Fédération Autonome Fonction Publique Territoriale
Syndicat Autonome de St-QUENTIN Chers Adhérents,
Devant le nombre considérable de messages incohérents délivrés par certains administrateurs majoritaires du COS (cherchant visiblement à vous embrouiller), le groupe représenté par Fédération Autonome souhaite apporter quelques précisions aussi simples que nécessaires pour rétablir certaines vérités ou/et réalités. Avant propos, rappelons que lors des différents conseils d'administration le Vice-président nous qualifie systématiquement « d'opposition », bien que notre rôle consiste à être force de propositions pour faire évoluer les avantages du COS. D'ailleurs, gageons que la majorité relative SUD reste à l'affût de nos interventions pour montrer qu'elle existe. Sans cela les débats du COS resteraient bien mornes !
Comparons ce qui est comparable : Mettre en parallèle des chiffres de 2010 et de 2013 ne veut pas dire grand-chose (Surtout quand certains montants sont exprimés en livre sterling £ ! ). L'exercice 2010 ayant été réalisé, comment peut-on en parler en tant que prévisions ? Les réalisations d'hier ne présagent en rien des réalisations futures si l'on considère de nouvelles activités ou avantages.
Qui ment véritablement ? Une fois de plus, le Vice-président du COS nous démontre à travers ses diverses interventions qu'un débat constructif n'a plus lieu d'être. D'ailleurs, son principal but maintenant que son syndicat est relativement majoritaire au conseil d'administration est de faire passer les autres membres du conseil d'administration pour des fourbes.
Or tous les chiffres avancés par le groupe Fédération Autonome ont été validés et confirmés par les membres du bureau du COS à maiorité SUD (voir message diffusé le 24 octobre 2012).
Qui veut faire peur aux adhérents ? Le Vice-président tient toujours le même discours qu'en 2011 : Sa volonté de brandir l'étendard de la peur en biaisant la réalité reste intacte. Mais les chiffres que nous avançons sont têtus, encore faut-il les comprendre et les analyser comme il se doit.