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VULVE

84% des filles de 13 ans ne savent pas représenter leur vulve alors que la moitié d’entre elles savent dessiner un pénis.

2/3 des femmes n’ont pas d’orgasme par pénétration vaginale seule, mais en stimulant aussi leur clitoris au niveau vulvaire.

Des cancers plutôt rares

Les cancers de la vulve touchent environ 0,3% des femmes. Ils sont plus fréquents après 65 ans et en lien avec le papillomavirus humain ou le lichen scléreux vulvaire, une affection dermatologique inflammatoire. Essentiellement traités par voie chirurgicale, leur évolution est lente.

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Le nombre de terminaisons nerveuses du gland du clitoris (sa partie externe visible).

Démangeaisons et douleurs

Parmi les pathologies les plus fréquentes de la vulve, on peut citer les mycoses ou les infections, dont certaines sont sexuellement transmissibles. Les symptômes sont des démangeaisons ou des brûlures. Les traitements vont des antimycosiques aux antibiotiques en passant par des cures de lactobacilles, des bactéries naturellement présentes dans le vagin et capables d’inhiber la plupart des germes pathogènes. La vulvodynie concerne des douleurs chroniques localisées sur une partie ou toute la vulve, sans cause apparente. Des antidouleurs locaux, de la physiothérapie du périnée et des thérapies psychocorporelles peuvent être prescrits.

Éviter les excès d’hygiène

La santé de la vulve est liée, entre autres, aux hormones sexuelles et à l’équilibre de son microbiome. Il s’agit de veiller à ne pas le rompre par des excès d’hygiène. Ces derniers peuvent être en lien avec des croyances socioculturelles visant à bannir les sécrétions et les odeurs. Un nettoyage une fois par jour à l’eau suffit.

45% des femmes seulement disent trouver leur sexe « beau et désirable ».

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