Dossier de presse fotosculunaires 2011

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DOSSIER DE PRESSE

les

11 et 12 septembre 2011



Sommaire

Concours International de la Photo Culinaire

page 5

Depuis 2008, des duos d’exception

page 6

Le règlement du concours

page 20

Les coulisses du concours

page 20

Un jury de professionnels de la gastronomie et de l’image

page 22

La cérémonie de remise des prix

page 24

Les démonstrations de cuisine

page 26

La 4ème édition do Concours International de la Photo Culinaire

page 29

Concours International de la photo culinaire « Producteurs » NOUVEAUTÉ 2011

page 35

Concours International de la photo culinaire « Blog » NOUVEAUTÉ 2011

page 41

Partenaires 2011

page 45

Presse

page 63

Contacts

page 67

3


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OLORON SAINTE-MARIE

lus que jamais, le monde de la cuisine et de l’image ont besoin de se rencontrer. Difficile, en effet, aujourd’hui, quand on est cuisinier ou journaliste gastronomique, d’imaginer pouvoir communiquer sur son métier sans passer par un outil incomparable : la photo culinaire. Quels que soient les supports, l’image est au centre de tout : dans l’édition, sur les magazines, sur Internet, sur les blogs, la photo culinaire envahit notre quotidien. C’est pourquoi, l’Office de Tourisme a eu l’idée en 2008 de créer un événement mariant ces deux univers en organisant à Oloron SainteMarie la première édition du Concours International de La Photo Culinaire.

P

5


Depuis 2008, des duos d’exception

Depuis l’émergence de la nouvelle cuisine, au début des années 1970, les chefs n’ont jamais été aussi starisés et leur communication aussi intense : pas un seul magazine qui n’ait, aujourd’hui, sa rubrique gastronomique, les blogs culinaires, sur Internet, n’ont jamais été aussi nombreux et n’ont jamais été autant illustrés de photos culinaires que depuis la démocratisation des appareils photos numériques, tandis que, phénomène encore plus récent, les éditeurs n’ont jamais autant publié et vendu de livres de cuisine. Avec quelques 7 millions d’exemplaires vendus et 40 millions de chiffre d’affaire réalisé dans ce secteur, il est paru, encore l’an dernier, pas moins de 1 400 ouvrages culinaires, soit deux fois plus qu’il y a cinq ans. Dans ce mouvement d’euphorie, la part de la photo est évidemment très importante, car une superbe photo de plat, sur une couverture de livre, par exemple, est très souvent susceptible de déclencher l’acte d’achat chez le consommateur. Il était temps de rendre hommage à ces duos de magiciens que sont les photographes et les chefs. Des binômes devenus inséparables parce que, dans le monde de l’édition et de la presse, on n’a encore rien trouvé de mieux que photographier un plat ou une pâtisserie pour donner envie d’y goûter. C’est pourquoi, pour la première fois, dans l’histoire de la gastronomie et de la photo, l’Office de Tourisme du Piémont Oloronais a eu l’idée, en 2008, de créer un événement mariant ces deux univers. C’est à Oloron Sainte-Marie, cité du célèbre Maître Chocolatier Lindt & Sprüngli, que se tiendra la 4e édition du Concours International de La Photo Culinaire. Original et unique en son genre, ce concours opposera une vingtaine d’équipes, chacune composée d’un chef et d’un photographe pour la réalisation d’une photo originale, jugée par un jury de journalistes, d’éditeurs, de stylistes, de photographes et de cuisiniers gastronomiques.

près s’être illustré dans son fameux bistrot « Le Temps au Temps » dans le XIe arrondissement de Paris, ce jeune chef d’à peine trente ans a enfin trouvé un lieu dans lequel il se sent bien. Enfin chez lui, dans ce nouveau restaurant du Ve arrondissement, Sylvain Sendra s’amuse et brouille les pistes, à coup d’intitulés à rallonge, de condiments rares, de voiturier en casquette, ou de simplicité déconcertante.

A

Sylvain Sendra Itinéraires à Paris

lauréats

2010

et

Carrie Solomon

6


laurĂŠats

2010

7


é en banlieue parisienne, Christophe Bacquié est d’abord et avant tout un enfant de la Corse… et d’une mère hôtelière de Lumio. Après une formation de cuisinier à l’Île Rousse, il fait, quelques années plus tard, une rencontre déterminante avec Louis Outhier, propriétaire du fameux restaurant, et Stéphane Raimbault, chef de L’Oasis, à la Napoule (06). Après un passage à la Maison Prunier, à Paris, il revient, en 1997, sur l’île de Beauté, en prenant les rênes de L’Alivu, à la Villa, à Calvi. Avant de retrouver le continent, à l’automne dernier, à l’Hôtel du Castelet (83) où il récupère ses deux étoiles au guide Michelin, en mars dernier. Grâce à une cuisine tonitruante, faite de fulgurance dans le travail du goût et la justesse des cuissons.

N

Christophe Bacquié 2* Le Montecristo au Castellet et

Pierre-Emmanuel Rastoin

30 ans à peine, Jean Sulpice appartient à cette nouvelle génération d’auteurs voués à reprendre le flambeau de la haute gastronomie française. Savoyard pur et dur, celui qui fût le second de Marc Veyrat pendant cinq ans a été formé à bonne école : celle de la rigueur et de la modernité. Après être passé entre les mains de Jean-Georges Klein (3*à l'Arnsbourg, à Baerenthal), de Feran Adria (3* à El Bulli, à Roses, en Espagne) ou de Patrick Jeffroy (2* à Carantec) avec qui il a appris l’art de bien choisir et de cuire le poisson, Jean Sulpice est devenu, en 2006, le chef étoilé le plus haut perché du monde, dans son restaurant l’« Oxalys » de Val Thorens, à 2 300 mètres d’altitude. Chez lui, la cuisine est à la fois créative et sensible, tonique et pleine de fraîcheur, savoureuse et légère, directement inspirée par la nature et la montagne.

À

Jean Sulpice 2* l’Oxalys à Val Thorens et

Aline Périer

nfant du pays, Yves Camdeborde est un Béarnais pur et dur. Issu d’une famille de charcutiers palois dont la réputation a, depuis longtemps, dépassé les frontières de la cité d’Henry IV, cet inconditionnel du ballon ovale a d’abord appris le métier au Ritz, à Paris, puis à la Marée et à la Tour d’Argent, avant de rencontrer un chef qui va bouleverser sa vie : Christian Constant, au Crillon. Avec ce chef hors pair, le jeune cuisinier prend une nouvelle dimension aux cotés de garçons qui ne vont pas tarder à faire parler d’eux… C’est la génération Piège, Fréchon Felder, Marshall… En 1992, Yves Camdeborde quitte la place de la Concorde pour créer la Régalade. Pendant 13 ans, ce Béarnais haut en couleurs va révolutionner la restauration parisienne, en devenant le chef de file de ce que l’on a appelé les néo-bistrots à l’époque. En 2005, il s’installe dans un hôtelrestaurant de Saint-Germain des Prés et ouvre le Comptoir du Relais. Là, il réalise une cuisine de goût, vraie et sincère, mêlant tradition et modernité, plats canailles revisités et créations plus personnelles, mais toujours autour de produits de grande origine.

E

Yves Camdeborde Comptoir du Relais à Paris et

Laurent Séminel

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Photo d’Aline Périer avec Jean Sulpice (2009)

Photo de Pierre-Emmanuel Rastoin avec Christophe Bacquié (2010)

Photo de Laurent Séminel avec Yves Camdeborde (2010)

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William Ledeuil

Stéphane Carrade

1* Ze kitchen Galerie à Paris

2* Chez Ruffet à Jurançon

et

Éric Laignel

et

Luc Hautecoeur

Olivier Bellin

François Adamski

2* L’auberge des Glaziks à Plomodiern

1* Gabriel à Bordeaux

et

Christian Rérat

et

Pascal Lattes

e canard est sa passion, les marais sa raison de vivre. Toulousain d’origine et normand d’adoption, Eric Guérin a débarqué dans le parc de Brière l’année de ses 16 ans pour chasser le canard sauvage avec son père, avant de se former chez de grandes maisons classiques comme La Tour d’Argent, Taillevent ou le Jules Verne. Tombé fou amoureux de ce parc naturel, de sa réserve et de ses oiseaux, Eric rachète neuf ans plus tard, en 1995, l’auberge où il passait ses vacances. Transformée en restaurant, elle accueille, aujourd’hui, une cuisine colorée, ludique et métissée, selon une double lecture : soit « tendance » (dos de maigre, miso-mango et quinoa à la moelle), soit plus traditionnelle (pot au feu aux légumes). Une cuisine étonnante souvent axée sur les produits de la mer et des marais, d’ici et d’ailleurs. Mais au lieu de les cuisiner traditionnellement, comme partout ailleurs dans la région, Eric Guérin se laisse porter par son imagination. Un imaginaire récompensé par une étoile au guide Michelin en 2000 qui l’a conduit à transformer de fond en comble sa maison au printemps dernier. Avec un nouveau restaurant et de nouvelles chambres plus belles que jamais.

L

Éric Guérin 1* La Mare aux Oiseaux à Saint Joachim et

Jean-Christophe Leroux

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Photo d’Éric Laignel avec William Ledeuil (2009) Photo de Jean-Christophe Leroux avec Éric Guérin (2010)

Photo de Christian Rérat avec Olivier Bellin (2010)

Photo de Pascal Lattes avec François Adamski (2010)

Photo de Luc Hautecoeur avec Stéphane Carrade (2008)

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Oth Sombath

Fabrice Biasolo

1* Oth Sombath à Paris

1* Une Auberge en Gascogne à Astaffort

Amarante Puget

et

et

Emmanuel Esteban

Patrick Jeffroy

Gaël Orieux

2* Patrick Jeffroy à Carantec

1* Auguste à Paris

et

Hubert Taillard

et

Yvan Zedda

nfant du Vieux Port, ce marseillais d’origine a travaillé chez Michel Toulousy, dans la ville Rose, puis chez Michel Troisgros, à Roanne, auprès duquel il sera son fidèle second pendant quatre ans. En 1998, il ouvre son premier restaurant. Ce sera Côté Théâtre, à Perpignan. Un établissement mythique de six tables et douze couverts, pas plus grand qu’un mouchoir de poche, qui deviendra le plus petit restaurant étoilé, trois ans plus tard. Sa cuisine, faite de contrastes subtils et saisissants toute en subtilité, élégance et fraîcheur, délaisse volontiers les sauces au profit des réductions et des petits jus délicatement parfumés d’épices et d’herbes.

E

Michel Portos 2* Saint James à Bouliac et

Hervé Lefèbvre

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Photo de Yvan Zedda avec Gaël Orieux (2009)

Photo d’Amarante Puget avec Oth Sombath (2009)

Photo de Hervé Lefèbvre avec Michel Portos (2010)

Photo de Hubert Taillard avec Patrick Jeffroy (2010)

Photo de Emmanuel Esteban avec Fabrice Biasolo (2008)

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Philippe Arrambide

Alfredo Garcia Lagrava

2* Les Pyrénées à St Jean Pied de Port

Canteré à Hecho - Espagne

et

Olivier Digoit

et

Sergio Padura

Xavier Isabal

Jacques Décoret

1* Ithurria à Ainhoa

1* Jacques Décoret à Vichy

et

François Poincet

et

Grant Symon

nfant du Vercors et fils de restaurateur, Christophe Aribert a commencé sa carrière aux côtés de Manuel Martinez, à la Tour d’Argent, puis de Christian Constant, au Crillon. Mais l’appel de ses montagnes est le plus fort, et, en 1999, ce skieur chevronné revient aux Terrasses d’Uriage, comme second de Philippe Bouissou, après avoir débuté sa carrière comme commis auprès de lui quelques années plus tôt. Deux étoiles depuis 2002 et seul aux commandes de ce restaurant depuis quatre ans, Christophe Aribert propose une cuisine pleine de verve, de justesse et de finesse.

E

Christophe Aribert lauréats

2009

2* Les Terrasses d’Uriage à Uriage Les Bains et Pierre-François Couderc

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Photo de François Poincet avec Xavier Isabal (2009)

Photo de Grant Symon avec Jacques Décoret (2009)

lauréats

l

2009

Photo d’Olivier Digoit avec Philippe Arrambide (2009)

Photo de Pierre-François Couderc avec Christophe Aribert (2009)

Photo de Sergio Padura avec Alfredo Garcia Lagrava (2009)

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lauréats

Emmanuel Michel

Christophe Girardot

Chez Chilo à Barcus

1* La Table de Montesquieu à La Brède

2008

et

Polo Garat

et

Christine Amat

Vivien Durand

Gwendal Le Ruyet

Lieu Dit Vin à Hendaye

Le Céleste à Prague - République Tchèque

et

Boris Sensamat

et

Dan Vojtech

talo-argentin d’origine, cet ancien second d’Alain Passard n’en finit pas de collectionner les titres : 1ère étoile au guide Michelin en 2007, puis le titre de « révélation de l’année » la même année, et deux ans plus tard, celui de « cuisinier de l’année » au Gault Millau, Mauro Colagreco a fait une entrée fracassante à la 35ème place du classement 2009 des « 50 meilleurs Restaurants du Monde ». D’une subtilité infinie, sa cuisine rappelle celle du maître de l’Arpège.

I

Mauro Colagreco 1* Mirazur à Menton et

José-Luis Zubiria

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laurĂŠats

2008

Photo de Polo Garat avec Emmanuel Michel (2008)

Photo de JosĂŠ-Luis Zubiria avec Mauro Colagreco (2009)

Photo de Dan Vojtech avec Gwendal Le Ruyet (2010)

Photo de Christine Amat avec Christophe Girardot (2010)

Photo de Boris Sensamat avec Vivien Durand (2010)

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Julien Duboué

David Ducassou

Afaria à Paris

Cap e Tot à Morlanne

William Beaucardet

et

et

Éric Traversie

Jean-Marie Baudic

Thierry Renou

1* Youpala Bistrot à Saint Brieuc

Le Patio à Arcachon

et

Sébastien Hervé

et

Claude Prigent

uisinier italien originaire des bords du lac de Garde, Simone Zanoni a d’abord commencé son apprentissage dans les plus belles tables transalpines, comme Del Pescatore, chez Santini, et à l’Enoteca Pinchiorri, à Florence. Mais c’est à Londres que Simone Zanoni va prendre le virage le plus important de son existence. En faisant la rencontre de Gordon Ramsay, le célèbre cuisinier écossais avec lequel il va décrocher trois étoiles au guide Michelin dans son restaurant de Chelsea en 2003. Après avoir été son plus fidèle bras droit pendant quatre ans, l’aidant dans la réalisation de ses nombreux ouvrages ou ses émissions de télévision (Panique en cuisine, diffusé actuellement sur la chaîne française de la TNT, W9), le jeune Simone Zanoni ouvre et dirige, en 2007, le nouveau restaurant de Gordon Ramsay au Trianon Palace, à Versailles. L’année suivante, l’établissement obtient, d’un coup d’un seul, ses deux premières étoiles. Avec une cuisine centrée sur des produits de haute volée et une justesse parfaite dans les cuissons et les assaisonnements.

C

Simone Zanoni 2 Trianon Palace à Versailles et

Hitomi Ryoke

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Photo de Éric Traversie avec David Ducassou (2010)

Photo de Sébastien Hervé avec Jean-Marie Baudic (2010)

Photo de William Beaucardet avec Julien Duboué (2010)

Photo de Claude Priget avec Thierry Renou (2010)

Photo d’Hitomi Ryoke avec Simone Zanoni (2010)

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Le règlement du concours Côté cuisine sont pris en compte l’originalité de la recette, la mise en valeur des produits d’origine, le stylisme et la présentation du plat. Côté photo sont jugés et appréciés la technique photographique proprement dite, comme la qualité de la lumière, la définition du grain, le jeu sur la profondeur du champ ou la précision du cadrage. Mais aussi la valeur artistique de la photo à savoir l’originalité de la prise de vue, la créativité et la sensibilité du photographe. Les membres du jury évaluent la notion de « gourmandise » de la photo, chacun s’interroge pour savoir s’ils ont envie de manger le plat ou de refaire la recette !

Les coulisses du concours Durant deux heures, les duos de chefs et de photographes rivalisent d’ingéniosité pour concevoir une photo originale.

Pierre-Emmanuel Rastoin et Christophe Bacquié

David Ducassou et Éric Traversie

Patrick Jeffroy

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Jean Sulpice

Thierry Renou

Dan Vojtech et Gwendal Le Ruyet

Simone Zanoni et Hitomi Ryoke

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Un jury de professionnels de la gastronomie et de l’image

ncien disciple de Joël Robuchon, Frédéric Anton est le chef du Pré Catelan, à Paris, depuis 14 ans maintenant. Sacré Meilleur Ouvrier de France en 2000 et auréolé d’une troisième étoile en 2007, ce lorrain d’origine est l’un des trois membres du jury Masterchef sur TF1 depuis l’an dernier.

A

Frédéric Anton Chef 3* - Pré Catelan - Paris Président du Jury 2010

près avoir commencé sa carrière aux côtés de Gaston Lenôtre dès l'âge de quatorze ans, Pierre Hermé sera le chef-pâtissier de la maison Fauchon pendant 10 ans, entre 1986 et 1996, avant de diriger la maison Ladurée pendant les deux années suivantes. En 1998, il crée la maison « Pierre Hermé Paris® » avec une première boutique à Tokyo, avant de signer, en 2001, son grand retour sur la scène parisienne. Il est aujourd’hui à la tête d’une vingtaine de boutiques à travers le monde.

A

Pierre Hermé Pâtissier Président du Jury 2009

résidente du jury 2008 du concours International de Photo Culinaire, photographe culinaire (Thierry Marx, Alain Ducasse…). Nombreuses collaborations : New York Times, Elle, Marie-Claire, L’Express, Le Point, L’Echo des Savanes, VSD, Le Figaro, Inrockuptible... Lauréate d’un grand nombre de prix : Prix de la meilleure photographie culinaire, “Le grand livre des desserts et pâtisseries” Alain Ducasse, 2006, Prix Metro, “cash & carry”, 2007, Prix du design, “Planète Marx”, Grand Prix du jury du festival International de la Photographie culinaire, 2009, Élue ‘femme de l’année’ par le magazine Jalouse, 2004.

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Mathilde de L’Écotais Photographe Présidente du Jury 2008

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Les membres du jury 2010

ncien disciple de Guy Savoy, William Ledeuil est un passionné d'art contemporain et de voyages. Diplômé en gestion des entreprises et de l'École supérieure de cuisine française, il a ouvert, en 2001, dans le VIe arrondissement, à Paris, le restaurant Ze Kitchen Galerie où sont exposés en permanence des tableaux d'art contemporain autour d'un mobilier spécialement créé par un designer. Fort de son étoile gagnée en 2008, William Ledeuil réalise une cuisine qui n’oublie pas les fondamentaux de la cuisine française, mais aux influences asiatiques très marquées, notamment du côté de la Thaïlande et du Japon. Une cuisine hors norme, toute en subtilité, en douceur et en élégance, signée par l’un de nos plus grands chefs actuels.

A

William Ledeuil Chef - 1* Ze Kitchen Galerie - Paris

François Poincet

Andréa Pétrini

Sophie Brissaud

Photographe

Journaliste - Fooding

Styliste, Journaliste et Auteur

Marie Anne Page

Grant Symon

Freddy Thiburce

Journaliste

Photographe

Directeur des Cercles Culinaires de France

Florence Lécuyer

François Régis Gaudry

Benjamine Fajeau

Directrice éditoriale - La Martinière

Journaliste - L’Express Styles

Productrice - Masterchef - TF1

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La cérémonie de gala et la remise des prix

Lorsque les photos sont terminées, l’ensemble des participants au concours, mais aussi le grand public et tous les professionnels invités à cet événement se retrouvent pour la cérémonie de gala animée par Philippe Boé, journaliste gastronomique et consultant du Concours International de La Photo Culinaire.

ournaliste et critique gastronomique depuis une quinzaine d’années, Philippe Boé a d’abord travaillé dans la presse quotidienne régionale (La République des Pyrénées, Les Dernières Nouvelles d’Alsace) et à la radio, notamment à Radio France, RMC et Radio Tour Eiffel, avant de rejoindre la presse magazine gastronomique, notamment à VSD pour lequel il a en charge la rubrique gastronomique depuis dix ans. Après avoir été formé à l’école Gault-Millau - le guide et le magazine pour lesquels il a travaillé pendant sept ans (1994-2000) comme critique gastronomique, chef de région (Paris-IDF) et coordinateur national, Philippe Boé a également été membre de l’équipe du Fooding Philippe Boé entre 2001 et 2007. Auteur d’ouvrages sur la gastronomie, Philippe Boé écrit les livres de Philippe Conticini, un de nos plus grands pâtissiers (La Table d’Anvers, Petrossian, Peltier, La Pâtisserie des Rêves) : en 2004, le livre « Tentations » (Marabout), qui a remporté le « Gourmand World Cookbook Awards » du meilleur livre de chef, l’année suivante « Sensations Nutella » (Agnès Viénot), en 2006, « Concentré de Délices » (Marabout), puis, en 2009, « Sensations » (Ed. Minerva), une anthologie de la pâtisserie de 500 pages, avec 300 recettes et 180 photos de Jean-Louis Bloch-Lainé. Auteur, en 2007, du livre « Hors Jeux », cuisine et rugby : la rencontre au sommet (éditions de l’If), qui a réuni, à l’occasion de la coupe du monde de rugby en France, 45 grands chefs et 45 internationaux de rugby, avec des photos totalement décalées de Denis Rouvre, Philippe Boé a également écrit, en 2008, « Altitude 2300 m » (Glénat), primé aux Gastronomades d’Angoulême (Meilleur livre gastronomique de l’année), aux côtés de Jean Sulpice, l’ancien second de Marc Veyrat et chef 2* le plus haut du monde, au restaurant L’Oxalys, à Val Thorens (73). Fort de l’organisation du « Trophée Hors Jeux », le 1er tournoi de rugby des chefs qui a eu lieu le 1er octobre 2007 au Stade Français, Philippe Boé se consacre également à l’événementiel gastronomique. Fou d’images, Philippe Boé aide ainsi, chaque année, à l’organisation du Concours International de La Photo Culinaire à Oloron Sainte-Marie (64). N’oubliant pas qu’il a fait des études de cinéma avant d’intégrer une école de journalisme (l’IPJ, à Paris), Philippe Boé s’est lancé, depuis deux ans, dans l’enquête et l’écriture de documentaires pour la télévision. Co-auteur de « Suivez le Guide », un 52’ produit par Guy Job et réalisé par Jean-Pierre Petit, sur les coulisses du guide Michelin diffusé en mars 2009 sur France 5, il est également l’auteur de « La Revanche des Pâtissiers », produit par Martange Production et réalisé par J-P Petit : un documentaire de 90’ sur l’excellence de la pâtisserie Française qui a été diffusé sur France 5, en décembre 2010. En attendant de nouveaux films en 2011, comme celui sur le boom des surgelés, produit par Galaxie Presse, réalisé par Sylvie Aguirre et qui sera diffusé sur France 5 le 20 mars prochain. Membre de l’APCIG (Association Professionnelle des Chroniqueurs et Informateurs de la Gastronomie et du Vin) et Prix du Meilleur Journaliste gastronomique aux Gastronomades d’Angoulême en 2006, Philippe Boé a reçu, en 2010, le Prix Amunategui-Curnonsky du meilleur chroniqueur gastronomique de l’année.

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Les démonstrations de cuisine et présentation de producteurs Démonstrations de cuisine en direct animées par Vincent Poussard, animateur de l’École de Cuisine du Quai des saveurs, le Cercle Culinaire d’Aquitaine à Bordeaux.

Stéphane Carrade Chef 2* Chez Ruffet - Jurançon (2009)

Sébastien Bordenave Coustaret - La Route des Vins du Jurançon (2010)

Alberto Herraiz Chef 1* El Fogon - Paris (2009)

Yves Camdeborde Chef Le Comptoir du Relais - Paris et Vincent Poussard animateur École de Cuisine du Quai des Saveurs - Cercle Culinaire d’Aquitaine - Bordeaux (2010)

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Éric Ospital et Christian Etchebest Chef Le Troquet - Paris (2010)

Maïtena Erguy et Flora Mikula Chef (2010)

Jean-Yves Bordier et Sylvain Guillemot Chef L’Auberge du Pont d’Acigné - Noyal-sur-Vialine (2010)

Michel Berthommier et Mathieu Rostaing Tayard Chef Le 126 - Lyon (2010)

Le cocktail-dînatoire Après la remise des prix, un cocktail dînatoire s’est tenu sur les berges du gave d’Aspe avec les plus grands chefs aquitains qui ont offert aux invités des tapas et autres petites bouchées gourmandes créées dans leur maison à partir de produits de la région. Bonne humeur et convivialité étaient au rendez-vous de ce buffet qui s’est prolongé tard dans la nuit...

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OLORON SAINTE-MARIE

LA 4 ème ÉDITION

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La 4ème édition du Concours International de la Photo Culinaire Le Président de la 4ème édition

e qui frappe, en premier lieu, les esprits, pour qui rencontre Michel Troisgros pour la première fois, c’est l’incroyable gentillesse, le naturel profond et la grande simplicité que dégage ce cuisinier hors norme. Autant de qualités humaines, assez rares, finalement, chez un chef trois étoiles, mais qui, au fil du temps, ont su nourrir sa cuisine. Une cuisine d’auteur hypersensible, toute à la fois subtile et tonique, douce et foudroyante. Un peu à l’image de ce que, Michel goûtait, lorsqu’il était enfant, auprès de Mémé Forte, sa grand-mère maternelle, de l’autre côté des Alpes. Une cuisine italienne dans laquelle l’agre-dolce (l’aigre-doux) avait toute sa place. Cet univers de l’acidité et de l’acidulé, initié à Roanne (42) par Pierre, son père et Jean, son oncle, dans les années 1960-1970, Michel Troisgros deviendra ainsi, après la création du cultissime saumon Chef 3* à l’oseille, la marque de fabrique de la maison Troisgros. Une empreinte familiale dans laquelle Michel s’est glissé pour mieux la sublimer, en travaillant non plus seulement sur le rôle du vinaigre, du citron ou du vin, mais aussi sur celui des fruits (rhubarbe), de l’épine-vinette, du tamarin ou des fermentations, en prenant soin de traduire tout cela à travers deux ouvrages, d’ores et déjà essentiels pour qui aime la cuisine : La Cuisine acidulée (Le Cherche Midi, 2002) et Michel Troisgros et l’Italie (Glénat, 2009). Si, comme dans tant d’autres dynasties de ce genre, l’homme aurait pu se contenter de poursuivre l’aventure familiale dans la simple continuité de ce que les grands-parents, Jean-Baptiste et Marie Troisgros, ont créé en 1930, en achetant l'Hôtel-Restaurant des Platanes (rebaptisé Hôtel Moderne en 1935), en face de la gare de Roanne, aux frontières de la Bourgogne, de la Vallée du Rhône et de l’Auvergne, le long de la célèbre route nationale 7, Michel est parvenu à exister par lui-même, notamment en travaillant comme un forcené, en allant apprendre le métier chez les plus grands (Alain Chapel, Roger Vergé, Freddy Girardet, Michel Guérard) et en voyageant sans cesse, pour assouvir sa curiosité et sa soif d’apprendre. De l’Italie de son enfance au Japon actuel, en passant par un apprentissage dans les meilleurs restaurants de Londres, Bruxelles, New-York ou San Francisco (notamment Chez Panisse, d’Alice Waters), Michel Troisgros rapportera de ces différentes expériences multiculturelles tout ce qui fait aujourd’hui sa cuisine : un mélange d’influences et de goûts métissés articulés sur un socle de technique et de tradition culinaire française. Une cuisine identitaire qu’il a d’abord partagée avec son père, Pierre, suite au décès brutal de son oncle Jean, en août 1983, puis exercée définitivement en solo, depuis 1995. Après l’ouverture, à l’époque, du bistrot «Le Central», une annexe du restaurant gastronomique, la maison Troisgros s’est ensuite agrandie avec, en 2004, l’ouverture de «La Table du Lancaster» à Paris (1*), puis celle, en 2006, de son restaurant «Cuisine(s) Michel Troisgros» à Tokyo (2**), et enfin, en 2008, la création, à Iguerande (71), aux côtés de son épouse Marie-Pierre, de la «Colline du Colombier», une table simple et canaille (Le Grand Couvert) aménagée dans l’étable d’une ancienne ferme rénovée, avec, pour dormir, de jolies chambres installées dans la longère, mais aussi dans trois cadoles, autrement dit de véritables gîtes avant-gardiste construits sous forme de cabanes contemporaine sur pilotis, signées par l’architecte Patrick Bouchain et ouvertes sur la nature brionnaise. Passionné par l’architecture, le design et l’art pictural autant que par l’exigence du goût inhérent à son métier, Michel Troisgros n’a pas hésité une seconde quand on lui a proposé de présider le jury de cette 4ème édition du Concours International de Photo Culinaire. Car, comme il l’a confié au magazine Gmag de Laurent Séminel, en avril dernier, «j’ai longtemps cru que le bon était l’axe essentiel et que la forme était un souci qui venait à posteriori. En fait, je me rends compte que l’un induit l’autre. Je travaille donc en même temps le bon et le beau». À l’instar, par exemple, de son filet de rouget laqué façon Mondrian, quadrillé d’un rouge à la tomate piquante, d’un vert à l’oseille et d’un jaune au citron.

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Maison Troisgros

Le Central

La Colline du Colombier

Hôtel - Restaurant Place de la Gare 42300 Roanne

Restaurant - Épicerie 58 Cours de la République 42300 Roanne

Auberge - Gîtes 71340 Iguerande

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Les membres du jury 2011

Sophie Brissaud Journaliste Styliste Blog

Stéphane Davet Journaliste Le Monde

Sébastien Demorand Journaliste Le Parisien - RTL

François-Régis Gaudry Journaliste L’Express Styles Le Magazine

Richard Haughton Photographe

Laurent Jeannin Chef Pâtissier Restaurant Le Bristol

Florence Lécuyer Directrice éditoriale Éditions La Martinière - Minerva

Chihiro Masui Journaliste Auteur Japonaise

Franck Pinay-Rabaroust Journaliste Blogueur atabula.com

Sylvain Sendra Chef Cuisinier Restaurant Itinéraires

Freddy Thiburce Directeur Cercles Culinaires de France - Pôle Culinaire National des Produits Laitiers

Franck Tirlot Directeur M6 Éditions

Prix Concours International de la Photo Culinaire 1er prix : 6 000 euros (3 000 euros au photographe et 3 000 euros au chef cuisinier) 2ème prix « Trophée Pur Beurre » : 3 000 euros (1 500 euros au photographe et 1 500 euros au chef cuisinier)

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Les duos sélectionnés

Christophe Aribert (2* aux Terrasses d’Uriage, à Uriage les Bains (38) Pierre-François Couderc, photographe Pierre Caillet (au Bec au Cauchois, à Valmont (76) Paulina Jakobiec, photographe Sébastien Chambru (1* et MOF au Moulin de Mougins à Mougins (06) Claire Curt, photographe Frédéric Coiffé (à L’Aquitania, à Merignac (33) Alexandra De La Pierre, photographe Yannick Delpech (2* à L’Amphitryon, à Colomiers (31) David Nakache, photographe Nicolas Frion (1* au Chapon Fin, à Bordeaux (33) Philippe Exbrayat, photographe Stéphane Jego (à L’Ami Jean, à Paris) Nathalie Malric, photographe Fabrice Idiart (La Réserve à Saint Jean de Luz (64) Bastien Bonarme, photographe Johan Leclerre (MOF à La Maison des Mouette, à La Rochelle (17) Cyril Bernard, photographe Lionel Lévy (1* à Une Table au Sud à Marseille (13) François Moura, photographe Édouard Loubet (2* à La Bastide de Capelongue, à Bonnieux (84) Thomas Dhellemes, photographe Nicolas Masse (1* aux Sources de Caudalie, à Martillac (33) Matthieu Cellard, photographe Olivier Nasti (1* et MOF au Chambard, à Kaysersberg (68) Laurent Séminel, photographe Jean-Marc Notelet (chez Caïus, à Paris) Serge Detalle, photographe Nicolas Sale (1* à la Table du Kilimandjaro, à Courchevel (73) Marie-France Nelaton, photographe Oth Sombath (Restaurant Oth Sombath à Paris) Gérard Meloni, photographe Thierry Thiercelin (1* à la Villa Belrose, à Gassin (83) Laurent Saint Jean, photographe Davy Tissot (1* et MOF à la Villa Florentine, à Lyon (69) Philippe Barret, photographe Vincent Vervisch (au ER PU.RE, à Bruxelles, en Belgique) Anthony Florio, photographe Sylvestre Wahid (2* au Strato, à Courchevel (73) et à l’Ousteau de Beaumanière aux Baux de Provence (13) Nicolas Guinard, photographe

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ConfĂŠrence de presse Ă Paris, le 28 juin 2011 - Restaurant Oth sombath

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PRODUCTEURS OLORON SAINTE-MARIE 2011

arce que la photographie culinaire ne doit surtout pas se limiter aux photos figées de plats, mais révéler des hommes et des produits saisis dans leur environnement, il nous a semblé important de réunir, pour cette nouvelle édition 2011, les candidats cuisiniers aux côtés de producteurs, pêcheurs ou éleveurs aquitains, afin que les candidats photographes les surprennent dans leur milieu naturel, en compagnie de leurs produits. En faisant preuve d’originalité, de décalage, d’humour et d’élégance, les photographes devraient pouvoir apporter énormément d’humanité et de beauté dans cette nouvelle approche de la photo culinaire.

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Nouveauté 4ème édition

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Road Food Movie Aquitaine

Une seconde épreuve est donc créée pour le Concours 2011, destinée à valoriser l’ensemble des terroirs Aquitains : un véritable road movie grandeur nature, dans lequel les duos sélectionnés devront réaliser une photo réunissant :

un producteur Aquitain, son produit, le paysage aquitain, le chef du duo qui réalise cette épreuve. À partir des 21 duos candidats, seront donc réunis 21 chefs + 21 photographes + 21 producteurs, pêcheurs ou éleveurs + 21 produits, sur 21 lieux différents répartis sur l’ensemble des 5 départements aquitains (Gironde, Dordogne, Landes, Lot-et-Garonne et Pyrénées Atlantiques). L’épreuve partira de Gironde. Chaque duo aura à disposition une voiture, un GPS pour se rendre chez le producteur qui lui aura été attribué. Caroline Rostang et Sébastien Chabal

Des équipes de tournage TV pourraient suivre certaines équipes dans leur périple, en vue du tournage d’un film documentaire (52’). Les dix blogueurs finalistes du concours Blog pourraient compléter le dispositif pour réaliser le film du film : les amateurs photographieraient les trios (chef, photographe, producteur). Des journalistes pourront accompagner les duos pour réaliser des articles pour la presse nationale. Le jury, présidé par Richard Haughton, élira la photo gagnante du Road Food Movie à Oloron Sainte-Marie le 12 septembre prochain. Les photos seront cédées aux partenaires (sponsors, départements, filières, Conseil régional…). Épreuve soutenue par le Conseil Régional d’Aquitaine

Idée originale de Philippe Boé, journaliste. Photos de Denis Rouvre extraites du livre « Hors jeux »

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Gérard Merceron et Grégory Coutanceau

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Les membres du jury

e jury de cette nouvelle épreuve sera composé des photographes participant à ce Road Food Movie. Chacun votera pour un portrait qui ne sera pas le sien. Les résultats seront communiqués lors de la cérémonie de remise des prix, le lundi 12 septembre 2011.

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Richard Haughton Président Jury «Road Food Movie»

Damien Lafargue, photographe Emmanuel Esteban, photographe William Beaucardet, photographe José Luis Zuberia, photographe Donald Van Der Putten, photographe Marie-Pierre Morel, photographe Thibault Stipal, photographe Adeline Monnier, photographe Cédric Pasquini, photographe Christophe Beauregard, photographe Yves Bottalico, photographe Frédéric Radideau, photographe Olivier Marie, photographe François Poincet, photographe Emmanuel Pain, photographe Pierre-Emmanuel Rastoin, photographe Claude Prigent, photographe Laurent Clement, photographe Michel Slomka, photographe Hervé Lefebvre, photographe Christian Rerat, photographe

Prix «Road Food Movie» 1er prix : 6 000 euros (3 000 euros pour le chef / 3 000 euros pour le photographe) PRODUCTEURS

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Sillonneront les chemins du Sud-Ouest les duos suivants... Inaki Aizpitarte (Le Chateaubriand et le Dauphin à Paris) Damien Lafargue, photographe Merlu de ligne de Saint-Jean (64) - Anne-Marie Vergez Fabrice Biasiolo (Une Auberge en Gascogne, à Astaffort (47) Emmanuel Esteban, photographe Piment d’Espelette (64) - Pierre Diharce Yves Camdeborde (Le Comptoir du Relais Saint-Germain, à Paris) William Beaucardet, photographe Huître du Bassin d’Arcachon (33) - Joël Dupuch Mauro Colagreco (1* Mirazur à Menton (06) José Luis Zuberia, photographe Fromage d’Estive du Béarn (64) - Valérie Casabonne-Angla Christian Constant (1* au Violon d’Ingres, à Paris, et Le Bibent, à Toulouse (31) Donald Van Der Putten, photographe Bœuf de Chalosse (40) - Jean-Pierre Pussacq Sébastien Delaborde (La Cour de Rémi, à Bermicourt (62) Marie-Pierre Morel, photographe Cabécou du Périgord (24) - Isabelle et Franck Latournerie Cédric Denaux (L et Lui, à Saint-Paul-Trois-châteaux (26) Thibault Stipal, photographe Tomate de Marmande (47) - Jean-Pierre Allard Julien Duboué (Afaria et Dans les Landes, à Paris) Adeline Monnier, photographe Palombe (40) - Florian Houille (au Lieu Dit-Vin, à Hendaye (64) Cédric Pasquini, photographe Melon de Lectoure (47) - Denis Carlesso Franck Fresson (Pâtisserie Fresson à Jarny (54) Christophe Beauregard, photographe Fraise Mara des bois (47) - Cathy et Patrick Brousse Fabien Lefebvre (1* à L’Octopus, à Béziers (34) Yves Bottalico, photographe Canard du Sud-Ouest (24) - Bernard et Béatrice Minne Éric Guérin (1* à La Mare aux Oiseaux, à Saint-Joachim (44) Frédéric Radideau, photographe Saumon fumé de l’Adour (40) - Jacques Barthouil Sylvain Guillemot (L’Auberge du Pont d’Acigné, à Noyal sur Vilaine (35) Olivier Marie, photographe Huile vierge de noix du Périgord (47) - Jean-Claude et Frédéric Mouret Xavier Isabal (1* Ithurria, à Ainhoa (64) François Poincet, photographe Haricot maïs du Béarn (64) - Bernadette et Alain Cassagnau Patrick Jeffroy (2* à l’Hôtel de Carantec, à Carantec (29) Emmanuel Pain, photographe Volailles : caneton croisé, cailles, poulardes (64) - Pierre Duplantier

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Arnaud Lallement (2* à l’Assiette Champenoise, à Tinqueux (51) Pierre-Emmanuel Rastoin, photographe Agneau de lait des Pyrénées (64) - Jean-Marie Ocafrain Nicolas Magie (1* à la Cape et Ze Rock à Cenon (33) Claude Prigent, photographe Porc Ibaïona (64) - Éric Ospital Christophe Michalak (Chef Pâtissier au Plaza Athénée, à Paris) Laurent Clement, photographe Pêche Roussane (64) - Marie-Josée Casaubon Flora Mikula (à Paris) Michel Slomka, photographe Pruneau d’Agen (47) - Sébastien Larroque Michel Portos (2* au Saint-James, à Bouliac (33) Hervé Lefebvre, photographe Mertensia Maritima «Huître végétale du Bassin d’Arcachon» (33) - Hugues Le Cieux Michel Roth (Ritz, à Paris (75) Christian Rerat, photographe Caviar d’Aquitaine (33) - Michel Berthommier

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BLOG OLORON SAINTE-MARIE 2011

a photo culinaire étant désormais partout présente sur le web, avec un engouement sans précédent pour accompagner bien souvent une recette ou un repas pris dans un restaurant, il devenait logique et naturel d’ouvrir les portes d’Oloron Sainte-Marie à ces amateurs passionnés que sont les blogueurs.

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Nouveauté 4ème édition

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Prix de la meilleure photo culinaire «blog»

L’idée de ce nouveau concours est de faire participer à cet événement les blogueurs passionnés de cuisine en leur demandant de l’épreuve suivante :

Réaliser une recette originale spécialement pour l’événement (salée ou sucrée) et la photographier ! Suite au dépôt de nombreuses candidatures, une pré-sélection a permis d’en retenir 27. Elles ont été présentées au jury, présidé par Grant Symon, photographe de talent, le 11 juillet à Paris, composé de : Marie Anne Page, journaliste Déborah Dupont Daguet, Librairie Gourmande Pierre-Emmanuel Rastoin, photographe Arnaud Lallement, chef Ilhame Guerrah, chef pâtissière Coco Jobard, styliste culinaire Après délibération, le jury a retenu les 10 meilleures photos. Ces 10 blogueurs sont invités à suivre les duos du Road Food Movie Aquitaine le dimanche 11 septembre. L’annonce des trois premières photos récompensées sera faite lors de lacérémonie de remise des prix le lundi 12 septembre.

Blogueurs sélectionnés pour le Concours International de la Photo Culinaire «Blog» : Virginie Lalere, http://atasteofmylife.wordpress.com Thierry Le Balc’h, http://numnumbirdy.blogspot.com Edda Onorato-Pelosi, www.undejeunerdesoleil.com Steve Ho Tam Chay, www.steve-journal.com Cyrielle Thomas, www.carnetsparisiens.com Delphine Paslin, http://leplaisirdesmets.over-blog.com Florence Fouche, http://gourmandiseschroniques.blogspot.com Aki Hashimoto, http://blog.laccent.com Frédérique Chartrand, www.biorecettes.com Oksana Afanasyeva, http://pane-miele.blogspot.com

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assionnée de cuisine, Déborah Dupont est devenue, à moins de 30 ans, l’heureuse propriétaire de La Librairie Gourmande, référence mondiale en terme de librairie culinaire. Ouverte en 1985, la Librairie Gourmande est la plus importante librairie spécialisée gastronomie/oenologie au monde. 20 000 références en stock, dont de nombreux livres anciens avec quelques perles rares (Traité Curieux des Mouches à Miel, 1740). Chefs, étudiants, amateurs défilent dans ses rayons, à l’affût des nouveautés, d’ouvrages techniques et de livres anciens.

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Déborah Dupont Libraire et Blogueuse

www.librairiegourmande.fr

www.mercotte.fr

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Prix «Road Food Movie»

BLOG

1er prix : partenaire KENWOOD, sponsor officiel - 1 Robot Kenwood kMix Bayadère d’une valeur de 400 €. - 1 dîner « carte blanche » pour 2 personnes dans le restaurant de l’un des chefs sélectionnés. Le nom du restaurant sera dévoilé à l’occasion de la remise des prix d’une valeur de 200 €. - 1 dotation en livres de cuisine des membres du jury et / ou candidats d’une valeur de 200 € par la Librairie Gourmande. - 1 invitation pour participer au Road Food Movie avec le duo de son choix. 2ème prix : partenaire All CLAD - 1 poêlon à beurre et 1 saucier 17 cm de la gamme Copper Core Premier Cuivre (compatible induction) d’une valeur de 400 €. - 1 dîner « carte blanche » pour 2 personnes dans le restaurant de l’un des chefs sélectionnés. Le nom du restaurant sera dévoilé à l’occasion de la remise des prix d’une valeur de 150 €. - 1 dotation en livres de cuisine des membres du jury et / ou candidats d’une valeur de 150 € par la Librairie Gourmande. - 1 invitation pour participer au Road Food Movie avec le duo de son choix. 3ème prix : Lartigue 1910 - 1 sélection de linge basque (Nappe 300/160 - 12 serviettes - 2 plateaux 1 sac shopping)d’une valeur de 300 €. - 1 dîner « carte blanche » pour 2 personnes dans le restaurant de l’un des chefs sélectionnés. Le nom du restaurant sera dévoilé à l’occasion de la remise des prix d’une valeur de 150 €. - 1 dotation en livres de cuisine des membres du jury et / ou candidats d’une valeur de 100 € par la Librairie Gourmande. - 1 invitation pour participer au Road Food Movie avec le duo de son choix.

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OLORON SAINTE-MARIE 2011

PARTENAIRES

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Le beurre, un partenaire de goût et son « Trophée Pur Beurre » Après avoir parrainé le Concours International de La Photo Culinaire en 2008, « Le beurre, provocateur de goût » continue à récompenser les meilleures photos dont les recettes sont réalisées avec du beurre. En 2010, nous avons imaginé un tout nouveau prix pour récompenser la photo de l’inspiration créative pour une recette à base de beurre. La photo sélectionnée par le jury a obtenu une dotation de 3000 euros à partager entre le chef et le photographe. La photo des lauréats sera promue en quatrième de couverture d’un des prochains carnets d’inspiration culinaire édité par le Cniel - Cercles Culinaires de France.

À chaque édition, un nouveau trophée « Fondés à l’initiative des professionnels du lait pour développer les cours de cuisine pour tous, les Cercles Culinaires de France du Cniel (Centre National Interprofessionnel de l’Économie Laitière) sont également les ambassadeurs de la cuisine au beurre ! Depuis plusieurs années, nous mettons en valeur les grands chefs dans leur capacité à imaginer des recettes créatives. Celles qui sont au cœur des tendances et qui épousent les goûts de l’époque. Grâce aux chefs, le beurre devient source d’inspiration culinaire, et se façonne, se parfume, s’infuse, s’émulsionne, se texture... Le beurre inspire une cuisine libre, il est la signature des plus talentueux ! » déclare Freddy Thiburce, Directeur des Centres Culinaires de France. À Oloron Sainte-Marie, il en est tout naturellement de même pour le Concours International de La Photo Culinaire. Plus que jamais, le beurre se veut provocateur de goût ! Photo gagante Trophée Pur Beurre 2010 Par Éric Séminel, photographe et Yves Camdeborde, Chef Comptoir du Relais - Paris

Le beurre fait son show Le beurre est également au menu des démonstrations de la soirée de gala avec une animation en tandem de Jean-Yves Bordier, orfèvre du beurre, et de Sylvain Guillemot, chef de l’Auberge du Pont d’Acigné (photo ci-dessous). Le cocktail dînatoire a permis de découvrir des tapas et mini-bouchées beurrées. D’autres animations autour de « La Table des Beurres » ont offert au public l’opportunité de devenir des... créateurs de beurre !

Pour en savoir plus : www.cercleculinaire.com Professionnels : Freddy Thiburce fthiburce.cniel@cercleculinaire.fr Presse : Christophe Spotti cspotti@cniel.com 46


Le piano froid Maestro

Bonnet, acteur majeur de l’équipement de grande cuisine en France et à l’international développe un piano froid Maestro. Ce piano associe des moteurs de cuisson électriques, dégageant très peu de chaleur. Graphique, épuré, il permet de nouvelles sensations de travail. Le piano froid accompagne l’évolution des mentalités en cuisine. Aujourd’hui, les chefs aspirent, pour eux et pour leur brigade, à un plus grand confort de travail. De plus, ils recherchent des équipements qui leur permettent de gagner du temps, notamment au niveau du nettoyage, et de réaliser des économies d’énergie. Enfin, ils exigent un matériel précis, puissant et bien pensé.

Le confort Alors que la cuisine est traditionnellement caractérisée par une forte chaleur ambiante et par un environnement encombré, le piano froid ne dégage pas de chaleur rémanente et son design épuré rend la cuisine plus ouverte, améliorant ainsi les échanges et l’organisation des équipes.

La réduction des coûts de main d’œuvre et de la consommation d’énergie Parce qu’il redescend très vite en température, les risques d’accident sont diminués, et le nettoyage du piano peut être entamé dès la fin du service. Ce nettoyage est fait plus rapidement puisque les éléments sont lisses. Le temps gagné peut aller jusqu’à une heure par service ! Par ailleurs, la baisse significative de la température en cuisine réduit la puissance de l’extraction nécessaire (réduction estimée à une division par 9), ce qui représente une réduction de coût substantielle.

La puissance et la précision Enfin, les éléments qui composent ce piano bénéficient d’innovations technologiques : la vraie plaque coup de feu à induction, la plancha tepaniaki chromée, la friteuse affleurante… chacun ayant pour vocation de garantir précision et rapidité de cuisson.

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All-Clad : le choix des professionnels

Là où se transmet l’excellence... Depuis 40 ans, All-Clad ne cesse d’innover et d’élever sa maîtrise dans le multi-pli pour offrir les meilleurs ustensiles de cuisson. Créés avec des professionnels, All-Clad a su convaincre les plus grands chefs. All-Clad équipe les cuisines de l’Institut Paul Bocuse, la prestigieuse école de cuisine française. Les ustensils fabriqués par All-Clad s’avèrent être les préférés de l’International Culinary Center (Centre Culinaire International), nouveau centre qui réunit plusieurs écoles de cuisine, dont le French Culinary Institute. All-Clad est le partenaire officiel du « Roux Scholarship », la première compétition de jeunes chefs du Royaume-Uni et l’une des plus prestigieuse au monde.

All-Clad partage la passion de l’excellence qui anime tous les chefs et professeurs, qui, intensément, se sentent investis d’une mission de transmission envers les plus jeunes.

À la recherche de l’excellence All-Clad est partenaire officiel du Bocuse d’Or, le plus prestigieux concours international de cuisine dans lequel s’affronte 24 pays. All-Clad est partenaire officiel des Relais & Châteaux et fier de s’associer au « Rising Chef Trophy » qui met à l’honneur les jeunes chefs dont l’inventivité, l’imagination et l’engagement généreux les assurent de devenir les grandes signatures de la gastronomie mondiale. All-Clad est le sponsor du « Canadian Chef’ Congress » (congrès des chefs canadiens). All-Clad s’associent depuis plusieurs années au lancement annuel du célèbre guide gastronomique France Gault et Millau. À cette occasion, le trophée All-Clad est décerné au Cuisinier de l’année nommé par Gault et Millau, « découvreur de talents » depuis sa création.

La mission d’All-Clad : être le partenaire de confiance et d’exigence des chefs, au cœur de la grande aventure gastronomique. Contact : Yannick Besson Chef de marché All-Clad Tél. +33 (0)4 78 78 67 76 Mob. +33 (0)6 80 47 44 62 ybesson@fr.groupeseb.com

www.all-clad.fr

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Tissages Lartigue

Savez-vous qu’en Pyrénées Atlantiques, à deux pas d’Oloron Sainte-Marie, la famille Lartigue, tisserands depuis plusieurs générations, lance sa nouvelle marque de linge basque LARTIGUE 1910 ? Cela fait plus d’un siècle que Calixte Lartigue a établi son atelier au pied des Pyrénées pour utiliser la force motrice de l’eau et développer ainsi la création de toiles à espadrilles. Ses descendants perpétuent depuis la tradition de ce tissage inspiré des “Mantes à bœufs“, toiles utilisées jadis pour protéger les bêtes de la chaleur et des insectes. La collection offre une large variété de linge de maison (coton ou métis) agrémentée de rayures correspondant aux 7 provinces basques (3 françaises et 4 espagnoles). Les fils de coton, de lin ou de chanvre, restés naturels, sont toujours travaillés avec autant de soins pour garantir la qualité de toute la gamme des produits LARTIGUE 1910 : nappes, chemins et sets de table, corbeilles à pains, sacs, torchons, tabliers, coussins, espadrilles…qui se déclinent en une multitudes de couleurs ensoleillées, pour des ambiances chaudes et colorées à l’intérieur, comme à l’extérieur de la maison. Aujourd’hui, Philippe Lartigue élargit et réactualise la production. Son souhait est de conserver un savoir faire dans sa région d’origine, le Sud Ouest, en proposant des produits de qualité, confectionnés sur place dans un souci de développement durable. Respectant la tradition, sa nouvelle collection allie coloris actuels, élégance, et originalité pour répondre à toutes vos envies.

Contact : Philippe Lartigue 2, avenue Georges Messier 64400 Bidos Tél. 05 59 39 50 11

tissages.lartigue@wanadoo.fr

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Foie gras Rougié

Un partenariat de longue date avec les professionnels Chez Rougié, à Sarlat, au cœur de la magnifique région du Périgord, nous marions tradition et innovation depuis 1875 pour proposer les meilleurs foies gras d’oie et de canard. Le foie gras est le joyau dans la couronne des ingrédients de luxe de la haute cuisine française, avec la truffe à laquelle il est souvent associé. Emblème de la culture culinaire française, le foie gras montre pourtant par son histoire millénaire, un caractère universel. Déjà savouré par les égyptiens, adoré dans l’ensemble du monde gréco-romain, le foie gras, après une période discrète, renaît en France au XIVème siècle, dans le Sud-ouest particulièrement. Cette universalité est reconnue aujourd’hui par les chefs qui dans le monde entier l’intègrent à une cuisine, non seulement traditionnelle mais surtout bien contemporaine. En s’adaptant aux expérimentations gastronomiques les plus osées, le foie gras montre sa modernité et son caractère irremplaçable. Une belle locomotive pour tous les autres produits nobles de l’oie et du canard, les magrets et autres confits qui font naître des étincelles dans les yeux de tous les épicuriens. Rougié, en respectant un savoir faire qualitatif et en maintenant des liens forts avec les professionnels de la haute gastronomie de part le monde, est naturellement la grande référence du secteur.

Rougié est le partenaire fondateur de la Bocuse d’Or Winners’ Academy.

La formation : une progression vers la perfection Ouverte en 2008, l’école du foie gras Rougié est une référence incontournable en matière d’expertise pour ce noble produit qu’est le Foie Gras ! Les stages se déroulent sur deux jours. Jean-Luc Danjou assure cette formation et invite un grand chef pour la deuxième journée afin de partager avec les stagiaires sa créativité autour du foie gras.

Les partenariats L’école du Foie Gras étend ses partenariats dans le monde. Après la prestigieuse université culinaire At-Sunrice Chef Academy de Singapour début 2009, de nombreuses grandes écoles de cuisine ont décidé de créer des modules spéciaux sur le travail du Foie Gras en partenariat avec notre école. Il s’agit d’abord, toujours en Asie, de l’école HITDC, la plus belle institution culinaire de Hong Kong, Enderun Colleges au Philippines, ALMA en Italie, TSUJI au Japon...

Contact : Pascal Schneider-Maunoury Directeur Marketing Tél. +33 (0)5 59 77 78 00 pascal.schneider@euralis.fr

www.rougie.com 50


Montfort

La marque Montfort est née dans le Sud-Ouest, en plein cœur de la production du canard à foie gras. Depuis, Montfort a toujours conservé le lien avec sa terre et partagé sa passion du canard, en le faisant découvrir sous toutes ses formes, de la plus traditionnelle à la plus étonnante, de la plus élaborée à la plus accessible.

Les garanties Montfort Le Sud-Ouest est la terre d’origine des Foies Gras d’excellence. Par l’estampille «Indication Géographique Protégée», Montfort certifie cette provenance reconnue. De plus, avec sa garantie « Producteur Identifié » Montfort met ses producteurs à l’honneur ! Sûre de son savoir-faire et forte de son appartenance à la Coopérative Euralis, elle est fière de faire figurer sur ses produits, le nom et l’adresse de l’éleveur. Agriconfiance, c’est un lien direct entre le consommateur et les producteurs de la coopérative Euralis. Montfort s’est engagée dans cette démarche dès 2001. Elle engage à la fois les producteurs et les salariés de la coopérative. Elle couvre l’ensemble de la chaîne de production, de l’élevage jusqu’au produit transformé, par la mise en place de normes d’élevage, puis de programmes d’assurance qualité et de protection de l’environnement.

Les gammes Montfort La création a besoin d’une source d’inspiration. En matière de gastronomie le Sud-Ouest est inépuisable ! Montfort est héritière de cette tradition culinaire et s’attache à perpétuer ses valeurs fondamentales : l’authenticité et l’amour du travail bien fait. «Nos foies gras sont façonnés et assaisonnés à la main avec soin». Ce solide héritage, Montfort le transcende pour offrir de nouvelles sensations gastronomiques avec ses torchons et ses terrines à l’ancienne, son foie gras au Champagne et 2 Poivres, ses pétales et chiffonnades de magrets fumés ou séchés, ses foies gras prétranchés, ses confits, ses magrets extra tendres... Montfort sait aussi bousculer les habitudes pour mieux bouleverser vos papilles... Toujours à l’avant-garde des saveurs, Montfort propose des innovations majeures. Les dernières viennent enrichir la gamme «Prestige» : un torchon de foie gras de canard entier au Sel de Guérande et poivre de Sichuan et une terrine marinée au Sauternes et poivres. Une collection qui fera référence dans l’univers du Foie Gras, sans oublier la gamme «Mon Foie Gras Facile!» au rayon cru qui propose des produits pratiques et faciles d’utilisation pour accompagner les consommateurs avec pédagogie. Montfort c’est aussi, de nombreuses recettes de Plats Cuisinés et d’aides culinaires qui allient praticité et rapidité d’utilisation à retrouver au rayon «Épicerie». Depuis le début du printemps, Montfort a enrichie sa gamme «Viande de canard» avec des brochettes au magret de canard, un magret de canard sauce barbecue, un cœur de magret de canard séché aux poivres et bien d’autres recettes à savourer à deux ou entre amis ! Produits à retrouver en grandes et moyennes surfaces.

www.montfort.com

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L’esprit KENWOOD, une histoire de robots stars

N °1 EN PR ÉPA R ATION C U LIN A IR E

Depuis 60 ans, KENWOOD propose des robots ménagers qui associent habilement design et performances techniques. Toujours aussi dynamique, la marque n’a de cesse d’innover dans la préparation culinaire.

En 1947, Mr. Kenneth Wood invente un nouveau grille-pain électrique suivi rapidement d’un mixeur-batteur, puis crée une petite révolution dans le monde de la cuisine, en inventant le KENWOOD CHEF. La philosophie de Kenneth Wood est simple : les produits KENWOOD doivent être beaux, solides, faciles à utiliser et à entretenir, afin de répondre aux vrais besoins des consommateurs. Dès le début, pour présenter le produit et donner envie aux consommatrices d’utiliser ce robot révolutionnaire, Kenneth Wood sillonne les routes avec sa « camionnette » de démonstration. Présenté avec succès lors du salon « Ideal Home » à Londres. Il se vendit chez Harrods tout de suite à 200 exemplaires en un temps record. Sa réputation grandit très vite et le Chef fut exporté à travers le monde. KENWOOD devient très vite l’expert en robots culinaires avec son « CHEF » dont le système novateur est unique : quatre sorties moteur avec une vitesse de rotation différente pour chacune d’elles. De quoi réussir rapidement et brillamment une infinité de préparations ! À partir des années 60, la marque fait appel au designer Kenneth Grange qui saura donner naissance au style KENWOOD en mettant l’accent sur les lignes et les matériaux nobles comme l’inox et le verre. Grâce à son design et à son niveau de qualité, la marque devient un acteur incontournable de l’équipement électroménager. En 2009, l’arrivée du plus évolué de tous, le Cooking Chef, va encore simplifier la vie. Mélanger, pétrir, fouetter, râper, émincer … tout le savoir-faire KENWOOD avec la cuisson en plus.

À ce jour, plus de 10 millions de KENWOOD CHEF ont été vendus dans plus de 100 pays à travers le monde. Les robots KENWOOD sont réputés pour leur qualité et leur fiabilité. Certains robots vendus dans les années 50 fonctionnent toujours ! Aujourd’hui Leader européen dans la préparation culinaire et leader sur le marché des robots combinés en France, KENWOOD conserve plus que jamais ses valeurs premières : Qualité, Design, Innovation.

Contact : Agence CommuniClaire Claire de La Villemarqué - Amandine Avidano 33 rue de Surène - 75008 Paris Tél. 01 40 74 03 06 amandine@communiclaire.net

www.kenwood.fr www.cookingchef.fr

www.communiclaire.fr 52


De’Longhi

De’Longhi, leader mondial dans les machines espresso, leader en Europe sur le marché des robots café, innove sans cesse et lance en France à l’automne 2011 deux nouveautés. Alliant Design, Technologie et Simplicité, De’Longhi signe la rencontre entre innovation et émotion, raffinement et bien-être et offre le plaisir intense d’un véritable espresso.

PrimaDonna S De Luxe : un concentré d’excellence et de technologie Son corps entièrement métal, son aspect compact aux lignes épurées et aux formes modernes séduira à la fois les amateurs de café et d’art de vivre à l’italienne. La PrimaDonna S De Luxe permet d’obtenir un espresso sur mesure en réglant l’ensemble des paramètres nécessaires à la réalisation d’un espresso parfait : température, quantité de café, d’eau ou de lait, finesse de la mouture, force, longueur …

Lattissima « + », nouvelle machine Nespresso De’Longhi Depuis 5 années, le nom Lattissima est établi et reconnu. La technologie De’Longhi au service du design Nespresso.Ce concept de machine est dédié aux amateurs de café de haute qualité agrémenté d’une note de lait frais, qui désirent contourner les aléas de sa préparation tout en respectant les règles de l’art du café à l’italienne. Plus compacte, plus écologique, plus silencieuse, plus simple d’utilisation... pour un résultat parfait.

www.delonghi.fr

Contact : Agence CommuniClaire Claire de La Villemarqué - Amandine Avidano 33 rue de Surène - 75008 Paris Tél. 01 40 74 03 06 amandine@communiclaire.net

www.communiclaire.fr 53


Les deux adresses de Nicolas Magie

La Cape* 9, allée de la Morlette 33150 Cenon

Nicolas Magie Après cinq ans passés à Paris, Nicolas Magie a choisi de revenir sur ses terres en 1999. Sans un sou, ce jeune chef fou de rugby rachète alors, à Cenon, dans la banlieue populaire de Bordeaux, la maison d’un particulier au détour d’un parking de supermarché pour la transformer de fond en comble en restaurant La Cape. Surdoué et profondément humain, Nicolas Magie est vite devenu la coqueluche des Bordelais. Grâce notamment au meilleur rapport qualité-prix-plaisir de tout l’hexagone, récompensé par une improbable étoile, mais ô combien méritée, en 2003. Imaginatif, sensible et d’une exigence rare, ce jeune chef voue une véritable passion pour les produits de sa région et de l’Espagne voisine, qu’il met en scène avec un sens aigue de la sobriété, dans une cuisine épurée et aux goûts francs et typés. Au cœur d’un complexe dédié aux cultures et musiques du monde, Nicolas Magie a ouvert, en septembre dernier, une seconde adresse dans l’agglomération bordelaise. Ze Rock fait référence au Rocher de Palmer, un complexe musical à l’architecture singulière signé Bernard Tschumi. Le chef d’orchestre de ce bistrot n’est autre qu’Émilien Magie, le frère de Nicolas et au piano, celui qui fut son second durant sept ans à La Cape, Thomas Brasleret.

Ze Rock 1 bis, rue Aristide Briand 33150 Cenon

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Le Conseil Régional d’Aquitaine

L’agriculture et l’agroalimentaire en Aquitaine sont synonymes de diversité et de qualité. Avec 5 départements, une mosaïque de paysages et de climats, l’Aquitaine a en effet développé de grands secteurs d’activités agricoles et la fabrication de produits haut de gamme. L’agriculture, l’agroalimentaire, la sylviculture (forêt) et la filière halieutique (mer) totalisent 175 000 emplois et 14 milliards d’euros de chiffre d’affaires. L’un des principaux enjeux de l’Aquitaine est le maintien de l’ensemble de ce secteur de manière durable : économie, emplois, qualité des produits et respect de l’environnement.

Les produits d’Aquitaine, des émotions naturelles La notoriété des produits aquitains puise sa source dans la richesse de terroirs spécifiques, servis par un climat privilégié et valorisés par une constante amélioration du savoir-faire. Au-delà de la célébrité mondiale de ses crus viticoles, cette notoriété de haute qualité s’appuie sur des mets savoureux comme le foie gras du Sud-Ouest, le jambon de Bayonne, les volailles fermières des Landes, les huîtres Arcachon Cap Ferret, le pruneau d’Agen… et bien d’autres produits pour le plaisir des gourmets.

Des chefs de cuisine qui portent les valeurs de l’Aquitaine En Aquitaine, l’art du bien manger se cultive naturellement. Les plaisirs de la table ont une place de choix tant dans le quotidien d’une cuisine familiale, que dans le haut de gamme d’une table gastronomique. L’Aquitaine a su attirer de nombreux grands chefs qui portent haut et fort les valeurs régionales, en associant leur créativité et leurs compétences avec les meilleurs produits de la région.

Retrouvez les produits et les recettes de la région Aquitaine sur www.gastronomie.aquitaine.fr

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Les Étangs de Corot Véritable havre de paix à seulement 15 minutes de Paris, l’hôtel Les Etangs de Corot, accomplit aujourd’hui un véritable renouveau en devenant un lieu de ressourcement à part entière, échappatoire le temps d’une après-midi ensoleillée ou d’un week-end prolongé pour quitter le stress des grandes villes et la réalité du quotidien. L’ouverture du spa Vinothérapie® Caudalie, ainsi que l’arrivée d’un grand chef au Restaurant Le Corot et au Café des Artistes, marquent en effet une nouvelle ère. L’ensemble de l’hôtel devient ainsi une invitation au bien-être, à la sérénité et au plaisir. Arts des soins et arts de la table se mêlent avec la même ambition : procurer à chacun la sensation d’avoir vécu un moment hors du temps. Les Etangs de Corot sont désormais l’endroit idéal pour venir se ressourcer et choyer ses cinq sens. Cuisine innovante, soins relaxants, Les Etangs de Corot proposent d’associer repos salvateur et plaisir enivrant dans un cadre véritablement dépaysant, en pleine nature. Le temps d’une escapade au bord de l’eau, il est possible de se plonger en plein coeur d’un paysage aux accents impressionnistes… Le « voyage immobile » : offrir la possibilité de s’évader Alice et Jérôme Tourbier ont conçu Les Etangs de Corot comme une invitation au « voyage immobile ». Un voyage privilégié qui représente selon eux le luxe suprême : la possibilité de se dépayser sans se déplacer ; de quitter le monde urbain et le monde réel en seulement quinze minutes. Il s’agit alors de voyager sans les inconvénients du décalage horaire ni les contraintes d’un long déplacement, à l’heure où la sensibilisation aux énergies renouvelables, aux économies d’énergies est prégnante et influe sur les façons de se déplacer. Plus qu’un concept, les Etangs de Corot répondent à une tendance en devenir : redécouvrir les alentours proches de son lieu de vie.

Contact : Les Étangs de Corot 55, rue de Versailles 92410 Ville-d’Avray Tél. +33 (0)1 41 15 37 00

www.etangs-corot.com

Les Sources de Caudalie Un monde unique et dépaysant, à quelques minutes du coeur de Bordeaux. Les Sources de Caudalie trônent au coeur des vignes, dans un écrin de bois et forêt, comme un cadeau du ciel à quelques minutes du centre de Bordeaux. Véritable hameau, comme il en existe tant en Aquitaine, Les Sources de Caudalie ont été construites en harmonie avec l’environnement proche. L’architecte Yves Collet imagina un ensemble d’une conception contemporaine enrichi de matériaux et de structures de récupération pour ajouter encore à l’identité aquitaine. L’établissement propose des prestations de grande qualité avec un restaurant gastronomique étoilé tenu par le Chef Nicolas Masse qui a rejoint Les Sources de Caudalie en juillet 2009 et un Spa Vinothérapie®, élu parmi les meilleurs spa du monde par les lecteurs de Condé Nast Travellers. Dix ans après l’ouverture des Sources de Caudalie, Alice et Jérôme Tourbier ont su faire de cet établissement l’un des plus prestigieux du monde viniviticole et l’une des tables les plus en vue de la région.

Contact : Les Sources de Caudalie Chemin de Smith Haut Lafitte 33650 Bordeaux-Martillac Tél. +33 (0)5 57 83 83 83

www.sources-caudalie.com

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Château Smith Haut Lafitte La propriété d'un seul tenant est située sur une butte dont 67 hectares plantés en vignes et recouverte de graves "Günziennes" qui offrent deux particularités étonnantes : un drainage naturel du sol qui oblige les racines des ceps à aller chercher l'eau et les sels minéraux à plus de six mètres de profondeur, et un "effet miroir" du soleil, qui, en se reflétant sur les cailloux composant la grave, aide au mûrissement et à l'épanouissement du raisin. Dès 1365, la maison noble du Bosq avait choisi ce terroir pour exploiter un vignoble. Puis au XVIIIème siècle l'Ecossais George Smith acheta le domaine, lui accola son nom, bâtit la Chartreuse et exporta vers l'Angleterre sur ses vaisseaux, les barriques déjà renommées. En 1842, M. Duffour-Dubergier, maire de Bordeaux mais aussi viticulteur passionné, hérita de sa mère le château Smith Haut Lafitte et en fit un Grand Cru. Au début du siècle la Maison Louis Eschenauer se rendit compte de l'exceptionnelle qualité de ce vin et en assura la diffusion, pour finir en 1957 par acheter la propriété. Depuis cette époque, d'importants investissements ont été effectués, notamment la construction d'un superbe chai souterrain qui permet d'élever en même temps plus de 1 000 barriques. En 1990, Daniel CATHIARD tombe à son tour amoureux du vignoble et s'inscrit dans la prestigieuse lignée des propriétaires avec la ferme intention de continuer à valoriser ce noble cru : sa recherche permanente de l'excellence le conduit à manier harmonieusement les techniques les plus modernes de vinification avec les méthodes traditionnelles : sols vivants, compost organique, retour aux petites cuves en chêne, élevage sur lies en barriques... Sans aucun doute, l'élégance exemplaire des vins rouges de Smith Haut Lafitte ainsi que le bouquet sophistiqué de son blanc renommé dans le monde entier méritent ces soins quotidiens.

Contact : Château Smith Haut Lafitte 33650 Bordeaux-Martillac Tél. +33 (0)5 57 83 11 22

www.smith-haut-lafitte.com

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La Librairie Gourmande

Depuis 1985, la Librairie gourmande est aux côtés des élèves, enseignants, professionnels de la gastronomie et amateurs de cuisine pour les accompagner chaque jour en leur proposant la plus grande offre de livre de cuisine et d’œnologie. Les collectionneurs de livres de cuisine seront conquis par la diversité de l’offre proposée. Livres rares ou anciens ou actuels, magazines spécialisés, et bien évidemment l’ensemble des parutions dans tous les domaines de la cuisine : arts de la table, livres de chefs, cuisine générale, cuisine régionale française, cuisine du monde, pâtisseries et dessert, livre pour enfants, œnologie, boissons et cocktails, et même littérature et histoire, sans oublier les mangas et autres bandes-dessinées...

La Librairie Gourmande 92/96 rue Montmartre 75002 Paris33150 Tel. : +33 1 43 54 37 27 Fax. : +33 1 43 54 31 16 Ouverte du lundi au samedi de 11h à 19h Fermée les dimanches et jours fériés Métros : Sentier (L3), Etienne Marcel (L4), Grands Boulevards (L8 et 9)

www.librairiegourmande.fr/boutique/

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Epson

Epson est heureux de se joindre à la 4e édition du Concours International de la Photographie Culinaire. L’association des ces deux arts, photographie et gastronomie, si différents de premier abord partagent ici le même esprit créatif et le goût de l’esthétique. Pour immortaliser cet événement, Epson met à disposition des participants, une imprimante professionnelle afin de matérialiser sous forme de tirage d’art, ces instants magiques.

À propos d’Epson Epson est un leader mondial de l’imagerie et de l’innovation qui conçoit des technologies compactes, peu consommatrices d’énergie et de haute précision permettant de dépasser les attentes et visions de ses clients dans le monde entier. Sa vaste gamme de produits s’étend des imprimantes et projecteurs 3LCD pour le bureau et la maison, jusqu’aux composants électroniques et à cristaux liquides. Conduit par sa maison-mère Seiko Epson Corporation basée au Japon, le groupe Epson emploie près de 75 000 salariés dans son réseau mondial de 100 entités, et est fier de son engagement constant dans la protection de l’environnement, ainsi que de sa contribution à la vie locale sur ses sites d’implantation.

Pour plus d’informations Visitez les sites : www.epson.fr http://eco.epson.com

Crédit photo : Photo : © Grant Symon - 2011 Plat : Michel Roth - Hôtel Ritz Paris

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Milk Factory

Milk Factory, espace de création de la collective des produits laitiers. La Milk Factory, laboratoire de création de la collective des produits laitiers, ouvre ses portes au 5 rue Paul Bert, Paris XI. L’espace de 60 m², est conçue comme une galerie éphémère (24 mois) qui accueillera expositions, évènements, dégustations et rencontres autour des produits laitiers. Mêlant art culinaire et expressions plastiques contemporaines, la Milk Factory est imaginée comme un laboratoire d’idées permettant la confrontation de disciplines et de regards. La Milk Factory positionne art et design comme vecteur de modernité, de développement et d’innovation. Elle invite artistes, designers, chefs, chercheurs de tous horizons à travailler ensemble autour de projets liés aux produits laitiers, à l’alimentation d’aujourd’hui et de demain. La Milk Factory s’attache à défendre les créateurs dont le travail s’ancre dans des pratiques ou des procédés qui ouvrent des perspectives nouvelles et souhaite partager ces nouvelles approches avec un large public. Au gré d’expositions, évènements, la Milk Factory est un lieu d’échange et de dialogue entre le public, les créateurs, designers, artistes, chefs, professionnels de la filière laitière ainsi que les médias. C’est un espace de création contemporaine qui permettra de découvrir, apprendre, réfléchir, ouvrir de nouvelles perspectives; et un site d’information créative sur les produits laitiers.

Milk Factory 5 rue Paul Bert 75011 Paris

www.lamilkfactory.com

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Communauté de Communes du Piémont Oloronais

Au cœur du Haut-Béarn, Au confluent des gaves, Aux portes des vallées d’Aspe, d’Ossau et de Barétous… Situation La Communauté de communes du Piémont Oloronais (CCPO) est constituée de 24 communes, regroupant environ 25000 habitants, avec Oloron Sainte-Marie (11000 habitants) comme ville-centre. Bien qu’enclavé, le Piémont est un lieu historique de passage et d’échange situé sur l’axe Nord-Sud, entre Pau et l’Espagne. A équidistance de Bordeaux, Toulouse et Saragosse, le territoire bénéficie indirectement d’infrastructures de transports situées à une trentaine de kilomètres : aéroport de Pau, autoroutes A64 et A65.

Un environnement privilégié Tout proche du Pays basque, c’est aussi la porte d’entrée des trois vallées du Barétous, d’Aspe et d’Ossau (Parc National des Pyrénées), à moins d’une heure des pistes de ski. Au pied des Pyrénées, le Piémont Oloronais présente un paysage vallonné façonné par les gaves. La nature omniprésente offre un cadre privilégié pour les amateurs : - de pêche (gave d’Oloron classé axe bleu pour les migrateurs) - de randonnée (réseau de sentiers balisés du Piémont pour piétons, cavaliers et VTTistes, proximité des vallées dominées par le pic du midi d’Ossau 2 884m, voie d’Arles vers Saint-Jacques de Compostelle) - de faune et de flore, - et de tous les sports de montagne et d’eaux vives.

Un patrimoine aux multiples attraits Diversité des paysages, patrimoine historique et architectural, héritage industriel, traditions et fêtes populaires… le Piémont Oloronais recèle de nombreux atouts qui invitent à découvrir un territoire aux multiples visages. Cette richesse du patrimoine, le Piémont Oloronais la partage avec les vallées voisines avec qui il a engagé une démarche de développement dans le cadre du futur label "Pays d'art et d'histoire, Pyrénées béarnaises ". Ce label décerné par le Ministère de la culture viendra s'appuyer sur l'expérience d'Oloron Sainte-Marie, "Ville d’art et d’histoire" depuis 2007 et l'ouverture d'un Centre d’Interprétation de l’Architecture et du Patrimoine (CIAP), porte d’entrée et vitrine du territoire.

Terre de culture(s) À Oloron Sainte-Marie, la culture se décline sur tous les tons et tous les modes d’expression. Festival de jazz, programmation éclectique de "Quartiers d’été", arts plastiques, Carnaval… À la belle saison, les villages alentour organisent diverses manifestations valorisant les produits du terroir et les savoir-faire artisanaux sans oublier les incontournables fêtes locales et la célèbre Garburade. L'action culturelle de la Communauté de Communes du Piémont Oloronais porte sur 3 axes principaux : le spectacle vivant, la lecture publique et l’accès à la connaissance, la valorisation et l’animation du patrimoine. Elle s’appuie sur plusieurs structures, notamment l’Espace Jéliote, salle de spectacles gérée par le Service Spectacle Vivant, « Scène Conventionnée pour les arts de la marionnette et le théâtre d’objets», la Médiathèque intercommunale (lauréate du prix d'architecture de l'Equerre d'argent 2011), et bientôt le CIAP.

Économie Sur le Piémont Oloronais, trois secteurs économiques dominent : - L’industrie : avec notamment Messier-Dowty qui fabrique des trains d’atterrissage, la chocolaterie Lindt & Sprüngli, la SEMO (Société des Eaux Minérales d’Ogeu), Beatex Prod (dernier fabricant de bérets basques en France), tissages Lartigue (Lartigue 1910)… - Le tourisme : avec de nombreux sites hébergeurs (hôtels, meublés, gîtes ruraux, etc.) et le développement de plusieurs filières touristiques autour de la pêche, la randonnée et la gastronomie. - L’agroalimentaire : élevage, culture du maïs, vigne (AOC Jurançon notamment)…

CCPO 12 Place de Jaca 64400 Oloron Sainte-Marie Tél. 05 59 10 35 70

www.piemont-oloronais.fr

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Champagne Devaux

Histoire d’une destinée L’histoire commence en 1846. Les frères Jules et Auguste décident de créer leur propre maison. Le succès est au rendezvous, et les frères Devaux participent activement à la renommée grandissante des vins de Champagne. Les générations se succèdent et voient grandir Champagne Devaux. Son image, élégante et dynamique, illustre le caractère authentique et original de ses cuvées. La signature Devaux apposée sur tous les flacons, est toujours à elle seule le symbole de cet esprit originel. Aujourd’hui installé dans une belle demeure XVIIIème, Devaux a trouvé un cadre superbe en bord de Seine : le Manoir de Villeneuve. Le lieu est tout à la fois digne de son passé et à la hauteur de ses aspirations actuelles : poursuivre l’histoire de cette destinée particulière. Une philosophie de l’excellence pérenne et la volonté de rassembler les différents acteurs autour d’engagements forts animent Champagne Devaux.

Devaux, unique et multiple La production annuelle avoisinant les 750 000 bouteilles se décline en trois gammes distinctes.

La Collection D 4 cuvées hommage pour une collection distinguée : Cuvée D, D Rosé, D Millésimée 2002 et Ultra D (Extra Brut).

La Gamme classique Parce que pour les connaisseurs, le champagne est multiple, Devaux a su développer une gamme classique à plusieurs facettes. Pour découvrir l’expression des terroirs, l’alchimie des assemblages et le « tour de main » du chef de caves, les cuvées Classiques sont au nombre de 4 : Grande Réserve (brut), Cuvée Rosée, Cuvée Millésimée et Crème de Cuvée (demi-sec).

Les spécialités Destiné aux amateurs à la recherche de curiosités, Devaux propose ce triptyque en hommage au terroir de la Côte des Bar. Inspirée des traditions oubliées, l’audace de Devaux a élaboré trois cuvées spéciales : Blanc de Noirs, Rosé des Riceys, Coteaux champenois.

Contact presse : Rouge Granit Laurent Courtial lcourtial@rouge-granit.fr - 06 13 50 80 62 Anne Georget ageorget@rouge-granit.fr - 06 46 36 57 51 4 Rue d’Enghien - 69002 Lyon Tél. 04 37 65 08 59

www.rouge-granit.fr

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OLORON SAINTE-MARIE

PRESSE

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Morceaux choisis...

www.20minutes.fr

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www.cuisinerenligne.com Il y a tout juste une semaine se tenait à Oloron Sainte-Marie, le 3ème festival international de photo culinaire. 17 binômes constitués d’un Chef et d’un photographe ont participé à ce concours. Ils avaient 2 heures pour cuisiner et shooter. Leur travail était ensuite jugé par un Jury d’exception composé de 11 personnalités du monde culinaire (parmi lesquelles figuraient Mathilde de l’Ecotais, W.Ledeuil, Sophie Brissaud…) et présidé par Frédéric Anton (Chef 3* du Pré Catelan). La troisième édition du Concours International de La Photo Culinaire a été remportée par le duo Carrie Solomon, photographe et Sylvain Sendra, chef du restaurant Itinéraires à Paris. L’AAPrA, partenaire officiel de l’édition 2010 a remis un chèque de 6000 € à cette équipe. Enfin, le coup de cœur du jury s’est porté sur la photo du duo Dan Vojtech, photographe et Gwendal Le Ruyet, chef du restaurant Le Céleste à Prague.

http://programmes.france3.fr La gastronomie vous donne à nouveau rendez-vous dans les Pyrénées-Atlantiques le lundi 20 septembre prochain. Découvrez les 21 équipes (chefs et photographes) sélectionnées pour l’édition 2010. Frédéric ANTON, chef *** au Pré Catelan à Paris, présidera le jury et sera accompagné d’hommes et de femmes qui ont l’habitude de travailler la photo culinaire. Une vingtaine d’équipes de haut niveau candidates pour l’édition 2010

The Cuisine Magazine - Japon - Décembre 2010

Sud Ouest Gourmand - Le magazine des saveurs d’ici - septembre 2010 - N°6

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www.lhotellerie-restauration.fr

Le 3ème Concours international de photo culinaire est ouvert. Oloron-Sainte-Marie (64) Après le succès des deux premières éditions, l’Office de Tourisme du Piémont Oloronais remet le couvert. Il invite les cuisiniers à participer, en duo avec un photographe, au concours de photo culinaire d’Oloron Sainte-Marie, qui se déroulera le 20 septembre 2010. Qui succèdera au binôme de choc constitué de Christophe Aribert, Restaurant Les Terrasses, au Grand Hôtel à Uriage-les-Bains (38) et du photographe Pierre-François Couderc ? Les paris sont ouverts. Le principe du concours reste inchangé. Le chef réalise un plat (ou un dessert) sur place, que photographie aussitôt son partenaire photographe. L’un et l’autre ont carte blanche absolue au niveau de la création du plat et des techniques photographiques utilisées. Un studio photo, installé à proximité de l’espace cuisine, est mis à disposition des photographes, afin de permettre la réalisation de photographies dans des conditions optimales. Une seule photo par duo sera présentée au jury. Elle sera jugée en fonction du choix des ingrédients du plat en tenant compte des produits du terroir dont le chef est originaire (les ingrédients doivent être cuisinés et non assemblés pour constituer un ensemble esthétique), l’innovation de la présentation : stylisme culinaire, mise en valeur des ingrédients et, bien sûr, la qualité de la photographie. Ce concours s’adresse aux chefs cuisiniers et aux photographes professionnels du monde entier. Pour participer, il faut se sélectionner grâce à un dossier soumis à un jury composé de représentants du monde de la gastronomie, de la photographie et de décideurs aquitains. Les heureux élus seront prévenus le 15 juin au plus tard. La plus belle œuvre photographique sera connue le soir même, le 20 septembre, lors d’une soirée de gala. Le concours est doté de 6000 euros. Tenterez-vous votre chance ? Nadine Lemoine

www.lexpress.fr/styles Minute Saveurs - Immortalisée par une Américaine, sa recette a conquis le jury, dont le chef étoilé Frédéric Anton. Sylvain Sendra, chef du restaurant parisien Itinéraires, et la photographe américaine Carrie Solomon composent le duo récompensé lundi d'un premier prix au concours de la photo culinaire d'Oloron SainteMarie. La mise en scène de sa recette de "salade d'huîtres accompagnée de chou-fleur croquant, jaunes d'œufs de caille et vinaigrette à l'encre de seiche" a séduit le jury. Les lauréats remportent ainsi 3.000 euros chacun...et un magnifique souvenir graphique. La compétition s'est déroulée sur deux jours à Oloron Sainte-Marie, dans le Béarn. L'année dernière, Pierre Hermé, grand chef pâtissier parisien avait présidé le concours. C'est Frédéric Anton chef étoilé du Pré Catelan et juré impitoyable de l'émission de téléréalité Masterchef, qui a emmené cette troisième édition. Une vingtaine de binômes chef-photographe se sont affrontés à coups de toques et d'appareils photo. Le deuxième prix "du beurre", a été attribué à Yves Camdeborde, chef du Comptoir du Relais à Paris, également au casting de Masterchef, ainsi qu'au photographe Laurent Séminel (également à la tête des éditions Menu Fretin) pour leur "envol de bécasse rôti au beurre". Le troisième prix est allé au chef Gwendal Leruyet et au photographe Dan Vojtech pour la recette "chasse et cueillette en pays minier". François-Régis Gaudry

Les Agapes de Débo

http://agapes.canalblog.com/

Les coulisses du concours international de photographie culinaire d'Oloron. Pour la 3ème année consécutive a eu lieu à Oloron Sainte-Marie le Concours international de photographie culinaire et pour la 3ème fois, la librairie gourmande faisait partie du jury en la personne de Marie-Anne Page. Mais j'ai trouvé le temps cette année de descendre dans ce beau pays béarnais que je ne connaissais pas pour assister au concours et envisager un partenariat plus poussé l'an prochain. Ce concours est superbement organisé par l'office de tourisme d'Oloron Sainte-Marie qui ne ménage pas sa peine. Nous avons été accueillis par une générosité extrême dans un pays où on ne vous laissera mourir ni de faim, ni de soif !! Déborah Dupont

La 3ème édition du Concours International de La Photo Culinaire d’Oloron Sainte-Marie a été présentée dans l’émission d’ Alessandra Sublet dans C’est à vous. Du lundi au vendredi à 19:00 et le samedi à 12:30.

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OLORON SAINTE-MARIE 2011

CONTACTS

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Office de Tourisme du Piémont Oloronais Allées du Comte de Tréville 64400 Oloron Sainte-Marie Tél. +33 (0)5 59 39 98 00 www.tourisme-oloron.com www.fotosculinaires.com

Marie Cazaban Directrice de l’Office de Tourisme du Piémont Oloronais

Tél. +33 (0)6 78 00 95 59 Mail : cazaban.marie@wanadoo.fr

Philippe Boé Journaliste - Consultant

Tél. +33 (0)6 62 49 06 65 Mail : philboe@wanadoo.fr

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RENDEZ-VOUS À OLORON SAINTE-MARIE Les 11 et 12 septembre 2011

Crédits photos : Office de Tourisme - Laurent Ferrière - Sergio Padura - Denis Rouvre - Jean-Louis Bloch-Lainé - Mathilde de L’Écotais Déborah Dupont - www.mercotte.fr - Lycée Molière Orthez (64) - Philippe Boulze


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