad Cordobesa Reflejada en sus Personajes Alicia Beltramini Zubiri, Narvaja Editor, Córdoba, Argentine, 1998 Antonio Seguí Jacques Meunier, Éditions Ides & Calendes, Neuchâtel, Suisse, 2000 Antonio Seguí : antes pensaba más en la muerte, ahora me interesa menos Ivan Schuliaquer (Una charla con), Capital Intelectual, Buenos Aires, Argentine, 2009 L’Atelier d’Antonio Seguí Évelyne Artaud (Interview), Robert Bonaccorsi (Introduction), Daniel Mordzinski (Photographies), Thalia Édition, Paris, France, 2010

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Antonio Seguí Daniel Abadie, Éditions Hazan, Paris, France, 2010

1934

Antonio Seguí nait à Córdoba (Argentine).

1951-54

Voyage en Europe et en Afrique. Etudie la peinture et la sculpture en France et en Espagne.

1957

Première exposition individuelle en Argentine. Voyage à travers l’Amérique du Sud et l’Amérique Centrale. Séjourne au Mexique où il étudie toutes les techniques de l’estampe.

1961

Rentre en Argentine. Travaille à Buenos Aires.

1963

S’installe à Paris, puis à Arcueil, où il vit actuellement.

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Allemagne

Argentine

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Belgique

Kunsthalle Darmstadt Kunstverein zu Frechen Städtische Museum, Leverkusen Städtische Kunsthalle Recklinghausen Colección de Arte de la Cancillería Argentina, Buenos Aires Fondo Nacional de las Artes, Buenos Aires Instituto de Investigaciones Históricas de la Manzana de las Luces, Buenos Aires MALBA-Colección Costantini, Museo de Arte Latinoamericano de Buenos Aires Museo de Arte Contemporáneo, Buenos Aires Museo de Arte Moderno (MAM,bA), Buenos Aires Museo Nacional de Bellas Artes, Buenos Aires Museo Nacional del Grabado, Buenos Aires Museo de Arte Religioso Juan de Tejeda, Córdoba Museo Municipal de Bellas Artes Dr. Genaro Pérez, Córdoba Museo Provincial de Bellas Artes « Emilio A. Caraffa », Córdoba Centro de Arte Contemporáneo, Córdoba Museo Provincial de Bellas Artes, La Plata Museo de Arte Contemporáneo Latinoamericano - MACLA, La Plata Museo Castanigno, Rosario Museo Provincial de Bellas Artes, Tucumán Ministère de la Communauté Française, Bruxelles Centre de la Gravure et de l’Image Imprimée, La Louvière Musée du Petit Format, Nismes

Équateur

Casa de la Cultura, Quito

Espagne

Fundació Stämpfli, Sitges Museo de Bellas Artes, Bilbao Museo Extremeño e Iberoamericano de Arte Contemporáneo, Badajoz

États-Unis

Window South Collection, Glendale, Californie MoLAA - Museum of Latin American Art, Long Beach, Californie Oakland Museum, Oakland, Californie First National Bank of Chicago, Illinois University Museum, Eastern Michigan Walker Art Institute, Minneapolis, Minnesota Museum of Modern Art, New York, N.Y. Solomon R. Guggenheim Museum, New York, N.Y. Vassar Art Gallery, Vassar College, Poughkeepsie, N.Y. Pittsburgh National Bank, Pittsburgh, Pennsylvanie Archer M. Huntington Art Gallery, The University of Texas, Austin, Texas Hirshhorn Museum and Sculpture Garden, Washington D.C. Interamerican Development Bank, Washington D.C. Library of Congress, Washington D.C.

Finlande

Sara Hildenin-Taide Museum, Tampere

France

Musée d’Unterlinden, Colmar Musée de Peinture et de Sculpture, Grenoble Musée des Beaux-Arts, Lyon Musée Cantini, Marseille Cabinet des Estampes, Bibliothèque Nationale, Paris Centre national des Arts Plastiques, Fonds National d’Art Contemporain, Paris Mobilier national - Manufactures nationales des Gobelins et de Beauvais, Paris Musée national d’Art moderne, Centre Georges Pompidou, Paris Musée d’Art moderne de la Ville de Paris Fonds Régional d’Art Contemporain, PACA, Marseille Fonds Départemental d’Art Contemporain, Seine Saint-Denis Musée des Beaux-Arts, Tourcoing MAC/VAL, Musée d’Art Contemporain du Val-de-Marne, Vitry-sur-Seine Galerie Municipale, Vitry-sur-Seine

Grèce

Frissiras Museum, Athènes

Irak

Musée national d’Art moderne, Bagdad

Cercle Culturel des Riezes et des Sarts, Couvin Brésil

Museu de Bellas Artes, Porto Alegre Museu de Arte Moderna, Rio de Janeiro Museu de Arte Contemporânea, São Paulo

Chili

Museo de la Solidaridad Fundación Salvador Allende, Santiago

Colombie

Biblioteca Luis Ángel Arango, Bogotá Banco de la República de Colombia, Bogotá Museo de Arte Moderno La Tertulia, Cali

Croatie

Musée d’Art Contemporain, Vela Luka

Cuba

Casa de las Américas, La Havane

Égypte

Universal Graphic Museum

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Italie

Fondazione Michetti, Francavilla al Mare Museo all’aperto di Arte Contemporanea “Creator Vesevo”, Ercolano

Japon

National Museum of Western Art, Tokyo

Mexique

Palacio de Bellas Artes, Mexico

Nicaragua

Museo de Arte Latinoamericano, Managua

Paraguay

Museo de Arte Moderno, Asunción

Pays-Bas

Museum Boymans van Beuningen, Rotterdam Museum van Hedendaagse Kunst, Bois-Le-Duc

Pérou

Instituto de Arte Contemporáneo, Lima Museo de Arte Moderno - Fundación Gerardo Chávez, Trujillo

Pologne

International Print Triennial Society, Cracovie Museum Sztuki, Lodz

Porto Rico

Museo del Grabado, San Juan

République Tchèque

Národní Galerie, Prague

Serbie Montenegro

Muzej Savremene Umetnosti, Belgrade

Slovaquie

Maison des Arts, Bratislava

Slovénie

Musée d’Art Moderne, Ljubljana

Suisse

Kunsthalle Basel, Bâle

Uruguay

Museo de Arte Contemporáneo Latinoamericano, Punta del Este

Venezuela

Museo de Bellas Artes, Caracas Universidad Central, Caracas

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Laurent Strouk et Antonio Seguí lors d’une visite à l’atelier d’Arcueil


2006

2007

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2008

Galerie Quadri, Bruxelles, Belgique Galerie Hélène Trintignan, Montpellier, France Galería Rubbers, arteBA 2006, Buenos Aires, Argentine Centre Culturel du Forum, Saint-Gratien, France Durban-Segnini Gallery, Miami, États-Unis Crid’Art, Amnéville-les-Thermes, France Domaine de Lescombes, Eysines, France Opera Gallery, Hong Kong Centro Cultural Recoleta, Buenos Aires, Argentine Centro Cultural Borges, Buenos Aires, Argentine Museo Castagnino, Rosario, Argentine Museo Nacional de Bellas Artes Neuquén, Argentine Galerie Anne-Marie et Roland Pallade, Lyon, France École d’Arts Plastiques, Châtellerault, France Galerie La Passerelle, IUFM, Mont-Saint-Aignan, France Thanassis Frissiras Gallery, Athènes, Grèce Galería Rubbers Internacional, Buenos Aires, Argentine Gallery Lucette Herzog, Paris, France Enlace Arte Contemporáneo, Lima, Pérou Galerie Marwan Hoss, Paris, France Palacio Duhau, Park Hyatt, Buenos Aires, Argentine

2012

Galería AMS Marlborough, Santiago, Chili Galerie UNIVER, Paris, France Galerie Frédéric Storme, Lille, France Galerie Sonia Zannettacci, Genève, Suisse Boutique Galerie La Niche, Paris, France

2013

Musée du dessin et de l’estampe originale, Gravelines, France Galerie Anna-Tschoop, Marseille, France Galerie Argentine, Paris, France Durban-Segnini Gallery, Miami, États-Unis

2014

Galerie Janine Rubeiz, Beyrouth, Liban Palaca Milesi et Galeriji Kula, Split, Croatie Must Gallery, Gordes, France

2015

Opera Gallery, Dubai, É.A.U. Galerie Sonia Zannettacci, Genève, Suisse Arsenal - Musée de Soissons, Soissons, France Galerie Laurent Strouk, Paris, France

2016

Galerie Frédéric Storme, Lille, France Galerie La Navire, Brest, France Museo Provincial de Bellas Artes « Emilio A. Caraffa », Córdoba, Argentine Galerie Argentine, Paris, France Galerie Minsky, Paris, France Musée de l’Hospice Saint-Roch, Issoudun, France Opera Gallery, Hong Kong

2009

Galerie Hélène Trintignan, Montpellier, France Galerie Sonia Zannettacci, Genève, Suisse Galeria António Prates, Lisbonne, Portugal

2010

Le Salon d’Art, Bruxelles, Belgique Villa Tamaris Centre d’Art, La Seyne-sur-Mer, France Crypte de la Basilique Notre Dame de Boulogne, Boulogne-sur-Mer, France Espace d’Art Contemporain André Malraux, Colmar, France Galerie Chaos, Belgrade, Serbie

2017

Galerie Clémence Boisanté, Montpellier, France Kapopoulos Fine Arts, Chora (Mykonos), Grèce Centre Cristel Éditeur d’Art, Saint-Malo, France Casa Naranja, Córdoba, Argentine Fondation Folon, La Hulpe, Belgique

2011

Galerie Claude Bernard et Galerie Jeanne-Bucher, Paris, France Anne-Marie et Roland Pallade Art Contemporain, Lyon, France Nora Haime Gallery, New York, États-Unis Le Carmel, Tarbes, France Museo de Arte Moderno (MAMbA), Buenos Aires, Argentine Nora Haime Gallery, Pinta Art Fair, New York, États-Unis

2018

Le Salon d’Art, Bruxelles, Belgique Maison Elsa Triolet - Aragon, Saint Arnoult-en-Yvelines, France Espace Jacques Villeglé, Saint-Gratien, France

2019

Galerie Claude Bernard, Paris, France

93


1992

El Libertador fresque dans le cadre de l’opération « Des Murs en France » rue Thiers, Boulogne-sur-Mer, France

1994

El Viajero sculpture en acier peint Avenida El Dorado, Bogota, Colombie

1998

Os Oceanos deux panneaux en céramique Estação Oriente, Metropolitano de Lisboa, Lisbonne, Portugal

2011

Saliendo panneau en céramique Station Independencia Ligne E, Buenos Aires, Argentine

1999

El Hombre Urbano sculpture en acier peint Nudo Vial Mitre, Córdoba, Argentine

2012

Superman sculpture en acier peint Cerro Timbó, Maldonado, Uruguay

La Mujer Urbana sculpture en acier peint Nudo Vial 14, Córdoba, Argentine

2013

Golfista sculpture en acier peint Parc de sculptures Al Maaden, Marrakech, Maroc

Los Niños Urbanos sculpture en acier peint Parque del Aeropuerto, Córdoba, Argentine

2017

Voy volando sculpture en bois peint Aeropuerto Internacional Ingeniero Ambrosio Taravella, Córdoba, Argentine

94

2004

Tango sculpture en acier peint Château de Gages, Brugelette, Belgique

2005

Ícaro sculpture en pierre de lave et résine Parc national du Vésuve, Strada Dell’Osservatoriao Vesuviano, Ercolano, Italie

2007

El Gaucho Urbano sculpture en acier peint Valle de Calamuchita, Córdoba, Argentine

2009

El Ángel sculpture en acier peint École d’arts plastiques, Châtellerault, France L’Ange au châssis sculpture en acier peint et Corten Marin, Arcueil, France

95


2, avenue matignon 75008 paris 01.40.46.89.06 galerie@laurentstrouk.com www.laurentstrouk.com

05.04.2019 - 11.05.2019 Nos plus chaleureux remerciements pour l’aide et le concours constants qu’ils ont apportés à la réalisation de cette exposition ainsi que du catalogue. Antonio Seguí, pour la confiance qu’il nous a témoignée. Texte Gilbert Lascault Traduction Jacqueline Hall Coordination Patricia Newcomer 96

Documentation Virginie Canal Encadrements MARIN Graphisme Juliette Susini Crédits photographiques Les oeuvres © Béatrice Hatala Les portraits d’Antonio Seguí © François Catonné Photos de l’atelier d’Antonio Seguí à Arcueil © Marie Laborde Impression Agpograph, Barcelone LIENART - ISBN : 978-2-35906-291-5 - Imprimé en Europe Achevé d’imprimer : mars 2019 - Dépot légal : mars 2019 © Galerie Laurent Strouk Paris © Antonio Seguí © Adagp, Paris, 2019


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