SCANDALE D’ETAT
Les Universités en France gangénées par le wokisme et la montée de l’ISLAMISME RADICALES «les juifs de France ont-ils encore leur place en France»
ALA UNE
Edito : Alain SAYADA
Les Universités en France gangénées par le WOKISME et la montée de l’ISLAMISME RADICALES
«les juifs de France ont-ils encore leur place en France»
Les barrières sont tombées , et bien évidement au sein de notre communauté nous savions que tout ce qui étaient anti-Israeliens etaient tout simplement Antisémites , et la question, est de plus enplus redondants dans nos oreilles , mais cela ne s’arrête pas là, et les français savent aujourd’hui, que les français de confessions juives ne sont plus les seules cibles en France ... c’est aujourd’hui plus de 82 % des français qui s’opposent à l’islamisme radicale ou bien aux soutiens des terroristes du Hamas, qui sont aussi devenus des cibles et le peuple français dont nous sommes une composante commence à ouvrir leur yeux et cela se verifie tout simplement par la montée du Rassemblment Nationale et de Reconquête qui aujoud’hui représentent près de 40 % à eux seules, pour une voix differente et d’esperer de voir un veritable changement en France, ceux qui nous gouvernent aujourd’hui sontprévenus, , une échéance auralieu bien lieu à l’occasion des européennes, ceux qui sera un barometre de ce qui se passera en 2027.
Mais cela ne s’arrete pas là, les medias qui defendent Israel ou dénoncent les actes antisémites sont eux aussi menacés par les institutions comme l’ARCOM qui s’attaque à CNEWS ou C8 ou les journalistes dénonces des faits sont accusés d’extreme droite, aujourd’hui en France, à partir du moment ou nous avons un avis différents, alors qu’en France, malheureusement depuis près de 20 ans, on tue des juifs depus la fin de la seconde guerre mondiale, et ceux qui nous tuent sont tous issus de l’islamisme Radicale, ceux qui remplissent les prisons sont majortairement des étrangers, ceux qui violent les femmes sont des migrants les points de deals, ou les narcotrafiquants sont aussi majoritairements issues de cette communauté, les zones de non droits idem.... les enjeux éléctoraux font aussi la part des choses,, ils existent en France des villes gangrénes aussi par l’islamisme radicale, un departemnt entier soutenu par la France Insoumise, imaginé le ressentiments des juifs qui qui y vivent je parle évidement de la Seine Saint Denis, les juifs quittent ces villes de ce département , que dire de la ministre de l’enseignement superieur Sylvie Retaillau dont je rejoins la position du délégué Natonal de l’UNI Yvenn Lecoz qui affirme sur CNEWS « La ministre de l’Enseignement supérieur a peur des militants d’extrême gauche»
Alors je me dis, si aujourd’hui, nous avons des résponsables politiques , qui ont peur de s’engager et de prendre des positions claires et nettes contre ceux qui osent interdire aux juifs les Universités et les Facultés, je dirai que la France est en grave danger, et qu’il est temps de se lever et de plus être des victimes et de faire un choix de se tenir debout et de nous battre,.
vous rendez-vous compte,et, vous savez que je ne suis pas tendre avec l’UEJF et son président, mais, là, il faut reconnaitre le courage qu’ils ont de faire front contre la haine et face à une centaine de Pro-Palestiniens et Pro-hamas, alors qu’ils n’étaient que quelques uns une semaine plus tot lors de la manifestaion du soutien de la femme ou le collectif du 7 Octobre voulant participer à cette journée en regroupant des femmes de la communauté juive de France pour rappeler le massace du 7 Octobre en Israel ou des femmes avaient été violées, massacrées, torturées, prient en otages ; ont du étre exfiltrées à cause d’agressions antisémites, toujours commis par ces mouvements Islamistes radicaux ayant dans leur bouches la haines du juif qui est aujourd’hui, completement libérées, ce qui est une veritable obsession pour eux.
Alors bien évidemnt, il ne faut pas oublier que les évennements qui se passent en France et les conséquences sur la liberté et les actions, sont pour une grande part la faute de la position de la France Insoumise et de ces représentants en premier desquels Jean Luc Melenchon et de ses zouailles Panot, Bompart, La porte, ou bien le Rouquin , repris de justice qui frappe les femmes...
Alors mes amis, le choix est compliqué, et nos représentants au sien de notre communauté ne sont malheureusement pas à la hauteur... et ont pour une parti dentre eux une part de résponsabilité en nous positionnant comme des victimes.
Je me dis que certains sont bien loins de ce qu’ils pourraient faire pour défendre nos interêts, et là, malheureusement, nous avons un problème.
Alors, je dis aujourd’hui, qu’il nous faut des hommes forts à tous les postes de nos institutions, et garder ceux qui font un bon travail et remplacer ceux qui n’ont pour objectifs que leur égoAm Israel Hai
Alain SAYADA
Rédacteur en Chef
Alain SAYADA
Email : alain.sayada@gmail. com
Rédacteur-Adjoint
Eliran Cohen
eliran.cohen642@gmail.com
Photo-Reporter
Alain Azria
Email : alain.azria@gmail.com
Directeur de la Publication
Alain SAYADA
alain.sayada@gmail.com
ALA UNE
Les femmes combattantes, ont-elles leurs places au sein de Tsahal
Une étude récente menée par la société de surveillance et de renseignement « Bazila » pour Witso a révélé que 50% de l’opinion publique soutient l’inclusion des femmes dans les rôles de combat. L’étude a été réalisée en pleine guerre et a analysé le discours public sur les femmes combattantes dans les médias et sur les réseaux sociaux.Selon l’étude, 96% des médias, hauts responsables de la défense, commentateurs, twitteurs et influenceurs ont exprimé des attitudes positives concernant l’inclusion des femmes dans les rôles de combat. Parmi les partisans, 35% du discours portaient sur le fait que « les femmes peuvent tout faire », 31% sur les grandes capacités opérationnelles des femmes combattantes, et 18% sur la peur de voir des femmes soldats être capturées. Parmi les opposants, 16% ont évoqué les capacités physiques inférieures des femmes et 9% ont affirmé que tout le discours autour de l’activité des femmes dans le combat était une campagne politique et
une tentative de diffuser des programmes libéraux progressistes.Rivka Neuman, directrice de la Division pour la promotion de la condition de la femme à Wizo, a déclaré que l’étude avait été menée au milieu de combats accompagnés de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité, y compris la captivité de personnes enlevées par le Hamas à Gaza. Elle a ajouté que le discours médiatique reflétait un récit libéral des médias et des chefs de l’armée qui reconnaissent les réalisations des femmes combattantes et la nécessité pour l’armée de s’adapter au placement des femmes en fonction de leurs compétences et non de leur sexe.L’étude a également révélé que les événements du 7 octobre avaient mis fin à la discussion sur l’inclusion des femmes dans les rôles de combat, avec une décision très claire résultant directement de l’héroïsme des femmes ce jour-là et des combats à Gaza qui ont suivi.
Les femmes occupant des postes de combat ont démontré de grandes capacités, une détermination, des connaissances professionnelles et un sang-froid identiques à ceux de leurs collègues masculins.En conclusion, l’étude montre que le discours public sur les femmes combattantes est dominé par un récit positif selon lequel « les femmes peuvent tout faire » et que les événements récents ont mis fin à la discussion sur l’inclusion des femmes dans les rôles de combat. Cependant, il existe toujours des opposants qui évoquent la peur de la captivité et les capacités physiques inférieures des femmes. Les médias et les chefs de l’armée ont un rôle important à jouer dans la promotion de l’inclusion des femmes dans les rôles de combat et la reconnaissance de leurs réalisations.
ALA UNE
Un Arabe israélien otage,du Hamas, interpelle le réprésentant de l’ONU « Pourquoi Mon Fils n’a pas été libéré»
Lundi dernier, Ali Ziadna, un citoyen arabe israélien dont des membres de sa famille sont retenus en otage dans la bande de Gaza, a confronté l’ambassadeur palestinien auprès de l’ONU, Riyad Mansour, lors d’un débat du Conseil de sécurité de l’ONU sur les violences sexuelles perpétrées par le Hamas. Dans une vidéo publiée sur X, Ziadna exprime son désarroi face à la situation de sa famille et critique l’ambassadeur pour ne
pas avoir pris de mesures pour libérer les otages musulmans détenus par le Hamas. Ziadna, qui faisait partie d’une délégation de familles
d’otages de Gaza accompagnant le ministre israélien des Affaires étrangères, Israel Katz, et l’ambassadeur israélien auprès de l’ONU, Gilad Erdan, a interpellé Mansour en arabe : « Pourquoi ma famille a-t-elle été kidnappée ? Quel crime ont-ils commis pour
mériter d’être enlevés par le Hamas ? Ils sont retenus dans des tunnels depuis cinq mois, et pourquoi ? ».L’échange entre les deux hommes a eu lieu dans le bâtiment de l’ONU à Manhattan, visible en arrière-plan de la vidéo. Bien que le dialogue soit en arabe, plusieurs comptes
sur X ont publié des traductions similaires de la conversation.En réponse, Mansour a exhorté Ziadna à se souvenir des milliers de Palestiniens tués et blessés à Gaza et de la destruction dans la région. « Souvenez-vous de vos frères et sœurs musulmans qui sont morts à Gaza, 30 000… et 75 000 (blessés) et de la destruction à Gaza. Nous sommes contre toute atteinte à un citoyen, pensez aux civils qui ont été blessés et faites preuve de solidarité avec eux. Ne laissez pas [Israël] profiter de vous, ceux qui tuent les Palestiniens profiteront de vous », a-t-il déclaré. Lors du débat, Katz a critiqué l’ONU pour ne pas avoir pris de mesures suffisantes contre le Hamas et a demandé à l’organisation de désigner le groupe comme organisation terroriste et de faire pression pour la libération des 134 otages restants. « Pendant trop longtemps, l’ONU est restée silencieuse sur les actions du Hamas », a déclaré Katz. « L’ONU n’a jamais condamné ni désapprouvé ces crimes brutaux du Hamas. »Alors que le débat se poursuit, la situation des otages à Gaza reste précaire et leur libération semble incertaine. La confrontation de Ziadna avec Mansour met en lumière la détresse des familles touchées et la nécessité d’une action urgente pour mettre fin à leur calvaire.
GUERRE ISRAEL
La réponse du Rav Zini aux propos du Rav Itshak Yossef
En tant qu’acteur de l’information communautaire et d’Israël, nous nous devons de vous informer sur les fortes polémiques qui ont lieu entre deux courants du judaïsme, à savoir les mouvements ultra-orthodoxes et les mouvements du sionisme religieux. Nous tenons à conserver notre respect envers tous les Rabbanims et à proposer une information sans vouloir imposer une particulière opinion à nos lecteurs.Il y a toujours eu des controverses entre les Rabbanims, mais ces discussions se réglaient traditionnellement dans l’intimité des Yeshivot. Cependant, aujourd’hui, ces discussions sont largement diffusées par les intéressés eux-mêmes, ce qui explique pourquoi nous nous permettons de vous informer sur ces échanges.Lors de sa conférence hebdomadaire du samedi soir, le grand rabbin séfarade d’Israël, le Rishon Letsion Rav Itshak Yossef, a abordé la question controversée de l’enrôlement des orthodoxes dans l’armée. Il a exprimé son désaccord avec cette idée et a même affirmé : « Si nous sommes contraints de nous enrôler, nous quitterons Israël ». Ces propos ont suscité de vives réactions de la part de l’ensemble de la classe politique et des
sionistes religieux.Le parti du ministre Smotrich, Hatsionout Hadatit, a publié une déclaration dans laquelle il affirme que « servir dans Tsahal est une grande mitsva ! Nous sommes reconnaissants d’avoir l’honneur de servir le peuple d’Israël et d’étudier la Torah. Après 2000 ans d’exil, nous ne quitterons jamais notre terre. Le public qui est prêt à donner sa vie pour Eretz Israël ne renoncera jamais à sa terre, quel qu’en soit le prétexte ».Le parti Otsma Yehoudit, du ministre Ben Gvir, a également réagi : « Servir dans Tsahal est un immense honneur et une grande mitsva de pouvoir nous défendre sur notre terre. Dans l’armée du Roi David, il y avait des gens pieux et érudits. Nous ne croyons pas en la contrainte pour enrôler le public orthodoxe. Les choses doivent se faire dans la compréhension et l’amour. Nous pouvons résoudre ce conflit de manière concertée en nous enrôlant dans la police ou dans la garde nationale. Nous ne quitterons jamais notre terre sainte ».Le ministre Benny Gantz a également critiqué les propos du grand rabbin : « Après 2000 ans d’exil, nous sommes revenus sur notre terre. Nous nous battrons pour elle et nous ne l’abandonnerons jamais. Les propos du Rav Yossef sont une atteinte à l’État et à
la société israélienne. Nous devons tous participer à l’honneur sacré de servir et de nous battre pour notre État, surtout en ces temps difficiles. Y compris nos frères orthodoxes ».Les partis orthodoxes, Shass et Yahadout Hatorah, ont quant à eux pris la défense du Rav Itshak Yossef. Le parti d’Arié Derhy a rappelé à l’ordre Yaïr Lapid dans sa manière de s’adresser au grand rabbin : « Vous n’avez pas à parler avec mépris du grand rabbin qui a exprimé une opinion claire sur l’importance du mérite de ceux qui, en étudiant la Torah, défendent la terre. Vous qui avez, par votre silence, soutenu les appels à ne plus servir émanant des organismes contre la réforme judiciaire, vous n’avez aucun droit de nous donner des leçons ».La faction Deguel Hatorah a déclaré : « Le Rishon Letsion Rav Itshak Yossef a raison. Nous n’avons aucun droit d’exister en tant que peuple en Eretz Israël, sans ceux qui étudient la Torah nuit et jour. C’est la Torah et ceux qui l’étudient qui nous ont maintenus pendant des milliers d’années d’exil et de malheurs dont nous avons été victimes, et grâce à Dieu qui nous ont permis de survivre et de revenir sur notre terre ». Selon le journaliste orthodoxe Ishay Cohen : « Ces propos sont intentionnels. La position du Rishon Letsion Rav Itshak Yossef n’est pas considérée comme extrême au sein du monde orthodoxe. C’est même la position dominante. Elle a été exprimée publiquement de manière volontaire pour exprimer clairement et sans équivoque l’opposition à l’enrôlement des étudiants de yeshivot. C’est à partir de ce constat que le débat sur la question commence. A priori, cela se traduira par la suspension des subventions aux yeshivot, mais pas par l’enrôlement des orthodoxes dans l’armée ».Jforum.fr
ALA UNE
Rien dans le Monde, rien dans la brigade féministe mondaine
Certaines femmes (et certains hommes) diraient à juste titre que nous n’avons pas besoin d’un jour institué dans l’année pour saluer le droit des femmes. Il y aurait 364 autres jours pour s’en occuper.Mais force est de constater que ce n’est pas le cas, même si un début de changement s’est esquissé ces dernières années. Alors nous pouvons en ce 8 mars, journée internationale du droit de la moitié de l’humanité insister sur les chantiers qui restent à accomplir.Il y a encore tant à faire sur les questions
d’égalité salariale, sur l’accession à des postes clefs, sur les mentalités, sur le sexisme ordinaire ou sur les violences commises qui peuvent aller jusqu’à la mort.Le 7 octobre dernier, des femmes, parce qu’israéliennes, ont été tragiquement prises pour cibles : elles ont été violées, torturées avant d’être assassinées. Nous savons que les femmes prises en otages par le mouvement terroriste islamiste du Hamas sont encore violées et maltraitées. Leur mémoire et leur soutien nous rappellent l’importance cruciale de lutter pour un monde où toutes les femmes peuvent vivre libres, sans peur, en toute sécurité et en toute dignité, sans craindre pour leur vie ou leur intégrité physique, quel que soit le contexte.Nous ne pouvons ignorer non plus toutes les femmes de toutes nationalités et de toutes religions victimes de conflits dans tous les points du globe (où l’étincelle de haine a été allumée par des hommes…)Toujours en 2024, œuvrer pour un avenir plus juste et égalitaire passe encore par ce sujet qui
pourtant aurait dû être depuis longtemps réglé. Et terminons avec cette citation de la philosophe et psychanalyste Éliane Amado Lévy-Valensi lors d’un colloque des intellectuels juifs de langue française :« La femme est un au-delà de l’homme, mais comme l’homme est un au-delà de la femme. Ils sont l’un pour l’autre le signe de la transcendance. » sandrine.szwarc Actualité Juive
Une élue remarquée sur les réseaux sociaux
Contacté par Le Parisien, l’avocat du mis en cause, Yassine Bouzrou, assure que son client « conteste avec force les accusations portées contre lui ». De son côté, Me Jade Dousselin, conseil de l’élue de 35 ans, salue « la grande célérité de la justice dans cette affaire, ce qui démontre, s’il le fallait, qu’elle a pris toute la mesure de la gravité des faits dénoncés ».
Cette dernière espère désormais « que toute la lumière sera faite dans l’apaisement et le respect du secret de l’enquête ».Ersilia Soudais, 36 ans, est députée de la France Insoumise dans la 7e circonscription de Seine-et-Marne depuis le 19 juin 2022 et a été conseillère municipale d’opposition à Lagnysur-Marne de 2020 à 2022. Fille du rédacteur en chef de Politis Mi-
chel Soudais, elle s’est fait remarquer pour son hyperactivité sur les réseaux sociaux, ainsi que ses positions critiques à l’égard d’Israël, en plein conflit avec le Hamas depuis les attaques du 7 octobre.Elle avait été attaquée en 2023 par le président de la Licra Alain Jakubowicz qui avait raillé de manière inappropriée sa tenue vestimentaire dans l’hémicycle.Lui aussi
militant à La France Insoumise, Damien Cassé est conseiller municipal d’opposition à Noisiel, en Seine-et-Marne. En septembre 2023, il avait affiché son « soutien » auprès d’Ersilia Soudais sur X, alors accusée d’antisémitisme, et qui disait être victime de harcèlement sexiste.
Israel Actualités avec Le Parisien.
ALA UNE
Mélenchon utilise la provocation et l’antisémitisme mais se suicide.
Mélenchon utilise la provocation et l’antisémitisme mais se suicide.A cours d’argument, les LFI n’ont plus comme arme que la provocation, la haine et l’antisémitisme à offrir comme marque de fabrique. Ils n’arrêtent plus d’éructer, leur colère de se voir mis de plus en plus à l’écart du jeu politique. Le PS et les Verts ont quitté le radeau de la Méduse, ont coupé les ponts avec Mélenchon qui n’a que les réseaux sociaux pour s’exprimer, et quelques affiches provocatrices. Il s’est cru dans le vent, mais il n’avait pas compris qu’il l’emporterait. Il a fini par chassé le reste de la classe ouvrière vers le RN, vers un Jordan Bardella gentil, poli, et bien sur lui. Ce qui est étonnant c’est qu’il n’ait pas fait d’affiche « Bardella vote ! Et vous ? », par contre il s’attaque à ceux qu’il croie être les responsables de sa descente au enfers, en évitant de se remettre en cause.
« Nathalie Saint-Cricq vote. Et vous ? » « Christophe Barbier vote. Et vous ? On s’inscrit sur les listes électorales et on vote insoumis ! » Il est aisé de s’indigner des ignobles affiches de campagne de La France insoumise pour les élections européennes de juin. Mais l’indignation est infertile. Une fois qu’on a crié, la
crasse demeure. Mieux vaut y mettre les mains. De quoi la méthode qui consiste à désigner des journalistes est-elle le nom ?D’une réduction des journalistes à leurs opinions présumées. Du refus que les journalistes soient des individus libres dont les sensibilités varient au gré des sujets. Dans le droit-fil du vieux projet mélenchonien d’afficher les orientations politiques des chroniqueurs TV, ou du rapport ubuesque de François Jost, qui préconise l’examen du pedigree moral et intellectuel de l’ensemble des collaborateurs de CNews, LFI prétend étiqueter, une fois pour toutes, les journalistes comme on le fait des bestiaux, selon l’origine, le lieu de naissance, celui d’élevage, voire le numéro de lot… avant de les envoyer à l’abattoir.D’une mauvaise compréhension de Marx (aux yeux de qui toute opinion est l’effet de nos déterminations sociologiques) qui culmine dans un procès d’intention : au lieu de s’interroger sur les rapports de force qui forment nos discours, LFI fait au locuteur le procès de son identité fantasmée : tu nous critiques, donc tu es un défenseur du système ! CQFD.D’un châtiment par la foule. Les journalistes que LFI montre du doigt ont simplement commis l’erreur de faire le travail de pédagogues, d’éclaireurs et, au besoin, de critiques. Mais qu’importe ? S’ils éreintent LFI, ce sont des ennemis du peuple qu’il faut donc traiter comme tels. Par le lynchage.D’une nostalgie de la dictature. Si LFI était au pouvoir, ses séides n’hésiteraient pas à enfermer les journalistes qu’ils menacent aujourd’hui. Mais comme LFI n’a pas les moyens, contrairement à son modèle russe, d’enfermer ou d’exécu-
ter ceux qui osent ne pas l’approuver, c’est le « bouc-émissariat », la dénonciation publique et la vindicte populaire qui lui tiennent lieu de prison d’État.Du postulat que « les riches » (sauf Mélenchon), « les racistes » (sauf Taha Bouhafs) ou encore « les golfeurs » (mais pourquoi ?) ne voteront jamais pour eux. Autrement dit, d’une réduction du « peuple » (soit l’ensemble d’une population) à la « masse », c’est-àdire aux seuls gens dont LFI courtise les voix. Or c’est la quintessence de la démagogie : parler à certains et non à tous, identifier le peuple à ses seuls électeurs aux dépens des autres, bref, scinder la société pour gratter des suffrages.Enfin, d’un trumpisme bien français. Après avoir, comme Trump, systématiquement contesté le résultat des élections, après avoir applaudi des séditieux qui enfonçaient la porte d’un ministère, après avoir refusé de condamner des violences urbaines, LFI, copycat du milliardaire américain, attaque frontalement la presse et ses représentants, en les accusant d’être les gardiens du pouvoir en place – et bientôt, peut-être, de « l’État profond ». Quelle différence entre les affiches de LFI, qui livrent des journalistes à la fureur collective, et Trump, qui se met en scène en train de casser la figure de CNN en personne ? Aucune, sinon que Trump est dangereux, alors que Mélenchon est pathétique.
Israel Actualités avec Raphaël Enthoven
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Panot tombe dans le panneau.
Incapable de situer Israël
Panot tombe dans le panneau. Incapable de situer Israël «Je ne comprends pas votre question» : Mathilde Panot «ne sait pas» si la Palestine est à l’ouest ou à l’est du Jourdain
Interviewée ce mardi sur Public Sénat, la députée n’a pas su dire où se situe la Palestine par rapport au fleuve Jourdain.
Mathilde Panot milite pour que la France reconnaisse l’État de Palestine au sein de l’ONU, comme 139 autres pays. Mais sait-elle le placer sur une carte ? Interviewée ce mardi matin sur Public Sénat, la députée du Val-de-Marne et présidente du groupe Nupes à l’Assemblée nationale n’a pas su répondre quand le journaliste lui a demandé si cette région se situait à l’ouest ou à l’est du fleuve Jourdain.
«- L’État de Palestine se situe-t-il à l’est ou à l’ouest du fleuve Jourdain ?», l’interroge le journaliste, qui s’appelle d’ailleurs Steve Jourdin. Silence. – Pourquoi cette question ?, répond, dubitative, la députée.
– Pour savoir où vous situez l’État de Palestine à venir.
– Nous, nous nous appuyons sur les résolutions de l’ONU.
– Oui, mais physiquement, géographiquement vous le situez où cet État de Palestine ?
– Je ne comprends pas votre question, je m’appuie exactement sur les résolutions de l’ONU.
– Géographiquement, c’est à l’ouest du Jourdain ?
– Mais je ne sais pas. Je ne sais pas ce que vous essayez de me faire dire», conclut, embarrassée, la députée.
«From the river to the sea»
La Palestine se situe à l’ouest du fleuve. L’un des slogans des manifestants pro-palestiniens, partout dans le monde, est d’ailleurs «From the river to the sea» , c’est-à-dire «de la rivière à la mer». La «rivière» désigne le Jourdain, qui délimite aujourd’hui la frontière entre d’un côté Israël et la Cisjordanie (l’une des composantes de la Palestine, au nord de la mer Morte), et la Jordanie de l’autre. «The sea» désigne la mer Méditerranée.
Ce slogan signifie donc que la Palestine devrait, selon les manifestants, s’étendre sur l’ensemble du territoire allant du Jourdain à la Méditerranée. Un tel État palestinien serait peu ou prou l’équivalent de l’Etat d’Israël. La Palestine historique, n’est pas celle que l’on nous présente de manière mensongère. Elle est celle dont la Grande-Bretagne a hérité lors du partage entre mandataire.
C’est-à-dire 112.414 Km² comme la carte ci-dessus. La première escroquerie est réalisé par la Grande Bretagne.
En 1923, lors de l’officialisation du Mandat sur la Palestine, et avec la volonté de respecter les promesses formulées envers Hussein ibn Ali et le mouvement sioniste (accords Hussein-Mac Mahon de 1915 et Déclaration Balfour de 1917), les Britanniques scindent la région en deux parties séparées par le Jourdain: la Palestine dite mandataire à l’Ouest du Jourdain incluant un « foyer national juif » soit 20% de la Palestine et, à l’Est du Jourdain, l’« Émirat hachémite de Transjordanie » dit la Palestine Est (Eastern Palestine en anglais) représentant 80% de la Palestine.
Cette séparation a exclut le territoire de Transjordanie des engagements de l’empire britannique en faveur de la création d’un foyer national juif, ce qui fut le premier vol dans cette histoire.
Sur les 20% restants, moins de 50% devaient revenir aux Juifs, soit moins de 10% de la Palestine historique. Il n’y a jamais eu de frontières reconnues pour l’État d’Israël. L’Egypte et le Royaume de Jordanie reconnaissent leurs frontières avec Israël, mais pour le reste ce sont les vieilles lignes d’armistice de 1948 mais non des frontières reconnues.
Quant à Mme Panot, elle est comme tous les autres qui tombent dans le panneaux des arabes de Judée Samarie et de Gaza.
Israel Actualités avec JForum.Fr
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La députée LFI Ersilia Soudais, « violée » par un élu LFI
Damien Cassé, le conjoint de la députée LFI Ersilia Soudais, en garde à vue après une plainte pour viol de l’élue La députée insoumise de la 7e circonscription de Seine-etMarne a porté plainte contre son compagnon samedi 2 mars, au commissariat du VIIe arrondissement de Paris.
Le compagnon de la députée La France insoumise Ersilia Soudais, Damien Cassé, également militant LFI et conseiller municipal d’opposition à Noisiel (Seine-etMarne), a été placé en garde à vue à Dammarie-les-Lys (Seineet-Marne) ce mardi après-midi, après une plainte pour viol déposée par sa compagne, indique une source proche du dossier au Parisien. Les policiers l’ont interpellé mardi après-midi à Noisiel.
L’élue de Seine-et-Marne, qui serait en conflit avec son conjoint, a porté plainte contre ce dernier dans le VIIe arrondissement de Paris, samedi 2 mars dans la soirée. Les faits dénoncés par la
députée dans sa plainte se sont produits dans la nuit du 29 février au 1er mars au domicile du couple à Villeparisis.
Une enquête en flagrance a été ouverte par le procureur de la République de Meaux, « des chefs de viol par conjoint, harcèlement moral, appels téléphoniques malveillants et violences psychologiques », précise Jean-Baptiste Bladier dans un communiqué, ce mercredi matin. En raison du mandat parlementaire de la victime, elle a été confiée à la sous-direction de la Police judiciaire de Melun.
Eurovision 2024 : Graffitis pro-palestiniens dans la ville de Malmö sur des panneaux du concours
En début de semaine, des militants pro-palestiniens ont vandalisé des panneaux publicitaires avec des affiches de l’Eurovision, près de l’une des salles de concert de la ville de Malmö en Suède, où se déroulera le concours international de chant, a rapporté mercredi Channel 12.
De la peinture rouge, simulant du sang, a été jetée sur les pancartes et des slogans pro-palestiniens y ont été pulvérisés.
La police locale a ouvert une enquête. En janvier, plus de 1 000 artistes suédois ont signé une lettre appelant SVT, la chaîne publique suédoise, à boycotter Israël. «Nous attendons de l’Union
européenne de radiodiffusion et de SVT qu’elles soient cohérentes dans leur position contre les pays qui violent les valeurs démocratiques et nient les droits de l’homme», ont-ils déclaré. La ville de Malmö, où se trouve une forte concentration de musulmans, a par ailleurs été le théâtre de manifestations dénonçant la participation d’Israël au concours.
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La mort de Jacob Rothschild déclenche une hystérie antisémite
« Concorde », « intégrité », « travail ». Ce sont les trois mots qui ornent le blason des Rothschild. Mais si l’on en juge par ce que la rumeur complotiste colporte depuis deux siècles sur la célèbre dynastie de banquiers juifs, ce serait plutôt « guerre », « crime » et « escroquerie » qui résumeraient la devise familiale. L’annonce du décès de lord Jacob Rothschild, le 26 février, a offert une triste illustration de la puissance de détestation que peut encore susciter le fameux patronyme.
La complosphère a même réussi à faire une véritable OPA sur la mort de l’homme d’affaires. L’empreinte numérique des contenus inspirés par la haine à l’égard du chef de la branche anglaise des Rothschild a écrasé celle de la presse classique. Une haine inoxydable autant qu’irrationnelle. D’aucuns diraient « démonologique ».
Le théoricien britannique du « complot reptilien », David Icke, a par exemple accueilli la nouvelle par cette homélie vue six millions de fois : « Jacob Rothschild est mort. Ou plutôt,
il est parti vers les royaumes démoniaques du Bas Astral [sic] pour être accueilli chez lui par ses camarades démons qui manipulent la société humaine depuis des éternités. »
Un autre compte complotiste, extrêmement influent aux ÉtatsUnis, Dom Lucre, a posté quant à lui une image générée par IA illustrant lord Rothschild en prince des ténèbres, assis sur un trône d’or formé d’ossements et de crânes. Dix-huit millions de vues. Le trépas du pire des dictateurs n’entraînerait pas un tel déferlement de joie mauvaise.
Que Jacob Rothschild ait été un philanthrope et un ami des arts importe peu. Sa disparition à 87 ans est pourtant bien la preuve que carburer à l’adrénochrome (autre mythe complotiste) ne remplit pas toutes ses promesses d’élixir de longévité, fait remarquer sur X un commentateur facétieux.
Preuve est faite cependant qu’en 2024 Rothschild demeure un nom qui déclenche illico le fantasme… Des perversions prêtées au banquier qui nous parlent surtout de ceux qu’il obsède ?
ALA UNE
De quoi Rika Zaraï est morte
Rika Zaraï “très fatiguée” avant son AVC, son mari se souvient : “Elle avait tiré sur la corde…”
À l’occasion de la sortie d’un DVD célébrant les 60 ans de carrière de Rika Zaraï, son mari Jean-Pierre Magnier s’est exprimé sur la vie et le parcours de son épouse auprès de nos confrères de France Dimanche. L’occasion pour lui de revenir sur une période douloureuse de la chanteuse, celle de son AVC en 2008.
Déjà plus de trois ans malheureusement que la chanteuse Rika Zaraï s’est éteinte à l’âge de 82 ans. Avec plus de soixante ans de carrière, son timbre de voix exceptionnel et sa double culture franco-israélienne, la chanteuse n’a pas manqué de marquer le monde de la musique contemporaine, si bien qu’un DVD consacré à son parcours, jalonné par soixante de ses plus grands tubes, est récemment sorti. Pour assurer la promotion de ce disque, Jean-Pierre Magnier, son manager et époux, s’est confié auprès de nos confrères de France Dimanche ce vendredi 23 février. L’occasion pour lui de revenir sur les années d’or de la chanteuse, mais aussi sur la période plus sombre au cours des dernières années de sa vie où elle était malheureusement très affaiblie, à la suite d’un accident vasculaire cérébral survenu en 2008 : « Elle était très fatiguée et avait tiré sur la corde en multipliant les tournées. Elle s’est retrouvée hémiplégique du côté gauche. Elle a perdu l’usage de la parole« a raconté son ancien époux, ajoutant qu’il l’avait « beaucoup soutenue » durant cette période.
Après qu’ils aient acheté ensemble une maison à Oisy, « tout près de chez sa
meilleure amie » a-t-il précisé, la chanteuse et mère de la décoratrice d’intérieure Yaël Bolender s’est battue « pour recouvrer ses facultés » : « Elle a travaillé avec une volonté de fer, notamment avec un orthophoniste » a révélé son époux. Un travail de tous les instants qui lui a permis de retrouver le plaisir de la scène jusqu’à la fin de sa vie : « Sa dernière apparition sur scène a eu lieu en février 2020 lors de La Nuit de la Déprime. Elle y a interprété ‘Prague’, en mémoire de ses origines ». Une dernière prestation, forcément émouvante pour tous ceux qui ont pu y assister.
Rika Zaraï : une rage de vivre monumentale
Son combat contre son AVC, Rika Zaraï l’a mené avec une force et une motivation particulièrement impressionnantes, dont elle avait témoigné elle-même dans le passé. Une véritable rage de vivre qu’elle a gardé au fond d’elle-même durant de nombreuses années et qui prend sa source dans un évènement capital de sa vie. En 1969, elle survit avec son époux à un accident de voiture , mais en très mauvaise condition, au point que sa remontée sur scène est compromise. Rika Zaraï développe alors des idées noires et songe au bout de quelques jours au suicide, avant de se raviser en une nuit décisive où elle a préféré croire en l’idée qu’elle pouvait être plus forte que tout ça et retrouver son public. Bien lui en a pris, puisqu’elle y est arrivée, durant 50 ans ensuite.
Rika Zaraï avait fait son retour sur scène lundi 3 février aux Folies Bergère, à l’occasion de la Nuit de la déprime. La chanteuse israélienne, éloignée du public
depuis 2008 après avoir été victime d’un AVC, a été acclamée par les spectateurs.
C’était un retour riche en émotion pour Rika Zaraï. La chanteuse israélienne est montée sur la scène de la Nuit de la déprime, organisée par Raphaël Mezrahi pour la première fois depuis 2008, triste année de son AVC. L’artiste de 81 ans a été encensée par le public, qui lui a offert une standing ovation – ce dont, selon Le Parisien ce mardi, n’ont pas eu droit les autres invités de l’évènement, parmi lesquels Eddy Mitchell, Vianney, ou encore Maxime Le Forestier.
Sur la scène, Rika Zaraï, en fauteuil roulant, a notamment chanté son célèbre titre Prague, accompagnée en musique par la violoniste Anne Gravoin. L’interprétation a beaucoup ému le public, qui l’a acclamée tant et si bien que la chanteuse a « fondu en larmes« , toujours selon le quotidien.
Onze ans d’absence, « une éternité » « Je m’étais promis de ne pas pleurer et j’ai pleuré comme une madeleine. Des larmes de joie, a confié l’artiste à nos confrères. C’était si bon de retrouver le public, de voir tous ces visages, ces cœurs allumés, surtout dans ce théâtre que j’aime tant. Quand on est née comme moi pour être sur scène, ne pas pouvoir monter sur scène pendant onze ans, c’est tellement long. C’est une éternité !«
Terrassée par un AVC, Rika Zaraï est donc restée très longtemps éloignée de son public. En novembre dernier, elle sortait une compilation de cent de ses meilleurs titres. Elle se confiait alors dans les colonnes de France Dimanche sur l’inquiétude provoquée par son état de santé. « Je suis dans ma chambre, avec mon amie Lucile, on vient de m’apporter à manger et je ne reconnais rien de ce qu’il y a sur mon plateau. (…) C’est très angoissant de ne plus rien savoir de rien, de ne même pas savoir si vous aimez ça ou pas« , racontait alors la chanteuse. Une épreuve désormais derrière elle.
ALA UNE
Des ONG veulent poursuivre le Danemark pour mettre fin aux exportations d’armes vers Israël
Un groupe d’ONG a annoncé son intention de poursuivre l’État danois pour mettre fin aux exportations d’armes du pays nordique vers Israël, craignant que ces armes ne soient utilisées pour commettre des «crimes graves contre des civils» pendant la guerre à Gaza, a rapporté l’agence Reuters.
Amnesty International Danemark, Oxfam Danemark, ActionAid Danemark et l’organisation palestinienne de défense des droits de l’homme Al-Haq ont déclaré dans un communiqué commun
«Cela fait cinq mois que nous parlons d’un génocide potentiel à Gaza, mais nous n’avons pas vu les responsables politiques agir»
qu’ils porteraient plainte contre le ministère danois des affaires étrangères et la police nationale, qui approuvent les ventes danoises d’armes et d’équipements militaires. «Nous pensons que nous sommes tout à fait dans les limites», a déclaré le ministre des Affaires étrangères Lars Lokke Rasmussen à la presse. Le cabinet d’avocats Kontra Advokater, qui représentera les ONG, a déclaré qu’il déposerait la plainte auprès d’un tribunal de district de Copenhague dans les trois prochaines semaines. «Cela fait cinq mois que nous parlons d’un génocide potentiel à Gaza, mais nous
n’avons pas vu les responsables politiques agir», a déclaré Tim Whyte, secrétaire général d’ActionAid Danemark. Israël rejette avec véhémence les allégations de «génocide», affirmant que sa guerre vise le groupe terroriste palestinien Hamas, et non le peuple palestinien, à la suite du massacre du 7 octobre dans le sud d’Israël, au cours duquel des terroristes ont tué 1 200 personnes et pris 253 otages.
Israel Actualités avec i24news
ALA UNE
Une militante radicale pro-palestinienne vandalise le portrait d’Arthur Balfour à l’université de Cambridge
Une militante pro-palestinienne radicale a été filmée vendredi en train de peindre à la bombe et de lacérer un portrait historique de Lord Arthur Balfour
Une militante pro-palestinienne radicale a été filmée vendredi en train de peindre à la bombe et de lacérer un portrait historique de Lord Arthur Balfour, datant de 1914, à l’université de Cambridge, au Royaume-Uni.
En tant que ministre des Affaires étrangères en 1917, Balfour a signé la déclaration éponyme de Balfour qui soutenait l’établissement d’un «foyer national pour le peuple juif» dans ce qui allait devenir la Palestine mandataire. Ce geste a été perçu comme une reconnaissance officielle du mouvement sioniste et un
Le nombre d’incidents antisémites en Suisse a bondi depuis les attaques sanglantes du Hamas en Israël le 7 octobre et la riposte de l’État hébreu contre le groupe terroriste à Gaza, révèle un rapport publié mardi par la Fédération suisse des communautés israélites (FSCI) et la Fondation contre le racisme et l’antisémitisme (GRA). Le nombre d’actes antisémites est passé de 57 en 2022 à 155 en 2023, la plupart commis après le 7 octobre.
L’augmentation sans précédent des cas comprend dix agressions physiques, contre une l’année précédente, indique l’étude, ainsi que des insultes verbales,
soutien de la part d’une grande puissance, ce que les Palestiniens déplorent depuis longtemps.
En 2022, deux femmes ont été arrêtées pour avoir aspergé de ketchup une statue de Balfour au Parlement de Londres.
Le nombre d’actes antisémites est passé de 57 en 2022 à 155 en 2023, la plupart commis après le 7 octobre
des graffitis et des affiches antisémites.
«Suite aux terribles attaques terroristes du Hamas le 7 octobre 2023, l’antisémitisme s’est également manifesté en Suisse d’une manière que nous ne pouvions imaginer», ont écrit le président de la FSCI, Ralph Lewin, et son homologue de la GRA, Zsolt Balkanyi-Guery dans le rapport.
L’un des cas récents les plus notoires s’est produit le 2 mars, lorsqu’un juif orthodoxe a été poignardé et laissé avec des blessures potentiellement mortelles par un adolescent suisse, un admirateur de l’État islamique d’origine tunisienne. L’incident, décrit par la FSCI comme le crime de haine antisémite le plus grave
en Suisse depuis deux décennies, a provoqué un choc et une inquiétude généralisés, et a conduit à renforcer la sécurité des sites juifs à Zurich, où l’attaque a eu lieu.
114 des incidents antisémites survenus en Suisse l’année dernière se sont produits après le 7 octobre. Les incidents antisémites ont également augmenté en ligne, avec 975 cas enregistrés en 2023, contre 853 l’année précédente. Près de la moitié des incidents survenus en 2023 ont été enregistrés après le 7 octobre, selon le rapport.
Israel Actualités avec i24news
ALA UNE
«L’Afrique du Sud se prépare à arrêter tout citoyen ayant servi dans Tsahal dès son retour dans le pays»
Le ministre des Affaires étrangères de l’Afrique du Sud l’assure : tous les citoyens ayant servi dans l’armée israélienne seront arrêtés dès leur retour dans le pays. «Nous avons déjà émis des ordres concernant les citoyens sud-africains qui combattent aux côtés ou au sein des forces de Tsahal : nous sommes prêts et lorsque vous rentrerez chez vous, nous vous arrêterons», a déclaré sans équivoque Naledi Pandor
Fin novembre, le pays d’Afrique a déposé une requête contre Israël auprès de la Cour internationale de Justice de La Haye pour «génocide»
lors d’une assemblée du parti au pouvoir. Au cours des derniers mois, les relations diplomatiques entre les deux pays se sont considérablement dégradées, en raison des critiques de Pretoria à l’égard des actions de l’armée israélienne dans la bande de Gaza et de ses positions pro-Hamas. Fin novembre, le pays d’Afrique a déposé une requête contre Israël auprès de la Cour internationale de Justice de La Haye, exigeant qu’il soit condamné pour «génocide»
à Gaza. Quelques semaines plus tôt, le gouvernement sud-africain avait décidé de renvoyer l’ambassadeur d’Israël, avant que Jérusalem ne lui rende la pareille.
Depuis le lancement de sa procédure devant la Cour internationale de justice, Israël accuse l’Afrique du Sud d’être devenu le «bras légal de l’organisation terroriste du Hamas».
Adidas vend ses stocks de baskets Kanye West et reverse les bénéfices à des associations de lutte contre l’antisémitisme
Les stocks d’invendus de la marque après sa rupture de contrat avec l’artiste s’élevaient à 1,2 milliard de dollars
Adidas a annoncé qu’elle allait reverser une partie des bénéfices de la vente de ses baskets Kanye West à des associations de lutte contre l’antisémitisme et pour plus de justice sociale. La firme allemande a en effet entrepris d’écouler ses stocks d’invendus
d’une valeur de 1,2 milliard de dollars, restés sur ses bras après sa brutale rupture de contrat avec le rappeur américain en raison de ses déclarations antisémites. La fin de la collaboration entre l’artiste - qui se fait désormais appeler Yeezy - et la marque avait fait grand bruit, alors qu’elle était l’une des plus lucratives de l’histoire d’Adidas.
La marque versera ainsi 150 millions de dollars à l’Anti-Defa-
mation League ainsi qu’à l’Institut Philonise & Keeta Floyd pour le changement social, dirigé par le frère de George Floyd, cet homme noir décédé en 2020 après avoir été asphyxié par un policier agenouillé sur son cou.