Théorie formalisme panthéiste

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Théorie du formalisme panthéiste unifié Nous évoluons dans un espace à 5 dimensions - x longueur (avant-arrière) - y hauteur (haut-bas) - z largeur (gauche-droite) - t temps (passé-futur) - i information (entropie – conscience ) Par conscience entendons bien ce mot dans son acception la plus basique, la plus essentielle, à savoir la qualité d'un système s à contenir de l'information en la « recevant », d'un autre système s', et à libérer cette information en la modifiant, ce qui l'informe sur lui-même grâce à la rétroaction du système s' (ou s'', s''', etc) Je mets « recevant » entre guillemets parce qu'en réalité le bon mot serait : percevant. Et c'est pourquoi je parle de conscience. Tout système s est donc pris dans un nombre variable (et potentiellement infini) de variantes (mesurables et formalisables sur x, y, z, t et i) d'un même processus : Information i reçue par s alors dans un état indéterminé (ondulatoire-probabiliste) = Effondrement de la fonction d'onde (choix, ou mesure, ou perception parmi les probabilités) = Création d'un état particulaire de s possédant des propriétés mesurables maintenues en cohérence dans un espace 5d par homéostasie (mémoire) = Renvoi lors de ce changement d'état d'une information is, ondulatoire mais possédant son propre vecteur sur 5 dimensions et donc porteuse dans ses probabilités d'une information nouvelle sur l'état du système s dans un cadre 5d donné = is est à son tour reçue par un système s' alors indéterminé qui verra à son tour sa fonction d'onde effondrée en état particulaire, modifiant sa mémoire (le nouvel état particulaire qui acquiert sa propre inertie homéostatique), rétro-informant le système s par une information iss' , système s qui pourra ainsi se connaître lui-même, avoir con-science de lui-même à travers la perception de ses états antérieurs par boucle rétroactive. Pour ces trois raisons, choix, mémoire et boucle rétroactive de la perception, nous pouvons parler de conscience à tout niveau de la réalité, la différence d'ordre de grandeur d'information entre un « simple » atome (2) et une être humain ou une société humaine se faisant sur le 5e axe, i, de la réalité, mais il n'y a pas de différence ontologique absolue entre la conscience d'un atome et la conscience d'un humain ou d'une société humaine. Les uns comme les autres sont des « êtres » pouvant répondre à différents « choix », entendons par là une réponse ou une autre à leur environnement, fonction rendue possible par les trois propriétés fondamentale de la conscience vus plus haut. En conséquence de quoi on peut rationnellement décrire la réalité comme une seule conscience (fonction d'onde, « Dieu ») et tout à la fois comme l'infinité des états de conscience particuliers (états particulaires, la « Création »), par la simple équation : x/0=∞


où x est n'importe quel cas particulier de la Création, / est un choix effectué grâce à une prise de mesure du système x 0 l'entropie infinie, qui par définition n'existe pas puisque son effet dans l'équation entraîne ∞ (« pile l'infini ») la Réalité autrement dit la Création dans son infinité de possibles, eux mêmes placés dans des infinis toujours plus grands tels que définis par le Théorème de Cantor, déployant des systèmes informationnels conscients toujours plus loin sur l'axe i. De ce fait ce que nous appelons sur Terre « la vie », est un prolongement, sur une certaine échelle de l'axe i, du même type d'interactions. Il n'existe aucune limite ontologique absolue entre ce que nous appelons la vie et ce que nous appelons la matière inanimée. L'Anima, en réalité est partout. Mieux que ça, elle EST tout. Les degrés d'organisation physiques au sein de la molécule d'Acide Désoxyribose-Nucléique constituant un génotype, et leurs expressions après interaction avec le système-milieu composé des mêmes atomes physiques eux aussi dotés d'une perception et d'une mémoire et donc conscients dans une autre échelle de i donne un résultat, une nouvelle expression de la conscience : les phénotypes, qui eux mêmes expriment cette conscience sur des degrés situés plus loin sur l'axe i : les espèces, les écosystèmes et plus récemment la création de la vie mémétique, autrement dit le développement dans les cultures humaines d'entités répondant aux mêmes critères de conscience, avec perception, mémoire et réponse en tant que « choix » : « nos » consciences, mais aussi les consciences collectives des groupes humains. Le déterminisme ou l'indéterminisme de ce choix n'a aucune importance, en vertu du fait que 1) soit l'univers est déterministe, et il n'a donc pris des propriétés qu'à un moment de sa naissance (là où la progression sur i de la Réalité a atteint le « mur de Plank »), mais à ce moment là un « choix » a été fait (constantes de la physique et conditions de départ), par conséquent les évolutions du système ultérieures sont des choix aussi car procédant par un déroulé logique d'un choix, ou prise de mesure, initial qui comme nous l'avons vu peut être formellement considéré comme un choix conscient. 2) soit l'univers est non-déterministe, et alors tous les changements d'état sont le résultat du rapport entre des systèmes informationnels stables (par exemple les atomes ou les espèces animales) et les aléas entropiques de leur environnement (fluctuations aléatoires du vide ou du climat), et dans ce cas les systèmes font aussi des choix dépendants de leurs propriétés informationnels dans un cadre à 5 dimensions donné, ce qui est aussi considéré, dans ce référent, comme un choix conscient formalisable en tant que tel. L'ensemble des interactions peut donc localement dans le temps, l'espace et l'information former des super-systèmes entre différents systèmes informatifs situés à des endroits différents de l'axe i (par exemple un atome noté s dans un système conscient (situé quelque part sur l'axe i) possédant son propre espace 5d qu'est la molécule s ; ou encore un être humain noté Ju (système ontologiquement pas plus conscient que s mais situé ailleurs sur l'axe i et donc ne pouvant être considéré comme plus conscient que dans le cadre de son espace local à 5 dimensions relatif) dans un système conscient noté PJ (Potes de Ju) situé lui aussi ailleurs sur l'axe i mais pas ontologiquement « moins » ou « plus » conscient. Ces systèmes-consciences localisés, dans leurs référentiels « spatio-temporeloinformationnel » propres, sont modélisables y compris mathématiquement dans un espace formel à 5 dimensions. Ils vont produire des interactions comparables avec des systèmes proches en valeur


sur les axes x, y, z, t et sur l'axe i (molécule s' proche, système PA Potes d'Alex), créant des systèmes de conscience progressant toujours plus loin, ordre de grandeur après ordre de grandeur, sur i. La mesure exacte de ces changements d'ordres de grandeurs et l'axe i de l'information, la 5e dimension, tout cela formalisable mathématiquement, décrit non pas seulement un espace-temps, mais un espace temps vivant, conscient. C'est déjà sur cette piste que se trouvait Kurt Gödel avec son théorème d'incomplétude : il faut s'extraire d'un système pour pouvoir en avoir une connaissance complète, créant alors un supersystème dont il faudra aussi s'extraire pour le saisir pleinement, etc, progression à l'infini sur l'axe i. C'est valable pour tout système, qui n'a jamais de début puisqu'il est toujours possible de diviser le temps/l'espace/l'information de son début par deux. Par exemple le système à 5 dimensions qu'est un humain peut remonter dans la connaissance en définissant les conditions exactes de son propre « big bang » : contenu génétique exact du spermatozoïde et de l'ovule qui étaient déjà lui, histoire génétique de la vie leur ayant donné les conditions d'émergence, environnement physique dans lequel ce génotype précis s'est développé pour donner par les mécanismes épigénétiques ce phénotype précis et toute l'histoire de cet environnement, ensuite conditions mémétiques locales dans les 5 dimensions qui ont permis la fixation d'un mèmeplexe précis, plus avancé sur l'axe i, dans l'environnement des conditions phénotypiques précédentes, un mèmotype ayant sa forme de conscience, « moi ». Je peux progresser à l'infini sur cette conscience, c'est à dire la connaissance alimentée et alimentant une boucle de perception rétroactive constituée de prises de mesures régulières, par la Réalité, de « moi », transformant en permanence ce qui est une fonctions d'onde en particularités (autrement dit des particules informationnelles possédant des propriétés, par exemple la mesure de l'état de « moi » quand je me réveille, « moi » étant dans un état indéterminé avant cette prise de mesure effectuée une fois par jour) Mais « moi » ne peut pas résoudre toutes les équations et avoir la parfaite conscience de lui-même sans s'extraire de son paradigme local dans l'espace à 5 dimensions, exactement de la même façon qu'il est structurellement impossible pour notre science de remonter jusqu'au big bang de l'Univers. Notre univers comme notre expérience locale de nous-mêmes sont des mesures particulaires aussi, que la réalité fait sur elle-même par la même boucle rétroactive de perception. Moi, ou cet Univers, sont des moments particulaires stabilisés (et maintenus un certain temps dans un certain espace et sur un certain degré de conscience par l'homéostasie) par une prise de mesure de la réalité sur ellemême. L'Univers, comme « moi » (ou n'importe quoi) sont des points de mesure sur une fonction d'onde probabiliste, probabilités qui se réduisent à un cas particulier (effondrement de la fonction d'onde), présentant des caractéristiques mesurables (constantes universelles de la physique, déroulé complet des données d'un génotype/phénotype/mémotype), et ce sont ces caractéristiques fixées qui interagiront avec la réalité non leur fonction d'onde absolue, contenant l'infinité dénombrable de leur information (comme l'infinité de points existants sur une portion de ligne de 1cm, qui bien qu'infinis seront toujours contenus dans une portion finie), mais indéterminée. --------------------------(1) Qu'il s'agisse d'un système « physique » ou « méta-physique » (au sens strict, c'est à dire un système non perçu par nous comme physique car existant en tant que propriété émergente informationnelle d'un système dit physique)


(2) Par exemple réflexion d'une particule qui va changer de valeur énergétique et de direction dans les trois dimensions spatiales, selon une règle probabiliste, parce que les particules sur lesquelles elle a rebondi possédaient telle propriété, pouvant potentiellement varier elle aussi. (3) Par exemple l'espace sphérique dans lequel se déploie l'information de telle étoile pendant x milliards d'années, l'espace géologique dans lequel se déploie l'information de tel écosystème durant telle période de l'histoire de la vie sur Terre, etc -----------En vrac, pour le travail de réécriture Oui j'entends bien par complexité la quantité ET la qualité d'information, mais la seconde est en fait un dérivé de l'autre, la qualité étant la somme d'information PERTINENTE dans un contexte donné. Mais ce qui est pertinent dépend de l'échelle sur laquelle la mesure est effectuée. Par exemple si tu effectues une mesure durant 1 an une fois tous les 5 milliards d'années de l'univers, je suis certain que tu ne pourras décrire ce que tu observes que par des lois probabilistes, les mêmes que pour la physique quantique. C'est cette "échelle du subjectif", ou "échelle de l'observateur" que je propose de formaliser mathématiquement en l'incluant comme une dimension supplémentaire à prendre en compte dans toute investigation rationnelle, y compris et surtout dans son aspect le plus formel: les mathématiques décrivant la réalité. 21/04/2016 Ok, donc la conscience est la qualité informative d'un système. On sait que l'information et la thermodynamique suivent la même loi d'entropie, qui détermine la quantité de désorganisation, mais du coup aussi la quantité d'organisation de l'information. Plus l'information se constitue en systèmes, plus ceux-ci se stabilisent dans le temps et l'espace et plus l'entropie diminue. Et inversement. La conscience est la faculté que possède la réalité à utiliser l'information afin de créer des systèmes toujours plus stables et toujours plus complexes en faisant suivre à l'énergie disponible la même mise en cohérence. Celle de Shannon est spécifique à l'information telle que nous l'utilisons dans nos systèmes informatiques, télécom, etc, elle a historiquement été développée pour ça. Un outil très utile et inspirant mais il faudrait une loi plus générale liant l'entropie thermodynamique et informationnelle, en considérant que l'énergie est basiquement une information. Ok, mais il nous reste tout un parcours à effectuer avant d'en arriver là, ne mettons pas la charrue avant les bœufs. Donc, pour en revenir à ta question comment caractériser la conscience d'une façon assez formelle pour pouvoir l'inclure dans une équation ? A priori ça semble fou, infaisable, la conscience est une chose qu'on associe à l'intime, à l'ineffable. Et pourtant, à bien y réfléchir, ce que nous appelons conscience dans notre langage commun est uniquement un traitement d'information associé à un système perceptif. Mais à bien y réfléchir, le premier caillou venu "traite" l'information, en reçoit du "système non-caillou" environnant, avant de la réémettre transformée (par exemple la longueur d'onde de la lumière réfléchie qui lui confère une propriété, la couleur). Et la matière qui compose le caillou n'est pas en elle même plus ou moins extraordinaire que celle qui nous compose, la différence fondamentale entre un caillou et nous c'est le degré de complexité de l'information qui l'accompagne. Mais ces degrés de complexité ont une chose en commun: ils forment des systèmes assez stables dans le temps pour que nous puissions les percevoir, c'est à dire que leur entropie énergético-informative augmente suffisamment lentement pour leur permettre de nous apparaître. Tu auras remarqué que par deux fois j'ai bien parlé de << "nous" puissions les percevoir (...) "nous" apparaître >> C'est là où ça devient intéressant, c'est que la conscience, tout comme les distances dans l'espace ou le temps, n'a aucune signification si un point de départ, un point de référence n'est pas spécifié.


La température n'est rien d'autre que de l'énergie cinétique "vue de loin", celle des particules qui composent la matière. Qui dit énergie cinétique dit mouvement. Ce sont de micro-déplacements spatio-temporels PLUS de l'information (direction et quantité de mouvement), qui sont ainsi "résumés" quand on parle de température. Et la masse ne contient pas des informations qu'elle partage avec l'espace-temps. La masse EST de l'espace-temps informé. Oui, mais du coup comme tout le reste, ce qui revient à conférer à l'espacetemps une réalité opérante. La masse est de l'espace temps informé en ce qu'elle est le résultat de l'interaction entre le champ lié au boson de Higgs et les autres informations de la réalité que sont les particules (ou les structures ondulatoires associées selon que tu te place d'un point de vue ontologique ou un autre). Eh bien une structure quelconque, possédant des caractéristique comme la masse. Aura, par rapport à un point de référence d'une taille minimale égale à la longueur de Planck, une certaine distance en hauteur, largeur, profondeur, distance supérieure à la longueur de Planck pour notre univers. Et , durant un espace de temps supérieur au minimum au temps de Planck, et établi à partir d'un temps donné de référence d'une taille minimale égale au temps de Plank, une certaine "distance" d'information sera associée au cadre précédemment décrit. Je postule qu'on peut dériver à partir de la constante de Planck un "P-bit", unité minimale d'information, permettant de mesurer la "distance" sur l'échelle de l'information. La distance d'information augmente lorsque plusieurs champs entrent en interaction pour former une unité d'information plus "pertinente" et que nous décrivons par habitude comme un corpuscule. mais rien de tout ça n'aurait de sens sans point de départ formant un cadre spatio-temporel conscient. Pour résumer, si une molécule apparait et reste stable dans le temps et l'espace indépendamment de notre observation, c'est parce que les sous-systèmes informatifs qui la composent, et que nous décrivons comme des atomes par approximation, s'observent mutuellement (ont conscience les uns des autres) durant tout ce laps de temps, et restent en cohésion par économie d'énergie, ou homéostasie, c'est à dire la diminution locale d'entropie.


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