HIPSTER - mode style et culture magazine -
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spring 2017 n°6 / 5€
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Jeremy Hababou
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Larry Holmes
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Lacoste
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Les quatre mousquetaires
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Bullit Motorcycles
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La barbière de Paris
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Kymco AK 550
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spring 2017 www.Hipster5.com
Big Up ia arc à José Gcteur, grand a ec, grand m ur ! grand coe
edito
Jean Charbonnier
directeur artistique Emportés par le temps et par la vie, nous sommes mouvement. Notre corps et nos sens ne cessent de s’agiter, notre esprit est toujours en alerte, nous sommes contraints d’aller toujours vers l’avant. Le mouvement est historique, contemporain et futur. Il nous emporte vers un renouvellement permanent de nos certitudes et de nos croyances. De ce tourbillon incessant d’énergies et d’audaces qui se propagent s’échappent des êtres, des inventions, des démesures dont nous vous montrons un choix subjectif mais déterminant dans l’évolution et la métamorphose des tendances et des préoccupations de notre temps. Le mouvement est le reflet des intelligences, des folies, et des anticipations qui feront de l’ avenir une aventure passionnante. Nous sommes en connexion les uns avec les autres par des phénomènes que la raison seule ne peut expliquer, nous sommes en mesure de vivre notre présent en décidant de ramener vers nous nos désirs du futur par la seule force de la volonté. Alors allons plus vite que le temps, car l’exaltation est ce que nous avons de plus précieux pour nous permettre d’atteindre l’état de joie que nous cherchons tous.
Directeur de la publication Mickael Touitou mt@hipster5.com Directeur artistique Jean Charbonnier jean@hipster5.com Graphiste Julien Loock Régie publicitaire Un été à Paris mt@hipster5.com Tel : + 33 6 58 57 75 46
photographe rose deren / www.rosederen.com louise deren Götz Göppert / www.gotzgoppert.com
CONTACT PRESSE
press@hipster5.com N° i.c. fr 144 883 272 300 014 UN ÉTÉ À PARIS ÉDITIONS, 26 ter rue Nicolai 75012 Paris - fr press@hipster5.com SIRET : 48832723000030 / SIREN : 488 327 230
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jeremy hababou run away
Avec un premier album "Run Away" sorti le 20 mai 2016, ce jeune pianiste mais néanmoins génialissime, propose 8 titres originaux, dont 2 impros et un très bel hommage rendu à Leo Férré "avec Le Temps", magnifié par ce formidable trio. "Run Away", pour les jazz fan, est l’aboutissement d’un long travail d’introspection au travers duquel il exprime sa sensibilité et son histoire. Ses influences remontent des racines du jazz (Art Tatum, Bud Powell ou encore Thelonious Monk) à la musique classique (Bach, Ravel, Debussy). Ce qui caractérise le plus cet opus est la liberté offerte aux musiciens qui accompagnent cette création, enrichie par des racines communes… Ce disque a été chaleureusement accueilli par la profession, les puristes, la presse, et les commentaires sont époustouflants d'admiration et de bienveillance.
Le mythique club de Jazz "New Morning" a d'ailleurs fait sold-out un 27 novembre pour le superbe duo avec André Manoukian. Auteur compositeur, il collabore au cinéma pour Tamara, La promesse de l'aube ( Charlotte Gainsbourg, Pierre Niney). Compositeur - "Django Melodies" (Reda Kateb et Cecile de France). Jeremy Hababou : piano & compositions Ziv Ravitz : drums Haggai Cohen Milo : bass Guest : Gilad Ronen au saxophone Second disque au mois de mai 2017. On a hâte de t'entendre Jeremy...
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josĂŠ ga photographie rose deren texte Jean Charbonnier
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aconter un acteur est un exercice très délicat, d'autant plus que l'on est toujours envahi par l'idée - absurde au demeurant - qu'il joue toujours un rôle.
Bien sûr, jouer est art de caméléon, mais que se passe-t-il dans l'âme de l'être humain qui a appris, d'abord par un enseignement (toujours dispensé par d'autres acteurs d'expérience), puis par un chemin qui l'a conduit des planches, où il est confronté au vide de la salle habitée par un public, à la caméra devant laquelle il se produit sous la direction d'un metteur en scène ? Un acteur est il tenté de toujours se "cacher", d'analyser les situations et d'agir comme si la vie n'était qu'une scène au sein de laquelle il doit se mouvoir et s'adapter en fonction du miroir qu'il perçoit face à lui ? Tout simplement, cela revient à se demander si l'acteur a un ego développé à un tel point qu'il n'est finalement jamais lui même. D'ailleurs, sait il tout simplement qui il est ? Comme dans toute profession il y a bien sûr des dérapages, des pertes ou des abandons de personnalité, n'est ce pas ceux que l'on appelle des "monstres sacrés"? Sacha Guitry, si nous nous limitons volontairement à un seul acteur dont l'immense talent et l'intense qualité du verbe et de la diction nous laisse encore sans voix , avait il des moments de vérité dans sa vie privée, ou était il toujours en représentation ? C'est une question qui restera sans réponse, car on ne peut en aucun cas se fier à ce qu'il en a été dit... En ce qui concerne d'autres acteurs qui "jouent" un rôle public en permanence, sont ils capables d'atteindre un niveau de sérénité leur permettant d'être en paix avec eux même ? Cette question restera elle aussi sans réponse.
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osé Garcia n'est pas de ces hommes. Il porte en lui la vérité, la sincérité, l'humour et la lumineuse simplicité qui fait qu'un homme est vrai. Pourquoi perdrait il du temps à interpréter dans la vie dès rôles fictifs qui lui demandent déjà une intense concentration lorsqu'il est devant la caméra, alors que ses valeurs sont celles de la sagesse intérieure et de la clarté humaine ? Ce n'est pas si aisé de se retrouver dirigé lorsqu'on a un caractère fort (renforcé dans notre cas par son sang espagnol…), mais son choix du métier d’acteur fût un choix délibéré, fait par engagement et non par calcul. Bien heureusement les metteurs en scène laissent de nos jours une part de liberté à leurs acteurs, qui peuvent enrichir leurs personnages par une instillation de leur propre caractère. L’humour (le vrai) est une des qualités intellectuelles les plus importantes, qui va même parfois au delà de la connaissance ou de la culture. L’humour est une distanciation, un étirement du temps qui permet de nous porter dans un autre monde. L’humour issu des situations de la vie poussées à l’extrême est – notre culture cinématographique en faisant foi – est une des grandes qualités de José Garcia. Il a inventé des scènes d’anthologie qui resteront dans l’histoire du grand écran français. José Garcia s’est laissé aller avec un grand naturel lors de notre séance photo, nous nous retrouvions soudain entre amis, dans un lieu que nous nous sommes approprié avec le merveilleux accueil qui nous avait été réservé par le Mandarin Oriental.
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Mandarin Oriental, Paris 251 rue Saint-Honoré Paris, 75001
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LARRY HOLMES À LA FORCE DES POINGS texte
jean charbonnier
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« LES RÊVES QUE J’AI, JE LES RÉALISE TOUJOURS. »
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’Histoire retient surtout les noms. Pas toujours pour de bonnes raisons. Et pour d’encore moins bonnes raisons, elle en omet parfois de grands. De très grands, comme celui de Larry Holmes. Marciano, LaMotta, Foreman, Frazier, Ali… Les géants du Noble Art, d’immenses boxeurs dans leur style respectif. Holmes était de ceux-là. Lumières sur un mal-aimé du ring, un cogneur XXL. STREET FIGHTER 1949, Holmes voit le jour en Géorgie. Jeté sans sommation sur le ring de la vie, il passe d’emblée en mode « struggle for life » : quatrième d’une fratrie de douze, il est rapidement mis à contribution pour suppléer un père fauché, absent. Chauffeur-livreur, laveur de voitures, cireur de pompes, employé des carrières… Le jeune Larry ne s’économise pas. Et dans les rues d’Easton, Pennsylvanie, où il grandit, même topo : à la faveur de combats de rue où jeter l’éponge n’est pas de mise, Holmes se frotte sans mal aux caïds de rue locaux avant d’intégrer un centre de formation. « L’Assassin d’Easton », comme on le surnomme désormais, compte bien défier les pronostics sur une destinée mal barrée. AMATEUR PROMETTEUR C’est avec un ratio rageur de 19 victoires pour seulement 2 défaites en catégorie amateur qu’en 1972 il tente de se qualifier pour les Jeux Olympiques de Munich. Défaite face à un Duane Bobbick qui dès le premier round lui décoche une droite pleine tête et l’envoie dans les cordes. Holmes se redresse aussitôt et entame une danse d’esquives ponctuée de jabs encore tendres, histoire de tenir Bobbick à distance. Peine perdue, une série d’avertissements arbitraux pour cause d’accrochages répétés disqualifieront l’assassin en herbe dans le troisième round. CHEZ LES PROS DU POING Sonné mais loin d’être knockout, Holmes passe pro au printemps 73. Et c’est sur ses terres, à Scranton, Pennsylvanie, qu’il gagne son premier combat dans cette catégorie, par décision en quatre rounds. La première victoire d’une série à venir longue comme le bras : vingt-six matchs remportés consécutivement. En 75, alors qu’il vient d’enchaîner neuf succès pour autant de combats dont huit conclus par K.O. -, les médias s’obstinent à passer sous silence son fulgurant début de carrière.
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es projos restent invariablement braqués vers ceux pour qui il officie en tant que sparing partner à cette époque : Smokin’ Joe (Frazier), The Greatest (Ali), Black Destroyer (Shavers)… Au fil des entraînements, Holmes réalise qu’il tient sans problème la dragée haute à ces kings du ring. À défaut de capitaliser en notoriété, l’ « Assassin d’Easton » gagne en confiance, en témoignent ces fameux vingt-six matchs remportés d’affilée. Mars 78, Holmes obtient l’occasion unique d’aller défier Norton sur le ring avec à clé le titre suprême de champion du monde catégorie poids lourds. Sur sa route, se dresse un ultime obstacle de taille : Shavers. Mais douze rounds plus tard, le score est sans appel : sur les trente-six minutes de match, trente-quatre sont attribuées à Holmes. Son jeu de jambes et son jab, véritable piston, ont tôt fait de neutraliser la puissance du Black Destroyer et de le renvoyer fissa à l’école de boxe. LA CEINTURE SINON RIEN Juin 1978, Caesar Palace, Las Vegas. Holmes s’apprête à disputer le combat de sa vie face à un Ken Norton qui vient tout juste d’être sacré champion du monde catégorie poids lourds (Mars 78, face à Leon Spinks). Trois mois de règne, voilà qui n’est sans doute pas du goût du « Black Hercule » qui compte bien conserver son titre. Et les médias comme le grand public sont plutôt dans son coin de ring : Norton leur en a en effet donné pour leur argent lors de trois matchs âprement disputés face à Ali de 73 à 76. Du côté de Holmes, des rumeurs de déchirure du triceps gauche à l’entrainement achèvent de faire chuter sa cote. Mais dès l’entame du match, les faits sont là : Larry est bien trop rapide pour Kenny. Les jabs dévastateurs de Holmes annihilent toute tentative de Norton d’approcher son adversaire et donc de lui porter le moindre coup. Les huit premiers rounds, il n’y a pas de match. Les deux suivants, Norton relève la tête et assène à son adversaire quelques puissants crochets ; il n’a désormais plus d’autre choix que d’envoyer Holmes au tapis. Les rounds suivant défilent, tous à la faveur de Norton. Au onzième round, Holmes, sévèrement touché à la tête et au corps, reste debout. À la quinzième reprise, l’ambiance est explosive, le public chauffé à blanc. Quand la cloche sonne, la salle, dans l’attente du verdict final, est en fusion. Holmes l’emporte aux points, par décision partagée.
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« JE N’AI JAMAIS TENTÉ D’ÊTRE UN TUEUR OU UN MERCENAIRE. JUSTE UN BOXEUR QUI BOSSE DUR. »
Cet ultime round, considéré comme une des fins de combat les plus spectaculaires, est entrée dans l’histoire de la boxe. Larry Holmes est sacré champion du monde catégorie poids lourds. Un règne sans partage qui va durer pas moins de sept ans. AU SOMMET DE SON -NOBLE- ART S’il gagne les trois matchs suivants lors desquels il défend son titre, le quatrième est plus accroché : le 28 septembre 79, Earnie Shavers veut sa revanche. Il tient non seulement l’occasion de la prendre mais s’offre aussi l’opportunité d’arracher la ceinture de champion à Holmes, et ce après avoir mis Norton K.O. en un round ! Holmes domine les débats lors des six premiers rounds avant d’aller au tapis au septième round, sonné par la droite dévastatrice de Shavers. Il se relève au bout de huit secondes pour mieux terrasser Shavers au onzième round. Evangelista, Ocasio, Weaver, Zanon, Jones, LeDoux… Ce ne sont désormais que des victoires par K.O. qui ponctuent la carrière de l’« Assassin d’Easton ». Mais si pour Holmes le goût âcre de la défaite est désormais lointain, il va bientôt connaître l’amertume dans la victoire. En 80, Ali annonce son comeback avec l’ambition de devenir le premier quadruple champion du monde poids lourds. C’est le 2 octobre de cette même année qu’à lieu « The Last Hurrah », au Caesar Palace. L’audience assiste à un massacre. Du début à la fin, Holmes domine de la tête et des épaules un Ali totalement aux fraises. 41
À l’appel de la onzième reprise, Angelo Dundee, l’entraîneur de « The Greatest », refuse la reprise du combat. Conscient d’avoir vaincu sans péril, qui plus est son idole, Holmes a le triomphe plus que modeste : c’est les larmes aux yeux qu’il donne son interview d’après-match. Cette victoire en trompe-l’œil, sur une légende vivante qui plus est, a sans doute beaucoup contribué au fait que Larry Homes n’ait jamais les faveurs des médias, pas plus que celles du grand public, ni la reconnaissance de tous pourtant tant méritée. Les années passent, les défenses de titres remportées défilent. De cette période, le match-polémique face à l’irlando-américain Gerry Cooney reste sans nul doute l’un des plus marquants. Cooney, « Gentleman Gerry » de son petit nom, vient à l’époque de mettre tout le Madison Square Garden d’accord en disposant de Ken Norton - toutefois sur le déclin - en moins d’une minute au premier round et se pose dès lors en outsider numéro un pour l’accession au titre suprême. Juin 82 donc, retour au Caesar Palace pour un combat à forte résonnance raciale opposant l’« Assassin d’Easton » à « The Great White Hope » (l’autre surnom de Cooney dans le milieu). Pourtant tenant du titre, Holmes semble encore une fois rester dans l’ombre de son adversaire, dans le vestiaire duquel un téléphone est installé afin de pouvoir être félicité par Ronald Reagan en personne en cas d’issue victorieuse. Rien de tel du côté de Holmes. Dans le même ordre d’idée, alors que la tradition du Noble Art veut que le tenant du
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titre soit présenté après le challenger, ce soir-là c’est Cooney qui se présente le dernier sur le ring. Mais avant d’être un spectacle ou une tribune politique, la boxe reste un sport. Cela, Holmes entend bien le démontrer aux 32 000 spectateurs présents ce soir à l’intérieur comme à l’extérieur du Caesar Palace. Après un premier round sans grand intérêt, Holmes met Cooney à terre d’une droite imparable dans le second. Celui-ci se relève et, dans les deux rounds qui suivent, assomme Holmes de surpuissants crochets du gauche. Les reprises défilent, Cooney tient son rang mais perd des points pour coups bas dans les neuvième et onzième rounds. À la treizième reprise, c’est terminé : Cooney encaisse une série de crochets et droites portés par un Holmes qui danse littéralement sur le ring. Victor Valle, l’entraîneur de Cooney, s’interpose et vient mettre un terme aux souffrances de son poulain.
« MES VRAIS FANS CONNAISSENT LE NOM DE LARRY HOLMES ET SAVENT QU’IL A TOUJOURS TOUT DONNÉ. »
Une fois encore, c’est moins sur la victoire de Holmes que sur la défaite de Cooney que médias et grand public se focalisent : le puncheur de 25 ans qui la semaine précédente faisait la une du Time, de Sports Illustrated, que tous voulaient voir brandir la ceinture de champion du monde poids lourds, a largement douché les espoirs de toute une partie du pays : l’Amérique blanche reaganienne. Au-delà d’un match opposant deux athlètes, ce combat, de par ses coulisses, son ambiance, était un véritable baromètre social de l’époque. Et Holmes, une fois encore, d’en payer le prix.
semble faire la différence, du moins en début de confrontation. Au troisième round la donne change : moins gêné par le jab désormais moins percutant de Holmes, Spinks multiplie les coups et additionne les points. Pourtant loin d’être ravageuses, les attaques de Spinks frustrent le tenant du titre. Incapable d’ajuster ses coups du fait du jeu de jambes peu orthodoxe de Michael, ses gants fendent l’air plus qu’ils ne cognent. À la quatrième reprise, Holmes, sentant le vent tourner, comprend qu’il doit finir le job rapidement et multiplie les attaques. En vain, il encaisse un crochet du gauche suivi d’une droite pleine tête. À la fin du quinzième round, le verdict est sans appel : Pinks l’emporte par décision unanime. Le champion du monde poids lourds vient d’être renversé par… Un poids mi-lourd, une première dans l’histoire de la boxe. Après le combat, Holmes, le goût de la défaite encore en bouche, aura des mots malheureux concernant Rocky Marciano, le mythe qu’il n’aura pas su égaler, ce qui achèvera de consumer son capital sympathie et sa notoriété auprès du grand public et des médias. Ring Magazine qualifiera l’issue de ce match de choc de l’année 85.
Toutefois, les connaisseurs et professionnels du milieu ne s’y tromperont pas : en 1982, Holmes est élu boxeur de l’année par Ring Magazine. L’année suivante, des divergences financières et autres conflits d’intérêt viennent parasiter la carrière florissante de Holmes : tandis que la World Boxing Council le somme d’affronter celui qu’elle considère comme son opposant principal, Greg Page, moyennant $2,55 millions, lui en exige pas moins de $5 millions, ce que le promoteur Don King refuse tout net. Holmes, qui venait d’affronter Frazier Jr. pour $3,1 millions de dollars, se verra destitué de son titre, la WBC considérant ce match et son issue comme nuls et non avenus. Fin 83, il sera tout de même sacré champion du monde par la toute nouvelle International Boxing Federation, l’une des trois fédérations de boxe anglaise de l’époque avec la World Boxing Council (fondée en 63) et la World Boxing Association (fondée en 21). LES POINGS SOUS PRESSION Fin 84, après une année passée loin des rings, c’est face à James « Bonecrusher » Smith qu’Holmes défend pour la première fois son titre IBF. Il lui faudra douze rounds pour repartir avec sa ceinture. Dix contre David Bey, en 1985. Le match suivant, face à Carl « The Truth » Williams, est tout sauf une formalité : parvenant à neutraliser les jabs d’un Holmes vieillissant, l’outsider pousse le vétéran de 35 ans jusqu’au quinzième round. Mais l’expérience l’emporte et c’est par décision unanime que l’« Assassin d’Easton » quitte une nouvelle fois le ring avec son titre entre les gants. Si l’année 85 débute donc de façon triomphale pour Holmes, elle se termine tout autrement : en septembre, il affronte l’ancien champion du monde des poids mi-lourds, Michael Spinks. L’enjeu pour Larry : égaler le record de Rocky Marciano, soit 49 victoires d’affilée. C’est un Holmes donné favori à 6 contre 1 qui se présente sur le ring de la Riviera Arena à Las Vegas. En fin de second round, le constat saute au yeux : Michael est un adversaire autrement plus coriace que son frère Leon, battu en trois rounds par Holmes en 1981. Mais si le combat physique est serré, l’ascendant mental pris par Holmes du fait de son statut de champion
Printemps 86, « Vindication in Vegas ». C’est l’heure de la revanche pour Holmes. Pinks sait que l’ancien tenant du titre va opter pour une stratégie de K.O. rapide, alors il se tient prêt. À bouger, parer, esquiver, tourner comme jamais autour de son adversaire, comme il le fait durant les quatre premiers rounds. Ceux-ci seront de fait crédités à Holmes, bien plus agressif. Au cinquième, « Jinx » - le surnom de Pinks - passe à l’offensive : jabs, crochets du gauche, Holmes est pris de court et perd ce round ainsi que la plupart des suivants. Le douzième round s’annonce décisif. Pinks sait que s’il veut gagner, c’est maintenant ou jamais. Il continue de puncher un Holmes à la droite toujours aussi dangereuse en dépit d’un pouce fracturé durant la troisième reprise. Holmes encaisse, Pinks domine les trois derniers rounds et ce malgré une droite du vétéran qui le sonne sévèrement dans la dernière minute. C’est par décision partagée que Pinks l’emporte et conserve donc son titre. À la fin de l’année, trois jours après ses 37 ans, Holmes annonce sa retraite sportive. DE COMEBACKS EN K.O. Comme bien des athlètes, la rage de vaincre et le goût de la victoire manquent à Holmes. Le confortable cachet de $2,8 millions offert par Don King pour remettre les gants n’est sans doute pas non plus étranger à ce premier retour sur le ring. Le 22 janvier 88, c’est donc au champion du moment Mike Tyson que Larry Holmes se mesure. Enjeu de ce combat : les titres WBC, WBA et IBF poids lourds. Rien que ça. Avant même de monter sur le ring, Larry, 38 ans cette année-là, sait qu’il n’a pas grande chance face à un « Iron Mike » 42
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de 21 ans en pleine gloire à cette époque. Les deux premiers rounds, Holmes les passe à défendre et tient donc la distance. À la troisième reprise, galvanisé par la foule et du coup croyant en ses chances, il joue de son jab pour faire reculer Tyson mais commet l’erreur d’abaisser sa garde gauche. Tyson en profite dans le quatrième round et d’une droite destructrice étale Holmes. « À cetinstant là, je savais qu’il n’allait pas finir le round. » avouera plus tard Tyson. De nouveau sur ses jambes, Holmes, titubant, encaisse un nouvel assaut. Il se relève une dernière fois avant de tomber pour de bon. Pour la première fois de sa longue carrière, Holmes est vaincu par K.O.. Une fois encore, il se retire du monde du ring. Trois ans plus tard, il passe de nouveau entre les cordes pour enchaîner cinq victoires encourageantes, dont une particulièrement opportune : en battant Ray Mercer le 7 février 92, Holmes s’offre en effet l’accession à un nouveau championnat du monde poids lourds. Un combat dont il sortira perdant mais avec les honneurs : Evander Holyfield, le tenant du titre, aura en effet besoin des douze rounds pour l’emporter par décision unanime. Pas découragé, Holmes repart à l’assaut du titre ultime et, après avoir remporté sept combats de rang s’offre un nouveau championnat face à Oliver McCall. Ce 8 avril 95, il passe tout près du titre : même s’il est défait par décision unanime, deux des juges le donne perdant d’un point face à McCall, le troisième de trois points. Cette quatrième tentative de regagner le titre mondial sera la dernière. Par la suite, Holmes participera à huit matchs professionnels, il ressortira victorieux de sept d’entre eux. Les derniers combats qu’il livrera seront face à d’anciennes gloires du milieu comme James Smith (99) ou Mike Weaver (2000).
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DANS L’OMBRE DES GÉANTS Rétrospectivement, on peut affirmer que Larry Holmes avait sans doute le jab gauche le plus monstrueux dans l’histoire de la boxe catégorie poids lourds. Ultra véloce, doté d’un mental d’acier, sa faculté d’adaptation au style des adversaires qu’il affrontait explique sans doute son palmarès et ses statistiques dantesques : deuxième détenteur du ratio victoires/combats consécutifs (48/48) derrière Rocky Marciano (49/49), troisième longévité de règne en tant que champion du monde poids lourds (sept ans et deux mois). Parmi ses soixante-neuf duels remportés, quarante-quatre le furent par K.O. Aux yeux de nombreux boxeurs, Holmes est certainement le plus grand champion dans sa catégorie depuis l’ère Ali, devant un Tyson, un Holyfield ou encore les frères Klitschko. Fossoyeur de la carrière de « The Greatest » ainsi que de celle de Ken Norton, deux chouchous du public, on peut penser que sa faible renommée auprès des foules vient en partie de là. Second facteur pouvant expliquer le manque d’engouement à l’égard de Holmes, le fait qu’il n’ait pas eu d’adversaire à sa mesure lors de son âge d’or. Ali et Norton étaient sur le déclin, Frazier s’était retiré en 76, Foreman en 77…Et Tyson n’était encore qu’un adolescent. Ce vide concurrentiel, au point d’êt re artificiellement comblé parfois (cf. Gerry Cooney), a conféré au natif de Géorgie - à tort - une image de champion par défaut. Mais si la légende Larry Holmes s’est construite dans l’ombre des mythes seventies, le temps a fait son œuvre et le palmarès de ce champion hors-normes est à présent définitivement exposé en pleine lumière : en 2008, Larry Holmes a été fait membre de l’International Boxing Hall of Fame.
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LACOSTE lance pour sa nouvelle collection Spring Summer 2017 une gamme alliant audace et modernité, résolument adressée à la nouvelle génération.
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L12.12 Qui a dit que la nouvelle génération ne pouvait pas être spirituelle ?
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Les quatre mousquetaires légendes intemporels du tennis français
Henri Cochet, vers 1924 © Droits réservés-FFT
Jacques Brugnon, 1925 © Edwin Levick-FFT
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René Lacoste, Jacques Brugnon, Jean Borotra, Henri Cochet Dans la légende du tennis français, le nom des quatre mousquetaires est toujours cité en avant sans que la grande majorité des passionnés ne soient au courant de l’origine et du parcours de ce quatuor de tennismen qui ont animé le circuit mondial dans les années 20 et 30. Coup d’œil sur le parcours exceptionnel de ces légendes du tennis tricolore. Qui étaient les quatre mousquetaires ? Les quatre mousquetaires étaient les joueurs qui ont composé l’équipe française jouant en Coupe Davis et qui réussirent à remporter six titres dans les années 20 et 30. Le quatuor de champions était constitué entre autres de Jacques Brugnon, de Jean Borotra, d’Henri Cochet et de René Lacoste. La référence au roman d’Alexandre Dumas ne faisait pas seulement référence à la cohésion au sein de l’équipe, mais également au style de jeu très chatoyant développé par les quatre tennismen.
Une performance non égalée La performance des quatre mousquetaires n’a pas encore été rééditée depuis. Jusqu’aux années 80 de surcroit, le tennis tricolore connait une période de disette, en quittant le groupe mondial et en peinant à rester en groupe Europe A. Ce n’est qu’en 1982 que la France retrouve l’élite mondiale, Yannick Noah et Henri Leconte ayant même réussi à atteindre la finale. Il faut attendre 1991 pour que la France remporte de nouveau le saladier d’argent. L’exploit est réédité en 1996 et en 2001.
Six victoires d’affilée Formés pour la première fois en 1923, les quatre mousquetaires ne réussissent pas à se hisser au sommet du tennis mondial par équipe jusqu’en 1926. Les quatre mousquetaires remportent leur premier succès en Coupe Davis en 1927, mettant fin à la domination sans partage des États-Unis sur la compétition. En 1928, pour accueillir la compétition en France, le stade de Roland-Garros. S’en suit alors une série de victoires pour totaliser six d’affilé. En 1933, la finale perdue contre l’équipe du Royaume-Uni met fin à l’équipe de légende.
Une équipe gravée dans la mémoire Pour honorer les performances des quatre mousquetaires, le trophée octroyé au vainqueur masculin des Internationaux de France est appelé la Coupe des mousquetaires. Les quatre joueurs de l’équipe intègrent par ailleurs l’International Tennis Hall of Fame qui se trouve aux États-Unis. Pour celles et ceux qui désirent approfondir l’historique de cette époque glorieuse, le livre écrit par Fabrice Abgrall et François Thomazeau intitulé « La saga des mousquetaires : 1923-1933 : la belle époque du tennis français » est une vraie mine d’information.
Jean Borotra, 1924 © Edwin Levick-FFT
René Lacoste, 1925 © Edwin Levick-FFT
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HONDA NSX 1990 vs HONDA NSX 2017
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Apparue en 1989 au salon de Chicago où elle a été présentée pour la première fois, la Honda NSX (19892005) peut être considérée comme une des premières supercars de série du marché automobile mondial, juste après les Ferrari Testarossa ( 1984-1996 ) et F40 (19871992), et juste avant la Lamborghini Diablo (19901994) et la Cizeta – Moroder V16T dont seulement 8 exemplaires ont été produits entre 1991 et 1993, qui ne peut être considérée comme une supercar de série.
En 1993, Honda Allemagne décidait d’aligner la NSX aux 24 h de Spa Francorchamps, puis tout naturellement aux 24 h du Mans à partir de 1994, et cela régulièrement jusqu’en 2016. La NSX est aussi souvent engagée dans des courses de GT au Japon, sous divers pavillons.
La Jaguar XJR et la première Bugatti EB 110 GT renaissante ont vu le jour en 1991. La Mc Laren F1 en 1992. La Mercedes CLK GTR, la porsche 911 GT1 (adaptation à la route du modèle de circuit) et bien d’autres supercars viendront ensuite et leur nombre ne cessera de s’accroître au fur et à mesure des années.
La puissance brute de la première NSX 1990 prête, de nos jours, à sourire : 274 ch. Une valeur toutefois tirée d’un noble V6 atmosphérique de 3.0 de cylindrée, capable, en authentique production de la firme Honda, d’atteindre près de 8 500 tr/min avant de réveiller son rupteur. A l’époque, ces performances étaient novatrices.
Malgré son prix très élevé à l’époque pour une voiture de série, elle annonce une évolution technologique de pointe dans l’histoire des voitures sportives d’exception. NSX pour « New Sport eXperimental » fait déjà rêver les amateurs de sensations extrêmes qui prendront le volant d’un étalon doué à la fois d’une vivacité brute et d’un confort à la japonaise. Le prototype d’origine, issu de recherches depuis 1984, fût essayé et testé par Ayrton Senna lorsqu’il pilotait en F1 une Lotus motorisée par Honda.
La nouvelle NSX 2017 possède quatre moteurs au total : un V6 3.5 biturbo de 507 ch, secondé par trois blocs électriques dont deux commandent directement chaque roue avant délivrant une puissance cumulée de 581 ch.
Du début de sa production en série en 1990 jusqu’à à la fin en 2005, environ 18 900 exemplaires furent construits et vendus.
Où acheter votre NSX ? JAPAUTO Automobiles SAS 29 avenue de la Grande-Armée, 75116 Paris honda-nsx@japauto.com
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obj ectif horlo gerie Situé au coeur de Paris au 48 rue de Rivoli, Objectif Horlogerie invite connaisseurs et néophytes à se glisser dans la peau d’un véritable horloger le temps d’une demi-journée. Ce spécialiste de la formation horlogère propose des stages d’horlogerie ouverts à tous publics, où tout un chacun s’initie, de façon simple et ludique, à la magie du temps.
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ne expérience unique Précurseur dans l’initiation horlogère accessible à tous, Objectif Horlogerie offre, sans aucun niveau technique requis, de pénétrer dans l’univers secret d’un gardetemps mécanique. De la théorie - sensibilisation à l’histoire de l’Horlogerie, identification et rôle des différents composants - à la pratique - démontage, nettoyage, remontage d’un mouvement mécanique -, ces stages horlogers sont placés sous le signe de la pédagogie et du plaisir. Blouse blanche boutonnée, les outils à portée de main, la loupe en place, les participants procèdent, à la façon de maîtres horlogers, au rituel du réglage de leur chaise au plus bas jusqu’à sentir leur menton frôler la surface de leur établi. L’initiation peut alors commencer. Sous l’oeil expert des formateurs, chacun éprouve l’émotion indicible de maîtriser le temps. L’atelier d’initiation révèle les mystères d’un garde-temps et dévoile ses pièces maîtresses : barillet, rouages, ancre, échappement, balancier, spiral... un temple de haute technicité. Au cours de l’atelier, les adeptes découvrent également la dimension artisanale de la mécanique horlogère et la beauté du savoir-faire.
Une ambiance conviviale et chaleureuse Soucieux de favoriser la proximité et l’échange, Objectif Horlogerie limite ses stages à six personnes pour donner à chacune des conditions optimales d’apprentissage. Afin de bien transmettre savoir et technique, deux formateurs encadrent respectivement un sousgroupe. Les participants bénéficient ainsi d’une écoute et d’une attention privilégiées. Dans une atmosphère de partage, chaque stagiaire redécouvre l’instinct de bricoleur qui sommeille en lui. D’abord, installé confortablement dans un charmant salon parisien, chacun se plaît à faire connaissance autour d’une boisson : un accueil chaleureux propice aux échanges et à la découverte de l’autre avant la pratique horlogère. Ensuite, les stagiaires pénètrent dans l’atelier : ils y découvrent des établis sur-mesure, équipés d’outils professionnels haut de gamme indispensables à la pratique de l’art horloger. L’aventure
débute par quelques mots sur l’histoire de l’horlogerie et la théorie de la mécanique horlogère. Un challenge amical entre voisins d’établi va bon train et la solidarité se manifeste spontanément pour partir à la recherche de l’infime vis égarée sur le parquet de l’atelier... Enfin, la session s’achève. La magie opérant, le coeur de la montre se remet à battre sous le regard admiratif de chaque apprenti. Satisfaits d’avoir mené à bien leur aventure horlogère, les participants sont récompensés de leur talent par la remise d’un diplôme. Une formation dispensée par deux férus d’horlogerie Amitié et passion commune pour les belles montres mécaniques sont les rouages d’Objectif Horlogerie. À l’origine du concept ? Deux hommes, une rencontre, une idée. D’un côté, Samir Khemici, fondateur, véritable passionné de montres. Issu de la finance, sa curiosité et son envie le poussent à approfondir ses connaissances et à devenir Horloger diplômé d’État. Féru de garde-temps, il aime à transmettre sa passion. De la montre la plus anodine à la plus prestigieuse ou insolite, sa fascination pour l’actualité et l’innovation horlogère est sans limite ! De l’autre, Jean-Yves Golvan, breton et amateur de voile qui commence sa collection de montres avec son premier salaire de pharmacien. Tout aussi passionné de voitures de collection ou de stylos, il apprécie le bel ouvrage. Curieux et ouvert de nature, il se rend à un salon horloger parisien où il rencontre Samir Khemici qui l’incite à participer à une initiation horlogère... Totalement enthousiasmé par son stage, il quitte son métier initial et se forme à Besançon pour s’investir pleinement dans Objectif Horlogerie dont il devient associé.
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ne rencontre.... fortuite de deux personnalités qui se consolide autour de l’horlogerie et se développe par le désir d’en découvrir plus sur chacun. Au fil des échanges, de leurs connaissances et expériences, ils décident de partager leur passion pour l’horlogerie en faisant le pari de créer un concept simple et ludique pour s’initier au temps. Une idée... Partant d’un constat simple que les porteurs de belles mécaniques se contentent souvent d’admirer leur mouvement sans vraiment pouvoir en expliquer le fonctionnement ou comprendre ce qu’il se passe à l’intérieur, Jean-Yves Golvan et Samir Khemici ont l’idée de mettre en place des stages de pratique horlogère et de développer une structure dédiée aux divertissements sur le thème de l’horlogerie. Nous sommes en 2011, lorsqu’Objectif Horlogerie voit le jour... Aujourd’hui, passionnés ou simples curieux ont un lieu cossu d’échange et de partage. Encadrés par des diplômés d’État, ils peuvent maintenant assouvir leur avidité de découvertes horlogères au sein d’une structure chaleureuse et professionnelle, et vivre des expériences autour de cette passion. Des ateliers horlogers accessibles à tous La découverte s’effectue sur un mouvement mécanique à remontage manuel pour lequel aucun niveau technique n’est nécessaire, accessible dès 13 ans et sans limite d’âge ou de compétence. Pour les plus avertis, Objectif Horlogerie propose aussi un large choix de sessions d’apprentissage et de perfectionnement. Les méthodes pédagogiques d’Objectif Horlogerie sont uniques et évolutives, le travail est réalisé sur des mouvements suisses et le matériel utilisé est uniquement d’origine allemande, française et suisse. Du curieux, à l’étudiant en phase d’orientation scolaire, ou encore du connaisseur averti au professionnel, les ateliers d’Objectif Horlogerie sont ouverts à tous. Pour une idée cadeau originale, les chèques cadeaux d’Objectif Horlogerie sont en vente sur le site d’Objectif Horlogerie ou chez les partenaires agréés. De quoi ravir ses proches, amis ou collaborateurs. objectif horlogerie 48 rue de rivoli - 75004 paris www.objectifhorlogerie.fr
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Renommée pour son expertise, La Barbière de Paris continue sa croissance, avec l’innovation comme leitmotiv. Elle propose un nouvel espace exclusivement dédié à la beauté masculine et niché au 1 er étage du salon Bertin Poirée, baptisé le Sublimoir. Ont été aussi mis en place de nouveaux soins inédits en partenariat avec Acqua di Parma et Codage, deux Maisons réputées pour la qualité de leurs produits, ainsi que la participation du fabricant français Manikit.
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Après avoir officié, avec passion, sous sa propre enseigne depuis janvier 2000 et ouvert en août 2014 le plus grand barbershop de France d’une superficie de 200m², La Barbière de Paris s’agrandit et offre davantage de confort et d’intimité à ses clients grâce au Sublimoir. Destiné à révéler la beauté des hommes, ce lieu volontairement isolé de l’ambiance du salon, dispose de différents postes, outre un espace unique en son genre en France, consacré à la sculpture du torse. La Barbière de Paris est le premier barbershop à avoir intégrer une extension d’esthétique et de sculpture du torse créée pour sublimer l’homme ; elle a été conçue et réalisée par l’agence TEEPEE Architecture.
La sculpture du torse, la manucure vapeur et le soin Régénérant viennent compléter les prestations de soins pour l’homme, mises en place depuis plus d’un an par La Barbière de Paris en partenariat avec Codage. En marge de cela, La Barbière de Paris lance la version anglaise de son site web, le module de réservation via Internet offrant davantage d’autonomie aux clients ainsi que l’e-shop qui propose une sélection d’articles en vente dans les deux salons. A court et moyen terme, d’autres projets se concrétiseront, notamment l’ouverture de salons et espaces à Paris et à l’international, une application pour smartphones, une gamme de produits conçue pour l’homme et la sortie d’un deuxième livre édité aux Etats-Unis et signé Sarah DanielHamizi, La Barbière de Paris…
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Le Sublimoir de La Barbière de Paris est un concept inédit, un mot inventé et un lieu unique en son genre. Innovation linguistique et pas que : c’est la première fois en France - et certainement ailleurs, restons humbles - qu’un barbershop dédie un espace exclusivement masculin et spécialement conçu pour des soins du visage, des manucures et des sculptures du torse. Du jamais vu ! Revenons à l’origine de l’appellation. Sarah Daniel-Hamizi a pour habitude d’utiliser le mot « sublimer » quand elle parle du but de son métier de barbière. Rendre un homme sublime, c’est faire ressortir toute sa beauté à travers une coupe de cheveux, un rasage traditionnel, une taille de barbe, une épilation des pommettes, une manucure, un soin du visage ou une sculpture du torse. C’est ainsi que s’est posée la base de la recherche sémantique pour proposer un ou plusieurs noms à Sarah, ses associés, la direction et les collaborateurs. Première étape : ouvrir des dictionnaires et sélectionner des mots SUBLIMER, verbe transitif A. − ALCHIM., vx. Opérer la sublimation. B. 1. CHIM. Faire passer un corps de l'état solide à l'état gazeux. 2. Au fig. Idéaliser quelqu'un ou quelque chose en le purifiant de tout élément matériel ou imparfait, impur ou étranger. (Source : Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales)
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SUBLIMATION nom féminin (bas latin sublimatio, du latin classique sublimare, élever). Littéraire. Transformation des pulsions internes en des sentiments élevés, en de hautes valeurs morales ou esthétiques : Sublimation des instincts. (Source : Larousse)
BOUDOIR n. m. XVIII e siècle. Dérivé de bouder. Le sens premier étant, par plaisanterie, « chambre où l'on se retire pour bouder ». Petite pièce ornée avec élégance, à l'usage particulier des dames, et dans laquelle elles se retirent lorsqu'elles veulent être seules (…) (Source : 9 ème édition du dictionnaire de l’Académie française)
ACCESSOIRE adj. et n. m. XIII e siècle, comme adjectif. Emprunté du latin juridique médiéval accessorius, dérivé de accedere au sens de « venir en outre, par surcroît, s'ajouter à ». (Source : 9 ème édition du dictionnaire de l’Académie française)
A.− Au propre (adj.). Qui s'oppose à la chose principale dans une étroite dépendance. (Source : Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales)
Deuxième étape : extraire seulement ce qui nous intéresse de ces définitions et laisser libre cours à son imagination. On prend le boudoir sans bouder et on change les femmes par des hommes. On prend l’accessoire sans son opposition à la chose principale. On laisse opérer la sublimation. L’alchimie de la langue française révèle « Le Sublimoir ».
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Bullit HERO
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bullit motorcycles Bullit est une marque belge diffusant des motos néo-rétro 125 cm3. Elles sont inspirées des vieilles anglaises qui nous ont tant passionné. Style ancien mais technologie selon les standards éprouvés actuels. A la clé, confort et good vibes tous les jours. Le succès des motos vintage fait des émules et le créneau de la moto 125 succombe également aux charmes du passé. Voici donc Bullit, une marque belge de petites 125, inspirées des mythiques motos anglaises des années 60 et 70. Laissez-vous entrainer par leurs looks classiques et vintage. Bullit vous propose deux modèles de 125 cm3 néo-rétro. La HERO, la version Scrambler de la marque belge et la HUNT S, si vous recherchez plutôt une version sportive. bullitmotorcycles.com/fr
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Bullit Hero 125 Après avoir proposé des 125 classiques avec les modèles hunt et Hunt S, la gamme de Bullit Motorcycles s’agrandit avec un nouveau modèle typé scrambler : la Hero 125. Techniquement, la Hero repose sur le même monocylindre refroidi par air de 125 cm3 qui délivre 11,5 chevaux. Le cadre, la fourche inversée ou encore le réservoir ont également été repris. Jantes à rayons, roue avant de 18 pouces, ligne d’échappement relevée, moteur accompagné d’un sabot de protection, pneus à crampons, guidon typé cross, plaques latérales viennent compléter la panoplie. Uniquement déclinée en gris, la Bullit Hero est proposée à 2 899 euros. 80
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B ullit Hunt S euro 4 Pour respecter l’environnement, Bullit se met au dipason et sort la Hunt S euro 4. Les bullit Hunt et Hunt S sont toutes les deux inspirées des vieilles anglaises qui nous ont tant passionnée. Style ancien mais technologie selon les standards éprouvés actuels. A la clé, confort et good vibration tous les jours. (Prix : 2499 euros) Si on le compare à sa version précédente (Euro 3), seul change le carburateur remplacé par l'injection. Le freinage est maintenant équipé du freinage couplé (CBS Combinated Brake System). L'avantage est que l'injection permet de réduire la consommation et donne au moteur plus de réactivité à l'accélération. Le Freinage CBS consiste à ce que les freins avant et arrière soient actionnés en même temps lors du freinage (70% à l'avant, 30% à l'arrière). Cela permet un meilleur freinage et donc plus de sécurité.
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STREET ROD HARLEY-DAVIDSON 2017
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Le nouveau Street Rod™ HarleyDavidson® est destiné à attirer les regards et à répondre à une attente. Développé sur la base de la plateforme Street, il est conçu pour s'illustrer en ville et offrir une nouvelle expérience exaltante. Son extraordinaire moteur High Output Revolution™ X 750, offrant plus de couple à mi-régime et plus de puissance dans les hauts régimes, repousse les limites de la ligne rouge. Cette motorisation plus affirmée vient s'associer à une géométrie de châssis plus tranchante et une position de pilotage plus agressive. Le tout complété par une mise à jour des suspensions, des freins et des roues. Les lignes du Street Rod sont plus tendues. Son look puissant s'inscrit dans le style affirmé Dark Custom™ d'Harley-Davidson (sublimant l'acier) et affirme ses intentions, avec un avant plongeant et la ferme intention d'entrer en action. Le moteur High Output Revolution X 750 du Street Rod, V-Twin à 60°, à refroidissement liquide, simple arbre à cames en tête, 8 soupapes, produit 18% de puissance et 8% de couple supplémentaires par rapport à celui du modèle Street 750. La puissance maximale se révèle à 8 750 tr/mn, avec un couple maximal atteint à 4 000 tr/mn. Il est développé pour offrir plus de caractère entre 4 000 et 5 000 tr/mn, avec des performances plus importantes à mi-régime que le pilote peut sentir et exploiter en situation réelle. Il profite d'une boîte à air plus généreuse et de nouveaux papillons double de 42 mm, de nouvelles culasses à quatre soupapes et d'arbres à cames à levage élevé, ainsi que de silencieux d'échappement au volume plus important. Le tout est conçu pour améliorer le débit d'air et l'efficacité. Le taux de compression passe de 11.0:1 à 12.0:1 et la zone rouge passe de 8 000 à 9 000 tr/mn. Le châssis du Street Rod est développé pour répondre aux performances de son moteur. La fourche USD rigide de 43 mm profite de tés en aluminium léger. L'angle de chasse de la fourche est réduit de 32° à 27° pour optimiser la réponse de la direction. Les nouveaux amortisseurs arrière disposent de réservoirs externes qui améliorent la capacité du fluide et assurent la cohérence de l'amortissement. Le débattement a augmenté de 31% pour atteindre 117 mm. Le bras oscillant est légèrement plus long pour supporter des chocs plus importants, et affirme un style inspiré de la performance.
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Un nouveau profil de selle permet au pilote d'être fermement installé en position et la hauteur de selle a augmenté pour atteindre 765 mm, permettant au motard de bénéficier d'une meilleure visibilité vers l'avant. Le Street Rod bénéficie également de nouveaux leviers de frein et d'embrayage forgés et de repose-pieds reculés en aluminium qui contribuent à la maîtrise de la moto et permettent au pilote de poser facilement le pied à l'arrêt. Le Street Rod est équipé en exclusivité de roues « Open Spoke Black » en aluminium coulé de 17 pouces à l'avant et l'arrière et de nouveaux pneus radiaux Michelin Scorcher 21, de taille 120/70 R17V à l'avant et de 160/60 R17V à l'arrière. Des étriers à double pistons, des disques de frein avant de 300 mm et un dispositif ABS délivrent plus de puissance de freinage et assurent un contrôle total. Le « Smart Security System Harley-Davidson » est un équipement de série. Le Street Rod associe son nouveau moteur et ses performances de maniabilité inédites à une dose de style Dark Custom d'HarleyDavidson. Une fourche imposante et sombre, et des tés de fourche triple, surmontée d'un nouveau compteur de vitesse (assorti à la couleur de la moto, à part l'insert central noir), ajoutent à la puissance affichée par l'avant. Une nouvelle section arrière, relevé d'un garde-boue arrière perforé, épure la ligne. Le feu arrière ainsi que les clignotants profitent de la technologie LED pour améliorer la visibilité. www.harley-davidson.com
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KYMCO AK 550
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L’AK 550, un maxi scooter de référence qui ne fait aucun compromis entre le confort quotidien et le plaisir pur du pilotage L'AK 550 réconcilie parfaitement "innovation et performances", "luxe et fonctionnalité" et "confort et utilité". C’est un scooter à la pointe de la technologie qui offre des expériences de pilotage incomparables tout en permettant aux pilotes de profiter de chacune de leurs sorties, qu'ils se déplacent en ville ou sur route. Le fleuron de la marque sera commercialisé en Avril 2017 à partir de 9 890€, en deux coloris : mat black et steel grey, et sera le premier modèle de la marque à avoir la technologie Noodoe de série. Profitez pleinement du meilleur des deux mondes L'AK 550 est le pionnier d'un nouveau segment de scooters "Super Touring" qui ont la capacité d'offrir le confort et la fonctionnalité d'un scooter mais également l'attitude et les performances d'un deux roues sportif. En effet, l’AK 550 est le scooter idéal pour s’évader hors de la ville. Avec la sportivité et les performances d’une moto et le confort d’un scooter, il est parfait pour les longs trajets. C’est le compagnon idéal pour un usage urbain quotidien et les voyages d’exception. L a technologie Noodoe : le premier scooter connecté au monde Un système de connectivité embarquée sur le tableau de bord permettant au conducteur de vérifier la météo, d’accéder à ses données personnalisées, différents points d’intérêts, de personnaliser toute la présentation du tableau de bord avec photo, couleurs de son choix, de localiser son scooter garé sur un parking bondé, de rester connecté et recevoir lorsque la machine est à l’arrêt les notifications appels, messages et réseaux sociaux. En résumé Noodoe est source d’innombrables fonctionnalités et personnalisations ! Par mesure de sécurité, les conducteurs ne peuvent lire les messages et les notifications que lorsque le véhicule est complètement arrêté. En outre, toutes les manipulations relatives à Nooode se font sans bouger les mains du guidon. Par mesure de précaution, la visibilité du tableau de bord a été testée pour être observée de manière sûre dans toutes les conditions météorologiques. Un design haut de gamme, fort L'AK 550 rehausse les standards en intégrant parfaitement la dimension sportive et l'excellence du design avec une attention exceptionnelle à chaque détail. Sa ligne fuselée, son dispositif d'éclairage à LED intégral, ses emblèmes finement sculptés et les surfaces multi-texturées de sa selle, en font un scooter haut de gamme. Une conception optimisée Chaque composant de l'AK 550 est développé pour bénéficier d'une solidité optimale tout en limitant le poids. Son cadre en aluminium léger offre la rigidité nécessaire à un pilotage sportif. Les roues en aluminium réduisent de façon significative le poids non suspendu. www.kymcolux.com/fr
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scooter neco MOOOF, groupe belge, a décidé de créer sous la marque NECO sa propre gamme de scooters 50 et 125 cm 3 au style vintage italien. Entre les embouteillages et les interdictions de circulation dues à la pollution, il est grand temps d'envisager vos déplacements urbains différemment. Neco a la solution à vos problèmes et vous propose une gamme de scooters 50 et 125 cm 3 aux couleurs tendances et au style vintage et l'ALEXONE, scooter 125 cm 3 qui va vous faire redécouvrir les joies de circuler en ville. neco.be/fr
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neco alexone Dôté de feux à LED et d’un affichage numérique, l’Alexone arbore un look agressif. Le passager n’a pas été oublié avec un dosseret qui est installé de série, et de larges poignées. Décliné dans trois coloris noir, blanc et silver, l’Alexone est également livré avec une bulle fumée qui renforce son aspect sportif. Prix : 2499 euros.
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UNU, le nouveau scooter électrique design et urbain débarque en France ! Après un grand succès en Allemagne, aux Pays-Bas et en Autriche, le scooter électrique UNU arrive en avril, en France. Conçu par une startup européenne, ce deux-roues design et personnalisable permet de redécouvrir sa ville d’une manière non-polluante, silencieuse et économique grâce à sa batterie amovible portative, rechargeable sur n’importe quelle prise de courant. www.unumotors.com/fr/
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Un nouvel accessoire design accessible pour circuler avec confort dans la ville. Un scooter électrique personnalisable conçu pour la ville Aussi séduisant par sa technologie moderne et respectueuse de l’environnement que par son design néo-rétro, le deux-roues UNU est entièrement personnalisable. Choix des couleurs de carrosserie, finition de la sellerie ou encore type de moteur, UNU s’adapte à tous les goûts des conducteurs. Avec une vitesse maximale de 45 km/h, le permis de conduire B suffit pour conduire UNU. Trois choix de motorisation sont disponibles (1 000w / 2 000w / 3 000w) qui influent uniquement sur la puissance d’accélération. Grâce à sa compacité, sa légèreté, UNU est un scooter facile à prendre en main et à conduire en ville. Parfait pour passer aisément à travers les embouteillages des grandes villes ! 3 jours de conduite en ville sans frais La batterie de UNU est d’une conception moderne et permet ainsi de rouler 50 km sans recharger. Avec des distances moyennes 89
parcourues en ville de 15 km par jour, une recharge complète tous les 3 jours s’avère suffisante. Et pour les plus gros consommateurs, il est possible de commander une seconde batterie qui peut être rangée sous la selle pour parcourir 50 km supplémentaires. Le coût de la charge de la batterie est d’environ 40 centimes d’€/100 km, ce qui fait d’UNU la solution la plus économique pour se déplacer en ville. En effet, sur un an, l’utilisateur d’UNU économisera 800 € par rapport au conducteur d’une voiture classique ! De plus, grâce à son système de récupération d’énergie (KERS) inspirée de la technologie employée en Formule 1, le scooter se recharge à chaque freinage. Quant à la batterie, plus besoin de recharge ni de garages : il suffit de retirer la batterie du scooter et de la mettre en charge sur une prise de courant ordinaire. Un scooter électrique design et accessible Avec un prix d’achat qui démarre à 1 899 €, l’expérience UNU s’adresse au plus grand nombre. Moins polluant, plus facile d’utilisation et plus économe, UNU est une alternative parfaite aux véhicules classiques pour tous les citadins désireux de profiter de leur ville autrement.
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Unu allie une technologie innovante à l'élégance et au flair urbain. Avec son premier produit, le scooter électrique à batterie portable commercialisé depuis 2014 en Allemagne, unu permet désormais aux citadins de cette innovation en France au Printemps 2017. Le scooter électrique a été mis au point par trois jeunes entrepreneurs, Elias Atahi, Pascal Blum et Mathieu Caudal (Français). Unu a vu le jour en 2013. « L'idée nous en est venue quand nous faisions nos études en Asie et avons découvert par nous-mêmes que les scooters, et plus particulièrement les scooters électriques, représentaient une toute nouvelle manière de se déplacer en ville », confie Pascal Blum. Nous avons été littéralement fascinés par le potentiel de grandes villes telles que Shanghai, Pékin et Singapour. « En même temps, nous avons remarqué à quel point il est possible d'en tirer parti, car la mobilité là-bas est très limitée », ajoute Pascal. C'est de cette lacune qu'est née l'idée de créer unu. « Avec unu, nous pouvons désormais envisager des villes dont les gens peuvent profiter pleinement d’un grand nombre d’opportunités. Notre contribution consiste à créer la solution de mobilité parfaite pour établir un lien inédit avec la ville », commente Elias Atahi. Après une phase initiale passionnante et le développement d'une sorte de version bêta, le français Mathieu Caudal s'est joint au trio de fondateurs. « Mathieu nous a permis de construire le produit en série très rapidement », explique Pascal, se rappelant les débuts d'unu. Elias Atahi, cofondateur de l'entreprise et de la marque unu, né en 1989 Elias Atahi est titulaire d'un Bachelor en électrotechnique et en informatique de l'Université technique de Munich et de l'Université nationale de Singapour, ainsi que d'un Honors Degree l'UT de Munich, il a mis au point avec son équipe « TUfast », en l'espace de six mois, une voiture de course entièrement électrique pour les compétitions internationales de Formula-Student. Elias a travaillé, entre autres, avec Siemens Trend Research, Telekom Innovation Laboratories et des startups à des produits conceptuels innovants, se focalisant sur l'expérience utilisateur. Chez unu, il met l'accent sur la marque et le produit. « Je crée, à l'intersection du design et de la technologie, l'expérience entre les utilisateurs et leur environnement, mais avant tout entre les utilisateurs et les machines », explique Elias. Pascal Blum, cofondateur et directeur général, né en 1989 Pascal Leonard Blum a obtenu un Bachelor en économie et en politicologie à l'Université Zeppelin et à l'Université de Pékin (PKU). Il a travaillé dans la branche développement commercial de la Lufthansa,
de Sekem et de Citigroup ; c'est chez avandeo à Shanghai qu'il a été inspiré par le modèle économique innovant d'unu. Pascal fait, entre autres, partie de l'équipe fondatrice des premières associations locales « Rock Your Life! » et « Politosophy ». Il a toujours été désireux d'appliquer son esprit d'entreprise aux évolutions de la société. Chez unu, il se concentre aujourd'hui surtout sur le développement et la stratégie de l'entreprise. Il décrit sa motivation en ces termes : « Avec unu, mon ambition à long terme est d'apporter une mobilité durable et intelligente à tout le monde et, ainsi, d'améliorer fondamentalement la qualité de vie dans les grandes villes ». Mathieu Caudal, cofondateur et grow th, né en 1988 Mathieu Caudal est titulaire d'un Master en électronique et en informatique de l'Institut National des Sciences Appliquées (INSA) de Lyon et de l'Université technique de Munich. Il a toujours été intéressé par les liens entre l'entreprise, l'économie, le commerce et la technologie. C'est ainsi qu'il a participé à la création d'ETIC, société estudiantine de conseil aux entreprises. Avant de se joindre à
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unu, il a travaillé chez MAN Trucks ainsi que chez Volvo, où il a pu examiner l'évolution et les tendances les plus marquantes de l'industrie de la mobilité. Chez unu, Mathieu, initialement focalisé sur le produit et la supply chain, a désormais pour première préoccupation la compétitivité de l'entreprise. Il collabore ainsi étroitement avec chaque département à la construction structurelle de la société, et dirige la réalisation des projets dans les domaines de la production, de la chaîne logistique et du développement commercial. Depuis 2015, unu a son siège à Berlin et fait partie de « Factory Berlin », centre dédié aux startups, où l'on rencontre également des sociétés telles que Twitter, Pinterest ou Soundcloud. La jeune entreprise est en plein essor et emploie aujourd'hui pas moins de 40 personnes. À tous ceux qui aimeraient découvrir la technologie innovante du scooter électrique, unu propose aujourd'hui dans différentes villes d'Allemagne, d'Autriche, de Suisse ainsi qu’au Pays Bas et en France des parcours d'essai grace aux « pionniers unu ».
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avola - monte donne - basso Vous êtes à la recherche d’un VAE (vélo à assistance électrique) abordable, beau, ayant de la classe et un style vintage ? Pas de doute il vous faut un Beaufort. Idéal pour vos trajets quotidiens maison boulot ou simplement pour une balade en famille ou entre amis, vous aurez le choix entre les vélos Avola, Monte Donne et le vélo pliable Basso. Qu’importe votre décision, vous aurez droit à pas mal de regards envieux.
Basso 1 699€ Monte Donne 2 149€
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my house
philips
PerfectCare Elite Avec cette centrale vapeur, oubliez tout ce que vous savez sur le repassage. Quel que soit le critère de choix, Perfectcare Elite remporte tous les suffrages et fait l’unanimité. Puissant. Alors que la plupart des centrales vapeur ne dépassent pas 6 bars de pression, PerfectCare Elite promet un minimum de 6,5 bars. Léger. Avec PerfectCare Elite, Philips rabaisse le poids du fer à seulement 0,80 kg, soit 40 % de moins qu’un modèle traditionnel ! Rapide. Il est prêt à l’emploi en moins de deux minutes et son réservoir amovible de 1,8 l offre une capacité importante, sans interruption, donc un repassage longue durée. PerfectCare Elite s’occupe de tout. Vous pouvez facilement passer d’un jean à un chemisier en soie, sans vous soucier de rien. Grâce à sa semelle T-ionicGlide, la glisse est parfaite, et la résistance aux rayures garantie. Design et pratique. Avec ses couleurs blanc et bleu nuit, son fer facile à prendre en main et fuselé à la manière d’une voiture de sport, PerfectCare Elite affiche une élégance naturelle et un design de pointe. 98
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philips
SmartPro Active Aspirateur-robot Performances optimales et nettoyage intelligent : un maison propre à partir de votre smartphone. Contrôlez l'aspirateur robot Philips SmartPro Active avec l'application intuitive où que vous vous trouvez pour une maison impeccable. Grâce à la brosse TriActive XL ultralarge, votre robot nettoie deux fois plus vite.
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la prairie INFUSION DE PERLES ÉCLAT CAVIAR NACRÉ
Retrouvez la luminosité d’une peau éclatante de jeunesse et de santé grâce à Infusion de Perles Éclat Caviar Nacré. Les rougeurs, les taches pigmentaires qui apparaissent au fil du temps et le teint terne causé par les agressions extérieures sont autant de facteurs qui empêchent la peau de rayonner de l’intérieur. Les scientifiques La Prairie ont fait une nouvelle avancée en matière d’éclat de la peau, une science des plus pointues : Infusion de Perles Éclat Caviar Nacré, un soin breveté à la formulation illuminatrice exclusive. Ciblant les trois défauts pigmentaires faisant obstacle à la luminosité, Infusion de Perles Éclat Caviar Nacré illumine et lifte la peau. Après seulement quatre semaines, les résultats sont déjà visibles. Infusion de Perles Éclat Caviar Nacré renferme une découverte scientifique novatrice. À travers leurs recherches, les scientifiques La Prairie ont découvert que l’irrégularité du grain de peau et la perte de luminosité sont non seulement dues aux taches pigmentaires induites par la mélanine mais également aux rougeurs et à l’aspect terne de la peau. La Prairie a ainsi mis au point une formule inédite qui combat les trois défauts pigmentaires. Cette délicate infusion de perles encapsule une formule concentrée à base d’extrait de caviar doré et d’une forme stable et liposoluble de vitamine C. Associée au DGA (Diglucosyl Gallic Acid) innovant, cette formule cible les trois défauts pigmentaires. Infusion de Perles Éclat Caviar Nacré illumine et raffermit, rendant à la peau l’éclat de sa jeunesse. Le grain de peau est ravivé, les taches pigmentaires s’estompent tandis que les futures taches sont neutralisées avant même leur apparition. La fermeté et l’élasticité sont restaurées. Encapsulée dans des perles de caviar nacrées uniques en leur genre et demeurant intactes jusqu’à la toute dernière goutte, Infusion de Perles Éclat Caviar Nacré allie plaisir des sens et efficacité. Pour la première fois, une formule innovante cible les trois grands défauts pigmentaires qui empêchent le teint d’être lumineux, éclatant et uniforme, pour révéler une peau éblouissante et rayonnante de santé. www.la-prairie.fr 101
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marc jacobs daisy
Depuis dix ans, Daisy Marc Jacobs fait chavirer les coeurs dans le monde entier grāce à son charme naturel et à son élégance juvénile. La nouvelle campagne qui sera dévoilée ce printemps reste fidèle aux valeurs essentielles de Daisy : l’optimisme, la féminité et une liberté d’esprit empreinte de jeunesse. Tournée en extérieur à Los Angeles dans un pré de marguerites sauvages, la publicité est entièrement filmée sur pellicule 16 mm pour un effet volontairement candide et imparfait. Tournées à la première personne, les images aux airs de documentaire montrent Kaia en train de partager des moments insouciants avec les mannequins Sofia mechetner et Dilia martins, dans un paysage champêtre éthéré et sous un ciel d’azur. Derrière la caméra, le célèbre photographe de mode Alasdair Mclellan a réalisé la campagne sous la direction créative de Katie Grand et la direction artistique de David James et de l’agence Dja. Le titre « Dream baby dream », du groupe londonien Suicide, accompagne le spot.
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