NUMÉRO 4
DÉCEMBRE 2008 - FÉVRIER 2009
IONIS MAG
ISG - ISEG - ICS Bégué - ISEFAC BACHELOR - ISEFAC ALTERNANCE - ISTH - EPITA - ESME Sudria - EPITECH - IPSA - SUP BIOTECH - E-ARTSUP - ETNA - IONIS TUTORING
Le Groupe IONIS partenaire de l’Université de la Terre PAGES 4/5
DOSSIER
Business schools et International à lʼISG et à lʼISEG PAGES 6/9
EIP
La culture projet au cœur de lʼEPITECH PAGES 10/11
PORTRAIT
Encore étudiants... déjà entrepreneurs PAGES 16/17
UN GROUPE QUI BOUGE Retrouvez toute lʼactualité des écoles
PAGES 18/25
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Edito SOMMAIRE Université de la terre Le Groupe IONIS partenaire PAGES 04/05 de la 3ème édition
Dossier : Les business schools et l’international L’international une dimension phare à l’ISG - Interview d’A.-M. PAGES 06/07 ROUANE L’ISEG et la montée de l’international Interview d’A. JABLANCZY PAGES 08/09
LES EPITECH INNOVATIVE PROJECTS La culture projet au coeur de la pédagogie d’EPITECH PAGES 10/11
Voyages dans les laboratoires La recherche, au sein des écoles du IONIS Institute of Technology PAGES 12/13
Le devenir du métier d’ingénieur 5 questions à H. LABORNE (ESME Sudria) et J. COURTOIS (EPITA) PAGES 14/15
Encore étudiants... ...et déjà entrepreneurs 3 portraits de jeunes créateurs PAGES 16/17 d’entreprise Un groupe qui bouge Une actualité forte pour le Groupe et ses écoles. Retrouvez les actions à venir, les partenariats, les projets en cours ... PAGES 18/25
Les anciens à l’honneur Interview de Carine VERA (ISEG) Delphine MICHEL-FLANDIN (ESME- Sudria) Julien PELÉ (Mastère double PAGES 26/27 compétences) Le financement des études Les solutions que le Groupe IONIS propose aux étudiants
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POURQUOI CELA MARCHE… PAR M. SELLAM, PRÉSIDENT DE IONIS EDUCATION GROUP
L
’enseignement supérieur est un domaine dans lequel les certitudes n’ont pas une longue vie. Au-delà des modes on remarque que certaines expériences qui ont échoué retrouvent une actualité. L’inverse est tout aussi vrai. Pourtant, aucune institution, publique ou privée, ne peut durablement se développer si elle ne dispose pas d’une “raison d’être” partagée par tous, de principes qui traversent le temps et s’imposent comme des repères en périodes fastes comme par temps difficiles. Nos principes ont su passer avec succès un double crible. Ils ont traversé le temps puisque le groupe, né voilà 30 ans avec la création de l’ISEG, a par croissance interne ou par l’acquisition d’autres Ecoles, su appliquer l’adage qui affirme que “ceux qui se ressemblent s’assemblent”. D’autre part, ces valeurs ont su se confronter à une diversité d’univers. Nous les appliquons dans nos Ecoles de commerce, d’ingénieurs, d’expertise, dans les domaines de l’informatique, de l’aéronautique, des biologies ou de la création numérique… Quatre principes peuvent expliquer notre différence, la bonne orientation de notre développement, le succès durable de nos écoles… Ils ne sont pas des prétextes de communication mais les moteurs quotidiens des gens qui construisent nos Ecoles. Le premier tient à l’intégration du monde comme “terrain de jeu”. L’ international n’est ni une obligation ni la conséquence d’une mondialisation insupportable. Il est l’échelle des jeunes qui voyagent, des internautes qui échangent, des entreprises qui commercent, d’une nouvelle citoyenneté dans laquelle tant de nos étudiants se retrouvent.
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Que deviennent-ils ? Les dernières nominations
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Le second tient au “comment”, à une pédagogie innovante qui refuse le conformisme. Nous acceptons la remise
en cause de nos méthodes par les réalités et les mutations. Cette capacité d’adaptation explique le très haut niveau d’employabilité de nos diplômés. Le troisième tient à notre relation transparente vis-à-vis des entreprises. Nous croyons dans l’entreprise, dans son rôle, sa position cruciale pour l’emploi et la dynamique de notre pays. Nous croyons que la réussite de l’insertion passe par sa parfaite connaissance et par une expérience très significative du travail en son sein. Enfin, nous considérons que la relation avec nos étudiants est faite de droits et de devoirs. Nous contractons une “dette” quand ils choisissent l’une de nos Ecoles : celle de leur apporter les compétences, les connaissances et les traits de personnalité qui favoriseront un premier emploi rapide et de qualité mais également un devenir professionnel durable avec les capacités d’adaptation qui en découlent. Nos valeurs ont traversé les croissances des années 80 ou 2000, les crises des années 90 ou de la “bulle Internet”. Elles se manifesteront au-delà des tensions actuelles parce qu’elles définissent les dimensions primordiales de l’Ecole des années 2010 : un champ d’action clair (l’internationalisation assumée), une dynamique de la différence (l’innovation pédagogique et la remise en cause des conventions), une alliance déterminée (notre “intimité culturelle” avec les créateurs d’emplois que sont les entreprises et les entrepreneurs), un sens clair de la relation (la volonté assumée de nos devoirs et pas uniquement de nos droits vis-à-vis des étudiants et de leurs familles). Ainsi “marche” IONIS Education Group. J’espère voir notre groupe encore progresser en 2009 et je profite de cette occasion pour souhaiter à toutes les lectrices et tous les lecteurs de IONIS Mag une excellente nouvelle année.
IONIS MAG IONIS EDUCATION GROUP 2, rue des Quatre fils - 75003 Paris Tél.: 01.44.54.13.06 Fax: 01.42.71.15.21 Site: www.ionis-group.com/ Retrouvez les news quotidiennes sur IONIS ONLINE Site: www.ionis-online.com/
Directeur de la rédaction : Marc Drillech Rédaction : Elyse Pérusseau Charlotte Place Conception graphique : Anaïs Leimacher
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LE GROUPE IONIS PARTENA L’UNIVERSITÉ IONIS Education Group était partenaire de la 3ème édition de l’Université de la Terre, placée sous le thème “Réinventer le progrès”, qui s’est déroulée les 18 et 19 octobre, dans les locaux de l’Unesco. Créée à l’initiative de François Lemarchand, Président de Nature et Découvertes, en partenariat avec le groupe Les Echos, organisée par l’agence CHK, l’Université de la Terre a vu le jour en novembre 2005 à l’Unesco. Conscients du rôle de l’enseignement dans la pratique environnementaliste, le Groupe IONIS et l’ensemble de ses écoles ont souhaité s’engager dans ce grand évènement. Un an après le Grenelle de l’environnement, cette manifestation a été l’oc-
casion d'échanger expertises, visions du monde d’aujourd’hui et de demain entre la cinquantaine de professionnels de divers horizons (dirigeants d'entreprises, scientifiques, économistes, politiques, sociologues…), le public (plus de 15 000 personnes) et les panels d’étudiants des grandes écoles. Tous conscients des défis majeurs qui menacent notre planète, ils ont ensemble cherché à répondre aux grandes interrogations que suscite le développement durable dans les différents secteurs, à réconcilier leurs intérêts respectifs au profit du bien-être des hommes et du respect des équilibres écologiques. Le partenariat avec le Groupe IONIS s’est traduit par plusieurs contributions. La première a été la participation active, sur une dizaine de débats, des étudiants de plu-
sieurs écoles du Groupe IONIS (EPITA, EPITECH, ESME SUDRIA, ISTH, ISG, ISEG, SUP’BIOTECH). En faisant partie des panels des grandes écoles, les étudiants sensibles et/ou investis par le biais de projets d’écoles dans le développement durable, ont pu dialoguer avec les nombreux intervenants par l’intermédiaire de leurs questions.
Bernard RAMANANTSOA (DG de HEC), Marc DRILLECH (DG du Groupe IONIS) Olivier ROLLOT (Journaliste)
Par ailleurs, le partenariat s’est illustré par l’intervention à 2 tables rondes de dirigeants du Groupe IONIS. Marc Drillech, Directeur général, a
FOCUS KERN Sylvain PRÉSIDENT DE L’AGENCE CHK
Comment est venue l’idée de mettre en place un événement d’une telle ampleur ? Il y a quelques années, beaucoup de manifestations abordaient soit la thématique économique ou écologique ; mais aucune ne rassemblait les 2. Notre volonté a été de combler ce manque et donc de créer un événement qui réunisse ces deux univers. Depuis longtemps nous avions pensé à ce projet mais à l’époque nous n’arrivions pas à trouver de financement. Les entre-
prises étaient beaucoup moins sensibles aux sujets liés à l’environnement. Depuis quelques années, il est intéressant de voir que la plupart des citoyens se sentent concernés par l’écologie et que les entreprises s’impliquent volontiers dans des événements qui traitent de ces problématiques. Quelle conclusion tirez-vous de ces 3 dernières éditions ? Le plus marquant fut de constater l’intérêt grandissant du public pour débattre de ces sujets. Chaque année le public est de plus en plus nombreux et éclectique, les retours pour les inscriptions de plus en plus rapides. Pour la dernière édition, tous les débats étaient complets dix jours avant l’événement. Quelles sont les clés d’un tel succès ? Je pense que le succès tient principalement à 3 points :
• Le lieu, en effet l’Unesco a une renommée internationale, c’est une “marque” mondiale qui est un gage de sérieux pour les intervenants et le public. • La thématique : “Réinventer le progrès”, transversale et prospectiviste, elle a permis d’aborder un très grand nombre de sujets de société. • Les intervenants : des personnalités à la fois prestigieuses et compétentes dans leurs domaines. Enfin, c’est évidemment tout le travail qui permet à l’événement de monter en puissance et qui séduit le public. Et dans le futur… quels sont les projets ? Nous réfléchissons bien sûr à la quatrième édition de l’Université de la Terre. Nous devons encore déterminer la date, les thématiques à aborder, ainsi que les évolutions possibles.
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IRE DE LA 3 ÈME ÉDITION DE DE LA TERRE pris la parole le samedi 18 octobre dans le débat “Quelle éducation pour nous préparer à la société de la connaissance?”, aux côtés d’Axel Kahn (Généticien, Président de l'Université Paris Descartes), de Marc Luyckx (Docteur en philosophie, vice-président du Conseil Consultatif International d’Auroville), de Bernard Ramanantsoa (Directeur général de HEC) et de Dominique Thys (Administrateur délégué à la Direction Générale de la MAIF). Les réflexions étaient partagées, quant à savoir si l’école doit former des généralistes adaptables, comme l’a plaidé Marc Luyckx, ou des spécialistes réadaptables, comme l’a souligné Axel Kahn : “Nous avons besoin de spécialistes car c’est ce que demandent les responsables d’entreprises que je côtoie, mais des spécialistes ré-adaptables, avec donc de bonnes bases”. Et les bases ne viennentelles pas du secondaire ? Pour Marc Drillech, il a aussi sa part de responsabilité : “Il est tout le contraire de l’esprit critique (…), l’absence de travail en équipe pourtant essentiel en entreprise… Le secondaire est la pierre angulaire du système éducatif (…). La
Nicolas SADIRAC (Directeur EPITECH) et Claude-Yves ROBIN (DG de France 5)
réforme de l’éducation passe par là, sinon nous n’arriverons à rien.” La société de la connaissance dépasse le seul savoir. Nicolas Sadirac, Directeur d’EPITECH, l’école de l’expertise informatique, est intervenu, le dimanche 19 octobre lors du débat “Les nouvelles technologies au profit du lien social?”. Il était entouré d’Orianne Garcia (Fondatrice de Caramail et co-fondatrice de Terra Femina), de Claude-Yves Robin (Directeur général de France 5) et Nathan Stern (Sociologue, concepteur de Peuplade). Cette table ronde fut l’occasion de mettre en avant l’ambivalence du développement des nouvelles technologies sur le lien social.
Car même si tous les intervenants s’accordent à penser que les progrès technologiques permettent l’accès à un savoir pour tous et de créer du lien, il n’en demeure pas moins que les outils ne se substituent pas à l’humain et peuvent poser des problèmes de savoir-être. Comme le souligne Nicolas Sadirac, “le virtuel, facilement, laisse aller à l’excès (…), d’où l’importance pour une école comme la nôtre d’enseigner l’éthique et d’éduquer le sens commun de la réalité. Il ne faut pas oublier que le rôle premier de l’informaticien, donc du développeur des outils virtuels est avant tout de faire émerger la connaissance au profit de l’autre”. En enseignant la technologie, on enseigne le pouvoir.
Débat 1 : “Quels sont les grands défis de demain?”
RENCONTRE AVEC LES ÉTUDIANTS PARTICIPANTS À L’UNESCO
“
Ça a été un grand plaisir pour moi de participer à l'Université de la Terre, aussi bien dans sa préparation qu’aux débats auxquels j'ai assisté. J’ai été panéliste au Débat I qui portait sur le thème “Quels sont les grands défis de demain ?” avec entre autres comme intervenants François Lemarchand (fondateur de Nature et Découvertes et de l’Université de la Terre) et Jean-Louis Borloo. Ça été un grand honneur de pouvoir dialoguer avec eux. J’espère que ce type d’évènement sera renouvelé. Merci encore à l’équipe de m’avoir permis d’y participer. Emmanuel CLERC, ISTH
“
”
Je voulais insister sur le fait que les conférences auxquelles j'ai assisté dans le cadre de l’Université de la Terre m'ont énormément plu ; le niveau des débats et des intervenants étaient d'une très grande qualité. Les panels et les prises de paroles furent très bien gérés, même si l’heure et demie est passée beaucoup trop vite. Il faudrait organiser plus souvent des évènements de ce type, tellement utiles et intéressants. J'ai été très honoré d'avoir été choisi parmi les étudiants de l'ISEG et reste à disposition pour représenter l'école pour d’autres manifestations ou événements à venir. Fabien BORDET, ISEG Paris
“
”
“
J’ai échangé sur un projet d’énergie solaire qui viserait à réduire la consommation énergétique des ordinateurs de l’école fonctionnant 363/365j. Après le débat I auquel j’ai participé, j’ai pu prendre contact pour discuter des coûts de l’énergie solaire et de son déploiement dans une structure comme celle de l’EPITA. J’ai eu aussi la chance de discuter avec M. Lemarchand. Ce monsieur arrive à faire du business en étant écologiste ! Un véritable exemple à suivre. Je suis ravi d’avoir pu rencontrer tous ces acteurs du développement durable. Gilles COMLANVI, EPITA et Directeur de l’AEDD
”
J’ai été très fier de pouvoir participer à l’Université de la Terre. J’ai trouvé l’approche des débats extrêmement intéressante et les intervenants, d’une très grande qualité. La formule conférence suivie des questions-réponses étaient très dynamique et avait l’avantage de nous sentir vraiment acteur d’un tel évènement. J’espère que l’EPITECH nous permettra de participer prochainement à d’autres évènements. Hugues DESCHAMPS, EPITECH
”
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DOSSIER : LES BUSINESS SCHOOLS ET L’INTERNATIONAL
L’INTERNATIONAL,
Toutes les écoles de commerce ont aujourd’hui une dimension internationale, quelle est la spécificité de l’ISG ?
et de l’Europe de l’Est en 1990. L’ISG était en avance sur son temps dans ce domaine et a peu à peu été imité par toutes les Grandes Ecoles de commerce.
L’ISG est convaincu de l’importance de l’International dans la formation des étudiants depuis 1967, date de la fondation de l’école. En effet c’est sur cette valeur que l’ISG a été créé et a fondé sa différence. Dans les années 70, aucune école de commerce n’était tournée vers l’international ; la situation mondiale n’y encourageait pas. Mais l’ISG fut la première école à organiser un voyage d’études en République Populaire de Chine en 1975, sous Mao.
Concrètement comment se traduit la dimension internationale dans le programme de l’école ?
Ce fut le début de l’ouverture. En 1982, l’ISG ouvre ses portes à Tokyo. L’année 1984 marque l’ouverture à New York, à Singapour et Taïwan, les accords de partenariat avec l’URSS. C’est au tour de l’Inde en 1989, puis du Vietnam
La dimension internationale est présente à tous les niveaux. Cette permanence qui permet aux étudiants de l’ISG d’acquérir de vrais réflexes internationaux et de devenir par la suite des managers très adaptables, à l’aise dans tous les milieux. Nous proposons 3 programmes aux étudiants de 2e année et chacun d’entre eux est imprégné d’international : • Le programme Multinational emmène les étudiants en Asie et en Amérique du Nord. En effet ils passent 2 mois à Tokyo, puis 6 semaines en Chine (Beijing, Shanghai, Hong Kong) et enfin 5 mois à New York. Pendant toute l’année, et quelque soit le pays dans lequel ils se trouvent, les étudiants suivent des cours et des conférences à l’université, visitent des entreprises et mènent à bien leur projet export (mission d’études qui leur est confiée par une entreprise fran-
çaise souhaitant s’implanter en Asie et aux Etats-Unis). • Le programme Latino-Européen suit le même schéma de cours et de visites d’entreprises, mais les étudiants partent soit en Europe, soit en Amérique du Sud. Ils s’envolent eux aussi avec un projet export à réaliser dans le pays qu’ils ont choisi. Ces deux programmes les immergent littéralement dans un environnement multiculturel, de manière durable. • Le programme National met davantage l’accent sur la vie associative et la réalisation de projets en France. Les étudiants restent sur le campus de l’ISG qui accueille des étudiants étrangers de plus de 60 nationalités différentes ! Ils sont donc eux aussi plongés dans un environnement international dense. Quels sont les partenariats en vue pour 2009 ? Nous attendons toujours l’aboutissement de la négociation pour en parler. Néanmoins, je peux vous dire que l’ISG est en train d’approfondir ses partenariats en Amérique du Sud et d’Asie. L’ISG reste ainsi fidèle à sa réputation de précurseur et à sa vocation d’ouverture.
Interview d’Anne-Marie ROUANE, Directrice de l’ISG UNION EUROPÉE NNE A M É RIQ UE D U N O RD • Allemagne • Autriche • Espagne • Hongrie • Italie • Pologne • République Tchèque • Roumanie • Suède
HO RS UNIO N E URO PÉ E NNE • États-Unis (New York) • Bulgarie • Géorgie • Russie
• Turquie • Ukraine
A M É RIQ UE L ATINE
• France (Paris)
A SIE • Cambodge • Chine • Corée •
Hong Kong
• Inde • Indonésie
• Malaisie • Singapour • Taïwan • Thaïlande • Vietnam
• Japon (Tokyo)
PACIF IQ UE • Australie
Carte des différents partenariats dans le monde
• Argentine • Chili • Cuba • Mexique • Paraguay • Pérou
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UNE DIMENSION PHARE À L’ISG 66 ÉTUDIANTS DU PROGRAMME MULTINATIONAL À LA DÉCOUVERTE DU MONDE Deux d’entre elles nous font part de leur expérience internationale
“
Pourquoi avoir choisi le programme Multi ? Pauline Bellanger : J’ai toujours désiré travailler à l’étranger. Nous séjournons dans de très bonnes universités réputées, comme Fudan à Shanghai qui est internationalement reconnue. Enfin, grâce aux visites d’entreprises nous rencontrons des professionnels du monde entier, qui peuvent nous raconter leurs expériences personnelles. Le multi me permet également de combler mon goût de la découverte et des voyages. J’ai toujours été passionnée par la culture japonaise Ayant déjà fait un tour du Japon en “séjour de reconnaissance“ l’année dernière, je n’avais qu’une hâte, y retourner, particulièrement à Tokyo. La Chine m’intriguait énormément, n’y étant encore jamais allée, je voulais constater personnellement tout ce que l’on raconte sur ce pays mythique. Enfin je voulais découvrir l’atmosphère de New York. Camille Labbé : J’ai choisi ce programme car, ayant habité à l’étranger une partie de mon enfance, j’ai vu l’opportunité avec ce programme de repartir en Asie pour visiter cette région du monde avec un nouveau regard. Comment se déroule votre année à l’étranger ? P B : Merveilleusement bien, même si la transition entre le Japon et la Chine a été difficile, ayant adoré mon séjour à Tokyo. Ces deux pays sont d’apparences opposées culturellement et les différences radicales de comportement entre les deux peuples peuvent être déroutantes. Mais, après s’être promené dans Shanghai, on est vite séduit par son dynamisme et son coté cosmopolite. C L : Cette année est riche en expériences. En effet, nous apprenons à vivre en communauté, nous rencontrons de nouvelles personnes, nous nous imprégnons de nouvelles cultures. Nous sommes en interaction constante avec le monde qui nous entoure. Pour ce qui est de l’organisation, nous sommes accompagnés d’un coordinateur, M. Joel Mitchell, qui s’occupe des rendez-vous avec les entreprises et qui nous aide en cas de problème.
Combien de pays ce programme vous permet-il de parcourir ? P B et C L : Dans le cadre de ce cursus, l’ISG nous donne la possibilité de découvrir deux regions du monde : l’Asie et l’Amérique du Nord. Plus précisément, nous parcourons le Japon (Tokyo) pendant 2 mois, la Chine pour 6 semaines (Beijing, Shanghai, HongKong), et finissons par les Etats-Unis pour 5 mois (New York).
bas. Avec un groupe de 10 étudiants, nous sommes allés à Kyoto et Nara.
Où se déroulent vos cours ? Avezvous l’opportunité de rencontrer des professionnels ? P B et C L : Nous suivons des cours à Tokyo, dans une université américaine (Philadelphia) du nom de TEMPLE University. Mais aussi à Shanghai , à FUDAN University (l’équivalent chinois d’HEC) Et pour finir, 5 mois à St-John’s University à New York. Dans chacun des pays nous avons des séminaires de rencontres professionnelles, ce qui nous permet de connaître un peu mieux le monde professionnel et de pouvoir se créer un réseau pour l’obtention d’un stage, voire d’un emploi. Ils nous indiquent les exigences personnelles et professionnelles de leurs entreprises, les erreurs à ne pas comettre et nous rassurent. Au fur et à mesure, nous prenons confiance en nous et les questions fusent à la fin de chaque présentation. En général, ils sont très amicaux et ravis de nous aider.
Nous découvrons plusieurs cultures, parfois même au sein d’un seul pays, nous combattons nos préjugés et constatons les réalités de pays souvent caricaturées en Occident. Nous apprenons, de manière directe et indirecte, les différences culturelles. Et aussi, après avoir constaté les énormes progrès que nous avons pu faire en langues, notamment en japonais en seulement 2 mois, cela nous pousse à continuer notre formation linguistique, même après l’ISG.
Et le logement ? P B et C L : Nous avons réussi à bien nous débrouiller. Au Japon et aux USA, nous avons été et nous serons en colocation de 4 personnes, deux garçons, deux filles. Nous avons réussi à obtenir un loyer de 512 euros par personne et par mois pour Tokyo, et 660 euros pour NYC. En Chine, nous sommes en majorité deux par chambre et nous choisissons notre colocataire. Et le temps libre… en disposez-vous un peu ? P B et C L : Cette partie là est plutôt bien organisée. Nous avons des week-ends de trois jours, ce qui nous permet de répartir devoirs et visites culturelles ; de découvrir la vie de là
Même si la fin de l’année est loin, cette expérience vous donne-t-elle envie de poursuivre votre carrière à l’international ? P B : Oui, absolument. Plus qu’elle ne me donne envie, elle me conforte dans le projet de travailler à l’étranger ou à l’international, dans une grande entreprise.
C L : Depuis toute petite, j’ai toujours voulu travailler à l’étranger. Donc cette expérience n’a fait qu’accentuer mon envie. Une anecdote, un coup de cœur ? P B : Kyoto, ville traditionnelle et contemporaine, où les geishas en kimono dînent dans des restaurants lounge. Les chips à la langue de canard à Shanghaï m’ont marqué… Un coup de cœur ? Les daims en liberté dans la ville de Nara au Japon, sans oublier la Grande Muraille de Chine et ses montagnes environnantes aux couleurs automnales. C L: Pour le moment, j’ai adoré Tokyo ! C’est une ville extraordinaire qui dégage une atmosphère hors du commun. Tokyo est une ville en mouvement où rien ne s’arrête. La ville est immense. Le moderne et l’ancien cohabitent avec une grâce infinie. À chaque coin de rue, on peut se retrouver dans le Tokyo pittoresque et au coin d’un tournant, face à un gratte-ciel qui nous rappelle à l’ordre. J’aime cette ambiance. On se laisse emporter et d’un coup, la réalité vous frappe.
”
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DOSSIER : LES BUSINESS SCHOOLS ET L’INTERNATIONAL
L’ISEG ET LA MON
Dans le contexte de mondialisation actuel, l’apprentissage du management interculturel s’impose. L’ISEG, qui a l’ambition de préparer les futurs entrepreneurs à l’ouverture des frontières, propose à ses étudiants à travers ses 3 programmes (ISEG Programme SUP, ISEG Programme EXECUTIVE et ISEG Programme FINANCE) une pédagogie résolument ouverte sur l’extérieur. L’école donne ainsi les moyens à chacun de ses étudiants de se doter de réelles compétences interculturelles et internationales, en permettant la pratique quotidienne de l’anglais et en multipliant les partenariats avec de grandes universités étrangères.
L’INTERNATIONAL EN QUELQUES CHIFFRES 10 % des diplômés s'expatrient. 45 % des anciens exercent une profession à dimension LES PARTENARIATS INTERNATIONAUX EUROPE Grande Bretagne : • University of Central Lancashire (UCLAN) à PRESTON • Liverpool John Moores University, (LJMU) à LIVERPOOL L’Irlande avec Dublin Business School (DBS) à DUBLIN L’Espagne avec l’Universidad Pontificia Comillas ICADE à MADRID
internationale. Ces derniers sont à 82 % en contact régulier avec un pays européen, 7 % avec l'Amérique du Nord, 4 % avec l'Asie, 3 % avec le Moyen-Orient et 2 % avec respectivement l'Afrique et l'Amérique du Sud.
Allemagne : • l’Export-Akademie Baden-Württemberg, à REUTLINGEN • l’ISM, à DORTMUND
L’Italie avec l’Università per Stranieri à PERUGIA La République Tchèque avec l’University of Economics à PRAGUE
ETATS UNIS C H INE ISM et St. John’s University, NYC à NEW YORK
School of Economics & Management, Tongji University à SHANGHAI
Californie : • l’University of California (UCI) à IRVINE • California School of International Management (CSIM) à SAN DIEGO L’Argentine avec l’UADE à BUENOS AIRES Carte des différents partenariats internationaux
LES ACCRÉDITATIONS INTERNATIONALES POUR UNE RECONNAISSANCE DU DIPLÔME Le diplôme ISEG est accrédité par 2 organismes : l’ACBSP (Association for Collegiate Business Schools and Programs) et l’IACBE (International Assembly for Collegiate Business Education). L’ISEG est membre de AACSB (Association to Advance Collegiate Schools of Business). Il s'agit d'accréditations internationales délivrées par des organismes internationaux après plusieurs années d’audit, de contrôle pédagogique et de validation du titre final. Les nombreux partenariats internationaux permettent à l’ISEG de délivrer des doubles diplômes : le diplôme de l’ISEG ainsi qu’un MBA accrédité, en partenariat avec l'ISM (International School of Management) et la St John's University de New York, pour ISEG Programme SUP ainsi que le diplôme de l’ISEG + le MASTER de la Dublin Business School (DBS) pour ISEG Programme EXECUTIVE et ISEG Programme FINANCE.
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TÉE DE L’INTERNATIONAL L’ISEG ET LA DUBLIN BUSINESS SCHOOL : BIENTÔT 10 ANS L’adoption de la structure pédagogique Licence-Master-Doctorat, symbole de la construction européenne dans l’enseignement supérieur, était l’occasion pour deux institutions bien ancrées dans l’Europe, d’unir leurs forces au début des années 2000. L’ISEG en France et la Dublin Business School (DBS) en Irlande. Retour sur les débuts d’une collaboration très porteuse pour les étudiants en termes d’ouverture et de développement personnel.
Dublin Business School
Fondée en 1975, la DBS se construit rapidement une solide réputation, tout d’abord dans l’enseignement pour les professionnels dans le domaine de la finance. A partir des années 1990, c’est le début d’un partenariat avec la Liverpool John Moores University (LJMU) en Grande Bretagne qui
Comment la dimension internationale est-elle intégrée dans le cursus de l’ISEG ? En fait, l’enjeu est double : proposer aux étudiants des formations internationales tout en respectant la spécificité de leur programme. Certes, l’ouverture multiculturelle est présente dans les enseignements dispensés à l’ISEG, mais rien ne remplace l’expérience de la mobilité et la connaissance de l’étranger. Chacun des trois cursus possède son itinéraire propre : • ISEG PROGRAMME SUP, axé sur le management et l’international, propose aux étudiants des parcours sur les 3 continents, Europe, Asie et Amérique en 3ème et 5ème années auxquels sont associés stages et missions sur place. La 5ème année est validée par un double diplôme. Le diplôme ISEG et le
accrédite l’institution irlandaise dés 1995. La construction européenne se poursuit grâce à l’ISEG. Les premiers lauréats Iségiens d’un BA in Marketing de la DBS sont suivis, seulement quelques années plus tard, par les premiers étudiants à décrocher la double validation : le MA (Master) de la Dublin Business School, conjointement validé par la LJMU et le diplôme bac+5 de l’ISEG. A l’issue d’un parcours d’études, en parfaite adéquation avec le profil international de la finance ou du marketing des étudiants du programme FINANCE ou du programme EXECUTIVE de l’ISEG, c’est cette double validation, véritablement européenne, qui sert de tremplin à une carrière solidement orientée à l’international.
MBA accrédité de l’ISM en partenariat avec la St John’s University. • ISEG PROGRAMME EXECUTIVE, qui se décline en fonction des nouveaux univers du marketing et de la communication, a fait le choix de l’Irlande, et demain, du Canada dans des universités innovantes. En 5ème année, les étudiants qui choisissent la session longue de la Dublin Business School, valident aussi un double diplôme : celui de l’ISEG et le master en marketing de la DBS. • ISEG PROGRAMME FINANCE, quant à lui, ouvre tout un monde d’opportunités dans les domaines de la gestion et de la finance, pour peu que les étudiants comprennent l’anglais et le parlent ! L’expérience de l’ISEG démontre que cela est possible avec beaucoup de motivation, un accompagnement personnalisé et des sessions courtes d’English Business à l’étranger dès la 1ère année. En 3ème année, il s’agit d’aller étudier sur le terrain de la finance anglo-saxonne à la DBS, puis en 4ème année d’effectuer une mission de longue durée dans une
Interview d’Adrienne JABLANCZY, Directrice de l’ISEG
capitale de la finance : New York, Shanghaï, Londres… en 5ème année, les étudiants qui choisissent la session longue à la DBS obtiennent eux aussi un double diplôme : le diplôme de l’ISEG et le MBA option Finance de la DBS. Quelles sont les orientations des étudiants dans ce domaine ? Si les étudiants sont attirés par le continent américain et par la Chine, l’expérience montre que leur choix définitif est souvent plus pragmatique, en référence avec leur projet professionnel. Ce qui se traduit par une majorité d’étudiants en Europe. Quelle place devrait prendre, et comment, l’international dans la pédagogie future des écoles de commerce ? La dimension internationale doit devenir complètement présente dans la pédagogie, à travers notamment la venue de professeurs visitants étrangers. A titre d’exemple, l’ISEG a accueilli l’année dernière Josée SAINT PIERRE, professeur à l’université du QUEBEC à TROIS RIVIERES.
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LA CULTURE PROJET AU CŒUR LES EPITECH INN EPITECH, l’école de l’expertise informatique, dispense une pédagogie fondée sur les projets. Dès la 4ème année, les étudiants ont 18 mois pour réaliser un véritable projet professionnel intitulé EIP. Il est le travail final qui montre à l’extérieur ce qu’ils savent faire. L’objectif premier est de permettre aux étudiants d’acquérir une expérience de gestion intégrale de projet, pour être opérationnels dès l’obtention de leur diplôme. Les groupes, constitués au minimum de 5 étudiants (il n’y a pas de maximum), doivent choisir un sujet original, porteur de nouveautés. L’EIP est donc la vitrine personnelle du groupe d’étudiants qui s’y est attelé. Le projet doit avoir son mode d’emploi pour les utilisateurs et sa notice technique, pour pouvoir être repris par une autre équipe.
“
L’ACCOMPAGNEMENT DE L’ÉQUIPE PÉDAGOGIQUE Tout au long des EIP, les groupes d’étudiants sont régulièrement suivis afin de pouvoir apprécier le bon
Un groupe d’étudiants de l‘EPITECH
avancement du projet. Il existe pour cela plusieurs types d'exercices. • Les plus nombreux sont les “suivis”, il s’agit d’une réunion entre le groupe et les responsables des EIP. Ils permettent aux groupes de faire un point sur l’avancement du projet et de discuter des orientations. • La “soutenance” qui permet de valider de façon formelle le suivi de certaines étapes du projet.
• La “présentation”, ultime phase, est la plus importante. Elle permet aux étudiants d'améliorer leur capacité à présenter un projet face à toutes sortes de public (spécialistes, profanes ou décideurs) et dans toutes sortes de conditions : sous forme de salons, de conférences (plus ou moins longues) ou bien d’entretiens très courts (simulation de la rencontre dans l'ascenseur).
LES OBJECTIFS PÉDAGOGIQUES TOURNÉS VERS L’EMPLOI Le cours de EIP permet d'apprendre aux étudiants à dépasser les aspects techniques d'un projet informatique pour prendre en compte la partie
documentaire (documentation technique et utilisateur), mais aussi la partie gestion et conduite de projet. Le but des EIP est de finaliser un projet aussi bien sur le plan de la réalisation technique, que de la documentation, ou de la communication extérieure, afin qu’il soit utilisable, utilisé et que
Gestion d’un projet étudiant
UNE RELATION ÉTROITE AVEC LES ENTREPRISES POUR MENER UN VRAI PROJET PROFESSIONNEL
“
C’EST UN VRAI TRAVAIL D’ENTREPRISE, COMPLET : imaginé, conçu, développé, formalisé, finalisé, présenté et souvent … vendu. Le résultat est étonnant.
Le but des EIP étant de faire en sorte que les projets soient utilisés, la proximité avec les entreprises est essentielle. Elles peuvent :
• Apporter leur soutien technique au groupe et fournir de la documentation.
• Apporter les sujets qui sont directement liés à leurs besoins avec une application directe et représentent ainsi une garantie supplémentaire d'avoir des utilisateurs.
• Aider le groupe en testant et en utilisant les premières versions et ainsi faire un retour sur les bugs ou les améliorations à apporter.
• Fournir de l'aide matérielle en proposant l'accès à leur infrastructure, ou financière, en employant directement un ou plusieurs membres d'un groupe.
les étudiants de la promotion suivante soient en mesure de reprendre, maintenir et faire évoluer le projet. Les étudiants sont par ailleurs formés à exposer leur projet (en français et en anglais).
Avec cette collaboration, les entreprises disposent d'une force de développement importante, et peu coûteuse. En effet l’entreprise associée à la réalisation technique du projet, bénéficie des versions test et
peut ainsi faire facilement adapter le projet à ses propres besoins.
SCOPE version test
”
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DE LA PÉDAGOGIE D’EPITECH : NOVATIVE PROJECTS LA RÉALISATION D'UN EIP VA AU-DELÀ DE LA TECHNIQUE ACQUISE dans les autres cours. C'est toute la différence entre un projet fait par un informaticien pour lui-même et un projet industriel, qui peut être utilisé par quelqu’un qui n’est pas expert du domaine.
”
ZOOM SUR LE FORUM DES EIP Les vrais projets d’avenir sont au
FORUM
DES EIP
WWW.DRIVEMEUP.FR DriveMeUp est une solution de covoiturage accessible sur Internet, avec une approche communautaire. Le défi de DriveMeUp est de regrouper toutes les fonctionnalités indispensables à un excellent site de covoiturage, tout en restant accessible à tous. Alliant les technologies les plus innovantes du Web 2.0 et l’activité de covoiturage, qui se développe très fortement en Europe, DriveMeUp crée un service entièrement gratuit, tel qu’il n’en a jamais existé auparavant.
BEINGENIOUS LA SOCIÉTÉ INNOVANTE QUI VOUS REND INGÉNIEUX 4 étudiants de l’EPITECH en partenariat avec 2 industriels français ont créé la société Beingenious, en 2008. Son but est de développer des technologies nouvelles et de mettre au profit de projets innovants et révolutionnaires, ses connaissances techniques et commerciales. Création et ingéniosité sont les maîtres mots de cette toute jeune entreprise. Cette sous-traitance permet ainsi aux
EPITECH INNOVATIVE PROJECTS
EPITECH
INNOVATIVE
Assistez en direct aux applications très concrètes des projets de fin d’études :
> Comment rendre plus efficace les outils au profit des Entreprises > Comment mieux diffuser le progès technologique en faveur du plus grand nombre > Comment améliorer le bien être des individus et de la Collectivité > Comment ouvrir de nouveaux horizons aux passions
Vendredi 17 Octobre & Samedi 18 Octobre 2008 CAMPUS IONIS INSTITUTE OF TECHNOLOGY - 24 rue Pasteur - 94270 Le Kremlin Bicêtre Vendredi 17 octobre 2008: Table ronde sur l’innovation en présence de personnalités du monde de l’innovation et en partenariat avec l’AEF - 9h : accueil - 9h30 : table ronde « Peut-on enseigner l’innovation ? » - 11h30 : table ronde « La valorisation de l’innovation » 13h00 – 18h00 : visite libre du forum - Samedi 18 octobre 2008 : 10h – 17h : visite libre du forum PARIS - BORDEAUX - C AEN - LILLE - LYON - MARSEILLE - MONTPELLIER -
NANCY - NANTES - NICE
Cette école est membre de
PROJECTS
Établissement d’Enseignement Supérieur Technique Privé - Association à but non lucratif (loi 1901)
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LE COVOITURAGE COMMUNAUTAIRE
Aurélien DEFFAY
WWW.BEINGENIOUS.COM entreprises qui n'ont pas le savoir nécessaire, de réaliser des projets de grande envergure, dans lesquels la place des nouvelles technologies et de l'informatique est majeure. L’entreprise développe aussi le premier site communautaire grand public basé sur les photos : www.whozart.com. Il réinvente l’espace personnel sur le net en y intégrant l’ergonomie et la simplicité d’utilisation. Chacun peut y ajouter ses photos, les partager et les commenter au sein d’une interface complètement modulable. mesphotosoffertes.com, véritable création commerciale et technologique de la société beingenious, est un service associé à whozart.com.
- STRASBOURG - TOULOUSE
À chaque rentrée, l’EPITECH offre à ses étudiants une vitrine d’exposition, une nouvelle occasion de rapprocher entreprises et école. Pour la 3ème édition, qui s’est tenue les 18 et 19 octobre 2008, la cinquantaine d’équipes sélectionnées y présentaient leur projet avec leurs spécificités techniques et de design. Ce rendez-vous incontournable pour les étudiants, leur permet d’exposer leur projet face à un public averti, composé essentiellement de chefs d’entreprise et autres professionnels indépendants. L’événement apporte aux entrepreneurs des solutions concrètes en termes de recrutement, en les mettant directement en contact avec les élèves et leurs réalisations.
EVERLASTICK RANGEZ VOTRE BUREAU DANS UNE CLÉ USB !
WWW.EVERLASTICK.COM
Everlastick est un logiciel mobile qui permet de transporter son bureau sur une simple clé USB. Il intègre par exemple un éditeur de texte, un tableur, un navigateur web... Les données créées avec Everlastick sont chiffrées et le logiciel est multiplateformes. Everlastick répondra ainsi à un besoin croissant de mobilité. Ce travail réalisé en collaboration avec l'EGE, une école de stratégie économique, permettra ainsi aux étudiants de répondre au mieux aux attentes des utilisateurs finaux. Parce qu’il combine chiffrage des données et accès à des applications de bureautique sur clé USB. Cette solution innovante unique répond aux besoins des publics nomades.
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VOYAGE DANS LES LABOR DU IONIS INSTITU Les laboratoires des écoles s’orientent soit vers la recherche fondamentale, en réalisant des contributions pour des publications des grandes conférences internationales ou dans des revues spécialisées, soit vers la recherche appliquée, en collaboration avec des entreprises et des laboratoires extérieurs. Ils font ainsi converger deux objectifs majeurs : donner aux étudiants la possibilité de développer des projets performants en intégrant une équipe de chercheurs et offrir une expertise de haut niveau aux entreprises.
À l’EPITA, la formation par la recherche trouve un véritable terrain d’expression : les étudiants qui le souhaitent sont immergés durant plusieurs années au sein des laboratoires et vivent au quotidien avec les équipe de chercheurs, une aventure passionnante.
LE LRDE, le Laboratoire de Recherche et de Développement de l'EPITA, a vu le jour en février 1998 pour promouvoir les activités de recherche de l’école. Ce laboratoire permet aux étudiants de s’impliquer dans des projets de recherche et de se préparer à une inscription en Doctorat, réunissant docteurs et doctorants en informatique, mathématiques ou traitement du signal, le LRDE est au carrefour de la recherche, du développement et de l’enseignement. Une fois par mois, le LRDE rassemble les spécialistes du domaine, pour proposer un séminaire de haut niveau avec la participation de chercheurs renommés.
3.I.E Fondé en 1999, l'Institut d'Innovation Informatique pour l'Entreprise est un laboratoire de recherches applicatives, d'études et de services professionnels en Technologies Avancées de l'Information.
développées à l'EPITA en multimédia avancé, télécommunication, systèmes et réseaux, mobilité, intelligence artificielle et systèmes d'informations, pour approcher les nouvelles technologies dans toute leur complexité.
3IE teste et met en application les technologies les plus récentes du marché. Membre du “Microsoft Partner Program”, partenaire de SUN et de bien d'autres, il teste les versions béta issues des dernières évolutions technologiques. Fort de son expertise globale en informatique le laboratoire est à même de fusionner les compétences
Lieux d’échanges et de partages, les laboratoires de l’EPITECH regroupent des étudiants en cours de scolarité et des anciens... Tous sont unis par la même passion : l’informatique. Les thématiques abordées par ces laboratoires couvrent de nombreux domaines enseignés à l’école.
Le LES : Laboratoire Système et sécurité de l’EPITECH, constitue le pôle de déLSE veloppement high-tech de l’école. L’une de ses activités principales est de réaliser des missions ponctuelles pour les entreprises partenaires.
Le L.E.R.I.A : Laboratoire de Recherche en Informatique Appliquée. Les principaux LERIA axes abordés sont l’intelligence artificielle, les réseaux de neurones, les biotechnologies, la sécurité et la vérification formelle.
Le GAMEDEV’LAB : Ce laboratoire est axé principalement sur le développement des jeux vidéos sur
supports DS, Xbox 360 et PC. 3 entreprises participent activement au développement du laboratoire : UBISOFT, B2B Games et NUMICOM
Le LABEIP: Laboratoire EPITECH Innovative Project prend en charge la loINNOVATIVE gistique, la communiPROJECTS cation et la promotion des EIP en gérant l’ensemble des services et du matériel nécessaire aux projets.
EPITECH
Le LAB’FREE a pour mission de promouvoir, réaliser et diffuser des logiciels libres. Ce laboratoire exerce une activité de développement avec des projets de R&D, ainsi que des projets industriels.
Le ESL : L’EPITECH Security Lab permet aux étudiants d’appréhender la conception de “codes malicieux autoreproducteurs” ainsi que les principes des attaques et défenses, au niveau applicatif et réseau. security
lab
Le LAB’ELEC : Laboratoire Électronique d’EPITECH propose aux étudiants comme aux entreprises un savoir-faire en matière d’électronique numérique et de mécatronique. LAB’ELEC
Le LAB’RESEAU : assure l’enseignement des manipulations et de la configuration du matériel Cisco.
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RATOIRES DES ÉCOLES UTE OF TECHNOLOGY Dans le cadre de son laboratoire de Recherche, l’IPSA a ouvert des sections de recherches appliquées en partenariat avec des laboratoires institutionnels ou des entreprises industrielles. L’école crée, dans le cadre du DRDAS (Department of Research and Development for the AeroSpace), différentes sections : En partenariat avec les laboratoires institutionnels : • Le Département des Systèmes Déterministes et Stochastiques (DSDS) : Traitement des images, estimation et identification et optimisation de forme avec les correspondants d’UCLA et de l’ESIEE. • Laboratoire d’Astronomie et de Mécanique Spatiale (LAMS) : un partenariat signé fin 2008 avec l’IMCCE (Observatoire de Paris) pour traiter des sujets complexes tels que l’Astrométrie et la Navigation Autonome dans l’espace. En partenariat avec des entreprises industrielles : • Laboratoire de Mécatronique Appliquée (LMECA) : cette section
est centrée sur des travaux industriels (appels d’offres de Matra et du CNES). • Laboratoire des Véhicules Aérospatiaux (LVA) dédié aux nano satellites : cette section, répond à des appels d’offre du CNES en matière d’avant projets. • Laboratoire de Simulation numérique en Dynamique des Ecoulements (LSDE), étalonne ses compétences sur des sujets confiés par Renault SAS, en coopération avec l’Association IPSA Junior sous forme de projets de fin d’études. De plus, 10 laboratoires pédagogiques complètent la formation initiale : • MÉCATRONIQUE
• MÉCANIQUE GÉNÉRALE • MÉCANIQUE APPLIQUÉE • CALCUL ET DE CONCEPTION MÉCANIQUE • ÉLECTRONIQUE ET DE TÉLÉCOMMUNICATIONS • SYSTEMES SPATIAUX • AUTOMATIQUE ET COMMANDE DES SYSTÈMES • INFORMATIQUE • AÉRODYNAMIQUE • ÉNERGÉTIQUE
À l’ESME Sudria, les laboratoires sont des lieux quasi magiques, où se retrouvent systématiquement tous les passionnés. Le fait de se rencontrer autour des mêmes outils, entre passionnés, pousse à l’échange, l’émulation, au projet commun. Supports de l’innovation, l’école dispose de 4 départements d’Enseignement et de Recherche : Le département “Systèmes et Energies” couvre des domaines d'expertise allant des systèmes de production de l'énergie électrique, y compris le nucléaire et les énergies renouvelables. 3 laboratoires centralisent les activités de recherche et de développement : • Le laboratoire électronique de puissance s'attache à décrypter le comportement des interrupteurs et à maîtriser leur commande rapprochée. • Le laboratoire de modélisation des systèmes électromagnétiques élabore des méthodes permettant d'optimiser les coûts des sous-systèmes. • Le laboratoire de commande des systèmes électriques.
la formation des étudiants en cycle préparatoire à l'utilisation de logiciels scientifiques. • Le L.E.A (Laboratoire d'Électronique Avancée) et le CAO. Ils forment les étudiants à l'usage des outils de conception et de simulation de composants électroniques à haut niveau d'intégration (EPLD, FPGA ou ASICs). • Le L.A.R (Laboratoire d'Automatique et de Robotique) permet aux étudiants d'acquérir les techniques liées à l'automatisation de procédés industriels qui utilisent très largement des ordinateurs et calculateurs électroniques.
Le département “Electronique et Commande” regroupe 3 laboratoires, au service des entreprises et son expertise dans la conception de cartes électroniques. Ses domaines de compétences sont vastes et incluent par exemple le WiFi, le ZigBee (communication sans fil)... • Le L.E.G.M (Laboratoire d'Électronique Générale et Mesures) assure
Le département “Signal et Télécommunications” consacre ses recherches à des outils avancés de traitement du signal, tels que les ondelettes, le filtrage de Kalman, la séparation de sources pour des applications allant du biomédical au militaire, en passant par le traitement du signal de parole et audio. Il regroupe 3 laboratoires : • Laboratoire Signaux, Images et
Sons où est abordé par exemple le Développement sur DSP : Texas Instruments, Analog Devices, Motorola , l’acquisition et traitements de signaux vidéo (compressions). • Laboratoire Réseaux de Télécommunications avec la maquette industrielle de réseau d’entreprise, la transmission et multiplexage de signaux vidéo sur fibre optique. • Laboratoire Systèmes de Communication où sont développés la simulation de systèmes de communication : logiciel COMSYS , le C.A.O Hyperfréquences (logiciel Microwave Office) … Le département “Informatique et Réseaux” répond aux exigences des différents acteurs de l'école en matière de réseaux et de services informatiques. Le département participe à la conception de systèmes informatiques sécurisés pour diverses instances regroupant des grandes écoles françaises.
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LE DEVENIR DU MÉ 5 questions à Joël COURTOIS,
Directeur de l’EPITA
La fonction d’ingénieur couvre une large palette d’emplois présents dans la plupart des secteurs économiques. Métier en perpétuelle évolution, le profil de l’ingénieur est à la fois généraliste et spécialisé. L’EPITA et l’ESME Sudria les forment avec la volonté de leur offrir les moyens de s’adapter aux contraintes de demain. Une profession en pleine mutation.
Comment définiriez-vous la vocation actuelle d’un ingénieur ? Hervé LABORNE : D’une manière générale, un ingénieur est avant tout un créateur. C’est de son imagination que viendront les produits innovants qui feront le monde de demain, plus agréable à vivre sur tous les plans.
Interview de
Joël COURTOIS, Directeur de l’EPITA
en bref • Né en 1960. • Diplômé d’un DEA en informatique à l’Université de Paris IV. • En 1984, il rejoint l’enseignement supérieur comme enseignant et responsable de formation du plan “filière électronique” dans une école d’ingénieur. • En 1990, il obtient un doctorat à l’Université Paris VI. • En 1997, il prend la direction générale de l’EPITA. • Depuis 2007, l'école a été habilitée par la Commission des Titres d'Ingénieurs.
Les qualités que doit posséder le candidat à l’entrée dans le monde merveilleux de l’ingénierie sont d’abord la curiosité, ensuite l’autonomie, puis la confiance en soi et enfin, une propension à être ouvert vers son environnement, quel qu’il soit. Joël COURTOIS : Faire le choix du métier d’ingénieur, c’est décider de s’ouvrir à un avenir multiple. En effet, si traditionnellement le rôle de l’ingénieur a été d’innover, de concevoir et de réaliser dans les différents domaines des sciences et des technologies, il est désormais devenu, en complément de ces fonctions, un manager gestionnaire capable de superviser tout un projet, de la phase d’analyse des besoins jusqu’aux étapes de commercialisation, distribution, communication et marketing. Cela signifie qu’un ingénieur aura la possibilité d’exercer de nombreux métiers tout au long de sa carrière : évolution au sein des domaines techniques et au sein même de l’entreprise. Depuis 15 ou 20 ans, quels sont les principaux changements auxquels vous avez assisté ? H.L : Les changements qui m’ont le plus marqué au cours des 15 dernières années, se situent sur 4 plans. Le plus spectaculaire concerne la rapidité avec laquelle la technique a évolué.
Les progrès de la microélectronique ont transformé en réalité ce qui était il y a peu de temps du domaine du rêve. Et c’est loin d’être fini. L’imagination créatrice de l’ingénieur va pouvoir s’exprimer davantage aussi bien dans le domaine de l’industrie que dans la production de produits au service de la personne. Les changements sur le plan sociologique engendrés par la généralisation de l’utilisation de l’Internet ont été spectaculaires. L’accès à l’information, bonne ou mauvaise, est désormais instantané. La communication étant facilitée, les comportements des individus ont été modifiés. Le métier d’ingénieur s’est internationalisé. Les affaires ne se font plus seulement en France ou en Europe, mais dans le monde entier. Et pour terminer, la dernière décennie a vu les considérations liées à l’énergie dans son intégralité revenir au premier plan des préoccupations des hommes, alors qu’elles avaient été occultées par le gonflement de la bulle Internet et les progrès des télécommunications. Et ce domaine n’a pas fini de nous réserver des surprises. J.C. : Nous devons constater la complexification croissante du monde dans lequel nous vivons. L’ingénieur d’aujourd’hui est à la fois un généraliste et un expert, qui doit avoir une vision systémique des systèmes, des environnements et des organisations. Il doit conserver une expertise technique et scientifique forte, dans des domaines en évolution permanente, tout en ayant une vision globale du projet avec la dimension de l’entrepreneur ! Tout cela rend le métier encore plus passionnant et ouvre aux ingénieurs de nouvelles opportunités de carrières.
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ÉTIER D’INGÉNIEUR et Hervé LABORNE, Directeur de l’ESME Sudria Quelles sont aujourd’hui les principales qualités requises pour un ingénieur ? H.L : Je vois quatre qualités incontournables : • L’ingénieur du 21ème siècle est avant tout un communicant, capable d’abord d’écouter, de restituer l’information, de manager des équipes et des projets, ainsi que de faire preuve de charisme. • Il est citoyen du monde, maîtrisant parfaitement, non seulement sa langue maternelle, mais aussi l’anglais et imprégné de plusieurs cultures. • Il est expert dans son domaine de compétences. • Il a une formation suffisamment pluridisciplinaire pour avoir l’humilité d’écouter les autres. J.C. : Passion, rigueur et curiosité intellectuelle, esprit scientifique et sens de la communication, aptitude à manager, aptitude à évoluer dans un univers mondialisé et préservation d’une éthique de l’ingénieur. En vous projetant dans 10 ans, quelles grandes mutations vous semblent prendre de l’importance ? L’exercice du métier sera-t-il différent ? H.L : En ce qui concerne les mutations, la réponse est difficile, car il y en aura dans des domaines diversifiés et en particulier dans celui de l’énergie. Mais il est certain que l’accélération de la mondialisation est inévitable et plus que jamais l’ingénieur devra être prêt à se transformer en “globe trotter”. Parallèlement, les mutations technologiques se feront encore plus rapidement. L’exercice du métier sera forcément différent. S’il est acquis qu’un ingénieur exercera plusieurs métiers dans sa vie, il ne retrouvera plus le même environnement et la même manière d’agir chaque fois qu’il reviendra dans le domaine de l’ingénierie. De plus en plus, il devra être capable
de répondre instantanément à des problèmes dont il ne connaîtra pas a priori la solution. Ceci avec le souci de la satisfaction du client. J.C. : Les tendances actuelles ne peuvent que se confirmer. De nouveaux paradigmes sont à intégrer dans les différents métiers de l’ingénieur, tels que le développement durable, la gestion des ressources naturelles, le nouvel ordre économique mondial… Les qualités actuellement requises pour un jeune ingénieur resteront valides dans ces nouveaux contextes, ce qui garantit la place de l’ingénieur dans l’économie et la société, quelles que soient les évolutions du métier.
Comment pourrons-nous changer ce constat ? Par un travail très en amont dans les médias et les supports d’information des lycées et des collèges. C’est un challenge dans lequel notre école est déjà fortement engagée.
Interview de Difficile de penser l’avenir sans évoquer la faible présence féminine. Comment et quand peut-on développer la présence féminine dans les écoles d’ingénieurs ? H.L : Ce problème est récurent depuis de nombreuses années. Il ne faut cependant pas désespérer, car il y a quarante ans, le taux de présence de femmes dans les écoles était voisin de zéro, alors qu’actuellement il est de l’ordre de 15 à 20 %. Je pense que le nombre de femme qui choisira le métier d’ingénieur augmentera de manière naturelle au fil du temps, compte tenu de la nécessité grandissante pour chaque citoyenne de rester autonome. Une information en amont dès le collège accélérerait évidemment le processus. J.C. : Quand ? Tout de suite ! Toutes les évolutions actuelles et à venir du métier d’ingénieur vont dans le sens d’une plus grande adaptation aux femmes : ouverture d’esprit, communication, aptitude au management, éthique ! Pour la 4ème fois, l’EPITA et ses partenaires viennent de décerner le Trophée de la femme ingénieur High Tech, le Prix Excellencia. Ce concours est l’occasion de démontrer l’existence de magnifiques parcours personnels et professionnels.
Hervé LABORNE, Directeur de l’ESME Sudria en bref • Né en 1946 en Lorraine. • Diplômé de SUPELEC en 1970. • Enseignant-chercheur dans le domaine du contrôle et de la maîtrise de l’énergie de 1970 à 1980 à SUPELEC. • Directeur de l’école d’électricité de la faculté d’ingénierie de l’Université Saint-Joseph de Beyrouth de 1980 à 1986. • Directeur Scientifique de l’ESME Sudria de 1986 à 2003. • Depuis 2003, il est Directeur Général de l’ESME Sudria. • Auteur de nombreux ouvrages scientifiques, en particulier sur la commande des machines électriques. • Chevalier de l’ordre des Palmes Académiques.
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ENCORE ÉTUDIANTS... CHARLOTTE DE FOUGÈRE (PROMO 2008, ISEG BORDEAUX) vient de lancer VIVRE ÉCOLO, un site Web entièrement dédié à la décoration écologique. Passionnée depuis toujours par l’environnement et la nature, Charlotte est un entrepreneur dans l'âme. Lors de ses deux dernières années à l'ISEG, elle a eu l'occasion de travailler dans le domaine de l'audit interne à la CAFSA, une entreprise forestière pour laquelle elle s'est intéressée au projet de développement du bois énergie. www.vivre-ecolo.com Qu’est ce qui vous a amené à monter un site entièrement dédié à la décoration écologique ? Si je n’avais pas fait une école de commerce j’aurais voulu être commissaire priseur. J’ai toujours aimé les beaux meubles, la décoration. D’ailleurs mon 1er stage s’est déroulé à Drouot. Passionnée depuis toujours par la nature, je me suis intéressée, dès ma 1ère année à l’ISEG, à l’environnement, au recyclage, à la valorisation des déchets et aux problématiques liées au pétrole. Ces thèmes devenaient régulièrement mes sujets de mémoires ou de dossiers de fin d’année. J’ai réalisé la plupart de mes stages dans des entreprises éco-responsables, telles que les laboratoires Caudalie (utilisation de pépins de raisins pour créer les produits de beauté), Lafarge Maroc où je me suis penchée sur l’utilisation de déchets comme source d’énergie ainsi qu’à la CAFSA, où j’ai travaillé sur le développement du bois énergie en France. En sortant de l’ISEG, j’ai trouvé un poste d’auditeur… un poste très intéressant, me permettant d’acquérir une bonne formation et expérience, mais un job un peu loin de mes convictions et passions. Ce projet, je l’avais dans la tête depuis longtemps mais je n’osais pas le mettre en place. Après une discussion avec une amie je suis partie à la CCI de Bordeaux et j’ai passé le week-end à monter mon business plan… L’aventure était lancée !
Comment assurez-vous à vos clients une véritable traçabilité des produits et donc une assurance qu’ils répondent à toutes les normes écologiques ? Tous les produits commercialisés sur le site doivent garantir le respect environnemental, sur l’ensemble du
processus de production et doivent correspondre à une charte éthique, tout en justifiant d’un réel intérêt écologique et/ou économique. Pour cela, je m’assure auprès de mes fournisseurs du caractère écologique des produits. Je travaille en collaboration avec eux pour connaître parfaitement bien leurs process de fabrication. Je m’attache à vérifier les composants, les matières ou peintures utilisés et également les conditions de travail dans lesquelles les marchandises sont produites. Vivre-ecolo.com est une entreprise éthique et responsable. Enfin, chaque produit mis en ligne est auparavant testé par mes soins, ce qui me permet de m’assurer de leur qualité et de leur intérêt écologique.
Saladier en bambou et la boite verte
Quels sont les gestes simples qui permettraient à chacun de préserver notre environnement ? Pour préserver notre environnement, il y a des petits gestes simples que l’on peut faire tous les jours. Préserver l’environnement est une question de bon sens et de logique. • Privilégier les fruits et légumes de saison. • Privilégier les modes de transports écologiques comme le vélo. • Trier ses déchets tels que le verre, le plastique, le papier et les déchets organiques (épluchures, coquilles d’œuf, sachets de thé). • Utiliser des noix de lavage plutôt que de la lessive. • Être vigilant sur la consommation d’eau et sur la veille des appareils Hi-Fi. Utiliser des économiseurs d’eau et d’énergie !
Quelles sont vos perspectives de développement ? Le site n’a que quelques mois d’existence mais nous remarquons que les produits vivre-ecolo.com suscitent déjà une certaine attention et intérêt. Je souhaite continuer à développer le site, le rendre plus interactif et également développer le blog. C’est l’occasion de communiquer sur les avancées et démarches de vivre-ecolo et de ses partenaires. Le blog aura également vocation à apporter des idées nouvelles en terme de déco. Mon objectif consiste à positionner vivre ecolo.com comme un site de référence en termes de décoration écologique. Néanmoins, l’un de mes grands challenges reste celui de l’environnement et nous travaillons pour trouver et développer une organisation logistique la plus verte possible, qui doit être un avantage concurrentiel déterminant dans notre positionnement. Nous travaillons pour que les expéditions des produits se fassent dans les conditions les plus environnementales possibles. Actuellement nous utilisons des emballages recyclés et adaptons les emballages aux produits afin de limiter la sur-consommation d’emballages. Il s’agit de lier à la fois satisfaction du client et protection de la planète. Avez-vous un conseil pour nos futurs diplômés ? J’entends trop souvent les étudiants se plaindre des perspectives d’avenir, du manque de ceci ou de cela. L’ISEG est une école qui s’est énormément développée depuis mon arrivée en 1ère année. Elle apporte des bases solides et encourage dans les démarches. Néanmoins, elle ne sert pas sur un “plateau d’argent“ le job de ses rêves. C’est à chacun de le trouver et de se battre pour l’obtenir. Mon conseil serait : croyez en vous et allez au bout des choses.
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... ET DÉJÀ ENTREPRENEURS CAMILLE MIREY (PROMO 2007, EPITECH) est Président du Game Dev Lab depuis 2007 et aujourd'hui directeur de sa propre entreprise, Persistant Studios, c’est une SARL créée début 2005 avec Valentin Ksiezac, Maxime Dumas et Julien Bilalte, tous issus de l’école. www.persistant.fr Élaborée au cours de leur 5ème année à l'EPITECH, cette société a pour vocation d'exploiter et de développer la technologie HellHeaven. Il s'agit d'un moteur et d'un ensemble d'outils qui permettent de créer des environnements virtuels en 3D avec des interactions entre l'environnement et les personnages. L'équipe travaille en ce moment sur un gros projet commandé par la fédération des travaux publics de Rhône-Alpes. Le but est de sensibiliser le grand public aux risques des réseaux enterrés, notamment les explosions de conduite de gaz. Pour ce contrat, l'équipe de Persistant Studios réalise une scène
d'intervention virtuelle, où sont mis en évidence les points dangereux et les gestes à adopter pour éviter tout accident. Ces jeux vidéo, appelés Serious Games, ouvrent un marché
très important dans lequel la société s'installe progressivement, grâce à un partenariat avec B2B Games, une société Lyonnaise, très dynamique dans ce secteur. Si aujourd'hui la société se porte bien, les débuts n'ont pas été de tout repos pour Camille et son équipe : “Nous avons consacré les deux premières années à générer l'autofinancement suffisant pour développer la technologie en interne par divers projets de développement Web et de la R&D, notamment pour des sociétés d'architecture. Pour réussir et tenir, il n'y a pas de secret : il faut saisir les opportunités qui se présentent, avoir la niaque… et ne pas penser à dormir !”
JULIEN CULLIEYRIER ( ISG, 2ÈME ANNÉE DE PRÉPA) CRÉE KAZOOM AVEC 3 ASSOCIÉS, ÉTUDIANTS. Depuis septembre 2008, ce jeu en ligne repose sur un principe simple : être le seul à proposer une offre sur le produit choisi au prix le plus bas. Chaque jour 1 ou 2 lots sont mis en jeu. Le gagnant est celui qui trouve le prix unique le plus bas. Kazoom.fr rend les lots les plus fous accessibles à tous : écrans plats, téléphones portables, consoles, chèques Club Med... il y en a pour tous les goûts. www.kazoom.fr Comment vous est venue l'idée originale de faire gagner des cadeaux sur le principe de trouver le prix le plus bas ? Cette idée nous a été inspirée par un modèle anglo-saxon, dans lequel les enchères jouent un rôle moteur dans l'économie web de Grande-Bretagne. Ce tout nouveau phénomène de jeu a déjà pris chez nos voisins européens. C’est un réel succès en Italie (www.bidplaza.it), en Allemagne (www.hammerdeal.de), ainsi que dans les pays nordiques (www.bidster.com). La création de votre entreprise en parallèle à vos études n’a-t-elle pas été trop compliquée? La création de notre entreprise a été assez complexe mais nous n’avons pas rencontré de problèmes majeurs. L’équipe que nous avons constituée avec mes 3 associés, M. Boachon, C. Pelissier et Y. Alarçon a été d'une grande efficacité. Étant plusieurs sur ce projet, nous avons pu combiner nos aptitudes et nos compétences
pour permettre de monter notre projet en parallèle à nos études. Avez-vous mis en place des partenariats pour obtenir des prix à un coût de revient si bas? Nous travaillons principalement avec 2 fournisseurs spécialisés dans les objets High Tech Pixmania Pro et LDLC pro. Nous sommes sur le point d'obtenir des accords commerciaux avec ces derniers. Par ailleurs, concernant notre diffusion Web, nous travaillons étroitement avec Felix Création. De plus, les objets sont financés grâce aux coûts de participation. C'est un peu comme un système de jetons. Les gens achètent des jetons et tentent leur chance. La somme de ces paiements constitue notre chiffre d'affaires. Il nous permet de payer nos objets, nos charges et nos investissements.
Quelles sont vos objectifs à n+1 ? Nos objectifs à n+1 sont d'une part d'étendre notre concept à l'échelle européenne et de l'autre, de diversifier nos activités sur le Web. En quoi l'ISG vous a-t-elle été utile ? Être étudiant à l'ISG nous permet d'apprendre des méthodes et outils utiles dans la gestion et l'appréhension de l'environnement dans lequel nous évoluons quotidiennement. L’esprit critique enseigné nous permet de faire la part des choses dans nos décisions. Un conseil pour les futurs étudiants souhaitant monter leur entreprise ? Les maîtres mots sont rigueur et organisation, indispensables pour réussir ses projets d'entreprises et son cursus. "L'entreprise est un moyen de réaliser ses rêves" m'a dit un jour, un de mes professeurs. C'est un idéal que je m'efforce de poursuivre.
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ISEG LES AMPHIS DE L'ISEG SONT DE RETOUR, DES RDV À NE PAS MANQUER!
Une fois par mois l’ISEG organise un Amphi. Ce rendez-vous incontournable qui se déroule à Paris, est retransmis en direct dans les 6 autres ISEG du Groupe. Les intervenants, tous experts dans leur domaine, éclairent les étudiants sur un sujet d’actualité ou une thématique relative à leur programme. Ces conférences apportent aux élèves une vraie valeur ajoutée. Le 1er Amphi de l’ISEG de l’année s’est déroulé le mercredi 22 octobre sur le thème : un conflit aux portes de l'Europe, une crise peut en cacher une autre. Animé par Viviane Du Castel, enseignante/ chercheur et responsable ingénierie pédagogique ISEG, cette conférence réunissait 4 experts : Jacques Sapir (Directeur de CEMI-EHESS, Directeur d'études à l'EHESS, Expert des problèmes de la Russie et de ses voisins), Gaïdz Minassian (Rédacteur à Lemonde.fr et chercheur en relations internationales au Groupe d'Analyse Politique à l'Université Paris X Nanterre), Annie Jafalian (Chargée d'enseignements et de recherche à l'Université Lyon III) et Giorgi Mamoulia (Historien, rédacteur aux Cahiers du Monde Russe). Après un éclairage sur la question de la reconnaissance d'indépendance de l'Ossétie du Sud et de l'Abkhazie par la Russie et celle des tensions entre la Russie et l'Occident, les étudiants ont pu intervenir et poser des questions. Le mercredi 26 novembre 2008, se déroula l’Amphi sur le thème de "l'après-élection américaine : enjeux et défis". Animé par Marc Drillech (DG de IONIS Education Group), il a réuni Daniel Vernet (Directeur des relations internationales du journal Le Monde), Robert Crane (Analyste de la politique
américaine) et Stéphanie Simonard (Experte en législation internationale pour les Etats Unis et pour l'Union européenne et Présidente du parti républicain (américain) en France. À noter dans votre agenda les prochains Amphi de l’ISEG : Le mercredi 17 décembre 2008, 2 spécialistes de la pub, Stéphane Pincas (Directeur de création Publicis) et Marc Loiseau (Directeur des études Publicis), animeront la conférence autour de la sortie de leur livre Une histoire de la publicité. Le mercredi 4 février 2009, l’Amphi sera dédié à la Semaine de la Pub dont l’ISEG est partenaire. Un débat avec des professionnels réputés sera mené sous la direction de François Kermoal (Rédacteur en Chef du magazine Stratégies).
Sur les 13 textes retenus, 11 proviennent de la contribution des étudiants de l'ISEG Lille ! (Fanny Dhédin, Emeric Legros, François Lespagnol, Maxime Parmentier, Vincent Briquet, Nathalie Jakiel, Julien Roussel, Stéphanie Helbert, Charlotte Tassin, Jimmy Carette, Lucie Bruyère). Olivier BEDDELEEM (EnseignantChercheur à l'ISEG et Président des jeunes européens de Lille), à l'initiative de la participation des étudiants de 3ème année, ainsi que toute l'équipe sont heureux et fiers de leur participation et de la qualité du travail rendu.
L'ISEG BORDEAUX ACCUEILLE LE PRÉSIDENT DU MEDEF GIRONDE
L’ISEG LILLE SIGNE UN PARTENARIAT AVEC BNP PARIBAS
L'alliance entre l'ISEG et BNP Paribas va offrir aux étudiants de nombreux avantages. En plus d’assurer une présence à toutes les manifestations de l’ISEG Lille (Forum recrutement, Business et Finance Week), la banque s'engage à proposer des offres de stages et d'emploi aux étudiants de l'ISEG. De plus, elle facilitera le financement des études en proposant un crédit à taux réduit à 2.70 % (hors assurance). Pour tous renseignements complémentaires, n’hésitez pas à contacter l’école.
LES ÉTUDIANTS DE L'ISEG LILLE PROPOSENT LEUR VISION SUR L'AVENIR DE LA CONSTRUCTION EUROPÉENNE 2057, les 100 ans du Traité de Rome. Regards de 13 jeunes sur l'avenir de la construction européenne vient d'être publié aux éditions Le Manuscrit. En 2007, dans le cadre des 50 ans du Traité de Rome, un concours a été organisé par le Mouvement Européen-Vienne et les jeunes EuropéensFrance. Les étudiants devaient proposer, en 4 pages maximum, leur vision de l'Europe en 2057, année du centenaire.
Le mercredi 12 novembre 2008 l'ISEG Bordeaux a accueilli Pierre GOGUET, Président du MEDEF Gironde. À cette occasion a été abordée l'actualité récente puisque le thème retenu pour ce Focus sur l'Economie fut : "La crise économique et financière : les conséquences en Aquitaine" . La conférence était animée par le journaliste Nicolas César, correspondant du Journal La Croix. Pierre GOGUET, expert comptable et titulaire d’un DESS de Finances à l’Université de Paris Dauphine est particulièrement bien placé pour aborder ce sujet stratégique des années à venir. Sa carrière professionnelle débute en 1974 dans une entreprise de transport national, dans laquelle il occupait le poste d’Analyste fonctionnel à la Direction informatique et gestion. Pierre GOGUET préside le Groupe ECAF depuis 1980 (Experts Comptables et Analystes Financiers) dont il est le fondateur à Mérignac et qui emploie 34 personnes. Il est également associé-gérant du holding SOGEC
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qui contrôle 3 autres sociétés d’expertise comptable et de commissariat aux comptes (effectif total : 50 personnes).
LA SEMAINE DE LA FINANCE
18.NOV 24.NOV 2008
SEMAINE FINANCE
DE LA
AVEC LE SOUTIEN DE
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stratégie CAAM (Crédit Agricole Asset Management) est venu animer une conférence le mardi 18 novembre 2008. L’objectif était d’aider les étudiants du programme FINANCE et SUP à décrypter la crise internationale et de réfléchir sur les préconisations nécessaires. M. ROGER a développé son intervention en présentant les trois grands mécanismes inhérents à cette crise. Les trois grands mécanismes responsables de la crise actuelle : transfert de bulle, financiarisation de la bulle et dissémination du risque financier.
BUSINESS & FINANCE WEEK
ISEG PARIS 28, RUE DES FRANCS BOURGEOIS 75003 PARIS 01 44 78 88 88 WWW.PARIS.ISEG.FR
Pour la 2ème année consécutive, les étudiants du Groupe ISEG ont participé à la Semaine de la Finance. Pour l’instant, cette semaine a eu lieu à l’ISEG Paris, Lille, Nantes et Strasbourg. Elle a pour but d’amplifier la relation étudiants/entreprises en multipliant les rencontres et les moments d’échanges autour du thème de la finance. Moment phare de cette semaine : le forum métier ! Au total plus d’une dizaine d’entreprises étaient présentes pour expliquer les métiers de la finance et leur positionnement dans le contexte actuel de crise. De multiples fonctions du monde de la finance se sont rassemblées dans les locaux, de quoi trouver des réponses aux questions et aux interrogations des étudiants.
FOCUS SUR L’ISEG NANTES Responsable de la délégation commerciale Ouest d’AGF finance conseil, Inspecteur des ventes d’AGF finance conseil, gestionnaire de patrimoine chez AUNIS PATRIMOINE, agent d’assurance chez AXA ASSURANCE, DRH à la BANQUE POPULAIRE ATLANTIQUE, directeur d’agence chez LCL, chargé de développement économique dans l’entreprise Nantes INITIATIVES… tous étaient présents pour répondre aux questions des étudiants. Dans le cadre de la Semaine de la Finance de l’ISEG Nantes, M. ROGER, Responsable de la
ISEFAC
LES ÉTUDIANTS DE L’ISTH À L’ÉMISSION DE RIPOSTES
Le 2 novembre dernier, une dizaine d’étudiants de l’ISTH a assisté à l’émission Ripostes, consacrée aux élections américaines. Au cours de cette émission de décryptage de l’actualité, les différents invités, Bernard Thibault, Christian Salmon, François Durpaire, Noël Mamère, Rama Yade et Bruce Crumley ont pu croiser leurs regards sur la probable élection de Barak Obama : Quels sont les ressorts de cette ferveur française ? Comment Barack Obama a-t-il construit son image ? Que changerait réellement son élection ? Les invités de "Ripostes" suivent ces dossiers de longue date. Place au débat !
CETTE ANNÉE, ISEFAC LANCE DEUX NOUVEAUX PROGRAMMES BACHELOR
ICS Bégué
Toujours soucieux de répondre au mieux aux attentes des étudiants, ISEFAC lance cette année deux nouvelles qualifications métiers dans le programme Bachelor : Marketing du Luxe et Management du Sport. Ces deux spécialisations connaissent un vif succès auprès des étudiants en BTS MUC* OU NRC** deux secteurs porteurs. La formation ISEFAC Bachelor permet aux étudiants de trouver rapidement un emploi dans ces deux branches. En effet 85 % des étudiants trouvent un emploi dans les 3 mois suivant la sortie de l’école.
MODERNISME ET DYNAMISME POUR LES COMPTABLES !
* Management des Unités Commerciales ** Négociation Relations Clients
ISTH SCIENCES PO EN 1 SEMESTRE... L’EXCEPTION ! L’ISTH est la seule prépa à proposer aux bacheliers 2008 de suivre un cursus Sciences Po, qui débute en janvier. C’est une formation complète et renforcée qui permet à des étudiants souhaitant changer de cursus au terme du 1er trimestre universitaire, de se redéployer sans perte de temps et de préparer l’examen d’entrée des IEP. Cette préparation s’adresse aux étudiants des prépas littéraires, commerciales ou scientifiques, ainsi qu’aux universitaires de L1.
www.ics-begue.com
Page d’acceuil du site Internet
ICS Bégué a entièrement remodelé son site Internet. Afin de répondre aux exigences de visibilité et de pertinence, toutes les informations contenues ont été précisées et détaillées. L’apparition des rubriques “Zoom sur” ou encore “Rencontrez-nous” permet l’actualisation des informations et la mise en avant d’évènements, tels que la journée mondiale de lutte contre le sida ou les salons à venir. Une vidéo présentant l’école, le programme pédagogique ou la procédure d’admission est en cours de montage et viendra très prochainement animer la page d’accueil du site, plus attractif et dynamique. Également en chantier, une interface personnalisée pour les élèves et les entreprises facilitera la diffusion des offres d’emploi et de stages. Un espace sera entièrement dédié à l’intégration professionnelle des futurs experts de la comptabilité !
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ISG GÉRARD KOENIG, NOUVEAU DIRECTEUR DE LA RECHERCHE Le département de Recherche de l’ISG vient de se doter d’un nouveau directeur : Gérard Koenig, chercheur de renom et éminent professeur de l’université Paris 12. Diplômé d’HEC, expert comptable, Gérard Koenig est Professeur des universités, agrégé en Sciences de Gestion. Il dirige l’École Supérieure des Affaires de l’Université Paris 12 – Val de Marne. Il est responsable du DEA de Sciences de Gestion commun à cette Université et à l’Ecole Centrale de Paris. Il est co-directeur de plusieurs collections aux éditions Management et Société, notamment “Les Essentiels de la Gestion” et “ L’actualité de la gestion”. Ses recherches s’inscrivent pour l’essentiel dans le champ du management stratégique. Il a écrit plusieurs ouvrages sur le management stratégique entre 1996 et 2004 et a contribué à une quinzaine d’ouvrages collectifs sur l’analyse stratégique. Il publie très régulièrement des articles dans les revues scientifiques et intervient dans des colloques. Ses thèmes de recherche sont principalement axés sur les problèmes d’organisation et de politique générale, ainsi que la méthodologie et l’epistémologie. C’est donc toute son expertise de professeur/chercheur qu’il apporte à l’Institut de recherche de l’école, spécialisé dans le Management depuis sa création.
L’ISG ENTRE DANS LA BCE, BANQUE COMMUNE D’EPREUVES
L’ISG, qui célèbre ses 40 ans, confirme son statut de Grande Ecole. Pour son concours 2009, elle sera intégrée à la BCE. Gérée par la Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris (CCIP), la BCE a été utilisée en 2008 par 30 écoles de commerce et de management, parmi les plus prestigieuses de France, pour recruter leurs futurs étudiants. Parmi elles : AUDENCIA
Grande Ecole, CERAM Business School, EDHEC Grande Ecole, EM LYON Business School, les ESC, ESCP-EAP European School of Management, ESSEC MBA, HEC ... Cette intégration marque une reconnaissance pour l’ISG et le solide réseau professionnel qu’elle tisse depuis 1967. Implantée au cœur de Paris, l’école s’appuie sur un corps professoral en perpétuel renouvellement, tourné vers l’entreprise et la recherche. Fort de ses 16 000 anciens élèves, qui la représentent au quotidien à travers le monde, l’ISG est reconnue pour la qualité et la variété de ses enseignements. Résolument tournée vers l’international, 20 % de ses étudiants débutent leur carrière à l’étranger.
DEUX PROFESSEURS PERMANENTS DOCTEURS EN SCIENCES DE GESTION L’ISG est fière d’annoncer que deux de ses professeurs/chercheurs viennent d’obtenir brillamment leur doctorat.
dont l'ambition est d'atteindre un niveau proche des exigences professionnelles”, explique son président Simon Amouyal.
À terme, ISG TV souhaite proposer un canal vidéo, une chaîne, à l'image des initiatives télévisées privées qui fleurissent sur Internet. L’association s’engage à couvrir les événements liés à la vie de l’école, mais elle va aussi prochainement proposer une émission mensuelle. Enfin, afin de dynamiser l'intérêt et le suivi des événements, la chaîne sera régulièrement alimentée par des "flashs spéciaux". Cette association compte bien faire parler d'elle : à peine une semaine après sa création, elle a déjà réalisé sa première fiction dont le but est de sensibiliser les jeunes face aux problèmes d'alcool.
LES MULTI EN CHINE ! Jessica Fouilloux, professeur de Finance et Gestion, est désormais Docteur ès Sciences de Gestion (Université Paris 1 Panthéon Sorbonne, DEA Finance de Marché). Elle a soutenu une thèse sur les “Méthodes d’évaluation de la prime de terme des taux d’intérêt” et a obtenu la mention très honorable avec les félicitations du jury. Viet Ha Tran Vu, Docteur ès Science de Gestion (Paris 12) et professeur du département Finance Gestion, a soutenu avec succès sa thèse sur “Les dimensions de la performance des cabinets d’audit légal”. Le jury était d’accord pour lui attribuer la mention très honorable, avec les félicitations des membres du jury à l’unanimité.
PREMIÈRE ÉMISSION POUR ISG TV Les étudiants de l'ISG lancent ISG Tv. Créée cette année, l'association a pour but de “transmettre une information télévisée en employant des compétences en audiovisuel et multimédia,
Après un séjour de 2 mois à Tokyo, les étudiants du cycle Multinational sont arrivés le 4 novembre en Chine pour 6 semaines de découverte de la culture chinoise.
Leur emploi du temps prévoit des visites culturelles, des visites d’entreprises et des rencontres avec les Anciens de l’ISG, installés là-bas, sans oublier les cours et conférences à l’université et le projet export. C’est donc un programme bien rempli qui attend les étudiants en Chine ! Ils visiteront entre autres, la French Chamber of Commerce de Beijing, les filiales de HSBC, Areva, KPMG à Shanghaï, la Bourse de Hong Kong… Depuis leur arrivée à Beijing, ils ont déjà visité la place Tien An Men, la Grande Muraille de Chine, le complexe olympique, la Cité interdite… Vous pouvez retrouver leurs pérégrinations sur le blog Planète Ouverte. www.isg.fr/planete-ouverte
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EPITECH EPITECH SIGNE UN ACCORD DE PARTENARIAT AVEC L’UNIVERSITÉ DE BERKELEY Suite au partenariat conclu avec l’université de Berkeley, des étudiants de l’EPITECH pourront se rendre en Californie pour suivre les enseignements de la 3ème meilleure université du monde. Dès 2009, des élèves de Tech 1 et de Tech 4 vont avoir la possibilité d’assister aux sessions d’été de Berkeley (UC Berkeley Summer Session) aux côtés d’étudiants locaux.
Nicolas SADIRAC (Directeur de l’EPITECH), Skye WARD (Responsable du programme été de Berkeley) et Julie PIDEL (Responsable des Relations Internationales de l’EPITECH)
A cette occasion, l’EPITECH a reçu la visite de Skye Ward, Responsable du programme des sessions d’été de l’université (http://summer.berkeley.edu/mainsite/index.lasso).
EPITECH AU TOULOUSE GAME SHOW A l’occasion du Toulouse Game Show (TGS), qui s’est tenu les 29 et 30 Novembre 2008, l’EPITECH a proposé aux jeunes visiteurs de découvrir sa formation innovante. Le TGS est le plus grand salon du sud de la France dédié aux jeux vidéo, aux mangas, à la culture asiatique et à la science-fiction.
Cette année, le déploiement d'un pôle "Cursus", en partenariat avec plusieurs établissements d'enseignement locaux, a permis aux jeunes présents sur le salon, de s'informer sur les métiers de ces univers et de découvrir l’EPITECH. “Parce qu’une grande majorité de nos étudiants a découvert sa passion pour l’informatique par le biais des jeux vidéo,
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ce salon est une formidable opportunité pour l’EPITECH de mettre en valeur sa formation et pourquoi pas, de recruter de futurs étudiants, pour nos écoles de province”, a déclaré Nicolas Sadirac, Directeur de l’EPITECH. Le stand était divisé en 3 zones : • Une zone consacrée à la présentation de l’école • Le Game Dev Lab : démonstrations interactives de jeux réalisés par les étudiants des 2ème et 4ème années, avec la possibilité de jouer sur ces plates-formes pour le public et des démonstrations interactives de combinaisons de Motion Capture… • Melty.fr : une zone était réservée à la présentation de ce site Internet, né de l’imagination d’Alexandre Malsch. Melty.fr est le 1er site Internet entièrement consacré au monde des adolescents.
EPITECH LANCE L’E-MISSION, SA WEB TV DEDIÉE A L’INNOVATION ET AUX NOUVELLES TECHNOLOGIES Diffusées deux fois par mois, ces 20 minutes d’Innovation et de Nouvelles Technologies sont présentées par Yannick Lejeune (diplômé de l’EPITA et aujourd’hui Directeur Internet (Systèmes & Marketing) de IONIS Education Group) et par un étudiant d’EPITECH, qui changera tous les 15 jours. L’idée du programme est de décrypter quelques thèmes informatiques entre “experts”. L’e-mission vise avant tout à faire découvrir l’innovation informatique pour l’entreprise et pour les passionnés d’high-tech, de manière accessible. En plus des interviews avec un professionnel du secteur qui auront lieu en début d’émission, l’équipe du programme a développé deux partenariats. Le 1er avec Seesmic (plateforme de conversation video) permettant au public de poser des questions aux invités, au sein d’une rubrique appelée Public Seesmic et le second, avec Wikio (portail d’information) pour aborder l’information sous un angle plus subjectif, grâce aux prises de position des blogueurs et des sites web référencés par le portail d’information. L’e-mission se déroule en 4 parties : 1) La sélection high-tech : en 3 minutes, un résumé des choses vues et entendues dans l’info technophile des dernières semaines.
2) L’interview : en 7 minutes 3) Public Seesmic : 5 minutes durant lesquelles l’invité répond aux questions vidéos posées par les internautes, avant l’émission, sur la plateforme Seesmic. 4) Le WikioBuzz : 5 minutes durant lesquelles un chroniqueur aborde ce qui fait le buzz sur Internet au travers d’articles trouvés dans Wikio.
Jean-Michel PLANCHE (PDG de Witbe) et Yannick LEJEUNE (Directeur Internet I.E.G.)
Le premier invité de l’e-mission était Laurent Ellerbach, Directeur Marketing de la Division Plateformes et Ecosystème de Microsoft France.
FÊTE DE LA SCIENCE À NANTES Dans le cadre de la Fête de la Science 2008, l’EPITECH a ouvert les portes de ses locaux à tous les amateurs d’histoire architecturale. Avant d’être le lieu de formation des experts en technologies de l’information nantais, l’Observatoire astronomique de la Marine, fondé en 1828, a vécu plusieurs vies jusqu’à sa redécouverte récente par Olivier Sauzereau, qui en a reconstitué l’histoire. Aujourd’hui, EPITECH Nantes s’est installée dans ce haut lieu patrimonial, qui a notamment reçu Jules Verne. Il a été exceptionnellement ouvert à tous les Nantais, en partenariat avec l’association Méridienne, à tous les Nantais, du 19 au 22 novembre 2008. À cette occasion les locaux accueillaient le public de 10h à 18h avec une exposition, des conférences et des débats.
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ESME-SUDRIA CONFÉRENCE/ DÉBAT SUR L’INTÉGRATION DES JEUNES HANDICAPÉS L’ESME Sudria, toujours très engagée dans l’intégration des personnes handicapées, a organisé dans ses locaux, en partenariat avec l’association Hanploi, la Conférence des Grandes Écoles et avec le soutien de la mairie d’Ivry, une conférence/ débat le 20 novembre sur le thème de l’intégration des jeunes handicapés au sein des écoles, des universités et des entreprises en 2008. En effet, l’ESME Sudria œuvre depuis longtemps en faveur de l’égalité des chances. Pour preuve : ses locaux adaptés et entièrement aux normes, ses nombreux partenariats avec des entreprises employant, dès la sortie de l’école, des élèves handicapés.
“Nous sommes ravis que l’ESME Sudria ait été choisie une nouvelle fois pour accueillir cette conférence, déclare Hervé Laborne, Directeur Général de l’ESME Sudria. Depuis de nombreuses années, nous avons fait le choix de soutenir l’insertion des personnes handicapées dont les ressources sont parfois mésestimées. Pourtant, comme les autres, ils sont dotés d’un potentiel extraordinaire. C’est pourquoi nous ne devons pas leur fermer les portes et au contraire, montrer à tous qu’ils constituent un formidable réservoir de capacités qu’il serait stupide d’ignorer.”
de la Conférence des Grandes Écoles, nombre de référents handicap…), des retours d’expériences des écoles/universités, entreprises et étudiants handicapés, ainsi qu’autour de deux questions clés : Etudiants / Ecoles / Entreprises comment “s’hangager” ensemble ? et comment le handicap peut-il être moteur d’une relation durable ?
“La société Microchip, en nous décernant son label de “Design Partner”, marque à son tour sa confiance dans notre école dont la sélection et la formation sont reconnues dans le monde. Nous sommes donc fiers du témoignage que nous a rendu cette société leader sur le marché de l’électronique”, conclut Hervé Laborne, Directeur de l’ESME Sudria.
L’objectif de cette rencontre est de mettre en lumière des pistes de réflexion sur la façon d’optimiser les actions existantes et d’en développer de nouvelles.
GERS : UNE JUNIOR ENTREPRISE AU PROFIT DES ÉTUDIANTS
L’ESME SUDRIA : 1ÈRE ÉCOLE D’INGÉNIEURS FRANÇAISE ACCRÉDITÉE “DESIGN PARTNER” PAR MICROCHIP La division Recherche et Développement de l’ école, existant depuis un peu plus de cent ans, a reçu le prestigieux label “Design Partner” de la société américaine, Microchip. En rejoignant les 9 bureaux français (INES, TEMIS, SOREC, P. B. Micro Designs, B4E, Hcell Engineering, ALCIOM, ADISON, INNOVATIS SYSTEMS) détenant déjà cette distinction et surtout, en devenant la 1ère école d’ingénieurs détentrice de ce titre, l’ESME Sudria apparaît comme un pôle d’excellence et de référence professionnelle international. Ce titre consacre, la qualité des enseignements et des formations que l’ESME Sudria dispense dans les domaines de l'électronique, des télécommunications et de l'informatique.
La réflexion de la conférence est fondée sur un état des lieux (cadre légal, charte
L’ESME Sudria peut se prévaloir d’avoir, depuis plus de vingt ans, une Junior Entreprise dynamique qui offre à tous les étudiants la possibilité de travailler sur des projets d’entreprises. Les domaines de compétences majeurs de la Junior Entreprise sont le génie électronique, l'informatique, l'électricité et depuis peu, la traduction de manuels techniques. Forte de son expérience, la Junior Entreprise G.E.R.S a su se développer et s'adapter, au fil des années, aux demandes de plus en plus exigeantes de ses clients. L'équipe du G.E.R.S est composée d'élèves dynamiques, motivés, sérieux et au service du monde professionnel. L'école met à la disposition des élèves-ingénieurs, parmi lesquels les intervenants qui sont choisis selon leur niveau de compétences techniques, afin de répondre au mieux aux besoins de l'étude. Le G.E.R.S a des partenariats institutionnels avec : MICROSOFT, BNP PARIBAS, KPMG, ALTRAN TECHNOLOGIE, CNJE. Ces partenaires assurent aux membres des formations professionnelles, lors des congrès organisés par la CNJE, ce qui permet à l'équipe du G.E.R.S de mieux faire face aux nouveaux défis.
IONIS INSTITUTE OF TECHNOLOGY JOURNÉES INTERNATIONALES Sur 5 continents et à chaque étape de leur cursus, les étudiants du IONIS Institute of Technology disposent de nombreuses ouvertures internationales. Ces Journées Internationales leur permettront de découvrir toutes ces opportunités, le 18 décembre 2008 et le 5 février 2009. Conscientes de l’importance que revêt l’expérience internationale dans l’évolution de la carrière de ses étudiants, les écoles du IONIS Institute of Technology ont construit une politique spécifique pleinement intégrée dans leurs cursus, en colla-
boration avec plusieurs des plus grands acteurs mondiaux de l’éducation. Les organismes internationaux partenaires des écoles, les services des relations internationales, ainsi que les associations d’élèves, les départements d’anglais et le département de communication du groupe IONIS informeront les étudiants et leurs parents de toutes les opportunités disponibles : stages, jobs, séjours linguistiques et universitaires dans des établissements partenaires, cours de langues étrangères, double-diplômes, Erasmus, etc.
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SUP’BIOTECH SB CONSULTING, UNE ASSOCIATION QUI PROPOSE TOUTES LES EXPERTISES NÉCESSAIRES À LA CROISSANCE ET AU BON FONCTIONNEMENT D’UNE ENTREPRISE.
Derrière ce nom, se cache tout un programme. Comme le souligne le Président de l’association, Enguerrand Habran, “nous avons choisi ce nom pour marquer notre appartenance à l’école Sup Biotech et pour affirmer notre double compétence sciences et business, inhérente à notre cursus”. De plus, SB-Consulting permettra aux étudiants de répondre à des demandes émanant d’entreprises extérieures. “Pour acquérir de l’expérience et payer leurs études, les étudiants seront rémunérés pour les missions que nous leur pro-
poserons”. Déjà rodés grâce à leurs propres stages et à leurs expériences personnelles, les membres de l’association ont exploré et développé un panel de clients impressionnant (plus de 1 000 contacts directs). “Toutes les entreprises du domaine des Biotechnologies sont susceptibles d’avoir besoin de nous”, affirme son Président. SB-Consulting peut assurer des missions dans beaucoup de domaines : gestion des coûts, marketing, communication, intelligence économique, business development ...
SUP'BIOTECH SIGNE UN PARTENARIAT AVEC CENTRALE PARIS Après de nombreux partenariats signés avec de grandes écoles à l’international (Tunisie, USA, PaysBas), l’école développe son réseau national, tout aussi important pour l’obtention d’un double-diplôme et pour la reconnaissance professionnelles. Il s’agit aujourd’hui d’un partenariat avec l’Ecole Centrale de Paris (Chatenay-Malabry) et l’ISFBM (Institut de Formation Supérieure Biomédicale) du département de la Faculté de Mé-
decine de Paris Sud. Les formations et objectifs pédagogiques de chacune des écoles étant complémentaires, cette nouvelle convention de partenariat est une évidence. C’est dans le cadre du Mastère spécialisé Ingénierie des données biomédicales (MSIDB) de l’Ecole Centrale Paris, que des places sont ouvertes aux étudiants de Sup’Biotech ayant validé leur 4ème année et répondant aux critères de sélection. Les deux étudiants sélectionnés pourront alors suivre ce mastère en parallèle à leur 5ème année et pourront ainsi obtenir un double-diplôme : Titre d’expert en ingénierie des biotechnologies de Sup’Biotech et Mastère spécialisé en ingénierie des données biomédicales IFSBM et Ecole Centrale de Paris.
E-ARTSUP LE POINT.FR SE “RELIFTE” CHEZ E-ARTSUP E-artsup annonce avoir mis à son programme d'enseignement des 4ème années “communication”, deux réflexions graphiques majeures sur la presse en ligne : lepoint.fr et liberation.fr. Pour le premier, le Directeur de l’école, Peter Gabor, a fait venir la rédaction et l’équipe des Directeurs Artistiques du journal en ligne, pour qu'ils briefent en personne les étudiants. Un moyen de leur donner le contexte du développement d'un site, qui s'est créé en tant que quotidien online sur la tradition du magazine historique, fondé par Claude Imbert. Bien que
l’audience du site lepoint.fr soit dans une courbe croissante, se pose à sa rédaction, comme à tous les autres portails, des questions de positionnement et de modèle propre. En effet les modèles économiques se cherchent entre les payants et les gratuits, entre les portails de presse orientés web 2.0 conçus en participation avec les internautes et les autres, qui doivent encore accomplir un vrai travail de réflexion. C'est en prenant en compte ces considérations que l’école a pris rendez-vous avec les équipes du site lepoint.fr pour présenter à la Rédaction en chef, les résultats des recherches des étudiants. Ces derniers se déplaceront fin janvier pour
le rendu final et c’est un jury mixte, constitué par les enseignants d'e-artsup et les dirigeants du site lepoint.fr, qui choisiront le projet le plus adapté. Un vrai challenge entre les mains des étudiants.
Page d’accueil Le Point
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AU CŒUR DES ÉCOLES...
IPSA TRAVAILLER SUR UN MYTHE AVEC VIRTU'AILES
À la veille des 40 ans du premier vol du Concorde, des étudiants de l’IPSA auront l’opportunité de travailler sur un mythe qui fait encore rêver ! Depuis avril 2006, 7 passionnés d'aéronautique et de simulation ont monté l’association Virtu’ailes autour d’un challenge commun : la construction et la réactivation de simulateurs de vol. Dans cette équipe, 2 anciens IPSAliens mènent le projet SpeedBird, dont l'objectif est de réactiver un des deux seuls simulateurs de Concorde au monde et de l’intégrer au musée Aéroscopia de Toulouse. Mathieu Sellier (promo 2004, Responsable d'affaires / qualité chez EADS Defence & Security APSYS) et Benoit Bonnard (IPSA 2005, Ingénieur Simulateur de vol ATR chez ETOPS) vont mener ce projet et faire participer des étudiants de l’école.
Le simulateur de vol ATR
En contact direct avec l'aéronautique et son histoire, des étudiants de l’IPSA pourront ainsi se voir attribuer des sujets d'études sur le simulateur dans les domaines de l'automatique, avec la création des commandes et des modèles d'asservissement ou de l'électronique, avec le design d'une carte de contrôle de ces nouveaux vérins. Pour plus d’informations sur l’association : http://assovirtuailes.free.fr/
IPSA, PASSEPORT POUR L'INTERNATIONAL Après la visite de plusieurs représentant des universités russes, l'IPSA vient de signer un accord de collaboration avec le département aéronautique du Moscow Institute of Physics and Technology (MIPT). Parce que l'aéronautique et le spatial sont des domaines profondément internationaux, l'IPSA intègre cette donnée dans sa formation. Bien que beaucoup d'étudiants effectuent déjà des stages ou des parties de leur cursus à l'étranger, l'aboutissement de cette perspective internationale se fera à l'horizon 2010 : chaque étudiant devra passer au moins un semestre complet dans une école partenaire de l'IPSA. Le MIPT sera l'une d'entre elles. Pour aider ses étudiants au maximum à tirerprofit de cette expérience, l'IPSA proposera à ses étudiants des cours de russe à partir d'octobre 2008. Situé à Dolgoprudny, le Moscow Institute of Physics and Technology (MIPT) est une université russe ayant pour vocation à préparer des spécialistes de la physique théorique et appliquée, des mathématiques appliquées et des disciplines connexes.
IPSA, EPITECH, EPITA EVOLUTEK, DANS LA VILLE EUROPÉENNE DES SCIENCES L’association de robotique d’EPITA, EPITECH et IPSA faisait partie des membres du projet Robocité. Elle était accueillie sur le stand de l’ANSTJ (Association Nationale Sciences Techniques Jeunesse). Organisée à l'occasion de la Présidence française de l'Union européenne par le ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche, la ville européenne des sciences rassemblait 70 exposants
qui présentaient leurs travaux de recherche, les innovations qui en découlent et leurs applications dans la vie quotidienne. L’association Evolutek accueille toutes les compétences du IONIS Institute of Technology qui souhaitent développer des projets dans le domaine de la robotique. Ce groupe d’étudiants présentera un nouveau robot lors de la coupe de robotique 2009 organisée par Planète Sciences et compte faire aussi bien que cette année lorsqu’ils avaient obtenu le prix de la créativité (octobre 2008).
Aujourd'hui, le MIPT travaille en étroite collaboration avec le TsAGI (Central Aerohydrodynamics Institute), l'équivalent russe de l'ONERA, ce qui permettra à certains étudiants de l'IPSA de faire un stage dans ce prestigieux institut d'aéro-hydrodynamique.
IPSAVIATION : L’ASSOCIATION POUR LES PASSIONNÉS D'AÉROMODÉLISME Mathieu Parmentier, fondateur de l’association, était heureux de présenter IPSAviation aux nouveaux inscrits lors du forum, qui s’est déroulé le 8 octobre. Cette association vise à réunir les élèves passionnés par le modélisme et plus particulièrement par l'aéromodélisme.
Elle permet aussi aux intéressés de découvrir le monde du modèle réduit, à travers la construction des avions ou des planeurs et le pilotage de ces derniers. Elle est ouverte à tout le monde, modélistes confirmés ou amateurs.
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EPITA L’INNOVATION AU CŒUR DE L’ÉCOLE Pour mettre l’innovation au cœur de la formation, l’EPITA a créé cette année la “Semaine de la Recherche et de l’Innovation”. À destination des étudiants du cycle préparatoire, l’objectif est de stimuler leur créativité. Comme le précise Joël Courtois, Directeur d’EPITA : “Je veux encourager nos étudiants à s’intéresser à la recherche dès le début de leurs études et qu’en permanence, ils se demandent comment l’innovation peut impacter leur environnement”. Durant la semaine du 22 au 25 septembre, les équipes pédagogiques et le service des relations entreprises de l’école se sont mobilisés pour que chaque étudiant ait bien à l’esprit la recherche de la nouveauté et l’esprit d’entreprendre. De plus, de grandes entreprises comme IBM, INTEL, BOUYGUES TELECOM, ALTRAN sont venues à la rencontre des étudiants en animant des conférences, pour évoquer l’importance de l’innovation dans le développement du secteur informatique.
Intéressé par les profils doubles compétences des étudiants d’EPITA et par la possibilité de trouver de futurs stagiaires, Microsoft a mis en place un réseau d’écoles partenaires dans les trois principaux domaines d’activité de la multinationale : marketing, vente et technique. “Nos relations privilégiées avec l’EPITA nous amènent à recruter très régulièrement des “Épitéens” en stage. En effet, la qualité de leur travail est telle que nous les choisissons souvent face aux nombreuses candidatures que nous recevons”, ajoute Gwenola, Assistante Campus Manager de Microsoft. Lors de cette journée, Microsoft et ses partenaires ont animé plusieurs conférences. À cette occasion Vincent Bouatou, Chargé des relations enseignement supérieur et responsable de l’Imagine Cup a présenté les nouveautés de l’édition 2009. En fin de journée, en direct de Redmondville où se situe le siège de Microsoft, une vidéoconférence a eu lieu avec Fabrice Frachon, un ancien EPITA, venu partager son expérience avec les étudiants.
société, s’est déroulé au sein du Campus de l’école durant toute une journée. Les intervenants ont abordé le concept de l’intelligence ambiante, concept qui repose sur l'intégration de fonctions électroniques dans les objets de la vie tous les jours, qui bouleverse notre mode de vie quotidien. Comme l’explique Joël Courtois, Directeur de l’EPITA, “l’intelligence ambiante nous promet un monde parsemé de petits éléments électroniques, bon marché, interconnectés, autonomes, sensibles au contexte et ayant un certain degré d'intelligence, tout cela, dans notre environnement quotidien (dans nos voitures, dans les bâtiments, dans les arbres et dans la rue). Elle est l'exemple typique de ce qu'est l'ingénierie technologique. C’est pourquoi, l’EPITA souhaite faire le point de manière très accessible sur l’intelligence ambiante, ce qui se fait et ce qui se fera dans les dix prochaines années en matière d’informatique pour l’individu.”
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Réalité augmentée, mondes virtuels, maison connectée, objets communicants….
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MICROSOFT RECRUTE DES STAGIAIRES À L’EPITA Le 13 novembre 2008, Microsoft, leader mondial de l’édition de logiciels, a investi les locaux de l’EPITA afin de présenter ses dernières technologies, de favoriser l’émergence de projets pour la prochaine édition de l’Imagine Cup (la plus grande compétition informatique au monde), et bien entendu pour recruter des étudiants.
L'EPITA, PARTENAIRE FONDATEUR DU PRIX EXCELLENCIA
Les 4 lauréates du Prix Excellencia 2008
L’absence de présence féminine dans les métiers d’ingénieurs, plus particulièrement dans les filières High Tech a amené l’EPITA a créer, il y a maintenant 4 ans, le premier tro-
DE 9H00 À 18
COLLOQUE SUR L’INTELLIGENCE AMBIANTE L’EPITA a organisé, le 4 décembre une journée entièrement consacrée à “l’Intelligence Ambiante, la révolution du quotidien”, en partenariat avec l’Atelier BNP Paribas. Cet événement majeur, ouvert à tous ceux que les technologies de l’information passionnent et qui s’intéressent aux grands mouvements touchant en profondeur l’évolution de notre phée de la femme ingénieure, dans le secteur des nouvelles technologies, le Prix Excellencia. Organisé par le Comité Excellencia, composé de l’EPITA, INNOV.EUROPE et MICROSOFT France le Prix Excellencia récompense la femme ingénieure High Tech dans 4 catégories (Prix des Jeunes, Ingénieure en entreprise, Ingénieure en centre de recherche, Grand Prix du Jury) Pour cette 4ème édition sous le haut patronage de Nicolas SARKOZY, Président de la République, de Xavier Darcos, Ministre de l’éducation nationale et de Valérie Létard, Secrétaire d’état à la solidarité, que le Prix Excellencia, a récompensé les
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COLLOQUE
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par auteur du livre ratie" au Monde et et la démoc Journaliste puces. La RFID "Sous l'œil des
Conclusion
EPITA 14-16 rue Voltaire 94270 Le Kremlin Bicêtre
www.epita.fr
femmes ingénieures de l’année, ce 17 novembre dernier au PRESSE CLUB DE FRANCE. Au sein du jury étaient présents Eric Chreiki, Président de Innov. Europe , Stéphane Milhet, Directeur des Ressources Humaines de Microsoft France et Jean Mounet, Président de Syntec informatique, Fabrice Bardèche, Directeur Général du IONIS Education Group qui a déclaré être “fiers d’être à l’initiative d’un tel projet. L’intégration des femmes dans les métiers de l’ingénierie a toujours été une priorité pour le Groupe IONIS, et notamment pour l’EPITA. C’est pour cela que soutenir un tel évènement nous tient à cœur”.
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LES ANCIENS À L’HONNEUR... CARINE VERA, ISEG Lyon, Promo 2002, créatrice de bébézine Diplômée ISEG, Programme EXECUTIVE, Carine revient sur son parcours de femme (hyper)active : de la création à la direction de la publication du magazine gratuit bébézine, en passant par le lancement du club Business Woman Rhône-Alpes. Comment vous est venue l'idée de créer bébézine ?
Différentes rubriques accesibles sous bebezine.fr
bébézine est un bimestriel régional destiné aux jeunes parents. C'est un gratuit financé exclusivement par la publicité. L'idée m'est venue grâce à ma mère qui a travaillé 30 ans en crèche. En tant qu'éducatrice de jeunes enfants, elle était l’une des premières interlocutrices des parents. Elle a manifesté le besoin qu'un support d'informations de proximité soit créé pour informer et aider ces jeunes parents. Lorsque j'ai voulu lancer mon activité et mettre en œuvre cette idée, mon entourage était plutôt réticent car je manquais d'expérience. Avec l’arrivée en 2001 des journaux gratuits, je me suis mise à vraiment réfléchir au concept, à la charte graphique, au nom du magazine etc. Je me suis entourée d'une équipe et nous avons réalisé une étude de marché pour recenser les attentes des familles. Puis nous avons confronté notre projet aux professionnels de santé pour une diffusion en salle d'attente. Certains se montraient réticents pensant que les parents étaient déjà
inondés d'informations. Donc la ligne éditoriale a été adaptée pour coller de près aux demandes de nos distributeurs, bébézine a finalement trouvé sa place ! Une fois les statuts déposés et la somme de 15 000 € réunie, le 1er numéro a été diffusé à 40 000 exemplaires en novembre 2007. Aujourd'hui le 5ème numéro est distribué dans tout le réseau médical : chez les pédiatres, les gynécologues, les sages-femmes, les mairies et les pharmacies. Pour le premier anniversaire de bébézine, nous organisons une grande journée, “les familiales”, avec des conférences, des ateliers et des activités parents/enfants comme l’initiation aux Pilates pour les femmes enceintes ou le massage de bébé. Conseilleriez-vous aux Iségiens de se lancer dans l’entrepreneuriat ? Oui si le projet est bien réfléchi. Se lancer dans la création d’entreprise n’est possible qu’avec un projet cohérent, une forte volonté et une motivation à toute épreuve! Il faut bien évaluer les risques financiers et sociaux. À 20 ans, c'est encore plus délicat parce qu’entreprendre est chronophage. On est “en marge” des gens de son âge et notre salaire n’est pas assuré tant que la société ne dégage pas de bénéfices. Et surtout il faut bien s’entourer, notamment de gens d’expérience et d’autres entrepreneurs. Aujourd'hui, je me tourne vers l'ISEG Lyon pour trouver des stagiaires en communication et marketing. Il existe une vraie solidarité entre diplômés et jeunes Iségiens. Après avoir été diplômée de l’ISEG, quel a été votre parcours ? J'ai commencé comme assistante commerciale et marketing. Par la suite, res-
ponsable d'une agence d’intérim à Oullins dans laquelle je me suis vite aperçue que j'étais douée pour le développement commercial de l'agence. Mais ma direction ne pouvait pas m’offrir en temps voulu, toutes les opportunités que je souhaitais : gérer une nouvelle agence en parallèle. J'ai donc créé, en septembre 2006, Business Woman Rhône-Alpes. Il s'agit d'une plateforme de mise en relation des femmes afin de développer leur réseau dans un contexte de détente. C'était pour moi l'occasion de me tester sur l'entrepreneuriat. En une nuit, nous avons enregistré une quarantaine d'abonnées. Notre équipe, constituée de dix femmes, anime le réseau en organisant une réunion mensuelle thématique. Une trentaine de lyonnaises étaient présentes à la première réunion. En octobre dernier, nous avons fêté les 2 ans du club et nous avons choisi comme thème “Les réseaux féminins : source d'informations et de développement pour l'entreprise”. En créant Business Woman Rhône-Alpes, j'avais déjà rencontré une bonne partie de l'équipe de bébézine, ensuite j’ai pu quitter l'entreprise pour créer ma propre structure.
Avec de telles activités vous restet-il un peu de temps libre ? Je suis véritablement passionnée par mon travail, le repos me paraît parfois superflu ! J’ai eu un peu de temps pour moi cet été. Lors de “semaines calmes”, il m’arrive de me reposer… certains dimanches.
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DELPHINE MICHEL-FLANDIN, ESME Sudria, Promo 2002, Responsable d’affaires Génie Electrique - INEO
“
Voilà 2 ans que je suis Responsable d'affaires en électricité dans la société INEO (groupe Suez), pour de grands projets tertiaires. Mon métier ? Gérer des chantiers de A à Z, c'est-à-dire : suivre les équipes de chantier, suivre et manager l'équipe études,
servir d'interface entre le client, les études et la réalisation, gérer financièrement le projet et rapporter les résultats à ma direction, gérer les problèmes techniques, humains et matériels relatifs au chantier. Au bout du compte, il faut mener à bien le projet au niveau financier, technique et naturellement tenir les délais. C'est la formation généraliste de l'ESME Sudria qui m'a apportée cette culture technique de l'ingénieur et qui me permet d'être réactive face au client. Le fait d'avoir suivi ma spécialité "Responsable d'affaires" en alternance
dans le cadre de l'apprentissage, m'a aidé à m'intégrer rapidement au sein de l'entreprise, tant au niveau relationnel que professionnel. Ce métier est basé en grande partie sur l'expérience : l'alternance m'a permis de gagner quelques années.
”
JULIEN PELÉ, diplômé des Mastères double compétence du Groupe IONIS, Promo 2005, Chef de projet chez GlaxoSmithKline Avant l’intégration au Mastère double compétence quel a été votre parcours ? Avant le mastère, j’ai obtenu une maîtrise de biochimie moléculaire et cellulaire à l’Université Paris 7, spécialité pathologie moléculaire, option virologie et analyse financière. Pourquoi avoir fait le choix du mastère double compétence ? En Licence de biochimie, j’ai choisi d’amorcer un virage vers le secteur privé en prenant l’option économie et marketing appliqués aux bio-industries. J’ai confirmé mon choix en entrant en maîtrise (aujourd’hui intitulé Master I) en prenant l’option “analyse financière” et en décidant de quitter le milieu universitaire au profit d’une grande école. Après avoir acquis des compétences générales, j’ai voulu développer un profil plus attrayant, tourné vers la pratique, pour séduire les entreprises. Comment s’est passée votre formation ? La formation s’est très bien déroulée. Le programme était très chargé, mais il a répondu à mes attentes, surtout en termes de professionnalisation que je n’avais pas à l’université. J’ai pu effectuer un stage chez Alcan Packaging (usine Cébal de Sainte Ménéhould)
d’une durée de 6 mois, avec une rémunération assez importante, puisque j’étais payé 1 100 € / mois. Plus que des connaissances théoriques, ce mastère m’a permis de développer de réelles compétences et d’avoir un profil attractif, car spécialisé tout en ayant des bases générales indispensables pour travailler sur des problématiques très variées. Et aujourd’hui, quel est votre poste ? Aujourd’hui je suis Chef de projet dans l’industrie pharmaceutique, sur l’un des plus gros sites de développement et production de GlaxoSmithKline, le numéro 1 mondial du secteur. J’ai la responsabilité de plusieurs projets en production et contrôle la qualité. Je
dois donc faire appel à mes compétences en gestion de projet, en production, en qualité et en management. Mes connaissances techniques acquises en labo et les outils statistiques (maîtrise statistique de process, lean 6 sigma…) me sont indispensables. Quels sont vos objectifs professionnels ? Je pense avoir vraiment trouvé ma voie et je souhaite rester sur des fonctions de chef de projet en production ou qualité. Travailler sur la gestion de lignes de production m’intéresserait également. Un conseil à donner aux futurs diplômés ? Mobilité intellectuelle ! Les formations des mastères double compétence permettent de travailler dans des secteurs variés avec une grande mobilité géographique. La crise est là ! Et les premières conséquences sont visibles sur l'économie avec des secteurs en grande difficulté, comme l'automobile. Dans certains domaines (énergie, nucléaire...) il n'y a pas, à ce jour, de signes de ralentissement. Les décideurs s'interrogent sur les niveaux de rentabilité de leurs investissements. C’est pourquoi un profil comme celui des Mastères double compétence offre à l’employeur une véritable garantie.
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FINANCER SES ÉTUDES : À CHACUN SON FINANCEMENT Savoir comment financer ses études, ou celles de ses enfants, est une question importante. Il est donc essentiel de bien réfléchir aux sources de ce financement. Conscientes que les frais de scolarité peuvent être un frein pour certaines familles, mais considérant que les études supérieures sont un droit pour tous, les écoles du Groupe IONIS proposent des solutions adaptées, pour que les étudiants puissent financer leurs études : Aides, bourses, allocations, prêts, stages, tutorat, à chacun sa solution ! Financement ou auto-financement, tout est expliqué ci-dessous. LES SOLUTIONS DE FINANCEMENT Elles font la plupart du temps appel à des partenariats externes et elles sont particulièrement adaptées aux deux ou trois premières années d’études. Le prêt sans caution Les récentes dispositions prises par l’État permettent aujourd’hui à tout étudiant d’obtenir un prêt garanti par ce dernier, sans caution personnelle. Ce prêt pouvant aller jusqu'à 15 000 €, il bénéficie des habituelles franchises de remboursement. La mutuelle étudiante LMDE, pour sa part, augmente pour ses adhérents le montant du prêt sans caution à 22 500 € dans les mêmes conditions. La Banque Populaire/ Rives de Paris, qui s’est rapprochée du Groupe IONIS, est désignée comme opératrice pour ces prêts sans caution. Le prêt bancaire L'emploi étant assuré à la sortie de l'école et la rémunération des diplômés étant de bon niveau, plusieurs organismes bancaires et financiers travaillent avec les écoles pour proposer des prêts à des taux très attractifs. Le remboursement ne commence qu’à la fin des études, en situation d’emploi. Pour obtenir les coordonnées des banques partenaires, ainsi que toutes les informations relatives aux formalités, les étudiants doivent se rapprocher de leurs écoles. Étalement des prélèvements Pour mieux planifier son budget les écoles proposent l'étalement des paiements. Les prélèvements peuvent se faire en 3 fois ou plus. En cas d'arrêt des études pour force majeure (accident, décès d'un proche, maladie grave ou invalidante), les prélèvements sont bien évidemment arrêtés. Bourses externes et d’État Des bourses peuvent être collectées auprès des Conseils régionaux, généraux ou de certaines Mutuelles auxquelles les étudiants sont affiliés.
Les étudiants de l’ESME Sudria et d’EPITA (écoles d’ingénieurs reconnues par l’Etat) ainsi que ceux de l’ISG et de l’ICS Bégué sont habilités, quant à eux, à faire des demandes de bourses d’État. Bourses internes Les écoles du Groupe IONIS accordent des bourses internes en fonction des résultats scolaires et de la situation financière de l’étudiant. La demande doit être faite auprès de la direction de l’école et est toujours individuelle.
LES SOLUTIONS D’AUTO-FINANCEMENT Ces solutions sont diverses et spécifiques à chaque école . Elles permettent aux étudiants de financer leurs études tout en exerçant une activité professionnelle sous forme d’emplois, de stages rémunérés et/ ou de tutorat. Juniors Entreprises Les Juniors Entreprises sont des associations qui ont pour but de répondre aux besoins des entreprises, régionales ou nationales, en proposant des prestations de conseils et des études de marché payantes. Elles fonctionnent comme une entreprise. Stages Pour tous ceux qui souhaitent exercer une activité rémunérée, la plupart des écoles de commerce du Groupe IONIS libèrent entre 1 et 4 jours par semaine (selon l’année d’étude), pour que les étudiants puissent exercer une véritable mission professionnelle. Pour les écoles de IONIS Institute of Technology, les laboratoires de recherche appliquée réalisent des
projets et vendent des services aux entreprises. Les élèves qui participent à cette activité sont rémunérés chaque fois que cela est possible. Assistanat interne Certaines activités internes, en dehors de ce qui est normalement attendu des élèves, donnent lieu à une rémunération. Ces “jobs” proposés sont aussi bien une aide apportée au service informatique, à l’envoi des mailings, mais également au tutorat des plus jeunes par les plus anciens. Ces différentes formes d’assistanat diffèrent et varient d’une école à l’autre. C’est le moyen de bénéficier d’un revenu souvent égal au tiers ou à la moitié de la scolarité. IONIS Tutoring Depuis la rentrée 2007, le Groupe IONIS a lancé sur Paris une entité de soutien scolaire à domicile, IONIS Tutoring. Les cours de soutien sont dispensés par des étudiants du Groupe IONIS à des élèves allant de la 6ème à la Terminale. IONIS Tutoring sera développé en région très prochainement. Les étudiants intéressés peuvent prendre contact directement au 01 47 04 20 00 ou sur www.ionistutoring.com Service-emploi et relation entreprise Au sein de chaque école du Groupe, il existe un service emploi et relation entreprises qui favorise les liens de confiance avec ces dernières. Cette politique mise en place depuis longtemps permet de proposer des stages, d’aider à la recherche de “jobs” et surtout de servir d’appui aux diplômés dans la recherche du premier emploi. Recherche de logement Chaque entité du Groupe IONIS peut aider l’étudiant dans sa recherche de logement. Selon les cas, l’école dispose de partenariats ou de relations privilégiées avec des résidences étudiantes, des agences immobilières ou des particuliers.
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LES DERNIÈRES NOMINATIONS Richard ADDEY (ISG) - Président de Polyrey. Il débute sa carrière chez Arjowiggins en 1993 et fut notamment Vice-président de l’activité abrasifs. Depuis 2006, il était executive VP de la branche solutions industrielles, regroupant 3 business B to B mondiaux et 3 usines en France, Allemagne et Chine. Il dirigeait directement l’activité papiers décors à destination des imprimeurs et producteurs de panneaux décoratifs. Il a également été membre du comité exécutif d’Arjowiggins. Cyril ARNODO (IPSA), Ingénieur système, "REXUS-BEXUS" chez ESA aux Pays Bas. Il débute sa carrière en 2008 chez EUROCOPTER-FRANCE en tant qu’ Ingénieur Production NH90 (Production) Julien CABOT (ESME-Sudria) - Manager Banque Finance chez OCTO Technology. Depuis 8 ans, il réalise des missions de conseil en management des systèmes d'informations auprès des DSI, spécialement du secteur bancaire: Société Générale, Natixis, Calyon, AXA... Il est aussi le co-auteur de l'ouvrage Une politique pour le SI, Edition OCTO 2007 et co-initiateur du progiciel Otopus MicroFinance. Nicolas CHRISTMANN (ISEG) - Directeur Commercial Europe du groupe SUPRA.Il a débuté son parcours professionnel dans la fonction commerciale au sein d'Outils Wolf (le leader français de tondeuses à gazon et outils de jardin) jusqu'au poste de Directeur Commercial Adjoint. Il a rejoint le groupe SUPRA en août 2008, filiale de EDF Energies Nouvelles Réparties. Cette entreprise est le leader français des cheminées et de poêles à bois. Alexandre DELOS (ISEG) - Partner, Access Capital Partners. Il a été Project Manager chez Medialink au Royaume-Uni. Chez Access Capital Partners, entre 2000 et 2007, il est Analyste, Associate, et Directeur d’investissement. En 2007, il devient Vice-président au sein de LGT Capital Partners. Jean-Yves DEMEUNYNCK (ISG) - Délégué général de l’Association Française des Investisseurs en Capital. Il débute sa carrière en créant, développant et revendant plusieurs sociétés spécialisées dans le conseil en marketing et les nouvelles technologies. Il était Directeur du développement et projets de Natixis Private Equity. Précédemment, il a été Délégué Général de l’Afic de 2002 à 2005. Guillaume DE TROGOFF (ISEG) - Directeur commercial de A Plus Finance. Il a débuté sa carrière à la Caisse d’Epargne puis a rejoint en 2000 Zebank, qui deviendra Egg Banking plc où il était Chef de projet marketing. Il était depuis 2005 Responsable des partenariats chez Sélection R (Rothschild et Cie Gestion). Thierry ELKAIM (ESME Sudria) - Directeur des partenaires grands comptes chez Microsoft. Il débute chez Benson-Schlumberger, avant de rejoindre en 1989, Sun Microsysterns, où il a dirigé la division Secteur public et fut membre du comité de direction. Depuis 2003, il est chez Microsoft en tant que Directeur commercial de la division dédiée au secteur public.
Pierre-Yves FRELAUX (ISG) - Président de TBWA Corporate. Il supervise pour TBWA la communication mondiale d’ArcelorMittal. Il conseille également l’ANPE sur son rapprochement avec les Assedic et Veolia.
chez Soplem, puis Manager chez SILC en 1986, avant de rejoindre en 1989 CEAC-Exide Technologies, comme Manager France, Responsable export France et Belgique en 1998 et, depuis 2003, Responsable des affaires en Asie.
Tierry GOUDIN (ISG) - Directeur marketing et supports clients chez Groupama AM. Contrôleur de gestion chez BNP Paribas de 1995 à 1998, il passe dix ans à la Société Générale Asset Management comme Analyste de performance et Responsable du service reporting et attribution de la performance, au sein du département reporting, puis comme Gérant diversifié institutionnel et retail au sein du département des gestions diversifiées. Il exerçait depuis 2005 en qualité de Responsable de la création produits et du marketing retail.
Marion MALINOSKI (ISEG) - Directrice Commerciale chez Euromobile France. Après un début de carrière chez JCDecaux en tant qu'Assistante Chef de produit à la Direction Marketing, elle intègre en 2005, Euromobile France en tant que Gestionnaire de projet où elle aura pour mission le développement commercial grands comptes. Aujourd’hui, elle a en charge toute la stratégie commerciale.
Jean Baptiste GOURET (EPITECH) Chargé du Market Data au sein de la SGCIB à Hong-Kong (banque d'investissement du groupe Société Générale) avec les sites de Pékin, Sydney, Shangai et Singapour. Depuis plus de 2 ans, il faisait partie de l'équipe Market Data, à la Défense. Lionel GOUSSARD (EPITA) - Directeur Commercial chez Webroot. Après des débuts chez Arche Communication en 1996, il a occupé des fonctions commerciales chez divers éditeurs de solution de sécurité, dont récemment BlackSpider. Auparavant, il a occupé les postes d’Ingénieur avant-vente, de formateur technique puis de Chef de produit sécurité chez le grossiste Allasso. Il a également participé au lancement de l’éditeur BlackSpider en France. Stanislas HENRY (ISG) - Directeur développement au sein du Crédit Agricole Asset Management Real Estate. En 1987, il est Responsable des financements spécialisés et en charge des grandes entreprises à Paris, Londres et New-York au sein du groupe Paribas. En 1997, il est Associate Director à la direction européenne du développement du groupe Général Electric à Londres. En 2001, il est Directeur des participations financières chez Général Electric Real Estate France et Directeur Corporate finance et trésorerie opérationnelle pour le groupe AGF. En 2002 il devient Responsable secteur immobilier chez Calyon. Nassim JAMMAL (EPITECH) - Chef de Projet/ Ingénieur développement chez Pertimm. Il débute sa carrière comme Responsable du développement chez EnTechneVision Inc, au Canada où il est resté 2 ans. Laurent JOUÉ (ISEG) - Gérant junior au sein de l’équipe de multigestion alternative. En 2005, il débute comme Assistant de gestion au sein de la société Géa. En 2008, il se spécialise dans le développement d’outils de gestion, de reportings quantitatifs pour la gestion et le service commercial, ainsi que dans l’analyse des risques des fonds et optimisation de portefeuilles. Christian LANVIN (ESME Sudria) - Directeur général adjoint de ERARD, spécialiste des équipements et accessoires dédiés à l’audiovisuel. Il a été Ingénieur du développement
Michel MOLONGO (EPITECH) - Support engineer chez Microsoft. Il commence sa carrière en 2003 comme Ingénieur R&D chez Abaxia où il a en charge la gestion pour la partie du personnel d'Abaxia. Laurent MOUILLET (ICS Bégué) - Associé de KPMG Entreprise. Expert comptable et commissaire aux comptes, en charge de la direction du bureau de Besançon depuis 2004, il devient associé du bureau Bourgogne Franche-Comté depuis 2008. Arno PONS (ISG) - Directeur de clientèle Internet au sein de Saatchi & Saatchi. Il cofonda en 2000 la société City Luxe. En 2003, il rejoint Etineria Inc (Compagnie canadienne de placement média sur Internet) à Montréal en tant que Responsable du développement, où il créa notamment le réseau Click4pharma et le moteur de recherche medicimo.com. En 2005, il intègre le magazine Stratégies comme Responsable publicité online avant de rejoindre en 2006 l’agence G2 Paris comme Directeur de clientèle interactif. Luc SASSATELLI (ISG) - Directeur des Activités Projets pour les marchés Transport & Logistique et Agroalimentaire. Il débute sa carrière en 1994 pour le compte des éditeurs de logiciels Progis, Abel et Adonix. Consultant puis Directeur de Projets, il devient Responsable d’Activité en 2000. Il intègre en 2005 le groupe Sage. En 2006, il prend la direction du développement des Services de la division Moyennes et Grandes Entreprises de Sage. Eddy SIFFLET (EPITA) - Directeur Technique et avant-vente des activités SaaS de l’éditeur de logiciels de sécurité Webroot. Auparavant il était Chef de produit chez Allasso il a participé au lancement de l’éditeur BlackSpider en France. Sa mission sera d’aider l’ensemble du réseau de partenaires à proposer des produits plus complets et innovants en services managés à leurs clients. Julien SIMON-CHAUTEMPS (IPSA) - Ingénieur chargé de la performance chez Toyota. Il effectue son projet de fin d'études chez Optimum à Denvers (Colorado, USA) et exerce son métier d'Ingénieur/ Consultant dans les championnats Fran-Am USA, ALMS et Australian V8 Supercars en 2002. Ingénieur course pendant 4 ans dans la Team Prema Powerteam (F3 Euroseries et Formule Renault 2.0 Italia), puis Ingénieur à l'analyse de données pour la Team Trident Racing.
Etonnante* Surprenante* Prodigieuse* Novatrice* Persévérante* Incroyable* Baroque* Rare* Insolite* Magique*
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Inouïe* Fabuleuse* Géniale* Enrichissante* Charmante* Sublime* Créative* Innovante* Emouvante* Amicale* Dynamique* Constructive* Drôle* Charismatique* Rentable* Importante* Substantielle* Bouleversante* Frappante* Heureuse* Prospère* Florissante*
Le Gr oup e IONI S et ses éco les
ISG - ISEG - ICS Bégué - ISEFAC - ISTH - EPITA - ESME Sudria - EPITECH - IPSA SUP’ BIOTECH - E-ARTSUP - ETNA - MASTERES double compétence IONIS - IONIS TUTORING
vou s s o uha ite nt tou t cel a e t bi en pl us enc or e p ou r cett e nou vel le a n née 2 0 09 …
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