Dossier du projet « La fascination du surnaturel» : projet eTwinning Janvier 2012 - Juin 2013
LYCÉE
<LYCÉE GUY DE MAUPASSANT FECAMP (FRANCE) <LYCÉE « HOREA, CLOŞCA ŞI CRIŞAN »
-
ALBA
IULIA
(ROUMANIE) <LYCÉE TECHNIQUE IOAN C. ȘTEFĂNESCU IAȘI (ROUMANIE)
LABEL E-TWINNING reçu au moment de l’ouverture du projet
LABEL E-TWINNING reçu au moment de la fermeture du projet
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SOMMAIRE 1. ARGUMENT.............................................................................................................4 2. NOTRE PROJET.......................................................................................................5 OBJECTIFS
DU PROJET ..................................................................................................5
FONDATEURS
DU PROJET ET PARTENAIRES ................................................................5
AUTRES
PROFESSEURS MEMBRES DE L ’ ÉQUIPE DE PROJET.......................................8
L E CDI,
LIEU PRIVILÉGIÉ DE TRAVAIL DES ÉLÈVES ..................................................8
PROCÉDURE
ET ÉTAPES..............................................................................................10
DOCUMENTS
ADMINISTRATIFS ..................................................................................12
3. ACTIVITÉS DU PROJET.....................................................................................15 PRÉSENTATION D’ALBA IULIA (ROUMANIE )............................................................15 PRÉSENTATION
DE
PRÉSENTATION
DE I ASI
PORTRAITS
FÉCAMP (FRANCE ).....................................................................17 (ROUMANIE ).......................................................................25
ET PAROLES DE LECTEURS ADOLESCENTS ............................................29
Portraits de lecteurs..............................................................................................31 Paroles de lecteurs ...............................................................................................49 Lecture offerte........................................................................................................57 MYTHES ET L E COIN
LÉGENDES DE NOS RÉGIONS ..................................................................73
DU CINÉPHILE .............................................................................................127
Ê TRES
FABULEUX ( RÉELS ET IMAGINAIRES )..........................................................134
HÉROS
DE FICTION ...................................................................................................152
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1.
ARGUMENT
Action transversale du programme intégré de la Commission européenne « Education et formation tout au long de la vie », E-Twinning est une opération de jumelage électronique entre établissements scolaires européens des premier et second degrés. L’action E-Twinning encourage la coopération pédagogique en Europe via l’utilisation des technologies de l’information et de la communication (TIC). Pour cela, elle propose assistance, outils et ressources pour faciliter la mise en oeuvre de partenariats, quel que soit le thème du projetet sa durée (des outils de coopération : partage de documents (Word, pdf, ppt, son, image, vidéo) ; des outils de publication : création de blogs et audioblogs, wiki, magazines en ligne, podcasting ; des outils de communication : courriel, chats, visioconférence, forum). Le projet « LA FASCINATION DU SURNATUREL » a mis nos élèves dans une situation de communication réelle, mais aussi dans la situation de lire, rechercher et valider des informations en comparant les sources, d’exprimer un point de vue personnel sur leurs lectures et leurs voyages favoris, de raconter de façon personnelle leurs rencontres avec des gens ayant un destin surprenant ou ayant vécu des expériences inhabituelles. Nos élèves ont publié des articles pouvant contenir du texte (enrichi d’hyperliens au besoin) et des éléments multimédia (photos, vidéos, animations, fichiers sons…), afin de présenter des personnages et des faits insolites rencontrés dans la littérature, le film, le folklore de leur propre pays, mais aussi dans la vie réelle, qui mettent en lumière l’existence possible des forces surnaturelles. Au niveau linguistique, l’échange avec des jeunes du même âge donnera plus de sens et de motivation à l’apprentissage et à l’usage de la langue française.
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2.
NOTRE PROJET
Objectifs du projet Ce projet se propose de : - mettre les élèves en situation de communication réelle pour développer leurs capacités de lecture, expression et compréhension orale et écrite en langue maternelle et en français ; - développer le goût des élèves pour la lecture et l’information culturelle ; susciter une motivation par le biais de l’interactivité autour de la lecture; - stimuler la curiosité pour la découverte du trésor de mythes et de légendes des pays partenaires; - développer la compétence de créer et diffuser des contenus multimédia ; - améliorer la lecture expressive en français, la diction, le rythme, l'intonation.
Fondateurs du projet et partenaires
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FRANCE Nom et prénom du responsable de projet: PAQUET Evelyne, professeur de français E-mail : evelyne.paquet@ac-rouen.fr Nom et adresse de l’établissement: Lycée Guy de MAUPASSANT 1575, Boulevard Nelson Mandela 76401 FECAMP Cedex FRANCE Tél : (0033)235102424 Fax : (0033)235102429 Site web: http://lycees.ac-rouen.fr/maupassant/site2 Age des élèves : 15-17 ans Niveau des élèves impliqués dans le projet : Classe de seconde. Le français est la langue maternelle des élèves. ROUMANIE : Nom et prénom du responsable de projet: Georgeta Bădău, professeur de français E-mail :geta_badau@yahoo.com Nom et adresse de l’établissement: Lycée « Horea, Cloşca şi Crişan » Alba Iulia 11, Bd. 1 Decembrie 1918 510214 Alba Iulia Tél. (0040) 258 835 164 Fax : (0040) 258 835 165
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Site web : www.hcc.ro Age des élèves : 15-17 ans Classe(s) : IXe F/Xe F Niveau des élèves impliqués dans le projet : A2, B1 du Cadre européen commun de référence pour les langues (CECRL)
Autres professeurs membres de l’équipe de projet Lucreția Bîrz, bibliothécaire-documentaliste, Lycée « Horea, Cloşca şi Crişan » Alba Iulia (Roumanie) Alina Crișan, professeur de français, Lycée « Horea, Cloşca şi Crişan » Alba Iulia (Roumanie) Florence Cheval, professeur documentaliste, Lycée Guy de Maupassant Fcamp (France) Ecaterina Leitoiu, professeur, Lycée Technique « Ioan C. Ștefanescu» Iași (Roumanie)
Le CDI, lieu privilégié de travail des élèves Le Centre de Documentation et d’Information du Lycée « Guy de Maupassant » de Fécamp est un espace de ressources documentaires accessible aux élèves individuellement ou en groupe accompagné de leur professeur. Ils viennent pendant leurs heures de permanences pour travailler, exploiter les ressources documentaires, utiliser le matériel informatique ou/et lire la presse, des romans. Le professeur documentaliste sélectionne les documents adaptés aux élèves et aux programmes et propose une offre de lecture variée. Pendant les heures de cours, les professeurs organisent des activités documentaires autour de différentes thématiques (les impressionnistes en Normandie par exemple avec Mme Paquet, professeur de Lettres). Les élèves sont formés à la recherche documentaire par le professeur documentaliste. Ils apprennent à concevoir un
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produit documentaire (diaporama, dossier documentaire), à utiliser des outils de veille documentaire.
De même, le CDI du Lycée « Horea, Cloşca şi Crişan » d'Alba Iulia, surtout sa salle multimédia, est le lieu privilégié de travail. Ci-dessous, quelques photos prises lors des séances de recherche documentaire et de la présentation orale des textes touristique et/ou littéraires. Pour savoir plus sur ce CDI, lisez l’interview d’Anne Francou avec Georgeta Bădău et Lucreţia Bîrz : http://www.cndp.fr/savoirscdi/societe-de-linformation/international/regard-sur-leurope/le-cdi-ducolegiul-national-horea-closca-si-crisa n-dalba-iulia-roumanie.html
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Procédure et étapes Novembre - décembre 2011 : choix du partenaire et correspondance préliminaire entre les professeurs pour mettre au point les lignes directrices du projet et sa mise en œuvre ; Janvier 2012: validation du projet par les deux établissements et inscription sur la plate-forme E-Twinning ; inscription des élèves ; obtention de l’accord des parents et signature du Règlement du projet dans chaque établissement ; Janvier 2012 – Mai 2012 Formation des élèves à l’utilisation de la plate-forme E-Twinning et du blog ; Publication des premiers messages de présentation des élèves; communication informelle et portraits de lecteurs au travers d'une écriture créative ; Février- Mi-Avril Les mythes et légendes de nos régions d’Europe, à travers la littérature : réalisations de plusieurs activités et des productions destinées à susciter l'envie de faire découvrir à leurs partenaires les mythes et les légendes de leur région/de leurs pays : présentation de textes/ contes régionaux, et écriture d’articles de presse ou autres productions (texte touristique...) pour donner envie de découvrir ces mythes. Avril-Mai :
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Exercice d’écriture : comptes-rendus des voyages/des excursions dans des lieux reconnus pour leur côté magique. Juin 2012 : bilan et évaluation intermédiaire du projet Septembre 2012 : Autorisation auprès des familles pour les nouveaux élèves, découverte de la plateforme Etwinning, observation des travaux réalisés jusque-là. Synthèse des mythes et légendes des pays partenaires faite en classe. Elaboration d’un questionnaire sur leur propre pays à l’attention des camarades européens. Octobre 2012 : prise de contact entre les élèves partenaires. Envoi des questionnaires dans chaque pays. Réponses. Novembre 2012-Mai 2013 : - partage de références culturelles à travers des modes de restitution les plus variés possibles : Novembre-Décembre : Critiques et commentaires de livres (contes, nouvelles...), résumés. Mise en ligne des travaux. Echange d’idées avec les camarades. Janvier - Mars : Découverte et/ou écriture de contes ou nouvelles fantastiques ou surnaturels. Mise en ligne sur Etwinning/sur le blog du projet. Lecture dramatisée de textes créés par les élèves partenaires, transpositions en BD et/ou roman-photo… Avril-Mai: Analyse filmique. Echange d’idées entre élèves. Mise en ligne de critiques filmiques à la manière d’articles de presse, analyse de séquences filmiques. - rencontres avec des spécialistes du domaine du paranormal ou avec des gens communs ayant vécu des expériences de vie inhabituelles. Interviews publiées dans le TwinSpace/TwinBlog du projet.. Juin 2013 : Bilan et évaluation du projet
Évaluation du projet
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Disciplinaire: réalisée périodiquement par les professeurs de français (correction morphosyntaxique, orthographe, vocabulaire, originalité) Documentaire: s’orienter dans le CDI et travailler avec les différents types de documents, maîtrise de l’outil informatique (savoir créer et diffuser du contenu multimédia sur le blog), nombre de prêts, messages et commentaires. En fonction l'évolution du projet, il y a la possibilité de pérennisation sur les années scolaires suivantes et la possibilité de voyage scolaire. L’accès aux livres, à l’Internet, la multiplication des documents, les enregistrements audiovisuels seront assurés en partie par l’établissement scolaire.
Documents administratifs Liste des correspondants: année scolaire 2012-2013 Lycée «Guy de Maupassant» Fécamp (France)/ Lycée « Horea, Cloşca şi Crişan » Alba Iulia (Roumanie) / Colegiul Tehnic «Ioan C. Stefanescu» Iași
Avădănei Anca/Allain-Dulondel Louis/Andron Elena Larisa/ Bădoiu Iulia Asaftei Maria Ioana/Benard Antoine et Beuzeboc Mathilde/ Banea Răzvan Baciu Larisa/Bigot Mélanie/ Barbu Denisa Georgia/ Barbu Mirela Bilan Anca/Blondel Paul/ Gligor Delia Bîrlescu Bogdan Gabriel/Boulhan Camille/ Bișboacă Alexandru Adrian Bârlădeanu Raluca Paula/Bréant Romain/Boboia Lidia/Luca Roxana Bolog Mădălina Roxana /Clouet Manon et Lavier-Aydat Aliénor/ Bodea Sonia Maria Bucşa Mariana/Crochemore Morgane/Bogdan Carmen Felicia/Popa Corina Chicoroş Aliona/Cuvilliez Camille/ Buzgure Darius/Danci Ioana Ciută Sergiu Ionel /Danger Elodie/ Cioară Irina Maria/Dobre Daniela Enea Vasilica/Gille Amandine/ Dobra Denisa Larisa Florişteanu Andreea/Gognet Nicolas/ Dragomir Cristina Paula Gorovei Roxana/Gréard Steven/ Dragoș Georgiana Iulia/Dobra Laura Horea Florin Alexandru/Grimoin Quentin/Florea Mădălina Elena/Luca Irina Ioviţă Elena Mihaela /Guyot Antoine/ Florea Paul/Haneș Cristina Lefter Ana-Maria/Henri Elodie/ Haneș Loredana Laura
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Olaru Beatrice Elena /Jonquiere Valentine/ Ilieș Andra Pamfil Mihai/Kervella Laurie/ Manciulea Roxana Alexandra/Hălălae Anca Pavel Raluca Georgiana/Kwasniewski-Perot Isaline/ Marian Larisa Maria Sava Ana-Maria /Lachèvre Clémence et Quiquempoix Grégory/Medruț GeorgianaMaria Pascu Geanina/Lefevre Mathilde/ Oprean Ana-Maria/Crainic Cosmina Ţilică Ştefan /Leroy Alicia et Sautreuil Clémence/ Ordean Monica Denisa Bogos Gabriel/Monville Léna/ Pașcău Alexandra Ioana Griguţă Ramona/Mouquet Eméric/ Pleșa Andrei Maxim Alina Cătălina/Piednoel Aglaé/Bianca Vlad Zelincă Ana/Preterre Manon/Rahovean Amalia Dobândă Daniela/Robert Océane/ Schiau Andrei Ștefan Margină Ionuţ /Tauvel Tifany/ Trif Lorena Francesca Simiciuc Stefan/Vauchel Valentine et Barbaray Chloé/ Liste des correspondants: année scolaire 2011-2012 Lycée Guy de Maupassant Fecamp (France) / Lycée « Horea, Cloşca şi Crişan » Alba Iulia (Roumanie) Anghel Andreea -Zoé Abraham Barb Lorena -Alice Auber- Laura-Valentina Dubuc Barbu Sebastian-George -Charline Bauer- Rose-Anne clotaire Blaga Corina-Cristina -Claire Duchateau-Victoria Bienvenu Boitoş Alexandra-Valentina -Dimitri LefebvreCîmpean Darius-Petru -Salomé Garcia-Crainic Cosmina -Deborah Groult Crişan Bianca-Maria -Léna Delahaye Dobra laura -Garance Renaut- Flore Lesueur Gânfălean Alexandru-Paul -Benjamin Troccaz Jina Alexandru-Eugen -Aymeric Hachard Jurj Ioana Ramona -Pauline Christophe Luca Irina -Laurenn Gohier Manciulea Răzvan-Andrei -Antoine Mihelic-Jordan Mahieu Radu Bogdan-Lucian -Laura Coquin
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Rusan Delia -Margaux Lagrange-Armella Lecoq Salcie Oana-Claudia -Clémence Lachevre Samoilă Cristina-Elena -Yohann Lepont Serra Alexandra -Océane Robert-Léa Lecanu Stanciu Alexandru-Ştefan -Simon Mary-Brasse Tamaş Iulia-Alexandra -Morgane Gervais-Audrey Pitte Tamaş Lucian Rareş -Manon Legros-Loïse Thilloy Varro Horaţiu-Cătălin -Amandine Martin Accord du parent :
Je, soussigné (e), (nom-prénom) …………………………………………………….., parent de l’élève……………………………………………………..accepte que ses textes/photos et enregistrements audio/vidéo, réalisés pendant cette année scolaire dans le cadre du projet eTwinning « La fascination du surnaturel » (2012-2013) soient publiés sur la plate-forme E-Twinning, le blog/le site du lycée/du projet, sur ceux des professeurs coordonnateurs du projet ou dans une publication d’intérêt pédagogique. Date :
Signature,
Règles à respecter :
La langue de la correspondance sera le français. 1. Pour éviter tout malentendu, utiliser un langage simple. 2. À savoir que les blagues ne sont pas toujours interprétées de la même façon dans un autre pays. 3. Être toujours poli(e). 4. Répondre toujours dans un délai raisonnable (7 jours maximum, sauf accord contraire). 5. Ne pas rédiger de texte à caractère diffamatoire, injurieux, raciste, violent.
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6. Ne pas publier d’image ou de texte à caractère obscène ou pornographique. 7. Respecter les droits d’auteur : ne pas diffuser de documents sans l’accord de son auteur et indiquer ses sources. 8. Demander l’autorisation aux personnes dont vous souhaitez publier la photo. 9. Ne pas poster un article ou un commentaire sans qu’il soit validé par votre professeur. 10.La personne fautive verra son article / commentaire supprimé. En cas de récidive, elle se verra interdire l’accès au blog/à la plate-forme.
3.
ACTIVIT ÉS DU PROJET
Présentation d’Alba Iulia (Roumanie)
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Alba Iulia est une ville de Transylvanie, dans le département d'Alba (județ d'Alba), dont elle est le chef-lieu. Le site officiel de la ville: www.apulum.ro/index.php Cornel Goia, ancien professeur du Lycée « Horea, Cloșca și Crișan », vous invite à découvrir la partie historique de la ville
à
travers
une
superbe
vidéo réalisée
par
lui-
même: http://www.youtube.com/watch?v=7lHN8a_dxrU
Valentina et ses collègues vous proposent ci-desous quelques images prises dans les endroits de la ville qui leur plaisent particulièrement.
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Présentation de Fécamp (France)
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Fécamp, une cité maritime avec un passé fascinant: www.fecamptourisme.com . C'est un ancien port morutier sur le littoral du pays de Caux, sur la côte d'Albâtre.Elle a obtenu le label de "Villes et pays d'art et d'histoire". On trouve des vestiges d'un oppidum, c'est-à-dire une agglomération fortifiée gauloise datant du Ier siècle avant Jésus-Christ. La cité a connu l'occupation romaine. Au IX, une invasion viking dévasta la ville.Le traité de Saint-Clair-sur-Epte est conclu à l'automne de l'année 911 entre Charles III le Simple et Rollon, un chef viking. Il permet l’établissement des Normands en Neustrie à condition qu’ils protègent le royaume de Charles III de toute nouvelle invasion des « hommes du Nord ».Cet acte fonda le duché de Normandie.
Il s'agit d'un plateau crayeux en Haute-Normandie, qui s'étend sur la côté du Havre à Dieppe. Les falaises sont faites de silex et de craie. On trouve des valleuses qui descendent vers la mer, elles sont parfois suspendues, et reliées à la plage par un escalier. Les plages sont tapissées de galets. La côte d'Albâtre est une longue muraille calcaire. Il s'agit des falaises les plus longues de France. La hauteur varie de 30 à 110 mètres. La végétation littorale comprend la violette des sables, la bruyère cendrée, le chou maritime, la primevère acaule, la jacinthe des bois, la jonquille, l'ajonc. Les goélands marins et mouettes parcourent le littoral.
Les perdrix grises et les verdiers se nichent dans les espaces protégés des haies. Les vaches normandes arborent des robes blanches tachetées de brun. Ce sont des vaches de taille moyenne dont le lait est adapté à la transformation fromagère.
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Le nom "Caux" provient d'une tribu celte, les Calètes. Les habitants sont appelés les Cauchois. L'habitat est particulier:on remarque les clos-masures entourés d'une hêtraie qui crée un micro-climat en protégeant du vent, les colombiers symboles de la puissance seigneuriale en briques et silex, les manoirs et châteaux.La brique a progressivement remplacé le colombage et le torchis.La maison cauchoise ancienne est construite avec les matériaux du terroir: limon pour le torchis, grès, silex, chaume, bois, moellons de craie. Le nom "Caux" provient d'une tribu celte, les Calètes. Les habitants sont appelés les Cauchois. L'habitat est particulier:on remarque les clos-masures entourés d'une hêtraie qui crée un micro-climat en protégeant du vent, les colombiers symboles de la puissance seigneuriale en briques et silex, les manoirs et châteaux.La brique a progressivement remplacé le colombage et le torchis.La maison cauchoise ancienne est construite avec les matériaux du terroir: limon pour le torchis, grès, silex, chaume, bois, moellons de craie.
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A Allouville-Bellefosse se trouve un chêne millénaire, le plus vieux de France. Les champs sont cultivés sur les hauteurs des falaises, souvent en openfield.Plus particulièrement, les champs de lin nous éblouissent en juin d'un bleu magnifique qui contraste avec celui de la mer et du ciel. Source des images : :http://www.festivaldulin.org/
Regardez aussi le film Valmont Petite Suisse Cauchoise (1996): vimeo.com/2593371
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PrĂŠsentation de Iasi (Roumanie)
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Portraits et paroles de lecteurs adolescents
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Portraits de lecteurs Les messages des élèves, envoyés dans la Boîte de réception du TwinSpace ou par email, ont été validés par les professeurs avant d’être publiés sur cette page.
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J'aime beaucoup les livres d'amour et les comédies. Mon livre préféré est «Dernière nuit d’amour, première nuit de guerre» de l’écrivain roumain Camil Petrescu, une histoire d’amour pleine de vérité humaine. (Larisa Andron, 2013) J’aime lire beaucoup de livres intéressants. Mes préférés sont les livres pleins d'action et les livres d'horreur. Dans mon temps libre, j'aime lire des romans. J'ai une passion pour les histoires des vampires. (Răzvan Banea, 2013) Je suis une personne qui aime la littérature. J'adore les livres d'aventure et d'amour. Le dernier livre que j'ai lu était « Trésors cachés », écrit par Nora Roberts. L’auteure captive le public avec une histoire pleine de secrets, d'action et de passion déchaînée. Le livre m'a beaucoup impressionné et je considère que c’est l'un des plus beaux qui ont été écrits jusqu'à présent. (Denisa Barbu, 2013) J'aime lire des livres sur la guerre. J'aime lire ce genre de parce que je suis attiré par l'art de la guerre. Mes auteurs préférés sont : Jules Verne, Erich Maria Remarque, Henri Barbusse, Liviu Rebreanu, Karl May, James Fenimore Cooper,
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etc. Le dernier livre lu a été « Le dernier des mohicans ». C’est un roman que je l'ai lu avec plaisir. (Alexandru Bișboacă, 2013) J’aime lire beaucoup de livres intéressants. Je préfère les documentaires aux fictions. Je lis avec plaisir les recettes de cuisine et les livres phytothérapie. Je sais beaucoup de choses sur les plantes qui guérissent diverses maladies. Je lis de temps en temps des textes sur les cosmétiques et les soins du corps. (Lidia Boboia, 2013) Il est très important qu'on lise parce que de cette manière on développe notre imagination et aussi le vocabulaire. Je lis des livres pour l'école, mais aussi d'autres livres qui me passionnent. Mes livres préférés sont « Perfect Chemistry» et « Gone». A ce moment-ci, je lis un livre sur le groupe One Direction. (Sonia Bodea, 2013) J'aime lire, parce que la lecture développe le vocabulaire et donne à l’esprit une grande ouverture. J'aime beaucoup les livres d'amour et les comédies. Je n’aime pas la poésie et parfois je lis des revues de mode. Mon roman préféré est « Dernière nuit d’amour, première nuit de guerre » de Camil Petrescu et ma revue favorite est Bravo Girl. (Carmen Bogdan, 2013) Bonjour ! Je m'appelle Darius et j'ai 15 ans. Je suis roumain et j'adore la lecture. Je me considère comme une sorte d’adolescent passionné de la lecture. J'aime lire parce que je me détends en lisant. Je suis un peu exigeant quand je parle de la lecture. Je suis attiré par les romans historiques et la science fiction. Mais toute lecture étant intéressante, sur le plan culturel et nous aide à améliorer notre vocabulaire. (Darius Buzgure, 2013) J'aime lire. J'aime beaucoup les romans d'amour.
J’adore lire des romans
romantiques et d’aventure. Je n'aime pas lire les romans fantastiques et de sciencefiction. Mes livres préférés sont: « Autant en emporte le vent » de l’écrivaine
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américaine Margaret Mitchell, « Maitreyi » de Mircea Eliade et « Lorelei » de Ionel Teodoreanu. J'aime lire aussi des magazines. (Melisa Călin, 2013) La lecture est pour moi une façon utile et agréable de passer mon temps libre. Il y a des jours dans ma vie qui sont monotones et quand je lis pendant des heures. J'aime lire des livres qui racontent de belles histoires d'amour. J’ai lu récemment le roman « Le parfum » de l’écrivain Patrick Süskind et l’histoire m’a plu même si elle est assez affreuse.(Irina Cioară, 2013) J’aime beaucoup lire parce que je pense que c’est une façon relaxante de passer notre temps libre. J’aime les romans captivants et qui offrent aux lecteurs des leçons de vie. La lecture est une de mes passion parce qu’elle enrichit mon vocabulaire et mes connaissances. Le dernier livre que j’ai lu a été « Crime et Châtiment » de Fédor Dostoïevski.(Denisa Dobra, 2013) Je crois que la lecture est très bonne pour tous les hommes, en spécial pour les enfants. Je ne peux pas dire que j’aime que lire quelque chose en particulier. Je suis consciente que je ne lis pas assez, mais quand je le fait c’est avec un grand plaisir. S’il fallait choisir, je choisirais un roman d’amour ou un roman policier, jamais une tragédie, parce que je suis très sensible. En bref, je voudrais lire plus dans l’avenir! Non seulement pour l’école, mais aussi pour moi-même! (Denisa Barbu) J’aime lire des comédies ou
du théâtre. Mon écrivain préféré est Ion Luca
Caragiale. Le dernier livre que j’ai lu est « Le livre des noces », écrit par George Calinescu qui est un écrivain et un critique littéraire roumain. Le livre que j’ai aimé le plus a été « Fierté et préjuge », écrit par Jane Austen. J’adore ce livre et je le relirais mille fois. Je pense que nous devrons lire beaucoup pour enrichir nos connaissances et pour comprendre mieux le monde. (Georgiana Dragoș, 2013) La lecture est probablement la meilleure chose qui peut nous aider dans la vie . Ma favorite est la littérature de science-fiction. J'aime les livres comme Harry Potter
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ou Twilight. Quand je lis, j'oublie tous les ennuis et j’entre dans un monde magique. J’aime aussi lire des romans de guerre ou historiques. J'aimerais avoir plus de temps pour lire pendant la semaine mais, malheureusement, je n’en ai presque pas. (Paul Florea, 2013) J'aime lire. D'habitude Je lis des livres dramatiques. Mon dernier livre lu est « Les Mémoires d'une gheisa » . J’ai beaucoup aimé ce livre et je vous le recommande. Je lis aussi des romans d’amour comme « Dernière nuit d’amour, première nuit de guerre » de l’écrivain roumain Camil Petrescu. Je ne lis pas trop parce que je n'ai pas du temps. (Madalina Florea, 2013) J'ai beaucoup de livres à la maison et j'aime les feuilleter, mais ceux qui m’attirent vraiment sont les romans d'amour et de mystère. Je sais qu’il est bon de lire pour enrichir mon vocabulaire. Mon livre préféré est «Dernière nuit d’amour, première nuit de guerre » de Camil Petrescu. C’est un très beau livre. Comme beaucoup de jeune de mon âge, je lis souvent des livres en ligne parce que je suis passionnée par les nouvelles technologies. (Loredana Haneș, 2013) J'aime lire des livres romantiques, fantastiques et surtout ceux qui ont une fin tragique. En revanche, je n’aime pas les livres qui abondent en descriptions. Par manque de temps je n'ai trop lu dernièrement ce que j’aime parce que je suis obligée de lire ce que nos enseignants nous demandent… Mon livre préféré est « L’invitation à la valse » de Mihail Drumes. J'ai lu aussi beaucoup de livres en anglais : Harry Potter, Narnia, The Vampire Diaries. (Andra Ilieș, 2013) J’aime lire beaucoup dans mon temps libre. J’aime les livres de science-fiction. Mon livre préféré est Twilight. Mais j’aime aussi les romans policiers et les comédies. Mes comédies préférées sont celles des Molière. Parfois, j’aime lire des poèmes d’Eminescu, mais mon favori est le poète Tudor Arghezi. Mon auteur roumain préféré est Ion Luca Caragiale avec ses livres «M. Goe », «La visite », « Bubico ». Le dernier livre que j’ai lu a été « La vie comme une proie » de Marin
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Preda. Je voudrais lire plus mais je n’ai pas assez du temps.(Roxana Manciulea, 2013) J’aime bien lire quand j’ai un peu de temps libre . Ce dernier temps, j’ai lu surtout les livres qui nous sont demandés à l’école (« Donna Alba » de Gib Mihăescu, « La vie comme une proie » de Marin Preda et, ma préféré, «Dernière nuit d’amour, première nuit de guerre » de Camil Petrescu). J’aime aussi lire les poésies de notre poète national, Mihai Eminescu (« Le lac », « Hypérion »). J’aimerais lire plusieurs livres, mais, malheureusement, je n’ai pas de temps libre. (Larisa Marian, 2013) J’aime bien lire, mais je n’ai pas assez de temps pour le faire. Lorsqu’un livre me plait, je le finis très rapidement. Moi, j’aime lire des romans policiers et d’aventure. Lorsque je lis, j'arrive très facilement à m'imaginer dans le livre. Mon auteur préféré est Edgar Wallce. J’ai lu plusieurs de ses livres, mais mon préféré, c’est « La doublure ». J’aime aussi les romans d'amour et de chevalerie. Dans ce domaine, mon auteur préféré est Alexandre Dumas. J’aime particulièrement « Les Trois Mousquetaires », « Vingt ans après» et « Le vicomte de Bragelonne ». Cette année, j’ai commencé à lire Honoré de Balzac. Je viens de finir « Le Juif ». (Georgiana Medruț, 2013) Je n'aime pas vraiment lire. Peut-être, parce que je n'ai pas encore trouvé un livre qui m’attireet parce que j’ai lu uniquement ce qui était obligatoire pour l’école. Si l’on n’est pas intéressé du sujet du livre, la lecture se transforme en ennui. Quand je lis pour mon plaisir (je l'avoue, je le fais très rarement) je lis des romans d'amour et des magazines sur la mode. (Ana-Maria Oprean, 2013) J'aime lire, mais je n'ai pas assez de temps pour le faire. Je lis surtout dans la sema ine et mes livres préférés sont les romans d'amour est les drames. De tout ce que j’ai lu, mes préférés sont la nouvelle de Ioan Slavici, « Le Moulin de la chance», «La dernière nuit d’amour, la première nuit de guerre » de Camil Petrescu, «Sans famille» d’Hector Malot et beaucoup d'autres. Le dernier livre que j’ai lu
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(mais que je n’ai pas aimé) a été «La vie comme une proie» de Marin Preda, un roman qui nous a été conseillé par notre professeur de roumain. (Monica Ordean, 2013) J'aime lire, parce que la lecture développe le vocabulaire et donne à l’esprit une grande ouverture. J'aime beaucoup les livres d'amour et les comédies. J'aime les livres dont l’histoire est si captivante qu’on ne peut pas la quitter avant d’arriver à sa fin. J’ai lu récemment le roman « Baltagul » (« La Hachette ») de l’écrivain roumain MIhail Sadoveanu. (Alexandra Pașcău, 2013) Ma mère m’a dit toujours que « savoir, c’est pouvoir ». Sans contester cette affirmation, je n’ai jamais été un grand fan de la lecture. Avant de découvrir Léon Tolstoï et son roman « La guerre et la paix » je pensais que lire un roman fleuve serait une vraie torture.
J’ai déjà lu les trois premiers volumes du roman de
l’écrivain russe et je suis fasciné par l’atmosphère qu’il a réussi à créer. Le conflit sanglant, la figure de Napoléon, le courage des soldats, tout cela me semble très intéressant. J’attends impatiemment la fin de l’histoire…(Andrei Pleșa, 2013) À mon avis la lecture est très importante dans l’évolution humaine et le livre est un trésor sans prix. Quand le temps est mon ami, je prends un livre et je commence à lire. Mon livre préféré est « 20000 mille lieues sous les mers » par l’auteur français célèbre, Jules Verne. Dans ce roman s’entremêlent l’aventures, l’imaginaire et de la confrontation avec l’inconnu. Combien j’aime les merveilleux livres écrits par Jules Verne! Je ne m’ai jamais séparé d’eux et je regrette que je ne puisse pas je vivre les aventure de ses livres, dans le rêve ou en réalité. J’aime aussi la poésie du poète roumain Mihai Eminescu parce qu’en lisant ses beaux poèmes inspirés par la nature j’ai appris de belles expressions qui ont enrichi mon vocabulaire. Je considère que Mihai Eminescu est mon meilleur ami et je le garde en place d’honneur dans ma bibliothèque. (Andrei Scheau, 2013) Je n'ai pas vraiment l'habitude de lire. J'aime bien lire, mais je n'ai pas assez de temps pour le faire. J'aime les romans d'amour et comiques. Tous les livres que j'ai
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lus étaient très intéressants. Le dernier roman que j’ai lu ne fait pas exception. Il s’appelle « Dona Alba » et il est écrit par Gib Mihăescu, un écrivain roumain de la période de l'entre deux guerres (Lorena Trif, 2013) J’aime bien lire, mais je n’ai pas assez de temps pour le faire. À mon avis, la lecture est
très importante pour les adolescents et un livre peut devenir leur
meilleur ami. Quant à moi, la lecture me rend tranquille. Mes livres préférés sont : « Shining » de Stephen King et « Les trois Mousquetaires » d’Alexandre Dumas. J'aime aussi la poésie. (Bianca Vlad, 2013) J'aime beaucoup les romans d'amours qui me transportent vers une nouvelle illusion de l'amour. J'aime aussi la poésie, qui est pour moi quelque chose de très important, c'est très beau ! Les romans fantastiques sortent du contexte des romans simples et sans vie; je m’imprègne de ces histoires pour ma vie réelle. (Léna) Je ne lis pas de livres, excepté les romans étudiés en cours. En revanche, il m'arrive parfois de lire quelques magazines. Si je ne lis pas de livres autre que ceux en cours, c'est parce que je n'en ai pas beaucoup chez moi. Les romans que notre professeur de français nous donne, je les lis assez rapidement même si l'histoire ne me plaît pas. Pendant les vacances, je ne lis jamais car j'ai d'autres loisirs et je profite du temps où je n'ai rien à faire pour m'avancer dans mes devoirs. (Victoria) Même si je lis beaucoup et que j'aime cette activité, je ne suis pas passionné par n'importe quel ouvrage. Effectivement, je lis essentiellement des thrillers, des romans fantastiques et du policier. J'aime quand le livre me transmet les émotions d'un héros (l'angoisse, la folie...) et quand il me fournit un suspense fort qui m'empêche de retrouver ma vie réelle jusqu'à la fin de l'histoire. J'aime aussi quand l'œuvre me fait réfléchir, me fait poser des questions à moi-même et m'apporte des connaissances. Il y a un livre qui regroupe toutes ces « qualités », « Les Fourmis » de Bernard Werber. Ce sont les livres comme celui-là que je préfère. (Antoine)
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Je m'appelle Simon et je ne lis pas de manière permanente, bien au contraire. Je lis plutôt les livres que nous analysons au lycée qui sont très souvent des romans ou des recueils poétiques (« Capitale de la douleur », Paul Éluard). Je lis aussi des magazines sportifs comme « L'Équipe » ou bien des magazines d’actualité. Je suis quelqu'un qui lit beaucoup, mais souvent le soir avant de me coucher. Je suis plutôt difficile : si je n'accroche pas à l'histoire d'un livre, je n'aime pas me forcer à le lire. Cependant, lorsqu’un livre me plait, je le finis très rapidement. Mais je lis un peu tous les genres; je lis beaucoup de livres policiers comme les thrillers d'Harlan Coben et ceux de Jean Christophe Grangé. Le livre que j'ai préféré de cet auteur est « Miserere ». J'aime beaucoup aussi, les romans de Guillaume Musso, j'ai découvert cet auteur il n'y a pas longtemps, mais j'adore ces histoires qui sortent de l'ordinaire même s’il y a souvent beaucoup de points communs entre elles alors qu'elles n'ont rien à voir. J'apprécie aussi beaucoup les romans fantastiques même si j'en lis moins souvent. J'ai adoré les deux sagas les plus célèbres du genre: Harry Potter et le Seigneur des anneaux. Je suis moins fan de la poésie (ou qu'à petite dose) et des grands classiques même si j'ai beaucoup aimé les Misérables, de Victor Hugo. (Audrey, 2D) Chère Audrey, Malheureusement, je dois te dire que je me lis autre chose que les romans que je reçois à l’école. Quelquefois, dans le temps libre, je lis de courtes nouvelles et histoires. L’un de romans que j’ai lu et j’ai aimé est « L’énigme d’Otilia » écrit par George Calinescu. Dans ce roman, le narrateur parle d’une jeune fille orpheline, personnage fascinant par son charme romantique, énigmatique, troublant et indécis. Je vais essayer de lire les livres que tu sembles apprécier. (Oana-Claudia) Depuis que je suis petite, j'adore lire des livres. Le premier livre que j'ai lu est « Harry Potter à l'école des sorciers », j'avais 6 ans. Ensuite, en grandissant, j'ai arrêté de lire de la science-fiction pour passer aux romans policiers et thrillers. En ce moment, je lis les livres d'Harlan Coben, bien que je ne lise plus autant
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qu'avant. J'adore aussi les romans de Mary Higgins Clark, notamment « Quand reviendras-tu? » qui m'a vraiment plu. (Claire, 2D) Salut, Claire! Je m’appelle Darius je suis élève en 10e F. En général je ne lis trop parce que je trouve très ennuyeux. J'ai lu quelques romans que j'ai été contraint par les enseignants de l'école. J'aimerais lire des romans ou des revues historiques. policiers. Et je m'intéresse et j'aime lire des magazines tels que : Sport.ro ou ProSport. Je ne suis pas le genre de garçon qui lisent. Je regarde trop les films c'est kinda la même chose que la lecture. En général, je préfère les films de comédie et d'action. J'aime beucoup lire, en fait je lis souvent. Je lis beaucoup de livres fantastiques. J'aime beaucoup les livres qui parlent d'aventures. Ces livres nous permettent de voyager......Ils nous transportent dans un autres monde, un autre univers..... Lorsque je lis, j'arrive très facilement à m'imaginer dans le livre. Je lis souvent, en fait dès que je peux lire, je lis. Mais je lis souvent pendant les vacances, ou le soir, il m'arrive de lire très tard, tellement l'histoire est passionnante! Je lis aussi des mangas (livres qui se lisent à l'envers et qui sont sous formes de BD). Mes livres préférés sont: Harry Potter, Les Chevaliers d' Emeraude, Tara Duncan, les Harlequin nocturne....Mes mangas préférés sont: Vampire Knight, Naruto, l' Académie Alice, Magister Negima.......(Morgane) Salut, Morgane, je m’appelle Lorena. J’aime beaucoup la lecture. Le livre « Harry Potter » est l’un de mes livres préférés. Les livres parlant du fantastique, les histoires romantiques et celles qui racontes des aventures audacieuses me passionnent. J’aime les textes qui laissent mon imagination libre et infinie. Mes livres préférés sont : Harry Potter, Les Journaux des Vampires, Papillon. Pendant les vacances, je préfère les lectures faciles, comme les magazines. Lorsque j'étais au collège, j'avais l'habitude de lire, à titre personnel, et en plus quelques nouvelles que nous avions à lire, « des romans adolescents ». Maintenant
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que je suis au lycée, je n'ai plus trop l'habitude de lire puisque je me concentre sur les livres donnés par le professeur de français, tels que Maupassant, Flaubert... Cependant, pendant les vacances scolaires, il m'arrive parfois de lire, et je dois avouer que ça aide pour les rédactions et pour le vocabulaire.(Armella) Salut, Armella, Je m’apelle Alexandru. Quand j’étais au collège, je n’aimais pas lire parce que la lecture me semblait ennuyeuse. Maintenant que je suis au lycée, j’ai commencé à lire des livres sur la Seconde Guerre Mondiale parce qu’ils intéressants et me tiennent en suspense. Pour ce qui est la littérature, je ne lis que les livres que mon professeur de roumain nous recommande comme lecture pour son cours je n’aime pas les fictions Je m'appelle Rose-Anne.
J'écris ce commentaire pour parler de mes goûts
littéraires. J'aime lire des petits magazines people de temps en temps, ainsi qu'un bon livre sur la jeunesse ou sur une belle histoire d'amour, mais cela reste occasionnel. J'aime lire, mais l'envie m'en passe quelques fois. Avec les cours, je lis des livres couramment, ce qui m'encourage à m'intéresser à la lecture et m'ouvrir à d'autres types de lecture. Salut, Rose-Anne, Je m’appelle Paul Alexandru. Je vais te parler un peu, à mon tour, de mes goûts littéraires. Quand je suis en voiture, j’aime lire des revues et des magazines parlant des personnages mondains, mais aussi des infos sur l’actualité du pays ou internationale. Quant à la littérature, j’aime la prose, les poèmes et les poésies. Pourtant la lecture n’est pas mon passe-temps favori, car j’aime plus passer beaucoup de temps devant l’ordinateur. Je suis plutôt du genre à lire des histoires d'amour romantique, avec de l'action, sans trop de descriptions. J'aime lire quand il n'y a aucun bruit juste un fond de musique. Je lis le plus souvent pendant l'été, allongée au soleil, dans mon jardin ou sur la plage, seule ou accompagnée. Une série de livres que j'aime beaucoup, c'est
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« Danse » de Anne-Marie Pol : c'est l'histoire d'une jeune fille qui est passionnée de danse classique. Un livre génial, c'est « J'aime pas la nature » de Gérard Bialestowski, une histoire d'amitié entre une jeune fille qui est passionnée de nature et un garçon qui déteste ça. (Amandine) Salut, Amandine! Ton message m’a beaucoup plu. Je m’appelle Sebastian et je suis élève en Xe F au Lycée National « Horea, Closca si Crisan ». Malheureusement, je n’aime pas lire, je ne lis que ce que nos professeurs nous demandent en classe. La lecture me semble une perte de temps. Je préfère passer 2 heures pour voir inspiré d’un livre au lieu d’attendre 2/3 semaines our arriver à la dernière page du bouquin. Si j’étais obligé à choisir un genre de lecture, jechoisirais les romans d’action et les comédies. En fait, je n’ai pas de temps pour lire, car l’emploi de temps est très chargé au lycée et je fais aussi du football. Je suis Océane Robert, élève de seconde D. De nature très calme, j'aime lire les histoires de tout genre. En passant par les histoires romantiques ou même les thrillers, je me dessine alors dans un monde imaginaire. Débutant les premières mots, j'absorbe alors les lignes en leur permettant de m'absorber moi -même pour pouvoir me libérer de la vie quotidienne et laisser mon imagination voguer. Mais ce que je préfère avant tout, ce sont les mangas, ces livres se lisant à l'envers, venus de contrées lointaines, traduits dans des milliers de langues. J'aime la courbe des personnages reluisant sur le papier blanc permettant de visualiser alors son personnage préféré, il ne nous suffit plus cas faire défiler nos yeux sur les bulles, les paroles nous projetant alors dans un monde magique et imaginaire.On constate alors que la lecture permet de développer l'imaginaire, de se libérer l'esprit. Salut Océane Robert, Je mʼappelle Cristina, je suis élève en XeF. Jʼaime la lecture, je suis une lectrice fascinée par les livres d’aventure, romantiques et fantastiques. Je lis aussi des magazines, mais je crois que les livres sont plus intéressants que ceux-ci. J’ai fait
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de nombreuses lectures et mon livre préféré a été “Domnișoara Christina“ (Mademoiselle Christina), une histoire de vampires dans un monde en proie au blasphème. Mademoiselle Christina vient tout droit du folklore roumain et tient de toute évidence une place à part dans l’oeuvre du célèbre historien des religions et grand spécialiste du fantastique, Mircea Eliade. Je trouve que je suis un lecteur moyen. J'aime lire des romans fantastiques et de science-fiction. J'aime beaucoup lire le matin dans le car et le soir dans le car aussi. J'aime bien lire les livre de Pierre Bottero ; actuellement j'ai lu la trilogie du « Pacte des March'ombre et « Les mondes d'Ewilan ». (Jordan) Salut, Jordan! Je suis Valentina-Alexandra, élève de la Xe F. La lecture est l'un de mes passetemps favoris. J'aime bien lire, je suis une lectrice très passionnée. J'aime lire des romans, des histoires romantiques, et des livres d'horreur. J'aime beaucoup lire le soir et surtout en week-end. Cette année, j’ai commencé à lire des livres en français. La lecture la plus récente a été un texte de France Loisirs, « Macabres » qui m’a beaucoup plus. Je m'appelle Léna. J'aime beaucoup les romans d'amour qui me transportent vers une nouvelle illusion de l'amour. J'aime aussi la poésie, qui est pour moi quelque chose de très important, c'est très beau ! Les romans fantastiques sortent du contexte des romans simples et sans vie : je m'imprègne de ces histoires pour ma vie réelle. Mon roman préféré est L’amant de Lady Chatterley. Salut Léna, je m’appelle Corina, je suis élève en Xe F. Moi, j’aime beaucoup lire, je crois que la lecture est une voie intéressante vers un monde fascinant. J’aime les romans d’amour parce qu’ils ont une histoire pleine de sentiments, très sensibles. J’apprécie beaucoup les romans d’action parce qu’ ils sont pleins d’aventures et les personnages sont très dynamique. Je n’aime pas la poésie et parfois je lis des revues de mode. Mon roman préféré est Vampire Diaries et mes revues favorites sont Bravo Girl, Cool Girl et Elle.
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La lecture est l'un de mes passe-temps. Je lis toutes sortes de choses, des romans, comme
des
bandes
dessinées,
des
magazines
ou
encore
des
livres
documentaires...Mes romans préférés sont les classiques (Victor Hugo, Zola). Celui que j'ai préfère c'est « Les misérables » de Victor Hugo. Je bouquine de moins en moins, mais c'est pour la simple raison que j'ai beaucoup d'activités à faire avec le lycée ... Je profite des vacances ou encore des moments libres pour lire. Le plus souvent, ce sont des livres en série, qui se suivent, où il y a les même personnages, comme ça j'ai une envie de lire, pour connaitre la suite de l'histoire, oui, je suis très curieuse. C'est depuis l'âge de 6/7 ans que je dévore des livres, des fois il m'arrive de commencer un livre et de ne pas le finir car il m'ennuie et il ne m'intéresse pas. J'aime beaucoup les livres, même si je ne veux pas en lire certains, il est très fréquent que je les prenne et que je les regarde. (Alice) Chère Alice, Je suis d’accord avec toi en ce qui concerne la lecture, car j’aime beaucoup passer mon temps dans le monde des personnages littéraire divers et découvrir leurs secrets fabuleux. J’aime les romans d’amour, d’aventures et les policiers. Connaistu les romans de la série « Les journaux des vampires » de L.J.Smith. Sinon, je te les recommande chaleureusement. (Bianca) Je n'aime pas beaucoup lire, sauf quand ce sont des magazines de sport et aussi des livres qui m'intéressent, comme les livres d'action et comiques. Je les lis souvent le soir avant de dormir. Les livres que je dois lire en cours, je ne les aime pas beaucoup comme ce sont des livres très compliqués à lire, à l'exception de « Graine de violence» d’Evan Hunter, en « Littérature et Société », qui m'a bien plu (Dimitri). Salut Dimitri, Je m’appelle Andreea et je suis en Xe F (c’est la deuxième classe de lycée, chez nous). J’adore lire des romans d’amour, d’aventures, d’action, comiques, mais je feuillette aussi les magazines; je ne peux pas dire que j’ai une préférence particulière pour un certain genre de lecture. Tous les livres que j’ai lus étaient très
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intéressants parce qu’ils cachaient beaucoup de secrets. Si je pouvais et si j’avais du temps libre je lirais tout le temps sans m’arrêter. Je pense qu’il ne faut pas juger un livre selon sa couverture, il faut le lire d’abord ! J'aime beaucoup la lecture, j'aime lire le soir dans mon lit ou près de ma cheminée. J'aime lire les romans policiers, les thrillers, mais aussi les classiques comme « Les liaisons dangereuses ». J'aime quand je peux me plonger dans un livre et m'identifier aux personnages et vivre pleinement le livre. Récemment j'ai lu une trilogie. Le premier livre de cette série est « Le livre sans nom » ; c'était un thriller palpitant avec toujours des rebondissements, avec un humour noir et certaines scènes de violence bien maitrisées ; j'ai beaucoup aimé l'originalité du sujet. J'ai lu une bonne partie des livres d'Harlan Coben je trouve que c'est un maître dans l'art du suspense, surtout le roman « Ne le dis à personne », on retrouve les mêmes personnages au fur et à mesure des livre est on "s'attache" à eux. Je ne lis pas vraiment d'autres sortes de livres comme les livres de fiction ou futuristes car j'ai du mal à entrer dans le livre. (Pauline) Salut Pauline! Je dois t’avouer que je n’aime pas trop lire. Les seuls livres que je lis sont ceux qui nous sont demandés au lycée, car mon emploi de temps est très chargé. Probablement je n’ai pas assez de patience, car je m’ennuie rapidement. Pourtant, ce dernier temps, j’ai fait une lecture intéressante, celle du roman psychologique « L’autre visage du temps » de Stephan Rechtschaffen. Le connais-tu? (Iulia Alexandra) Je n'ai pas vraiment l'habitude de lire, cela dépend du moment. Mais à part les livres que l'on doit lire en français, ce que je lis sont des romans. Pour moi-même, je ne lis jamais de recueils poétiques ou de biographies contemporaines. Les livres que je lis sont quelques romans de guerre ou historiques (Fatherland, Léviathan), mais, en général, je lis plutôt rarement. (Benjamin) Salut, Benjamin!
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Je suis Delia. Moi aussi, je ne fais pas partie de ceux qui aiment lire tout le temps. En général, je lis des livres qui me sont utiles à l’école. J’adore lire des romans romantiques et d’aventure. J’ai été très émue en lisant « La dernière nuit d’amour, la première nuit de guerre” de l’écrivain roumain Camil Petrescu, et « Romeo et Juliette » de Shakespeare. Je pourrais dire que je lis rarement, mais ce que je lis, je lis avec plaisir. Je m'appelle Salomé. J'aime la lecture en général, mais plus particulièrement les romans historiques. Le fantastique et le surnaturel ne sont pas des ouvrages que j'aime d'habitude, mais je suis assez ouverte d'esprit. Mon livre préféré est Le Comte de Monte Cristo d'Alexandre Dumas, j'aime beaucoup aussi l'écrivain Ken Follet. Avant je lisais plus, mais compte tenu de notre emploi du temps quelque peu chargé, c'est un peu plus difficile, bien que j'essaie toujours de me cultiver en lisant le plus de livres possible, et les plus connus. Salut, Salomé, je m’appelle Horatiu. Je suis un lecteur très passionné de romans romantiques. J’aime la lecture, en général, et mon livre préféré est « La maison aux quatre étoiles » d’Hélène Montardre. J’aime beaucoup aussi l’écrivain Mircea Eliade. J’aimerais avoir un peu plus de temps libre pour approfondir et diversifier mes lectures. Je n'ai pas vraiment l'habitude de lire. Ce n'est pas que je n'aime pas ce loisir, mais plutôt que je manque de temps. En effet, nous avons déjà des livres à lire pour le cours de français. En général, je lis durant les vacances scolaires, des romans « d'adolescents », plutôt distrayants qu'informatifs. J'aime également lire des romans policiers, romantiques... Cependant, je déteste aller voir un cinéma un film adapté d'un livre que j'ai lu auparavant. Je trouve qu'il n'y a plus de suspense et que la vision des personnages et du décor imaginé est détruite. Je pense que je serais capable de lire plus si je m'y efforçais réellement. Pour moi, la lecture est avant tout un moyen de se distraire de manière intelligente. Je suis assez ouverte à tout genre de lecture mais bien entendu, toutes les lectures ne m'intéressent pas pour autant. Bien que je trouve les nouvelles de Maupassant, les romans de Flaubert,... importantes, je n'y trouve pas un réel intérêt.(Margaux)
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Salut, Margaux ! Franchement, je ne lis pas très souvent... En fait, je ne lis que ce qui est requis par l’école. La lecture n’est pas une de mes passions, mais j’aime les magazines avec leurs articles écrits par les paparazzis. Selon moi, regarder un film est beaucoup plus relaxant que la lecture, les personnages sont compris plus facilement et l’action est plus facile à suivre. À présent je m’obstine à finir la lecture d’un roman écrit par George Calinescu, « Enigme d’Otilia » qui m’ennuie. Sache que, même si nous n’avons pas les mêmes goûts, je suis très content de lire tes billets et de t’écrire. (Lucian) La nouvelle équipe 2012-2013 du Lycée National « Horea, Cloşca et Crişan » se présente (diaporama en ligne): www.slideshare.net/gbadau/i-xe
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Paroles de lecteurs
Gustave Flaubert. La légende de Saint-Julien l'Hospitalier : billets et commentaires des élèves français, publiés sur le blog de notre Twinspace (Source de l'image: Vitrail de Saint-Julien l’Hospitalier. Cathedrale de Rouen. rouen.net/patrimoine/expositions/vitraux/st_julien/st_julien20.htm)
www.cathedrale-
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(par Déborah) Le début de cette histoire commence par une description d'un château médiéval paisible. L'histoire commence à basculer, entre dans le surnaturel. Julien a reçu une des meilleures éducations qui puissent exister avec du raffinement, de l'affection, du luxe, de la culture et de la générosité, puis petit à petit, l’histoire devient de plus en plus sombre. En effet, Julien révèle son côté obscur, il se révèle sadique et se délecte du meurtre des animaux: tout commence par une souris, puis un rat. Mais un jour, son père décide que le moment est venu pour Julien de connaître le monde de la chasse mais cette scène va permettre à Julien d’assouvir ses envies de meurtre. Tuer provoque tellement de plaisir à Julien qu'il en vient même à penser qu'il puisse un jour tuer ses parents. Cette idée lui fit tellement peur qu'il prit la fuite et, pour se faire pardonner, il se mit à aider les gens dans le besoin. Il aida un empereur et pour le remercier, celui -ci lui offrit la main de sa fille. Ils vécurent des jours heureux et paisibles jusqu'à ce que Julien ait envie de tuer à nouveau .Pendant ce temps, ses parents décidèrent de reprendre contact et vinrent chez lui. En arrivant, Julien trouva un homme et une femme dans son lit. Énervé et vexé de n'avoir tué aucun animal, il tua les personnes dans son lit sans chercher à comprendre .En allumant la lumière, il se rendit compte que c'étaient ses parents. Honteux de ce qu'il avait commis, il s'enfuit et devint prêtre. Il ouvrit un hospice, il aida les gens malades et pauvres. Un lépreux le prit dans ses bras et Julien s'en alla paisiblement avec Dieu. Publié sur 26/03/12 17:04. (par Flore) Légende de « Saint-Julien l'Hospitalier » Cette histoire se déroule dans un château paisible et prospère. Les deux parents de Julien sont présentés comme bons, sérieux et Dieu les protège. Tout a l'air d'un conte de fées jusqu'au moment où les parents de Julien ont des visions. L'éducation de Julien se caractérise par l'amour de ses parents, le luxe... .Son éducation
est
très
complète
et
Julien
doit
devenir
un
homme
bon.
A partir du moment où Julien grandit, on peut observer qu'il évolue vers un côté plus obscur. L'enfant aime torturer et tuer des petits animaux. De ce fait, il aime la chasse et les préparatifs semblent incroyables. En effet, le bestiaire est énorme par
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le nombre de chiens, d'oiseaux mais aussi par le nombre d'animaux qui ont une provenance lointaine (comme des lions ...). Le caractère de cet enfant est barbare. Les prédictions du père semblent se réaliser mais dans la cruauté. Julien devient sauvage... « buvait l'eau des sources dans sa main, mangeait en trottant des pommes sauvages, s'il était fatigué se reposait sous un chêne; et il rentrait au milieu de la nuit couvert de sang et de boue, avec des épines dans les cheveux et sentant l'odeur des bêtes farouches » . Il tue des bêtes de sang- froid sans avoir de remords. Un soir, il croit voir une cigogne dans le jardin, or, en réalité, il s'agit de sa mère. Il lui lance son javelot mais " un cri déchirant partie. C'était sa mère." et de ce fait, il décide de s'enfuir du château. Plus tard, il s'engagea dans une troupe d'aventuriers et il sauva l'empereur. Pour remercier Julien, il lui propose plusieurs récompenses mais il les refuse toutes sauf une, sa fille. Il s'installa dans un palais avec son épouse, et décide de ne plus chasser mais l'envie est présente. Il résiste à cette envie, jusqu'au soir où il entend une bête à sa fenêtre. Avec l'accord de sa femme, il partit à la chasse. Il tue énormément, mais, il a une hallucination d'un cerf juste avant qu'il ne meure. De retour à son palais, il aperçoit un homme dans le lit de sa femme. Pris de colère, il le tue ainsi que la femme à côté de cet homme. Quelques minutes après, il crut voir le fantôme de sa femme et s'aperçoit que ce sont ses parents. La vision du cerf se réalise. Après les funérailles, il décide de s'enfuir à nouveau. Il s'installe près d'une rivière où il fait traverser des voyageurs sur une barque. Un soir de tempête, un homme l'appelle de l'autre côté de la rivière. Il l'amène chez lui. Cet homme est Dieu et Julien meurt. Publié sur 02/05/12 10:30. (par Simon) Julien est le fils d'un petit seigneur local. À sa naissance, deux messagers surnaturels rendent visite indépendamment à ses géniteurs pour leur annoncer que leur fils est promis à un destin extraordinaire de conquérant et de saint. L'un et l'autre, enthousiasmés par la divination, se taisent cependant et se dévouent entièrement à l'éducation et la liberté de leur fils. Julien grandit au milieu de la nature et se découvre un goût enivrant pour la chasse. Ne pouvant plus contrôler son appétit de prédateur, il réalise de véritables tueries dans les forêts
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environnantes, décimant tout animal qui passe à sa portée sans le moindre discernement ou la moindre pitié. Alors qu'il massacre un cerf, sa biche, et leur faon, il se trouve soudainement défait de ses armes, le cerf blessé et se tourne face à lui pour l'encorner mais s'arrête mystérieusement et lui lance une malédiction :s'il mourrait , il promit que Julien tuera ses parents . Julien prit les menaces au sérieux et partit rejoindre les grands princes du monde pour se battre. Le prince d'Occitanie le remarqua et suite à une victoire, lui donna sa fille comme épouse. Ils s'installaient alors dans un palais. Mais un jour, il se mit à chasser, promettant à sa femme qu'il reviendrait assez vite. Pendant ce temps, la femme accueillit les parents de Julien qui dormaient alors dans sa couche. Julien revient et distingua deux personnes dans son lit: pris de panique il les égorgea et remarqua juste après que c'était ses parents. Il abandonna alors sa vie et partit dans la forêt pour faire passeur. Un jour, il fut réveillé par un lépreux qui lui demanda de l’aider, ce qu'il accepta. Le lépreux était en réalité Jésus qui l'emmena au paradis. Publié sur 01/07/13 23:05. (par Léa) Deux mystérieuses prédictions accompagnent la naissance de Julien : il sera saint et empereur. Pendant sa jeunesse, Julien devient un seigneur cruel. Lors d'une chasse, un cerf lui prédit qu'il tuera ses parents et peu après, la prédiction manque de se réaliser : involontairement, Julien tire sur sa mère. Pour échapper à la prédiction, il quitte le château familial. Il combat dans plusieurs armées et obtient en mariage la fille d' un empereur grâce à ses exploits. Une nuit pendant que Julien est à la chasse, ses parents, depuis longtemps à sa recherche, se présentent à sa femme, qui leur offre sa couche pour qu'ils se reposent. A son retour, Julien croyant apercevoir dans l'obscurité un homme couché dans son lit auprès de sa femme, égorge ses parents. Lorsqu'il découvre l'horrible vérité, il renonce à tous ses biens et se met au service des autres en se faisant passeur. Une nuit, il fait traverser un lépreux qu'il héberge, nourrit et réchauffe de son propre corps. Alors, l'agonisant, qui n'est autre que "Notre Seigneur Jésus" l'emporte jusqu'au ciel. Publié sur 01/07/13 23:07.
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(par Yohann) Saint Julien l'Hospitalier. Malgré l'éducation qu'a reçue Julien, il est devenu un adepte du crime; il prend plaisir à abattre des animaux de toutes sortes: cerfs, chevreuils, blaireaux et bien d'autres encore. Mais un jour, un cerf le mit en garde et lui dit qu'à force de prendre plaisir à tuer des bêtes, un jour, il tuerait ses parents. Cette révélation lui fit froid dans le dos. Julien décida de prendre la fuite. Il partit et aide toute personne nécessitant de l'aide. Un jour, il aida un empereur détrôné à reprendre son trône en coupant la tête de l'empereur qui avait pris sa place. Celà prouvait bien que tuer ne l'effrayait pas. Pour le remercier de cet acte, l'empereur lui offrit la main de sa fille. Ils étaient très heureux et vivaient paisiblement. Puis Un jour, Julien partit à la chasse, mais ce dernier n'avait tué aucune bête, ce qui l'avait rendu colérique. En rentrant, il pénétra dans la chambre ou dormait sa femme, mais elle n'était pas là. Cependant, deux personnes étaient ici, devant lui. Julien les abattit. C'est en allumant la lumière après avoir tué ces deux personnes qu'il se rendit compte que ces deux étrangers étaient en réalité ses parents... Le cerf ne s'était pas trompé... Publié sur 01/07/13 23:08. (par Laura C) Julien est pris très jeune par la passion de la chasse. Un jour, comme dans un rêve, ne se fatiguant pas de tuer, il commet un immense et cruel carnage. Un grand cerf lui prédit qu'il assassinera son père et sa mère. Pour fuir cette prédiction, il se jette dans des aventures guerrières, loin de chez lui. Un empereur, qu'il a sauvé, lui donne sa fille en mariage, et un château. Une nuit, il sort, repris par le démon de la chasse. Mais il se révèle incapable de tuer un seul de tous les animaux qu'il rencontre, et qui semblent se moquer de lui. Pendant ce temps, ses parents, qui le cherchaient depuis longtemps, se présentent à son château, et sa femme les couche dans son lit. À son retour, Julien croit trouver un homme couché avec sa femme et les tue, avant de s'apercevoir qu'il vient de réaliser la prédiction du grand cerf. Il fuit à nouveau, se fait mendiant, et s'installe finalement comme passeur au bord d'un fleuve inhospitalier. Une nuit, Jésus, sous la forme d'un lépreux, l'appelle pour qu'il lui donne le passage, lui réclame à manger, à boire, à se chauffer, et se couche
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dans son lit. Julien le réchauffe de son corps et est enlevé au ciel. Publié sur 01/07/13 23:10. (par Garance.R) Deux mystérieuses prédictions accompagnent la naissance de Julien : il sera saint et empereur. Pendant sa jeunesse, Julien devient un seigneur cruel. Lors d'une chasse, un cerf lui prédit qu'il tuera ses parents et peu après, la prédiction manque de se réaliser : involontairement, Julien tire sur sa mère. Pour échapper à la prédiction, il quitte le château familial. Il combat dans plusieurs armées et obtient en mariage la fille d’un empereur grâce à ses exploits. Une nuit pendant que Julien est à la chasse, ses parents, depuis longtemps à sa recherche, se présentent à sa femme, qui leur offre sa couche pour qu'ils se reposent. À son retour, Julien croyant apercevoir dans l'obscurité un homme couché dans son lit auprès de sa femme, égorge ses parents. Lorsqu'il découvre l'horrible vérité, il renonce à tous ses biens et se met au service des autres en se faisant passeur. Une nuit, il fait traverser un lépreux qu'il héberge, nourrit et réchauffe de son propre corps. Alors, l'agonisant, qui n'est autre que « Notre Seigneur Jésus » l'emporte jusqu'au ciel. Publié sur 01/07/13 23:12. (par Charline) Né de parents nobles, dans un château, Julien devient un jeune homme vigoureux, ardent, et très cruel, passionné de chasse. Un jour, après avoir massacré une harde de cerfs, il voit s’avancer vers lui le grand mâle qui la commandait, et celui-ci lui parle : « Maudit, maudit, maudit ! Un jour cœur féroce tu assassineras ton père et ta mère ». Effrayé de cette prophétie, Julien délaisse la chasse ; mais peu de temps après, il manque de tuer accidentellement son père et sa mère. Il fuit alors le château et mène une vie d’aventurier. Devenu un mercenaire célèbre, il loue ses services aux principaux souverains d’Europe et traite avec eux d’égal à égal. Ne sachant comment le récompenser, l’empereur lui offre sa fille en mariage, et les deux jeunes gens vivent heureux, jusqu’au jour où Julien se laisser attirer par des animaux sauvages dans la forêt. Entre-temps, ses vieux parents sont arrivés au château : leur belle-fille a le plus grand mal à les reconnaître en ces mendiants
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décharnés. Quand Julien rentre, ces parents sont étendus sur son lit. Dans l’obscurité, Julien croit trouver sa femme en compagnie d’un amant et il les massacre. Le voilà de nouveau errant sur les routes, menant la vie d’un pèlerin. Il finit par se fixer au bord d’un fleuve et fait le métier de passeur. Un jour, en plein orage, il est appelé de l’autre rive par un affreux lépreux. Il va le chercher, et l’homme lui demande l’hospitalité. Il mange toutes les provisions de son hôte, s’installe dans son lit et, ne pouvant se réchauffer, demander à Julien de venir à côté de lui, puis de s’allonger sur lui. Julien s’exécute, et tout à coup le lépreux devient Jésus qui entraîne Julien à sa suite, au Ciel. Publié sur 01/07/13 23:13. (par Laura-Valentina) Saint Julien l'Hospitalier Cette histoire débute dans un château où d'après la description , l'argent coule à flots . Un seigneur et sa femme y habitent . Toujours d'après sa description , nous pouvons voir que le fléau de la guerre n'a pas frappé depuis longtemps . La châtelaine , à force de prier Dieu, mit un jour au monde un fils prénommé Julien . Par deux fois , les parents comblés par cette naissance reçurent la visite d'un messager . Pour la femme , la prédiction disait que l'enfant deviendrait Saint.Pour le mari , il connaîtrait la gloire au prix de beaucoup de vies . Malgré de telles prédictions , ils l'élevèrent avec beaucoup d'amour et de tendresse .Son éducation fut complète à la hauteur de son rang . Elevé dans la foi chrétienne , son entourage lui apprit à accueillir l'étranger . Malgré son éducation dans l'amour,ça ne l'empêcha pas de vouer une haine envers les animaux . Il en tortura des dizaines et les fit mourir sans aucune pitié . Un jour , le seigneur , son père ,décida de lui constituer une meute . Cet apprentissage de la vénérie amplifia en lui ce tel besoin de violence . Au fur et à mesure que le temps passait , Julien ne se lassait pas de tuer . Au cours d'une chasse , il tua toute une famille de cerfs . Le mâle lui parla avant de mourir et Julien comme ses parents , quelques années plus tôt , reçu un message . Il eut peur de cette prédiction . Par la suite , il faillit tuer à plusieurs reprises ses deux parents . De peur de leur faire du mal , il prit la décision de quitter la demeure familiale . Il s'engagea dans l'armée et grâce à son désir de tuer et ce sentiment de vengeance qui résidait en lui , il gravit vite les échelons . Suite à
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unebataille gagnée , il reçut de la part de l'empereur d'Occitanie la main de sa fille . Quelques fois dans des songes , il voyait des animaux partout et ne pensait qu'à les tuer . Un soir n'en pouvant plus , il décida avec l'accord de sa femme de partir à la chasse . Frustré de ne pas avoir assez tué , il revint avec une colère immense . Espérant se calmer au coté de sa femme , il alla pour l'embrasser mais à la place il sentit une barbe . Pensant avoir été dupé , il tua sous l'effet de la colère l'homme et la femme dormant dans le lit qui, en réalité ,étaient son père et sa mère . La prophétie s'accomplissait alors . Il s'en voulu tellement qu'il décida de repartir . Depuis ce jour , il prit l'habit de pauvre laissant derrière lui tout ce qu'il possédait . Il s'en alla mendiant sa vie sur les routes . Malgré le temps , rien n'apaisait ses remords . Il décida de mettre fin à ses jours . Avant de commettre l'irrémédiable , il vit dans l'eau d'une fontaine le visage de son père beau et serein . Il renonça alors à ce geste et continua son chemin . Il vit un pont infranchissable et décida de se rendre au service en faisant passer les gens d'une rive à l'autre . Une nuit par une grosse tempête , un homme l'appela pour solliciter son aide . Julien alla le chercher et s'aperçu que cet homme était un lépreux . Cet homme lui demanda à manger et à boire . Julien lui donna tout ce qu'il possédait . L'homme eut froid et demanda à Julien de le réchauffer ; ce dernier surmonta le dégoût que les gens portaient habituellement aux lépreux et réchauffa l'homme avec toute sa personne . Puis, doucement, il se laissa guider vers la mort avec une certaine joie et
sérénité
.
Explication de texte : D'après un vitrail , Gustave Flaubert en 1875 reprend la légende normande de St Julien l'Hospitalier .En lisant cette légende ,nous faisons inévitablement un lien avec le mythe d'Oedipe . Ce qui est normal et qui nous conforte dans l'idée que nous n'échappons pas au destin ,quoi que que nous fassions pour s'y dérober . Au cours de notre lecture , nous nous posons des questions sur le fait que ce texte soit réaliste ou dérive vers le surnaturel. L'histoire se passe dans un cadre riche et paisible. Au milieu de la page 2, on trouve "s'était procuré des tiercelets du Caucase , des sacres de Babylone , des gerfauts d'Allemagne, et des faucons pèlerins" . Si nous nous remettons dans le contexte historique posséder tout cela
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était impossible .Alors, que penser ? Nous allons explorer une autre piste qui va nous faire passer dans le côté surnaturel de l'histoire. Au cours de cette oeuvre 3 apparitions vont se faire , chacune pour prévenir de quelque chose . Ce qui les unit est le côté irréel de la chose . Désormais , nous sommes sûrs de notre hypothèse . Si cette histoire est appelée "légende", c'est qu'elle est un peu imaginaire . Le monologue final nous fait penser à un passage de l'Evangile de St Matthieu 25,3540 . Publié sur 01/07/13 23:16.
Guy de Maupassant. Le Horla: articles de presse publiés sur le blog du Twinspace par les élèves français (Source de l'image: www.clpav.fr/maupassant/lecture-maupassant.htm) Lecture offerte
«Fascination» de Stephenie Meyer (25/09/2012)
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Lecture bilingue de quelques fragments du premier tome de la saga «Fascination » de Stephenie Meyer, offerte par un groupe d’élèves de la XI F. Les traductions (illustrées) en français ont été réalisées par les élèves mêmes. Un petit coinexposition sera organisé au CDI pour permettre aux participants de mieux comprendre
les
textes
lus.
(Source
de
l’image:
http://amandalewisab.wordpress.com/2012/03/22/fascination/ ) Description de l’activité « Fascination » au CDI....
A l’occasion de la Journée Européenne des Langues, le projet « La Fascination du surnaturel » a été présenté aux élèves d’une nouvelle classe entrée dans le projet (la IXe F). Bianca, Andreea, Corina et Alina ont parlé à leurs collègues de leurs contributions au projet et elles leur ont offert quelques fragments de lecture bilingue. Les fragments traduits et lus par les élèves :
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Teama La peur Îsi lăsă capul să îi cadă, aşa cum o făcuse în noaptea aceea în Port Angeles. Se vedea clar cât de chinuit era; tânjeam să îl consolez, dar nu ştiam cum. Mâna mea a pornit-o spre el fără să vreau; totuşi, am pus-o repede pe masă, temându-mă că atingerea mea n-ar face decât să înrăutăţească lucrurile. Încet, mi-am dat seama că vorbele lui ar fi trebuit să mă înfricoşeze. [MEYER, Stephenie. Amurg. Bucureşti: RAO, 2008, p.196] Il laissa tomber sa tête sur ses paumes, comme il l’avait fait cette nuit-là, à Port Angeles. C’était évident combien il était torturé; je souhaitais le consoler, mais je ne savais pas comment. Ma main se dirigea vers lui sans que je le veuille; cependant je l’ai vite reposée sur la table parce que j’avais peur que mon contact empire les choses. Peu à peu, j’avais compris que ses paroles auraient dû m’effrayer. [Texte traduit par Andreea Anghel , XIe F]
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Era un mod frumos de a muri C’était une belle façon de mourir Nu m-am gândit niciodată prea mult la felul în care voi muri - deși am avut destule motive în ultimele câteva luni - dar, chiar dacă m-aș fi gândit, nu mi-aș fi imaginat că voi muri în felul acesta. M-am holbat fără suflare în celălalt capăt al camerei, în ochii negri ai vânătorului, iar el mi-a întors o privire plăcută. Cu siguranță era un mod frumos de a muri, în locul altcuiva, în locul unei persoane iubite. Chiar nobil. Asta ar trebui să conteze. [Meyer, Stephenie, Amurg. Bucureşti: RAO, 2008, p. ] Je n’avais jamais trop pensé à ma mort – même si j’avais eu assez de raisons les derniers mois – mais, même si j’y avais pensé, je ne l’aurais jamais imaginé comme ça. J’ai regardé sans souffle les yeux noirs du chasseur et il m’a rendu de l’autre côté de la chambre un regard agréable. C’était, certainement, une belle façon de mourir à la place d’un être cher. C’était voire noble. C’est tout ce qui compte. [Texte traduit par Corina Blaga, XIe F]
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Visul unei adolescente Le rêve d’une adolescente În visul meu era foarte întuneric, iar lumina vagă ce se vedea părea să radieze din pielea lui Edward. Nu îi puteam vedea fața, doar spatele în timp ce se îndepărta de mine, lăsându-mă în întuneric. [MEYER Stephanie. Amurg. Bucuresti: RAO, 2009, p.63] Il était très sombre dans mon rêve et la lumière diffuse semblait rayonner sur la peau d’Edward. Je ne pouvais pas voir son visage, juste son dos lorsqu’il s’écartait de moi, en m’abandonnant dans l’obscurité. [ Texte traduit par Crisan Bianca, XIeF]
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Descoperire neaşteptată Découverte inattendue Nu ştiu la ce m-am aşteptat, dar sigur nu la asta. Casa arăta ca şi cum timpul n-ar fi trecut peste ea, perfectă, dar probabil că avea vreo sută de ani. Era vopsită întrun alb delicat, îngălbenit cu două etaje, dreptunghiulară şi foarte bine proporţionată. Ferestrele şi uşile făceau parte din structura originală sau erau restaurate la perfecţie. Camioneta mea era singura maşină la vedere. [MEYER, Stephenie. Amurg. Bucureşti : RAO, 2008, p.253 - 254] Je ne sais pas à quoi je m’attendais, mais sûrement pas à cela. La maison était comme si elle ne connaissait pas le temps, même si elle devait être centenaire. Elle était peinte d’une délicate couleur blanc jaunâtre, à deux niveaux, rectangulaire et bien proportionnée. Les portes et les fenêtres étaient soit d’origine, soit très bien restaurées. Il n’y avait aucune voiture en vue, sauf la mienne. [Texte traduit par Marina Drăgan, XI e F]
Description de l’activité Maurice Leblanc
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- Marie Émile Maurice Leblanc est né le 11 décembre 1864 à Rouen. Son père était armateur. Sa soeur, Georgette, fut l’interprète de Maurice Maeterlinck et sa compagne. - Il monta à Paris pour devenir journaliste puis écrivain. Il fréquenta Alphonse Daudet, Stéphane Mallarmé et Jules Renard. - En 1905, Pierre Lafitte, directeur du mensuel Je sais tout , lui commande une nouvelle sur le modèle du Raffles d'Ernest William Hornung : L'Arrestation
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d’Arsène Lupin . Deux ans plus tard, Arsène Lupin est publié en livre :Arsène Lupin contre Herlock Sholmès . Conan Doyle n’apprécia pas cette parodie des noms de ses personnages romanesques. - 1907 : il entre à l’Académie française. - 1908 : il obtient la Légion d’honneur. - Il est mort le 6 novembre 1941 à Perpignan . Il aimait les lieux mystérieux en
Normandie : Étretat et le trésor des rois de
France, Tancarville , le passage souterrain de Jumièges devant mener au trésor médiéval des abbayes… La piste des sept abbayes du pays de Caux reliées entre elles dessinerait la Grande Ourse et permet de retrouver l’étoile d’Alcor . Quelques oeuvres 1907 : Arsène Lupin, gentleman-cambrioleur 1908 : Arsène Lupin contre Herlock Sholmès 1909 : Arsène Lupin (pièce de théâtre) 1909 : L'Aiguille creuse
source : http://www.arsene-lupin.com/monde/auteur.php
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Source de l'image: simplement.arsene.free.fr/maurice_leblanc/biographie.php
Maurice Leblanc est un écrivain normand qui s'inspira de la Normandie pour créer des intrigues mystérieuses, la plus célèbre étant celle de «L'Aiguille creuse». Les élèves de seconde C commentent un extrait de cette histoire adapté en bande dessinée: Evocation d'un lieu mystérieux en Normandie (09 september 2012 19:01)
Evocation d'un lieu mystérieux en Normandie (09/09/2012) Les élèves français commentent un extrait de L'aiguille creuse de Maurice Leblanc adapté en bande dessinée. (Source de l’image: www.pleindimages.com)
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Isidore, un jeune détective français, cherche la cachette d'Arsène Lupin qui a volé les trésors des rois de France. Herlock Sholmes, un célèbre détective anglais, l'aide. Après avoir trouvé plusieurs indices, ils pensent que l'Aiguille Creuse d'Étretat est le repère du voleur. Je pense que les falaises d'Étretat ont été choisies car il y a des sentiers, des formes étranges, des grottes, qui font d'elles un lieu mystérieux.
« L'aiguille creuse » raconte l'histoire d'un détective nommé Isidore, qui est à la recherche du trésor des rois de France . Mais Herlock Sholmes un autre
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détective, est aussi à la recherche de ce trésor. Les détectives vont alors s'aider pour
trouver
l'endroit
où
a
été
caché
le
trésor...
C'est une intrigue mystérieuse, et c'est pour ça, je pense, que l'auteur a choisi Étretat comme lieu d'inspiration. Car auparavant des disparitions inquiétantes ont eu lieu près des falaises. Des dizaines de personnes ont été portées disparues suite à une promenade sur les célèbres falaises normandes, des personnes jamais retrouvées. Simple rumeur, ou alors les falaises d'Étretat cachent-elle réellement un secret..?
Arsène Lupin, voleur des trésors des rois de France, l'homme aux plusieurs visages, est recherché en vain par les détectives Isidore Bautrelet et Herlock Sholmes, qui sont respectivement jeune et anglais. Tous deux sont à la recherche de la même et unique personne alors ils décident d'unir leurs forces et leurs connaissances pour trouver où est le trésor et par la même occasion trouver le voleur. Arsène est mystérieux :c'est pourquoi, selon moi, que les falaises d'Étretat ont été choisies par Maurice Leblanc pour son histoire. C'est un endroit intrigant où il y a beaucoup de cachettes, non seulement pour le trésor volé mais aussi pour le voleur. L'endroit reflète l'image d'Arsène : mystérieux.
Isidore Beautelet détective français et Herlock Sholmes, détective anglais, ont un même but : trouver le repère du célèbre gentleman cambrioleur Arsène Lupin, où celui-ci renferme les trésors des rois de France. Après avoir suivi de nombreux indices, Isodore finit par trouver l'antre du voleur et celui-ci. Pour ma part, je pense que l'auteur a choisi ce lieu car ces falaises sont-elles- mêmes étranges avec ces formes sculptées par le vent, la pluie et la force des vagues;
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ainsi, en raison de ces formes mystérieuses, cette aiguille d'Étretat fut la muse de l'auteur pour ce récit fantastique.
L'histoire parle d'un jeune détective nommé Isidore, qui part en mission pour retrouver le trésor des rois de France qui a été volé par Arsène Lupin. Il se rend compte que Herlock Sholmes (Un autre détective) est aussi à la recherche du voleur et du trésor, ils se rendent donc à l'Aiguille creuse (Étretat), pensant que c'est la cachette du voleur après avoir trouvé une piste grâce aux indices. D'après moi, les falaises d'Étretat ont un côté mystérieux car il y a un grand trou qui se forme sur l'aiguille, et on ne sait pas comment cela s'est produit. Pourquoi le reste ne s'est-il pas écroulé avec ?
Herlock, détective, est à la recherche de l'aiguille creuse pour un cambriolage. Pendant cette aventure, il va découvrir certaines choses comme la mystérieuse grotte "les demoiselles". Puis il cherchera aussi le voleur, Arsène Lupin. Les falaises d'Étretat sont mystérieuses du fait que leur forme est unique, cela peut devenir un point de repère pour beaucoup de gens. Certainement des trésors ont été cachés à cet endroit, tout un tas d'autres choses. On ne sait pas tous les secrets de ces falaises, c'est pourquoi cela que cet endroit intrigue les populations. Les falaises d'Étretat nous cachent encore tant de secrets tout autant mystérieux et surprenants.
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Isidore, un jeune détective français, et Herlock Sholmes, le célèbre détective anglais, sont à la poursuite d'Arsène Lupin, un voleur gentleman de renommée. Tous deux décident de former un binôme et de mettre en commun leurs recherches. Après nombre d'indices, de recherches et de découvertes, ils se retrouvent sur la piste de « l'Aiguille Creuse », où notre voleur aurait caché le trésor des Rois de France.Selon moi, les falaises d'Étretat ont été choisies comme un lieu mystérieux, car les disparitions inquiétantes des personnes qui s'y sont aventurées, cette « Aiguille Creuse » détachée du reste de la falaise, et ses nombreuses grottes et autres cachettes, tous ces mystères dont personne n'a jamais pu lever le voile, ne font qu'attirer et accentuer la curiosité de tous.
Dans cette histoire, on trouve des choses intrigantes comme deux lettres dans le granit du sol (DF), les habitants d'Étretat appelant la grotte : « Des demoiselles ». Arsène Lupin écrit sur un mur son testament, il lègue les trésors de l'aiguille à la France pour qu'il soit installé au Musée du Louvre portant le nom « Salle Arsène Lupin ». Herlock Sholmes est sur la trace d'Arsène lupin, Arsène doit donc fuir avec Raymonde et Isidore mais en haut de la falaise se trouve sa nourrice
prisonnière
et
menacée
par
une
arme
par
trois
personnes.
Les falaises d'Étretat sont un lieu mystérieux, les rois de France y cachaient des trésors. Il y a des escaliers dérobés, creusés dans la paroi de l'aiguille. Il débouche sur une vaste grotte située au niveau de la mer, puis en dessous de la pointe extrême de l'aiguille creuse voltigent des mouettes, un peu de fumée sort d'une
crevasse
comme
sortant
d'une
cheminée
invisible.
Les Falaises d'Étretat restent un endroit très vaste et mystérieux qui ont toujours
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attiré beaucoup de personnes :idéal pour se cacher ou pour y cacher toutes sortes de richesses.
« L'aiguille Creuse » est un roman de Maurice Leblanc, où nous pouvons trouver les aventures d'Arsène Lupin. On peut distinguer les personnages principaux dans ce bout de roman. On déduit qu'il y a plusieurs détectives comme Herlock Sholmes le plus âgé et Isidore Beautrelet, le plus jeune. Mademoiselle Raymonde est la compagne de Monsieur Arsène Lupin, lui-même le voleur des trésors des Rois de France. Enfin, il y a Ganimard l'inspecteur de la police française. Une partie du secret se dévoile au plus jeune détective avec les lettres D et F du cryptogramme. Comme nous avons plus le voir, « L'aiguille Creuse » renferme des trésors des Rois de France depuis très très longtemps, qui se trouve à Étretat et qui est la ville de Lupin. Lupin, Raymonde et Isidore sont ensemble quand ils apprennent que le détective Herlock Sholmes est sur leurs traces. Pourquoi ce lieu normand « L'aiguille Creuse « est-il l'objet de mystère? Je pense qu'il faut beaucoup d'imagination de la part de chacun pour répondre à cette question. Il y a vraiment un grand mystère sur la place de cette falaise: pourquoi at-elle été appelée comme ça? Cette falaise a une histoire derrière elle, mais laquelle? Elle a aussi un passé et sûrement une légende.
Isidore Beautrelet et Herlock Sholmes sont deux détectives à la recherche d’Arsène Lupin célèbre voleur au mille visages et de sa fameuse cachette. Mais où Arsène Lupin a-t-il caché le Trésor des Rois de France ? C'est ce qu'ils décident de découvrir en unissant leurs forces. Selon moi, ce qui est mystérieux dans les falaises d'Étretat est qu'il y a un phénomène bizarre qui s'y produit, les roches se forment et changent en fonction du temps, de la température et de la pluie. Les grottes ont sûrement été creusées par les pluies et non par
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l'homme. Il y a une dizaine de cas de même type dans le monde dont 3 répertoriés en France.
Dans l'aiguille creuse, il y a un trésor, c'est Arsène Lupin qui l'a volé et Herlock Sholmes, un célèbre détective, le recherche. Ils cherchent l'aiguille creuse mais ne savent pas ce que c'est mais il trouve un sentier qui l’emmène à la grotte et trouve comme indice "D et F", donc il en déduit que c'est l'aiguille d'Étretat. Je pense que les falaises d'Étretat ont été choisies comme lieu mystérieux car il y a des sentiers et l'aiguille creuse !
« L'aiguille creuse », du roman de Maurice Leblanc raconte l'histoire d'un mystérieux trésor qui serait caché, mais où ? Voici la question que se posent deux détectives Herlock Sholmes et Isidore Beautrelet. Isidore explore le pays, interroge des paysans, mais personne n'a entendu parler de l’aiguille. Et soudain le hasard l'amène à un vieux Fort, le Fort de Fréfossé, peu de temps après il se trouva à la grotte, creusée, la Porte d'Aval ! Il y trouva à ses pieds les initiales « D et F ». Alors il essaya de se renseigner auprès d'un berger, il lui répondit que la grotte se prénommait « Demoiselles », il fit alors le lien avec les initiales. Il trouva ensuite la fameuse aiguille, et la cachette des trésors des rois de France et aussi le repère d'Arsène Lupin .Puis plus tard Isidore, Harcèle Lupin et Raymonde sa compagne, ont failli être prisonniers par Ganimard l'inspecteur de police mais juste avant, Lupin a eu le temps d'écrire son testament sur un mur et ensuite de s'enfuir par un escalier de l'aiguille. Ils arrivèrent au sous-marin et partirent à Port-Lupin. Mais arrivés en haut de la falaise ...Les Falaises d'Étretat ont été choisies comme un lieu mystérieux car on ne sait comment se sont formées les falaises, de par son pic « l'Aiguille » qui est seule sur la mer comme si elle était posée sur la surface de l'eau et d'autre part le trou béant de la « Porte d'Aval ». Cette « Porte d'Aval » ressemble à une trompe d'éléphant ou à une racine qui s'enfonce dans l'eau. Il y a
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une légende qui disait qu'un bateau assez conséquent pouvait passer par ce trou, et qu'il y avait aussi un passage souterrain de la « Porte d'Aval » à « l'Aiguille », mais ce n'est qu'une légende.
Isidore Beautrelet jeune détective à la recherche du trésor des Rois de France volé par Arsène Lupin, va explorer la France pour retrouver ce dernier avec la fabuleuse cassette. Avec l'aide du célèbre détective anglais Herlock Sholmes, il va finalement découvrir deux lettres taillées dans le granit, un cryptogramme déjà vu auparavant. Il va alors découvrir la mythique et pourtant peu connue Aiguille. Là, se cachent le gentleman cambrioleur, sa belle et son butin. Mais Isidore après avoir rencontré l'homme et mille visages retourna sa veste et s'enfuit en sa compagnie. Nul ne saura jamais, nul ne saurait savoir et nul ne pourra dire pourquoi l'oiseau, lui être sans peur, dominant l'homme de toute sa hauteur et sa majesté ne peut régner sur se pique, sur ce roc, ce cap, sur cette péninsule. Quiconque, homme ou animal, vivant ou mort, céleste ou terrestre ne pourra pénétrer le cœur de la roche à l'âme ou l'ombre peu rassurante. Le soupir du vent, glissant et glaçant la pierre fouettée par les lames et la houle depuis plus de temps que le ciel ne peut le compter, ont donné cette allure d'épine caressant le ciel et dominant les eaux tumultueuses... Aliénor Lavier-Aydat Arsène Lupin et la falaise d’Étretat. L’intrigue débute au moment où Isidore trouve par hasard les initiales D F déjà vues à la 4eme ligne d’un cryptogramme et c’est à ce moment précis que le lecteur s’interroge quant au sens de ces mêmes lettres gravées sur le sol. Le mystérieux choix de la falaise d’Étretat laisse perplexe : cet escarpement rocheux si raide, battu par le vent et la tempête, isolé de la côte, sans aucun accès par un pont ou un escalier taillé dans la roche, sans prendre le risque d’embarquer sur un bateau avec la houle et les vagues... et pourtant il doit bien exister un moyen d’arriver à cette aiguille que l’on dit creuse…
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Grimoin Quentin C'est
l'histoire
de
Isadore
Beautrelet
et
Herlock
Sholmes,
tous
deux
détectives,cherchant à découvrir la cachette secrète du célèbre cambrioleur Arsène Lupin ,voleur du trésor des rois de France. Les falaises ont été choisies car c'est un lieu rempli de mystères et qui intrigue les lecteurs à cause de toutes ses formes ! Publié sur 22/09/12 10:37
Mythes et légendes de nos régions
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La partie sud des Monts d’Apuseni (les Carpates Occidentales) est connue pour la foire du Mont Gaïna (Găina signifie « poule » en roumain). La Foire de Gaïna a lieu le dimanche le plus proche du 20 juillet, la Fête de Saint Elie chex les Orthodoxes. On dit que, jadis, le Mont Gaïna était sous la protection d’une belle fée, bonne et sage. La Fée avait une poule en or qui pondait des œufs d’or. Si jamais un homme avait besoin d’argent, la fée lui faisait don un œuf d'or. Le jour le plus long de l'année, au lever du soleil, des couples jeunes qui voulaient se marier, venus des vallées environnantes, montaient au somment de la montagne et recevaient un œuf d'or comme cadeau de mariage de la part de la bonne Fée. Un jour, trois villageois méchants ont réussi à entrer dans le palais de la Fée avec l’intention de voler la poule magique et le panier aux œufs d'or. Alertés par les cris de la poule, les gardiens sont partis sur la trace des voleurs. Mais ceux-ci ont réussi à se sauver et ils se sont cachés dans une grotte. Pendant leur fuite, ils ont renversé le panier et les œufs d’or se sont répandus sur les versants de la montagne et dans la rivière d’Arieș.Triste et furieuse, la Fée a détruit son palais et elle est partie ailleurs. La légende prend tout son sens dans cette région d'exploitations aurifères millénaires. Cette légende est à l’origine d’une tradition populaire attestée historiquement depuis 1816, « La foire aux jeunes filles». Cette fête des habitants du pays de l'Arieș offrait traditionnellement l'occasion aux jeunes filles, superbement parées, d'être choisies comme épouses par les jeunes hommes célibataires. Les jeunes mariés se voyaient offrir des œufs peints en or, en souvenir de la légende. La
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tradition est respectée même de nos jours. Le 20 juillet, sur le plateau du Mont Gaïna, à 1484 m d'altitude, a lieu le plus grand rassemblement folklorique de Roumanie. Aujourd'hui, la foire aux jeunes filles est symbolique et elle est suivie d'un spectacle folklorique, connu sous le nom de « Sus pe muntele Găina » (Au sommet du Mont Gaïna). On peut voir des bergers sonner le buccin, image symbolique des Monts Apuseni, des danseurs vêtus de beaux costumes populaires et des artisans présentant leurs produits, notamment objets en bois sculpté. Pour voir une vidéo de l’édition 2008 de cette fête folklorique roumaine, cliquez ici : http://www.youtube.com/watch?v=OjQRGCreHPU (Texte rédigé par Corina, Lorena et Ramona)
Il était une fois une famille de géants qui vivait dans une grotte de cette région. Le roi Décébale les avait chargés a protéger une partie du trésor des Daces, représenté par un charu et deux bœufs en or. Le désir d’enrichissement rapide a déterminé quelques jeunes villageois de monter vers la grotte des géants pour voler leur trésor. Le jour où ils sont arrivés aux alentours de la grotte, ils ont surpris le cadet de la famille des géants seul et comme ils se sont rendu compte que celui-ci était affamé, ils ont profité de son naïveté et lui ont donné un bœuf empoisonné à
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manger. Le jeune géant meurt et les villageois détruisent les murs de la grotte à la recherche de l’or. Mais le plafond de la grotte s’écroule et les assassins trouvent leur mort sous les rochers. Peu après, la mère des géants arriva à l’endroit ou son fils aimé et ses tueurs gisaient sans vie. Ravagée par la douleur d’avoir perdu son enfant, la géante comment à fouiller la terre avec ses ongles. Et c’est comme ça que les collines de calcaire de la région ont fait leur apparition, dit la légende. (Texte rédigé par Iulia, Delia et Sebastian)
la première fois dans les cartes des alentours d’Alba Iulia vers la première moitié du XVIIIe siècle sous le nom d’origine trace Magura ou Magurile. Un siècle plus tard, pendant la Révolution de 1848-1849, on trouve le nom actuel Dealul Mamut (Colline du Mammouth). La dénomination doit avoir son origine dans la communauté des naturalistes hongrois qui ont fait des recherches dans cette zone au début du XIXe siècle. Les chercheurs ont été inspirés soit par la forme de la colline qui ressemble à un dos de mammouth, soit par les découvertes archéologiques de l’époque. Le nom de la colline a suscité encore plus d’intérêt après la découverte accidentelle d’une dent de mammouth pendant les travaux de systématisation de la citadelle Vauban d’Alba Iulia, en 2009. Les spécialistes estiment que ce fossile date depuis le Pléistocène (2258-10.000 av. J-C.).
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La municipalité d’Alba Iulia a mis en œuvre un projet d’aménagement d’un parc d’aventure sur la colline avec une surface de 3 ha. (Texte rédigé par Paul, Eugen, Răzvan, Horatiu et Alexandru)
notre
ville,
appelé
Piatra
Craivii
-
Pierre
de
Craiva
(source
de
l'image: stiri.turismalba.ro/2008/06/daca-tot-mergi-la-cricau/ ). La légende dit que les rochers de Piatra Craivii cachent dans leurs profondeurs une citadelle dont les portes s’ouvrent aux initiés tous les sept ans. En tout cas, les sources historiques confirment que, après sa défaite à Sarmisegetusa (aujourd’hui dans le comté d’Hunedoara, en Roumanie), Décebale , le roi des Daces , nos ancêtres, avait fait construire ici une forteresse puissante pour empêcher les Romains d’arriver à Rosia Montana et de s’emparer des réserves d’or de cette région. Mais les conquéreurs, guerriers expérimentés, avait assiégé Piatra Craivei, avaient mis du feu et avaient coupé toutes les sources d’eau de la forteresse pour obliger les Daces de se soumettre. Les Daces sont vaincus et Décébale se suicide plutôt que de se constituer prisonnier. Vérité historique ou légende, on ne sait pas. Ce qui est sur c’est que Piatra Craivii attire les visiteurs et continue enflammer leur imagination…(Texte rédigé par Andreea, Valentina, Bianca, Cristina)
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grand glacier souterrain de Roumanie, datant depuis 3500 ans, considéré comme le deuxième plus grand glacier souterrain de l’ Europe en termes de volume, après la grotte de glace Eisriesenwelt en Autriche. La Grotte de Scărișoara se trouve à une altitude de 1 165 m, au bord du plateau karstique de Scărişoara. La longueur totale de la grotte est de 720 m et sa profondeur de 105 m. L’accès est fait par un aven de 48 mètres de profondeur et 60 mètres de diamètre. Tout comme beaucoup d’autres objectifs du pays, la Grotte de Scărişoara est entourée de diverses légendes. Une de ces légendes dit que cette grotte était autrefois la demeure d’un dragon appelé Solomat. Celui-ci avait l’habitude d’enlever une jeune belle fille, soit à l’occasion du Nouvel An, soit en juillet, avant la fête de Saint Ilie (le 20 juillet). Le dragon menait la jeune fille dans son palais de glace, caché dans les profondeurs de la grotte, et personne ne la revoyait jamais car dans cet endroit mystérieux le temps et l’espace n’existaient plus. Une autre légende dit que l’eau des bassins qui se trouvent derrière la formation de calcaires appelée « La Brazi » (Aux sapins) peut accomplir n’importe quel vœu. Si on se met à genoux, on boit l'eau avec les lèvres directement du bassin, la tête découverte en faisant un vœu, celui-ci sera sans doute accompli. Nous vous invitons à faire la visite virtuelle de la Grotte de Scarisoara...
en
écoutant
de
la
musique
traditionnelle
roumaine : http://www.youtube.com/watch? feature=player_embedded&v=sbnzQ4IAA50# !
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Légendes normandes et bretonnes Les élèves français de la seconde D ont fait une recherche documentaire et vous proposent de découvrir quelques légendes normandes et bretonnes : La Légende de la Hougue Bie : http://normandie-jeunesse.hautetfort.com/archive/2011/12/15/culturede-normandie-la-legende-de-la-hougue-bie.html L'âme qui chante : http://legendesbretonnes.centerblog.net/ La Légende des Oies de Béate : http://www.normandie-heritage.com/spip.php?article630 http://mortain.free.fr/Legendes/legende6.htm Merlin : http://la.piterne.free.fr La fontaine de Barenton : http://www.bretagne-celtic.com/accueil_legende.htm
Au Moyen-Age, tous pensaient que dans la Seine vivait un monstre de l'enfer, d'une laideur repoussante, d'une allure gigantesque, des écailles visqueuses,
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recouvertes de vase, avec une gueule émincée crachant de l'eau. Ceux qui osaient s'aventurer au bord de la Seine subissaient les flots infernaux de la bête jaillissante de ces profondeurs. Un jour, les hommes se révoltèrent, et voulurent en finir avec la créature. Les paroles étaient là, mais aucun n'osait affronter la bête. Il fallait, pourtant, se décider. C'est alors qu'un évêque se proposa. Mais, il avait peur d'y aller seul. L'homme demanda alors si quelqu'un voulait bien l'accompagner dans sa quête. Personne ne répondit sauf un prisonnier condamné à mort. L'évêque se munit d'une crosse, accompagné du prisonnier. Ils descendirent jusqu'à la Seine, Le monstre sortit du fleuve, l'évêque tendit sa crosse vers celui-ci, et soudain il se coucha au pied des deux hommes. L'évêque passa son étole autour du cou de la bête obéissante. L'homme religieux la ramena au pied de la cathédrale située à Rouen. La foule cria : "A mort ! ". Le peuple brûla donc la créature des enfers. Les cendres furent jetées dans la Seine, Et tous les ans, un prisonnier condamné à mort est libéré. (Océane Robert, Aliénor Lavier et Laurie Kervella)
Autrefois un monstre vivait dans la Seine, il crachait de l'eau sur les passants, et noyait les habitants qui étaient autour. Les gens n'osant pas l'affronter par peur. L’évêque de Rouen demanda si quelqu'un voulait l'accompagner. Soudain une voix venue de nulle part l'interpella. C’était un prisonnier, qui, se sachant condamné décida de se sacrifier pour aider l’évêque et les habitants. Il descendit sans précipitation à la Seine quand soudain le monstre surgit de l'eau. L’évêque sortit sa crosse et sa croix et les dirigea vers le monstre. La bête sortit de l'eau, l’évêque tendait sa crosse et le pouvoir de Dieu fut tel que le monstre se coucha devant le maître. Ensuite l’évêque prit son étole et avec l'aide du prisonnier, le mit autour du cou du monstre puis le tira jusqu'à la place de Rouen où l’attendaient les habitants avec impatience. Puis on le surnomma "gargouille". Les gens crièrent " à mort la gargouille, à mort le monstre ". Ils brûlèrent la gargouille et des flammes rouges, jaunes sortirent. Ensuite ils récupérèrent les cendres puis les jetèrent dans la Seine. Pour récompenser le prisonnier, ils le libérèrent. Depuis ce moment- là, tous les ans un prisonnier est libéré. Et le monstre n'est jamais revenu. (Préterre Manon , Crochemore Morgane et Boulhan Camille).
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La Gargouille
Autrefois, dans la Seine, vivait un monstre surnommé « La Gargouille ». Ce monstre crachait de l'eau, noyant les berges avec une gueule émincée et sa peau était reptilienne. Quand ce monstre apparaît, on peut distinguer des vagues, des remous et des bulles à la surface de l'eau. Tous les habitants le craignaient, ils voulaient que la « gargouille » disparaisse mais personne n'osait s'en approcher par peur de mourir. L'évêque, voyant les gens malheureux et apeurés, alors il prit la décision de l'affronter lui- même, mais ne se sentant pas d'attaque, il demanda à quelqu'un de l'accompagner. Personne ne lui répondit, jusqu'à ce qu'un prisonnier de Rouen condamné à mort, eût le grand courage de l'accompagner jusqu'à la Seine. Peu après, les deux hommes descendirent doucement et avec peur, vers le fleuve. Une fois arrivés là- bas, l'eau se mit à s'agiter et des vagues apparaissaient. Puis, le monstre sortit, montrant sa grande gueule. L'évêque dirigea sa crosse en direction du monstre qui se coucha aux pieds de l'évêque Saint Romain, ensuite il mit son étole autour du cou de la gargouille, le traînant jusqu'à la place de Rouen, où les gens criaient « A mort le monstre ! ». Puis, ils mirent le feu à la gargouille. Celleci finit en cendres, qui seront jetées dans la Seine. Ensuite, le prisonnier fut mis en liberté pour le récompenser de sa bravoure envers l'évêque et les habitants. Pour fêter cet événement, chaque année, un prisonnier fut libéré. (Manon Clouet, Mathilde Beuzeboc et Steven Gréard) La légende de la Gargouille Texte de Valentine, Emeric et Mathilde Lefebvre. Publié sur 20/10/12 12:32. Au début du Moyen-âge, une étrange et monstrueuse créature vivait dans la Seine. Ce monstre était gigantesque, sa gueule émincée, son corps recouvert d'écailles et avait une silhouette reptilienne.Les habitants de Rouen étaient terrifiés. On le
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surnommait « la gargouille ». Lorsque le Hommes s’approchaient, on voyait des bulles remonter à la surface et le monstre sortait de la Seine en crachant des litres et des litres d'eau. Il fallait à tout prix vaincre et tuer ce monstre. Un jour, un évêque se porta volontaire mais refusait d'y aller seul. Il demanda si quelqu'un voulait bien l'accompagner et une petite voix sortit de la prison. C'était un condamné à mort. Ils s'en allèrent tous les deux pour vaincre ce terrible monstre. L'évêque était muni d'une croix et de son étole. Ils s'approchèrent de la Seine, le monstre surgit de l'eau et peu avant que le monstre ne crache son eau, l'évêque montra sa croix et le monstre se coucha à ses pieds. Il mit l'étole autour de son cou et le monstre le suivit jusqu'à la place centrale. On brûla le monstre et jeta ses cendres dans la Seine. On n’entendit plus jamais parler de la gargouille. Texte d'élèves Clémence S., Mélanie B., Alicia L., Elodie H. Publié sur 20/10/12 12:35 A Rouen vivait un monstre dans la Seine. Quand quelqu'un s'approchait des rives de la Seine , ce monstre gigantesque sortait de l'eau , crachait de l'eau, et noyait les maisons et les habitants. Tous les habitants avaient peur de ce monstre et voulaient le tuer, mais tout le monde en avait peur, sauf l'évêque Saint-Romain qui était volontaire pour aller le tuer et qui dit : « j'irais » mais il ne voulut pas partir seul. C'est alors qu'un condamné à mort fut volontaire pour l'accompagner dans cette aventure. Ce prisonnier n'avait rien à perdre. Ils partirent, l'évêque avec sa crosse, et le prisonnier mains nues, arriva aux bords de la Seine. Le monstre montra le bout de sa gueule, mais l'évêque brandit sa crosse devant la tête du monstre et celui ci vint se coucher à ses pieds comme un petit chien qui eût été dressé. Il prit son étole et le mit autour du cou du monstre pour le tirer jusqu'à la place de l'église. Là-bas, les gens l'acclamèrent, et criaient « A mort le monstre ». Le monstre fut brûlé et ses cendres jetées dans la Seine. Le prisonnier fut libéré pour bonne action. Texte de Léna Monville et Chloé Barbaray. Publié sur 20/10/12 12:39 C'est l'histoire d'un monstre qui s'appelait Gargouille et quelquefois sortait sa gueule et tout son corps de la Seine. Quand les gens se promenaient sur les bords
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de Seine, ce monstre surgissait de cette eau, ils ne pouvaient même plus se promener tellement ils avaient peur. Si l'eau se mettait à faire des vagues, si des bulles apparaissaient de l'eau; le monstre allait surgir, quand il sortait, il leur crachait de l'eau jusqu'à les tuer. Mais un jour, un évêque en eu assez, il s'appelait Romain, il voulait aller vaincre le Gargouille pour que les gens puissent sortir tranquillement, il demandait aux personnes de venir l'aider mais personne ne voulut.. Sauf un jeune condamné à mort de la prison de Rouen, qui n'avait plus rien à perdre puisque que dans tous les cas, il allait mourir:il accepta donc de l'accompagner, il descendit à vive allure sur les bords de Seine en attendant que le monstre apparaisse. D'un seul coup, des bulles surgissent, des vagues se forment, et là, il se mit à sortir de l'eau, puis l'évêque dirigea sa croix vers lui, le monstre se coucha à ses pieds. Saint-Romain mit son étole autour du cou du monstre en le traînant jusqu'à la grande place, là où il y avait toutes les personnes qui criaient "A mort le monstre! A mort le monstre, A mort le monstre!". Depuis ce jour, tous les ans, à la même date, a lieu une fête célébrant la disparition du Gargouille,et grâce à cela, un prisonnier est relâché chaque année en honneur du monstre. Et le prisonnier fut libéré d'avoir eu autant de courage! Plus personne n'a jamais revu ce monstre depuis. Texte de Camille Cuvillez et Elodie Danger. Publié sur 20/10/12 15:23 Autrefois, au Moyen-Age, à Rouen, vivait, dans la Seine, un monstre qui, lorsque des personnes se promenaient près de ce fleuve, inondait les berges pour les dévorer. Un jour, les habitants se réunissent pour désigner quelqu'un qui irait tuer le monstre. Un évêque, Saint-Romain, se porta volontaire, mais ne voulait pas y aller tout seul. Alors, du fond de sa cellule, un condamné à mort qui n'avait donc plus rien à perdre, se proposa de l'accompagner. Un fois arrivé à destination, le monstre, qui sentit leur présence, sortit de l'eau, prêt à se jeter sur eux. Mais l'évêque leva sa croix dans sa direction, et, devant la puissance de Dieu, il se coucha devant eux. L'évêque l'entoura de son écharpe, et la traîna jusqu'à la place de la cathédrale. Les habitants prirent la décision de le brûler vif, et de jeter ses cendres dans la Seine.
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Texte de Quentin Grimoin. Publié sur 20/10/12 15:26 Au début du Moyen-Age à Rouen dans la Seine vivait un monstre qui faisait trembler le fleuve quand arrivait le moment de manger ! Il se leva et ouvrit sa gueule pour cracher de l'eau sur les paysans, en inondant les maisons! Les gens en panique appelaient au secours; quand un évêque acclama sa bravoure ! Mais une personne devait l'accompagner personne ne répondit à l'appel quand une petite voix venant d'une prison de Rouen répondit:" Moi je me dévoue, je ne suis bon qu'à mourir." L'évêque et le prisonnier partirent en bord de Seine et le monstre se réveilla. Il le tua ! Tout le monde acclama le nom de St Romain. Texte de Tifany Tauvel, Isaline Kwasniewski et Paul Blondel. Publié sur 20/10/12 15:28 Tout se passe à Rouen, dans le fleuve de la Seine. Un monstre vomissait de l'eau. Quand des hommes s'approchaient de lui ,il créait des vagues et les noyait, puis quand ils étaient à sa portée, il les mangeait. Personne ne voulait le combattre, tout le monde en avait peur. C'est l'évêque, St Romain de Rouen, qui s'est proposé pour y aller. Mais au dernier moment, il décide de ne plus y aller seul. Un prisonnier qui était condamné à mort, s'est désigné pour accompagner l'évêque. L'évêque muni d'une cross,de sa croix et accompagné allèrent a la Seine. Le monstre sort de l'eau, l'évêque montre sa croix et la gargouille se couche devant les deux hommes. L'évêque enlève son étole et la met autour du cou de la bête. Les deux hommes ramènent alors le monstre qui terrorisait le peuple sur la place de Rouen. Les habitants lui mirent le feu, ils entendaient la bête hurlait de douleur. L'évêque reprit les cendres et les jeta dans le fleuve. Le prisonnier fut acquitté de sa peine et libéré. Tous les ans à cette occasion une fête était célébrée et un prisonnier était relâché. Légendes et peuples des vals du pays de Caux. Publié sur 18/11/12 15:52 par Evelyne Paquet Les valleuses sont des vallons suspendus au-dessus de la mer, avec un sentier qui y descend. A Fécamp se trouve le val Saint-Nicolas, dont la légende dit qu'il s'agirait
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de l'empreinte du géant Gargantua qui allait en Angleterre et passa la Manche d'une enjambée. De l'autre côté du val au Hareng, dénommé ainsi car autrefois les barques se livraient à la pêche au hareng sur la côte, apparaît le village de Senneville sur Fécamp, peuplé autrefois de pêcheurs et de paysans, bien distincts. En effet, les paysans ne naviguaient pas et l'on retrouve là la trace de la terreur ancestrale des Calètes (peuple celte arrivé dans le pays de Caux au IVe siècle avant Jésus-Christ) face à l'invasion des pirates normands. Réactions des élèves français autour de deux textes consultables en fichiers joints : « Horla » de Guy de Maupassant et la Légende de Saint Julien l’Hospitalier (commentaires sur le fil du blog)
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Texte rédigé par Flore Un homme prénommé Jean a été victime d'une épidémie de folie, cet homme a eu une fièvre atroce ou plutôt une énervement fiévreux qui a rendu son âme aussi souffrante que son corps . Il a eu un sentiment de malheur qui approchait, peut-être la mort. Son état n'a fait que s’empirer. Une nuit, il a disposé une carafe d'eau pleine sur une table, mais, peu de temps après, il se releva et la carafe a été complètement vidée. Les nuits suivantes, il a disposé plusieurs aliments mais uniquement l'eau et le lait disparaissaient. Il se sentait suivi ou espionné par quelque chose d'invisible. L'homme a compris ce qui lui arrivait au bout de trois mois. Il décida donc de tuer cet être invisible. Il l'a enfermé dans sa demeure blanche et en s'échappant, il reversa l'huile de ses lampes sur le tapis et mit le feu. Il est allé se cacher au fond de son jardin, mais un cri horrible se fit entendre. De ce fait, il courut vers le village en criant « au feu ». Ces cris sont ceux de ses deux servantes. La cause serait due à un bateau brésilien, un beau trois -mâts qui est passé
sur
la
Seine,
le 8 mai dernier. L'homme a salué le bateau, il ne sait pourquoi mais, ce geste lui a fait plaisir, une sensation de joie. Sur ce bateau, un être invisible aurait sauté du navire et se serait emparé du corps de cette victime. Cette épidémie de folie touche en ce moment la province de San Paulo. Texte rédigé par Aymeric Il y a quelques jours, un homme a été retrouvé mort dans une grange, pendu. Tout laisse à croire qu'il se serait suicidé.La raison de son suicide semble étre du fait qu'il se sentait possédé par une chose qui était en lui. C'est en tout cas ce qu'il
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disait dans son journal. Il parlait en effet d'une chose invisible qui, la nuit, s'introduisait dans sa chambre. Cela le terrifiait si bien qu'il ne dormait plus. Il raconte ensuite qu'il voulait s'enfuir de chez lui mais que cette chose le rattrapait et qu'elle le ramendait comme si elle le contrôlait.Il voulait faire quelque chose mais il ne pouvait pas car elle l'en empêchait. D'après cet homme, cet être invisible s'appelle un Horla et ils seraient venus (car d'après cet homme il y en aurait d'autres) pour faire des hommes leurs esclaves. Dans son journal, les enquêteurs ont pu découvrir que la maison qui avait brûlé quelques heures plus tôt avec deux domestiques à l'intérieur était en fait la sienne et qu'il avait mis le feu lui- méme à sa maison pour tuer le Horla. Il dit enssuite dans son journal que le Horla n'est peut étre pas mort et que le seul moyen d'en être sûr ,c'est de se tuer lui -méme. Simple folie de la part de cet homme ? Certains qui le connaissaient en doutent car c'était un homme intelligent et équilibré, d'aures pensent tout simplement qu'il était fou. Quoi qu'il en soit de nombreuses choses restent à éclaircir dans cette affaire afin de savoir si ce que cet homme dit est vrai ou alors s'il était tout simplement fou, ce qui semble tout de même être le cas. Texte rédigé par Benjamin Il y a quelques jours , un homme vivant aux alentours de Rouen s'est suicidé , peu de temps après l'incendie de sa demeure . Mais avant de mettre fin à ses jours , il a écrit une lettre dans laquelle il a écrit des choses plus que troublantes ...Il parle tout d'abord d'une maladie qui le tenait sans relâche , ensuite d'un être invisible qui aurait vécu avec lui sous son toit . Cet étrange personnage est cité à plusieurs reprises dans la lettre comme étant "l'être nouveau" , "le nouveau maître" , "l'être venu d'ailleurs" ... Mais l'auteur nous dit que cette créture se nomme le Horla . Et surtout , cette dernière contrôlait son âme ,semble-il ,et le malheureux n'avait plus de choix personnel . On apprend aussi que "l'être venu d'ailleur" se nourrissait exclusivement d'eau et de lait . Tout cela , semble , au premier abord , être l'oeuvre d'un esprit un peu trop fatigué , mais en y regardant de plus près , on peut se rendre compte les "symptômes" que présentait cet homme étaient en tout point similaires avec ceux que l'on peut trouver en ce moment à Rio de Janeiro , au Brésil . On pourrait donc supposer que cette épidémie de folie se serait propagée du Brésil
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jusqu'en Normandie . C'est quelque chose que l'on ne peut pas exclure , et cela expliquerait les propos quelque peu étranges de cet homme ...Ce dernier avoue d'ailleurs avoir essayé de tuer le "Horla" , mais d'après , cette créature serait insensible aux choses qui peuvent tuer les humains , cela expliquerait peut-être l'incendie de la maison qui serait en réalité volontaire . Mais malheureusement , nous sommes dans l'incapacité d'interroger les domestiques qui se trouvaient sur les lieux de l'incendie , la plupart ayant péri ou sont grièvement bléssés . Mais nous ne sommes sûrs de rien et cette histoire de Horla reste de rester un mystère , à moins que cette "créature" ne se manifeste à nouveau ... Texte rédigé par Deborah C'est un homme qui vit à Rouen;un jour il fut pris de sensations bizarres (fièvre, malaise) et il n'arrivait plus à dormir. Il décida alors de faire un petit voyage; pendant ce voyage tout se passa bien puis quand il revint tout recommença. Il pense qu'il y a des forces qui le menacent; suite à ça il se rend au mont SaintMichel à la rencontre d'un moine;celui ci lui raconte de vieilles légendes. Pendant la nuit il fait plusieurs expériences avec sa carafe d'eau. Il arrive à la conclusion suivante: quelqu'un vient dans sa chambre tous les soirs, et cette personne mange ses aliments et boit son eau. Il vécut plusieurs autres événements comme celui-ci avec son livre comme si quelqu'un était en train de le lire. Il baptisa cette personne " Le horla"; suite à tout cela, il fit brûler sa maison afin de le tuer. Texte rédigé par Jordan Le monstre des temps modernes. Un homme serait tourmenté par un être venu d'ailleurs, mais personne ne l'a jamais vu. Cette créature s'appelle le horla. En effet ,cet homme a cru devenir fou, durant quelques mois cette bête l'aurait étudié, car elle vivait avec lui jusqu'à ce que cet homme décide de mettre le feu à sa propre maison tuant du même coup ses deux domestiques qui étaient restés à l'intérieur. Le Horla boirait du lait et seulement du lait. Elle aurait pris le contrôle du corps de cet homme à plusieurs reprises pour le forcer à commettre des actions allant contre sa volonté. Cet homme dont il est question se serait rendu à divers endroits afin d'apaiser ses craintes, et à chaque fois qu'il rentrait chez lui ,la situation empirait.
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Mis à part cet homme, d'autres personnes quant à elles auraient aperçu ce Horla. Mais nous ne saurons jamais ce qui s'est réellement passé, car si certaines personnes affirment qu'elles l'ont vu, nous ne détenons aucune preuve. Texte rédigé par Rose-Anne Un homme est venu à nous pour nous faire part de ce qu'il vivait , il pense que cela nous sera utile pour notre rubrique sur le surnaturel.Voici son histoire. Son histoire s'étale en tout sur 4 mois et elle commence en Mai.Tout d'abord, l'individu concerné (dont ne nous pouvons citer le nom ) était fortement toumenté, il se sentait malade , oppressé et se posait tout de même des questions sur l'invisible . Pendant ce premier mois, l'homme se sentait fievreux , il était véritablement anxieux par ce qui l'entourait , il consulta son médecin qui fit le nécéssaire pour comprendre sa situation . Il décida de partir en voyage , au Mont-Saint-Michel , où il respira la nature et prit du recul avec sa vie , il fit une visite avec un moine et ce moine lui dit une chose qui le fit refléchir il lui dit : "Es que nous voyons la cent millième partie de ce qui existe ? Tenez , voici le vent , qui est la plus grande force de la nature, qui renverse les hommes, abat les édifices , déracine les arbres , soulève la mer en montagne d'eau , détruit les falaises , et jette aux brisants , les grands navires , le vent qui tue , qui siffle , qui gémit , qui mugit , - l'avez -vous vu , et pouvez vous le voir ? " . Ces mots l'ont fait longuement réfléchir . De retour de son voyage ces tourments reviennent quelques semaines après ;il est pris par des cauchemars , puis des phenomène étrange se sont produits tout comme : après avoir remplit sa carrafe d'eau et s'être coucher il s'aperçois que celle ci est vide en se levant en pleine nuit , il fit des expériences les nuits suivantes: il mit du lait , une carafe d'eau pleine et du pain .. il s'apercut très vite que l'eau et le lait diminuaient , il s'interrogea , il se demandait s' il était devenu complétement fou ou somnambule peu-être . Il décida alors de prendre encore une fois du recul et à Paris , il y passa quelque jours , il alla voir du théâtre passa du bon temps . Il passa le 14 juillet aussi là -bas et passa voir sa chère cousine ensuite où il assista justement a un phénomène surnaturel . Un docteur etait présent , et justement étudié le surnaturel, il fit donc une démonstration d'hypnose sur sa cousine , elle devina tout en étant hypnotisée donc en l'occurrence endormie que son cousin se tenait derrière
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elle ce qu'il faisait ... le docteur dit alors a sa cousine de venir voir son cousin ( le loccuteur de cette histoire ) et de lui demander cinq mille franc spour son mari . Notre individu repartit tout bouleversé, toujours partagé entre le rationnel et le surnaturel il essaie de se convaincre que c'était un coup monté ou une chose dans ce genre mais cela restait toujours un mystère . Le lendemain , sa cousine venu lui rendre visite et lui demanda bien cinq mille francs, il essaya de la questionner ou de la raisonner mais elle- même resta perplexe et très pertubée par cette demande soudaine et mentit même un peu pour réussir à comprendre , il alla donc chez le docteur et lui expliqua le docteur , il revient voir sa cousine l'endormit et lui dit que son mari n'avait plus besoin de cinq mille francs et elle se réveilla ,elle avait tout oublié . Cet homme s'interrogea fortement cru devenir fou puis crut au surnaturel.Il était prisonnier sous son propre toit par cette chose qui le hantait.Il vit des objets bouger sans courant d'air .. Un jour il réussit à sortir, ce fameux jour où nous l'avons interviewé . Mais nous avons voulu aller plus loin dans les recherches, nous avons trouvé un phénomène complétement identique dans une rubrique appelée " le monde "; cela se passe au Brésil et bizarrement tout est relatif à l'histoire de ce pauvre homme . Puis nous avons appris la mort de cet homme le 11 septembre à Rouen dans l'hôtel continental après avoir mis le feu à sa propre demeure ,ses domestiques ont témoigné qu'il était devenu fou. Mais nous avons trouvés son corp accompagné d'un mot , ce mot disait qu'il sera hanté toute sa vie par le Horla ; Texte rédigé par Simon Un mystérieux suicide. Un homme de quarante-deux ans a été retrouvé pendu dans une grange près de Rouen . Ses proches ont avoué que l'homme n'allait pas bien depuis déjà quelques mois. Il aurait été possédé par un être supérieur et maléfique qui le rongeait jour et nuit . Pour être sûr de cette hypothèse, l'homme aurait laissé dans sa chambre une carafe d'eau mais , en se réveillant, l'eau aurait disparu sans raison . Ce fut la première chose inquiétante . Deuxièmement , il serait parti à Paris pendant trois semaines dans le but de se faire hypnotiser pour chasser la créature . Il n'en fut rien , bien au contraire . Il se pensa fou . Un beau jour de printemps, lorsque l'homme se promène dans le jardin de sa demeure ,il voit devant lui une
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rose se casser s'élever en l'air.Alors rentré chez lui, angoissé par ce qu'il vient de voir, il s'assoit dans un fauteuil pour réfléchir. C'est alors qu'il voit une page de son livre qu'il avait auparavant posé, se tourner comme si une personne était là en train de lire sans pour autant pouvoir la distinguer. Il appela cet être Le Horla . D'après nos sources , l'homme était sûr de ce qu'il avait vu et voulait voir le horla de plus près. Un soir , il l'aperçut dans son miroir ; c'est à partir de cet instant qu'Il aurait brûlé sa maison ainsi que ses servantes pour ensuite se donner la mort dans le but de détruire la créature . Simple folie de l'homme ou fait surnaturel , nous savons juste que des cas ont été aussi retrouvés au Brésil . L'homme a-t-il eu des contacts avec le Brésil? Texte rédigé par Léa L'horrible drame du "Horla". Ce drame s'est déroulé en bord de Seine le 10 Septembre
dernier.
Un homme frappé par la démence contagieuse de Rio de Janeiro au Brésil (dévoilé par nos confrères du Monde Scientifique dans leur édition du 19 août dernier) a commis un acte de folie causant la mort de deux femmes qui ont péri sous les flammes de la maison de celui-ci. L'homme a déclaré vouloir causer un incendie pour tuer "ce corps d'esprit, cette être invisible, ce dictateur" et pour mettre fin au calvaire qui disait subire depuis quelques mois qui se composait d'hallucinations répétés et des troubles que M. le professeur Don Perdro Henriquez interrogé qualifie de mentaux. Selon des sources proches de l'assassin, il aurait été touché par cette folie lorsqu'un voyage en bateau sur la seine ou il aurait apercu un voillier venant du Brésil et donc à forte chance porteur de la Bactérie hallucinogène. Les différents médecins se concertent encore aujourd'hui pour trouver un remède à cette maladie pour éviter un pendémie rapide. L'homme encore malade et délirant a été hospistalisé. L'affaire fait donc débat au près des magistrats et des différents docteurs réfractaires à un procès en exposant l'argument que l'homme était et est encore malade et qu'il n'a pas agi sous l'impulsion mais sous la bactérie hallucinogène ainsi il n'était pas en possession de ses moyens. La justice ou la science ? Une réunion se déroulant au palais de Justice à Paris le 17 Septembre prochain
nous
donnera
la
réponse
à
cette
question.
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Si vous subissez des hallucinations, si vous vous sentez possédés, gouvernés, poursuivie ou si l'un de vos proches en est victime, faites- en part à votre médecin généraliste dans les plus brefs délais. Texte rédigé par Laura C Un jour de mai, le narrateur éprouve le besoin de relater son existence par le biais d'un journal. Etendu dans l'herbe, il contemple la nature printanière et la maison dans laquelle il a grandi. Il admire le cours ondoyant de la Seine et le passage d'un superbe trois-mâts brésilien. Quelques jours plus tard, il se réveille souffrant et médite sur les influences mystérieuses qui peuvent altérer l'état physique et moral de l'homme. Il passe d'une humeur enjouée à un sentiment de nervosité et de désolation, accompagné de forte fièvre. Au fil des semaines, ce malaise apparemment anodin semble s'empirer. La fièvre monte, mais le médecin ne décèle aucun symptôme alarmant. Pourtant, le narrateur en vient à éprouver le besoin de s'enfermer dans sa chambre, sans pour autant en ressentir une quelconque sécurité : une fois les verrous poussés naît une crainte diffuse de se coucher. Les hallucinations d'un homme obsédé par la mystérieuse présence d'un être surnaturel auquel il donne le nom de "Horla". Ce Horla serait une sorte d'"incube", qui posséderait toutefois un corps, fait d'une matière invisible et impalpable lui permettant d'échapper à toute investigation des sens. Cet être surnaturel est capable de raisonnement, tout comme les hommes : c'est en fait une manière de surhomme qui s'empare du premier venu, lui impose sa propre volonté, jusqu'à en faire son esclave et absorbe, à son bénéfice, toute l'énergie vitale de sa victime... Texte rédigé par Dubuc Laura - Valentina 2nd D Le Horla Guy de Maupassant. Journal Le Monde Scientifique. La Raison du Fou Hier , 10 Septembre 1887 un homme , un Rouennais a mis le feu à sa demeure en y laissant périr les domestiques et les animaux . Ce même homme était venu me voir quelques jours plus tôt pour me parler de faits étranges . Il était confus dans ses propos et avait mentionné plusieurs noms de praticiens comme le docteur Parent spécialiste des maladies nerveuses et le professeur Don Pédro Henriquez (dont nous avons déjà parlé dans un article portant sur l'épidémie de folie se produisant à
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Rio de Janeiro ) . La Folie , voilà de quoi souffre cet homme . Durant notre entrevue , je l'ai écouté d'une oreille distraite . Il me parlait de cet être , cette chose qui le hantait et à qui il avait même donné un nom : " Le Horla" . " Le Horla disaitil , ne se manifestait plus mais il le sentait près de lui l'épiant , le regardant , le pénètrant , le dominant et plus redoutable en se cachant ainsi qu'il signalait par des phénomènes surnaturels sa présence invisible et constante " . Chers lecteurs , il y a quelques jours je ne me serais jamais vu prendre au sérieux les propos d'un fou . Mais , désormais tous les grands médecins se posent des questions . Alors , malgré un drame qui a fait de nombreuses victimes , le cas de cet homme nous fera faire des progrès dans l'univers psychique de l'être humain . Texte rédigé par Pauline. Un fou met le feu à sa maison ! Hier au soir un homme âgé de 42 ans a volontairement mis le feu à sa maison. Celui-ci expliqua son acte par la présence d'un être maléfique habitant sa demeure et le suivant partout. Il expliqua son histoire, quelque peu farfelue, au commissariat ; il expliqua qu'un jour il fut pris de malaises et de sensations étranges qui lui fit penser qu'il n'était pas seul, comme un soir où il s'endormi en laissant une carafe pleine à côté de lui, le matin, celle ci était vide. Il était persuadé que personne ne pouvait pénétrer dans sa chambre et pensa donc qu'il était fou. Il tenta d'aller se guérir auprès d'un moine au MontSaint- Michel, mais en rentrant chez lui la « réalité » le rattrape, les mêmes choses lui arrivent, comme un soir où il dispose des aliments autour de son lit et à son réveil ils n'y sont plus. Mais il retourne à Paris où il participe à des séances d'hypnose en se demandant si l'invisible existe. Lorsqu'un jour dans son jardin, il lit un livre et la page se tourne d'elle- même, il se dit alors que « l'être invisible » est tout près de lui;c'est à ce moment qu'il le baptise « le Horla ». Il raconte ensuite qu'un jour, il se regardait dans un miroir mais ne vit pas son reflet. Il se renseigna et apprit que le Brésil était touché par une vague de folie, se rappelant avoir vu un bateau brésilien accoster près de la Seine il crut que sa folie était contagieuse et qu'il l'avait attrapée, la transmettant à ses domestiques par la même occasion. Il compte alors son acte, voulant en finir avec sa folie il enferme le Horla dans sa chambre et y met feu, il sort et ferme les portes pour qu'il ne s'en échappe pas. Les
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domestiques prisonniers périront dans l'incendie, pensant que le Horla ne pouvait périr dans cet incendie ,il se dit habité par lui. Texte rédigé par d'Océane Son corps et son âme disparaîtront-il? A ce jour Mesdames et Messieurs un effet surnaturel s'est produit. Un homme a mis fin à ses jours, nous laissant une trace de son acte. Une lettre est posée sur son lit, son lieu de torture. Sur ces faits racontés, vous pouvez aujourd'hui, vous pouvez vous faire votre propre idée, et vous laissez voguer sur votre propre avis qui peut être lavé de tout soupçon. Chaque jour, cet homme nous raconta qu'il appréhendait le moment du coucher. Cet homme vit un bateau au loin, c'était un jour de beau temps, il fut ravi de sa beauté. Après ce jour il eu quelquesproblèmes, comme des insomnies, mais ce ne fut pas le cas. Il avait des sensations étranges, comme si on l'épiait, une sorte d'étouffement. Il fit quelques voyages comme au Mont- St -Michel, croyant pouvoir se purifier, mais les faits réapparurent après quelques jours, il rentra alors chez lui, ne sachant que faire. Les nuits de sommeil furent courtes, ce démon ou Horla come il l'appelait réapparaissait chaque fois à son désespoir. Il fit quelques expériences pour savoir s'il n'était pas fou, peut-être somnambule, il ne pouvait y croire. Il savait que ce n'était pas ça, c'était un monstre, il se résolut à devoir le tuer,pensant que c'était le meilleur moyen. Il mit alors à mettre feu à sa maison, sachant que finalement que tout ça ne servait à rien et qu'il devait alorsdisparaitre de la planète terre. Y croyez-vous? C'est à tout hasard une histoire hors du commun, tous ces faits peuvent vous faire peur, mais ne s'agissait-il pas du bon Dieu ou d'un cauchemar bienveillant à votre malheur? Texte rédigé par d'Amandine Le tueur invisible. Nous avons appris ce matin la mort d'une personne et chez lui nous avons trouvé un carnet qui nous parle de la cause de sa mort. Apparemment, cet homme souffrait d'une fièvre étrange puisqu'il dit dans son carnet qu'il lui a suffi de partir un peu à l'étranger pour que cette fièvre parte. Il entendit un jour à la radio que certaines personnes habitant dans le sud de l'Amérique se plaignaient de fièvre et avaient l'impression qu'une personne les suivait et étrangement, nous
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apprenons qu'il était dans le même cas. Il essayera par plusieurs moyens de se débarrasser de ce "fantôme" qui le suivait partout et qui surtout l'empêchait de dormir. Un jour, il essaya de le tuer en l'enfermant dans sa chambre et en mettant feu à sa maison sauf qu'il expliqua qu'il avait oublié ses domestiques dans sa maison et fut donc obligé d'appeler du secours pour les sauver. N'ayant trouvé aucune autre solution, il décida de mettre fin à ses jours pour se débarrasser de cette personne qui lui gâchait la vie. Texte rédigé par Claire Folie meurtrière à Rouen Dans la soirée d'hier ,un homme accourt au village, paniqué, suppliant que quelqu'un vienne l'aider: sa maison est en feu, et trois personnes sont bloquées à l'intérieur. Arrivés trop tard, les pompiers n'auront pas réussi à les sauver. Mais d'où venait donc cet incendie meurtrier ? Était-il accidentel ? Il se trouve que non. Après avoir était interrogé longuement ,le maître des lieux, un vieil homme tourmenté, a fini par avouer : Voilà plusieurs mois qu'il se sentait épié par une force invisible; le Horla l'appela t-il. Cet être imaginaire se serait emparé de la maison avant de hanter l'âme du vieillard, l'empêchant d'abord de dormir avant de l'empêcher de vivre sereinement sa vie.C'est donc pour s'en débarrasser que l'homme a délibérément mis feu à sa demeure en oubliant ses domestiques bloqués à l'intérieur. Texte rédigé par Zoé La folie emporte un homme à Rouen C'est le 10 septembre 1887 que se déroulèrent les faits. Un homme d'apparence banale, sans doute pris d'une crise de folie passagère aiguë, transforma sa demeure en bûcher, en ayant prit soin de laisser ses domestiques enfermés à l'intérieur. Pris de remords, il appela à l'aide, cependant il était trop tard. Les enquêteurs n'ont trouvé
aucun
survivant.
Après quelques recherches sur le coupable, les soupçons sur son instabilité mentale se précisent : il prétend en effet être la victime d'un être surnaturel nommé "Le Horla", d'où le massacre qu'il a commis. Pour se libérer de son emprise, il a préféré
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brûler sa maison afin de faire disparaître toute trace de son passage. Ses idées sont encore très confuses, ce qui explique sa tentative de suicide quelques heures après ses actes meutriers. Seulement des questions restent encore à élucider : était-ce le fruit de sa folie, ou dit-il l'entière vérité à ce sujet ? Le mystère persiste ! Texte rédigé par Salomé Un fou criminel ou un homme victime d'événements surnaturels ? La nouvelle se répand dans tout le comté: un homme habitant à proximité de la ville de Rouen a tué ses domestiques résidant dans sa demeure, en provoquant l'incendie de celle-ci. L'explication viendrait d'un évènement étrange survenu dans la vie de cet homme; un corps étranger qui l'aurait habité, poursuivi, et contrôlé son âme .Ne pouvant le voir ni le toucher ,il voulut le détruire. Il tenta de l'enfermer dans sa chambre, et mit le feu à son habitation. Mais, il oublia les domestiques; éperdu d'horreur il essaya d'empêcher cette fin terrible qui les attendait, et provoquée, de plus, par sa propre main. Mais il n'y parvint pas. Son suicide reste un mystère. S'est-il tué à cause du remords qui le torturait ? Ou pour en finir avec cet esprit qui le tourmentait nuit et jour ? Pourtant, d'autres cas ont été signalés au Brésil, maladies psychologiques récurrentes ou phénomènes inexplicables ? Les scientifiques donneront leur opinion sur cette affaire, qui reste une énigme pour tous. Texte rédigé par d'Armella Du fantastique à la campagne C'est une étrange histoire, digne des plus surnaturelles, qui est arrivée à un de nos habitants. Tout commence il y a quelques mois. Alors qu'il profitait de ses vacances, il se sent malade. Malgré la prescription de médicaments par son médecin, son état s'aggrave. Il ne dort même plus à cause d'un cauchemar récurrent. Il décide de partir, afin de changer d'air. Jusqu'ici, rien d'anormal. Ce n'est que lorsqu'il revient chez lui que l'étrange se produit. Effectivement, il se rend compte que sa carafe d'eau est bue, alors qu'il dormait, et est sûr que ce n'est pas lui qui l'a bue. Il cherche une explication, et arrive à la conclusion (assez irrationelle) qu'une présence cohabite. Il s'enfuit à Paris puis revient 15 jours plus tard, et la présence
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se manifeste de nouveau, mais ouvertement cette fois car, selon les dires de Monsieur, un rosier se serait cassé sous ses yeux. Après des recherches, il apprend qu'il existe des créatures ayant déclaré la guerre à l'humanité ,du nom des "Horlas". Ne pouvant plus supporter cet Horla qui s'est introduit et installé chez lui, il met le feu à sa maison. Nous avons appris, il y a quelques jours, que Monsieur s'est suicidé. Aujourd'hui encore, nous n'avons aucune certitude de la mort du Horla. Texte rédigé par Léna Un immense incendie ravage une belle demeure près de Rouen , un mystère quelque peu étonnant. En effet ce matin , on découvre le château ravagé et son propriétaire mort d'une balle dans le crâne , L'enquête n'est pas totalement élucidée mais nous savons actuellement que c'est un suicide grâce aux traces sur l'arme . Les domestiques sont morts brûlés vifs car toutes les portes étaient fermées à clef . L'incident a sûrement été provoqué car la police a retrouvé des bidons d'huile à côté du chateau . Après avoir interrogé les villageois qui nous ont répondu que l'homme était bizarre ces derniers temps , qu'il confiait des choses étranges à son chauffeur . Une source anonyme nous a confié qu'il était revenu de chez sa soeur changé ! L'enquête avance mais l'énigme reste dure à élucider .. Suite de l'article samedi prochain . Texte rédigé par Dimitri Cette folie le conduira à de nombreuses actions toutes plus insensées les unes que les autres. Il en viendra même à mettre le feu à sa maison et laissera brûler vif ses domestiques. Maupassant souffrait de troubles, notamment l'impression de se voir à l'extérieur de lui, ou l'impression qu'il était étranger à la personne qu'il voyait dans le miroir. En fait le Horla est l'aboutissement d'une série de contes qui partent d'un
sentiment
de
double
puis
à
un
être
surnaturel.
Le héros habite dans un château au bord de Seine mais il va de temps en temps à Paris ou Rouen pour se distraire.L'intrigue
dure environ quatre mois.
Continuellement le héros essaye de se délivrer de l'emprise du Horla. Il est lucide et persévérant mais il ne peut échapper à sa folie . Dans sa quête seules les fêtes et les excursions l'aideront en lui faisant oublier ses
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soucis. Au bout du compte il brûle sa maison afin de se débarrasser de son double. Il laissera même brûler ses domestiques. Texte rédigé par Manon Rouen: trois personnes périssent dans l'incendie d'une maison. C'est un dramatique incendie qui a coûté, hier soir dans la banlieue rouennaise, à trois personnes, trois domestiques qui logeaient dans la maison qui a complètement été ravagée par les flammes. Il était un peu plus de vingt-deux heures lorsque, pour des raisons qui ne semblent pas encore vraiment déterminées, le feu a pris au rez-de-chaussée de l'immeuble se propageant très rapidement aux étages supérieurs ainsi qu'aux mansardes où demeuraient les trois malheureux. Acte invonlontaire, délibéré, criminel? C'est à ces questions qu'aura à répondre le propriétaire des lieux dans le cadre de l'enquête menée par la brigade de Gendarmerie de Rouen vite dépéchée sur place. D'après les premiers éléments de l'enquête, il semblerait que le maître des lieux souffrait depuis quelques mois de troubles d'angoisses, voire même de terreur. Il se sentait menacé, sous l'emprise d'un être invisible qu'il nommait le "Horla" que l'on définit comme un individu "hors du réel". Il aurait trouvé comme délivrance, comme libération que le fait d'anéantir, de tuer cet être surhumain qui lui gâchait sa vie, et hantait sa maison. Texte rédigé par Margaux Un homme, durant le mois de mai, s'était plaint de fortes fièvres, sans doute causées par une singulière maladie. Mais contre toute attente, son mal-être a persisté. Terrifié par l'idée de mourir et épuisé par une telle souffrance, il partit au Mont- Saint -Michel pour tenter de se soigner, début juillet. Une fois sur place, uen légère amélioration apparut. Cependant, cette torture le reprit dès son retour. Ses nuits cauchemardesques furent de plus en plus catastrophiques, il demeura hanté et appréhendait chaque nuit. Peu après son retour, il s'aperçut que sa carafe se vidait sans raison. Quelqu'un avait pu rentrer dans sa maison . Ou alors il était devenu fou à cause de son angoisse . Quelle que soit la vérité, la cause, elle, avait été trouvée. Terrorisé, il fuit sa maison quelques jours en direction de Paris. Il y
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célébra la fête de la république. Ce faisant, ses hallucinations ne cessèrent pas. De nombreux fait étranges se produisirent : Il accusa sa cousine de s'être fait manipuler lors de son sommeil par le médecin et il vit une fleur s'élever puis se casser instantanément. Il se sentit alors possédé et recouvert par la folie. Il resta tout de même fidèle à ses croyances et guetta alors cet étrange visiteur séjournant dans sa demeure. Ses investigations n'aboutirent pas. Jusqu'au jour où il sentit cet inconnu au dessus de ses épaules durant sa lecture. Il tomba alors brusquement, compte tenu de sa nervosité. Ereinté, il mit feu à sa maison dans un élan de stupeur, oubliant même ses domestiques. Le "Horla" n'est donc pas un être humain à part entière, mais plutôt le fruit de la mort. L'homme a été retrouvé mort ce matin, au pied de sa maison,sans doute à cause de ce mystère qu'il n'avait pas pû résoudre.. Texte rédigé par Victoria Il y a quelques jours aux alentours de Rouen, un homme nommé Jean s'est suicidé. Il a apparement été victime d'une maladie. Il a eu une très grande fièvre. Cet homme n'était pas heureux et son état faisait qu'empirer. Jean se sentait suivi par quelqu'un ou bien possédé. Il disait tout cela dans son journal intime que l'on a retrouvé dans sa chambre. C'est ici qu'il disait qu'il se passait des choses étranges. A cause de cet être invisible, il lui était impossible de dormir. D'aprés lui, ce serait le Horla qui hanterait sa maison. Pour se débarrasser de cet être invisible qui l' empéchait de continuer de vivre normalement, il décida de le tuer. Il l'a donc enfermé et brûlé. Il partit de chez lui en criant dans le village qu'il y avait le feu dans sa demeure. On a découvert qu'il y avait deux autres personnes dans sa maison lors de l'incendie provoquer par lui-même. Ces deux personnes étaient ses deux servantes. Ensuite, dans son journal, il est écrit qu'il devrait se tuer lui-même pour tuer le Horla car l'incendie ne l'a peut être pas entierement tué. Nous ne savons pas si cet homme disait vrai dans son journal ou bien s'il avait des problèmes psychologiques qui le rendraient complètement fou. L'enquête ne s'arrêtera pas, il reste encore pas mal de choses à comprendre dans cette affaire car nous n'avons pas la moindre preuve que le Horla ait réellement existé.
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Texte rédigé par Yohann Un homme rongé donne la mort...Le 10 septembre 1887, un homme se servit de l'huile de ses lampes pour mettre la feu à son domicile. Réalisant la gravité de son acte, il chercha de l'aide, mais le feu s'était déjà propagé... Celui-ci réalisa cet acte pensant qu'il était hanté, rongé par un esprit, nommé "le Horla". Selon lui, c’était un corps transparent avec lequel il ne pouvait guère avoir de contact, qu'il parvenait à voir à travers le reflet d'un miroir. L'homme avait oublié une chose importante:ses domestiques étaient enfermés dans sa demeure, tous y ont péri... L'homme pensant ne s'être toujours pas séparé de cet esprit se donna la mort de façon à s'en libérer à jamais..." Texte rédigé par Morgane Fou et possédé ou maladie? Un homme a été retrouvé mort près de la Seine.Suite à une enquête on a découvert qu'il aurait été victime d'une maladie, venue du Brésil.Ce serait une épidémie de folie. Cet homme aurait contracté cette maladie suite au passage d'un bateau brésilien sur la Seine, près de sa maison. L'homme était connu pour sa bonne humeur, mais les premiers symptomes de la maladie se serait annoncés lorsque l'homme se serait senti triste. Il avait alors programmé un voyage au Mont -St- Michel où il se serait d'abord senti mieux, pour être pris par la suite d'une profonde mélancolie. Durant son voyage au Mont, pendant la nuit un inconnu aurait bu sa carafe d'eau. L'homme que nous appelleront George aurait alors disposé différent aliments, mais seul l'eau et le lait disparaissés. Il avait alors compris qu'il y avait une présence près de lui, cette même présence qui avait "formé" l'épidémie au Brésil. L'homme aurati eu confirmation de ses soupçons consernant cette présence lorsqu 'il a eu cette impression d'être suivi et observé. Ne pouvant supporté d'être ainsi épié, il aurait décidé de tué cette Etre Invisible, appelé le Horla. Un soir, il aurait appâté cete présence dans sa chambre avant de l'enfermer. Il serait ensuite descendu au salon où il aurait allumé un incendie( involontaire ou volontaire?). Il serait ensuite aller se cacher au fond de son jardin. Oubliant dans sa précipitation ses deux servants, il s'en serait rappellé en entendant leur cri. Descendant très vite au village ,il aurait crié "au feu" afin
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d'avertir les personnes. Suite à cette incendit ses deux servants auraient été tués et l'homme se serait suicidé croyant que d'autres Etres Invisibles arrivaient.
Texte rédigé par Déborah Le début de cette histoire commence par une description d'un château médiéval paisible. L'histoire commence à basculer, entre dans le surnaturel. Julien a reçu une des meilleures éducations qui puissent exister avec du raffinement, de l'affection, du luxe, de la culture et de la générosité, puis petit à petit, l’histoire devient de plus en plus sombre. En effet, Julien révèle son côté obscur, il se révèle sadique et se délecte du meurtre des animaux:tout commence par une souris, puis un rat. Mais un jour ,son père décide que le moment est venu pour Julien de connaître le monde de la chasse mais cette scène va permettre à Julien d' assouvir ses envies de meurtre . Tuer provoque tellement de plaisir à Julien qu'il en vient même à penser
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qu'il puisse un jour tuer ses parents. Cette idée lui fit tellement peur qu'il prit la fuite et , pour se faire pardonner ,il se mit à aider les gens dans le besoin. Il aida un empereur et pour le remercier, celui -ci lui offrit la main de sa fille. Ils vécurent des jours heureux et paisibles jusqu'à ce que Julien ait envie de tuer à nouveau .Pendant ce temps, ses parents décidèrent de reprendre contact et vinrent chez lui. En arrivant, Julien trouva un homme et une femme dans son lit. Enervé et vexé de n'avoir tué aucun animal,il tua les personnes dans son lit sans chercher à comprendre .En allumant la lumière ,il se rendit compte que c'étaient ses parents. Honteux de ce qu'il avait commis, il s'enfuit et devint prêtre. Il ouvrit un hospice, il aida les gens malades et pauvres. Un lépreux le prit dans ses bras et Julien s'en alla paisiblement avec Dieu. Texte rédigé par Laurenn Julien est pris très jeune par la passion de la chasse. Un jour, comme dans un rêve, ne se fatiguant pas de tuer, il commet un immense et cruel carnage. Un grand cerf lui prédit qu'il assassinera ses parents. Pour fuir cette prédiction, il se jette dans des aventures guerrières, loin de chez lui. Un empereur, qu'il a sauvé, lui donne sa fille en mariage, ainsi qu'un château. Une nuit, il sort, repris par le démon de la chasse. Mais il se révèle incapable de tuer un seul de tous les animaux qu'il rencontre. Pendant ce temps, ses parents qui le cherchaient depuis longtemps, se présentent à son château, et sa femme les couche dans son lit. A son retour, Julien croit trouver un homme couché avec sa femme et les tue, avant de découvrir qu'il vient de réaliser la prédiction du grand cerf. Il fuit à nouveau, se fait mendiant, et s'installe finalement comme passeur au bord d'un fleuve inhospitalier. Une nuit, Jésus, sous la forme d'un lépreux, l'appelle pour qu'il lui donne le passage, lui réclame à manger, à boire, à se chauffer, et se couche dans son lit. Julien le réchauffe de son corps et est enlevé au ciel. Texte rédigé par Flore Cette histoire se déroule dans un château paisible et prospère. Les deux parents de Julien sont présentés comme bons, sérieux et Dieu les protège. Tout a l'air d'un conte de fées jusqu'au moment où les parents de Julien ont des visions. L'éducation
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de Julien se caractérise par l'amour de ses parents, le luxe... .Son éducation est très complète et Julien doit devenir un homme bon. A partir du moment où Julien grandit, on peut observer qu'il évolue vers un côté plus obscur . L'enfant aime torturer et tuer des petits animaux. De ce fait, il aime la chasse et les préparatifs semblent incroyables. En effet, le bestiaire est énorme par le nombre de chiens, d'oiseaux mais aussi par le nombre d'animaux qui ont une provenance lointaine (comme des lions ...). Le caractère de cet enfant est barbare. Les prédictions du père semblent se réaliser mais dans la cruauté. Julien devient sauvage "(...) buvait l'eau des sources dans sa main, mangeait en trottant des pommes sauvages, s'il était fatigué se reposait sous un chêne; et il rentrait au milieu de la nuit couvert de sang et de boue, avec des épines dans les cheveux et sentant l'odeur des bêtes farouches" . Il tue des bêtes de sang- froid sans avoir de remords. Un soir, il croit voir une cigogne dans le jardin, or, en réalité, il s'agit de sa mère. Il lui lance son javelot mais " un cri déchirant partie. C'était sa mère." et de ce fait, il décide de s'enfuir du château. Plus tard, il s'engagea dans une troupe d'aventuriers et il sauva l'empereur. Pour remercier Julien, il lui propose plusieurs récompenses mais il les refuse toutes sauf une, sa fille. Il s'installa dans un palais avec son épouse, et décide de ne plus chasser mais l'envie est présente. Il résiste à cette envie, jusqu'au soir où il entend une bête à sa fenêtre. Avec l'accord de sa femme, il partit à la chasse. Il tue énormément, mais, il a une hallucination d'un cerf juste avant qu'il ne meure. De retour à son palais, il aperçoit un homme dans le lit de sa femme. Pris de colère, il le tue ainsi que la femme à côté de cet homme. Quelques minutes après, il crut voir le fantôme de sa femme et s'aperçoit que ce sont ses parents. La vision du cerf se réalise. Après les funérailles, il décide de s'enfuir à nouveau. Il s'installe près d'une rivière où il fait traverser des voyageurs sur une barque. Un soir de tempête, un homme l'appelle de l'autre côté de la rivière. Il l'amène chez lui. Cet homme est Dieu et Julien meurt. Texte rédigé par Simon Julien est le fils d'un petit seigneur local. À sa naissance, deux messagers surnaturels rendent visite indépendamment à ses géniteurs pour leur annoncer que leur fils est promis à un destin extraordinaire de conquérant et de saint. L'un et
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l'autre, enthousiasmés par la divination, se taisent cependant et se dévouent entièrement à l'éducation et la liberté de leur fils. Julien grandit au milieu de la nature et se découvre un goût enivrant pour la chasse. Ne pouvant plus contrôler son appétit de prédateur, il réalise de véritables tueries dans les forêts environnantes, décimant tout animal qui passe à sa portée sans le moindre discernement ou la moindre pitié. Alors qu'il massacre un cerf, sa biche, et leur faon, il se trouve soudainement défait de ses armes, le cerf blessé et se tourne face à lui pour l'encorner mais s'arrête mystérieusement et lui lance une malédiction :s'il mourrait, il promit que Julien tuera ses parents . Julien prit les menaces au sérieux et partit rejoindre les grands princes du monde pour se battre. Le prince d'Occitanie le remarqua et suite à une victoire, lui donna sa fille comme épouse. Ils s'installaient alors dans un palais. Mais un jour, il se mit à chasser, promettant à sa femme qu'il reviendrait assez vite. Pendant ce temps, la femme accueillit les parents de Julien qui dormaient alors dans sa couche. Julien revient et distingua deux personnes dans son lit: pris de panique il les égorgea et remarqua juste après que c'était ses parents . Il abandonna alors sa vie et partit dans la forêt pour faire passeur. Un jour, il fut réveillé par un lépreux qui lui demanda de l’aider, ce qu'il accepta . Le lépreux était en réalité Jésus qui l'emmena au paradis Texte rédigé par Léa Deux mystérieuses prédictions accompagnent la naissance de Julien : il sera saint et empereur. Pendant sa jeunesse, Julien devient un seigneur cruel. Lors d'une chasse, un cerf lui prédit qu'il tuera ses parents et peu après, la prédiction manque de se réaliser : involontairement, Julien tire sur sa mère. Pour échapper à la prédiction, il quitte le château familial. Il combat dans plusieurs armées et obtient en mariage la fille d' un empereur grâce à ses exploits. Une nuit pendant que Julien est à la chasse, ses parents, depuis longtemps à sa recherche, se présentent à sa femme, qui leur offre sa couche pour qu'ils se reposent. A son retour, Julien croyant apercevoir dans l'obscurité un homme couché dans son lit auprès de sa femme, égorge ses parents. Lorsqu'il découvre l'horrible vérité, il renonce à tous ses biens et se met au service des autres en se faisant passeur. Une nuit, il fait
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traverser un lépreux qu'il héberge, nourrit et réchauffe de son propre corps. Alors, l'agonisant, qui n'est autre que "Notre Seigneur Jésus" l'emporte jusqu'au ciel. Texte rédigé par Yohann Malgré l'éducation qu'a reçue Julien, il est devenu un adepte du crime; il prend plaisir à abattre des animaux de toutes sortes: cerfs, chevreuils, blaireaux et bien d'autres encore. Mais un jour, un cerf le mit en garde et lui dit qu'à force de prendre plaisir à tuer des bêtes, un jour, il tuerait ses parents. Cette révélation lui fit froid dans le dos. Julien décida de prendre la fuite. Il partit et aide toute personne nécessitant de l'aide. Un jour, il aida un empereur détrôné à reprendre son trône en coupant la tête de l'empereur qui avait pris sa place. Cela prouvait bien que tuer ne l'effrayait pas. Pour le remercier de cet acte, l'empereur lui offrit la main de sa fille. Ils étaient très heureux et vivaient paisiblement. Puis Un jour, Julien partit à la chasse, mais ce dernier n'avait tué aucune bête, ce qui l'avait rendu colérique. En rentrant, il pénétra dans la chambre ou dormait sa femme, mais elle n'était pas là. Cependant, deux personnes étaient ici, devant lui. Julien les abattit. C'est en allumant la lumière après avoir tué ces deux personnes qu'il se rendit compte que ces deux étrangers étaient en réalité ses parents... Le cerf ne s'était pas trompé... Texte rédigé par Laura C Julien est pris très jeune par la passion de la chasse. Un jour, comme dans un rêve, ne se fatiguant pas de tuer, il commet un immense et cruel carnage. Un grand cerf lui prédit qu'il assassinera son père et sa mère. Pour fuir cette prédiction, il se jette dans des aventures guerrières, loin de chez lui. Un empereur, qu'il a sauvé, lui donne sa fille en mariage, et un château. Une nuit, il sort, repris par le démon de la chasse. Mais il se révèle incapable de tuer un seul de tous les animaux qu'il rencontre, et qui semblent se moquer de lui. Pendant ce temps, ses parents, qui le cherchaient depuis longtemps, se présentent à son château, et sa femme les couche dans son lit. A son retour, Julien croit trouver un homme couché avec sa femme et les tue, avant de s'apercevoir qu'il vient de réaliser la prédiction du grand cerf. Il fuit à nouveau, se fait mendiant, et s'installe finalement comme passeur au bord
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d'un fleuve inhospitalier. Une nuit, Jésus, sous la forme d'un lépreux, l'appelle pour qu'il lui donne le passage, lui réclame à manger, à boire, à se chauffer, et se couche dans son lit. Julien le réchauffe de son corps et est enlevé au ciel. Texte rédigé par Garance R Deux mystérieuses prédictions accompagnent la naissance de Julien : il sera saint et empereur. Pendant sa jeunesse, Julien devient un seigneur cruel. Lors d'une chasse, un cerf lui prédit qu'il tuera ses parents et peu après, la prédiction manque de se réaliser : involontairement, Julien tire sur sa mère. Pour échapper à la prédiction, il quitte le château familial. Il combat dans plusieurs armées et obtient en mariage la fille d' un empereur grâce à ses exploits. Une nuit pendant que Julien est à la chasse, ses parents, depuis longtemps à sa recherche, se présentent à sa femme, qui leur offre sa couche pour qu'ils se reposent. A son retour, Julien croyant apercevoir dans l'obscurité un homme couché dans son lit auprès de sa femme, égorge ses parents. Lorsqu'il découvre l'horrible vérité, il renonce à tous ses biens et se met au service des autres en se faisant passeur. Une nuit, il fait traverser un lépreux qu'il héberge, nourrit et réchauffe de son propre corps. Alors, l'agonisant, qui n'est autre que "Notre Seigneur Jésus" l'emporte jusqu'au ciel. Texte rédigé par Charline Né de parents nobles, dans un château, Julien devient un jeune homme vigoureux, ardent, et très cruel, passionné de chasse. Un jour, après avoir massacré une harde de cerfs, il voit s’avancer vers lui le grand mâle qui la commandait, et celui-ci lui parle : "Maudit, maudit, maudit ! Un jour coeur féroce tu assassineras ton père et ta mère.". Effrayé de cette prophétie, Julien délaisse la chasse ; mais peu de temps après, il manque de tuer accidentellement son père et sa mère. Il fuit alors le château et mène une vie d’aventurier. Devenu un mercenaire célèbre, il loue ses services aux principaux souverains d’Europe et traite avec eux d’égal à égal. Ne sachant comment le récompenser, l’empereur lui offre sa fille en mariage, et les deux jeunes gens vivent heureux, jusqu’au jour où Julien se laisser attirer par des animaux sauvages dans la forêt. Entre-temps, ses vieux parents sont arrivés au château : leur belle-fille a le plus grand mal à les reconnaître en ces mendiants
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décharnés. Quand Julien rentre, ces parents sont étendus sur son lit. Dans l’obscurité, Julien croit trouver sa femme en compagnie d’un amant et il les massacre. Le voilà de nouveau errant sur les routes, menant la vie d’un pèlerin. Il finit par se fixer au bord d’un fleuve et fait le métier de passeur. Un jour, en plein orage, il est appelé de l’autre rive par un affreux lépreux. Il va le chercher, et l’homme lui demande l’hospitalité. Il mange toutes les provisions de son hôte, s’installe dans son lit et, ne pouvant se réchauffer, demander à Julien de venir à côté de lui, puis de s’allonger sur lui. Julien s’exécute, et tout à coup le lépreux devient Jésus qui entraîne Julien à sa suite, au Ciel. Texte rédigé par Laura-Valentina Cette histoire débute dans un château où d'après la description, l'argent coule à flots. Un seigneur et sa femme y habitent. Toujours d'après sa description, nous pouvons voir que le fléau de la guerre n'a pas frappé depuis longtemps. La châtelaine, à force de prier Dieu, mit un jour au monde un fils prénommé Julien. Par deux fois, les parents comblés par cette naissance reçurent la visite d'un messager . Pour la femme, la prédiction disait que l'enfant deviendrait Saint. Pour le mari, il connaîtrait la gloire au prix de beaucoup de vies. Malgré de telles prédictions, ils l'élevèrent avec beaucoup d'amour et de tendresse .Son éducation fut complète à la hauteur de son rang. Elevé dans la foi chrétienne, son entourage lui apprit à accueillir l’étranger. Malgré son éducation dans l'amour,ça ne l'empêcha pas de vouer une haine envers les animaux . Il en tortura des dizaines et les fit mourir sans aucune pitié. Un jour, le seigneur, son père, décida de lui constituer une meute. Cet apprentissage de la vénérie amplifia en lui ce tel besoin de violence. Au fur et à mesure que le temps passait, Julien ne se lassait pas de tuer. Au cours d'une chasse, il tua toute une famille de cerfs. Le mâle lui parla avant de mourir et Julien comme ses parents, quelques années plus tôt, reçu un message. Il eut peur de cette prédiction. Par la suite, il faillit tuer à plusieurs reprises ses deux parents. De peur de leur faire du mal, il prit la décision de quitter la demeure familiale. Il s'engagea dans l'armée et grâce à son désir de tuer et ce sentiment de vengeance qui résidait en lui, il gravit vite les échelons. Suite à une bataille gagnée, il reçut de la part de l'empereur d'Occitanie la main de sa fille.
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Quelques fois dans des songes, il voyait des animaux partout et ne pensait qu'à les tuer. Un soir n'en pouvant plus, il décida avec l'accord de sa femme de partir à la chasse. Frustré de ne pas avoir assez tué, il revint avec une colère immense. Espérant se calmer au coté de sa femme, il alla pour l'embrasser mais à la place il sentit une barbe. Pensant avoir été dupé, il tua sous l'effet de la colère l'homme et la femme dormant dans le lit qui, en réalité, était son père et sa mère. La prophétie s'accomplissait alors. Il s'en voulu tellement qu'il décida de repartir. Depuis ce jour, il prit l'habit de pauvre laissant derrière lui tout ce qu'il possédait. Il s'en alla mendiant sa vie sur les routes. Malgré le temps, rien n'apaisait ses remords. Il décida de mettre fin à ses jours. Avant de commettre l’irrémédiable, il vit dans l'eau d'une fontaine le visage de son père beau et serein. Il renonça alors à ce geste et continua son chemin. Il vit un pont infranchissable et décida de se rendre au service en faisant passer les gens d'une rive à l’autre. Une nuit par une grosse tempête, un homme l'appela pour solliciter son aide . Julien alla le chercher et s'aperçu que cet homme était un lépreux. Cet homme lui demanda à manger et à boire . Julien lui donna tout ce qu'il possédait. L'homme eut froid et demanda à Julien de le réchauffer ; ce dernier surmonta le dégoût que les gens portaient habituellement aux lépreux et réchauffa l'homme avec toute sa personne. Puis, doucement, il se laissa guider vers la mort avec une certaine joie et sérénité. Explication de texte : D'après un vitrail, Gustave Flaubert en 1875 reprend la légende normande de St Julien l'Hospitalier. En lisant cette légende, nous faisons inévitablement un lien avec le mythe d’Oedipe. Ce qui est normal et qui nous conforte dans l'idée que nous n'échappons pas au destin, quoi que que nous fassions pour s'y dérober. Au cours de notre lecture, nous nous posons des questions sur le fait que ce texte soit réaliste ou dérive vers le surnaturel. L'histoire se passe dans un cadre riche et paisible. Au milieu de la page 2, on trouve "s'était procuré des tiercelets du Caucase, des sacres de Babylone, des gerfauts d'Allemagne, et des faucons pèlerins”. Si nous nous remettons dans le contexte historique posséder tout cela était impossible .Alors, que penser ? Nous allons explorer une autre piste qui va nous faire passer dans le côté surnaturel de l'histoire. Au cours de cette oeuvre 3 apparitions vont se faire, chacune pour prévenir de quelque chose . Ce qui les unit
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est le côté irréel de la chose. Désormais, nous sommes sûrs de notre hypothèse. Si cette histoire est appelée "légende", c'est qu'elle est un peu imaginaire. Le monologue final nous fait penser à un passage de l'Evangile de St Matthieu 25,3540. Texte rédigé par Audrey Julien est le fils de nobles qui vivent dans un château où la paix règne depuis longtemps. Lorsqu'il est encore petit ,ses parents reçoivent deux prédictions n'annonçant rien de bon. Les parents de Julien lui offrent donc une éducation complète afin qu'il ne devienne pas l'homme mauvais du fait des prédictions. Mais malgré sa parfaite éducation, le coté sombre de sa personnalité fait surface pour nous faire découvrir un enfant cruel ayant le goût de la mort. Son paire l'initie à la chasse, et un jour après avoir massacré une harde de cerf, le grand mâle lui annonce qu'il tuera son père et sa mère. Effrayé, l'enfant délaisse la chasse et semble se radoucir. Mais un jour il manque de tuer ses parents par accident et décide de quitter le château et vit une vie d'aventurier. Un empereur qu'il a sauvé lui offre sa fille en mariage. Un jour qu'il est repris par le démon de la chasse, alors qu'il n'arrive pas à tuer un seul animal comme si la foret se vengeait de lui, ses parents se rendent à sa nouvelle demeure et sont couchés par sa femme dans son lit. Croyant que sa femme le trompe et pousse par une folie meurtrière, il tue les occupants de son lits, ses propres parents avant de réaliser qu'il vient d'accomplir la prédiction du grand cerf. Il fuit à nouveau, et devient mendiant. Un jour il rencontre un lépreux. L'agonisant lui demande à boire et à manger, ce que Julien lui offre, le réchauffant de son propre corps. Ce lépreux qui n'est autre que « Notre Seigneur Jésus », emmène Julien au ciel. On retrouve très nettement dans ce texte des allusions à la Bible. Lorsqu'il est « chasseur » ,il a une valeur divine, il est Adam ou Noé, qui a un pouvoir de vie et de mort sur les animaux. Tuer est un peu pour lui comme croquer dans le fruit interdit, il est toujours tenté et ne peut s'en empêcher. La nouvelle peut aussi avoir la connotation du péché originel. Julien aime tuer des animaux ce qui se transforme en fantasme de tuer des humains. Il dans une sorte de castration lorsqu'il cherche à tuer des animaux alors qu'il ne sont
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plus en abondance, On retrouve les connotations sexuelles dans le brame du cerf lorsqu'il tue ses parents. Et cela se confirme dans son étreinte avec le lépreux. Texte rédigé par Amandine C'est l'histoire d'un père et d'une mère qui habitaient un château calme et en paix depuis longtemps. A force de prier Dieu, la mère tomba enceinte d'un garçon qui s'appela Julien. Sa mère lui apprit à chanter, son père à monter à cheval et à chasser. Il apprit à lire et écrire dans une tourelle avec un moine. Un jour, il aperçut une souris dans une église et il voulut la revoir, donc il y retourna quelque temps après avec un morceau de pain qu'il déposa sur le sol. Quand il vit la souris, il l'assomma. Quand il eut l'âge d'aller à la chasse, il pris du plaisir à tuer des animaux et de les voir souffrir. Un jour en tuant un cerf, avant de se laisser tomber, celui- ci lui dit que s' il recommençait à tuer des animaux ,ses parents mourraient. Après avoir failli tuer son père et sa mère, il s'enfuit du château. Il fut engagé dans une armée et très rapidement commandant d'une compagnie. Pour le récompenser le roi voulut lui offrir beaucoup d'argent ou même les trois quarts de sa richesse mais Julien refusa. Alors le roi lui offrit le mariage avec sa fille et un château. Un jour, il partit à a chasse et ne revenant que dans la nui, au moment d'aller se coucher il voulut embrasser sa femme mais il sentit une barbe et pensant que sa femme le trompait il poignarda cet homme qui en fait était son père. Texte rédigé par Océane Dans un petit village se trouve un couple essayant de trouver un moyen de faire un enfant. Pour leur plus grande joie, ce fut le cas, ayant chacun quelques apparitions divines, ils ne purent faire partager ça à tout le monde de peur de passer pour un fou, orgueilleux. Malgré ça leur fils Julien se portait bien. Mais au fur et à mesure de sa vie, il devint un monstre, il prit le goût de la mort dès sa plus petite enfance. Tuant, dépouillant, aimant le sang il se réjouissait de ces morts sordides dont il en était l'auteur. Tout y passait, ours, lièvre, sa froideur était sans relâche sa meilleure arme. Mais un jour, une famille de cerfs eu la fâcheuse idée d'apparaître sous ses yeux: le plus petit, la mère furent les premières victimes, quand le père se mit à
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courir à vive allure sur Julien se prenant alors une flèche dans le crâne. Malgré cela, le cerf eut le temps de rester en vie quelques minutes encore pour pouvoir effrayer l'enfant,et lui disant que s'il continuait, il finirait par tuer ces parents avant de s'effondrer. Julien fut alors traumatisé par cette expérience, quand un jour on lui présenta une arme blanche. Celle-ci faillit tuer le Père, l'enfant alors tomba de peur et ne s'en remit pas. Pour se rattraper il partit un jour à la guerre sauver des manants, des familles. Ce fut un grand guerrier, n'ayant pas peur de la mort pour sauver sa nation. Le Roi pour son courage lui offrit la main de sa famille, il eut un beau mariage, une jolie vie. Un jour il ne put résister car sa femme n'eut pas le bon mot pour le retenir. Parti à la chasse, les parents de Julien apparurent au château et sa femme les accueillit avec prestige, elle les nourrit et les coucha. Quand Julien rentra, il les assassina en plein coeur, ils étaient à l'agonie. Il partit honteux, abandonnant sa femme; il alla raconter son histoire dans les rues. Un jour il fit une barque où il pouvait alors s'évader sur les océans et laisser son esprit se reposer, il fit alors la connaissance d'un homme qui apparut sans qu'il ne s'en rende compte; il lui demanda de le couvrir, de le nourrir, et partit alors dans les cieux car ce fut notre seigneur le Christ, il était alors venu le jour de sa mort. Texte rédigé par Zoé La légende de St Julien l'Hospitalier raconte l'histoire de deux châtelains, vivant dans un royaume prospère et chaleureux. Leur seul ennui est de ne pas avoir d'héritier, mais cela ne dure pas longtemps puisque ils attendent un garçon. Leur bonheur est complet jusqu'à ce qu'un jour, chacun d'entre eux a une vision : la femme est prévenue par un vieil homme que son fils deviendra un saint, tandis que son mari lui, reçoit une vision d'un bohème lui apprenant que son fils versera "beaucoup de sang". L'enfant naît, et ses parents font tout pour le protéger de ses visions, qui les troublèrent quelque peu. Il est élevé dans l'amour, la connaissance et les bonnes manières. A présent tout semble parfait jusqu'à ce que Julien développe un désir de faire du mal aux animaux. Un jour, alors qu'il chasse, il est pris d'une vision : un cerf lui apprend qu'il tuera ses parents. Il met fin à ses massacres, mais quelques temps plus tard, il tire involontairement sur sa mère, la prenant pour une cigogne. Pris par la peur et la honte, il s'enfuit et part se ranger
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pour la guerre. Il combat dans plusieurs armées et finit par épouser la fille d'un empereur, s'étant fait remarquer par ses exploits militaires. Mais ses parents le cherchent, et un jour, alors qu'il chasse, ils se présentent à sa femme qui leur propose l'hospitalité. Mais en rentrant, Julien, persuadé qu'un autre homme est couché avec sa femme, il les égorge. Découvrant son erreur, il comprend que la prédiction s'est réalisée, il s'enfuit une seconde fois, renonçant à son titre et à ses biens. Il devient passeur, et une nuit, un lépreux se présente à lui, à l'agonie. Julien le réchauffe donc et le nourrit. C'est alors que le vieil homme, qui n'est autre que Jésus, l'emporte au paradis. Texte de Pauline. Les parents de Julien sont de riches nobles qui, chacun son tour, reçoivent une prédiction sur leur fils. La mère de Julien apprend d'un mendiant que son fils sera un saint, et son père plus tard apprend que son fils versera le sang. Pris de peur par cette prophétie, les parents lui donnèrent la meilleure éducation possible tout en le préservant de tout risques. Mais cela n'empêcha pas Julien de devenir violent et cruel envers les animaux, qu'il torturait jusqu'à la mort ou pour le plaisir de les voir souffrir. Lors d'une chasse après avoir massacré des cerfs, l'un lui dit qu'il tuera ses parents, peu après il tire involontairement sur sa mère. Ne voulant aggraver la situation au risque de tuer ses parents, il quitte le château et part combattre dans l'armée. Il épouse d'ailleurs la fille d'un empereur dont il a sauvé la vie. Les parents de Julien ayant retrouvé leur fils trouvèrent sa femme qui leur proposa de dormir dans leur lit. A son retour de la chasse, Julien trouva deux silhouettes dans son lit;croyant que sa femme le trompait il les égorgea tous les deux. Après s'être rendu compte de son erreur, il devint passeur. Un soir alors qu'un lépreux vint chez lui, il le réchauffa de son propre corp et le nourrit, cet homme n'était autre que le Seigneur en personne qui le fit monter au ciel. Texte de Salomé Un couple de seigneurs, vivant dans la richesse et l'opulence ,eurent un jour un enfant nommé Julien. Celui-ci fut victime d'une prophétie. Il eut pourtant une éducation exemplaire et des plus raffinées, mais son destin finit par le rattraper. Sa cruauté se développa d'année en année. Sa passion pour la chasse et la chasse ne cessait de s'accroître, et devint un redoutable tueur. Un jour où il exterminait tout
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un troupeau de cerfs, l'un deux, le plus grand, lui fit une annonce. Il lui dit, que la mort de ses parents, serait causée par les mains de Julien. Horrifié de ce présage, il quitta sa terre natale, créa une armée et devient le héros de nombreux pays. Un empereur, en guise de remerciement lui offrit sa fille en mariage. Ils s'installèrent ensemble et vécurent une vie paisible, loin des guerres et du monde. Mais un jour, les parents de Julien, arrivèrent au château. Celui-ci, parti à la chasse, revient bredouille et fou de rage voulut se coucher. C'est alors qu'il vit un homme dans le lit conjugal, il le tua et tua aussi la femme qu'il pensait être la sienne à son côté. Il s'aperçut par la suite que ce couple n'était autre que ses parents. Horrifié, il partit une seconde fois pour mener une vie de misérable afin de se repentir de son effroyable acte. Il finit par devenir passeur, et vécut de ce que les gens lui donnèrent. Un lépreux pendant la nuit, l'appela et lui somma de venir le chercher. Il lui demanda ensuite le gîte et le couvert, puis aussi la chaleur de son corps. Julien fit ce qu'on lui dit, et monta au paradis avec ce vieillard qui n'était autre que le Christ lui même. Texte rédigé par Armella L'histoire se passe dans une famille de riches châtelains croyants. Les châtelains ne cessent de prier Dieu afin qu'il leur donne un fils. Elle met finalement son enfant au monde. Les parents, heureux de cette naissance, ont des visions surnaturelles. Les auteurs de ces visions sont un bohème et un ermite; l'un apprend au père qu'il sera guerrier; l'autre apprend à la mère qu'il sera un homme d'église, mais ils n'en parlent à personne. Bien que Julien soit élevé avec amour, il commet un jour un véritable carnage. Julien est passionné de chasse, et un jour, dans la forêt, un cerf lui prédit qu'il assassinera son père et sa mère. Julien fuit loin de chez lui, devient guerrier (référence à la prophétie de l'ermite). Il sauve ensuite un empereur dont il épousera la fille. Une nuit, il repart à la chasse mais le voilà encerclé par tout les animaux de la forêt. Pendant ce temps, dans son château, sa femme accueille ses parents qui le cherchaient depuis longtemps, et elle les couche dans son lit. Lors de son retour, Julien pense qu'un homme couche avec sa femme et les tue. La prédiction que le cerf lui avait faite se réalise. Il fuit de nouveau, devient mendiant, s'installe au bord d'un fleuve. Jésus, sous la forme d'un lépreux, l'appelle afin qu'il
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lui donne le passage, il lui réclame à manger, à se chauffer... Julien le réchauffe alors de son corps et est enlevé au ciel. Texte rédigé par Léna Julien est né dans une famille noble , une prédiction est annoncée pour l'enfant dès sa naissance :'il écoulera beaucoup de sang et empereur , une autre dit qu'il sera saint .En effet l'enfant prend plaisir à voir souffrir de petites bêtes inoffensives , puis son père lui donne l'opportunité de chasser , il l'accepte , il chasse seul , et tue de nombreux animaux juste pour le plaisir de tuer .Un jour en tuant un cerf il s'avance et lui annonce une prophétie , en effet celle ci dit qu'il va tuer père et mère . de retour chez lui il manque de les assasiner deux fois de suite par étourderie .Il s'en va s'engager dans l'armée et devient un redoutable chef de guerre, il obtient le mariage de la fille de l'empereur qu'il a lui- même sauvé . Un jour, il va à la chasse et sa femme propose a ses parents qui le recherche depuis longues années de rester a l'attendre , Julien rentre chez lui et aperçoit de gens inconnus dans son lit , il tue ces personnes ne sachant pas que ce sont ses parents . Terrifié par cette idée il décide de partir. Malgré cette fuite l'homme veut mourir car son histoire sème la terreur au sein des villages, Un jour un lépreux le prend sous son aile et l'emmène au paradis ce lépreux serait en fait Jésus -Christ. Texte rédigé par Dimitri D'après Gustave Flaubert, cette histoire débute dans un univers calme et paisible où vivent deux châtelains. D'après la description de château, ce sont des gens possédant de l'argent et où le fléau de la guerre n'a pas frappé depuis longtemps. La femme, à force de prier Dieu, met au monde un enfant, ce fut un fils qui s'appela Julien. Les parents toujours enchantés et réjouis par cette naissance ont chacun leur tour une vision étrange. Ils y ont appris que leur fils serait un saint et qu'il y avait du sang. Ces faits leur parurent tellement étranges qu'ils n'en dirent pas un mot. L'enfant développa une certaine violence, effectivement il tua une dizaine d'animaux sans pitié. Julien a faillit tué ses parents accidentellement. Pris de panique, il quitta le domicile familial, après avoir monté uen armée, s'être battu
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pour la bonne cause, ces parents ont réussi à le retrouver. Un soir son désir de tuer s'amplifia, mais en tuant des animaux, il tua ses parents... Texte rédigé par Rose-Anne Les parents de Julien sont des nobles aisés, ils ont eu tous deux la prédiction. La mère de Julien apprend par cette prédiction faites par un mendiant que son fils sera un Saint, ainsi que son père lui apprend plus tard que son fils versera beaucoup de sang. Alors ils décidèrent de lui donner la meilleure éducation qu'il soit et le préservaient de tous risques. Mais malheureusement, cela n'empêcha pas Julien de devenir cruel et violent; il torturait ou tuait les animaux juste pour le plaisir de les voir souffrir il connaissait les méthodes de chasse que son père lui avait enseignées. Lors d'une chasse après avoir massacré des cerfs, l'un s'avance vers lui et lui dit qu'il finira par tuer ses propres parents. Peu après, il tira involontairement sur sa mère il prit peur d'aggraver la situation et prit la fuite. Il se mit à combattre dans l'armée de Saint -Sauveur, il épousa la fille de l'empereur dont il avait sauvé la vie. Un soir où Julien était parti a la chasse ses parents qui étaient toujours a sa recherche depuis sa fuite, retrouvèrent son logis et sa bien-aimée. Il se faisait tard ,la femme de Julien leurs proposa donc de s'assoupir dans leurs lit conjugales en attendant l'arrivée de leur fils . Julien rentra après et ne voyant les personnes dans son lit, crut que sa femme était avec un autre homme il les égorgea tous les deux , et la prophétie se réalisa: il tua ses parents. Il quitta tout pour devenir passeur, un jour un lépreux vint et l'emporta avec lui et Julien mourut. Il ya beaucoup de signification dans ce texte: tout d'abord les prédictions nous font pensés à l'Ange Gabriel qui annonce la venue de Jésus. Puis à la fin, le lépreux signifie Jésus tout comme il signifie la mort. Texte rédigé par Margaux D'après Gustave Flaubert, cette histoire débute dans un univers calme et paisible où vivent 2 châtelains. Selon la description de ce château, on apprend leur richesse et que le fléau de la guerre n'a pas frappé depuis longtemps. Cependant, la légende de St Julien l'Hospitalier appartient à la production des dix dernières années de l'écrivain. Ces années étant les plus terribles de sa vie, on s'attend donc à un récit
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tragique. Dès la première partie, l'envie meurtrière de Julien est mise en avant, nous savons alors que le meurtre aura lieu mais ses modalités restent mystérieuses. Dans ce conte on reconnaît légèrement Flaubert par le style provocateur (comme l'étant madame Bovary,...) Il est vrai que le fait de tuer ses parents et faire preuve d'autant de cruauté est une chose impensable, surtout à l'époque. Cette histoire est purement sadique et le champ lexical de la violence est dominant. Dès le début, l'histoire est présentée comme religieuse. Comme par exemple l'ermite, servant de messager. De plus ces châtelains sont très pieux. Dans ce conte on perçoit bien à quel point la religion était importante au Moyen-Age. Julien, ayant commis les pires erreurs se condamna lui même à créer un hospice et à devenir saint. Cela reflète parfaitement l'état d'esprit de l'époque. Texte rédigé par Morgane Julien est un enfant choyé et aimé par ses parents. Ils le croient bon, mais il est en réalité très cruel. En effet, Julien est très jeune, pris de passion pour la chasse. Un jour, alors qu'il chasse, tuant tout les animaux qu'il croise, il trouve au fond d'un vallon un troupeau de cerfs. Il les tua tous, créant un grand carnage. C'est alors qu'un grand cerf lui prédit qu'il tuera son père et sa mère. Pour fuir cette prédiction, il part loin de chez lui et va au devant d'aventures guerrières. Un jour il sauve un empereur qui lui donnera sa fille en mariage ainsi qu'un château. Une nuit, il ressent une nouvelle fois l'appelle de la chasse, il part donc mais est incapable de tuer le moindre animal, ceux-ci semblent d'ailleurs se moquer de lui. Pendant ce temps, ces parents qui étaient à sa recherche arrivent chez lui. Sa femme après avoir obtenue la preuve qu'ils étaient bien ses parents, les nourrit et les couches dans son lit. Lorsque Julien rentre, il voit ses parents couchés dans son lit, mais pensant que c'est sa femme qui est en compagnie d'un autre homme, il les tua. C'est alors qu'il s'aperçoit qu'il vient de réaliser la prophétie du grand cerf. Il fuit à nouveau. Il devient alors mendiant et devient passeur près d'une rivière. Une nuit un lépreux lui demande le passage. Julien le fait passer, le lépreux lui demande alors à manger, à boire et de la chaleur. Julien le nourrit et le couche dans son propre lit avant de le réchauffer de son propre corps. C'est ainsi qu'il meurt. Cette légende, plus particulièrement la partie de la prédiction me fait penser à la
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légende d'Oedipe. Cette légende d'origine grecque raconte l'histoire d'un homme qui est abandonné par ses parents suite à une prédiction. Un jour il reçoit lui aussi une prophétie disant qu'il tuera son père et épouserait sa mère. La prédiction est certes différente mais y ressemble. Oedipe de peur que cette prédiction se réalise partira comme le fera Julien, les deux se croyant débarrassé de la prédiction finiront par la réaliser et pour finir les deux finiront par mourir. Texte rédigé par Manon L'histoire se passa au milieu d'un bois où un seigneur logeait un grand château situé sur une colline. Ce dernier aimait les aventures mais un jour il se lassa de sa solitude et décida alors d'épouser une demoiselle de haut lignage. C'était une dame de teint blanc très croyante. Quelque temps après leur union, ils eurent un fils qu'ils appelèrent Julien. Chacun de leur côté, les deux conjoints apprirent deux destinées différentes de leur enfant. La mère apprit que ce dernier, sera, plus tard un saint, elle en fut heureuse mais n'en dit pas mot. Le père apprit que sa progéniture serait un chevalier, un guerrier aimant le sang, il en fut réjoui mais n'en dévoila pas un mot. Tous deux, en se cachant leur secret chérissaient l'enfant; il fut traité comme un prince. Pourtant Julien prit un chemin bien différent de celui qu'imaginaient les parents. Il devint un adepte du sang et du crime particulièrement des animaux: blaireaux, chevreuils, cerfs, faons et une multitude d'autre bêtes furent achevés de sang froid. C'était un garçon violent; cette idée le terrifiait. Il partit. Il aida mille personnes: pauvres, malades, personnes âgées, veuves... Il aida un empereur qui s'était fait détrôner. Pour remercier Julien, celui-ci lui donna la main de sa fille. Ils vivaient heureux jusqu'au jour où les parents de Julien refirent surface. Julien était parti chasser mais il ne parvint pas à tuer une seule bête. Il en revint vexé et énervé. Il entra dans la chambre où dormait sa femme mais au lieu d'y trouver sa bien- aimée, il y trouve deux personnes âgées. Pris d'une colère noire, Julien les tua de sang froid. Quand la lumière s'alluma, dans la chambre, il découvrit ses parents dans deux flaques de sans. Pris de honte et malheureux, il s'enfuit et vagabonda de ville en ville, de campagne en campagne. Il alla se cacher dans la forêt où il rencontra un vieil homme et l'accueillit chaleureusement. Il le
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nourrit, le réchauffa et lui laissa généreusement son lit. L'homme le prit dans ses bras et ils partirent dans les cieux avec le Seigneur Jésus Christ. Texte rédigé par Victoria Julien est issu d'une riche famille. Son éducation a tout pour être parfaite; elle est raffinée et comprend toute sortes de qualités comme l'affection, le luxe, la générosité. Elle comprend également des occupations dignes d'une bonne éducation telles que la calligraphie, le chant et la peinture. Très jeune, il s'est pris de passion pour la chasse. Un jour, son père lui a offert l'opportunité de chasser: il lui créa une meute. Julien s'en prend à des animaux sans défense, il devient un monstre. Son père ne se rend pas compte de la cruauté de son fils. Il ignore son véritable caractère. Un jour, Julien eut une prédiction qui disait qu'il assassinerait son père et sa mère. En chassant, il a failli tuer sa mère. Suite à cet accident, il décida de s'enfuir loin de chez lui. Un empereur, qu'il avait sauvé auparavant, lui donna sa fille en mariage ainsi que son château. Une nuit, Julien eut envie de rechasser mais ses parents décidèrent de le rejoindre chez lui. La femme de Julien était donc seule là-bas à leur arrivée. Elle décida de les faire dormir dans son lit. A son retour, Julien crut que sa femme l'avait trompé. II tua alors ses parents avant de s'apercevoir qu'il venait de réaliser la prédiction qu'il avait eue. Suite à cela il s'enfuit une nouvelle fois. Il se fit passer pour un mendiant. Une nuit, un lépreux qui était en fait Jésus, lui réclama à manger, à boire et de quoi se chauffer. Il se coucha alors auprès de Julien qui le réchauffa. Julien est enlevé au ciel car il a offert à une personne que tout le monde aurait rejetée, l'hospitalité. Texte rédigé par Claire Dès les premières lignes, on aperçoit de nombreuses comparaisons dans la description du château: "Les pavés de la cours (...) comme le dallage d'une église." (L.3) L'auteur utilise alors une emphase, nous permettant graçe à ça de renforcer notre image du château fort, le rendant presque invincible. Cependant les lignes d'après nous montrent qu'il règne une certaine sérénité dans le pays, on observe donc un contraste qui nous fait comprendre que malgré ce calme dans lequel vivent les habitants le château, ainsi que la famille, sont capables de se défendre, en ont
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les moyens. On remarque, à plusieurs moments, des hyperboles notamment lors de la description des richesses des parents de Julien : "Les armoires regorgeaient de linges" (L.19) ; "Les coffres (...) des sacs d'argents." (L.20). Ainsi qu'une exagération sur la possession des animaux : "Vingt-quatre lévriers barbaresque, dix-sept couples de chiens, quarante griffons.." Et la description faites est spectaculaire, presque incroyable : " Des mâtins de Tartarie (...) couleurs de feu (...)" ; "La robe noire (...) luisait comme du satin." ; "Huit dogues alains (...) n'ont pas peur des lions." etc. Pour les parents de Julien, leur fils fait l'objet d'une valeur vouée à un étrange destin : On observe un double destin désigné par la mère puis par le père. Pour la mère, une destinée religieuse, pour le père une vie impériale. Les époux se cachent alors leurs secrets étant donné qu'ils n'ont pas la même vision des valeurs. Cependant, c'est le père qui entraîne son fils sur la voie de la violence en l'initiant très jeune à la chasse et à la guerre. Texte rédigé par Alice Cette histoire débute dans un univers calme et paisible où vive un seigneur et sa femme. D'après la description du château ce sont des gens de milieu très aisée, et où la guerre est quasi inexistante. La femme a force de prier Dieu, attendit un enfant qui s'appellera Julien. Les deux parents très heureux de cette futur naissance, ont décidé de faire un banquet avec tout leurs amis et leurs familles, en l'honneur de leur enfant et pour partager cette nouvelle qui l'ai rend heureux. Le même soir de ce banquet très tard, La femme vu apparaître devant son chevet un homme habillé tel un hermite qui lui dit que son enfant serais un saint, par contre son mari, lui vu apparaître un bohème, qui lui apprit que son fils serais maudit, et connaîtrait la gloire mais en faisant couler beaucoup de sang. De peur que l'un prenne l'autre pour un fou, ils décidèrent de ne rien ce dire. Dès son plus jeune âge Julien eut une éducation très riche, il apprenait à lire et à écrire avec un moine. Malgré ça, il commençait à aimer la vue du sang. Un jour il vit un rat dans le château de ses parents et le tua, c'est à ce moment que ses tendances meurtrières apparurent. Plus tard, son père l'instruit de la chasse; heureux de ses prouesses, le père de Julien était très fier de celui-ci. Un soir il décida d'aller à la chasse seul, ce fut une nuit meurtrie dans cette forêt si calme. Tout d'un coup il vit un cerf,
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toujours avec une envie sanguinaire, il le tue seulement cette fois-ci le cerf lui parle et lui dit qu'il est maudit et qu'un jour il tuera ses parents. En rentrant au château encore étonné de la malédiction du cerf, il décida de ne plus tuer d'animaux et fuit son château et ses parents. Aprés cela il vit dans un château, très loin des siens, et parti en guerre, il fut le plus courageux de tous les guerriers et le roi décida de le marier à sa fille. Il était heureux là où il était, pensant qu'il ne tuerait jamais ses parents,jusqu'au soir où il rentra au château, il alla dans sa chambre, embrassa sa femme et il se rendit compte que ce n'était pas elle mais un homme, croyant que sa femme le trompait, il tua les deux personnes coucher dans son lit et ce rend compte qu'en réaliter c'était ses parents. Il partit loin,il avait honte, et à la fin de sa vie il aida les gens qui étaient souffrants et pauvres, souvent des
lépreux,
c'est
pourquoi
on
l'appela
st
Julien
l'Hospitalier.
Texte rédigé par Benjamin L'histoire commence dans une région dans laquelle tout va pour le mieux, jusqu'à ce que la femme du seigneur local donne naissance à un fils, Julien. Bien qu'au début, il semble innocent et bien élevé, il devient vite un enfant extrêmement cruel qui se plait à tuer et à faire souffrir les animaux, et plus généralement les êtres vivants. Mais un jour qu'il massacre des cerfs, l'un d'entre eux (un grand mâle noir) lui dit dans son dernier souffle que Julien est maudit et qu'il tuera son père et sa mère. Peu de temps après, Julien décide de partir, pensant ainsi échapper à son destin. Durant une de ses nombreuses aventures, il sauve la vie et rend le pouvoir à l'empereur d’Occitanie, et en récompense, celui-ci lui offrit la main de sa fille. Plusieurs années après, alors que Julien était parti à la chasse, sa femme accueilli un couple de personnes âgées qui se présentèrent comme étant les parents de Julien. Mais le lendemain matin, à cause d'une affreuse méprise (il croyait que sa femme dormait avec un autre homme), il tua ses parents, et, désemparé, se mit à fuir les Hommes et à mendier le long des routes. Un jour, il vit un fleuve, qui était, pour les voyageurs, impossible de traverser à pied. Julien décida donc de mettre sa vie au service des autres, et, grâce à une barque, il faisait traverser toute personne souhaitant atteindre l'autre rive. Une nuit, il fut réveillé par un lépreux qui
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l'appelait et qui demandait à passer. Ce dernier, une fois le fleuve traversé, s'introduisit dans la cabane de Julien et réclama à boire, à manger, et qu'il le réchauffe avec son corps. Une fois que cela fut fait, le lépreux se révéla être en réalité
Jésus,
qui,
à
la
fin
de
l’histoire,
amena
Julien
au
ciel.
Sens de la légende : Cette légende raconte l'histoire d'un personnage très mauvais au départ, mais qui à la fin ne vit que pour aider les autres , cela veut dire qu'en "dédiant" sa vie aux autres , on peut se faire pardonner de ses fautes (rappelons tout de même qu'il s'agit d'une "légende" chrétienne ) . Texte rédigé par Jordan Julien n'est qu'un enfant lorsque ses parents voient respectivement un vieil homme au bord d'une route et un ange. Le premier des deux à se manifester est un ange qui dira à la mère de Julien que celui-ci sera un saint, tandis que le père recevra une prédiction tout autre qui dit que son fils fera couler beaucoup de sang, qu'il sera heureux, qu'il sera glorieux et qu'il sera de la famille d'un empereur. Quelques années plus tard, alors que Julien sera à la messe, une petite souris viendra le déranger, plusieurs fois. Cela ne plaisait pas à Julien qui décida donc de la tuer, ce qu'il mit à exécution. Malheureusement en tuant la souris il se rendit compte qu'il aimait cela et c'est alors que celui-ci tua tout les animaux qui était sur sa route. Il prenait plaisir à tuer. Quelques années après ce drame, son père décida de lui apprendre à chasser,ce qui réjouit julien au plus haut point. Après quelques leçons, il partait chasser tout seul. C'est lors d'une chasse que Julien découvrit une famille de cerfs qui était dans la forêt. Tout d'abord il tua le faon, puis la mère et le père qui avait eu le temps de charger s'approcha de lui et lui jeta une malédiction qui disait que 'i il continuait à tuer des bêtes, il tuerait ses parents. Cette malédiction l'obsédait, surtout que celui avait failli tuer son père et sa mère. En effet, alors que son père voulais lui remettre une épée il la fit tomber manquant de tuer son père il s'entraîna alors à la javeline mais en le lançant près d'un cygne faillit tuer sa mère. Il s'exila alors et connut de glorieuses batailles et aida tous ceux qui étaient dans le besoin. Un jour, il aida l'empereur d'Occitanie qui lui remit la main de sa fille. Il vécut des moments heureux. Mais un jour il laissa son envie de tuer sortir et alla de nouveau chasser. Le jour même, ses parents arrivèrent à son château pour avoir de
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ses nouvelles, sa femme les reçut comme des rois. Le soir elle proposa au deux personne d'aller se coucher, puis quelques heures plus tard, Julien rentra en colère car celui-ci n'avait pas réussi à attraper un seul animal. Malheureusement quand il arriva dans son lit et qu'il sentit une barbe, il ne réfléchit pas et tua les deux personnes qui se trouvaient dans son lit et ce n'est que quand la lumière fut allumée qu'il vit qu'il avait tué ses parents. C'est alors qu'il décida de s'enfuir qt qu'il aida toute personne dans le besoin et qu'il raconta son histoire. Un jour, saint Julien découvrit un chemin menant à une rivière et décida de s'installer à cet endroit. Puis une nuit d'orage un homme lépreux lui demanda de l'aider à passer le fleuve. Saint Julien l'aida, puis celui-ci demanda à manger, à boire et son lit. Bien évidemment, Julien accepta de lui donner tout cela puis le lépreux lui demanda de se coller contre lui ce que Julien fit. Et c'est ainsi que mourut Julien. Photos de la Normandie mystérieuse Les élèves de Fécamp ont pris des photographies évoquant pour eux la Normandie mystérieuse, ce qui leur a servi de support pour écrire des récits.
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La nature normande mystérieuse. L'eau, la campagne, la forêt, les falaises: autant de lieux où surgit le mystère...
Cathédrale Notre-Dame de Rouen : Vitrail de Saint Julien l'Hospitalier
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Source : http://www.cathedralerouen.net/patrimoine/expositions/vitraux/st_julien/saint_julien.htm
Il se lit de gauche à droite, de bas en haut. Aux 22 23 24 25 26 27 Julien est appelé, la nuit, de l’autre côté du fleuve d’abord par le Christ, puis, 28 29 30 par le démon qui veut tenter les époux ayant fait vœu de chasteté. Ceux-ci résistent aux assauts du diable et 32 meurent saintement tandis que deux anges 31 33 emportent leurs âmes vers le Christ 34. 19 Pour faire pénitence, il quitte sa demeure accompagné de son épouse 20 et fonde un hôpital au bord d’un fleuve. 21 Julien se fait passeur. 16 Julien revient de nuit (médaillon 7), 17 croit à un adultère et tue ses parents. 18 Sa femme lui apprend la vérité. 13 Il dort sous une tente. 14 Ses parents qui le recherchent arrivent à sa demeure. 15 La femme de Julien les accueille et leur offre son propre lit. 10 Il l’assiste au moment de sa mort, 11 épouse sa veuve et 12 part pour la guerre. 7 Pour échapper à son destin, Julien quitte sa famille et se met au service d’un Seigneur (ce médaillon interverti au montage se trouve au 16), 8 le sert à table, 9 le soigne dans sa maladie. 4 5 6 Trois scènes évoquant l’enfance de Julien à qui l’on a prédit qu’il tuera son père et sa mère.
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1 2 3 Les poissonniers, donateurs du vitrail, exerçant leur commerce. Sortie scolaire à Rouen, quelques illustrations de la cathédrale
Rouen au Moyen-Age et à la Renaissance. Atelier d’écriture, seconde C
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Le coin du cinéphile
Classe : IXe ( F, D) Equipe pédagogique : Georgeta Bădău, professeur de français, Lucreţia Bîrz, bibliothécaire, Viorica Genţiana Onişoru, bibliothécaire de la CCD d'Alba Modalité de travail : projet de groupe (3 membres/groupe) Durée du projet : du 27 février 2012 au 28 mars 2012 Produit envisagé : exposition de marque-pages au CDI Etapes et consignes: Après le visionnement collectif du film « Cœur d’encre »/après la lecture du livre homonyme, répondez aux questions suivantes : 1.
Qu’est-ce que vous avez aimé dans ce film/dans ce livre?
2.
Qu’est-ce que vous n’avez pas aimé dans ce film/dans ce livre ?
3.
Quelle est votre scène favorite et pourquoi/ ?
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Restituez sous la forme d’un marque-page illustré une de vos 3 réponses.
N.B. ! Vous enverrez vos textes par e-mail à votre professeur de français avant le 20 mars 2012. Critères d’évaluation ( /10 p):
Correction morphosyntaxique et lexicale : 2,5 p Vocabulaire: 2,5 p Originalité et mise en page du produit final : 1p Présentation orale de vos opinions : 2 p Respect du délai : 1p
Titre original: Inkheart Réalisation : Iain Softley Durée : 01h47min Principaux interprètes : Brendan Fraser, Paul Bettany, Helen Mirren Synopsis : Depuis la disparition de sa mère il y a neuf ans, Meggie voyage sans cesse avec son père Mo. Celui-ci ne tient pas en place et trouve toujours un prétexte pour changer d’endroit. Mo a en effet un secret qu’il n’a jamais révélé à sa fille : il possède un extraordinaire pouvoir, celui de donner vie aux personnages des livres qu’il lit à haute voix. Il y a neuf ans, il a eu le malheur de lire Coeur d’encre, et une bande de personnages mortellement dangereux, dont le redoutable bandit Capricorne et un jongleur cracheur de feu nommé Doigt de poussière, a surgi… Plus terrifiant encore, tandis que la troupe de malfrats prenait vie, la femme de Mo a disparu dans le livre ! Mo s’est juré de ne plus jamais lire à haute voix. Et depuis, il fuit les personnages auxquels il a donné vie malgré lui, essayant
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de protéger le livre qui est son dernier espoir de retrouver la mère de Meggie. (Source: http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=118342.html ).
Tout d'abord, Vlad et sa femme se font leurs adieux avant le départ à la guerre. Ensuite, la bataille contre les Turcs a lieu. De retour au palais, il découvre que sa femme s'est suicidée et devient fou. Mélanie: nous voyons beaucoup de plans rapprochés, ce qui nous fait entrer dans l'intimité des personnages. Emeric: nous avons un très gros plan sur la lettre de suicide de la femme de Vlad. Clémence: la mort de cette femme nous choque, sa tête est montrée en gros plan. A l'inverse, l'évocation des batailles est perçue à travers un plan d'ensemble qui connote la violence et la puissance avec un gros contraste des couleurs et beaucoup d'ombre. Nous observons à un moment une scène en ombres chinoises.
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Aglaé: cette scène s'oppose au plan rapproché du début quand le couple s'embrasse pour faire ses adieux.Le suicide est filmé en plongée, ce qui donne le vertige.Le moment est dramatique. Grégory: le cri de Vlad est bestial et fait peur. On a un très gros plan sur le sang qui coule. Antoine B: la séquence est sombre, l'ambiance est tendue.Les scènes de guerre sont sans pitié.A son retour, il est fou de rage devant la mort de sa femme. La séquence est tragique. Paul: elle est aussi pathétique car le couple était très soudé. Océane: en effet, les plans rapprochés du début exprimaient l'amour au sein du couple, leur désarroi, leur peur. Valentine J: c'est un film dramatique et fantastique.A son retour de la bataille, on a un plan de demi-ensemble montrant le corps de sa femme allongé autour de prêtres et de crucifix. Aliénor: le très gros plan sur les bougies ensanglantées crée de l'horreur. Mathilde L: un plan rapproché nous permet de comprendre que Vlad devient fou.Nous éprouvons à la fois de la pitié et de la peur, éléments du registre tragique. Elodie D: un plan moyen présentait sa femme en train de penser qu'il était mort. Ce moment est intense et pathétique. Clémence S: cette scène est romantique car elle choisit de mourir pour le rejoindre.Elle ne peut vivre sans lui. Steven: comme le film commence par une mort tragique, nous sommes impliqués dans l'action et le suspense. Camille: cette alternance de plans dans la première séquence nous indique un film mystérieux et terrifiant.
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En ligne sur : http://en.calameo.com/read/00227994399127093ebfb
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Ă&#x160;tres fabuleux (rĂŠels et imaginaires)
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Ecrit par Evelyne Paquet Les élèves ont créé des romans-photos. Il s'agissait, à partir de la nouvelle fantastique
de Guy
de
Maupassant intitulée « Le
Horla »,
d'imaginer
une
promenade dans Rouen du narrateur, dans le centre-ville médiéval, avec la rencontre inopinée de l'étrange créature... Ci-dessous une vue mystérieuse du Mont-Saint-Michel, lieu légendaire de Normandie. On dit par exemple que Gargantua prit ce rocher pour un caillou, et qu'il correspond à l'emplacement du tombeau de son père Grandgousier...
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Héros de fiction
Antoine Guyot Brasidias Les Spartiates sont passés, la ville n’est plus que ruine. Le vent rapporte le vacarme des combats et des morts. Un héros se dresse et lève sa haute mine. Brasidias le champion, cet homme si grand et fort. Le regard profond, il lève les yeux vers le ciel Pour entendre encore une fois les cris de victoire. Il a triomphé de ce combat démentiel. De son corps imposant il réclame sa gloire.
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Le goût du triomphe l’a rassasié de sa soif. Il serre fort son arme et il hume l’écume. Il avance la face au vent, Zéphyr le décoiffe. Mais cette victoire ne sera pas sans rancune. Fier comme un paon et fort comme un demi-dieu Il sent dans le corps un sentiment de malheur Brasidias tourne la tête et regarde le feu Il lance alors un énorme cri de fureur.
J'ai choisis comme héros Brasidias car c'était un général spartiate très puissant qui a participé férocement à la guerre du Péloponnèse contre les Romains. Ce personnage m'inspire car en tant que grand combattant, il y a beaucoup de choses à dire sur ce personnage. Mélanie Bigot Ulysse Il errait sous cette lune fantastique, Avec son équipage naviguant sur l'eau, Ils avançaient sûrement, c'était fantastique, Pense à Télémaque, mon dieu qu'il est beau, Tes yeux dansaient à la recherche d'une d'entre elles, Les sirènes chantaient, tes yeux s'étaient fermés, Pense à ta femme, les sirènes t'ensorcèlent! Oui, mais ta ruse te sauvera, pas ton épée, Ta ruse, ton amie, ton alliée sûre, Pour renter à Ithaque elle eût été utile, Pour la ruse tu regardas au-delà des murs,
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Grâce à elle, tu pus enfin rentrer en ton île, Tu vis ta femme au milieu de ces prétendants, De tes ennemis tu vainquis les épreuves, Par différents procédés tu sortis vivant, Ce jour, devant ta famille, tu fis tes preuves. J'ai choisi ce héros car, ayant fait du grec ancien en troisième, ce fut plus accessible pour moi d'en faire un poème à son nom. Je l'ai choisi aussi pour sa ruse et ai pris l'épisode des sirènes et des prétendants pour l'illustrer. Elodie Danger Superman Lui, Superman, grand et musclé de sa personne, Lui, doté d'un charme à en faire tomber plus d'une, Lui, connu pour la générosité qu'il donne, Lui le seul qui puisse voler jusqu'à la lune. Ses yeux sont d'un bleu aussi clair qu'un océan, Sa peau est aussi dure qu'un morceau de pierre, Et est aussi douce qu'un tissu de soie blanc, De sa démarche assurée, imposante et fière. Sa cape, symbole de toute sa puissance, Ondulante comme une vague dans les airs, Lui permettant de voler avec aisance, Et obéissante envers son propriétaire. Dès qu'on le voit c'est un frisson qui nous parcourt, Bouche bée par tant d'assurance et de beauté.
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Quand il part on attend, impatient, son retour, Mais personne ne cessera de l'adorer. Pour mon poème, j'ai choisi Superman, car ce héros possède des pouvoirs exceptionnels dont il se sert pour aider les personnes qui en ont le besoin. Il se démène au quotidien pour combattre le mal . Romain Bréant Monkey D.Luffy Tel que l’on te voit tu as un air sympathique, Ton visage est enfantin et arrondi, Tu as des cheveux courts, noirs, épais en désordre, Et ta bouche est large, rieuse, expressive. Test geste sont vifs, nerveux et précipités, Ta voix est forte, puissante et éclatante, Tu as un corps très élancé et mince, Ton caractère est doux, tu es aimable. Il ne faut jamais s’en prendre à ton équipe, Ni à ton étendard qui te représente, Autrement ton caractère va changer, Et tu vas t’énerver et devenir hostile. Dans un combat même si c’est perdu d’avance, Tu iras jusqu’au bout te défendre mais, Tu es souvent comparé à un petit singe, Mais tu deviens vite un lion féroce. Mon poème parle du personnage principal de mon manga préféré « One Piece » et j'aime particulièrement ce personnage car dans son attitude j'ai l'impression de
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me regarder dans un miroir car il est gourmand, sympathique et un peu naïf comme moi. Léna Monville Ulysse Ulysse, héros de mythologie grecque. Roi mythique d'Ithaque, fils de Laërte. Ulysse est le père de Télémaque. Ce foyer est la source de nombreux textes. Pénélope ancrée dans sa solitude. Brisée de ce véritable amour perdu. Il lui rappelait tant la béatitude. Pour Télémaque, le retrouver est son dû. Pendant son absence, elle fut tant courtisée. Mais Télémaque soutient sa belle-mère. Mais de nombreux refus, elle leur a rétorqués. Il est la plus belle fierté de son père. Une fois cette très belle famille réunie. Ulysse heureux de retrouver sa belle. Une fois fini, il n'y a plus aucun souci. Pour sa famille, dont le départ fut cruel. J'ai choisi Ulysse car il fallait choisir un personnage soit un personnage de cinéma, littéraire ou de la mythologie. Sa vie est très bien décrite sur Internet donc ce n'était pas compliqué de trouver des vers.
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Nicolas Gognet L’Univers De l’Espion Ô toi, toujours au service de sa majesté Ô toi, grand et athlétique espion séducteur Tes ennemis doutent tous de tes qualités Mais tu caches en toi un héros ravageur Ton visage ne laisse rien paraître de ton émoi Ta silhouette très élégante et raffinée Ta dégaine et ton aplomb toujours si droit Et tes chaussures noires toujours si bien cirées Au lever du jour, lorsque tu te réveilles Une jolie femme est là, endormie dans tes bras Même si c’est ton ennemie, c’est une merveille Même si tu l’aimes, tu ne te marieras pas Bondissante, intelligente avec ses fonctions Elle est capable de se mouvoir telle une onde Ta voiture t’est indispensable pour tes missions Et indissociable de ton nom : Bond, James Bond J'ai choisi James Bond car c'est un personnage que j'aime beaucoup parce qu’il est fort, courageux, se sort toujours des situations les plus périlleuses et il a de l'humour qui peut être soit dans la gestuelle, soit dans des phrases. Il y a un schéma typique qui revient souvent entre les différents épisodes. C'est tous les détails de ce schéma que j'ai replacés dans le poème.
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Camille Boulhan Hulk Si par erreur Bruce Banner est en colère, Il quitte son beau costume de médecin, Et il se transforme en un géant tous vert. Il est maintenant loin d'être un lilliputien. Sur son front des lignes de colère se dessinent, Sa bouche ouverte montrant ses dents serrées, Lui donne l'air d'un super hostile. Sans compter ses yeux étirés et renfoncés. Complètement sûr de lui-même et de sa force, Il est donc qualifié de quelqu'un d'arrogant, Et même lorsqu'il pousse un cri plus que féroce. On ne peut pas dire que ce soit un méchant. Son torse dévêtu montre tous ses muscles. Un simple short lui fait office de vêtements. Mais croiser son chemin serait un miracle, Surtout qu'il doit sauver le monde actuellement... J'ai choisi le héros « Hulk » car je le regardais souvent quand j'étais plus petite. Morgane Crochemore Achile J'ai vécu des aventures toute mon enfance ! J'ai vu le monde en long, en large et en travers Avec Homère, il y eut beaucoup de souffrance ! J'ai vécu le bon, le meilleur et puis l'enfer
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J'ai gardé un souvenir de chaque voyage J'ai gardé un morceau de chaque pays en moi Comme dans un livre où l'on marque les pages Et à chaque arrivée, un grand moment de joie Le soleil chauffait et la mer était si belle La peau bronzée, les yeux bridés, une autre vie Soudain ! Sur le navire apparut une hirondelle Qui fit disparaître ma tristesse et mes soucis Je revois ma douce et tendre femme Je la vois se déchaîner, je l'admire de loin Cinq ans sans elle, se fut carrément un drame. Vers elle je m'avance, je la revois enfin. J'ai choisi de prendre Achille comme héros. C'est un héros de la mythologie grecque. Je l'ai choisi car j'ai regardé le film « Troie » et j'ai beaucoup aimé. Ce film est captivant et raconte l'histoire d'Achille et de son gros point faible, son talon. Chloé Barbaray Le changement Lui, homme qui était si calme, timide Celui ci n'étant jamais sûr de lui-même Il ne parlait jamais mais était lucide Jeune homme dans les problèmes s'en sortant indemne S'en allant étudier comme chaque jour et ne Sachant pas que sa vie allait basculer Peter devenu Spider Man, souffrant et ne
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Comprenant pas ce qu'il vient de lui arriver Ayant le sentiment que tout allait changer Il éprouvait l'envie de devenir fort puis Puissant l'animal velu l'avait transformé Le sentiment de haine l'avait envahi L'amour l'avait frappé après une rencontre Plus personne ne l'impressionnait et il savait Qu'il pouvait lutter contre tous ces montres Il vivait dans l'amour et la joie à présent. J'ai choisi ce héros, Spiderman, car cela me semblait simple d'expliquer son histoire. J'ai regardé le film. Steven Greard Le grand magicien Gandalf est le nom de ce grand et puissant mage Son large chapeau cache ses longs cheveux gris Il est extrêmement actif malgré son âge Sans doute a-t-il déjà soufflé ses cent bougies. Les jours de fête il s'occupe des feux d'artifices Grâce à lui les enfants du village sont contents. Jamais ce vieil homme n'enverra de maléfice Certes il a des défauts mais il n'est pas méchant. Ses amis sont sauvés par son unique magie Il manie son épée autant que son bâton. Les guerriers ne s'inquiètent pas, ils comptent sur lui Il peut gagner une guerre même en restant au fond.
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Ses pouvoirs en pleine action sont des tornades Aucun des ennemis de ne peut y résister. Il préfère fumer sa pipe en balade, Vêtu de gris, facile il est à discerner. Gandalf est le personnage principal de ce poème car c'est un héros d'un de mes films favoris. Ce personnage est un peu mystérieux, discret mais il détient des pouvoirs extraordinaires. J'admire beaucoup ce magicien car il se bat contre le mal. Il est toujours là pour donner des conseils, pour aider ses amis, pour les défendre et il ne les laisse pas tomber. C'est vraiment un personnage admirable. Mathilde Beuzeboc Jeanne Oh! Jeanne, jeune fille âgée de dix- sept ans, Fille unique, aimée de son père et de sa mère. Très heureuse, elle rêve de son prince charmant! Demain, elle connaîtra un amour éphémère! Julien, toi qui es devenu mon seul amant! Julien, l'unique grand amour de ma jeunesse! Julien, toi qui as volé mon grand cœur aimant! Julien, enfin que je hais d'une grande ivresse! Ma vie est semblable à un si gros cauchemar, Un gros nuage noir au-dessus de ma tête Noircit mes pensées le jour, la nuit et plus tard Encore, encore, tout est enfui dans ma tête. Grande peine ressentie au fond de mon cœur,
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D'une atteinte explosive aussi bien que mortelle, Âme abattue, je suis seule avec mes malheurs Qui me tuent à grand pas, la douleur est réelle. J'ai pris la figure de Jeanne du livre de Guy de Maupassant « Une vie » car nous avons étudié ce livre récemment en cours et que cette héroïne m'a plu. Jeanne est très forte car elle subit beaucoup de malheurs dans sa vie et elle résiste à chaque fois. J'aime aussi sa personnalité. Dans ce poème est expliqué comment Jeanne vit dans la vie de tous les jours, et avec son Amant Julien. Manon Clouet Abbé Pierre Hiver cinquante quatre Il cria: « Au secours ! » Il décida de combattre La misère pour toujours Fondateur d’Emmaüs Avec ces chiffonniers D'un tas de détritus Il en fit un métier Célèbre silhouette Portant sa canne et son béret Le premier dans la tête Et le cœur des Français. Pour mon poème j'ai choisi l'Abbé Pierre, pour moi ce n'est peut-être pas un héros mais c'est une personne qui se distingue des autres car l'Abbé Pierre pense aux autres avant de penser à lui -même. C'est une personne aimée de par sa popularité.
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Clémence Lachèvre Homme au grand cœur Clown génial, chanteur, diseur Acteur, comédien aux césars Tu en as aidé plus d'un Avec tes cheveux ébouriffés Ton gros nez rouge Tu portes une salopette décontractée C'est l'histoire d'un homme Qui derrière ses paroles Tenait son combat Fondateur des « Restos Du Cœur » Pour apporter de l'aide, de la chaleur Toujours dans la bonne humeur Coeur généreux et tendre Avec ta folie Tu en as nourri plus d'un Tu demandas de l'aide Décidé à combattre La misère pour toujours. J'ai choisi cet homme car il a l'audace pour faire toutes ces choses que beaucoup de personnages n'osaient pas. En plus, la période que nous passons représente bien son association. Après sa mort, des Français continuent à se battre pour obtenir ce qu'il aurait désiré. Je trouve qu'en France, on le voit comme un Héros.
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Camille Cuvilliey Spiderman C'est un garçon sans rien d'extraordinaire. Une seule piqûre et il sera transformé. Sa vie n'aura plus rien d'ordinaire. Une araignée, une piqûre pour un nouveau-né. Tourné vers l'avenir, il doit découvrir. Son passé pour mieux protéger le monde entier. De sa main où tout peut jaillir et tout recouvrir. Devant lui une nouvelle vie va commencer. De sa carrure élevée, il peut tout regarder. La physionomie de son visage impénétrable. De ses gestes rapides, il peut se faufiler. Grâce à son air vif, il peut se déplacer comme un boa. Grâce à l'amour, il vit sa vie. Grâce à l'amour, il est un héros. Grâce à l'amour, il vit sans soucis. Grâce à l'amour, on ne le prend plus de haut. J'ai choisi comme héros Spiderman, car j'ai toujours aimé ce personnage, il sauve des gens, il a deux identités, ce qui le rend mystérieux et j'aime beaucoup cette part de mystère. Mathilde Lefevre Aphrodite Aphrodite, née de l'écume de la mer Près de Chypre, dans une perle de nacre. Déesse de la beauté, des plaisirs, mère
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Des amours, des grâces, des jeux et des rires. Belle, de par sa grâce et de ses attraits Belle, grâce à son soupir persuasif, Belle, grâce à son sourire engagé, Belle, de par son silence si expressif. Aphrodite, pour celui qu'elle aime est, Prête à tout. Elle est tellement heureuse. Si grande galanterie, d'infidélité, Elle tombe facilement amoureuse. Déesse de la beauté, de l'amour, des jeux, Mais aussi guerrière de par sa bravoure. Amie, mais aussi ennemie d'autres Dieux. Aphrodite eut un véritable amour. Manon Preterre Superman Superman au cœur affectueux et sensible. Ce héros si vulnérable a la magie. Doté de multiples pouvoirs redoutables. Superman prêt à combattre ses ennemis. Lui qui ressemble moralement à Spider man. Lui qui a fait parler de lui dans le monde. Lui qui a un beau corps musclé mon Superman. Lui qui combat les personnes les plus immondes. Un homme musclé, fort et d'un air sympathique. Ses gestes vifs, sa vitesse incontrôlable.
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Le Superman souriant et authentique. Muni d'une superbe vision laser impénétrable. Toujours prêt à nous défendre comme un forcené. Poursuivant et attaquant tous ces délinquants. Combattant avec haine tel qu'un homme acharné. Mais sous son costume se cache un homme brillant. J'ai choisi Superman car je trouve que ce héros a des pouvoirs exceptionnels et du talent. Clément Sautreuil Hercule Savinien Cyrano de Bergerac C'est un homme qui joue bien la comédie. Il parle aux femmes avec éloquence et amour. Il est un personnage plein de poésie. Cyrano chante parfois comme un troubadour. Il part dans de longues tirades enflammées, Pour mieux, les jeunes femmes, attirer et séduire. Son talent est aussi grand que son nez. Il crée la polémique pour faire réagir. C'est un personnage original et comique. Tout ceci fait de lui un homme pas banal. Cyrano a un talent de type lyrique. Aussi fort au combat physique que verbal. C'est un auteur qui incarne la pensée libre. Il n'est pas du tout un homme qui se laisse faire.
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Grâce à son talent tout le monde vibre. Cyrano ne manque pas de vocabulaire. J'ai choisi Hercule Savinien Cyrano de Bergerac car l'année dernière, en 3èm, j'ai fait un cours sur lui, ma professeur de français nous a montré un film à son sujet et j'ai donc trouvé intéressant d'utiliser mes connaissances sur cet auteur/comédien. Laurie Kervella Rose Écarlate Jeune fille, brune aux regard vert clair, D'une beauté comparable à une rose D'une voix ni trop aiguë ni trop austère Douce fille répondant au nom de Maude Belle dame au grand coeur et généreuse Vivant avec son père loin de tous malheurs souhaitant une vie parfaite et heureuse Maude connaît la richesse et le labeur Maude prenant le parti du peuple démuni Leva les bras haut vers le ciel muni d'épées Et cria : « Père ! je serai leur ennemie ! » Son corps est si vaillant quand il est costumé « Rose écarlate », elle se fit nommer Héroïne au coeur d'or volant les bourgeois, Pour que les pauvres soient assez alimentés Les miséreux l'acclamaient et étaient en joie. J'ai choisi la Rose Écarlate comme héroïne car c'est une femme courageuse, généreuse qui est soucieuse des autres, elle est donc très solidaire. De plus elle
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vient du peuple, alors elle arrive mieux que quiconque à comprendre ce que sont la misère et le dur labeur. Ce personnage m'inspire car elle me ressemble beaucoup) et je l'admire énormément. Aglaé Piednoel Cosette Jeune abandonnée par une mère non comblée Passera son enfance en pénitence Chez ces Thénardier, délicieux meurtriers. Elle sera exploitée, pauvre innocente Mais la douce enfant n’est pas seule à plaindre Pour sa fille, la génitrice donnera Corps, n’ayant autre choix que de se vendre Quand Valjean débarquera pour la sauver Il osera la sortir de sa prison De l’argent il offrira pour la libérer Il deviendra pour elle Apollon Un beau jour de promenade de Juin l’amour Apparut comme un devin dans un secret Le beau jeune homme la suivit sans un bonjour Se mariant dans un sacrifice complet. Dans mon poème j'ai choisi Cosette, du roman les Misérables de Victor Hugo, car son histoire me touche énormément. Malgré son enfance difficile, elle arrive tout de même à vivre et à ne jamais se laisser abattre.
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Valentine Jonquière Passager du désastre Passager du désastre en ce siècle endeuillé D'un rêve de Chopin tout droit sorti de l'ombre Qui chante le néant d'une voix empêchée La musique est debout, les touches blanches sombrent... Dans le bouleversement du jour et de la nuit L'ennemi te surprend aux ruines de la ville Le pianiste est si maigre, il se bat pour sa vie Ses doigts fins et gelés autrefois si agiles Le Juif au ventre creux est affamé sans haine Le Juif gardant espoir jusqu'au bout de l'infâme Le tombeau est baigné dans l'angoisse et la peine Varsovie brûle encore son ghetto et son âme Passager du désastre en ce siècle d'histoire D'un rêve de Chopin droit sorti de l'abîme Laisse en mon coeur le trouble, l'effroi en nos mémoires Quelques notes d'amour qui restent en mon estime. Tifany Tauvel Superman Superman, aussi surnommé l'homme araignée, De rouge, de bleu, de noir il est costumé Par une bête à huit pattes a été piqué, Ce jeune homme orphelin, discret et réservé. Un jeune héros peu musclé mais avantagé
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Un visage éveillé, un teint peu coloré, Des cheveux hérissés mais parfois bien peignés. Sûr de lui au moment où il est transformé. Peter Parker, l'étudiant aux gestes précis, Un être gentil, calme mais surtout rusé, Ayant peu d'amis, avançant seul dans la vie, On le voit rarement marcher dans les quartiers. Volant dans les airs pour ne pas être attrapé, Il est souvent en danger lorsqu'il sauve des vies. Les enfants devant lui en restent bouche bée, Star malgré lui, suivi par les paparazzis. J'ai choisi comme héros Spiderman car ce jeune homme est très courageux. Il n'a pas une vie très facile et malgré tout ça il se bat pour ce qu'il veut, il aide les gens en difficulté, il est persévérant, il ne laisse jamais tomber. Isaline Kwasniewskiperot Buffy Buffy est l'héroïne d'une série que j'aime Elle se bat la nuit contre d'effrayants vampires Forte et belle, elle fait face à toutes sortes de dilemmes Et malgré tous ces malheurs, elle garde le sourire. Petite blonde, aimante et surtout protectrice Est un vrai bouclier contre tous les dangers De cette fille je suis la plus grande admiratrice Car jusqu'ici elle n'a jamais abandonné. Son pieu est le seul qui ne la trahira pas
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Planté en plein cœur, et c'est la fin de l'ennemi Réduit en poussière sur le sol il finira Sous les yeux de l'invincible tueuse ravie. Même les mains moites, le coeur qui saigne, la chair de poule Même l'odeur du sang et la perte de ses proches Même si au combat, dans son ventre se forme une boule Elle ne rentrera jamais les mains dans les poches. L'héroïne de mon poème est Buffy. C'est un personnage d'une série américaine qui s'appelle « Buffy contre les vampires ». C'est l'histoire d'une adolescente qui doit combattre des vampires mais aussi d'autres monstres, c'est sa mission, on la nomme donc « la tueuse ». Je l'ai choisie car, quand j'étais petite c'était mon idole, non pas pour ses qualités au combat, mais car elle a de l'ambition, elle n'a jamais abandonné malgré les difficultés. Gregory Quiquempoix Gavroche Des barricades tu fus le plus important Révolutionnaire dans l'âme, tu répondais présent Contre le pouvoir tu étais un résistant Grand homme dans un corps d'enfant Contre les balles tu as dansé Et cette chanson tu as entonnée Celle qui énervait les assaillants farouches Tu narguais ceux qui sur toi,vidaient leurs cartouches Tu as prouvé ton courage en mille sept cent quatre-vingt-onze Seul contre les soldats et leurs canons de bronze Petit homme tu ne manquais pas de courage
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Quand tu dansais avec les balles tirées en rafales Tu as lutté pour la liberté au sein de Paris Cette ville qui t'as accueilli et dans ses rues tu as grandi Des barricades il y en a un que je me rappellerai par-dessus tout Gavroche, petit mioche, qui dans les poches n'avait pas de sous. J'ai choisi Gavroche car il incarne la révolte face a des oppresseur (qui sont ici les soldats du roi) et l'abolition de la noblesse et des classes sociales. Il lutte pour des valeurs qu'il comprend. Cela incarne tout ce qu'y m'anime, la révolution justifiée et pour défendre des valeurs contre l’oppression et le droit que certains s'accordent en fonction de leurs richesses et de leurs « pouvoir». Alicia Leroy Spiderman Cet homme est un artiste de cinéma Il a une fine moustache noir foncé Il a des cheveux bruns comme le chocolat Son sourire exprime la joie et la gaieté. Il ne joue pas dans une série américaine Il sortait avec une artiste française Dont sa religion maternelle était chrétienne Dans tous ses films il est vraiment à l'aise. Ces films les plus connus sont fantastiques Dans ces films il a un look original Il a souvent des personnes qui le critiquent Car il trouve que cet acteur est un peu banal. Certains de ces films sont en plusieurs parties
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Son projet est de faire un film comique Comme il est célèbre il n'a pas les mêmes soucis Il voudrait que son film comique soit artistique.
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Au début de cette année, à la demande des élèves, j’ai décidé d’élargir un peu l’équipe du projet. Inspirée par le site du concours « Des mots pour voir, histoires de l’histoire de l’art », j’ai proposé aux nouveaux arrivants un atelier de rédaction créative. Juste après les vacances d’hiver (qui finissent en Roumanie le 13 janvier), je leur ai présenté le sitewww.imageimaginaire.com et la façon de participer au concours international d’écriture en français. Le fait qu’il y a eu des participants de notre établissement aux éditions précédentes les a encouragés et motivés. Pour ne pas oublier le programme scolaire de français, je leur ai rappelé que la lecture de l’image et la rédaction de textes narratifs et descriptifs sont des activités recommandées dans nos textes officiels. Notre CDI dispose d’une salle multimédia ayant 15 ordinateurs avec connexion Internet ce qui a permis à chaque membre de l’atelier de découvrir à son rythme les textes des participants à l’édition 2012 du concours « Des mots pour voir » et les images proposées pour l’édition 2013. Dans une première étape (mi-janvier- mi-février) les élèves ont choisi une image de la galerie proposée sur le site www.imageimaginaire.com . Ensuite, ils ont cherché dans les livres du CDI ou sur Internet des informations sur le créateur de l’œuvre choisie et sur son époque. L’étape suivante a été la plus difficile car les élèves ont dû écrire l'histoire d'une image en associant la rigueur scientifique (contexte de l'œuvre, biographie de l'artiste ou du commanditaire etc…) et leur propre créativité. Je leur ai expliqué, à partir d’un texte extrait du site du concours, que dans leur texte ils devront parler au nom du peintre, du commanditaire, du spectateur contemporain du tableau, de l’œuvre elle-même ou d'un des personnages ou éléments représentés. Je les ai laissé s’exprimer en langue maternelle à l’oral, comme à l’écrit pour que leur imagination ne bloque pas à cause de la barrière linguistique. Une fois les textes finis, ils les ont traduits en français, avec mon aide et celui des dictionnaires.
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avant la mort tragique de son frère. Toute la ville de Greifswald parlait de ce jour néfaste. Les gens disaient que David s’était disputé avec son frère, Cristoffer, et qu’ils avaient commencé à se battre à cause d’un jeu. Et dans ce désordre, la glace avait cédé sous leurs pieds et Cristoffer s’était noyé après avoir réussi à sauver la vie de Caspar David qui était tombé dans les eaux froides et impitoyables de la Mer Baltique. Mais, je sais quelle est la vérité parce ce j’ai été là. Nous, les enfants, habituions de jouer souvent sur la mer gelée. C’était un après-midi comme tous les autres. Je jouais avec plusieurs amis parmi lesquels les frères Friedrich. Nous avions un ballon en tissu que nous frappions à l’aide des bâtons de bois. Le ballon lancé, nous courions frénétiquement pour le rattraper. Vue du ciel notre jeu ressemblait, probablement, à une course chaotique de petites locomotives à vapeur. David était le plus rapide, je le haïssais pour cela. Il réussissait toujours à garder pour quelques minutes le ballon avant de le frapper fortement. J’étais le plus proche de lui et, pour une fraction de seconde, j’ai vu que la glace commençais à craquer comme si elle se vengeait pour l’humiliation du coup de bâton. J’ai crié pour l’avertir, mais David ne comprenait pas, il continuer à agiter ses bras en l’air saisi d’un fou rire. Puis son rire est devenu de glace, comme les eaux de la mère qui l’ont avalé peu après. Je me suis évanoui. Cela fut la dernière fois que j’ai vu Cristoffer vivant. Longtemps David a refusé de parler. Tout le monde pensait qu’il était devenu muet à cause du choc. Mais, après quelque temps, il a recommencé, très peu, avec avarice et seulement quand il était strictement nécessaire. Sa vie n’a pas été des plus heureuses, selon moi. Même quand il est devenu célèbre
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et très apprécié à l’Académie de Dresde il était assez solitaire, comme s’il avait oublié de se réjouir de la présence des autres. Son existence a été sûrement traversée de quelques fulgurations de bonheurs. Je me souviens que l’année 1818 lui avait apportait une jeune épouse de dix-neuf ans et l’inspiration divine de peindre pas moins de vingt-neuf tableaux. Celui qui me plaît le plus est « Le Voyageur au-dessus de la mer des nuages ». J’ai une copie chez moi je me pers souvent dans son histoire muette. Il m’aide à retrouver David, mon ami d’enfance. Je sais que c’est lui celui cherche vainement, au-delà des nuages, des réponses. Ou le pardon. (Mirela Barbu, Xe E)
monde sont différentes. Un écrivain sent les angoisses de son âme, un musicien peut lui entendre l'harmonie, un photographe lui surprend l'ombre et un peintre lui voit la couleur. Il est merveilleux comment les artistes puissent mélanger talent et vision pour transformer en œuvre d’art un simple objet rencontré par hasard et resté
pour
des
raisons
inconnu
dans
un
coin
de
leur
mémoire.
Mes rues ont été jadis pleines de musiciens qui les mettaient en harmonie avec la nature, de peintres qui essayaient d’immortaliser leur existence mouvementée et d’écrivains qui cherchaient le souffle de ma vie secrète. La vie secrète de Paris (c’est mon nom). Un des peintres qui m’ont charmé (ou qui sont tombés sous mon charme) a été Gustave Caillebotte que j’ai connu vers 1880. Il avait adoré son père et voulait continuer son œuvre. Il avait pris sa licence en Droit, c’était « « quelqu’un de sérieux ». Il ne connaissait pas la haine et d’autant moins la jalousie
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qui domine le monde des artistes. Il n’avait pas hésité pas de donner un coup de main à des artistes comme Edgar Degas, Claude Monet ou Pierre-Auguste Renoir de mettre en places des expositions qui leur ont apporté de l’argent et de la gloire. Dans un de ses tableaux, il m’a surpris pendant que je me reposais au soleil, sur un banc du boulevard Hausmann. J’étais indifférent aux passants, mais lui, Gustave, ils les a vus. Il a su si bien surprendre leurs pas avançant vers nulle part. J’ai entendu qu’un anglais riche a acheté ce « Boulevard vu d’en haut » et l’a mis dans une galerie personnelle à Londres. Parfois il me manque, parfois je ressens le besoin désespéré de revivre ce jour calme de printemps, si lointain, si beau. (Irina Luca, Xe F)
Marie Antoinette, mais je sais que j’avais été impressionné dès le premier moment de sa beauté. Le jour où nous nous sommes rencontrées, elle était vêtue d’une robe bleue d’une simplicité probablement inappropriée pour une reine. Mais la robe s’harmonisait parfaitement avec ses yeux et elle portait autour du cou des perles qui donnaient un plus d’élégance et de gentillesse à celle qui les portait. En apprenant que j’étais une célèbre professeur de science, elle m’a dit qu’elle aimerait que sa fille, Marie-Thérèse Charlotte, reçoive une éducation spéciale, pour
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devenir une intellectuelle de l’époque. Quelque temps après, elle a pris contact avec moi et m’a dit qu’elle voulait que je rencontre sa fille. J’ai accepté cette invitation sans hésitation, étant fasciné de tout ce que j‘avais entendu parler de la personnalité de cette femme extraordinaire. Je voulais la connaître mieux. C’était dans l’année 1785, peu de temps après un accident qui aurait pu changer l’opinion des Français sur leur reine. Arrivée dans sa belle maison, j’ai vu une femme en pleurs, vidée de puissance, une image que je ne pensais pas que mes yeux voient jamais. Elle m’a dit que sa fille n’est pas encore à la maison et que nous avons du temps pour parler. Je me souviens exactement ses mots : « C’est un mensonge, c’est un coup monté ». Je ne savais pas ce qu’elle voulait dire, je n’étais pas intéressée des événements de la vie politique quotidienne, mais j’ai compris tout quelques minutes plus. Un scénario accusateur avait été préparé pour Marie Antoinette et même si elle n’avait aucune faute, dans les yeux de la foule elle était coupable. Jeanne de La Motte, qui prétendait être princesse, a embauché une femme pour se déguiser en reine. Cette femme a rencontré le Cardinal de Rouen tard dans la nuit. Elle lui a offert une rose. Le lendemain, Madame de La Motte a dit au Cardinal que Sa Majesté voulait pour cadeau un collier cher de diamants. Il a immédiatement apporté le bijou, puis il a voulu recevoir l’argent pour le donner au bijoutier. n Mais le collier a été vendu en Angleterre par « La Princesse de La Motte », le bijoutier n’a pas reçu l’argent et l’histoire a été rendue publique. La foule populaire ne croyait pas dans son innocence et de mauvaises pensées ont pris des racines de plus en plus fortes dans l’esprit des gens. Elle m’a dit qu’elle avait peur d’une révolution, d’un soulèvement de la population, mais quand je lui ai demandé si elle voulait céder à une telle pression populaire, elle m’a dit : « Je sais que ça viendra contre moi, mais ma mère m’a enseigné de pas craindre la mort ». Ce furent les mots que j’allais pouvoir lire quelques années plus tard dans les journaux qui parlaient sur la Révolution française. Le début de la révolution a été bouleversant et m’a changé, Je suis devenue une personne qui croyait aux commérages, parce que beaucoup de gens, y compris sa reine, l’avaient déçue. Je fus parmi ceux qui étaient présents dans la salle d’audience le jour du procès, ce jour terrible qui allait mettre fin à la vie de Marie Antoinette. Je savais que toutes les allégations n’étaient pas vraies. Je savais qu’elle n’avait pas abusé
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sexuellement son fils. Je savais qu’elle aimait ses enfants plus que tout dans le monde. Je savais que toutes les preuves de sa trahison n’étaient pas réelles. Je savais qu’elle ne méritait pas qu’on lui coupe les cheveux et qu’elle soit obligée de marcher à travers Paris, le 16 octobre 1793 pour arriver à ‘échafaud. Je savais que personne ne peut prendre la vie de quelqu’un, je le savais, mais je ne le sentais pas. Le jour même, Marie Antoinette a été guillotinée. Maintenant quand je vous parle, moi, Elisabeth Louise Vigee-Lebrun, je n’ai plus que ce tableau que j’avais peint pendant cette année malchanceuse. Il est aujourd’hui accroché aux murs de ma maison, pour me souvenir toujours d’elle, mon amie, et de la rose qui l’avait conduit en quelque sorte à la mort. (Cristina Haneș, Xe F)
Une blancheur de lait frais. Il fixait jusqu'à l'hypnose le rien immaculé qui se développait devant ses yeux de connaisseur de beauté et de raffinement. Le raffinement, le renouveau social et le rajeunissement culturel de la Renaissance de l'art, quelle perfection! Son bras allongé, une succession d'instants superficiels... et la Méduse prend vie de quelques touches de pinceau d'un rouge vif. Pierre Paul Rubens en restait fasciné. Prisonnier de la poussière mystique d'une légende bien enracinée, il était ensorcelé sans voie d'issue, perdu dans la splendeur de l'instant. Lui, le peintre flamand le plus connu au monde, dont l'énergie inépuisable a donné vie à plus de 1400 tableaux, se laisse attirer, telle une proie, par la mythologie de Dionysos. Et il choisit la Méduse! Elle- même et la fascinante bipolarité de son existence... elle, elle, elle… Beauté pure. Beauté candide. Beauté ombragée, rien que de la caresse délicate d’un nimbe. Elle courrait parmi les étoiles dans un labyrinthe luisant, insidieux, qui perdait son éclat devant elle qui éclipsait le
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céleste même. Elle se perdait et se retrouvait dans une danse continue et uniforme par son indomptable beauté vaniteuse. Elle était vraiment belle. Ou c’est ainsi que la légende le murmurait. Une seule erreur si négligeable! Une brève dérive vers un néant des passions … Quelques instants fous qui ont entrainé l’impulsion de ses sens… et c’était tout: C’était tout et elle a payé du prix de sa beauté. …Car ses cheveux d’ébénier qui rayonnaient naguère en éclats bleuâtres de plomb s’écoulent maintenant sur les épaules de la jeune fille sous la forme de certaines hybridités caricaturales. Serpents. Vifs. Venimeux Horribles. Tout cela pour une erreur si naturelle, tout cela pour la simple permission de sa propre âme de se délivrer de l’étreinte d’une vie conventionnelle. Elle était belle et elle languissait de l’amour : Amour et encore plus. Elle était affamée et désireuse de sensations nouvelles, fébriles, passions ardentes, rêves et espoirs entrelacés en merveilles et charme. Elle désirait sentir qu’elle vivait, elle désirait des souffrances douces, des sourires noyés en larmes, des heures vaporisées en jours, des jours vaporisés en années, promesses qui ne seraient pas respectées. Elle désirait, quoi que ce fût, de sentir sa vie circuler folle dans ses veines, son cœur attendait et dépassait l’état oscillant du tachycarde, son cerveau s’ouvrait plus largement que jamais, et les synapses s’éternisaient en étreintes chaudes. Ses yeux troublés de trop de couleur dans une interminable mosaïque chromatique, l’ouïe caressée par la symphonie la plus céleste, une symphonie vitale. Elle désirait une brise suffisamment fraîche qui lui revitalisât les sens. Elle désirait tout. Elle qui croyait que pour une chose passionnante il était impossible de payer d’un prix si grand. Elle qui croyait que le mal ne connaissait pas de victoires sur le bien, à part de petits avantages qui pouvaient être facilement réduits en poussière. … Elle se mentait seule, peut-être d’une manière consciente ou, peut-être non? Maintenant, son ouïe est étouffée par les chuchotements irritants et cruels des fauves qui s’installent sur ses épaules de cristal blanc. Son regard est troublé de scénarios blancs-noirs, morbides, de comédie noire. Son esprit s’agite à l’intérieur d’une prison en marbre froid. . Je ne peux plus nager dans cet océan illimité, je ne peux plus bruler dans cet éternel incendie ». C’est ainsi qu’elle se disait aujourd’hui, se disait le lendemain, à jamais. Elle sentait constamment une certaine peur maladive et une appréhension incontrôlable. C’est du dégoût qu’elle sentait. Elle écrase entre les paupières deux
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larmes d’amertume et elle espère encore l’amour, son seul salut, son unique espoir, le plus précieux, l’amour incontestable, l’amour sans conteste, l’amour sans prétexte, sans promesses illusoires, l’amour pur, jeune fort et beau, tel qu’elle était elle-même, avant la malédiction qui l’avait crucifiée sur une toile obscure, brodée en rosée de tristesse fraîche. Oui, elle avait trouvé un tel amour, et oui, elle savait qu’elle avait des chances. Un tel amour, une telle chance. Quel sort ! Que c’est merveilleux!. Et pourtant. Il s’est perdu, cet amour-là, il s’est vaporisé dans un instant, il est mort brusquement, brutalement. Il est mort de la main de l’ennemi, qui ne s’était pas contenté d’un anathème. Il est mort. Non pas l’amour, non pas l’amoureux non pas la chance … mais elle. (Delia Gligor, Xe E)
Je contemple longtemps et illusoirement ma propre image et je ne désire plus que libérer
mes
pensées,
mes
principes.
J’ai
l’impression
d’être
une
adolescente aux yeux grands ouverts et pleins d’espoir et comme elle j’ai du mal à maîtriser toutes les émotions qui m’envahissent. Où aller, quoi faire ? Je ne suis qu’une peinture, la projection au-delà du temps d’une beauté autrefois surprenante, isolée dans la mémoire de mon créateur. Je n’ai pas trop aimé le corset de bois que Georges m’avait obligée de porter pour me protéger ou, plutôt, pour conserver ma sérénité. Aujourd’hui, je sais que son intuition avait été exacte, sans ce cadre rigide je me serais perdue. Aussi perdue comme je me suis sentie quand mon cher
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Georges était mort, trois ans après m’avoir peinte…Il avait l’habitude de me dire qu’il était heureux de m’avoir surpris à l’apogée de ma beauté. « Tu seras la plus fidèle et la plus belle image de Port-en-Bessin, ce vrai conquérant des âmes sensibles », me disait-il. Il a su si bien refléter dans les nuances fines de ses couleurs mon regard, mes yeux naïfs et pleins d’amour, qui aspiraient à des vastes horizons. Toi, le passant qui ne connaît pas mon histoire, tu ne sais pas voir mes yeux dans le bleu de la mer. Ni mon innocence cachée dans le vert des herbes, ni mes rêves portés au large par les bateaux solitaires, ni mon âme prisonnière éternelle d’un tissu. Mais, lui, Georges Seurat, il l’a su, il m’a sauvée, avec le pressentiment d’une rupture entre le présent et l’avenir, car il me connaissait mieux que moi-même. Mon corps
remplit
l’espace
limité
de
la toile
tout
comme
le
corps
de Madeleine Knoblock remplissait le vide de l’atelier que Georges avait quitté pour toujours quand il avait à peine 31 ans…Moi et Madeleine avons quelque chose en commun, peu de monde nous a connues avant la mort de Georges. Mais avec le temps, je suis devenue de plus en plus célèbre, tandis qu’elle s’est perdue dans l’oubli. Les gens aiment encore me regarder, mais leur curiosité me fait mal. Surtout en mars, le mois de la disparition de celui que personne n’appelle plus Georges, mais Seurat. Chaque année, je cherche vainement dans les yeux des visiteurs du Musée d’Orsay l’amour de mon peintre et la patience avec laquelle il mettait les points de couleurs sur la toile pour refléter la beauté vibrante de son monde. Cette beauté de plus en plus rare…. (Roxana Luca, Xe E)
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chemins insignifiants, il y a une chapelle dite « La Chapelle Sixtine ». C’est l’endroit où le maître Michel-Ange a décidé de refléter pour toujours sa perception sur l'origine de l'humanité et surtout sur mon origine, le premier homme. Aujourd’hui, après des millénaires de la Genèse, je me contemple dans cette peinture et je laisse mes larmes couler tout comme, avec le temps et les péchés, la lumière divine s’est écoulée en me laissant tomber dans une sorte d’abîme blanc et noir. Les uns disent que c’était à cause du serpent, mais je sais que c’était à cause de ma faiblesse. Le Créateur aurait dû suivre les conseils des anges qui avaient essayé de le convaincre qu'un être humain comme moi ne pouvait pas rester longtemps loin du péché. Mais Lui, plein de bonté et de compassion, comme un parent, n’a pas voulu tenir compte de ce qu »on lui disait. Il m'a créé à son image, il m'a donné la vie, la lumière, la liberté, des conseils et, le plus important, l'amour. Mais je ne lui 'ai pas obéi. Je n’ai pas su apprécier tout ce qu'il m'avait donné, même si j'avais reçu tout. Je n'avais pas son pouvoir et je ne l’aurais jamais envié si la rusée du serpent ne me l’avait pas suggéré. L’origine du mal, incarné dans cette créature à sang-froid m'avait poussé à goûter la pomme interdite. Plus tard, j’ai compris que j’étais prédestiné à être chassé de mon Paradis tant aimé qui me manque aujourd’hui. De tous les endroits du monde où la mémoire et la foi des terriens ont fait
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apparaître des œuvres qui rappellent la Genèse, je préfère cette chapelle que le pape Sixte IV a fait construire vers 1475 et qui abrite depuis le XVIe siècle, l’immense fresque du maître Michel-Ange. En revoyant la scène de ma création, je ne ressens que nostalgie. J’étais encore innocent et en communion parfaite avec Dieu. « Adam c’est une figure dont la beauté, la pose et les contours sont tels qu’ils semblent être issu de cet instant même où Dieu créa Adam et de la main du Créateur suprême lui-même plutôt que du dessin et de la brosse d’un mortel.» Les mots de Giorgio Vasari, un des contemporains de Michel-Ange ranime encore en moi la vanité. Celle qui allait me perdre plus tard… Certains se demandent encore pourquoi le peintre a choisi de laisser tout cet espace vide entre moi et Dieu et quelle est la signification de l’étincelle qui se voit encore clairement entre le doit de Dieu et le mien. Je pense que Michel-Ange a été inspiré par notre Créateur. Il a voulu, probablement, laisser à chaque mortel la liberté de découvrir ce qui pourrait réduire cette distance. Parfois une vie humaine est trop courte pour trouver une réponse. (Corina Popa, Xe E)
suis parti vers le mastroquet de notre village. J’y rencontrais souvent Jean et mes camarades qui me proposaient invariablement de jouer aux cartes ensemble. Cette fois-ci, je ressentais une sorte de malaise plutôt psychique que physique, mais je ne
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pouvais pas m’esquiver car je savais que mes pots allaient se fâcher. Finalement, j’ai décidé d’afficher un sourire charmeur sur mes lèvres et d’y aller. Quand Jean me vit entrer, il jeta précipitamment son cigare parce qu’il savait que je n’aimais pas le tabac. Il commanda vite pour nous une bouteille de notre vin favori. C’était du vin fait maison, dit-on, le meilleur de la Provence. En le buvant, je me suis souvenu avec amertume de mon père. Au moins, il existait pour moi une façon sur cette terre qui me rappelait de lui : ma mère avait brûlé toutes ses photos, elles sentaient l’alcool... J’étais trop jeune pour me rappeler de quoi il avait l’air, mais le goût de ce vin me faisait me sentir plus proche de lui. Est-ce que cela signifie que je suis aussi proche de la mort, comme lui? Ou comme ce peintre, Jean-Paul, qui viens chaque soir chercher son inspiration au milieu des ivrognes et des ratés. Je n’ai jamais compris pourquoi il venait ici. On dit qu’il a une propriété, pas loin de chez nous, à Jas de Bouffan . Ce soir-là, j’avais peur et tout ce que je voulais était de rentrer chez moi. Cependant, je ne voulais pas laisser seul mon ami Jean, je savais que pour lui tout cela comptait énormément. Je vais rester, me dis-je, et à la fin de cette partie, je vais prendre un autre verre. Jean me dira, probablement, quelque chose qui puisse m’aider à oublier tout ce raffut de la taverne. Chaque verre embrumait ma pensée, je me sentais comme dans un ballon plein de fumée. J’espérais que la tempête attarderait, mon état d’esprit était déjà pitoyable et assez confuse. Je n’ai rien raconté à Jean : je ne voulais pas l’embêter avec mes problèmes. Le mieux c’était pour moi de rentrer à la maison. Encore un verre et j’allais rentrer… (Iulia Bădoiu, Xe E)
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saisi il y a un an, le rhumatisme. Les douleures très grandes ne me laissent pas travailler. Pourtant, cette année, j’ai reçu l’Ordre de la Légion d’Honneur et malgré les douleurs parfois insupportables, j’ai commencé à réaliser un tableau de grande taille, haut de 93 cm et large de 130 cm, que je nommerai « Le bar des FoliesBergères». Pour moi la lumière est si unitaire qu’il suffit une seule nuance pour la représenter sur la toile. J’ai décidé de peindre les lampes électriques de mon bar avec du blanc vivant parce que j’aime bien passer des couleurs vives aux couleurs foncées. La scène, contrairement aux apparences, je ne la peindrai pas aux FoliesBergères, mais dans mon atelier. En revanche, vous devez savoir que la jeune femme qui m’a servi de modèle travaille vraiment dans ce fameux cabaret. Elle n’a pas été très contente de voir que son corsage sort en évidence parmi toutes ces bouteilles de boissons alcoolisées, fleurs et fruits que j’avais disposés en pyramide autour d’elle. Je lui ai dit plusieurs fois que j’avais voulu donner l’impression qu’elle se regardait dans un miroir. Une belle femme qui cherche sa beauté dans un miroir. Suzon est une femme charmante, n’est-ce pas ? Ses cheveux blonds, ses yeux bruns, ses seins sensuels et son corps incroyablement fin, sculptural peuvent faire rêver un artiste. Je l’ai assurée que son regard mystérieux dans le vague la protègera d'un rapport dangereux auquel invite la féminité de robe noire. Elle m’a
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fait confiance et moi, Edouard Manet, je l’ai rendue immortelle…. (Ioana Danci, Xe F)
l’odeur de joie, bonheur et perfection qui te fait penser au monde d’autrefois. J’étais donc en vacances à Paris avec mes parents. C’étaient mes vacances rêvées depuis longtemps. Le premier objectif touristique qu’on allait visiter c’était le célèbre musée d’art, le Louvre. J’y suis entrée rapidement, accablée d’émotions, je me sentais comme dans un autre monde. Chaque peinture que je regardais, émue, me faisait penser à un autre temps, à celui des personnages de ces tableaux précieux, à la beauté de l’image et à la perfection incontestablement visible des figures et des paysages. Mais un seul chef d’œuvre m’a fait vraiment vivre fort le passé. Ce fut la peinture de Pierre Paul Rubens « Paysage avec les ruines du mont Palatin à Rome », réalisée entre 1608-1610, en style baroque. Ce tableau a ranimer dans mon esprit le souvenir des histories de mon grand-père sur la fondation de Rome et la légende du mont Palatin. Je me rappelle encore comme celui-ci me disait que la ville de Rome a ses origines ici, sur le mont Palatin, à cet endroit où Romulus et Remus ont été trouvés sous un figuier sauvage, au sommet de la colline, par la louve qui a fini par les nourrir comme s’ils avaient été ses petits. Plus tard, Romulus avait décidé de bâtir une citadelle, Rome, sur cette colline. C’est ici qu’on a construit des temples qui ont été souvent incendiés et chaque fois restaurés. C’est toujours sur cette colline que les riches avaient construit leurs maisons en transformant l’endroit dans un espace où tout le monde n’avait plus
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accès. Au fur et à mesure que mon grand-père continuait à me donner plus de détails sur tout cela, je me sentais encore plus proche de cette époque-là, de ce temps-là. C’est comme si je faisais partie d’une de ces famille de jadis et je vivais les événements les plus importants de cette époque-là. Vers la fin de l’histoire de mon grand-père, je devais accepter la réalité. Et de toute cette grande histoire humaine parlant de Romulus et Remus, de la louve, du mont Palatin et des résidences nobiliaires, il n’y avait plus que les photos de ces vestiges qui pour les uns ne signifient plus grande chose. Charmée par le tableau de Rubens, j’ai dû renoncer à mon rêve et revenir à présent où j’avais, car mes parents m’appelaient pour me proposer de visiter une autre section du musée. Je peux dire que la vue de ce tableau m’a remplie de bonheur. Et ce n’est pas seulement grâce à la splendeur de la peinture, c’est aussi parce que le souvenir de mon grand – père est-il encore fort dans mon âme et il le sera toujours. Car c’est grâce à ses histoires incroyables et son talent de conteur que j’ai commencé à aimer l’histoire de Rome. Je pense étudier encore le passé de la ville éternelle et aller un jour les visiter. (Anca Hălălae, Xe F)
Ayant l'un de ces jours de mélancolie, que tous avons dans notre vie, j'étais en manque d'inspiration, d'idées, des plaisirs et je me suis réveillé tout à coup flâner dans les rues, en ignorant les passants, chacun avec ses problèmes, dans les lieux qui me semblaient familiers, mais aussi étrangers et sans vie. Et cela non pas parce qu'ils n'étaient pas peuplés de gens, mais je ne voyais pas mes amis qui animaient la belle café « Guerbois » où nous avions notre lieu de rencontre, d'inspiration, de création,
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de ragots et de coquetterie particulière que nous exposions ensuite dans nos peintures. Je me suis rappelé les moments importants de ma vie, quand je peignais des éventails, des persiennes, des porcelaines pour gagner de l’argent pour parfaire ma culture artistique. Ce jour-là, je pensais à mes amis Claude Monet, Fréderik Bazille et Alfred Sisley, à leurs nombreuses expositions dans le pays et à l'étranger, au moment du constituer « Société d'artistes ». Le décès de mon ami Bazille m’avait apporté une ombre de tristesse qui me faisait parfois réfléchir à la vie et à la mort. Bien sûr, cette idée de la mort m’a réveillé à la réalité et tout à coup j'ai réalisé que chaque personne, chaque chose signifie quelque chose pour quelqu’un, que l'amour existe même lorsque vous perdez un être cher. Je regarde autour de moi et j’ai la vision d'une peinture magnifique, pleine de vie, d'amour, d'espoir, de gens qui se promènent à pied, des enfants qui courent autour des arbres imposants. Les fiacres passaient lentement, les hommes et les dames de la haute société se promenaient avec l’unique souci d’exposer leurs tenues élégantes et certaines personnes
faisaient
un
brin
de
causette
au
coin
de
la
rue.
L'inspiration est celle qui m'a fait me hâter pour transposer cette belle image dans une peinture. La toile m’attendait dans mon atelier où je vis et où je donne vie à mes idées et à ma vision sur la beauté de ce monde. (Anamaria Daniela Dobre, Xe F)
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le rivage avec leur touche fine et délicate. L’eau fait ses propres compétitions de vagues. Le silence qui règne dans cette ville, résonne au bord de la mer. Une ville et une vue extraordinaire, inconnue à tout mortel. Aucun regard n’a pu toucher ce territoire vaste. Mais le silence et l’atmosphère fantastique de cette ville, de cette merveilleuse mer est un simple masque, une voile de soie noire qui cache une chose importante et si pur que les anges déchus seraient surpris de la découvrir. Au lever du soleil, Vénus se prépare à accomplir une prophétie. Chaque fois quand le soleil a une lueur particulière et quand ses rayons portent sur leur lit d’or les étoiles endormies, on sait que Vénus accomplit un devoir ancien, elle va se révéler à un mortel. Cette fois-ci, la chance arrivera chez l’un des étudiants de l’atelier de Jean Auguste Dominique Ingres. Quoique cette chance deviendra, peut-être plus tard, un inoubliable malédiction. La déesse Vénus rend visible sa présence exactement quand l’horloge sonne les 6 heures du matin. Elle atteint avec ses pieds blancs et doux, le sable soyeux, embrassé par la mousse de la mer. Ses longs cheveux blonds, dorés comme les rayons du soleil, touchent ses chevilles minuscules. Ses cheveux sont son seul vêtement, une robe naturelle de la couleur de l’épi de blé. Elle retient son souffle et fait un pas dans la chambre qui commence à ressembler à une plage au sable fin. A ce moment-là, elle reconnait celui qui doit l’aider à accomplir la prophétie. Il est grand, brun et la profondeur de
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ses regards verts fait clignoter la déesse. Le jeune homme est connu sous le nom d’Amaury Duval. La déesse de la beauté et de l’amour s’approche de lui et lui caresse le visage avec sa main divine. Une mèche de ses cheveux blonds glisse doucement sur sa figure. Amaury la regarde pétrifié, sans avoir le courage de dire un mot. La beauté de Vénus l’a aveuglé et lui fait tourner la tête. Ils s’assoient sur le sable et la brise de la mer les enveloppent avec son parfum. Ils se regardent sans cesse. Amaury oublie de respirer plusieurs fois. Les battements de son cœur sonnent comme un écho dans le murmure des voix de la mer. Il sait qu’il ne pourra pas garder cette femme pour toute une vie. Mais il veut garder ce moment-ci, le moment
où
il
peut
la
peindre
comme
s’il
l’aimait.
Avant de quitter l’atelier-plage et de disparaitre dans les vagues de la mer, la déesse Vénus que certains appellent Aphrodite, embrasse son admirateur charmé et irrémédiablement amoureux. Reviendra-t-elle un jour pour une autre prophétie ? (Mihaela Laura Dobra, Xe F)
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divinités vivant dans le Royaume des ténèbres. J'ai cligné des yeux et je suis entrée, je me suis assise sur une chaise, entre mes deux sœurs. A cause de mon retard, toutes les têtes se sont se sont dirigées vers moi. Je leur ai jeté un regard meurtrier et les discussions ont continué comme si personne et rien ne les avaient jamais interrompues. La réunion fini, je suis restée encore dans la salle, j’avais honte de partir en même temps que les autres étant donné que j’étais arrivée la dernière. Je me suis levée et les plis de ma robe noire traînant sur le marbre immaculé m’ont fait renverser violemment la chaise. J’étais sur le point de sortir quand une voix suave et angélique m`a arrêtée. Cette voix-là a raccourci le silence de la chambre en arrivant jusqu’à mes oreilles, a fait cesser le sifflement de mes cher serpents. J’ai reconnu la voix de la harpie et je me suis retournée doucement. La blancheur éblouissante de ses ailes m’a obligée de regarder tout de suite dans une autre direction. Sur la table qui nous séparait il y avait un parchemin et un sceau. J’étais sûre de l’avoir vu quelque part, mais je ne pouvais pas me rappeler où exactement . J`étais très attentive au visage de la harpie. Elle s’est penchée en avant, elle a pris le parchemin et elle l’a jeté vers moi. Je l’ai attrapé, je l’ai ouvert et c’est à ce moment-là que mon pouvoir de transformer en pierre tout être humaine qui me regardait a disparu. Comme si j’avais regardé un miroir et ma force. J’ai jeté le parchemin et j’ai voulu sortir, mais les gardiens y sont arrivés avant
moi
et
m’ont
empêchée
de
continuer
mon
chemin.
Une personne habillée d’une pèlerine noire et portant un capuchon a fait son apparition d’une des portes latérales. On ne pouvait voir que ses yeux bleus, étincelants. J’ai eu un mauvais pressentiment et pourtant, au lieu de réagir j’ai attendu jusqu’à ce que l’étrange visiteur est arrivé devant moi et m’a poussée violemment contre le mur. J’ai réussi à lui enlever le capuchon. C’était Persée, le fils du Zeus. J’ai tout de suite deviné qu’il était venu pour se battre avec moi, pour me tuer. Il savait que de toutes les Gorgone, j’étais la seule qui pût mourir. Je n’ai plus eu que le temps de voir le sabre et de sentir la douleur foudroyante quand ma tête a été coupée. Peter Paul Rubens, ce peintre talentueux a connu avant vous cette triste histoire et il m’a rendu hommage dans ce tableau célèbre abrité aujourd’hui entre les murs de Kunsthistorisches Museum de Vienne. (Cosmina Crainic, Xe F)
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Le texte de Roxana Luca, « Moi et Georges Seurat», a reçu le 2e prix dans la catégorie « Français Langue Etrangère » du concours « Des mots pour voir, histoires de l’histoire de l’art ». Bravo, Roxana, nous sommes très fièrs de toi! www.imageimaginaire.com/imageimaginaire/php_ii/html_texte.php
Profil du projet : http://www.etwinning.net/en/pub/profile.cfm? f=2&l=en&n=68997
Twinspace du projet : http://new-twinspace.etwinning.net/web/p68997/
Dossier réalisé par Georgeta Bădău et Evelyne Paquet (professeurs fondateurs du projet)
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