Compte rendu - Convention Enseigne Paris, 22 et 23 mai 2010 Un grand merci à tous les confrères qui ont accompagné cette Convention consacrant temps et réflexion à l’enrichissement créatif de leurs Enseignes. Une très belle participation a permis une pluralité de points de vue, des échanges constructifs et une grande convivialité mixant les nouveaux entrant avec les confrères installés sous enseigne depuis plus longtemps. Les buts de cette convention sont clairement rappelés : que chacun s’exprime, que les conclusions du séminaire d’intégration soient débattues, que la proposition du Congrès dernier (nouveau contrat ou pas) soit entérinée ou rejetée, qu’un « carnet de route » soit fixé à la direction du Groupe PHR.
Déroulement Cette convention s’est ouverte le samedi 22 à 11h00 par l’intervention de Monsieur Bennatan, Président du Groupe PHR. Monsieur Bennatan a indiqué que cette rencontre avait notamment pour but de faire le point sur l’état de la construction des enseignes des affiliés. Il a rappelé le principe d’une construction collective, caractéristique d’une enseigne d’indépendants, fonctionnant sur le principe du « commerce associé », et à laquelle chacun doit apporter sa contribution. Au service des enseignes, le Groupe avancera à la vitesse souhaitée par les affiliés en tenant compte des contraintes d’organisation exprimées par chacun. Nos enseignes ne sont pas des chaînes dont la direction imposerait aux gérants l’ensemble des actions à mener, le calendrier et les objectifs. Pour autant, il faut tenir compte de la concurrence effective des autres enseignes présentes dans la profession, et se préparer à une ouverture tôt ou tard du capital, donc à l’arrivée des chaînes. La profession pourrait s’opposer, si elle le voulait, à cette ouverture du capital. Mais cela impliquerait la décision courageuse de reconnaître que le prix de transaction actuel des fonds, beaucoup trop élevé, est totalement dé-corrélé de leur rentabilité. Ne pas adapter l’estimation de la valeur d’une officine à la réalité de la marge d’aujourd’hui, ne peut que créer des difficultés financières que ne pourra résoudre durablement l’hypothétique injection d’aides gouvernementales dans l’économie officinale. Les négociations sur la rémunération qui se déroulent actuellement entre les représentants syndicaux et La situation du Groupe Plus Pharmacie a ensuite été évoquée. Des problèmes juridiques liés aux conditions de la vente de la marque « PharmaVie » à Phoenix, perturbent aujourd’hui la sérénité de leurs deux réseaux.
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