A la découverte des merveilles de notre planète

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Colegiul Naţional «Horea, Cloșca și Crișan» Alba Iulia Année scolaire 2013-2014

A la découverte des merveilles de notre planète

Classe impliquées dans le projet : Xe C et XIe D Coordonnateur : prof. Georgeta Badau


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Au début de l’année scolaire 2013-2014, nous avons commencé ce projet après avoir étudié en classe le reportage TV5 Monde « Les 7 merveilles » (Emission « 7 Jours sur la planète : Dossier pédagogique n° 271. Journal du 19/11/2011). Chaque groupe a travail a réalisé un article et une vidéo pour présenter un objectif touristique intéressant de notre planète (le DVD est consultable au CDI).


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SOMMAIRE La cascade Bigăr (Andreea Filip, Oana Neamţu, Adela Stanciu) La Citadelle d’Alba Iulia (Mădălina Bica, Eugenia Boca, Ştef Cristina) Le Château de Bran (Teodora Juncan, Liana Străjan) Le Château de Peleş (Alin Drâmbărean, Matei Coman, Alin Florea, Alin Trif) La forêt Hoia Baciu (Diana Scheau, Cristina Limbean) Fuji, la montagne sacrée des Japonais (Adrian Cîmpean, Mădălina Conț , Cătălin Filipaș ) Le Grand Canion (Răzvan Fulea, Alexandru Râşteiu, Darius Şteau, Robert Tudor) La Grande barrière de corail de l’Australie (Mihai Buza, Marius Leahu, Bogdan Suciu, Adrian Ţili) Le Parc National de Zion (Ştefania Duru, Răzvan Meteş, Georgeta Savu) Machu Picchu (Delia Madalina Molodeţ, Nicoleta Alina Mureş, Iulia Maria Macarie) Le Monastère de Bârsana (Adrian Bîldea, Andrei Ilie, Sorin Oneţ, Andrei Popa) Le Monastère de Voroneţ (Roxana Buta, Ioana Moldovan, Roxana Sâmpălean) Les pyramides d'Égypte (Maria Andronic, Andrada Petruse, Diana Scheau, Maria Alina Sîrb) Salto Angel (Miruna Mureşan, Diana Potor, Raluca Ursu) Le village d’Avram Iancu (Bogdan Jude, Daniel Oprişa) Le village de Cetea (Adrian-Bogdan Oţoiu, Gabriel Alexandru Luca, Mihail Adrian Safta)


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La cascade Bigăr En Roumanie se trouve une des plus belles cascades du monde qui, grâce à son milieu naturel, forme des attractions spectaculaires pour les touristes du monde entier. Le site The World Geography a désigné la cascade Bigăr, située dans les Monts de Semenic, près de la ville d’Anina dans le Banat roumain, comme une des plus belles au monde. Les réalisateurs du classement ont apprécié la façon unique dont le rideau d’eau s’écoule sur un immense rocher couvert de mousse. La cascade se trouve exactement sur le parallèle 45 a mi-distance entre l’Equateur et le Pôle Nord, ce qui représente aussi un fait unique, écrit The World Geography. La région nommée La source Bigăr fait partie à partir de l'année 2000 de la réserve naturelle Cheile Nerei (les gorges de Nera), probablement les gorges les plus belles de Roumanie. Elles forment une réserve naturelle rustique et pittoresque qui offre aux touristes un paysage apaisant. La source est alimentée par un cours d'eau souterrain qui traverse la grotte de Bigăr. Après environs 200 mètres, l'eau de la source se jette dans la rivière Minis, en formant une cascade magnifique. Le village de Bigăr est placé entre deux petites villes, Moldova Noua et Orsova. L'accès s’y fait en voiture. Dans cette région se trouve aussi un complexe touristique, situé sur le parallèle 45 et signalisé par un indicateur spécial. L'offre d'hébergement de cette région est assez pauvre. La fréquentation touristique des lieux est minime. Les touristes qui s'aventurent à visiter cette région peuvent loger dans quelques villas ou auberges agro-touristiques. Même si la nature dans les environs de la cascade est intacte et cette merveille de la nature est peu connue en Roumanie et quasi inconnue à l’étranger, la cascade de Bigăr pourrait devenir une force d'attraction touristique à l'avenir. Sitographie: http://www.renasterea.ro/stiri-caras_severin/actualitate/perla-din-munti-cascada-bigar-din-carasseverin-care-a-cucerit.html http://stirileprotv.ro/stiri/travel/abandonata-de-peste-20-de-ani-de-romani-cascada-bigar-a-fostdeclarata-cea-mai-frumoasa-din-lume.html http://www.maroumanie.com/tourisme/Caras/caras.php


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Le Château de Bran Bonjour, chers amis de l’émission « Découvrez le monde ! » Notre destination d’aujourd'hui est la Roumanie. Nous irons dans le département de Braşov pour vous présenter le célèbre et le beau Château de Bran. Jetons un coup d'œil sur son histoire. Le Château de Bran est l'un des 7 merveilles de la Roumanie, créés par l'homme. Le Château Bran est un monument historique et architectonique, situé dans la Vallée de Rucăr-Bran, à 30 km de Braşov. Il représente l'un des vestiges les plus importants de la Roumanie. Le renom du château a réussi à faire le tour du monde grâce à son très bon état de conservation, grâce à sa beauté, mais aussi grâce à la legénde du Comte Dracula de Transylvanie. En fait, le mythe du Comte Dracula est la bulle d'oxygène bénéfique pour le Château de Bran. Le Château de Bran a une histoire vieille de plus de 600 ans. Le premier document qui le mentionne est un acte émis le 19 Novembre 1377 par le Roi de Hongrie, Louis I d’Anjou. Par la voie de ce document, les habitants de Braşov recevaient le privilège de construire une forteresse en pierre à Bran. Entre les années 1419-1424, la forteresse est devenue la propriété d'un autre roi hongrois, Sigismund, allié du prince Mircea cel Bătrân contre les Turques. Le lien de Vlad Ţepeş avec le Château de Bran a été enregistré à la fin du XVe siècle. C'est alors que le prince de Valachie, Vlad Tepes alias Vlad l'Empaleur, a été emprisonné dans la tour ronde du château. Ses ennemis, les Turcs, lui avait donné le surnom « Dracula » - dracul en roumain, « le dragon », mais aussi « le diable ». C'est sur cette ambiguïté lexicale que Bram Stoker, écrivain irlandais, a construit la légende du prince des ténèbres, publiée pour la première fois en 1897. Les personnages du roman sont le résultat de la fantaisie de l'auteur, mais les faits du Comte Dracula et sa fin sont basés sur les croyances populaires roumaines au sujet de l'existence des forces du mal, comme les vampires ou les fantômes. Le Prince de Valachie, Vlad Ţepes, a été associé avec Dracula, bien que les dates historiques ne confirment pas sa longue présence au Château de Bran. Au XXe siècle, le Conseil Municipal de Brașov donne ce château à la Reine Maria de Roumanie comme un symbole de gratitude pour sa contribution à l'accomplissement de la Grande Union de 1918. En 1948, la famille royale a été expulsée du pays par les communistes et le Château de Bran est devenu la propriété de l'Etat roumain. Après la chute de Ceausescu, en 1989, le Château de Bran a été rétrocédé aux descendants de la princesse Ileana et de l'archiduc Anton de


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Habsbourg, derniers propriétaires du château, Dominiq de Habsbourg, Maria Magdalena Holzhausen et Elisabeth Sandhofer. Le château abrite de nos jours le Musée de Bran (4 niveaux avec des collections de céramiques, meubles, armes et armures). Bien que les touristes viennent chaque année à la recherche de la légende du comte Dracula, ils affirment que l'histoire du Château de Bran les fascinent aussi. Nous vous remercions d’avoir été avec nous aujourd’hui et nous espérons avoir réussi de vous offrir une suggestion qui mérite d’être retenue pour vos prochaines vacances. Bonne semaine à tous ! Sitographie: http://www.historia.ro/exclusiv_web/destinatii-istorice/articol/castelul-bran-istorie-mit http://www.castelul-bran.com/ http://www.castelulbran.ro/contele-dracula.html http://ro.wikipedia.org/wiki/Castelul_Bran http://www.courrierinternational.com/article/2009/07/03/a-bran-vampire-contre-habsbourg


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Le Château de Peleş Dans la série de reportages « Découvrez la Roumanie ! », nous vous présentons aujourd’hui Le Château de Peleş. Il se trouve à Sinaia , sur la Vallée de Prahova et a été construit par le prince Charles de Hohenzollern-Sigmaringen I en 1873, sur le site connu sous le nom Pietrele Arse (Les Pierres Brûlées). Le Château de Peles est le château le plus impressionnant et le plus précieux de Roumanie. Sa beauté son élégance, la combinaison de styles, sa grandeur et sa richesse attirent chaque année beaucoup de touristes. C’est un objectif majeur d'attraction touristique est le deuxième musée du pays (après celui de Bran ). A savoir que c’est le premier château européen complètement électrifié. Le château dispose de 160 chambres, dont seulement 10 peuvent être visitées par les touristes. Près de Peleş il y a encore deux constructions plus petites, Foişorul (avec 42 chambres au style suisse) et Pelişorul. L’entrée au château se fait par la Salle d'honneur, construite sur trois niveaux par Karel Liman. C’est un espace remarquable par son luxe : murs lambrissés en noyer, nombreuses statues d'albâtre présentant des sujets bibliques, historiques ou mythologiques, fenêtres couvertes de vitraux illustrant des motifs héraldiques et des scènes allégoriques. Les salles d'armes abritent une impressionnante collection d’armes, à savoir plus de 4000 pièces orientales et européennes datant des XVIe et XVIIe siècle. La Salle de musique, rénovée par la reine Élisabeth Sala et utilisée autrefois comme salon littéraire, offre aux visiteurs une belle collection de peintures et vitraux présentant des légendes populaires roumaines du recueillies par le poète Vasile Alecsandri. Il y a aussi une Salle de théâtre avec 60 pace et une loge royale, une Salle de concerts, la Salle Florentine ou « Le Grand Salon » avec des candélabres et miroirs de Murano, la Bibliothèque Royale avec une collection importante de livres rares, la Salla Maura avec une belle fontaine en marbre, Le Salon turc avec des broderies faites à la main et de beaux tapis turcs et persans. A tout cela s’ajoute la beauté de la nature au milieu de laquelle ce château se dresse vers le ciel, comme un véritable témoin de l’histoire du peuple roumain. Sitographie:

http://peles.ro/category/colectii/

http://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2tea u_de_Pele%C8%99

http://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2tea u_de_Pele%C8%99


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La Citadelle d’Alba Iulia Le voyageur, tout pressé qu’il soit, ne cesse d’être fasciné par la Citadelle d’Alba Iulia. Sept portes toujours ouvertes pour entrer dans une des sept merveilles de la Roumanie: la Citadelle bastionnée Alba Carolina ! Le Parcours des Trois Fortifications offre aux visiteurs la possibilité de voyager dans le temps, le long de deux millénaires, parmi les vestiges de trois fortifications de trois époques différents, construites successivement dans le même endroit, chaque nouvelle citadelle incluant l’ancienne : le Castre Roman, la Citadelle Médiévale et la Citadelle Alba Carolina, fortification du type Vauban. La cérémonie du changement de la garde attire chaque jour, mais surtout les samedis, des dizaines de touristes désireux de voir un spectacle unique, destiné à animer les murs de cette fortification datant depuis trois cents ans. Tout près de la Cathédrale du Couronnement il y a la Salle de l’Union. C’est un bâtiment construit en 1900 qui a abrité la session du 1 décembre 1918 où les 1228 délégués ont décidé l’union de la Transylvanie avec la Roumanie. Ayant le rôle d’un casino militaire, l’immeuble était utilisé par les militaires de l’armée austro-hongroise stationnés dans la garnison de la cité Alba Iulia. Immédiatement après l’Union, l’édifice a été modifié pour recevoir somptueux, en harmonie avec l’événement important qu’il avait abrité. N’hésitez pas de visiter la ville d’Alba Iulia, vous ne le regretterez pas ! Sitographie: http://citealba.wordpress.com/2012/05/02/lobelisque-de-horea-closca-et-crisan/ http://www.bonjour-roumanie.com/guide-voyage-roumanie/alba/la-cathedrale-de-lareunification/

un aspect


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La forêt Hoia Baciu La forêt Hoia Baciu, située en Roumanie, au nord-ouest de Cluj, à approximativement cinq kilomètres de la ville. A première vue, elle n’a rien de spécial et ressemble à toutes les autres forêts. Mais une fois y entré dans la forêt, une sensation bizarre et lourde pèse sur le visiteur. La forme des arbres est étonnante, ils paraissent beaucoup plus vieux parce que les troncs ne sont pas très hauts et ont une forme anormale, tordue, poussant de façon oblique, en formant des voûtes. Les phénomènes mystérieux affecteraient les personnes visitant les lieux. Les principales manifestations qui peuvent être observées dans cette foret sont des formes situées au niveau du sol ou dans l’air, des lumières nocturnes de différentes tailles et couleurs, stationnaires ou volantes, ainsi que des effets physiques comme des émissions radioactives, des anomalies magnétiques, des perturbations électromagnétiques. On y observe également

des traces

étonnantes sur le sol, sur l’herbe ou sur la neige, a l’image des cercles apparus dans les champs de céréales partout dans le monde. Les effets biologiques associés sont visibles sur l’environnement, ainsi que sur les personnes. La végétation présente des traces de carbonisation, de nécrose et de déshydratation. Les personnes se trouvant dans ces zones dites actives présentent des signes de brûlures, d’apparition de plaques rouges sur la peau, de maux de tête, d’état d’anxiété et de sensation de soif. Les manifestations visuelles seraient des images « aériformes », c’est-à-dire des structures géométriques volantes, comme des pyramides, des connes ou des cylindres. Les scientifiques pensent que ces phénomènes n’ont aucune explication religieuse, mais que leur apparition est due à la situation géographique du lieu qui se trouve sur une faille d’une activité sismique très importante. Le chercheur F.Gheoghiţă se trouvait un jour de 1er janvier dans la forêt pour prendre quelques clichés. Il a obtenu l’image d’un globe sphérique et sombre au-dessus de la forêt. En automne 1974, un autre chercheur, Csaba Borbath, a pris quelques photos dans lesquelles il y a les structures rondes, nébuleuses.


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Pour conclure, cette forêt est une région miraculeuse, dans laquelle le normal et le paranormal, le conventionnel et le non conventionnel sont confondus. Sitographie : http://www.realitatea.net/padurea-hoia-baciu-din-cluj-capitala-fenomenelorstranii_1305896.html http://www.formula-as.ro/2013/1054/enigme-16/capitala-mondiala-a-paranormalului-padureahoia-baciu-16018 http://adevarul.ro/locale/cluj-napoca/padurea-hoia-baciu-cluj--topul--celor-mai-infioratoarelocuri-europa-conform-the-guardian-1_5270e411c7b855ff56988586/index.html http://www.youtube.com/watch?v=DLEEg6YLwYA


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Fuji, la montagne sacrée des Japonais Quand on pense au « le pays du soleil levant», le Japon, les premières images qui nous viennent à

l’esprit

sont

les

fleurs

de

cerisier,

les

geishas

et

la

montagne

de

Fuji.

Le mont Fuji est situé au centre du Japon, au sud-ouest de l'agglomération de Tokyo. Avec ses 3776 m d’altitude, Fuji est la plus haute et proéminente montagne du Japon, qui offre aux visiteurs des souvenirs durant une vie entière. La montagne contribue à la géographie physique, culturelle et spirituelle du Japon. L'origine du nom Fuji est incertaine, mais une étymologie populaire récente affirme qu'il signifie « sans égal ». L’appellatif se justifie pleinement si l’on pense au moins au fait que cette montagne est la plus escaladée du monde : chaque année, environ 200.000 gens dont 30% sont étrangers font l’ascension du Mont Fuji pour admirer le lever du Soleil de son sommet. Fuji est un stratovolcan sortant en évidence par sa belle forme conique, symétrique. Sa beauté a inspiré beaucoup de peintres et de poète. La dernière éruption du volcan de Fuji a eu lieu du 16 décembre1707 au 01 janvier 1708, la cendre et le fumée arrivant jusqu’ à Tokio. Le printemps est probablement la plus belle période de l’année pour voir Fuji. La montagne couverte de neige est encadrée de fleurs roses de cerisier. Rappelons-nous qu’une légende représente la montagne de Fuji comme la déesse des arbres en fleurs (Konohana Sakuya Hime) qui

voltige

telle

une

nuée

lumineuse

au-dessus

du

cratère

du

volcan.

Pourtant, la saison officielle pour escalader le mont Fuji est en juillet-août, quand les conditions météorologiques sont favorables et plus part de la neige est fondue et les écoles se sont en vacance. La première ascension connue du mont Fuji est datée de 663 et a été réalisée par le moine bouddhiste. De nos jours, escalader la montagne jusqu'au sommet n’impose pas de grosses difficultés, mais une instruction est nécessaire car le terrain est relativement abrupt et caillouteux. L’ascension du Mont Fuji peut se faire par 4 parcours différents, chacun ayant ses avantages et ses inconvénients, le Yoshida, le Subashiri, le Gotemba et le Fujinomiya. D’habitude, il faut de 8 à 12 heurs pour y monter et encore 4-6 heurs pour descendre.


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L'Unesco a inscrit au Patrimoine mondial le mont Fuji, samedi 22 juin 2013, ce qui souligne l'importance de cette montagne pour la culture japonaise et pour celle de l’humanité. Sitographie : http://education.nationalgeographic.com/education/media/mount-fuji/?ar_a=1 http://www.japan-guide.com/e/e2172.html http://climbing.about.com/od/mountainclimbing/a/MtFujiFacts.htm http://wikitravel.org/en/Mount_Fuji http://dominique.decobecq.perso.neuf.fr/Fuji.html http://okjapan.fr/post/47624873753/ascension-du-mont-fuji http://fr.wikipedia.org/wiki/Mont_Fuji


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Le Grand Canyon Le Grand Canyon, est un canyon des États-Unis situé dans le Nord-Ouest de l'Arizona. Il a été creusé par le fleuve Colorado dans le plateau du même nom. Fondé en 1919, le parc couvre un territoire protégé de 4 927 km². Il est fréquenté chaque année par plus de quatre millions de visiteurs. La diversité naturelle et paysagère de la région a été reconnue patrimoine mondial de l’Humanité par l’UNESCO en 1979. Le Grand Canyon est le canal d’érosion du fleuve de Colorado. Conformément à un article de l’encyclopédie Wikipédia, il s'étend sur environ 450 km de long entre le lac Powell et le lac Mead. Sa profondeur moyenne est de 1 300 mètres avec un maximum de plus de 2 000 mètres et sa largeur varie de 5,5 km à 30 km. Le parc abrite des couches géologiques datant des quatre ères de l’histoire de l’évolution de la Terre, du Précambrien au Cénozoïque. Les périodes précambrienne et paléozoïque sont visibles en particulier sur les parois du canyon et présentent une forte concentration de fossiles. L’accès au Parc National du Grand Canyon se faire par la rive sud (South Rim) ou la rive nord (North Rim). L’entrée par la partie ouest du Grand Canyon, qui abrite les très belles chutes d’eau Havasupai et la localité de Supai, est également possible par le chemin qui traverse la réserve indienne Hualapai. En raison de sa haute altitude (8000 mètres au-dessus pieds/2438 niveau de la mer) les températures au nord sont généralement inférieurs à celles du sud. En hiver, les chutes de neiges sont très fréquentes. Le Grand Canyon est mentionné dans plusieurs listes des sept merveilles naturelles du monde, même si aucune de ces listes n'est rédigée par une autorité dans le domaine et même si les elles ne sont pas définitives. Ce qui est sur c’est qu’il représente l’un des plus grands spectacles géologiques permanents de la Terre. Sitographie: http://ro.wikipedia.org/wiki/Grand_Canyon

http://intrebari-si-raspunsuri.ro/marelecanion/ http://whc.unesco.org/fr/list/75


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La Grande barrière de corail de l’Australie La Grande barrière de corail de l’Australie est l'une des merveilles naturelles du monde. En face de cette beauté on reste sans voix et tout ce qui nous reste à faire c’est d’explorer le plus grand système de récifs coralliens du monde. Il comprend environ 3 000 récifs et 300 îles s'étendent sur 2600 km et couvre une superficie de 344400 km. La superficie occupée par les récifs est supérieure à l'Irlande et au Royaume-Uni. L’extraordinaire richesse provient des 3000 récifs, îles, bancs de sable et lagunes, chacun à un stade différent de développement. Les récifs sont le résultat de 10.000 ans, pendant lesquels l'océan a augmenté aux niveaux actuels après la dernière période glaciaire. La Grande barrière de corail offre un superbe spectacle de coraux colorés et plus de 10.000 espèces marines uniques (6.000 espèces de crustacés, de mollusques, tortues, dauphins). Bien qu'il soit l'un des écosystèmes les plus puissants et intégrés du monde, son équilibre est très fragile. Les pressions exercées sur un élément peuvent avoir des effets désastreux sur l'ensemble. Le récif a fait face à toutes les tempêtes et les vagues meurtrières, mais dans ce siècle, la plus grande menace est l'homme. La chasse la pêche des aborigènes existent depuis des siècles près de la barrière de corail sans l'affecter. Mais au XXe siècle l’intensification de pêche, de la chasse des baleines, du commerce aux escargots de mer fumés et des perles précieuses ont affecté cette région. Pour limiter les dégâts, la région a été déclarée Parc National et le tourisme est contrôlé. Même ainsi, la Grande barrière de corail reste une destination touristique très célèbre en raison de la plongée qui peut être faite ici, de la possibilité de regarder une émission quasi unique, mais aussi parce que la croisière offre une expérience similaire grâce à l'eau très claire et à la faible profondeur. Sitographie : http://ro.wikipedia.org/wiki/Marea_Barier%C4%83_de_Corali http://www.curierulnational.ro/Specializat/2009-0123/Marea+Bariera+de+Corali,+paradisul+subacvatic+din+Australia http://www.ultramarine.ro/romana/Australia%20JC/MAREA%20BARIERA%20DE%20CORA LI/default.htm


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Machu Picchu L'attraction la plus belle du Pérou, Machu Picchu (« la ville perdue ») enchante des centaines de milliers de visiteurs chaque année. Machu Picchu est resté un lieu inconnu au monde extérieur jusqu'en 1919, quand il a été découvert par l'historien américain Hiram Bingham qui cherchait Vilcabamba. Le site archéologique impressionne non seulement par ses ruines incas. Les éléments naturels font que le panorama soit comblant. Les crêtes des deux montagnes qui protègent le site s’élèvent au-dessus des nuages. La roche de granite contraste avec les orchidées et les fougères arborescentes rencontrées dans le chemin. Dans le sanctuaire de Machu Picchu il y a des espèces de faune et de flore qui ne peuvent pas être trouvées ailleurs. En raison de son emplacement, au Pérou, les 30 mille hectares entourant le site archéologique ont été déclarés secteur protégé, en faveur

de

sa

faune,

sa

flore

et

ses

formations

géologiques.

« C’est comme si vous entriez dans le royaume de la pierre, parce que tout est fait en pierre. Tous les murs et les chambres sont faits de grands blocs de pierre qui ont été apportés ici par des moyens restés inconnus. Je conseille à ceux qui arrivent à Machu Picchu de regarder les plantes qui les entourent parce qu'ils remarqueront les orchidées qui y grandissent et les plantes de coca, que les habitants utilisent contre le mal de montagne», dit Iulia Andronache, photographe à Bucarest. Bibliographie et sitographie: http://fr.wikipedia.org/wiki/Machu_Picchu http://travel.descopera.ro/8496838-Machu-Picchu-100-de-ani-de-mister http://www.referatele.com/referate/noi/istorie/machu---picchu72414161616.php National Geographic Traveler: Peru , pag.152-153


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Le Monastère de Bârsana Chaque année, le 30 juin, des centaines de croyants orthodoxes vont dans le Maramureş pour participer à la fête appelée « Hramul Mănăstirii Bârsana ». On dit que ce monastère a été construit dans la Vallée de Slatina, sur la rive gauche de la rivière d’Iza, puis il a été transbordé sur la rive droite, au lieu appelé plus tard « Podurile Mănăstirii » (« Les Ponts du Monastère). Le Monastère de Bârsana a été construit au milieu du XIVe siècle par la famille du prince Dragoş, sur une de leurs propriétés. L’ancien Monastère de Bârsana a abrité la plus grande école de prêtres de la région et son rôle culturel a été très important. C’est pourquoi il y avait des livres religieux en roumain, apportés de la Moldavie et de la Valachie. Le monastère avait aussi son propre atelier de peinture religieuse. L'ancien monastère dédié à Saint-Nicolas, a été pour une longue période de temps le siège des évêques orthodoxes. Le dernier évêque orthodoxe y ayant vécu avant que la région soit occupée par l’Empire des Habsbourgs et avant que le culte greco-catholique devienne le culte officiel, est Gabriel Ştefanca, mentionné dans des sources historiques datant du 1738. Le Monastère de Bârsana est resté de rite orthodoxe jusqu'au 1791 quand ses biens ont été saisis par l’Empire des Habsbourgs et la propriété transférée à la Diocèse Ruthène de Muncaci. Les derniers moins orthodoxe ont cherché asile au Monastère de Neamt et l’église a été transmutée en 1806 à Podurile Jbârului. Après la chute du régime communiste en 1989, les habitants de Bârsana ont repris, au conseil du prêtre Gheorghe Urda, leur tentative de reconstruire le monastère. En 1991, ils ont commencé à ramasser les matériaux nécessaires à la reconstruction. En 1993, l’évêque Justinian de Maramureş a officié le service religieux au fondement du futur monastère en décidant que le bâtiment sera sous la protection des 12 Apôtres. Le monastère a été reconstruit en bois, sous la direction de l'architecte Dorel Cordos, en respectant la tradition locale. On y reconnaît les éléments spécifiques à la région de Maramureş : la porte traditionnelle, le clocher, une église haute de 57 m, l’autel d'été, les cellules de moines, la chapelle construite sur plusieurs niveaux, la maison des maîtres et la maison des artistes.


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Depuis 1994, Filofteia Oltean, nommée abbesse du monastère, a continue le travail des villageois, ainsi que de nos jours le fil de la vie monacale interrompu en 1791 est repris. Récemment, à l’intérieur du monastère a été ouvert un musée où sont exposés des manuscrits et des livres sacrés datant du XVIe, XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles, de vieilles icônes et une riche collection d’objets d’art populaire. Sitographie : http://www.crestinortodox.ro/biserici-manastiri/mitropolia-clujului-albei-crisaneimaramuresului/manastirea-barsana-68071.html http://www.crestinortodox.ro/biserici-manastiri/manastirea-barsana-67952.html http://www.revistamagazin.ro/content/view/1520/7/ http://jurnalul.ro/campaniile-jurnalul/descoperirea-romaniei/coconii-vin-la-barsana-manastireade-600-de-ani-41667.html http://ziarullumina.ro/reportaj/barsana-manastirea-unde-se-intrupeaza-lumina http://ziarullumina.ro/reportaj/barsana-renasterea-unei-ctitorii-voievodale


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Le monastère de Voroneţ Le monastère de Voroneţ dont la première attestation documentaire est de 22 janvier 1472, est situé dans le village homonyme, à 36 km de Suceava et à 4 km de Gura Humorului. Le Monstère est l’un des plus précieuses fondations du prince Etienne le Grand. Il a été construit en 1488 (après que le voïvode avait gagne une lutte contre les Turcs), en moins de quatre mois, ce qui est un record pour cette époque. Le premier prieur du monastère a été le prêtre Daniil Sihastru, une figure emblématique de notre histoire, confesseur renommé de la Moldavie et conseiller du prince Etienne le Grand. La peinture intérieure de l’église date de la même époque que sa fondation. Ce qui attire particulièrement l’attention des visiteurs est la grande fresque de de la façade de l’ouest, appelée « Le Dernier Jugement ». Grâce à cette fresque, le Monastère de Voroneț est considéré « La Capelle Sixtine de l’Orient ». La peinture extérieure de Voroneţ a été effectuée à un haut niveau artistique, étant considérée comme le plus réussi exemple de l’art moldave . «le bleu de Voroneţ » est une

couleur

extrêmement résistente le long du temps, qui adapte sa nuance en fonction du dégrée d’humidité de l’atmosphère. Les spécialistes considèrent cette couleur comme unique dans le monde et sa composition a été perdue avec la mort de son auteur. L’église est dédiée à Saint Georges et elle est intégrée dans le patrimoine national de l’Unesco. Webographie : http://ro.wikipedia.org/wiki/M%C4%83n%C4%83stirea_Vorone%C8%9B http://www.youtube.com/watch?v=u3rw2iSJwrM http://www.neoplantravel.com/le-monastere-de-voronet-o32-fr.htm


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Le Parc National de Zion Dans la série de reportages « Découvrez le monde ! », nous vous présentons aujourd’hui Le Parc National de Zion, situé à la frontière de l’Arizona et de l 'Utah et abritant l’un de plus beaux canyons des Etats-Unis. Déclaré Monument National en 1909 et Parc National en 1919, il dispose d'une superficie de 579 km2 entre la Coalpits Wash (1. 128 m) et Horse Ranch Mountain (2. 660 m). En ce qui concerne l’étymologie, Zion signifie en Hébreu lieu de refuge ou sanctuaire sacré, terme utilisé par les Mormons qui vivaient dans l’Utar. C’est aussi le nom de la crête qui sert du point principal de référence du parc. Le relief de ce parc se caractérise par de hauts plateaux. La partie sud du parc est une zone de désert. La partie nord du parc est couverte de forêts. À l'est, vous trouverez un large éventail de sentiers qui ne sont pas bituminées, des canyons cachés et des sommets à explorer. Le parc de Zion, célèbre pour ses paysages colorés et les canyons imposants, attire plus de 2 millions de touristes chaque année. En 2008, il s’est classé sur la 8e place dans la hiérarchie des sites touristiques les plus visités des Etats-Unis. Le parc abrite les soixante-dix-huit espèces de mammifères,deux cent quatre-vingt-onze espèces d'oiseaux, quarante espèces de reptiles et d'amphibiens et huit espèces de poissons. Dans le Parc National de Zion, vous pouvez visiter le Musée d'histoire de l'homme de Zion qui inclut des expositions sur l'activité humaine dans le parc et qui vous propose un film d'orientation toutes les demi-heures. N’hésitez pas et partez à la découverte de cette véritable merveille de la nature ! Sitographie : http://www.paralela45.ro/destinatie/parcul-national-zion-sua http://www.infotour.ro/ghid-turistic/america/parcul-national-zion/ http://www.referatele.com/geografie/Parcul-National-Zion658.php http://www.parcs.net/zion/


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Les pyramides d'Égypte Dans la série de reportages « Découvrez le monde ! », nous vous présentons aujourd’hui les pyramides d'Égypte. Elles sont des tombeaux ayant la forme géométrique de pyramides, construits par les pharaons de l'Égypte ancienne. Les plus connues sont les pyramides de Gizeh parce qu'elles sont les plus grandes, les plus achevées et les mieux conservées de nos jours. Les trois grandes pyramides de Gizeh sont les nécropoles des pharaons Khéops, Khéphren et Mykérinos. La pyramide de Khéops a été construite vers 2650 av. J.-C. 100 000 hommes auraient participé à sa construction. Le calcaire de parement, en provenance de Touràh, donnait à cette pyramide haute de 146 m, la couleur blanche, visible à plusieurs dizaines de kilomètres à la ronde. Les côtés de sa base mesurent 233 m et sa surface occupe environ 53 000 m2. Tandis que que son volume est d'environ 2 600 000 m3. La pyramide de son fils Khéphren est la deuxième plus grande d’Égypte, mesurant 143,5 m de haut. Le petit-fils de Khéops, Mykérinos a été le moins ambitieux, le sommet de sa pyramide n’atteignant que 65 m. D'autres pyramides ont été construites avant et après celles de Gizeh. Le complexe de Dahchour a deux pyramides : la pyramide rhomboïdale et la pyramide rouge. La pyramide rhomboïdale de Dahchour marque une étape importante dans les progrès de l'architecture des pyramides. Ses dimensions sont ambitieuses : 189 m de base, 104 m de hauteur, avec des pentes de 54, puis 43 degrés. Elle a un revêtement de calcaire et deux chambres reliées entre elles par un étroit boyau. Extérieurement, cette pyramide apparaît comme la mieux conservée de toutes, mais intérieurement, les entrées mènent à des couloirs descendants fissurés, qui n'inspirent aucune confiance et les chambres sont très endommagées, à moitié comblées et soutenues par des étais, sans doute depuis les origines. Sur une base de 219 m, la pyramide rouge culmine à 109 m, avec une pente de 43°, semblable à celle de la partie supérieure de la rhomboïdale. La pyramide doit sa couleur rouge au calcaire local riche en oxyde de fer dont elle est constituée. Son revêtement de calcaire fin a été entièrement et méthodiquement récupéré, probablement au cours du Moyen Age. Saqqarah est une vaste nécropole qui domine l'ancienne cité de Memphis, capitale de la BasseÉgypte, à 23 km au sud du Caire. Pendant les XVIIIe et XIXe dynasties égyptiennes, les nobles


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et courtisans se font à nouveau inhumer à Saqqarah, dans des tombeaux surmontés par de véritables temples-chapelles funéraires. C'est aussi à Saqqarah que l'on trouve les tombes des taureaux sacrés Apis dont le culte est rendu à Memphis. Une avenue bordée de sphinx mène au temple consacré à Apis (disparu aujourd'hui) auquel on accède par un dromos traversant un hémicycle à l'architecture hellénistique abritant des statues des principaux philosophes et penseurs de l'antiquité. D'autres sanctuaires dédiés à Anubis et à Bastet sont édifiés à côté de catacombes enfermant dans des galeries interminables quantités de momies animales. En 2013, les pyramides de Gizeh et le désert environnant ont été sous les neiges. La dernière fois, la neige dans cette zone a été enregistrée seulement au début du XXe siècle. Sitographie : http://www.e-scoala.ro/istorie/piramide.html http://www.roportal.ro/articole/marile-piramide-din-egipt-331.htm http://patrice.bonnefoy.free.fr/travels/egypte/gizeh/gizeh.htm http://www.baudelet.net/voyage/egypte/gizeh-sphinx-pyramides.htm http://fr.wikipedia.org/wiki/Saqqarah


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Salto Angel Salto Angel, la plus haute chute d’eau du monde (979 m) est située dans un des cinq états du Venezuela, le Bolivar, dans la région de Gran Sabana du parc national Canaima. Elle est connue depuis le milieu du XXe siècle. Son nom est dû à Jimmie Angel, un aviateur américain qui l’a découverte accidentellement pendant qu’il survolait la région pour trouver des filons d’or. Le 2 juillet 1969, quelques ans après la mort de l’aviateur, survenue le 8 décembre 1956 à Panama à cause des blessures d’un accident aviatique, son épouse et ses deux fils ont dispersé ses cendres au-dessus des chutes qui portent son nom. On dit que regarder Salto Ángel c’est une forme de découvrir un lieu qui a l’air d’être d’un tout autre monde, d’une beauté incroyable et qui ne fatigue jamais les visiteurs. C’est l’endroit idéal pour vos prochains voyages! Sitographie : http://en.wikipedia.org/wiki/Angel_Falls http://angel-ecotours.com/expedition-to-angel-falls/ http://www.youtube.com/watch?v=dVaQ6tj9_qE http://stubs.centerblog.net/74-la-legende-de-jimmie-angel http://www.newfrontiersadventures.com/FR/Jimmy.html


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Le village d’Avram Iancu Avram Iancu est une localité située dans le nord-ouest du département d’Alba, en Roumanie, dans le bassin supérieur de la rivière Ariesul-Mic. La ville la plus proche est Câmpeni. Avram Iancu est aussi le point de départ pour l’itinéraire touristique du Mont Gaina. La première attestation documentaire du village date depuis 1839, sous le nom Vidra de Sus, le village d’Avram Iancu porte le nom du héros national Avram Iancu. L’économie du village est une économie rurale traditionnelle, pareille à celle de toute la région appelée « Tara Motilor ». Les principales branches économiques sont : l’élevage des bovins, le travail du bois, la tonnellerie et la fabrication des objets d’artisanat. Les principaux attraits touristiques sont la fête populaire traditionnelle du Mont Gaina (en juillet), le musée Avram Iancu. Avram Iancu était le chef des armées romaines révolutionnaires en Transylvanie et le Musée ethnographique de Tara Moţilor ayant une histoire de plus de 40 ans et disposant d'une riche collection d’objets concernant des occupations les traditions et le mode de vie des populations rurales

de la vallée d’Arieşul Mic. Le travail du bois, la

céramique, les vêtements, l’habitation et la gastronomie traditionnelle, tout est représenté dans les sections de ce musée qui mérite d’être visité.

Bibliographie et webographie: Ursu, Horia. Avram Iancu. Bucureşti: [s.n.], 1966 Ghid turistic: Județul Alba [en ligne]. Disponible sur:http://albaghid.wordpress.com/ Comuna

Avram

Iancu,

Alba

Wikipedia

http://ro.wikipedia.org/wiki/Comuna_Avram_Iancu,_Alba

[en

ligne].

Disponible

sur:


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Le village de Cetea Nous partons d'Alba Iulia, en voiture, vers NE. Après environ 15 minutes, nous arrivons dans un endroit, apparemment banal, le village de Cetea. Le village de Cetea, est située à 27 de kilomètres d'Alba Iulia. Il confine au village de Benic, au sud et à la commune de Stremţ à l'est. Au nord de Cetea se trouve le village de Geoagiu de Sus, qui est renommé pour ses riches vergers. L’origine du nom du village remonte aux temps des Romains, au nom « quietus », qui signifie tranquille, paisible. En effet, le village de Cetea est un lieu tranquille situé entre les collines, avec des gens hospitaliers et sereins. Beaucoup de pièces romaines impériales découvertes à Cetea sont gardées au Musée National d'Histoire de Bucarest. A l’ouest du village il y a un paysage exceptionnel, avec un rocher appartenant aux Montagnes d’Apuseni et une petite formation calcareuse située à une altitude de 1233 mètres, appelée Piatra Cetii. Celle-ci est formée de 4 grands rochers de calcaire: Piatra Șasa, Ticuiata, Măriuța, et Șândițaua. L’eau essaie de trouver son chemin à travers les cavités des rochers et formes deux chutes d’eau magnifique dont une s’appelle « Băile Romane » (« Les bains romaines »). La légende dit que les soldats romaines avaient l’habitude de venir à cette chute d’eau après chaque victoire pour se purifier et remercier les dieux. Les chutes d'eau tentent les visiteurs de leur air mystique et le susurrement clair et froid s’entend de loin comme un chant étrange et attrayant. Les sapins plantés récemment embaument l’air et font grandir le charme du lieu.

Bibliographie: Moga, Octavian. Ghidul toponimic al satului Cetea, judeţul Alba. Timişoara: Editura Mirton, 2001 Chitulea, Petru; Neagoe, Valer. Monografia satului Ceta. Timişoara: Editura Marineasa, 2001


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En février 2014, nous avons présenté au CDI et en salle de classe quelques-uns de nos reportages. Voilà ci-dessous l’affiche de l’événement :

Notre produit final en ligne : http://issuu.com/gbadau/docs/jeunes_reporters_en_herbe


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