Rapport d'activités 2017 GS1 Suisse

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Rapport d’activités 2017


Rapport d’activités 2017 GS1 Suisse

Monde de l’image: la numérisation La numérisation est sur toutes les lèvres. Elle détermine notre quotidien, le facilite parfois, mais nous confronte aussi régulièrement à de nouveaux défis. L’Internet des objets, la Supply Chain 4.0 ou la produc­ tion intelligente comportent un lien indissociable à la numérisation. Éléments importants de l’Industrie 4.0, les robots, imprimantes 3D et équipements autonomes de production sont des composants flexibles d’automatisation. Ils nous accompagneront sur la voie de la numérisation, et les standards nous facilitent ce parcours. Malgré la technologie, l’être humain conservera un rôle important. Images: www.shutterstock.com; page 7 Anina Lehmann; page 15 La Poste Suisse

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Table des matières Rapport du président

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Thèmes

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Stratégie adaptée et numérisation au sein de GS1 Suisse: prêt pour les défis futurs

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Branches

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Biens de consommation: prestations de services pour une numérisation réussie

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Secteur de la santé publique: le secteur suisse de la santé publique compte sur le système GS1

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Transport et logistique: moins de CO2 et un contrôle accru lors de l’échange de palettes

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Industries techniques: implication dans le domaine ferroviaire et l’Industrie 4.0

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Offre

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Événementiel et formation continue: vif intérêt pour les cursus de formation et pour les manifestations

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Comptes annuels

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Commentaire sur les comptes annuels

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Rapport de l’organe de révision

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Collaboratrices et collaborateurs

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Travail précieux et intensif au sein des comités d’experts

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Merci pour le support

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Rapport du président

Saisir les opportunités liées à la transformation Notre époque est d’une complexité croissante. Nous devons tous nous adapter au quotidien à la nouveauté. La transformation nous accompagne constamment. Durant l’année de référence, ce constat s’est appliqué à propos de la numérisation croissante dans nos secteurs cibles mais aussi, par le biais de la stratégie adaptée, au sein de GS1 Suisse. Les changements qu’entraîne la transformation sont sou­ vent considérés comme des problèmes, des entraves ou des obstacles. Nous devons pourtant apprendre à accep­ ter ce qui est hors de notre contrôle et les domaines dans lesquels nous pouvons influer sur les circonstances. Cette attitude implique non la ré­ signation, mais une réaction alerte et ciblée à cette trans­ formation.

Le travail commun est essentiel Ces derniers mois, bien plus que par le passé, j’ai pu constater l’excellence de l’équipe qui, au sein de GS1 Suisse, défend quotidiennement les intérêts des membres. Par l’approbation de la stratégie révisée à la fin de l’année 2016, le comité a défini l’orientation des cinq prochaines années. Dans nos principaux secteurs que sont les biens de consommation, la santé publique et désormais également, le transport et la logistique ainsi que les industries techniques, nous voulons adapter davantage encore notre action aux besoins des acteurs du marché. Dans ce domaine, la proximité avec nos membres joue un rôle important. L’élément essentiel du succès est le travail commun, porté par la curiosité et l’enthousiasme pour de passionnantes missions. C’est l’unique moyen qui nous permet la création commune de valeur, action impossible pour un individu seul. Pendant l’année de référence, afin de pouvoir mieux rem­ plir cette mission, nous avons amplement réaménagé notre propre environnement de système informatique avec le projet GS1 Digital. Les ajustements nous mettent en mesure de relever les défis futurs. Ce projet est égale­ ment une mise en avant de GS1 Suisse: l’application des standards GS1 a lieu partout où leur utilisation est pos­

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sible et utile. Je remercie tous nos collaborateurs du bureau central pour leur infatigable engagement, leur ténacité à aborder courageusement les problèmes qui surviennent régulièrement lors d’une telle phase de tran­ sition, et pour leur éternelle confiance en un avenir dans lequel le monde (numérique) sera meilleur.

Le secteur de la santé publique affirme son lien avec GS1 La récompense de nos efforts des années précédentes dans le secteur suisse de la santé publique nous réjouit particulièrement. Des participants toujours plus nom­ breux, dont les hôpitaux universitaires suisses qui sont tous désormais membres de GS1 Suisse, affirment compter sur les standards GS1 en tant que base de la

Comité de GS1 Suisse, état au 31.12.2017 Président: Robert Vogel Membres du comité: • Jörg Ackermann, Coop Genossenschaft, Bâle • Felix Burkhard, Galenicare AG, Berne • Ines Furler, DHL Logistics Schweiz AG, Pratteln • Hans Rudolf Hauri, RUAG Real Estate AG, Berne • Ferdinand Hirsig, Volg Konsumwaren AG, Winterthour • Walter P. Hölzle, Fondation Refdata, Zoug • Goepf Lanz, Nestlé Suisse SA, Vevey • Wolfgang Mähr, SPAR Handels AG, Saint-Gall • Pierre-André Meyrat, Office fédéral des transports (OFT), Berne • René Michel, Henkel & Cie AG, Pratteln • Nicolas Perrin, SBB Cargo AG, Bâle • Max Peter, Emmi Schweiz AG, Lucerne • Stefan Regli, PostLogistics AG, Berne • Gilbert Schmutz, Gétaz-Miauton SA, Villeneuve • Christophe Weiss, LRG Logistics SA, Bussigny-près-Lausanne • Aurelius Wespi, Fédération des coopératives Migros, Zurich


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numérisation dans le secteur de la santé publique. En outre, nos spécialistes de ce secteur ont reçu bien da­ vantage de demandes d’exposés. GS1 Suisse peut égale­ ment mener à bien un mandat de conseil concernant la logistique dans un grand hôpital. Dans le secteur des biens de consommation également, durant l’année de référence, nos concepteurs et conseil­ lers ont travaillé à la numérisation. Jusqu’à présent, de nombreuses entreprises et surtout les plus petites ont ignoré ou abordé partiellement les questions des stan­ dards, des données source et de la qualité des données. Désormais, ces acteurs comprennent davantage que la mise en réseau croissante exige un travail commun à par­ tir de standards établis. Afin que les petites et moyennes entreprises puissent elles aussi suivre le rythme des grands acteurs du marché dans ce secteur, nous les assistons par nos prestations de conseil. Cette invitation au travail commun peut se démarquer de l’évolution actuelle de la société. L’individualisation et la croyance selon laquelle les technologies numériques peuvent résoudre tous nos problèmes continuent à pré­

dominer. Je suis convaincu que dans l’avenir, l’être hu­ main retrouvera la place importante qui lui est due. Toute coopération, et tout partenariat ou travail commun repose sur la confiance et, jusqu’à présent au moins, aucune technologie ne peut entièrement remplacer cette dernière.

Aborder l’avenir avec un nouveau directeur Pour terminer, je souhaite chaleureusement la bienvenue à notre nouveau directeur Jörg Mathis qui, début avril 2018, a pris ses fonctions à plein temps. En association avec le comité de GS1 Suisse, il accélérera la mise en œuvre de la stratégie. Prêts pour cette entreprise, nous pouvons profiter de courants favorables et accélérer le rythme. Je serais heu­ reux que nous puissions accomplir ensemble une partie du voyage. Robert Vogel, président de GS1 Suisse

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Stratégie adaptée et numérisation au sein de GS1 Suisse

Prêt pour les défis futurs Dans l’exécution de la stratégie adaptée, GS1 Suisse doit elle aussi être entièrement numéri­ sée et renoncer autant que possible au papier. Le grand projet interne GS1 Digital permet un réaménagement de l’environnement de système informatique, et sa préparation aux défis futurs. Ce projet est également une mise en avant de GS1 Suisse: l’application des standards GS1 a lieu partout où leur utilisation est possible et utile.

60 000

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Complexe La base de données de GS1 Suisse comprend 60 000 adresses professionnelles et privées dont la gestion est requise.

155

Important Outre les 45 collaborateurs permanents, environ 110 intervenants supplémentaires sont rémunérés pour des activités d’enseignant ou d’expert aux examens par exemple.

800

Exigeants Près de 800 intervenants extérieurs peuvent accé­der à nos plateformes en tant que membres de comité, enseignants ou experts aux examens.


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Différents facteurs ont donné naissance au projet qui a commencé en avril de l’année de référence: l’environne­ ment de système informatique était fragmenté et vieilli. En outre, l’ancien système était sans possibilité de prise en charge de la stratégie, qui vise à la numérisation et à une orientation sectorielle renforcée.

Intégral et tourné vers l’avenir GS1 Digital vise à un environnement de système intégré et continu, et à une gestion cohérente des données source. Ce cadre facilitera la collaboration avec les par­ tenaires extérieurs, nous permettra un travail sur tout appareil et rendra possible une prise en charge certaine qui inclut toutes les étapes de processus, concernant les missions à venir en rapport notamment avec GS1 Cloud (en anglais seulement). Dernier point mais non des moindres, ce projet constitue aussi une mise en avant: l’application des standards GS1 a lieu partout où leur uti­ lisation est possible et utile. Sur le plan technique, GS1 Digital n’a négligé aucun do­ maine. Pour résumer, qu’il s’agisse de la gestion de la relation client, de la comptabilité financière et relative aux fournisseurs, de l’enregistrement des temps ou de la facturation, les acteurs ont minutieusement étudié l’ensemble de l’environnement de système, remplacé la majeure partie des outils, et en ont également introduit de nouveaux.

La complexité des domaines d’activité de GS1 Suisse a constitué un défi. Nous proposons d’une part des presta­ tions de services de conseil et d’assistance et d’autre part, des offres en matière de manifestations et de for­ mations. Ces deux domaines comportent des besoins différents, et imposent des exigences différentes à un logiciel. Un système spécialisé dans la gestion des don­ nées, de l’événementiel et de la formation complète donc le logiciel de base, qui englobe les fonctionnalités essentielles. Une plaque tournante de données permet l’interconnexion des systèmes, dont nos programmes externes tels que GLN Search, Gepir ou trustbox. Le hub central de données permet une communication parfaite des systèmes entre eux. L’arrêt de la personnalisation facilite la réalisation des élargissements et migrations, et réduit également leur coût.

Rentabilité des efforts Bien que nécessaire et approprié, le projet GS1 Digital a impliqué un immense travail interne au cours de l’année de référence. Une grande partie du projet sera achevée à l’automne 2018. Nous-mêmes et nos membres pourront alors bénéficier du fruit de nos efforts. Hanspeter Stöcklin, Senior Management Consultant et chef de projet de GS1 Digital Raphael Pfarrer, directeur de GS1 Consulting Daniel Müller, directeur de GS1 System

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Biens de consommation

Prestations de services pour une numérisation réussie La numérisation va au-delà d’une expansion constante accompagnée d’une incursion toujours accrue dans le monde des affaires. La rapidité de progression de cette évolution augmente elle aussi. C’est un défi croissant pour nous-mêmes et nos membres.

5581

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En augmentation Lors de l’année de référence, GS1 Suisse a recensé 5581 membres. Ce sont 261 membres de plus que l’année précédente.

72 356 365

Dans le monde À la fin de l’année 2017, plus de 100 organisations membres de GS1 dans le monde avaient déjà intégré 72 356 365 GTIN à la base de données GS1 Cloud.

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Bien conseillés Pendant 28 jours, nous avons conseillé nos membres sur place dans la mise en œuvre et l’application des standards GS1.


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La numérisation impose des exigences toujours plus fortes à toutes les parties intéressées, y compris le déve­ loppement des standards et produits. Plus nombreuses sont les personnes qui comprennent l’importance de la numérisation et l’accroissement constant de son rôle, plus les exigences augmentent également.

GDSN Major Release En effet, le GDSN Major Release a été l’un des éléments majeurs de l’année de référence en matière de dévelop­ pement des standards et produits. En association avec le groupe spécialisé dans les données source, nous avons entièrement remanié et adapté le standard de contenu pour la Suisse. Les travaux ont été intensifs. Cette réali­ sation a beaucoup sollicité également nos membres. Nous avons beaucoup travaillé à la gestion des pools de données et à leur intégration. Les nouveaux prestataires qui pénètrent le marché nous confrontent à des défis, mais nous montrent également un accroissement pro­ pice du rôle du GDSN. Ce phénomène est certainement dû à l’évolution juridique qui accompagne l’exigence croissante d’une traçabilité parfaite. Autre point impor­ tant, la numérisation a désormais gagné également des entreprises pour lesquelles la thématique des pools de données et des données source était encore à aborder. Nous savons que pour de nombreuses entreprises, le GDSN représente un obstacle important. GS1 cherche donc à faciliter les standards et applications. Les plate­ formes GS1 Cloud et trustbox peuvent constituer une aide dans ce domaine.

Qualité des données source de produit et d’adresse Dans ce contexte, la question de la qualité des données, et notamment de celle des données source d’adresse et de produit réapparaît toujours. Que se passe-t-il en cas d’intégration fortuite de données incomplètes ou incor­ rectes à un processus automatisé? Comment garantir la qualité, y compris sur une certaine durée? C’est là qu’in­ tervient le mot-clé de la gestion des données. Cette ges­

tion n’incombe pas à GS1 Suisse, mais nous souhaitons assister nos membres au mieux dans ce domaine. Sur notre plateforme trustbox, par exemple, l’utilisation de l’instrument «Data Checker» nous a permis de parvenir à une qualité satisfaisante. Qui plus est, nous avons intégré la question de la qualité des données source à nos séries de séminaires, et travaillons à l’élaboration d’une forma­ tion spécifique à ce sujet.

Numérisation de l’ensemble de la supply chain Lors de l’année de référence, nous avons notamment aussi étudié la question du mode possible de numéri­ sation de la supply chain. Beaucoup d’entreprises ren­ contrent des difficultés à cet égard. Elles ont investi trop peu ou trop tard, et doivent à présent rattraper un retard considérable. Le principal défi dans ce domaine est de relier, intégrale­ ment et sur l’ensemble des partenaires, le flux physique de marchandises au flux numérique d’informations tout au long de la supply chain. Avec une vue distincte des données source, et des données de transactions et d’événements, le système GS1 est une solution par­ faite à cet effet. Le degré de maturité du système augmente suivant le nombre d’entreprises utilisatrices du système GS1; en fonction de ce phénomène, les utili­ sateurs peuvent également bénéficier d’un accroisse­ ment constant de l’efficacité des processus et de la ren­ tabilité.

Intégration internationale de la recommandation d’utilisation concernant la traçabilité Publiée pendant l’année de référence après l’activité in­ tensive d’un groupe de travail constitué de spécialistes du système, de l’assurance qualité et de la supply chain, la recommandation d’utilisation «Traçabilité dans la chaîne de livraison: principes et processus» n’a pas seulement retenu l’attention à l’échelle nationale; elle a également trouvé une entrée significative au Global Traceability Standard 2.0 (en anglais seulement) publié en août 2017.

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Cette recommandation est un guide utile concernant la possibilité d’appliquer numériquement la traçabilité sur l’ensemble de la supply chain.

Publication de la recommandation d’utilisation en matière de planification et de prévision Le groupe de travail en matière de planification et de prévision s’est consacré à un domaine essentiel et ardu de la gestion d’entreprise. Il a défini une conception de planification et de prévision à l’échelle interentreprises, développé un processus standardisé et élaboré des pra­ tiques d’excellence. La recommandation d’utilisation qui en résulte est une contribution importante en ce qui concerne les processus.

Actualisation du cursus de formation Category Management Au cours de l’année de référence, nous avons actualisé avec succès le cursus de formation en matière de Cate­ gory Management (en allemand seulement), et y avons intégré les éléments relatifs au commerce de détail om­ nicanal. Par cette mesure, nous avons réussi à dévelop­ per un élément central de la réponse efficace au consom­ mateur (Efficient Consumer Response). Trois fois déjà auprès de clients et une fois dans notre établissement, nous avons pu mener ce cursus à bien. Cette démarche nous confirme que le processus de gestion en huit étapes

demeure ESSENTIEL dans le commerce de détail. Qui plus est, le cursus de formation au Category Manage­ ment constitue un thème important non seulement en Suisse, mais aussi dans toute l’Europe germanophone.

Utilisation de fTrace L’entreprise Lee Fish Europe AG, représentante euro­ péenne du groupe Lee spécialisé dans la pêche durable de haute qualité en Océanie et en Asie du Sud-Est ainsi que dans la vente de poissons, compte sur la solution de traçabilité fTrace pour la documentation de sa chaîne d’approvisionnement. Dans ce domaine, fTrace inter­ vient non seulement dans le secteur B2B, mais aussi dans le commerce avec le client final. Au printemps de l’année de référence, Lee Fish a ouvert une surface de vente à Baar-Sihlbrugg et dans ce contexte, l’entreprise compte sur fTrace pour une transparence maximale en matière d’origine et de pêche. Dans le magasin, via un code QR, les partenaires commerciaux et clients peuvent consulter le lieu et le mode de pêche du poisson présent sur l’étalage. L’application permet en outre de consulter des conseils de préparation et recettes concernant le produit en question.

Cap sur GS1 Cloud Le gigantesque projet GS1 Cloud est un exemple parfait du rythme extrême attendu aujourd’hui de la part de GS1. En moins de douze mois, nous avons instauré la

Dans le magasin les clients peuvent consulter le lieu et le mode de pêche du poisson présent sur l’étalage via un code QR.

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Collecte de données Données téléchargées à partir de différentes sources

Stockage des données Données stockées dans une base de données moderne, évolutive et dans le cloud

GS1 Activate

Détaillants réels et virtuels

Émission et activation du GTIN

Banques de données GDSN Agrégateurs de données Autres répertoires /  répertoires locaux

Accès aux données Données distribuées à de nombreuses applications créatrices de valeur

Flux de données direct ou facultatif via les OM

Développeurs d’applications, fournisseurs de solutions géré par GS1 Global, offert par les OM de GS1

Producteurs

Organisations membres (OM) de GS1 Régulateurs

Base de données interne du propriétaire de la marque

Dans l’avenir, pour chaque GTIN, il sera nécessaire d’enregistrer les principales informations importantes dans la base de données.

base de données demandée par de grands acteurs tels qu’Alibaba, Amazon et eBay pour un contrôle facile des produits à l’échelle mondiale. Dans l’avenir, pour chaque GTIN, il sera nécessaire d’enregistrer les principales infor­ mations importantes dans la base de données. Outre la marque et le nom de produit, il faudra faire figurer une photo, la classification de produit, la langue des infor­ mations de produit ainsi que le marché visé. En même temps, à l’exemple de ce qui s’applique déjà dans le sec­ teur de la santé publique, la réutilisation du GTIN sera désormais interdite. Actuellement, les organisations membres de GS1 situées partout dans le monde alimentent la plateforme en don­ nées. Sa mise en service aura lieu dans le courant de l’an­ née 2018.

GS1 SmartSearch Le nouveau standard GS1 SmartSearch en est encore à sa phase d’introduction. Un premier essai réussi a eu lieu en Suisse, et le séminaire d’une demi-journée concernant le standard a été bien accueilli. En outre, différentes inter­ ventions externes ont fait l’objet d’un intérêt particulier. Des moyens de faciliter la saisie de données et la modu­ lation d’après GS1 SmartSearch sont prévus pour 2018.

Mise en œuvre de la facture hybride Sous la direction de GS1 Suisse, des représentants des autorités, du commerce, de l’industrie et de l’initiative swissDIGIN ont très rapidement défini un format de fac­ ture électronique selon l’exemple français et allemand (ZUGFeRD, Factur-X). Avec l’intégration d’un fichier

XML standardisé, un fichier PDF permet en supplément un traitement automatisé. Entièrement compatible avec les solutions européennes existantes, ce format est donc utilisable au-delà des frontières. Une recommandation détaillée de mise en œuvre (en allemand seulement) fournit des informations d’utilisation.

Demande importante de Single GTIN La politique de Google, Amazon, Alibaba et eBay, qui consiste en un recours accru au système GS1 et au Global Trade Item Number (GTIN), s’est particulièrement fait ressentir avec notre offre de Single GTIN. Dans le sec­ teur des petites entreprises notamment, la demande à l’année de référence a connu une remarquable augmen­ tation de plus de 20 % par rapport à l’année précédente. Des évolutions sont encore à prévoir dans ce domaine.

Expansion de trustbox Le développement de notre plateforme trustbox pour l’échange de données dans le domaine des produits alimentaires a été extrêmement favorable: nous avons dépassé le cap de cent participants, et la plateforme permet de consulter trois cent marques d’entreprises renommées telles que Mondelez, Unilever et Nestlé. Cette expansion est considérablement liée au délai de transition qui concerne la nouvelle ordonnance sur l’éti­ quetage des denrées alimentaires, et qui expirera en mai 2018. Daniel Müller, directeur de GS1 System Raphael Pfarrer, directeur de GS1 Consulting

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Secteur de la santé publique

Le secteur suisse de la santé publique compte sur le système GS1 Notre travail intensif des précédentes années a été précieux: des acteurs toujours plus nombreux du secteur suisse de la santé publique affirment leur lien au système GS1. À la fin de l’année de référence, tous les hôpitaux universitaires suisses sont désormais membres de GS1 Suisse.

5 +15 %

86 % 12

Engagés Les cinq hôpitaux universitaires en Suisse sont tous désormais membres de GS1 Suisse.

En augmentation Avec 512 entreprises, la part des membres de GS1 Suisse qui appartiennent au secteur de la santé publique représentait à la fin de l’année de référence 9,1 % de l’ensemble des adhésions. C’est une augmentation de 15 % par rapport à 2016.

Pourcentage élevé Le GTIN permet l’identification de 86 % des dispositifs médicaux inclus dans les bases de données états­ uniennes de la GUDID (base de données mondiale d’identification unique des dispositifs).


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Les fabricants de dispositifs médicaux sont eux aussi toujours plus nombreux à compter sur nos standards. Qui plus est, lors de l’année de référence, nos spécialistes du secteur de la santé publique ont reçu un nombre de demandes d’exposés nettement supérieur à celui des années précédentes. Nous avons également pu mener à bien un mandat de conseil concernant la logistique dans un grand hôpital. Thème important y compris dans le secteur de la santé publique, la numérisation est un motif essentiel de cet intérêt. Les acteurs se rendent compte du caractère dé­ sormais insuffisant des mécanismes actuels en matière d’exigences de qualité, de transparence, de traçabilité et de sécurité des patients. En outre, quelques ajustements réglementaires sont encore à venir, et le système GS1 permettra leur mise en application: c’est notamment le cas de la directive européenne sur les médicaments fal­ sifiés (Falsified Medicine Directive, FMD) et des modi­

fications qui s’y rapportent dans la loi sur les produits thérapeutiques, de l’identification unique des dispositifs médicaux (Unique Device Identification, UDI), et des nouveaux règlements européens concernant les dispo­ sitifs médicaux (MDR) ainsi que les diagnostics in vitro.

FMD: forte implication de GS1 Suisse La FMD contient l’exigence d’une sérialisation des pro­ duits pharmaceutiques menacés par la contrefaçon, et d’une déclaration des informations à ce sujet auprès d’une base centrale de données. Dans l’Union euro­ péenne, à compter du 9 février 2019, tous les médica­ ments à usage humain soumis à prescription médicale devront comporter un dispositif de sécurité. Lentement mais sûrement, même les petits fournisseurs en Suisse se rendent compte des effets de la FMD sur leur activité, et de la nécessité pour eux d’aborder cette question.

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Cependant, GS1 Suisse a non seulement assuré un rôle de conseil auprès des fabricants de produits pharmaceu­ tiques, mais s’est également impliquée dans la mise en application de la directive FMD en Suisse. Afin de per­ mettre de vérifier la validité du numéro de série avant la délivrance d’un médicament sous emballage, il est nécessaire d’établir une mémoire nationale de données dans chaque pays participant. En Suisse, la nouvelle loi sur les produits thérapeutiques reprend les principes du règlement européen sur la base temporaire du volontariat. Organisées au sein de la fon­ dation Refdata, les associations suisses du secteur de la santé publique ont donc décidé d’élaborer, pour le Liechtenstein et la Suisse, un système de base de don­ nées pour la vérification des dispositifs de sécurité des médicaments conformément aux exigences de l’orga­ nisation européenne de vérification des médicaments (EMVO). Le système suisse de vérification des médica­ ments (SMVS) doit en outre être rattaché au système européen. Prochainement, l’organisation suisse de vérifi­ cation des médicaments (SMVO) sera créée en tant que société exploitante du SMVS. GS1 Suisse assiste la fon­ dation Refdata dans la constitution de la SMVO, et dans le choix du fournisseur de logiciel. En ce qui concerne la FMD, GS1 Suisse a également par­ ticipé à la procédure de consultation concernant la légis­ lation sur le dossier électronique du patient (LDEP). Avec succès, nous avons fourni un avis concernant le dossier électronique de vaccination, la cybermédication et l’ordonnance électronique et avons exigé le respect permanent des standards d’identification GS1.

Nombreux participants au séminaire de l’UDI (identification unique des dispositifs médicaux) L’approche des délais concernant l’UDI et la MDR a en­ traîné une grande affluence à nos séminaires. Les règle­ ments européens sont effectifs depuis le 26 mai 2017. Par le biais d’un marquage uniforme des dispositifs médicaux, le système d’UDI requis augmente la qualité de l’approvisionnement tout comme la sécurité des pa­ tients, et constitue la base de l’optimisation des proces­ sus opérationnels. Sa mise en application dans l’espace européen s’effectuera progressivement, jusqu’au 26 mai 2025. Les entreprises qui souhaitent continuer à com­ mercialiser leurs produits sur le marché états-unien de­ vront identifier leurs dispositifs médicaux au plus tard d’ici septembre 2020 (classe I encore en attente).

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Une avancée: le projet pilote GDSN À l’issue de presque six années de travail, le groupe spé­ cialisé BiG – Approvisionnement dans la santé publique (en allemand seulement) a pu réaliser une avancée ma­ jeure: dans le cadre du projet pilote GDSN (Global Data Synchronisation Network) et par le biais de pools de données GDSN, trois fabricants ont transmis, à l’entre­ prise Insel Gruppe AG, des données source d’article avec le message corres­­pondant «Catalogue Item Noti­ fication»; le traitement de ces données a également eu lieu avec succès. Malgré les critiques, une certitude se confirme: le GDSN est l’unique standard adéquat pour l’échange des données source d’article, y compris dans le secteur de la santé publique.

Succès du projet «Hôpital du futur en direct» Dernier point, mais non des moindres, notre projet «Hôpital du futur en direct» s’est déroulé avec un grand succès. Il a permis la production de travaux utiles dont certains présentent également un potentiel pour des pro­ jets pilotes. Le projet prendra fin en 2018, et les acteurs élaborent un concept en vue de sa continuation. Ce projet est important pour GS1 Suisse, car il indique la direction que nous devons désormais prendre en tant qu’acteurs de la santé publique. Un défi majeur consiste à transmettre les informations concernant un produit, tel qu’un médicament ou un dispositif médical, de sa fabrication jusqu’au lit d’hôpital ou à la table d’opération en passant par l’ensemble de la chaîne d’approvisionne­ ment, puis à documenter intégralement et parfaitement ce processus. Cette documentation parfaite doit avoir pour objectif l’amélioration et la simplification des ser­ vices essentiels dans le domaine médical. Roland Weibel, Senior Consultant Healthcare Erwin Zetz, Senior Management Consultant Healthcare


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Transport et logistique

Moins de CO2 et un contrôle accru lors de l’échange de palettes Le transport et la logistique font partie des principaux émetteurs de CO2 en Suisse. L’initiative Lean & Green Switzerland, hébergée de GS1 Suisse, vise à inciter les acteurs économiques à réduire leurs émissions de dioxyde de carbone. Les entreprises qui rejoignent cette initiative s’engagent à réduire leur empreinte d’ici cinq ans.

15

millions

3

11 16

Prisées Utilisées par 30 000 entreprises au moins, près de 15 millions d’europalettes sont en circulation en Suisse.

Engagées Dans le cadre de l’Initiative Lean & Green Switzerland, trois entreprises en Suisse se sont déjà engagées à une réduction relative d’au moins 20 % des émissions de CO2 d’ici au maximum cinq ans.

Informative Pour la onzième fois déjà, lors de l’année de référence, les acteurs concernés ont élaboré l’étude du marché de la logistique en Suisse.


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Pendant l’année de référence, GS1 Suisse a profitable­ ment développé en Suisse l’Initiative Lean & Green (en allemand seulement), européenne et fondée aux PaysBas. Dès le début de l’initiative, il a été possible de rallier de grandes entreprises suisses à l’élaboration concrète de mesures en vue d’une diminution du CO2. La coopéra­ tive Coop, Lidl Suisse et l’entreprise Krummen Kerzers AG se sont engagées à parvenir, d’ici au maximum cinq ans, à une réduction relative d’au moins 20 % des émis­ sions de CO2.

Un échange plus équitable des palettes Des europalettes contrefaites et de qualité inférieure sont de plus en plus souvent en circulation. GS1 Suisse et l’Association suisse des transports routiers ASTAG ont identifié le problème, et prévoient des mesures strictes (en allemand seulement). En effet, la qualité des palettes garantit finalement la sécurité des chargements et des collaborateurs. En conséquence, le groupe spécialisé Engins échangeables pour la Suisse (en allemand seule­ ment) veut accroître l’équité et la transparence du sys­ tème actuel d’échange d’europalettes. Lors d’une pre­ mière étape, pour tous les participants au pool, les acteurs définiront des dispositions contraignantes en matière de tâches, d’obligations et de droits. La recom­ mandation élaborée par le groupe spécialisé, selon le principe d’un code de conduite, concernant l’«échange d’europalettes» sera probablement présentée dans le courant de l’année 2018. La solution comprend un réper­ toire public sur le site web de GS1 Suisse. Par leur ins­ cription, les entreprises s’engagent au respect des dispo­ sitions, et à l’apposition d’un symbole qui indique leur statut d’acteur plus équitable en matière de palettes.

Bien externaliser les services logistiques À la fin de l’année 2017, un guide complet est paru sur le thème de l’externalisation. Les auteurs y développent la question suivante: «externaliser, oui ou non?». Produit en association avec des experts par le groupe de travail de Romandie consacré à l’externalisation (en allemand seulement), ce guide joue un rôle d’outil décisionnel pour le lecteur. Il fournit des indications pratiques telles que la méthode adéquate de définition du volume d’externa­ lisation, le mode d’élaboration de solutions avec des partenaires, et la possibilité de parvenir à une relation commerciale équilibrée après la signature de contrat. L’application de lignes directrices éprouvées concernant l’organisation, le service informatique et les ressources humaines permet d’atteindre les objectifs visés, et de réduire en même temps les risques. En outre, ce guide aborde les modifications de la relation entre fournisseur et client qui résultent d’un agrandissement du service ou d’une expiration du contrat.

Évolutions de la chaîne d’approvisionnement à l’ère du numérique L’étude du marché de la logistique en Suisse élaborée durant l’année de référence, et les études ciblées de 2018 (en allemand seulement) se concentrent sur le Supply Chain Management 4.0 et la mise en réseau numérique, la robotique, la logistique à température contrôlée, l’intralogistique et d’autres thèmes encore. GS1 Suisse publie cette étude à parution annuelle en association avec l’institut de Supply Chain Management de l’univer­ sité de Saint-Gall, et avec des responsables assistés d’un large soutien. C’est le principal ouvrage en matière de logistique, de gestion des processus et de Supply Chain Management. Raphael Pfarrer, directeur de GS1 Consulting Thomas Bögli, directeur de GS1 Academy

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Industries techniques

Implication dans le domaine ferroviaire et l’Industrie 4.0 Le système ferroviaire européen est de loin ce qui a le plus influencé notre infrastructure et notre logistique. À partir des standards mondiaux, GS1 a établi une nouvelle recomman­dation d’utilisation pour une gestion efficace des stocks et des services d’entretien pour les opérateurs ferroviaires et sous-traitants.

11,1

billions

8,4

Nombreux D’après le cabinet de conseil et de recherche Gartner, 8,4 milliards d’appareils adaptés à l’Internet des objets étaient utilisés en 2017. C’est une augmentation de 31 % par rapport à l’année précédente.

1,5

Connectées Les standards forment la base de l’Industrie 4.0. Plus d’un million et demi d’entreprises dans le monde comptent sur les standards mondiaux GS1.

milliards

millions

18

Précieux D’après une étude du cabinet de conseil McKinsey & Company, la connexion entre le monde physique et l’univers numérique (Internet des objets) pourrait, d’ici 2025, générer annuellement une création de valeur de 11,1 billions de dollars américains.


Rapport d’activités 2017 GS1 Suisse

Au cours des dernières décennies, les systèmes numé­ riques se sont d’ores et déjà imposés dans la planification, la gestion du trafic et la sécurité; en conséquence, ac­ tuellement, l’approche s’oriente vers les domaines de la gestion de la qualité, de l’optimisation de l’entretien et de l’approvisionnement en pièces de rechange. Afin de garantir la sécurité de fonctionnement, il est nécessaire de fournir les pièces et composants adéquats, et de synchroniser la disponibilité du matériel et des services d’entretien. Une approche basée sur les standards pour l’identifica­ tion et le marquage des matériaux, composants, unités logistiques, sites et actifs permet de simplifier les pro­ cessus fondamentaux dans le domaine ferroviaire. Il en résulte un contrôle amélioré des stocks, et une gestion plus efficace des actifs; ces facteurs induisent une sécu­ rité accrue des stocks, une disponibilité assurée des composants dans les ateliers et une réduction des coûts. La recommandation d’utilisation «AutoID in Rail – Iden­ tification of Rolling Stock, Components and Spare Parts in the Rail Sector» (Identification automatique dans le secteur du rail – Identification des biens d’équipement roulants et des pièces de rechange dans le domaine fer­ roviaire) (en anglais) indique également comment les codes-barres ou le marquage RFID permettent de réali­

ser l’identification univoque ainsi que la saisie automa­ tique de données.

Participation au groupe de travail tenu par Industrie 2025 La plateforme «Industrie 2025» est une initiative des trois associations asut, Swissmem et SwissT.net. Par l’informa­ tion, la sensibilisation, la mise en réseau et la promotion des acteurs concernés à propos du thème de l’Industrie 4.0, elle vise à développer et à assurer la compétitivité des entreprises et de la place industrielle suisses. À cette fin, «Industrie 2025» élabore et organise des manifesta­ tions professionnelles, des conférences en recherche et développement et des séminaires sur des thèmes par­ ticuliers. L’initiative met également plusieurs groupes de travail à contribution. GS1 Suisse s’implique dans le groupe de travail sur le thème des «normes et stan­ dards», groupe qui vise à créer une vue d’ensemble des normes nationales et internationales existantes ainsi qu’une feuille de route en matière de normes pour l’In­ dustrie 4.0 en Suisse. Daniel Müller, directeur de GS1 System Raphael Pfarrer, directeur de GS1 Consulting

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Rapport d’activités 2017 GS1 Suisse

Événementiel et formation continue

Vif intérêt pour les cursus de formation et pour les manifestations La menace d’une pénurie de personnel qualifié en Suisse concerne également le secteur de la logistique. Il est donc d’autant plus réjouissant qu’en 2017, par rapport à l’année précédente, davantage de participants aient commencé les cursus de formation profession­ nelle supérieure auprès de GS1 Suisse et, hormis les examens de chef de logistique et de Supply Chain Manager, aient passé les examens fédéraux.

116

20

Prisés 116 personnes ont commencé nos cursus de spécialiste en logistique, de chef de logistique et de Supply Chain Manager.

2541

Intéressés 2541 visiteurs ont participé à nos manifestations et se sont informés des questions concernant GS1.

1009

Ambitieux Pour 461 participants, l’équipe de formation de GS1 Academy a organisé les examens fédéraux de spécia­ liste en logistique, de chef de logistique et de Supply Chain Manager. L’organisation des examens du module de base concernant la SSC a également eu lieu pour 548 participants.


Rapport d’activités 2017 GS1 Suisse

GS1 Suisse propose trois cursus de formation profes­ sionnelle supérieure (en allemand seulement): à un ni­ veau d’examen professionnel, la formation continue de spécialiste en logistique avec brevet fédéral, et à un niveau d’examen professionnel supérieur, les formations continues de chef de logistique et de Supply Chain Manager qui toutes deux, donnent lieu à un diplôme fédéral. En tant qu’organe responsable, et pour le compte du secrétariat d’État à la formation, à la recherche et à l’innovation (SEFRI), l’association est également chargée de la réalisation des examens fédéraux de spécialiste en logistique, de chef de logistique et de Supply Chain Manager. Au-delà des cursus et examens également, l’année de référence a été très profitable au département GS1 Academy: à nouveau, pour ses produits concernant la formation continue, ce domaine d’activité a obtenu la re­certification EduQua avec d’excellents résultats. Qui plus est, les actions internes en matière de marketing et d’augmentation de l’efficacité, ainsi que la formation commerciale des collaborateurs de GS1 Academy ont déjà entraîné leurs premiers effets positifs. Ces effets s’accroîtront encore nettement en 2018.

Institution de la conférence suisse sur le marketing en ligne L’année événementielle 2017 a elle aussi été riche et pro­ fitable. Nous avons réalisé de nombreuses manifesta­ tions sur les thèmes les plus divers, et avons toujours obtenu des commentaires positifs. L’affluence de visi­ teurs révèle l’adéquation de notre offre avec notre époque. À titre de nouveauté dans notre portefeuille, nous avons organisé la conférence suisse sur le marketing en ligne (OMK) (en allemand seulement). D’ores et déjà instituée dans le secteur, cette manifestation comble une lacune dans notre portefeuille en matière de gestion de la de­ mande. Des experts reconnus d’entreprises nationales et internationales, des leaders d’opinion du secteur et des représentants de brillantes start-ups ont transmis leur savoir et leur expérience à trois cent quinze participants. Thomas Bögli, directeur de GS1 Academy

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Rapport d’activités 2017 GS1 Suisse

Comptes annuels Bilan (en CHF) Actifs

2016

2017

Caisse

2 543

1 104

Compte postal

6 422

231 938

Banque

2 254 083

1 681 703

Titres

3 807 553

4 217 529

Réserves de fluctuation

–250 000

–420 000

380 396

591 838

Autres créances à court terme

42 091

101 123

Prestations des services non facturées

30 000

57 650

640 969

460 279

6 914 057

6 923 162

200 022

200 042

1 517 800

1 315 050

4 300

65 520

Actifs immobilisés

1 722 122

1 580 612

Total Actifs

8 636 179

8 503 774

2016

2017

Créanciers-fournisseurs

284 236

288 200

Autres engagements à court terme

201 140

42 287

Passifs transitoires

1 099 619

1 177 353

Engagements à court terme

1 584 995

1 507 839

Provisions

364 300

267 200

Engagements à long terme

364 300

267 200

Capitaux étrangers

1 949 295

1 775 039

Capital propre au début de l’exercice

6 305 824

6 686 884

381 060

41 851

Capital propre

6 686 884

6 728 735

Total Passifs

8 636 179

8 503 774

2016

2017

Capital propre au début de l’exercice

6 305 824

6 686 884

Capital propre à la fin de l’exercice

6 686 884

6 728 735

Variation du capital propre

381 060

41 851

Pro memoria: réserves de contribution patronales

641 264

641 264

Débiteurs

Actifs transitoires Actifs circulants Placements financiers (caution bail) Actifs immobilisés Immobilisations incorporelles

Passifs

Résultat de l’exercice

Évolution du capital propre

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Rapport d’activités 2017 GS1 Suisse

Compte des résultats (en CHF) Recettes

2016

2017

5 855 735

6 058 748

822 680

986 311

2 834 548

2 912 964

567 590

626 671

1 567 808

991 036

Marketing

117 461

117 561

Clubs GS1

86 790

79 050

3 446

14 700

–34 826

–76 613

11 821 232

11 710 428

2016

2017

Redevance du système GS1

–358 534

–394 656

Système GS1

–310 563

–335 935

–1 765 369

–1 759 018

Événements

–393 963

–420 699

GS1 Consulting

–774 746

–522 164

Marketing

–176 626

–176 316

Services

–165 514

–44 891

–58 132

–52 101

–4 003 447

–3 705 780

7 817 785

8 004 648

–6 130 566

–6 301 856

Frais d’administration et de distribution

–577 211

–524 764

Autres charges d’exploitation

–648 203

–544 691

Amortissements

–176 815

–384 185

284 990

249 151

Produits hors exploitation

1 594

2 935

Charges hors exploitation

–2 562

–2 885

–968

51

–37 615

–40 183

Produits financiers/Résultats sur titres

74 247

213 081

Résultat financier

36 632

172 898

Résultats avant charges extraordinaires

320 654

422 100

Produits exceptionnels

100 368

8 635

Charges exceptionnelles

–30 000

–379 328

70 368

–370 693

391 022

51 407

–9 962

–9 556

381 060

41 851

Redevance du système GS1 Système GS1 Formation Événements GS1 Consulting

Divers revenus Pertes sur débiteurs Total Recettes

Charges

Formation

Clubs GS1 Charges directes Résultat brut Charges de personnel

Résultat d’exploitation

Résultats hors exploitation Charges financières

Résultat exceptionnel Résultat annuel avant impôts Impôts directs Résultat de l’exercice

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Rapport d’activités 2017 GS1 Suisse

Annexe aux comptes annuels 1. Méthodes d’inscription au bilan et d’évaluation Principes d’évaluation appliqués Les comptes annuels présents ont été établis d’après les dispositions de la législation comptable suisse (32ème titre du droit des obligations, art. 957 à 963b). Les principaux éléments d’évaluation utilisés, qui ne sont pas prescrits par la législation ou présentent des choix possibles, sont décrits ci-dessous: Titres Les titres à court terme sont estimés selon le cours de la Bourse à la clôture. Pour tenir compte des fluctuations des cours, une réserve de fluctuation est mise en place (correctif de valeur). Immobilisations corporelles Les installations et systèmes informatiques sont amortis sur cinq ans et les locaux commerciaux et le mobilier pendant dix ans. Chiffre d’affaires Les produits des ventes sont définis au moment de la prestation du service. 2. Informations, ventilations et commentaires sur le bilan et le compte de résultats Informations générales Société Association GS1 Suisse Forme juridique Association Siège de la société Berne Postes à temps plein Le nombre de postes à temps plein en moyenne était entre 10 et 50 personnes, aussi bien l’année de référence que l’année précédente. Obligations vis-à-vis de la caisse de pension Au 31.12.2017, un engagement d’un montant de 4176 CHF existait vis-à-vis de l’institution de prévoyance en faveur du personnel (2016: engagement de 4520 CHF).

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Rapport d’activités 2017 GS1 Suisse

Immobilisations corporelles Les immobilisations corporelles se composent des postes suivants: Catégorie

2016

2017

Mobilier et équipement

412 300

360 700

lnstallations et appareils informatiques

197 000

144 250

Locaux commerciaux

908 500

810 100

1 517 800

1 315 050

Total

Publication d’autres obligations Contrats de location non résiliables à un an: Investissement

Durée de la location du

au

Restant

Contrat de location: Monbijoustrasse 68, Bern

01.10.2015

30.09.2020

1 025 145

Canon contrat de location: CH-931391-OKL

06.10.2015

05.10.2020

8 283

Canon contrat de location: CH-931291-OKL

16.12.2015

15.12.2020

8 343

Canon contrat de location: CH-931292-OKL

16.12.2015

15.12.2020

6 248

Actifs non disponibles librement Dépôt de garantie de CHF 200 042 Recettes exceptionnelles, uniques ou antérieures Postes

2016

2017

Dissolution de la provision pour le déménagement des bureaux

70 100

0

Remboursement lié à des prestations d’assurance

17 984

0

Autres recettes antérieures

12 284

8 636

100 368

8 636

2016

2017

Frais de personnel antérieurs

30 000

379 328

Total

30 000

379 328

Total

Dépenses exceptionnelles, uniques ou antérieures Postes

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Rapport d’activités 2017 GS1 Suisse

Commentaire sur les comptes annuels Bilan Actifs Liquidités et titres (–108 KCHF) Les moyens disponibles à court terme (caisse, compte postal, banque et titres) sont, au total, de 5712 KCHF à la date de clôture (5820 KCHF au 31.12.2016). L’augmentation d’actifs concernant les titres est de 410 KCHF. Cette évolution est due principalement à des acquisitions en matière d’actions (+231 KCHF) et d’obligations (+141 KCHF). Au jour de clôture, l’évolution positive de la Bourse a per­ mis une augmentation de la réserve de fluctuation de valeur qui atteint 420 KCHF (+170 KCHF). Créances en provenance de ventes et de prestations (+211 KCHF) D’un montant de 592 KCHF, les créances inscrites au bi­ lan englobent un solde créditeur de 565 KCHF pour le quatrième trimestre 2017. Le calcul du ducroire sur débi­ teurs a eu lieu d’après les principes suivants: • créances jusqu’à 90 jours 5 % • créances de 91 à 180 jours 25 % • créances de 181 à 270 jours 50 % • créances de 271 à 365 jours 75 % • créances de plus de 365 jours 100 % Autres créances à court terme (+59 KCHF) Ce poste comprend principalement un crédit en prove­ nance du projet Hôpital du futur, un crédit en matière d’impôt anticipé et d’autres créances à court terme. Prestations de services non facturées (+28 KCHF) Le volume des prestations de services non facturées pro­ vient uniquement du secteur des prestations de services d’assistance. Actifs transitoires (–180 KCHF) Ce poste comprend des recettes de 334 KCHF en raison de subventions à créditer pour cette période, ainsi que 126 KCHF pour des dépenses réglées à l’avance et qui sont, intégralement ou en partie, à inscrire au débit pour la période suivante. La diminution de valeur est due aux frais de projet (projet Hôpital du futur) engagés pendant la période de référence.

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Actifs immobilisés Les actifs financiers (garantie de loyer) sont en hausse de 20 CHF (intérêt créditeur) par rapport à l’année pré­ cédente. Parmi les immobilisations corporelles, nous avons investi uniquement dans le domaine informatique (30 KCHF): • immobilisations corporelles au 1.1.2017 KCHF 1 518 • installations et appareils informatiques +KCHF 30 • amortissements –KCHF 233 • Immobilisations corporelles au 31.12.2017

KCHF 1 315

Concernant les immobilisations corporelles immeubles (locaux commerciaux), 98 KCHF ont été inscrits au débit en tant que frais d’amortissement. Il faut affecter aux im­ mobilisations corporelles mobiles les correctifs de valeur restants, d’un montant de 134 KCHF. Pour la période de référence, nous avons inscrit au bilan les coûts du projet GS1 Digital concernant la transforma­ tion numérique, la boutique annexe en ligne ainsi que les licences: • valeurs immatérielles au 1.1.2017 KCHF 4 • licences, extension des licences GS1 Digital comprise +KCHF 55 • coûts à inscrire à l’actif concernant GS1 Digital +KCHF 287 • amortissements exceptionnels –KCHF 150 • utilisation des provisions concernant l’EPC +KCHF 150 • amortissements –KCHF 280 • Valeurs immatérielles au 31.12.2017

KCHF

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Rapport d’activités 2017 GS1 Suisse

Passifs Engagements en provenance de ventes et de prestations (+4 KCHF) Au jour de clôture, les engagements en provenance de ventes et de prestations varient de 4 KCHF par rapport à l’année précédente. Autres engagements à court terme (–160 KCHF) Le poste des autres engagements à court terme englobe les impôts dus à la source, la taxe sur la valeur ajoutée, les cotisations d’assurance sociale et les coûts de per­ sonnel non réglés au jour de clôture. L’écart est dû prin­ cipalement à la dette de taxe sur la valeur ajoutée, in­férieure de 57 KCHF pour le quatrième trimestre et à des engagements moins importants, d’un volume de 94 KCHF, vis-à-vis des assurances sociales. En outre, les dettes vis-à-vis des assurances sociales sont générale­ ment moins élevées. Seule la dette de l’impôt dû à la source pour le quatrième trimestre dépasse de 3 KCHF celle de l’année précédente.

Passifs transitoires (+78 KCHF) Les passifs transitoires comprennent les recettes qui sont, intégralement ou en partie, à inscrire au crédit pour la période suivante. Cette rubrique concerne surtout les rémunérations perçues pour les formations continues d’une durée supérieure à un an, ainsi que le projet Hôpi­ tal du futur. Des coûts liés à des prestations reçues, à affecter à la période de référence et non réglés au jour de clôture, sont également inscrits au bilan. Provisions (–97 KCHF) Nous avons dû augmenter de 53 KCHF la provision pour congés et heures supplémentaires. Pendant la période de référence, afin de couvrir un amortissement excep­ tionnel dans le cadre du projet GS1 Digital, nous avons utilisé 150 KCHF issus de la provision concernant l’EPC (Electronic Product Code). Réserve de cotisations de l’employeur Auprès de la société Basler Versicherung, GS1 Suisse dispose d’une réserve de cotisations de l’employeur d’un montant de 641 KCHF, inchangée par rapport à l’année précédente et non inscrite au bilan.

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Rapport d’activités 2017 GS1 Suisse

Explications concernant le compte de résultat Recettes Les recettes de GS1 Suisse sont composées de cotisa­ tions d’adhésion et de chiffres d’affaires liés aux presta­ tions de services. Lors de la période de référence, nous avons atteint un chiffre d’affaires brut de 11 787 KCHF, ce qui représente une baisse de 69 KCHF par rapport à l’année précédente. Composition des recettes

2016

2017

Adhésion simple

16 %

17 %

Adhésion à la participation au système GS1

33 %

35 %

Recettes du secteur de la formation (séminaires inclus)

24 %

25 %

Recettes en provenance de manifestations Autres prestations de services

5 %

5 %

22 %

18 %

Les recettes liées à l’adhésion et à l’utilisation du système GS1 sont supérieures de 204 KCHF à celles de l’an passé. Une augmentation est à enregistrer également concer­ nant l’offre élargie de produits et de services du domaine d’activité du système GS1 (+164 KCHF). En raison d’un début satisfaisant des cours au printemps 2017, le secteur de la formation a pu améliorer légère­ ment son chiffre d’affaires par rapport à l’année précé­ dente (+79 KCHF). Dans le secteur de l’événementiel, les forums spécialisés et les ateliers ont à nouveau été très fréquentés, ce qui a entraîné une augmentation de chiffre d’affaires de 59 KCHF par rapport à l’année précédente. Le secteur GS1 Consulting, en revanche, doit enregistrer une baisse de chiffre d’affaires de 576 KCHF. Cette évo­ lution est due à des mouvements de personnel, et à des déplacements de ressources en cours d’année à destina­ tion de projets internes (GS1 Digital). Dans le secteur du marketing, aucune variation n’est à enregistrer en matière de chiffre d’affaires. Des créances de débiteurs égales à 77 KCHF ont été dé­ duites du chiffre d’affaires total. Ce poste est composé de pertes d’un montant de 21 KCHF subies sur les crédits (année précédente: 37 KCHF) et de l’ajustement de ducroire égal à 56 KCHF.

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Dépenses Nous avons pu maintenir les coûts de production à un niveau inférieur de 298 KCHF à celui de l’année précé­ dente. Avec une diminution de coûts de 252 KCHF, le secteur GS1 Consulting présente une différence mar­ quante. Les autres secteurs se situent au même niveau que l’année précédente. Les frais de personnel comprennent des frais de prési­ dence d’un montant de 132 KCHF. L’année précédente, ces dépenses figuraient encore parmi les frais de pro­ duction. Les frais administratifs et commerciaux sont inférieurs de 52 KCHF à ceux de l’année précédente. Ce poste de dé­ penses comprend le matériel du bureau, les documents imprimés, les frais de communication et de conseil ainsi que les droits de licence et les frais d’entretien pour les installations informatiques et l’équipement de bureau. Les diminutions de coûts sont principalement attri­ buables aux frais de conseil et d’impression. Le poste des autres frais d’exploitation comprend les coûts de locaux, l’entretien et les réparations, les assu­ rances ainsi que d’autres coûts d’exploitation. Les coûts de locaux ont diminué en tout de 34 KCHF par rapport à l’année précédente, tandis que les frais d’exploitation restants sont demeurés stables. Les amortissements sont indiqués parmi les actifs immo­ bilisés. À la différence de l’année précédente, pour la période de référence, nous avons comptabilisé des frais d’amortissement d’un montant de 150 KCHF inscrits au compte de résultat pour le projet GS1 Digital. Le résultat financier présente une amélioration de 136 KCHF par rapport à l’année précédente. Il faut rele­ ver le bénéfice comptabilisé sur les cours, d’un montant de 175 KCHF, en provenance du compte de dépôt de titres qui s’élève ainsi à 345 KCHF. Dans le bilan, pour la période de référence, nous avons inscrit au débit l’aug­ mentation de 170 KCHF de la réserve de fluctuation de valeur. Le poste du résultat exceptionnel englobe principale­ ment des opérations commerciales uniques. Des disso­ lutions de contrat durant la période de référence ont entraîné des coûts de 304 KCHF inscrits au compte de résultat, et des frais exceptionnels de présidence d’un montant de 75 KCHF. Comparativement, les recettes antérieures restantes s’élèvent à 9 KCHF. La modification concernant les provisions est expliquée dans le commentaire du bilan. Le bilan comptable est clôturé avec un bénéfice de 42 KCHF.


Rapport d’activités 2017 GS1 Suisse

Rapport de l’organe de révision sur le contrôle restreint à l’Assemblée générale des membres de l’Association GS1 Suisse, Berne En notre qualité d’organe de révision, nous avons contrô­ lé les comptes annuels (bilan, compte de résultat et annexe) d’Association GS1 Suisse pour l’exercice arrêté au 31 décembre 2017. La responsabilité de l’établissement des comptes annuels incombe à la Direction alors que notre mission consiste à contrôler ces comptes. Nous attestons que nous remplis­ sons les exigences légales d’agrément et d’indépen­ dance. Notre contrôle a été effectué selon la Norme suisse relative au contrôle restreint. Cette norme requiert de planifier et de réaliser le contrôle de manière telle que des anomalies significatives dans les comptes annuels puissent être constatées. Un contrôle restreint englobe principalement des auditions, des procédures de contrôle analytiques ainsi que des vérifications détaillées appro­ priées des documents disponibles dans l’association

contrôlée. En revanche, des vérifications des flux d’ex­ ploitation et du système de contrôle interne ainsi que des auditions et d’autres opérations de contrôle desti­ nées à détecter des fraudes ne font pas partie de ce contrôle. Lors de notre contrôle, nous n’avons pas rencontré d’élé­ ment nous permettant de conclure que les comptes an­ nuels ne sont pas conformes à la loi et aux statuts. PricewaterhouseCoopers AG Hans-Rudolf Burkhard Yvonne Burger Expert-réviseur Expert-réviseur Réviseur responsable

Berne, le 3 mai 2018

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Rapport d’activités 2017 GS1 Suisse

Collaboratrices et collaborateurs Avec leur grande motivation et leur expertise, les collaboratrices et collaborateurs de GS1 Suisse s’investissent quotidiennement pour nos membres:

Pendant l’année de référence, les collaboratrices et collaborateurs suivants ont également travaillé auprès de GS1 Suisse: Josefina Califano, Human Resources Specialist, départ au 31.1.2017; Nicolas Florin, CEO, départ au 31.12.2017; Bea Ging, Head of Human Resources, départ au 31.1.2017; Emil Huber, Associate Senior Management Consultant Collaborative Supply Chains/ECR; Thomas Hüpper, Consultant GS1 Consulting, départ au 31.5.2018; Alain Jouffrey, Associate Senior Management Consultant Collaborative Supply Chains/ECR; Markus Lisebach, Director of Studies and Exams, départ au 28.2.2018; Sara Pezzuto, Course and Exam Coordinator, départ au 31.12.2017; Valentin Wepfer, Deputy CEO and Director CSC, départ au 30.9.2017; Simon Zäch, Consultant GS1 Consulting, départ au 30.4.2018. État au 31.12.2017 30


Rapport d’activités 2017 GS1 Suisse

Travail précieux et intensif au sein des comités d’experts Chaque année, nombre de représentants et de représentantes d’organisations membres fournissent un précieux travail au sein de nos comités consultatifs, groupes spécialisés et groupes de travail. Ils apportent leur regard extérieur de membre, ainsi que leur concours à la direction de GS1 Suisse par rapport aux questions stratégiques et élaborent des publications spécialisées ou des recommandations. Nous leur adressons nos vifs remercie­ ments pour leur collaboration et leur concours. Comités consultatifs* Comité consultatif eBusiness Comité consultatif Collaborative Supply Chains Comité consultatif du secteur de la santé Conseil logistique Suisse romande

Groupes spécialisés* Groupe spécialisé Approvisionnement dans le domaine de la santé publique Groupe spécialisé Support de données Groupe spécialisé Gestion de la demande et des catégories Groupe spécialisé E-Commerce

Groupe spécialisé Technologie d’identification Groupe spécialisé Données de base Groupe spécialisé Organisation de la logistique Groupe spécialisé Gestion de la supply chain Groupe spécialisé Engins échangeables pour la Suisse

Groupes de travail* Groupe de travail Planification et prévision Groupe de travail Formation continue en logistique en Suisse romande Groupe de travail Outsourcing Groupe de travail Facture hybride

* les sites web ne sont disponibles qu'en allemand

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Rapport d’activités 2017 GS1 Suisse

Merci pour le support Pour la réalisation de notre programme de manifestations, de l’étude du marché logistique suisse, de l’initiative Lean & Green Switzerland et du projet Hôpital du futur en direct nous avons pu compter sur le soutien de nombreux sponsors, partenaires et porteurs. Pour 2017, nos remerciements s’adressent aux entreprises suivantes:

Événementiel Partenaire de compétence

Sponsors principaux

Sponsors

Exposants et supporters • • • • • • • • • • • • •

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Ansorix Systems AG Coop Genossenschaft Dachser Spedition AG Dematic GmbH Demodia GmbH Descartes Systems Group epoq schweiz Global Translations Handelskammer Deutschland Schweiz Hostpoint AG ICS Identcode Systeme AG LRG Logistics SA Nine Internet Solutions AG

• • • • • • • • • • • • •

Office fédéral des transports OFT Oracle Software (Schweiz) GmbH Seeburger Informatik AG Silbury Schweiz GmbH Sisa Studip Informatica SA Solid Solutions en identifications SpecPage AG Stepcom Services GmbH Strico AG Swiss Food Quality Business AG Teradata (Schweiz) AG Terravigna AG Wilux Print AG


Rapport d’activités 2017 GS1 Suisse

Étude du marché logistique suisse Partenaire de l’étude

Porteurs

Hôpital du futur en direct Porteurs

Lean & Green Switzerland Sponsor principal

Partenaire de mécénat

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GS1 Suisse – Ensemble pour créer des valeurs GS1 Suisse est la plateforme de compétences pour la création durable de valeur basée sur des flux optimisés de marchandises et d’informations. En tant qu’association professionnelle, avec environ 5500 entreprises adhérentes, GS1 Suisse relie les participants en réseau, promeut la coopération et transmet son savoir-faire en réseaux de création de valeur. Les standards globaux GS1 et les modèles de processus permettent d’obtenir des chaînes de création de valeur plus efficaces.

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