N°15 Décembre SOKE CANTORE
JIM WAGNER
FULL CONTACT
RYU KYU KAI
KAPPAP
J. LEVINET HARAGEI RYU
www.magazineselfdefense.com
• Page 4 - Dominique Valéra - Eternel guerrier • Page 10 - Soke Cantore - Leyenda viva de Patagonia • Page 16- Haragei Ryu - Master DE HEBLES • Page 22 - Kyoshi Frank Weber - Ryu Kyu Kaï Germany • Page 26 - Retro Full Contact - Coupe des champions 1993 • Page 32 - Save Kravmaga System - Miguel Morales Tome • Page 36 - Reality Based Sergeant Jim Wagner • Page 42 - Self Pro Krav Deutschland - Master Jacques Levinet • Page 48 - Katana Murasame et Katana Samouraï • Page 52 - Fiches techniques Canne et Bâton Défense
Le Rédacteur en Chef Capitaine Jacques Levinet
Déjà prés de 20.000 lecteurs
Aonnement gratuit Photographe du Magazine Edith Levinet
LE KING VALERA Dominique Valera reste l’un des derniers champions de l’époque des « durs à cuire ». Un passionné, un guerrier, un expert devenu sage. Avec un palmarès sportif incroyable et une santé de fer, Dominique Valera s’est inscrit avec le temps, dans l’histoire des arts martiaux. Il est devenu une icône et a su se faire connaitre tant pour ses combats, que ses connaissances techniques hors normes. Il est une force de la nature que bien des combattants actuels ne pourraient encore affronter, doté d’une énergie et d’une agilité faisant largement oublier les années qui passent. MAG AJL est allé à la rencontre du «King» afin de lui poser quelques questions pour nos lecteurs. MAG AJL : Vous avez fait dernièrement un déplacement au Japon. Quel en était le but de cette visite ? Dominique Valéra : Le but de ce voyage au Japon (le 5ème) était de fêter mon premier voyage fait en 1966 donc 50 ans après. Pour cela j’avais demandé à Patrice Belrhiti, 8è dan de notre Fédération, qui a vécu plusieurs années là-bas, et donc parlant la langue de m’accompagner pour me faire visiter car les 4 voyages précédents étaient uniquement sportifs et de ce fait j’étais passé à côté de pas mal de choses.
MAG AJL : Tous les arts martiaux comprennent une discipline de jutsu adapté à la self défense. Qu’en pensez-vous et quelles différences faites-vous avec la self défense de rue issue de disciplines non martiales ? DV : Quand on parle de Disciplines Martiales on entre dans la voie du Budo qui n’a rien à voir avec la rue ! Dans le Budo il y a des codes, des rituels, des obligations …Alors que dans la rue la seule chose est de déstabiliser l’adversaire pour le maitriser (voir l’anéantir) pour en ressortir vivant. Ma formule est simple « La situation existe je l’exploite et si elle n’existe pas je la crée »
ETERNEL GUERRIER
MAG AJL : : Vous êtes toujours en pleine forme physique. DV : Je m’entraine chaque jour dans des domaines difféQuel est votre rythme d’entrainement pour la maintenir à rents pour maintenir la forme comme je ne peux plus faire ce niveau ? de footing ( douleurs de dos et de genoux et chevilles ) 2 fois par semaine je fais 4h de marche en poussant une petite DV : On ne peut pas les comparer les époques car avant balle blanche ( golf ). Ensuite je fais l’entretien du « Matos » dans les années 60 on pratiquait le karaté d’abord pour un Assouplissements puis étirements, un jour sur deux muscul art de défense et ensuite pour la compétition. Alors que spécifique (dos, abdos, pompes, triceps) sont la base de maintenant on fait du karaté pour la compétition Olym- mon entretien et ma formule de motivation est simple : Mes pique (objectif 2020) et heureusement dans la FF Karaté parents m’ont offert une bonne mécanique mais c’est à moi d’autres Disciplines annexes sont très pratiquées comme d’en faire l’entretien jusqu’à la fin de mon parcours de vie. par exemple le karaté contact, le karaté jutsu ou le karaté défense pour l’efficacité et la véracité des techniques. Un autre exemple… Il ne faut pas oublier qu’avant quand on plaçait un maé géri dans la coquille on gagnait par Ippon !!! Et quand on sortait du parquet (pas de Tatamis à l’époque) avec le dos en compote suite à un balayage ou avec le pif ensanglanté on avait perdu. MAG AJL : Pas autant de catégorie de poids ni de protection dans les compétitions de karaté des années 1970. Quelle différence faites-vous avec le karaté de compétition de maintenant ?
LE KING VALERA MAG AJL : Quels conseils donneriez-vous à un jeune qui veut se lancer dans les arts martiaux sans savoir quelle discipline choisir ? DV : De visiter plusieurs clubs ou dojos et si c’est possible de participer à un cours d’essai afin de mieux se rendre compte de ce qui l’avait l’intention de pratiquer et surtout de la pédagogie de la personne qui enseigne. MAG AJL : Le karaté va devenir discipline olympique aux prochains jeux de Tokyo. Qu’en attendez-vous ?
DV : Je pense avoir répondu en partie dans ma réponse précédente! mais je peux rajouter que concernant notre Sport c’est fantastique, mais maintenant concernant l’Art Martial je ne suis pas sur que les valeurs et les fondamentaux soient transmis et respectés. Nous sommes environ 245 000 licenciés toutes disciplines confondues dans la FF Karaté … mais combien de personnes font de la compétition ??? Donc l’avenir c’est quoi … la pratique dans une forme que l’on aime ou la compét ??? À chacun de trouver son bonheur !
ETERNEL GUERRIER
MAG AJL : MAG AJL diffuse régulièrement des reportages sur le parcours sportif de l’ex international de karaté, le Docteur Bernard Michel, devenu depuis directeur de la clinique de pointe des Jardins de Sophia de Montpellier. Avez-vous des souvenirs de ce combattant des années 1970 ? DV : Oui bien sûr que je me souviens de Bernard Michel j’ai même une photo où il est à l’horizontale suite à un balayage de la Cie Valera Air Fly ! Un excellent combattant fougueux et téméraire qui n’avait peur de rien ni de personne. MAG AJL : Vous êtes réputé pour avoir un esprit très ouvert, sans aucun sectarisme envers d’autres disciplines que les vôtres. Est-ce à dire que l’esprit critique ne doit jamais être public ? DV : Nous sommes dans un monde où les gens se critiquent sans se connaître ou sans se côtoyer ! Ma vie n’a pas été facile, mais heureusement j’ai compris très vite que suivant dans quel berceau on vous place juste après la naissance la vie ne sera pas la même pour tous. Ma famille relogée par l’Abbé Pierre le fameux hiver 54 (j’avais 7ans) j’ai vite compris que mon parcours ne serait pas simple et ensuite heureusement que le hasard a fait que j’ai fait les bonnes rencontres ! Sinon je pense que j’aurais pu finir dans la page des faits et des méfaits plutôt que dans celle des sports à témoin les potes du Gang des Lyonnais ! C’est pour cette raison que j’ai fait beaucoup d’interventions dans les Centrales, les Pénitenciers et les Maisons d’Arrêts pour redonner aux autres ce que j’ai moi-même reçu !
LE KING VALERA
MAG AJL : Quel est votre philosophie de la vie ? DV : Ma philosophie est simple : « Ne jamais attraper la grosse tête sinon plus personne ne la loupera ! AU BOULOT car quand ça sent la chaussette … trop tard ! le pied est dans la gueule ! » C’est du Valera Ryu.
Petite anecdote pour finir : Quand je suis devenu Champion du Monde avec l’Equipe de France en 1972 en rentrant chez moi à Lyon j’ai crié « On est Champion du Monde ! » Ma p’tite mère m’a bien regardé dans les yeux et m’a dit avec son fort accent espagnol : « cé tré bien mo fiss pran lé balé y balé la couisine ! » Quelle belle leçon que je n’ai jamais oublié et en regardant là-haut dans le ciel … MERCI MAMAN
ETERNEL GUERRIER Palmarés individuel et par équipe de Dominque VALERA 1960 - 1975 - 1981 Karaté Amateur : 9è Dan. Coupes et Championnats du Lyonnais : 20 titres. Coupes et Championnats de France : 17 Titres Coupes Internationales : 3 Titres. Cannes, Londres et Rome. Championnats d’Europe : 10 Titres Coupe Mondiale : 1 titre New York en 1969 Championnats du Monde : 3è place Osaka / 3è place Tokyo en 1970, 1er en 1972 Paris. Full Contact - Kick Boxing: 9è Degré 4 titres de Champions d’Europe de Full contact en mi-lourd 1976,1977, 1979, 1980. 2 titres de vice-champions du Monde en mi-lourd 1978 et 1981 Membre de l’Equipe Pro de Memphis Tennessee. 1975 et 1976. Membre Fondateur de la WAKO Pro. World All Style Karate Organization. Membre Fondateur du 1er Comité National de Full Contact en France. Membre Fondateur de la FNBA puis FFBA puis FUBADA, puis FFBA, puis FFKBFCDA. Membre Fondateur du KARATE CONTACT au sein de la FFKAMA. Responsable Technique du Karaté Contact au sein de la FF Karaté. Expert sous contrat avec la FF Karaté depuis janvier 2001. Membre de la Commission des Hauts Gradés. Total Karaté et Full Contact de 701 combats dont 17 défaites et 10 nuls.
SOKE GERARDO CANTORE Gerardo Cantore nació en esta vida en Montevideo, Uruguay Su trayectoria brillante comenzó a ser escrita en los años 60, con el arte del karate aikijujitsu, de forma paralela en las escuelas Erwin School y en el Instituto kamakura. llegó a ser piloto de aviación civil. Fines de los años 70’s Luego se interesa por el rugby
P
ractica Artes Marciales junto a los pioneros en Uruguay, desde 1967 a 1979. Al final de los años 70, toma una decisión que iría a cambiar
su vida para siempre, decide dejar su pais de origen. Sigue entonces rumbo a Argentina, su primer objetivo, para realizar estudios universitarios, filosóficos y teológicos, con marcado acento en antropología. Su tesis: cambiando en angulo de visión…
L
uego se cansa de repetir continuamente lo que los libros le dicen, sin nunca perder el deseo de aprender más a cada día, sigue estudiando
las artes marciales y convive con personas locales y regionales de casi todos los países de Sudamérica. Primero.
F
ue cuando su sed de conocimiento en las artes marciales, y las culturas, hizo con que el se mudará a Asia, donde vivió y aprendió a convivir
con las culturas locales en países como Japón, China, Laos, Tailandia, Nepal; India Rusia, evidentemente como alumno interno en templos y escuelas viviendo en el Himalaya, Nepal, Indochina, participando de duros entrenamientos físicos y mentales, necesarios para su búsqueda personal de profundo conocimiento marcial. Durante 6 años. En países de Asia, siempre a la manera local, lejos de lugares turísticos, siempre dentro de la moral, y amor y respeto a la vida, y a las tradiciones locales,
A
mediados de 1993, en Neuquén Argentina se concreta un gran sueño, el inaugura su primer dojo shinshinkan, un dojo que trascendió las
paredes de toda su ciudad y de todo país, obviamente luego quedó conocido, renombrado y respetado en todo el país por la calidad técnica de sus alumnos y de sus enseñanzas
LEYENDA VIVA EN PATAGONIA
N
A
Debido también a innúmerosos reportajes de diarios, TV
américa, y por supuesto latino américa,
y revistas, divulgando su trabajo de amor por las artes
Esta leyenda viva de las artes marciales, vive en las
marciales.
montañas de la Patagonia, en Argentina y sus alumnos
Llega el momento importantísimo de toda su carrera de
de todo el mundo lo visitan en forma periódica, para ser
dedicación al arte, de aprender y enseñar. Son grabados
aconsejados, guiados, examinados,
entonces videos de su trabajo en Okinawa karate Kobudo
Su arte marcial, a la cual dedica toda su existencia el
y en aikijujitsu en Estados Unidos y Europa por las com-
karate shinshinkan, escuela de fortalecimiento del cuerpo
pañías Budo International Magazine, Yamazato Videos
y de la mente
o demoró demasiado para que su nombre, sus enseñanzas, su experiencia, comenzaran a propagarse
por todo el mundo.
Producciones y en esa misma época se escribe sobre esa gran leyenda Gerardo Cantore en 14 idiomas.
A
ctualmente este gran maestro tiene alumnos en los 5 continentes, donde no solamente demuestran su
calidad técnica, sino también la experiencia multicultu-
ral de Gerardo Cantore. Por donde pasó todas sus ideas y conocimientos, a todas las culturas adonde llegó. Un artista marcial, flexible, adaptable, por muchos momentos el puede ser muy duro, pero necesario para su genial trayectoria en las artes marciales
L
a fama de esta gran leyenda sigue creciendo, hoy y siempre, ya que él es tercer artista marcial no Japonés
en la historia, en recibir el 10º Dan en Okinawa, Japón. Rango otorgado por el galardonado maestro; Tetsuhiro Hokama 10th Dan de Okinawa,
Y
el primero en américa latina a recibir este rango en Okinawa Japón, un reconocimiento justo, a su
trabajo marcial en décadas de dedicación. Algún tiempo después recibe como monje el nombre de Ushi que significa Búfalo ( por su manera de pensar ,vivir, pelear, su actitud ante la vida, su maestro en templo ,dijo, Ushi San , nunca se rinde ,
ctualmente sus escuelas de Shinshinkan están en todo
el mundo. Japón, Rusia, países de Europa, África, Norte
SOKE GERARDO CANTORE
E
n el año 2014, maestro Gerardo Cantore, recibe un documento histórico e importante en el mundo de las
artes marciales:
E
ntonces el maestro Cantore , decide universalizar la SWKO para practicantes y senseis, maestros y acade-
mias de karate aikijujitsu y kobudo, fueron 3 sistemas que
Un certificado, firmado y sellado, por los maestros, Ma-
recibieron reconocimiento oficial en Japón como Hanshi.
sahiro Nakamoto,Tetsumiro Hokama , Isoharu Watanabe
“…sabemos que la Shinshinkan es una escuela muy difí-
, Katsumi Okubo, y otros en donde dice : Soke Gerardo
cil, asi que, está bien, abriéremos la SWKO, para ayudar,
Cantore – 10th Dan Shinshinkan Karate Do ,documento
“…Aceptando todos los diferentes estilos, sistemas aso-
, incuestionable, como el nacimiento de un nuevo linaje
ciados, para reconocimiento de ranking, asesoría y exáme-
mundial. Luego este alto, honor, se transforma en menkyo
nes, seminarios abiertos y mucho mas, para ayudar a los
kaiden, cuando Hokama Dai Sensei, entrega a Soke Can-
hermanos menos graduados en budo.
tore un documento en japones e inglés, sellado y firmado, en el cual se lo autoriza como cabeza mundial de él;
Gerardo Cantore, reside actualmente en las montañas de
Shinshinkan Okinawa Karate Kobudo ,
la Patagonia en Argentina
C
on pensamientos universales sin dependencias
Vive en semi retiro con muchos alumnos por el mundo.
culturales, sin competencias por opción, siendo la
Una verdadera leyenda viva de las artes marciales
shinshinkan karate do una escuela que incluyen Okinawa karate, aikijujitsu, y la meditacion, combinados. Una escuela que pregona la educación y el budo del siglo 21, Las luchas internas y externas con fuerte apoyo moral y honor en todo el aprendizaje y entrenamiento. Un excelente complemento para toda la vida
E
n el año 2000 mientras vivía en Nepal, Soke Gerardo Cantore, funda la organización SWKO shinshinkan
world karate organizacion, para organización de sus escuelas En el año 2015, empiezan a llegar una infinidad de cartas y pedidos al maestro Cantore para que el abra el SWKO en apoyo a otras escuelas, bajo el cuidado, y guía de él, pero con autonomía,
LEYENDA VIVA EN PATAGONIA
SH SHINSHINKAN KARATE DO
usted, se transforme, en un maestro, de sí mismo “, es decir,
El Karate es una disciplina de vida
que pase a control, con la ayuda de este legado, Milenario, por medio de la escuela SHINSHINKAN, con estas
V
iene desde India, cambiando su nombre a su paso, por
herramientas, trabajemos con nosotros mismos, Pulamos
China y Japón
nuestra piedra bruta!
Es Milenario y sigue vivo, por su efectividad, en la formación, de una persona, en forma integral, fortalece el cuerpo, aclara la mente, templa el espíritu. La palabra Kara, significa Vacio (Vacuo), vacío de violencia y de ego.
CARACTERISTICAS:
N
osotros no pensamos que SHINSHINKAN es la mejor escuela
Nosotros pensamos, que hay diferentes escuelas, para dife-
La palabra Te, significa sistema de lucha, combinándolas,
rentes, personas.
no da, un sistema de lucha, Interna/externa, limpio moral,
No participamos en competencias de ningún tipo, no las
pro vida.
necesitamos,
SHINSHINKAN es una escuela creada ,por el gran maes-
Buscamos lo común, no buscamos las diferencias,
tro mundial : GERARDO CANTORE , que sin pretenderlo ,(
Disfrutamos lo que tenemos, no nos quejamos por lo que
ya que él se ve a sí mismo, siempre como un practicante )
nos falta.
,formo una gran escuela , hoy mundial .SHINSHINKAN
No tenemos enemigos, nuestro propio ego,
: Escuela del cuerpo fuerte, mente clara y corazón moral .
quizás sea nuestro único enemigo.
OBJETIVO DE NUESTRAS PRACTICAS: Camino al centro !!!
C
onstruir cuerpos fuertes, y mentes abiertas. Espíritus reconectados, a la moralidad, a la vida. Tanto como sea
posible. Desarrollando un pensamiento universal. El Objetivo más importante del Maestro fundador es:“Que
UNIQUE CENTRE DE FORMATION EN FRANCE FORMATION INSTRUCTEUR SPECIALISE DE CANNE DEFENSE THERAPEUTIQUE
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HARAGEI RYU - Francis DE HEBLES
FICHES TECHNIQUES 4ème KATA
HARAGEI RYU - Francis DE HEBLES
FICHES TECHNIQUES 4ème KATA
Saint Nicolas passed to the museum Haragei and let us magnificent presents. Thanks to the virtues of the Bushido, the sincerity and the benevolence of the International RYU KYU KAI KUMITE Germany founded and directed by Kyoshi Frank Weber. We are very honored. Original plan of Japanese battle in 1600
Dominique DE VILLEPIN - Francis DE HEBLES
Férus d’histoire - Hommes de paix 21
AKADEMIE JACQUES LEVINET DEUTSCHLAND During the last great event in Germany with Self Pro Krav seminar directed by Master Jacques Levinet and organized by his representative for this country, Frank Weber, MAG AJL met Frank and questionned him.
MAG AJL : Can you introduce yourself for our readers ? Frank Weber : I’m 51 years old and I worked as an application engineer in wood processing. I have been in contact with martial arts since the end of the seventies. Have currently the 7th Dan Karate and just as blackbelt in Aikido and Judo. I´m also concerned with Iaido and Kendo. My enthusiasm for martial arts is already very strong. Running my own Dojo ( IGAKK-Bielefeld) and be a instructor for the Police education club in Bielefeld. MAG AJL : Can you tell us more about your method in karate? FW : Basically it is about ´Shotokan Karate´ but for me the whole spectrum must be covered. Besides the general standarts, ´Sabaki´and ´Goshin´belong to my exercises. Furthermore, we strive to train the versatility in technology and it´s applicability. It means a lot to me to know what we are doing. And it is essential for my students. The training is held in Japanese terminology. Inspired by Okazaki, Saito, Sakumoto, Sugimoto and some other masters from Japan. Nevertheless, I´m moving on my own path to make ´Karate´ interesting again in my eyes......so as not to get into this trap of exams for examinations. MAG AJL : You have travalled worldwide. Can you share your martial art experience in Japan ? FW : Yes it is true that I visited many places to train martial arts. And fortunately, I was allowed to train in Japan, wich is probably what every combat enthusiast wants. We visited some Dojo´s with Sugimoto Sensei. A very special experience around Tokio. A lot of independent masters.
FRANK WEBER - NATIONALER TECHNISCHER DIREKTOR MAG AJL : How did you intterested in Academy Jacques Levinet FW : To the AJL I am, frankly, come by chance. And how it can be different over the internet to get some insperation for my workouts. I opened the page AJL spontaneously, since I knew nothing about this system. And was enthusiastic about the simple techniques and their effectiveness. Spontaneously, I decided to get in touch with Master Levinet to learn more about his system. After a couple of intensive emails, I decided to go to Montpelier for a workout. My first personal contact. MAG AJL : Why do you find Self Pro Krav efficient ? FW : Was has touched me to learn more about SPK is the fact that these quite simple and comprehensible techniques, it is also not lacking in effectiveness. Applicable to almost everyone. Similarly, applying the techniques in a variety of attacks. Brilliant!! MAG AJL : You have organized already two seminars SPK in Germany with Captain Jacques Levinet. How the method is felt in your country ? FW : Yes, there were two courses that we have set up with Master Levinet. The question how it is recorded, I answer times so. It is not easy to establish a new self-defense system in Germany, but I would like to share my enthusiasm for inspiring other for the SPK and it seens to work, because the feedback is so far positive and we are planning the third course. And with Jacques Levinet I found the optimal contact person. I´m going on ........ MAG AJL : What are the differences between karate of nowadays and your style ? FW : What differentiates today´s Karate from my art? For me, Karate is becomming increasingly stunted by another sport, which is all about success and commercialization. The old values in the martial arts are exchanged for validity requirements. Versatility is dimmed in order not to overstretch the athlets and keep them in the federations. Training is minimized to simple movements and a lack of variarity. Unfortunately!
AKADEMIE JACQUES LEVINET DEUTCHSLAND
MAG AJL : Can you tell us some applications of your practise of Budo for the daily life ? FW : What did Budotraining bring to me personally in the practise of everyday life? I do not want to insist on the fact that it has also given me security, in addition to the inner peace, balance and waking mind. On the whole, this feeling is a matter for the personel environment. But alone the fact of learning something to it´s wellbeing, which is correctly applied to the purpose of safety, gives a good feeling. MAG AJL : For your style of karate you don’t want to belong to a German Federation. Why ? FW : I have often been asked why I do not want to join a large association here in Germany. Simple answer: I do not want ( and rightfully ) do not stand my independence under the cover of an association whch is not about us, but only the extension of it´s sphere of influence. We do not want just disappear just because we are a small group of enthusiasts, with a complete system at heart. We train Karate for Karate. Do not carry the ashes, but bring the light on. We do not want to disappear in the sinking of commerce.
MAG AJL:What are your projects for the future ? FW : Finally, I would like to add some wishes and projects for the future. We will continue to live and sustain our independence. International Ryukyukai Martial Arts Association. I would like to continue to promote the very enriching collaboration with Master Jacques Levinet and the AJL and make it known in Germany as a system that deserves the respect as a different martial arts. I would like to pass on my joy of martial art spirit that is inside me to the next generation. Thank you ! Kyoshi Frank Weber OSU
FRANK WEBER - NATIONALER TECHNISCHER DIREKTOR
Retour sur cet évènement du vendredi 11 juin 1993 au palais des sports de Montpellier.
E
ncore une discipline, en l’occurrence le Full Contact, qui a pu se propager en France et en Europe grâce au dynamisme et au savoir-faire de l’équipe du Karaté Club Montpelliérain et à sa figure de proue, Bernard Michel. Un fief régional qui fut un véritable point d’ancrage national de nombreuses disciplines dont le Karaté, la boxe française et la boxe américaine. Pour Philippe Lacombe, ex-conseiller technique Fédéral de la FFUDABA
Q
uel meilleur vecteur pour canaliser l’agressivité instinctive de l’homme que l’apprentissage d’une violence structurée, codifiée ?
E
ncore faut-il que l’évolution des jeux guerriers vers la compétition et le loisir ne leur fasse pas perdre leur essence, leur esprit ; Qu’elle n’occulte pas leurs longs apprentissages initiateurs voire initiatiques.
C
’est pourquoi je voudrais aujourd’hui rendre hommage à tous ceux qui, obscurs ou combattants reconnus tel le « King », ont su donner ses lettres de noblesse au « Full Contact », ont su, par-delà la pratique purement physique, retrouver un esprit qui s’égare.
J
e voudrais rendre hommage à ceux qui ont tenu à transmettre généreusement leurs avoir en mettant en exergue une démarche individuelle qui nécessite courage, rigueur, douleur parfois pour finalement amener à la compréhension des autres.
R
emise en question permanent, cheminement difficile (tant sur le plan physique que psychique) qui s’oppose en tout aux apprentissages trop rapides dénués de toute valeur éducative et se traduit trop souvent par la seule recherche de compétiteurs à court terme.
C
ompétiteurs à la carrière d’autant plus éphémère que la véritable démarche sportive doit s’inscrire dans le temps, dans la durée pour amener à transformer la soif de vaincre « l’autre », en envie de se dominer, de se surpasser, de se vaincre soi-même !
COUPE DES CHAMPIONS 1993 A MONTPELLIER
C
ar, pour ce qui concerne la genèse de la « boxe américaine », connue dans sa forme achevée sous le nom générique de « kick-Boxing », elle se confond depuis quinze ans avec l’aventure d’hommes passionnés à la recherche de la « vérité ».
E
t ce n’est pas un effet du hasard, si la référence, le passage obligé en matière de sports de combats et de vie fédérale dans notre région tiennent en deux prénoms Bernard Michel ! Je n’insisterai donc pas sur les origines américaines du « Full-Contact » dans les années 75, car aussi bien, l’on pourrait dire que cette forme de karaté professionnel s’est inspirée via les arts martiaux venus d’Asie de la « French-Boeing ».
B
eaucoup plus intéressant, le fait qu’un champion français, un combattant inspiré, Dominique Valéra ait été considéré par ses pairs américaines (Joe Lewis, Bill Wallace etc…) comme le seul en Europe à pouvoir être investi d’une mission de « salubrité physique » et de chasse à l’hypocrisie dans le milieu des sports de combats.
E
n insistant sur le côté éducatif, Dominique a eu le mérite de recadrer cette technique de combat originale (pieds-poings-balayages) mais extrêmement violente et mal codifiée. C’’est d’ailleurs ce qui, après de nombreuses péripéties, l’ont fait apparaitre, aujourd’hui, comme le fédérateur naturel de cette discipline à part entière, de ce « produit » désormais fini que maitrisent parfaitement les : De Ruggiero, Cilia, Mourer, Pastor, Izquierdo etc…
S
ynthèse de ce que les meilleurs de la Boxe Anglaise, Française, Thaïlandaise, du Karaté ou du Tael Kwon Do, nous ont enseigné et qui s’enrichit dans certaines formes de combats de redoutables « Low kicks », techniques dont nous devons la promotion, dans la région, au non moins redoutable Patrick Coti.
A
ujourd’hui, la volonté du Ministère de la Jeunesse et des Sports, da la masse des pratiquant, celle de nos amis des disciplines associées (le Quan Ki Do entre autres avec Gilbert Raulet et Maitre Phan Xuan Tong), nous ont permis de réussir l’unification de toutes les fédérations de sports de contact pieds/ poings (exceptées celles bénéficiant d’un agrément ministériel), sous l’égide de la Fédération de Kick Boxing, Full Contact et Disciplines Associées, présidée par Dominque Valéra.
D
es dizaines de millier de licenciés dont un millier en Languedoc Roussillon, un président reconnu, Bernard Michel, plébiscité par des cadres techniques, des « coachs », des combattants, des amateurs qui puisent leur motivation dans l’admiration et l’amitié des aînés et malgré ce nom barbare de Kick-Boxing, dans nos traditions les plus humanistes, le fair-play, l’élégance, désintéressement…
M
erci donc à Dominique, à Bernard, mais aussi à François, Diego, Mireille, Jean Marc, Charlie, Paco et à tous les autres pour avoir su donner par leur courage physique et leurs qualités morales, de la force à l’idée qu’en occident la voie royale de la compétition ne passait pas forcément par les fourches caudines du Bouddhisme ou du Zen.
LE MOT DU PRESIDENT DU COMITE DEPARTEMENTAL DE BOXE AMERICAINE A MONTPELLIER EN 1993, Alain ROUX TROIS ANS… Le Ministre des Sports avait conféré son agrément à la Fédération Française Unifiée de Boxe Américaine, au mois de Mai 1990.
E
n Languedoc-Roussillon, les talents et la qualité dans cette discipline sportive ne manquent pas. Mais il n’y est enregistré ni compétition, ni titre.
C
’est alors que Philippe Lacombe, Conseiller Technique de la Zone Sud, nommé par la Fédération, prend contact avec Bernard Michel, et lui demande de créer et d’animer la Ligue du Grand Languedoc, de Foix à Nîmes et de Millau à Montpellier..
E
videmment, il frappait juste : compagnon en équipe de France de Karaté de Dominique Valéra (ancien champion du monde), Bernard Michel est le fondateur de la ligue de karaté à Montpellier et en Languedoc Roussillon, et le créateur, dans notre région de la compétition et des structures administratives de cet art martial. Bernard Michel accepte sous réserve d’accorder la priorité au courage et au talent des combattants.
D
ans le même temps, il demande à Alain Roux de l’assister à Montpellier et dans le département de l’Hérault, sur la base des mêmes principes et du respect de l’initiative et de la liberté de gestion des clubs actifs.
L
e comité départemental de boxe américaine soutien donc, à partir du mois d’octobre 1990, les plus grands clubs de Montpellier avec le concours des anciens du KCM, le Karaté Club Montpelliérain. Dominique Valéra, alors Directeur Technique National, vient porter sur les fonts baptismaux, les nouveaux comités et ne repart pas sans avoir sélectionné les meilleurs de nos athlètes pour les stages de l’équipe de France. A l’automne 1990, pour la première fois participent au championnat d’Europe à Madrid, deux languedociens : D. de Ruggiero et JF Candela. Le premier accrochera une médaille de bronze. La voie est ouverte et le sucés témoigne de l’ardeur au combat et la progression technique de nos licenciés.
COUPE DES CHAMPIONS 1993 A MONTPELLIER
ACADEMIE LEVINET ANDALUCIA SAVE KRAVMAGA SYSTEM
C
omencé en las Artes Marciales en la década de los 80 en Barcelona practicando Karate Shotokan y Kyokushinkai , así como en el Taekwondo, de estas Artes Marciales conseguí el Cinturón Negro, practique durante mi vida diversos estilos tanto de contacto como el Kick Boxing o Muay Thai como otros estilos o Artes más tradicionales como el Hapkido o Hwarangdo, hasta que en un viaje a Israel en 1997 para asistir a un curso de Protección y Escolta VIP conocí el krav Maga desde entonces mi carrera marcial se ha centrado en el krav Maga del cual me titule como Instructor Internacional con los Maestros Amit Porat y Ravid Shimko de International Military Krav Maga, el Kapap con el Maestro italiano Giulio Colella y la Defensa Personal Policial con el Maestro Félix Serrano
E
n mis clases hago especial referencia a la psicología del agresor y el modo operativo de este, por mi carrera como profesional de la protección las clases no quedan en un Krav Maga civil de resolución rápida si no que buscamos todo tipo de situaciones ante una agresión a un secuestro ya sea en movimiento a pie o en el interior de un vehículo, la práctica de defensa ante ataque de cuchillo es básica dejando en segundo lugar el ataque por parte de un agresor a mano vacia ya que pienso que en la actualidad es más frecuente la agresión con armas que con mano vacia y los ángulos de ataque son similares con armas que sin ellas.
B
uscamos un conocimiento de las armas no solo del cuchillo y sus direcciones de ataque, que son múltiples al igual que son múltiples las formas y dimensiones de un cuchillo, sino que también necesitamos un conocimiento de las armas de fuego tan tristemente utilizadas hoy día en ataques terroristas, conocimientos tales como empuñamiento del arma, retención y protección de esta, balística de efectos, clasificación de la cartuchería y munición y conceptos generales del uso de un arma de fuego y su funcionamiento mecánico y medidas de seguridad en la tenencia de estas, ya que de nada sirve enseñar a alguien a usar un arma o desarmar a alguien si no sabemos asegurar esta y proteger a terceros de manipulaciones o usos indebidos de estas.
MIGUEL MORALES TOME
N
uestras técnicas de pierna son limitadas ya que entiendo que en un uso del Krav Maga militar o Kapap un soldado equipado ante una agresión y provisto de su equipación, esta le impedirá desenvolverse de una forma ágil, natural y rápida con lo cual adaptamos las técnicas de pierna a este tipo de situaciones y condiciones, siempre he observado las técnicas de pierna de una forma realista y práctica, tal y como dijo Bruce Lee “ es tan absurdo pegar una patada en la cabeza en una situación de defensa personal como el pegar un puñetazo en un pie “, también atiendo a la adaptación del Krav Maga al alumno y no el alumno al Krav Maga ya que todos tenemos nuestras limitaciones y no todo el mundo tenemos las mismas habilidades o incluso en los tiempos que corren no todo el mundo tiene el tiempo material para poder dedicarlo en el aprendizaje de un Arte Marcial o sistema de Defensa Personal con la debida dedicación que esto requiere.
L KRAV MAGA EL DESRROLLO MODERNO DE LA DEFENSA PERSONAL
as técnicas de suelo son importantes practicarlas de la forma más pura posible tal y como marca o se practica en el Jiu Jitsu Japones o el Brasilian Jiu Jitsu pero sin olvidar la aplicación práctica y la adaptación al Krav Maga, nunca hay que olvidar que lo que sirve en una situación deportiva desarrollada en el marco de una competición no sirve en una situación real de defensa en la calle, esa es mi máxima preocupación mantener la integridad física de mis alumnos por el orden que establezco a continuación.
ACADEMIE LEVINET ANDALUCIA Recepción de la Amenaza,
O
bservo una amenaza y toda acción de defensa que realice a partir de la respuesta a esta debe ser lo más instintiva posible, puede ser luchar o correr, que en definitiva también es una forma de defensa, esta última por supuesto no valida en según qué situaciones o para profesionales de la Seguridad y la Protección.
Reconocimiento de la Amenaza,
O
bservar si es individual o múltiple, el uso de armas, que tipo de armas, si existen armas ocultas…esto último debemos de tenerlo presente siempre para no entrar en una falsa confianza o en una ausencia de peligro porque no veamos armas o porque una vez neutralizada la agresión creamos que ya está la situación resuella, nunca más lejos de la realidad, nos encontramos a salvo cuando el agresor está detenido o neutralizado y nosotros en nuestro domicilio o en un lugar seguro.
Respuesta,
R
ecordando un proverbio chino “valiente no es aquel que no conoce el miedo si no aquel que conociéndolo sabe cómo lo ha de vencer“ canalizando ese miedo, es decir evitando en la forma de lo posible que se convierta en pánico resolveremos la agresión de la forma más instintiva posible y procurando que la respuesta sea de una forma proporcional a la agresión en el caso de las vertientes de Krav Maga civil y policial ya que en el Krav Maga militar o Kapap la resolución de conflicto o agresión es diferente.
DEFENSA PERSONAL
MIGUEL MORALES TOME SAVE KRAVMAGA SYSTEM
E
ntrenamos el uso de armas ocultas o como yo llamo como pueden ser el kubotan en su forma de bolígrafo de defensa y realizamos cursos y entrenamientos tan variados como el CQB con réplicas de airsoft, conducción evasiva defensiva, utilización de perros adiestrados para la seguridad ….
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nte un amenaza global se requiere una respuesta global y esta procuro ofrecerla al alumno intentando que la formación de esta sea de una calidad distinta a la recibida en otros centros o escuelas de Krav Maga. Actualmente he creado la ASOCIACION ESPAÑOLA DE KRAV MAGA KAPAP Y DISCIPLINAS ASOCIADAS y registrado el nombre de SAVE KRAV MAGA SYSTEMofreciendo en nuestra página web : www.savekravmagasystem.com toda la información necesaria para aquellos que necesiten o nos requieran información la cual es contestada a través nuestro correo electrónico savekravmagasystem@gmail.com
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uestra intención es la de colaborar con la Academia Jacques Levinet y con el mismo Capitan Levinet para desarrollar el sistema ROS y que mis alumnos conozcan una forma de trabajar tan efectiva como esta y poder conocerlo de primera mano de su fundador y máximo representante el Capitán Jacques Levinet al cual agradezco una vez más su apoyo y disponibilidad.
Sergeant JIM WAGNER IWagner. l existe peu d’instructeurs de self-défense dans le monde avec un background aussi diversifié que Jim Ils sont encore moins nombreux à avoir provoqué un tel impact dans le monde des arts martiaux. Il est l’homme à l’origine de la popularité des arts martiaux Reality-Based.
La carrière professionnelle de Jim Wagner :
* Ancien soldat * Gardien de prison * Officier de police * Officier SWAT * Garde du corps de diplomates et de célébrités * Agent contre-terroriste * Chef d’équipe SRT (Special Response Team) * Instructeur de Tactiques Défensives Police et Armée * Instructeur de tir * Fondateur du système de protection personnelle Reality-Based
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hen police officers want to look around a corner into a Hot Zone, where an armed suspect can be laying in wait for an ambush, they use a small tactical mirror to look around the corner rather than sticking their head around corner and possibly getting shot.
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f course, if time permits, the first peek is taken by the police officer in a kneeling position so that the mirror is low close to the floor. Hopefully the bad guy want see the low positioned mirror because most people scan for targets, even when looking at a corner, about chest height. In a tactical situation having the mirror low near the floor is difficult to detect. Special Operations teams go one step further when looking into a room from behind a corner with a camera lens located on a telescoping or bending tube that can be made to look around the corner and send the electronic image to a small viewing monitor.
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eedless to say, this piece of equipment is quite expensive. When mobile phones with cameras first were first on the market I came up with the idea to use my phone, which like most smart phones has still photography and vide camera capabilities. I have been teaching police patrol officers and Special Operations officers and soldiers for two decades now in various quick peek methods, and merging the techniques with the new technology seemed like the next logical step to me. Sometimes the simplest of ideas are not always the easiest to come up with.
USING A PHONE INTO HOT ZONE
T
he use of camera phones has been an evolving process for me, and as I have come up with ideas on how to use it in personal protection situations, I eventually add the techniques and training methods to the Jim Wagner Reality-Based Personal Protection system. In my popular one-day course called Situational Awareness I have my students use their camera phones to video tape a “crime in progress.”
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stage a simulated fight, a realistic full scenario, and have witnesses immediately get out their phones and start recording the incident from a “safe distance.”
T
he scenarios are anything from a domestic violence situation where a boyfriend is beating up his live-in girlfriend to a full-blown terrorist attack. Such images of the crime in a real life situation can be invaluable to the authorities for locating and prosecuting the guilty parties, not to mention having exclusive video for the networks to sell.
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aving done this type of training many times now my mind was already used to using a camera phone as a crime-fighting tool, which practically everyone carries with them.
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Sergeant JIM WAGNER L ately I have been training a lot of police and military personnel in my Special Operations course, and like any course that involves teaching room entries and building searches, I teach my professional students how to do tactical quick peeks around dangerous corners with just their own eyes, and then move onto tactical mirrors. A good tactical mirror is a rectangle shape with a flat black protective shell on the reverse side.
Why the rectangle shape you may be asking? The reason is, because looking around a corner with a mirror is not the easiest thing to do if you are not trained in it. It sounds easy, but beginners waste a lot of time when first doing it. To find someone on the other side of the corner fast and easy you must first take your tactical mirror and hold it down in front of you on the ground and find the horizon first. That is your first reference point.
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f course, if you are armed you must keep the muzzle of your weapon pointing at the pivot point of the corner should the suspect suddenly come around the corner and surprise you as you are looking in the mirror. Once you have found the horizon, which is easier with a rectangular mirror because the horizon is flat, as opposed to using a small round mirror that will only give you a sliver of the horizon, you then start rotating the mirror around the corning following the distant horizon all the way.
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ou are first trying to locate the suspect’s feet and then if you do see feet in your mirror you can start angling the mirror back so that you can see the body of the suspect. Of course most camera phones are rectangular in shape along with the touch screen that the image is viewed in. Instead of using a mirror you simply replace it with a camera phone. With my phone I have actually seen into a room better than with a mirror at times, and I can also record what I see.
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f course, you can see the value of the Jim Wagner Phone Camera Peek if you are a victim of a terrorist attack and you want to look around the corner from your hiding spot to see if one of the terrorists is coming your way; or it could be an office shooter, school shooter, or whatever the case may be.
USING A PHONE INTO HOT ZONE Be A Hard Target.
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nstead of sticking your head out into the open to take a peek and possibly getting your head blown off, you find the horizon of the floor in front of you and start pivoting your camera lens out into the Hot Zone. Only a very small portion of your phone is protruding from the corner.
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y doing so you then see what is happening out there. However, keep in mind that a tactical mirror and a camera phone used for tactical purposes have their limitations; such as not being able to look around large objects, into shadowed areas, or even into a dark room.
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peaking of dark rooms, the viewing screen of a camera phone gives off light, and in really low-light situa tions a lot of light, that can expose your hiding position. You do not want to illuminate your position. This is why the record option is also good. You can cover over the viewing screen, the part that emits light, record the Hot Zone, and then go to a safer area to view the video. However, whenever you have eyes off target, even for a second, you run the risk of not having the most up-to-date information. While you were viewing the video the gunman may have changed his location or may even be moving up on you. Instantaneous viewing is always best, but combat is fluid and you do the best you can. Just be aware the dangers.
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s you can see, this technique is not just for tactical operators as I originally created it for, but anyone in a personal protection situation that has to look around a corner tactically. Like any technique you wish to commit to muscle memory you need to practice the Jim Wagner Camera Phone Peek technique. Have someone stand in a room without revealing the location to you, and then practice the technique as I have described. With more practice you will be able to identify people and objects around a corner much faster each time.
Communication III Développement Création - Imprimerie - Enseignes - Sites internet - Vidéo
Les 7 étapes de la réussite
”Si tu veux connaître ton avenir, construis-le” !
Du concret de
l’organisation de l’HUMAIN
Guy CHOLET
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SELF PRO KRAV ENTWICKLUNG
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or 15 Jahren vom internationalen Experten Jacques Levinet entwickelt, 10e Dan, dessen Errungenschaften in den Kampfkünsten und Kampfsportarten weltweit bekannt sind, ist SELF PRO KRAV oder SPK eine der wirksamsten und realistischen Selbstverteidigungsmethoden, die es gibt. Zwei Videos und ein Buch unterstützen mittlerweile diese Disziplin der Selbstverteidigung.
Ü
ber die einfache Aneignung und Anpassung auf alle Altersgruppen (Männer, Frauen, Kinder, Sicherheitskräfte) hinaus liegt die Kraft des SPK in seiner jährlichen Entwicklung mit dem Ziel, sich den wechselhaften Angriffsmodellen unserer Zeit anzupassen.
F
ür den Leiter kann man nicht eine Methode für immer einfrieren, ohne sie dabei zu einer obsoleten Kampfkunst oder Selbstverteidigung zu machen.
Erinnerung an die Ursprünge des SPK
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as SELF PRO KRAV beruht auf der beruflichen Erfahrung von Polizeichef Soke Jacques Levinet und dessen Wissen um Kampftechniken. Unter den vielen Selbstverteidigungsmethoden, die der Meister erschaffen hat, hat er seine polizeiliche Methode des Real Operational System oder ROS mit seinen vielfältigen Kenntnissen, die er bei der Selbstverteidigung erworben hat, angepasst, um daraus eine Einsatzmethode zu machen, die er SELF PRO KRAV nannte.
SPK
bedeutet: Self für Selbstverteidigung, Pro für Professionell und Krav für Kampflust auf Hebräisch. SPK ist trotzdem keine Form des Kravmaga, es unterscheidet sich in vielen technischen, spezifischen Aspekten davon und legt einen anderen Fokus im Bereich der Selbstverteidigung und Kritikfähigkeit. Der Polizeichef bewahrt den Ausdruck Krav, ohne an das Kravmaga anzuschließen, aufgrund des Kampfgeistes, der in dieser Disziplin vorherrscht. Die Vielfalt des SPK rührt auch von zahlreichen Seminaren, Austauschen, Ausbildungen und Erfahrungen her, die der Polizeichef erworben und an Einheiten auf der ganzen Welt (Israel, USA, Australien, Japan, Südamerika, Kanada, Kuba, Russland und Europa) weitergegeben hat, sowie auf seinem Austausch mit vielen Lehrern und Experten wie Haim Gidon, Gaby Shai, Aaron Elbaze Jim Wagner, Darren Levine, Vincent Lyn, Taiji Kase, Keinosuke Enoeda, Hiroo Mochizuki, Shirai, Dominique Valera und viele weitere.
Das SPK beinhaltet die folgenden fünf zentralen Punkte: Überlebensinstinkt – vorbereitendes Training – Einsatztechnik – Selbstverteidigung – Entwicklung
DEUTSCHLAND
M
it anderen Worten: der Wille zum Überleben, Mittel zum Überleben, Erlernen der natürlichen Bewegungen, Achtung vor dem Recht und Kritikfähigkeit. Das SPK ist eine Disziplin für sich und auf internationaler Ebene von den höchsten Polizeiexperten und Meistern der Kampfkünste weltweit anerkannt. Das neue SELF PRO KRAV oder SELF PRO KRAV EVOLUTION
D
ie Entwicklung des SPK ist obligatorisch, um es angesichts neuer Angriffsweisen zu aktualisieren. Die Entwicklung des SPK ist gegenwärtig essentiell, um sich bezüglich der Gewalt auf dem neuesten Stand zu halten. Dies kommt auch von der permanenten Rückmeldung, die die Opfer dem Gründer der Disziplin zukommen lassen. Die Erneuerungen im SELF PRO KRAV EVOLUTION sind:W
• Der Erwerb von beidhändigen Verteidigungstech-
niken, um jeglichen Eventualitäten zu begegnen (ein Linkshänder, in jeglicher Position, stehend, am Boden, sitzend, kniend, bei einer Geiselnahme).
• SPK-Verteidigung gegen mehrere Angreifer. • SPK-Verteidigung auf begrenztem und eingesperrtem Raum.
• SPK-Verteidigung für Ordnungskräfte. • SPK-Verteidigung gegen unkonventionelle Angriffe (Waffen und leere Hände).
• SPK-Verteidigung bei wenig Licht oder in der Dunkelheit.
• SPK-Verteidigung mit Gegenständen des täglichen
Lebens (Regenschirme, Stifte, Koffer, Tasche, Kreditkarten, Mobiltelefon, Schuhen, Jacke, Weste, Zeitung, etc.).
• Anpassung des SPK für Frauen und Kinder, da die
Angriffe gegen diese Gruppen nicht den zwischen Männern gleichen.
SELF PRO KRAV ENTWICKLUNG
O
hne bei diesen Entwicklungsbereichen ins Detail zu gehen, seht ihr hier einige Beispiele für das neue SELF PRO KRAV EVOLUTION:
• Arbeit mit Schlagtechniken von Fäusten und
Füßen in Bewegung auf bewegliche Objekte, ergänzt durch Schlagtraining von Ellbogen und Knie auf ein festes Schild. Das SPK wird so nicht zum Kampfsport, aber ein Minimum an Kenntnissen von Schlägen von Füßen und Fäusten ist gefragt.
• Wenige Entwaffnungslocks, weil die Technik ge-
genüber Messern und anderen, Push Daguer oder Navaja, zu gefährlich ist. Allein die Schläge werden bevorzugt, um schnell und sicher zu entwaffnen.
• Verwendung eines Aluminiummessers, um die
Kälte und Gefahr der Klinge bei Bedrohungen zu spüren, indem man damit den Körper oder die Kehle berührt.
• Aneignung des gleichzeitigen Lernens und
Durchführens, um jede reflexive und komplizierte Technik zu vermeiden und nur den Verteidigungsreflex zu bewahren.
• Ab dem 2. Dan das Erlernen von beidhändigen
Verteidigungstechniken, um sich das SPK eines Linkshänders oder eines Rechtshänders, dementsprechend, anzueignen. Eine erstrangige Fähigkeit für Ausbilder, die dazu fähig sein sollten, einen Links-oder Rechtshänder zu lehren, um alle Schüler zu berücksichtigen.
• Verwendung von schlagenden Waffen (Stock,
• Ab dem 2. Dan der Erwerb von Selbstverteidi-
• Verwendung der Waffen der Faust und der Schul-
• Verteidigungstechniken ab dem 5. Dan mit Ge-
Schlagholz), um die höheren Stufen zu erreichen und den Kandidaten in eine reale Situation zu versetzen.
ter mit Gas, Feuer und Kugeln (mit Helm) für die höheren Stufen, um den Mechanismus der Entwaffnung zu verstehen.
• Die Bedrohungen der Feuerwaffen werden mit
echten, ausgeschalteten Waffen mit dem Finger auf dem Abzug durchgeführt, wie es die Killer tun.
gungstechniken einer dritten Person und Leibwächtern, um die Schüler zu befähigen, ihre Nächsten oder eine verletzliche Person im Fall eines Angriffs zu schützen.
genständen des täglichen Gebrauchs. Verwendung alltäglicher Objekte zur Verteidigung, so wie Schirme, Stöcke, Feder, Tasche, Geldbörse, Schlüssel, Mobiltelefon, Sessel, Jacke, Glas, Schuhwerk, Zeitung, etc.). Das ist wichtig, weil es manchmal essentiell sein kann, sich mit jedem Medium verteidigen zu können.
DEUTSCHLAND Ausbildung und Beitritt zum SELF PRO KRAV
• Technischer Studienplan – Mit dem Erwerb der
Stufen gelber Gürtel bis schwarzer Gürtel und später Dan SPK (Dan von 1 bis 10). Auch wenn es nicht gefordert wurde, wurde der DAN SELF PRO KRAV anerkannt. Das SPK ist zu einer eingetragenen Marke im INPI (Institute National oft he Property, deutsch: Nationales Institut industriellen Eigentums) geworden.
• Der Zugang zum höheren Niveau erfordert auf
allen Stufen eine technische Prüfung (die mit der Verteidigung mit einem Lock endet, um das Wissen des Kandidaten zu überprüfen) und eine Kampfprüfung (schnelle Verteidigungstechniken ohne Ende mit Locks, um sich auf der Straße zu schlagen).
• Die Dan im SPK werden mit größter Ernsthaftigkeit von einer internationalen Rangkommission verliehen, die die Zeitdauer zwischen den Rängen berücksichtigt. Alle Tests finden vor einem Publikum und einer Jury statt, um jede Nachgiebigkeit zu vermeiden. Die Ränge werden nicht nach jedermanns Belieben vergeben. • Ausbildungsprogramm – Mit der anfänglichen und fortdauernden Ausbildung des Ausbilders, des Chefausbilders und des SPK-Experten. Die Akademie
vergibt diese professionellen Ausbildungszertifikate aufgrund ihrer Eintragung als Ausbildungsorganisation im Arbeitsministerium in Frankreich. • Die Examensprüfungen für Ausbilder bestehen aus technischen, schriftlichen und pädagogischen Prüfungen. Die Jacques Levinet-Akademie hat die Fähigkeit der Kandidaten stark im Auge und weigert sich, Zertifikate aus reiner Gefälligkeit auszustellen, um ihre Glaubwürdigkeit nicht zu beschmutzen. Man erfordert von den SPK-Ausbildern Sittlichkeit, die Achtung von einem „Gentleman-Kodex“ sowie Berufsethos. • Beitrittsprogramm – Die Ausbilder der unterschiedlichen Schulen für Selbstverteidigung, Kampfkünste und Kampfsportarten beantragen, zu einem Mitglied der Internationalen Vereinigung AJL für die Anerkennung ihres Systems und unter Umständen ihres Rangs zu werden. Für den SELF PRO KRAV wurde der Weg der Anerkennung in Gang gebracht und die rechtfertigende Nachweisführung geliefert. • Eine online-Ausbildung – Es gibt seit kurzem eine online-Ausbildung für die Ausbilder und Vertreter der Vereinigung von Jacques Levinet, die in Ländern fernab Frankreich unterrichten. Schriftliche Programme, Videos und Korrekturen werden per Internet und Skype unter der Kontrolle des französischen Experten durchgeführt.
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SELF PRO KRAV ENTWICKLUNG Hauptthema – Die Selbstverteidigung • Die Prinzipien des SPK – Der Chef Jacques Levinet stellt durch seine Ausbildung und seine Achtung vor dem Gesetz in seiner Methode des SELF PRO KRAV den absoluten Respekt für die Selbstverteidigung unter Beweis. Es geht nicht nur darum, die Gesetzgebung zu kennen, sondern auch, sie bei der Verwendung einer Verteidigungsmethode anzuwenden wissen. Es ist wichtig, den Schülern legale Mittel anzubieten, um ihre Verteidigungsaktionen zu rechtfertigen. Vor der Justiz ist es nicht einfach, seine legitime Verteidigung aufweisen zu können. Deshalb ist es im Programm inkludiert, um den Praktizierenden zu helfen. Einige Beispiele für Taten, die unter Gefängnisstrafe stehen, auch als Opfer:
• Ein Messer einem Angreifer zurückgeben, auch nachdem man ihn entwaffnet hat.
• Mit der Pistole des Angreifers reagieren, auch nachdem man ihn entwaffnet hat.
• Seine Fingerabdrücke auf dem Abzug der Waffe
des Angreifers während einer schlechten Entwaffnung beispielsweise (von der Art eines Locks) zu hinterlassen.
• Mit dem Schlagholz des Angreifers zu reagieren, auch nachdem man ihn entwaffnet hat.
• Eine angreifende Bewegung als Verteidigung verwenden, von der Art eines Kopfstoßes.
• Mit einer Verteidigungstechnik auf den Genitalbe-
reich bei einem sanften Angriff reagieren, von der Art eines Griffs.
• Die Verteidigung von Schlagtechniken von Faust
oder Fuß bei einem entwaffneten Angreifer auf dem Boden zu verstärken, unter Strafe durch Grausamkeit und Nichteinhaltung des Gesetzes.
• Auf vitale Bereiche angesichts eines nicht-vitalen Angriffs auf das Leben zu reagieren.
*** Mit anderen Worten, Opfer zu sein rechtfertigt nicht den Gebrauch jeglicher Reaktionen. Das SELF PRO KRAV mahnt seine Praktizierenden und gibt ihnen legale Mittel, um sich zu rechtfertigen. Der Zweck heiligt nicht die Mittel. Anpassung des SPK an andere Länder:
• Das SPK wird in vielen Ländern gelehrt und beach-
tet deren Gesetzgebung. Deshalb entwickelt sich das SPK gemäß der Kontinente.
• Als Ergebnis sind bestimmte Verteidigungstech-
niken, die beispielsweise in Frankreich oder Europa verboten sind, in manchen Ländern absolut zugelassen.
DEUTSCHLAND Eine international anerkannte Vereinigung
Modul SELF PRO KRAV POLIZEI
E
s gibt mehrere Möglichkeiten, sich wirksam zu verteidigen, ist man nun Zivilbürger oder Polizist. Es verändern sich nur die Ziele und deshalb wurde das Modul SELF PRO KRAV POLIZEI erschaffen. Hier sind einige Aspekte der Berufsausbildung des SPK POLIZEI:
• Verwendung der Ausrüstungswaffen, um sich bei der Gesetzesdurchführung zu verteidigen.
• Training von Teamarbeit und Teamschutz.
• Fesseltechniken im SPK POLIZEI alleine und im Team, an allen Orten.
• Das SELF PRO KRAV ist durch die Internationale
Vereinigung der Selbstverteidigung und des Polizeitrainings AJL in fünfzig Stellen in Frankreich und der Welt vertreten (Spanien, Österreich, Bulgarien, Italien, Luxemburg, Belgien, England, Kanarischen Inseln, USA, Ecuador, Argentinien, Chile, Kanada, Mauritius, die Karibik, Russland, Sibirien, Australien, Neuseeland, China, Sri Lanka, Vietnam, Tunesien, Algerien). Das offizielle Organigramm der AJL besteht aus den DTN (Technischen Nationalen Direktoren), den DTR (Technischen Regionalen Direktoren) und den DTD (Technischen Abteilungsdirektoren).
• Die AJL besitzt eine Nummer im Register des
Sportministeriums in Frankreich und im Register des Arbeitsministeriums und Anerkennung bei vielen Institutionen weltweit.
• Vollständigkeit der Aktionen mit leeren Händen und Waffen.
• Operationale Locks zur Neutralisierung, alleine
• Den Ernst der SELF PRO KRAV kann man auch an
und im Team.
den Uniformen der Praktizierenden in Frankreich und der Welt erkennen. Die einzigen Unterschiede ist die Farbe im Logo des Landes und der Gürtel, um die Identität des Landes zu betonen.
• Einsatzbereite Steuerungsmedien im Notfall. • Grundtraining der Methode Polizeitraining ROS, verknüpft mit dem SPK.
• Als letztes spricht der Lebenslauf von Gründer und
*** Mit anderen Worten, wo das zivile SPK aufhört, beginnt das polizeiliche SPK mit Druckmitteln, die den Methoden ROS oder Real Operational System der Ordnungskräfte eigen sind.
Das SELF PRO KRAV POLIZEI hat den Einbürgerungsstatus erreicht, weil zahlreiche Polizei-und Spezialeinheiten in Frankreich (wie die ERIS) und im Ausland (wie der GAD in Argentinien und die Spetsnaz in Russland) mit Chef Jacques Levinet im SPK Polizei und ROS ausgebildet wurden.
Chef Jacques Levinet für ein hohes Maß an Glaubwürdigkeit seiner Vereinigung AJL. Wir beenden diesen Artikel mit etwas Bescheidenheit und sagen, dass das SELF PRO KRAV nicht versucht, die beste Methode für Selbstverteidigung zu sein, sondern eine interessante.
D
ie Internationale Vereinigung für Selbstverteidigung und Polizeitraining Akademie Jacques Levinet AJL.
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Katanas-Samurai.com est une boutique spécialisée dans la vente d’armes et matériels de pratique pour les arts martiaux. Créée en 2006, c’est devenu une référence dans le domaine (plus de 20 000 visites/mois). Elle propose un vaste choix d’armes et accessoires pour la pratique des arts martiaux comme les boken, jo, armes factices, tonfa, saï, tanto, épée chinoise, etc… Mais c’est surtout les sabres japonais qui font sa réputation. Tous les katanas et iaïtos proposés sont forgés main. Les modèles sont nombreux, et es premiers prix sont accessibles aux petites bourses qui pourront acheter un vrai katana sans se ruiner.
Le katana, sabre japonais, est le meilleur sabre jamais fabriqué par l’homme
Pascal Monin, son créateur est pratiquant d’arts martiaux depuis plus de 20 ans (viet-vo-dao, Kung fu au sein de l’école Lan long Yu lin) Passionné par les arts martiaux, il crée la société Cam.com en 2006 avec Ludovic Grussenmeyer, professeur d’arts martiaux chinois à Bourges et ouvre martialboutique.com Celle-ci deviendra Katana-Samurai.com en 2010. Pratiquant le Iaïdo et le Tameshigiri, il se spécialise dans la vente de katanas et iaïtos et il crée sa propre marque « Murasame ». La légende raconte que le katana Murasame aurait été forgé par un forgeron élève de Masamune, illustre forgeron qui forgeait ses katanas en y ajoutant des forces occultes. Planté dans un cours d’eau, Murasame attirait à lui les feuilles qui flottaient à la surface et les tranchaient.
Pour toute demande d’information et de devis w Tél. 02.48.26.87.99
En 2014, Pascal Monin crée la marque Murasame. Il propose une ligne de katanas et iaitos sur mesure pour les puristes et pratiquants exigeants sur une deuxième boutique : www.katanas-murasame.com C’est le site du vrai Shinken, sur mesure, celui dont on rêve. Katanas.murasame.com propose une multitude de choix de personnalisations. Cela donne des milliers de combinaisons possibles, l’assurance d’avoir un katana unique ! Les aciers proposés : 1060, 1095, pliés, composites (Sanmaï et kobuse) et en très haut de gamme, l’acier tamahagane. Les styles de lame : shinogi-zukuri, unokubi-zukuri, moroha-zukuri. Les types de hamon (choji, midare, notare, suguha). Longueur de lame : de 58 à 81 cm selon la demande.
Ne reste plus qu’à habiller la lame et là encore les choix sont vastes : look traditionnel ou plus contemporain. Tout est possible dans le choix du saya, de la tsuba, du ito, du sageo, des fuchi-kashira et des menuki. Le prix final dépendra des choix faits, mais reste accessible de 300 à 3 000 euros. Une fois commandé, le rêve commencera à devenir réalité mais il faudra attendre environ 10 semaines pour pouvoir l’admirer et le tenir en main. Il est tout à fait possible de commander au téléphone pour ceux qu’internet rebute. Pascal Monin est à votre disposition pour vous renseigner sur toutes les possibilités de personnalisation et vous aidera, si vous le souhaitez, dans les choix à faire en fonction de vos critères. Une galerie de photos d’une partie de ses katanas forgés est visible sur : www.katanas.custom.com
Pour toute demande d’information et de devis concernant une réparation ou rénovation Tél. 02.48.26.87.99
Fiches réalisées par l’instructeur Jean Michel Moynier et et Jean Pierre Brunel
Fiches réalisées par l’instructeur Jean Michel Moynier et et Roger LUCQUES
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