DOSSIER SUR LE FILM INTOUCHABLES U
http://activitespourlaclasseb21112.blogspot.com.es/ HT
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Basé sur une histoire vraie : Compréhension orale : à la vie, à la mort (Partie 3) Reportage France2 (2011)
http://www.youtube.com/watch?v=FOrNIYZKQYo&featu HT
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Choisissez les phrases qui vous semblent correctes : 1. Philippe Pozzo est en colère après les bêtises que fait son ami. 2. Cela fait plus de 10 ans qu’ils se connaissent. 3. Ils sont issus d’un milieu social très différent. 4. Sa famille n’apprécie pas vraiment son ami Abdel. 5. Elle pense qu’il profite de la vulnérabilité de Philippe. 6. Les deux s’entendent très bien. 7. Ce qui le fait bien vivre, c’est le mouvement. 8. Ils sont comme un couple mariés ou presque. 9. Abdel donne de la drogue à Philippe pour soulager ses douleurs aigües. 10. Philippe ne fumait rien du tout avant. 11. Abdel vivait au Maroc avant de connaître Philippe. 12. Philippe a encore envie de voler. 13. Sa femme ne voulait pas qu’il refasse de parapente. 14. Ses amis lui achètent un modèle spécial pour qu’il puisse revoler. 15. Abdel refuse de faire l’expérience du parapente. 16. Abdel a peur de faire du parapente. 17. Son ami était encore plus fou que Philippe en parapente. 18. L’histoire entre Abdel et Philippe se termine à Essaouira au Maroc. 19. Philippe pour Abdel a été comme un frère. 20. Abdel a été le diable gardien de Philippe. 21. Abdel est devenu entrepreneur en Algérie grâce à Philippe. 22. Les deux hommes ne se voient presque plus. 23. Philippe a trouvé l’amour au Maroc. 24. Il a acheté un petit palais tout aménagé pour lui. 25. Khadija ne travaillait pas avant de rencontrer Philippe. 26. Ils se sont mariés et ont adopté un garçon et une fille. 27. Elle a aimé son intelligence, son élégance et son humour. 28. Il l’a séduite pendant une réception à la suite d’un malaise. 29. Pendant deux heures, elle lui a donné à manger de la confiture de poire. 30. Ses enfants s’occupent bien de lui. 31. Khadija trouve son mari très normal. 32. Philippe est allé remercier ses amis handicapés de Kerpape. 33. Abdel et Philippe toucheront une partie des bénéfices du film.
Pour aller plus loin : Première partie du reportage de France 2 (2011) : http://www.youtube.com/watch?v=tJrnjP54OCg&featur HT
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Deuxième partie : http://www.youtube.com/watch?v=DHsKzrpoaHT
0&feature=fvwrel TH
CO Reportage sur le phénomène « Intouchables » http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19269951&cfilm=182745.html HT
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1. Quelles sont les réactions des spectateurs ?
2. Pourquoi ce film a-t-il eu tellement de succès ?
3. Comment ce film s’est-il vendu ?
4. Quelles fonctions ce film a-t-il auprès des gens ?
5. Est-ce normal en temps de crise autant de succès ?
6. De quel renouveau parle-t-on ?
7. Les réalisateurs ont réussi un dosage parfait. Lequel ?
8. Que pense cet handicapé du film, de l’humour utilisé ?
9. Quelles sont les critiques négatives émises par les journalistes ?
10. Taux de satisfaction :
CE : 16 questions perdues à remettre dans le texte de cette interview : A. Quel genre de comédien êtes-vous ? B. Comment avez-vous travaillé le rôle de Driss ? C. Comment se répartit le travail entre Eric et Olivier ? D. Racontez-nous votre première rencontre avec Olivier Nakache et Eric Toledano… E. Y a-t-il des scènes que vous redoutiez de tourner ? F. Comment avez-vous réagi en découvrant le film ? G. Avez-vous eu plus d’appréhension que sur vos deux précédentes collaborations avec Eric et Olivier ? H. Leur scénario vous a tout de suite conquis ? I. Les premières scènes du film montrent Driss dans son univers, celui de la banlieue, dont le cinéma a souvent du mal à rendre l’atmosphère sans la caricaturer. Comment jugez-vous leur regard à eux ? J. Comment avez-vous construit la relation avec François Cluzet ? K. Il y a une scène particulièrement jouissive où vous dansez sur du Earth, Wind and Fire. Quel souvenir en gardez-vous ? L. Y a-t-il eu une large part laissée dans les dialogues à votre verbe et à votre phrasé? M. Quand vous ont-ils parlé pour la première fois d’Intouchables ? N. Vous avez été surpris qu’ils vous rappellent pour jouer un médecin dans Tellement Proches ? O. Quel souvenir gardez-vous de votre collaboration sur Nos Jours Heureux? P. Qu’avez-vous ressenti en découvrant ce documentaire ? HT
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(1) C’était en 2001, à l’occasion d’un court métrage Ces jours heureux qui allait donner naissance plus tard à Nos Jours Heureux. Ils sont venus me voir alors qu’on écrivait à l’époque avec Fred pour CANAL + Idées. Je leur avais répondu que je n’étais pas du tout comédien et que pour l’instant j’essayais déjà de faire au mieux pour écrire des blagues et que ça me suffisait amplement. Mais ils ont insisté en m’expliquant qu’eux aussi démarraient, qu’on allait faire ce film et donc apprendre ensemble. Et ils m’ont parlé avec un tel naturel et une telle simplicité que j’ai finalement accepté. On s’est vraiment bien marré sur le tournage. Puis ils m’ont rappelé pour le long et tout s’est enchaîné… HT
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(2) Je garde le souvenir de la première colo de toute ma vie. Car je n’en avais jamais fait plus jeune ! (rires) Et puis j’aime leur manière de travailler : ils dirigent avec beaucoup de finesse puisqu’on se sent en permanence très libre. En fait, ils vous poussent sans que vous ne vous en rendiez compte.
(3) En fait quand ils m’avaient rappelé pour faire Nos Jours Heureux, j’ai compris que ces mecs-là étaient très fidèles. Une vraie relation d’amitié s’est installée entre nous au fur et à mesure et elle ne cesse depuis de grandir. HT
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(4) Très peu de temps après la fin du tournage de Tellement Proches. Ils m’ont parlé du documentaire sur Philippe Pozzo di Borgo et Abdel en m’expliquant qu’ils avaient envie d’en faire un film. Or, quelle que soit l’idée qu’ils me proposent, j’ai très envie de les suivre. C’était déjà vrai après Nos Jours Heureux, encore plus après Tellement Proches… HT
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(5) J’ai tout de suite vu que ça pourrait faire un film intéressant, en particulier avec le style, la finesse, la justesse, l’humour sur le fil et la profondeur d’Eric et Olivier. Le mariage pouvait être vraiment parfait s’ils trouvaient le bon équilibre entre émotion et humour. (6) Oui. Sa lecture a totalement confirmé cette première impression. Je suis vraiment client de leur écriture, bourrée d’humour, d’humanité et de vérité. Et avec ce sujet-là, leur style prend encore une dimension supplémentaire. (7) J’ai d’abord beaucoup discuté en amont avec les réalisateurs. Et puis il y a eu ce qu’ils ont baptisé le séminaire d’intégration : un voyage à Essaouira avec François Cluzet pour rencontrer Philippe Pozzo di Borgo. C’est là que le groupe s’est formé, soudé, que la rencontre s’est opérée. Ça a été le vrai démarrage du film. C’était vraiment un moment incroyable. Le contact s’est d’ailleurs fait rapidement et un rapport simple s’est installé entre nous. On a donc découvert Philippe Pozzo, un homme hyper intelligent, plein de vie et d’humour avec un regard extrêmement puissant. J’ai été tout particulièrement frappé par l’amour avec lequel il parlait d’Abdel, dont Driss est inspiré. Sa seule manière de prononcer son nom était en elle-même hyper touchante. On sent d’emblée la relation très forte qui unit les deux. Et on est tous repartis de cette rencontre avec une responsabilité et une pression, nourries par le respect qu’impose cet homme. Faire le plus beau film possible était le seul moyen de respecter son histoire. HT
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(8) On ne se connaissait pas vraiment avant ce projet, on s’était juste croisés. Et quand j’ai appris que c’était lui qui allait jouer Philippe, j’étais à la fois très heureux et impressionné. J’appréhendais un peu sans pour autant me prendre la tête et j’ai tout de suite senti chez lui une envie de jouer avec moi aussi grande que celle que j’avais de jouer avec lui. Entre nous, tout s’est alors fait très naturellement, sous le regard évidemment bienveillant d’Eric et Olivier. Mes appréhensions ont vite volé en éclat. François est très ouvert, très généreux. Une fois qu’il a ouvert la porte, il ne la referme plus. Il aurait pu me mettre la pression en m’expliquant qu’il allait falloir assurer. Or il a fait exactement le contraire. Il m’a tout de suite dit : « ce film, on le fait ensemble. C’est ce qui va se passer entre nous qui est important ». Je me suis senti porté par son regard et ses encouragements. On s’est nourri, on s’est porté l’un l’autre.
(9) Avoir déjà travaillé avec eux me rend plus à l’aise, tout comme l’idée de faire un duo puisque je travaille toute l’année en duo ! Pour autant, Intouchables était particulier à mes yeux. Eric et Olivier misent un peu plus sur moi à chaque fois, donc la pression va forcément en augmentant. J’ai à cœur d’être digne de leur confiance. HT
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(10) Oui et c’est pour ça aussi que j’aime autant travailler avec eux deux. Avant le tournage, on a bien mis les choses en place en multipliant les lectures. Et puis, sur le plateau, ils m’ont toujours laissé la liberté d’essayer des choses. Ils nous y incitent même et gèrent le résultat au montage. On ne se sent jamais cloisonné. Même pendant les prises, ils peuvent se mettre à parler car ils ont tout d’un coup une idée nouvelle qui leur traverse la tête. En fait, on continue à chercher sur le tournage pour trouver l’humanité et la vérité indispensables au propos et éviter le pathos comme les vannes lourdes. (11) Il n’y a pas vraiment de méthode. Ils parlent tous les deux aux comédiens et à la technique. Je ne saurais pas vous dire qui fait quoi. Mais ils font et ils sont très complémentaires. On sent que leur complicité ne date pas d’hier. (12) Ces scènes sont importantes pour savoir d’où vient Driss. Et je pense qu’elles le sont encore plus pour moi car je viens de là-bas. Donc je me sens responsable : si j’en parle, il faut que j’en parle bien. Et Eric et Olivier le savent. En me proposant ce film-là, ils avaient forcément d’ailleurs cette idée-là en tête. Je leur faisais confiance, je trouve que dans le cinéma français, on n’a jamais parlé de la banlieue avec autant de poésie et de finesse. Ils n’appuient sur rien, ils racontent. C’est à la fois hyper neutre et hyper fort. Eric et Olivier n’imposent jamais leur point de vue, ils traduisent en images ce qu’ils ont pu observer. Et je sais que je suis très fier d’avoir fait Intouchables aussi pour ça. HT
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(13) Avant le tournage, j’appréhendais la scène de la confession de Driss, où il commence à se livrer à Philippe. Car c’était un exercice nouveau pour moi. Je redoutais aussi la scène de la vanne « pas de bras, pas de chocolat ». Je me demandais comment on allait faire sur le plateau. Je me suis beaucoup pris la tête en amont. Mais une fois lancé dans le tournage, tout s’est très bien passé. A un moment donné, on ne se pose plus de question. On se laisse juste porter par l’énergie. On se sent libre. On a tout de suite senti qu’on était en train de vivre quelque chose de fort. Et on a pris énormément de plaisir à se retrouver tous les jours. Cela a donné naissance une légèreté qui a évacué toutes les questions que j’ai pu me poser en amont. (14) On a en commun avec Eric et Olivier d’aimer la musique et la danse. Et cette scène est magnifique car elle vient juste après que Philippe ait tenté d’initier Driss à la musique classique. C’est donc un échange : Driss veut lui faire écouter et partager sa musique à lui, il n’a pas la même précision mais, chez
lui, ça passe par le corps et la danse. En fait, Driss danse pour Philippe. Il fallait donc prendre un maximum de plaisir. Mais avec Earth, Wind and Fire, c’est pas très difficile ! (15) Je fonctionne beaucoup à l’instinct. Je suis plus en réaction qu’en action. J’essaie de poser les questions avant car je sais que sur le plateau ce n’est plus le moment et là, je peux me lâcher complètement. Je suis conscient que je n’ai pas beaucoup de technique mais je travaille en amont avec une coach formidable, Julie Vilmont, qui m’a beaucoup appris. Une fois que j’ai le scénario et qu’on en a discuté avec les réalisateurs, je vais la voir pour lui demander de m’aider sur ce que j’ai à faire. Et ce travail avec elle me libère, ça me déculpabilise par rapport au fait de ne jamais avoir pris de cours. Je ne m’excuse plus d’être là. (16) Au bout de trois minutes – et c’est une première pour moi – je me suis laissé embarquer dans l’histoire. En fait, sur le plateau, je n’avais vu aucune image. Je tenais particulièrement sur ce film à ne jamais aller regarder le combo pour bien rester dans mon personnage. En visionnant le film, j’ai donc redécouvert cette histoire nourrie du travail de toute l’équipe. Je suis très fier de ce film. J’ai été envahi par l’émotion dans le regard de Philippe - François. J’ai mis du temps à redescendre…
Corrections des 16 questions perdues : http://www.commeaucinema.com/interviews/intouchables,224890-note91337 HT
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CO : Chanson : Mon ami, mon maître de Serge Lama avec des photos du film Intouchables : http://www.youtube.com/watch?v=dOQUv03rPS8 HT
J'ai essayé à cent …………………………. De vous parler de mon ami Mais comment parler d'une ………………. Dont l'…………………….. vous est interdit ? Mais ce soir je sens sous ma plume Un ………………………………….. familier Quand le soleil du cœur s'allume L'éteindre serait un …………………………. C'est mon ami et c'est mon maître C'est mon maître et c'est mon ami Dès que je l'ai vu ……………………………….. J'ai tout d'suite su que c'était lui Lui qui allait m'apprendre à …………………. Ce que modestement je suis Comme une …………………….. vendéenne De ses secrets il est …………………… Et même s'il a de la ………………………..
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Il ne vous parle que de vous Il conserve de son bel âge Un ……………………….. au fond de ses yeux Et je me dis que c'est dommage De vous le décrire sans ……………………………….. C'est mon ami et c'est mon maître J'le ……………………………… encore aujourd'hui Et quand j'ai mal dedans mon …………………… Je passe une heure ou deux chez lui L'air qu'on respire à sa fenêtre C'est l'air le plus pur de Paris Il porte en lui dur comme une ……………… Un …………………… au-delà de tout Au point que même au bord des ……………………… Il vous fera croire qu'il s'en fout C'est lui qui a ………………….. mon âme Et si je suis encore en vie Je n'le dois pas à cette ………………………….. Qui me rend heureux aujourd'hui Mais à mon ami à mon maître Et dans la chanson que voici Je sais qu'il va se ……………………………. Mais puisque nous sommes entre amis Ce soir je peux bien me ……………………………… De vous le présenter aussi
EE du dossier : http://www.nordHT
cinema.com/fiches/commentaire,4521.html TH
Ajoutez une critique : Intouchables --------------------------------------------------------------Un film français de Olivier Nakache et Eric Toledano avec François Cluzet, Omar Sy, et Anne Le Ny Genre : Comédie - Durée : 1H52mn Voir la fiche de ce film HT
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