MAG AJL SELF DEFENSE JUIN 2018

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MAG AJL

Arts Martiaux Self Defense Police Training

www.magazineselfdefense.com

N° 33 Juin 2018


Sommaire MAG AJL - Juin 2018 Cliquez pour vous abonner gratuitement

Rédacteur en Chef - Capitaine Jacques Levinet Photographe du magazine - Édith Levinet Comité de rédaction - Instructeurs AJL

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Page 4 - Arnis Kali Maharlika by Master Herbert "Dada" Inocalla

Page 12 - Kundalini Yoga - Le yoga de la conscience

Page 16 - Le Jogo do Pau - Art martial traditionnel portugais

Page 22 - Choisir une pratique martiale par l'Art de la Voie

Page 26 - Self Pro Krav à Genève en Suisse avec l'AJL Suisse

Page 27 - Self Pro Krav à Marrakech au Maroc avec l'AJL Maroc

Page 28 - Self Pro Krav en famille à la mer avec l'AJL Occitanie

Page 34 - Le Bando - Art martial de Birmanie

Page 36 - Defensa personal anti agresion para mujeres

Page 40 - Grand Master Donald Miskel - Martial arts effectiveness

Page 44 - Histoire du Sambo de Russie par le Comité Français Sambo

Page 48 - Fiches techniques de défense contre menace de pistolet

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Numéros précédents

MAG AJL 3


ARNIS KALI MAHARLIKA Arnis Kali Maharlika is a system of Filipino self defence. It is an adaptable style and is a complete sysytem of martial arts. However, very importantly it has an holistic, healthy and spiritual base. Not just in word, but indeed. The system is for all ages, students range from teenager to 70 or more year’s age. Arnis Maharlika is represented by Master Herbert 'Dada� Inocalla and his brother Allan 'Datu' Inocalla.

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Master Herbert "Dada" INOCALLA Born in the Philippines in Labo Camarines Norte on Luzon Island. Sons of Vicente Luna Inocalla and Beatriz Dasco Villafria. Both began martial arts at an early age, however both realised a more spititual path should be taken. It led them to India where the brothers spent 1 year in India qualifying as "Acharya" (spiritual teacher), under the supervision of Grand Master Shrii Shrii Anandamurti. They also practice tai chi and yoga regulary.

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ARNIS KALI MAHARLIKA Dada/Herbert Inocalla born of Vicente Luna Inocalla a veteran of WW ll, started martial arts at the age of 6 with the older brothers Kuyas Frank, Casper & Ben. A black belt student of GM Rolando Gonzales and Remy Presas. A Boy Scout during childhood and a Lt.Col in the PMT Philippine Military Training. Studied Archetecture at MIT Mapua Institute of Technology, A Taoist Yoga monk in India & Nepal. Acupuncturist & Natural therapist. ACBC Associação Cultural Brasil China, ABT Associação Being Tao by GM , Dr Joseph Moo Shong Woo. Clinica Tradicional Chinese GM Dr. Wang Shiao Po. Co-founders of Universidade da Paz (University of Peace) - Brasilia, Parque Ecologico Terra Viva, Brasilia.

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Master Herbert "Dada" INOCALLA * OBS : O Instituto Wing Chun e o Dojo MCE Mente, Corpo e Espírito disponibilizão seus espaços de treinamentos de acordo com seus respectivos horários de atividades para os treinos rotineiros e complementares aos instrutores em formação.

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ARNIS KALI MAHARLIKA Arnis Kali Maharlika Inocalla System with GM Allan "Shishir"Inocalla & Dra. Marilou InocallaDada Inocalla was a student of Karate and Judo, Yoga, Chinese medicine, tai chi and finally arnis kali. He has also featured in films. He currently is 9th dan in the Arnis Inocalla Maharlika system of Arnis Kali. He and his brother (Allan ‘Datu’ or ‘Shishir’ Inocalla) created.

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n the early years Herbert, travelled the world through Italy, Germany, Argentina, Uruguay, Paraguay, United States, Canada and Brazil giving lectures on spirituality and quality of life.

In Brazil, after having lived in the city of Porto Alegre, Rio Grande do Sul, came to Brasilia, where in 1976 he founded the

Academy Magka-Isa. Dada has also been involved in films and teaches defence techniques to the Brazilian military and police.

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Master Herbert "Dada" INOCALLA Allan Inocalla, after having a troubled youth and being invloved in many fights,, decided at the age of 13 to practice yoga and follow a more spiritual path that took him to many parts fo the world. Finally it led him to Canada where he became very involved in teaching and promoting Arnis Kali.

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e has been invlolved in many films and productions and has produced books. He is a master also of the balisong or butterfly knife. He is a life coach and he was the first of 6 men named as Datu (meaning a chieftain or leader) by the late Remy Presas, founder of modern arnis kali. He continues to promote arnis kali as a filipino national sport. Dada along with his brother Shishir, continue to grow their schools and style of Arnis. They currently have schools in Canada, U.S.A, Brazil, and the Philippines.

Herbert “Dada� INOCALLA Mestre de TAI CHI, YOGA, ARNIS KALI MAHARLIKA (FMA - Filipino Martial Arts), Defesa Pessoal,Terapia Marcial, Acupunturista e Terapeuta Holistico. CRT 41201 (61) 33261132

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KUNDALINI YOGA On l’appelle souvent yoga de la conscience. C’est un travail de transformation qui agit sur le corps l’esprit et l’âme.

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n associant des exercices corporelles dynamique la maîtrise du le chant et la relaxation le Kundalini cherche à éveiller et à développer notre énergie de vie. Cette forme de yoga a été amenée en Occident par yogi Bhajan dans les années 60. Comment ça se passe ? La pratique prend trois formes :

1/ Asana – les postures 2/ Pranayama – la maîtrise du souffle 3/ Dhyan –la méditation

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souffle la méditation


LE YOGA DE LA CONSCIENCE 1/ Asana On compte environ 50 postures de base dont plusieurs centaines de mouvements et position sont issus. Toutes les postures de yoga en font partie (cobra, bon, triangle etc.) Des étirements extrêmes et la posture sur la tête ne sont pas pratiqués. En dehors de l’exécution concentrée des exercices et une amélioration de la souplesse le Kundalini yoga dynamise l’énergie du corps en éveillant la conscience corporelle.

2/ Pranayama : la maîtrise du souffle. Notre manière de respirer est intimement liée à notre force de vie et à notre joie de vivre. C’est pour cela qu’une attention particulière est portée sur une respiration correcte et profonde. Et 2 principales respirations enseignées sont : • La respiration longue et profonde qui détend et amène un sentiment de calme intérieur, • La respiration du feu qui purifie et apporte beaucoup d’énergie rapidement.

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KUNDALINI YOGA 3 /Dhyan -la méditation

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a méditation fait partie intégrante du Kundalini yoga. C’est le processus qui permet de contrôler les vagues du mental. Comme les pensées ne peuvent pas être stoppées sur demande, on utilise des mots ou des points pour focaliser notre attention et nous aider à les canaliser.

Déroulement d’un cours

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vant chaque pratique il est important de s’harmoniser. Le Adi mantra nous permet de se connecter à son intériorité tout en créant un espace avec le groupe.

Un échauffement peut-être proposé ainsi que des exercices de Pranayama–respiration, une manière d’entrer en soi et en contact avec son corps. Le Kriya représente le cœur du cours c’est une série d’exercices qui agissent sur une thématique ciblée. il est important que chacun soit à l’écoute de ses capacités et respecte les limites de son corps.

La relaxation profonde offre un moment d’intégration pour le corps il est important d’en prendre le temps. La méditation est un complément nécessaire aux exercices physiques, elle est généralement pratiquée en fin de cours alors que le mental est plus calme. Un cours se termine en chantant trois fois Sat Nam, une manière de remercier l’énergie infinie de la Kundalini et de fermer l’espace partagé.

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LE YOGA DE LA CONSCIENCE Quelques conseils

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l est recommandé de ne pas manger deux heures avant de pratiquer les exercices. Par contre boire est vivement recommandé avant–pendant–et après un cours pour stimuler les processus d’élimination. Pendant leurs lunes, les femmes sont invitées à prendre soin d’elle en ne forçant pas et en évitant les exercices qui exerce une pression sur l’abdomen (respiration du feu, arc, chandelles,etc).

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l est recommandé de pratiquer pieds nus, pour une meilleure circulation de l’énergie.

En cas de fracture ou autre problème médical, il est important d’en informer l’enseignant pour éviter toutes contre-indications. La régularité et la clé de toute pratique !

Pratiquer avec Anne Sohie Tourette

Où pratiquer le Kundalini Yoga

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JOGO DO PAU

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e Jogo do Pau est un art martial traditionnel portugais, qui a son origine dans les régions du nord notamment à Fafe et Guimarães, se trouvant aussi dans des zones de Tras-os-Montes.

Mais ses origines peuvent aussi venir des techniques médiévales de combat semblables à celles qui sont enseignées dans l'ouvrage médiéval Livro da Ensinança de Bem Cavalgar Toda Sela (l'art d'être un cavalier sur toutes les selles) dont l'auteur était Édouard 1er de Portugal (1391-1438).

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ruit de la nécessité, le bâton est devenu le compagnon indispensable des bergers qui voyaient en lui une arme facile à obtenir, et son utilisation s'est généralisée, et sa manipulation fut en-

seignée de génération en génération. Cet art martial emploie généralement un long bâton mesurant entre 1,5 m et 1,8 m. Il semble avoir son origine en grande partie dans les zones rurales.

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ART MARTIAL TRADITIONNEL PORTUGAIS

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es rapports des foires varredelas (la défense d'un ou deux joueurs contre un nombre supérieur de combattants), car c'est l'époque des «pousseurs» (nom donné aux joueurs du Nord) et des "balayeurs de foires" (joueurs célèbres qui se rendaient aux foires et aux festivals pour défier les autres, prouvant ainsi leur valeur), ou les histoire sur des groupes de joueurs contre les troupes napoléoniennes, surtout de guérilleros dans les livres de Camilo, de Aquilino et d'Eduardo Noronha sont fréquents. Il faut dire que l'art du bâton était utilisé pour la légitime défense, le règlement des litiges et les affaires d'honneur jusqu'aux défis de village.

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n raison de la migration interne, le jeu s'est étendu vers le sud, en particulier dans les domaines de Lisbonne et du Ribatejo.

La venue des maîtres du Nord avec leur enseignement unique, avait conduit à l'ouverture de nouvelles écoles, l'une d'elle, à l'Athanaeum de commerce à Lisbonne.

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JOGO DO PAU

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la merci des conditions sociopolitiques de l'époque, le jogo do pau entra dans un certain déclin durant le milieu du XXe siècle. La police, cherchait à éviter les combats sanglants.

Il fut plus tard apprécié et avait acquis une énorme popularité, puis il fut considéré comme une véritable escrime nationale. Le processus d'organisation au niveau national commença avec la création, en 1977, à la demande de Maître Pedro Ferreira, l'Association portugaise de Jogo do Pau.

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'art du bâton portugais fut consacré durant le championnat ouvert aux bâtons longs en France dans les années 80, avec la présence des systèmes de combat au bâton Japonais, Vietnamiens, Français et ceux d'autres nations, les combattants Portugais furent les champions absolus, après avoir remporté chaque match où ils entrèrent. En 2001, le Maître Joaquim Monteiro décida de créer la Fédération nationale du Jogo ne Pau, pour réguler et préserver l'art martial et pour l'instituer comme un sport.

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ART MARTIAL TRADITIONNEL PORTUGAIS

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'aspect clé du Jogo do Pau pratique est que la plupart des coups sont livrés de façon puissante et tournoyante qui visent généralement sur le côté du corps et peuvent finir sur l'autre. Pour faire face à ses coups tournants, il existe des parades simples mais efficaces qui permettent de faire des contre-attaques rapides. La nature des coups tournants avec le bâton permettent des parades naturelles et des contre-attaques caractéristiques dans lesquelles une attaque est déplacée par une parade suspendant le mouvement qui sera suivi immédiatement à la fin d’un coup rotatif vers le côté opposé.

Avec ces coups rapides et puissants, la maîtrise de la distance et le moment est crucial sont les enjeux de cet art martial.

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e Portugal a su conserver de nombreuses traditions et notamment ces arts du combats, comme le jogo do pau, après tout dans un pays où les disputes finissaient par de grandes rixes où il fallait sauver l'honneur, il fallait pouvoir se défendre.

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CHOISIR UNE PRATIQUE MARTIALE

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e choix d’une pratique martiale est une chose importante. Elle engage le pratiquant pour une certaine durée ou au moins l’expose à un certain nombre de frais ne serais ce qu’aux cotisations pour adhérer à telle ou tel fédération. Aussi il convient de ne pas prendre ce choix à la légère. Le choix de telle ou telle discipline peut être facilité par un certain nombre de question. Quelle est mon objectif ? Apprendre à me défendre

Dans ce premier cas deux pratiques martiales sont conseillés. Les méthodes de self défense et les arts martiaux. Si les sports de combat peuvent aider, ils sont bien souvent beaucoup plus éloignés de la réalité que ces deux premières pratiques.

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e but des méthodes de self défense est justement l’apprentissage de technique de combat dans le but de faire face à une agression le plus souvent physique mais aussi parfois morale. Il n’est pas ici vraiment question de philosophie ou de développement personnelle. Ces méthodes n’ont qu’un objectif apprendre à se défendre. Bien ses méthodes repose sur des techniques simple, parfois instinctives et d’un apprentissage relativement rapide.

Les arts martiaux à l’inverse nécessiteront parfois une étude plus longue pour arriver à un résultat similaire au niveau du combat. Cependant ces pratiques seront souvent plus complexes techniquement et comprendront un certain nombre de pratiques philosophiques permettant au pratiquant de se découvrir et de se construire tout au long de sa pratique.

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PUBLICATION " L'ART DE LA VOIE " Apprendre à me connaitre

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n distingue ici deux situations. Dans une première situation il peut s’agir d’apprendre à connaitre les limites de son corps, de ses possibilités. Dans ce cas la pratique des sports de combat est tout indiqué car lors des compétitions qu’il s’agisse de casse, de kata ou de combat, le pratiquant découvrira et fera sans cesse progresser ses compétences martiales.

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ans un deuxièmes cas il s’agit d’une démarche plus profonde qui vise à découvrir qui l’on est vraiment, à partir à la recherche de soi. Les arts martiaux sont alors le meilleur moyen d’arriver à cette fin et seront alors considéré comme une forme de méditation en mouvement. Dans ce cas certains disciplines comme le taiji quan ou le kyudo sont particulièrement indiqués même si tous les arts martiaux pourront remplir cet objectif.

Me défouler Bien souvent les personnes commençant une pratique martiale le fond dans le but de se défouler sans forcément rechercher à être efficace dans un combat réel. Il peut notamment choisir de se purger d’une certaine agressivité naturelle ou de faire le vide des soucis du quotidien. Dans ce cas les sports de combats sont la pratique la plus indiquée.

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CHOISIR UNE PRATIQUE MARTIALE Devenir meilleur Le fait de devenir meilleur peut être appréhendé sous 3 angles.

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’un point de vue purement physique il s’agit de se forger un corps, obtenir une meilleur endurance etc… dans ce cas, parmi les pratique martiale, la plus indiquée est celle des sports de combats mais aussi des arts martiaux dans une certaine mesure. Ceci est particulièrement vrai pour les arts martiaux dits externes faisant appel à une certaine force physique. D’un point de vue martial, dans ce cas il faudra en général regarder le temps que l’on souhaite passer à pratiquer.

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i l’on souhaite obtenir une meilleure efficacité rapidement dans un combat réel, dans ce cas les méthodes de self défense seront bien souvent à privilégier. Les arts martiaux eux sont tout aussi efficaces mais seront bien souvent beaucoup plus longs à intégrer du fait de leur plus grande complexité.

D’un point de vue philosophique. Il s’agit ici d’avoir une meilleur estime de soi, une meilleur confiance en soi… ou de chercher à s’améliorer à travers un certain code de conduite. Les arts martiaux sont alors tout indiqués.

Si il s’agit d’avoir moins peur d’une agression dans ce cas les méthodes de self défense sont très efficace. La pratique des sports de combat est-elle tout aussi indiqué que les arts martiaux quand il s’agit de permettre à une personne effacée de s’affirmer.

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PUBLICATION " L'ART DE LA VOIE " Est-ce que je souhaite être évalué ? Dans le cadre d’une compétition

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ertaines personnes souhaitent participer à une compétition soit pour évaluer leur niveau actuelle soit pour évaluer leur progression. Dans ce cas la pratique des sports de combat est vivement conseillée. Il est à noter qu’un certain nombre d’« art martiaux » intègre des formes de compétition allant de la compétition de combat à celle de kata ou de casse. La qualification d’arts martiaux pour ces pratiques est tout de même critiquable de mon point de vue mais ce n’est pas l’objet de cet article. Sur ma progression technique

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l s’agit ici d’être évalué hors de cadre de compétition soit par des examens internes au club soit organisé au niveau national. Bien que l’on retrouve ceci dans le cadre des arts martiaux et des sports de combat notamment avec l’obtention de ceintures et de dan, mais aussi via d’autres biais comme la couleur des gants en boxe ou le système des menkyo dans certains arts martiaux japonais, tous les arts martiaux et sports de combats ne délivrent pas de grade. Dans certains d’entre eux il n’y a pas non plus de réel examens. Est-ce que je souhaite avoir des difficultés ?

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a question est ici assez importante car elle permet de savoir si l’on souhaite une pratique qui nous correspond pleinement ou à l’inverse une pratique qui est aux antipodes de nos capacités actuelles.

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ar exemple si une personne est très rigide, elle aura plus de facilités dans certains arts martiaux comme le karaté ou le Muay thaï que dans des arts martiaux comme le taiji quan du style yang. Une personne corpulente aura elle un certain avantage dans les disciplines de lutte. Cependant quel que soient les capacités de chacun elles ne sont pas des facilités, et il peut d’ailleurs être très intéressant d’étudier un art martial qui est contraire à notre nature pour pouvoir évoluer. Ainsi alors que je suis une personne d’un naturelle assez raide et sec, j’ai eu l’occasion de pratiquer durant deux ans le taiji quan style yang qui m’a permis de développer ma souplesse et ma fluidité.

Bien entendu le revers de choisir une discipline qui nous est contraire est que l’on avance progresse beaucoup plus lentement. Il peut en résulter une certaine frustration et un certain découragement pouvant entrainer un arrêt de la pratique.

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SELF PRO KRAV A GENEVE (SUISSE)

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e premier stage international de Self Pro Krav ou SPK vient de se dérouler à Genève en Suisse avec la présence de l'expert fondateur de la discipline, le Capitaine Jacques Levinet, ceinture noire 10e Dan.

Cet évènement a été mis en place par le directeur technique national pour l'Académie Jacques Levinet en Suisse, Fabrice Broux, instructeur et ceinture noire 1er dan SPK. La trentaine de participantes et participants hélvétiques ont pu bénéficier des installations superbes de l'association "KABUTO" situé à Plan les Ouates dans les faubourgs de Genève dirigé par Jean Daniel Pfund, expert suisse en arts martiaux.

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a venue de l'expert français a été également l'occasion d'inaugurer la nouvelle section de SPK mis en place cette saison au sein du club Kabuto sous les directives de l'instructeur suisse Fabrice Broux.

Durant toute une journée les élèves ont pu suivre les démonstrations et la pédagogie déployées par l'expert francais. Le stage a été un succès total au point que de prochains rendez vous sont d'ores et déjà programmés en Suisse pour développer la méthode SPK.

Jean Daniel et Jacques

Fabrice Broux

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SELF PRO KRAV A MARRAKECH (MAROC)

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n stage exceptionnel de Self Pro Krav (SPK), animé par le fondateur de méthode de Self Défense, le Capitaine Jacques Levinet, ceinture noire 10e Dan SPK, vient de se dérouler dernièrement, pour la seconde fois à Marrakech au Maroc.

Cet évènement a été organisé par le Directeur Technique National de Jacques Levinet pour ce pays, Mustapha Kharbouchi, artiste marceinture noire 6e Dan.

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n succès hors du commun avec la présence d’une cinquantaine de stagiaires venus participer à cet évènement et suivre les conseils du Maitre Français en la matière.

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es femmes, malgré leur faible nombre, étaient présentes ainsi que quelques enfants déjà titrés dans leur art martial. Mustapha Kharbouchi, haut gradé de karaté et 5e degré de kick boxing, est le fondateur de l’Académie Bouchiway, dont la renommée n’est plus à faire dans tout le Maghreb, est suivi par près de 25 clubs dans la ville de Marrakech. C’est dire le succès de cet athlète marocain de haut niveau.

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cette

l’Académie tial connu,


STAGE SELF PRO KRAV FAMILLE A LA MER

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our la 5eme édition, l’AJL Occitanie (St Sulpice) a organisé un stage de SPK en famille au bord de la mer à Vias (34). Encore cette année, le stage a rencontré un très franc succès avec une quarantaine de participants. Mais le SPK en famille c’est quoi ? Ce sont des familles qui sur un week-end viennent pratiquer ensemble le SPK et cela d’une façon dilettante et détendue.

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our certaines familles c’est l’occasion de se connaitre davantage, pour d’autres celle de se rencontrer pour la première fois. Les repas (sauf un soir où l’AJL Occitanie invite) sont préparés par chaque famille et sont partager en commun façon table espagnole. Il est évident que rien n’est obligatoire, mais jusqu’ici, toutes les familles ont joué le jeu et ceci naturellement.

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ACADEMIE JACQUES LEVINET OCCITANIE

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es repas sont des moments forts de partage et de convivialité, et sont aussi propices à la discussion, et bien entendu, celle-ci tourne autour du SPK mais pas que, car ici un tel donne une anecdote, là un autre une recette, encore d’autres parlent de leurs enfants etc.

Le stage ne durant que deux heures le samedi et deux heures le dimanche, laisse aux familles du temps libre, ce qui leur permet de profiter de la plage, de la piscine du camping ou tout simplement de se reposer.

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e stage au camping se fait à la plage devant d’autres vacanciers qui n’hésitent pas à demander des informations sur la discipline. Toujours dans l’ambiance détente, il est fait pour découvrir le SPK tout en s’amusant et passer un bon moment ensemble.

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STAGE SELF PRO KRAV FAMILLE A LA MER

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e déroulant en commun, enfants et parents suivent les mêmes exercices, et pour les plus petits comme chacun est libre de suivre ou non le cours, il y a toujours un ou deux adultes qui veillent sur eux. Le stage au siège de l'AJL à St Jean de Védas, même s’il est dispensé par le fondateur Jacques Levinet, n’en reste pas moins un stage d’initiation et Jacques l’adapte pour qu’il soit ludique afin que les familles apprennent tout en s’amusant avec leurs enfants.

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ette année, l’AJL Suisse, représentée par Fabrice Broux (DTN AJL Suisse) était parmi nous, donc je peux dire que notre stage SPK famille est devenu un stage SPK International famille. L’intérêt de ce stage, outre l’apprentissage technique est surtout de passer un bon moment ensemble.

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ACADEMIE JACQUES LEVINET OCCITANIE

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e voudrais faire un parallèle avec le stage que j’ai suivi à Split en Croatie. M’entraîner avec d’autres pratiquants de pays différents (Allemagne – Luxembourg- Suisse et Croatie) et ce, dans un pays étranger a été une vraie cure de jouvence, car égoïstement peut-être, je ne pensais qu’à pratiquer pour ma progression personnelle et non plus pour mes élèves et ceci dans une atmosphère amicale et même si le travail technique était dur, l’ambiance sérieuse et appliquée, restait détendue. Pendant ou en dehors des cours, l’ambiance était la même, chaleureuse et joyeuse, entre et avec de belles personnes, comme dirait mon ami Fabrice (AJL Suisse). n déjeunait ensemble, on visitait la région ensemble, on dinait ensemble. Cette cohésion s’est faite tout naturellement, sans se forcer car on se sentait comme en ‘’famille’’. Du moins, c’est comme cela que je l’ai ressenti et je pense ne pas être le seul. Cohésion due aussi à nos épouses, qui grâce à leur ouverture d’esprit et leur adaptation, ont contribué à ce que ce séjour ne soit pas qu’un stage de SPK mais un voyage entre amis(es). Si vous hésitez encore allez sur la page Facebook ou sur notre site et visionnez les photos du stage famille et vous verrez que la bonne ambiance règne du premier jour au dernier jour du week end et il en a été de même en Croatie. Le rendez-vous est pris pour le week end de la pentecôte 2019.

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ART MARTIAL DE BIRMANIE - LE BANDO

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espite the Chinese influences, Bando is credited as a style of armed and unarmed combat native to Burma.

It is an assimilation of Karate-like striking and kicking techniques, Judo-like throwing techniques, swordplay and fighting with knives, spears and sticks. It is also known as Bando-Thaing or Burmese Boxing.

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here are numerous interpretations of the term Bando, and different linguistic and ethnic groups hold to diverse translations. It is generally interpreted in three ways: 1. “way of discipline” 2. “systems of self-defense” 3. “art of fighting or combat”

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ome Bando groups have combined all three translations in one, making it similar to the Japanese term Budo (stop conflict), the Chinese word Wu Shu (war art), or the English terms military arts or martial arts.

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ome etymologists believe the term Bando derives from Chinese, while others claim Indian or even Tibetan origins.

Bando is also called “Thaing.”

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Armed and Unarmed Combat From Burma

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here are many styles of Bando, but most follow basic instructional patterns. The art emphasizes initial withdrawal followed by an attack outside the opponent’s reach. All parts of the body are employed in these attacks, and once the initial technique is delivered, grappling and locking techniques are used. Techniques are learned first through formal exercises in some systems and only later through sparring. When the Japanese invaded Burma in 1942, they encouraged the practice and proliferation of Bando and influenced it by exchanging techniques from Judo, Jujutsu, and Aikido. After World War II, Bando was furthered through a large number of competitions.

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ando was introduced in the U.S. by Dr. Maung Gyi, a college professor who began teaching the art on April 3, 1960, in Washington, D.C. Later, Bando classes were formally conducted at American University until the fall of 1966.

Dr. Gyi organized the American Bando Association on June 15, 1968, at Ohio University. Members present at this initiation ceremony took a blood oath. The International Bando Association was officially formed on March 9, 1946, by U Ba Than, then director of physical education and athletics for the Union of Burma. The IBA was organized in honor of those servicemen who fought and died in the China-Burma-India theater of World War II.

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DEFENSA PERSONAL ANTI AGRESIÓN PARA MUJERES “Cada vez más mujeres están deseando saber defenderse” ¿Son el temor y el miedo, el fermento de la defensa personal? ¿Es un fenómeno temporal meramente comercial? o como dicen algunos pensadores de salón, es que la sensación de inseguridad crea este miedo a la agresión. En otras palabras, ¿no serán los horrores de la sociedad y su desfile mediático, la causa de esta gangrena de la defensa personal? ¿Quién posee la verdad, si es que la verdad existe en este asunto? De todos modos, seamos ser muy pragmáticos y tratemos este problema, más o menos presente entre muchas mujeres que sufren sus efectos secundarios, como insomnio, miedo de quedarse sola en casa, salir por la noche o ir a ciertos lugares, náuseas, falta de confianza… y ¡la lista continúa!

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mplio tema, por lo tanto, si no un reto, el de presentar y hacer que usted tenga ganas de aprender la “Self Mujeres” del Self Pro Krav, o SPK. Mi intención no es abordarlo desde un punto de vista filosófico, psicológico o económico, sino de permanecer en el realismo de las agresiones comunes que pueden sufrir las mujeres. Está claro, por el bien de la verdad y sin discriminación alguna, que hay una diferencia notable entre las cualidades físicas de los hombres y de las mujeres. ¿Trabaja esta diferenciación en contra del género femenino? Ciertamente, estas son menos machistas y por lo tanto más conscientes de sus posibilidades, así como de sus limitaciones. En otras palabras, son más realistas frente al peligro. Por otra parte, para salir de una agresión violenta, tienen menos escrúpulos en el momento hora de responder en las áreas genitales de los hombres, golpear o morder. Ventaja o desventaja, la cuestión no se plantea en el momento de la agresión y cualquier teoría al respecto, es superflua. Seamos realistas frente al peligro de la calle y a la brutalidad de las agresiones.

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n general, las mujeres no son atacadas de la misma manera que un hombre, ya que las motivaciones son a menudo diferentes. Los atacantes se dirigen mucho más a su persona como objeto de deseo y de lujuria, pensando que tienen una superioridad física para lograrlo. La mujer no es tan débil como se podría pensar y probablemente es más decidida que un hombre. Además, cuenta con unas ventajas físicas asociadas a su sexo, que necesita saber utilizar si le hace falta, para salir de una situación peligrosa. Lo único que necesita es un entrenamiento más realista, basado en simulaciones, a fin de prepararlas para salir de una mala situación.

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MÉTODO INNOVADOR DE SELF PRO KRAV

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ero hay que ser honesto y avisarles de que el método no es una receta milagrosa. No hay un golpe definitivo, que convertiría a las mujeres en invencibles. Nunca nada es seguro, incluso cuando se trata un experto o de un campeón en deportes de combate, porque no podemos predecir lo imponderable, ni controlar el azar. Por lo tanto, sigamos siendo modestos, porque la huída, sin perder el honor, seguirá siendo la primera y última solución que favorecer, pero cuando esto no sea posible, el método podrá ser útil.

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ara el capitán Jacques Levinet, fundador de Self Pro Krav - módulo femenino - y autor de un libro sobre el método, la pregunta es: ¿qué está sucediendo cuando un ataque es inminente? Esta fase es crucial para el camino a seguir. Su evaluación correcta determinará el éxito o el fracaso de la práctica de nuestro método. Pero, ¿cómo evaluar una situación de estrés? Debemos ejercitar nuestra mente en una gimnasia cerebral, relativamente sencilla, haciéndonos las siguientes preguntas para gestionar la crisis: ¿Por qué? ¿Cuando? ¿Dónde? ¿Qué? ¿Cuanto?

Motivo de la agresión ¿El atacante exige el dinero? Si el peligro de perder la vida es importante, mas vale ceder, mientras se intenta recoger la mayor cantidad de información, para describir al agresor y poder identificarlo más tarde. En caso de agresión sexual, merecerá que se defienda su honor, pero nunca a costa de su vida. Por último, en caso de un acto de violencia gratuita, el grado de peligro le hará elegir entre la acción o la huida, cuando el riesgo de secuelas sea demasiado grande.

Momento de la agresión

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a escena puede ocurrir de día, en cuyo caso, la visibilidad le permitirá identificar mejor al autor (o autores). Las características físicas, número de atacantes, etc.), así como las salidas oportunas. Por el contrario, si ocurre de noche, no hace falta decir que usted no tendrá tanta información como en el primer caso, pero el timbre de voz del atacante será un elemento significativo.

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as condiciones climáticas más o menos difíciles (lluvia, nieve, viento, calor) también juegan un papel, por ejemplo, un calor sofocante o una calzada resbaladiza, especialmente en caso de persecución. Realizamos entrenamientos en penumbra y en situación de fatiga, para acostumbrarse a estas circunstancias especiales.

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DEFENSA PERSONAL ANTI AGRESIÓN PARA MUJERES Lugar de la agresión

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i el lugar es abierto (calle), puede ser posible, pero sin ninguna certeza - porque la cobardía suele estar a la orden del día en estos casos - contar con el entorno inmediato, debido a los gritos de la externalización de su rebelión. En cambio, si la agresión se produce en un medio cerrado (apartamento, lugar privado), tendrá que confiar solamente en su fuerza interior y en su lucidez, para salir de este mal paso. La escena también puede ocurrir en un lugar sensible (barrio, estadio, manifestación) o en una zona de riesgo (supermercado, zona comercial). En estos casos, habrá que considerar el movimiento de las masas y la cantidad de atacantes. Esta situación requiere más suspicacia y olfato, ya que la valentía no suele ser la característica de los testigos de delitos.

El entorno d la agresión

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ay que acostumbrarse a la configuración del entorno de la agresión. Un lugar desierto obligará, necesariamente, a tener una amplia perspectiva de 360°, para encontrar un elemento trivial de apoyo (arena, agua, pedazo de madera, piedra, silla…) que podría ayudar a responder. En su defecto para apoyarle, la multitud puede protegerle y sustraerle al agresor. Considerar el aparente peligro del o de los agresores (armas de fuego o cuchillos) es también un elemento clave del “¿Cómo?”. Por último, las salidas de emergencia serán siempre su principal preocupación, para poder huir.

Autores de la agresión

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l número de agresores es determinante para posicionarse, cuando no se puede escapar. Usted tendrá que colocarse siempre en los extremos del grupo, para iniciar una primera respuesta que facilite su huída lo más pronto posible. Ser capaz de describir a sus atacantes es también un componente del entrenamiento del Self Pro Krav Femenino, muy útil para poder identificar al o los autores del crimen y comenzar a reparar el daño mental y físico. El esquema típico de nuestros ejercicios comienza por la determinación del sexo, el tipo étnico, la edad aparente, el tamaño, la corpulencia, el color y el corte de pelo, los signos especiales (cabeza rapada, barba, bigote, andares), la ropa y su color, el porte de gafas de ver o gafas de sol, el timbre de voz y el acento, así como el uso de un lenguaje particular. A esto, hay que añadir la dirección y los medios de huida de los agresores.

Para el fundador de Self Pro Krav o SPK, la agresión comienza frecuentemente, por una fase brutal de insultos y órdenes. Un diálogo inevitable se establece entonces. Es este tipo de relación que insistimos en nuestros cursos, para acostumbrar a las mujeres a este problema que se articula con lo siguiente: la respiración, el lenguaje, la mentira, la entonación de la voz.

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MÉTODO INNOVADOR DE SELF PRO KRAV Respiración

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in una respiración controlada, no hay acción posible. No se respira de forma natural en los casos de violencia. Nuestra disciplina privilegia la respiración abdominal, que permite centralizar su inspiración en el área del vientre, para manejar el estrés y llevar la energía a la tierra. El objetivo es “pegarse al suelo” y aprovechar la energía telúrica, en lugar de ventilar el aire por los pulmones (respiración pulmonar), lo que provoca una pérdida del equilibrio y de la reacción.

El consejo del experto

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a respiración que hay que adoptar en caso de agresión, es la siguiente: inspiración pulmonar larga por la nariz y con la boca cerrada, bloqueo abdominal del aire boca abierta, exhalación lenta abdominal por la boca, durante la fase de diálogo, exhalación seca por la boca en el momento de la respuesta. Relajación y retomar la inspiración pulmonar, para una ventilación máxima, una vez que el peligro se ha alejado o durante la huída.

E

l entrenamiento permite llegar a esto progresivamente, y los resultados son espectaculares, especialmente en el nivel de la confianza. Por el contrario, una mala respiración reduce el campo visual de la víctima: es el “efecto del túnel”, bien conocido por los profesionales. Ya no controlamos el cuerpo, ya no se captan las oportunidades para la huída o la respuesta, se focaliza la propia mente. El resultado es un inmovilismo, aniquilando cualquier voluntad de actuar. Nuestro método ayuda considerablemente a las mujeres, que en general están más dotadas que los hombres para los cambios en la frecuencia respiratoria. Una mala respiración es sinónimo de visión estrecha, desequilibrio e impotencia. Una crisis acelera la respiración e provoca el pánico.

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MARTIAL ARTS EFFECTIVENESS

I

t is my belief that the martial art has to be tailored to reflect the need of the times we live in. The one hit kill may no longer be necessary but martial arts effectiveness is.

Greetings my martial arts brethren. I was worried that you might be falling into complacency and I had better shake you back into full awareness. Are you guys ready to get on the ‘way back machine’? I think that a little time travel might do us all some good so here we go with one of my ‘back in the day’ dissertations.

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ow many of you remember when our hands and feet were considered lethal weapons? Remember when we were all considered trained killers? There were even rumors circulating that we had to register our hands with the police department.

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e were so deadly that we were afraid to put our hands in our pockets in the dead of the Chicago winter. Might get arrested for carrying a concealed weapon. I even heard of a karateka who tried to salute and knocked his own brains out. Of course I’m exaggerating but karate ‘back in the day’ was a completely different animal from what it is today. I’ll address that in a minute but while we’re on our time travel gig we might as well go back to the time when karate and such arts meant the difference between life and death.

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aybe the contrast will give us a better idea of where we are today.


GRANDMASTER DONALD MISKEL

T

here was a time when the unarmed arts were the only recourse that the average person had in the way of self-defense. Japan was pretty feudalistic and tried to conquer all of its surrounding neighbors. It was pretty effective in many instances. Places like Okinawa and Korea came under the influence of Japan’s militaristic culture. They were conquered and forbidden to own or bare any type of weapon. These laws were enforced by samurai who weren’t especially gentle in the fulfilling of their obligations. The slightest infraction or disrespect met an instant reprisal that more often than not resulted in the death of the person involved. There were no halfway measures for minor infractions or misdemeanors. In any and all instances the results were generally the same. The people in these countries responded with the only weapons left to them. The traditional unarmed fighting systems of those countries were developed to their ultimate level of efficiency.

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any of us are somewhat aware of the skill of the samurai in those violent times. They were some of the most devastating warriors in the known world. The people of those subjugated countries had to contend against them and their combative skills unarmed. Can you imagine facing one of those superlative warriors and their sword arts bare handed? The karate masters of Okinawa often did and on many occasions they were able to subdue and defeat their armed opponents. That required a skill level that most of us can’t equal today. Most of today’s best martial artists would be more than hard pressed to meet such a challenge. Very few of us could rise to the occasion.

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ot only did the samurai carry superior armament, they wore armor. That meant that the hands and feet had to be strong enough to penetrate the armor of the opponent and find access to the nerve centers and pressure points that made victory possible. That required extensive conditioning of the body’s weapons.

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orph back to the twentieth and twenty first century. In the late fifties and early sixties when I began to study jiu jitsu and karate the martial arts were still taught in the old way. Probably not to the same extent but it still embraced many of the old methods of training. We conditioned our weapons beating them on makiwari pads, wooden posts and anything else that would make them tough and impervious to pain and injury. We practiced tamasiwari techniques breaking everything from boards to quarry rock with our hands and feet. Our hands were severely calloused and we sported knots of bone and calcium on our fists the size of pidgin eggs. I suffer arthritis in my hands today behind such practices. I’ve managed to break practically every bone in my hands at one time or another. We exercised and stretched our bodies to the point that we could do things that should have been nearly impossible. The martial arts weren’t popular in those days and small wonder why. Anyone with anything that even vaguely resembled good sense avoided anything like that like the plague.

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arate was taught different in those days. That was before kenpo or tae kwon do invaded the martial art world. We were taught differently. We trained towards a different objective so we trained differently. There were no boxer type jabs to set up a finishing technique. An adversary wasn’t worn down with a flurry of punches, kicks and strikes. All of our strikes were designed for maximum damage and all of our techniques were finishing techniques.

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MARTIAL ARTS EFFECTIVENESS

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here is a lot of argument today about the validity of the one hit kill. Did it really exist? Is it possible? The arts that we study were originally designed to accomplish just such a result. When you were facing a trained samurai and he was wielding a razor sharp length of steel you didn’t get more than the one shot. There were seldom second chances in such confrontations. The first strike had to be made to count and that single blow had to drop and finish the opponent.

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f course, we have to question the practicality of such extensive training and conditioning of the body today. These are modern times and we can’t afford to abuse our hands to the extent that they did in those days. They did very little precise work with their hands in those days. They were primarily farmers and laborers. They didn’t require a lot of manual dexterity. This is a different world. We can’t beat our hands into bludgeons and make them into clubs and swords.

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hose days are gone. A martial art has to reflect the time that the practitioner lives in. These aren’t feudal times. Still though, if we insist on using the same techniques we have to have the tools to make them work. Punching someone on the tip of the chin hard enough to render them unconscious will do you more damage than it will them? It’s hard to fight with a fractured hand or a broken wrist. That’s what we risk when we fight in the old way with unconditioned weapons. We have to be realistic in our approach.

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o, does the one hit kill really exist? Oh yes. It is still alive and well. We just have to reassess our approach to the fighting arts to make it realistic. We have to either condition our hands, change our weapons or change our technique. Something as simple as striking with a palm heel instead of a fist or kicking with the shin instead of the toe of the shoe can make all the difference in the world.

P T A

lease understand, I’m not suggesting that we should try to kill everyone who confronts us with this mystical killing ability. he punishment has to suit the crime. Breaking someone’s neck for talking about your momma might be a slight overreaction. s we develop our ability in the arts our sense of responsibility and humanity has to develop also. With great power comes great responsibility.

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GRANDMASTER DONALD MISKEL

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love the devastatingly fast techniques of American kenpo and I’m equally impressed with the bone shattering ability of old school karate. Either is pretty effective by itself but when the capabilities of both are seamlessly married a fabulous happy medium is accomplished. You now have the best of both worlds each complimenting the other to good effect. It is my belief that the martial art has to be tailored to reflect the need of the times we live in. It’s been ages since I’ve had to face an armed samurai and I seldom have to crash through armor to reach an opponent’s weak points. Hench the radical conditioning of the hands are no longer necessary.

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till it would be nice to know that if I am called on to defend myself that my weapons will be effective. If I have to hit someone I want to know that they’ll stay hit. That is to say that they’ll be incapacitated long enough for me to make a strategic withdrawal. Taking into consideration that discretion is still the better part of valor.

If we’re honest with ourselves and realistic in our approach to the fighting arts we should be able to find the happy medium or combination of ingredients that will work for us. The one hit kill may no longer be necessary but martial arts effectiveness is. God bless you, my brethren. Train hard and go with God. Rev. Dr. Donald Miskel

Donald Miskel started his training in 1959 at the Jiu Jitsu Institute in Chicago and trained with several well-known and respected martial arts instructors in a number of disciplines. He has attained black belt ranking in six different martial art disciplines.

Sensei Miskel taught at several locations in and around the Chicago area for many years. His focus was self-defense instruction for civilians and specialized, individual, training for law enforcement personnel and security officers. He worked in several areas of law enforcement, mental health and personal security as well as performing Pastoral duties at several churches and ministries for a number of years. He helped to create the Black Lotus Combative System and he founded the Dante Ryu Gojute Kenpo karate/ Ju jitsu fighting system.

Dr. Miskel is an original member of the Black Dragon Fighting Society. 43


HISTOIRE DU SAMBO

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'histoire des arts martiaux russes a été délibérément faussée par les purges staliniennes. Cette désinformation a été maintenue par les services secrets soviétiques, durant les deux grandes Guerres mondiales et pendant toute la période de la Guerre froide7. Même chez les Soviétiques, beaucoup ont toujours cru jusqu'à tout récemment qu'Anatoly Arkadevich Kharlampiev était le seul et unique fondateur du sambo et que ce système de combat reposait exclusivement sur les arts martiaux russes anciens.

Cette désinformation était répandue chez les pratiquants de sambo, les grands champions et même chez les instructeurs les plus expérimentés. Des noms comme Viktor Afanasevich Spiridonov et Vasily Sergeevich Oshchepkov sont restés dans l'ombre jusqu'à tout récemment.

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PAR LE COMITE FRANCAIS SAMBO - CFS

C

'est depuis la sortie d'un livre sur le sambo écrit par Mikhaïl Nikolaevich Lukashev, livre qui fit scandale en URSS à sa sortie en 1982, que la vérité sur la création du sambo commença à être dévoilée.

Le dévoilement se poursuivit en 1986 avec la parution d'un second volume sur l'histoire du sambo. Toute cette épopée s’amorça quand Lukashev débuta ses recherches et trouva ce dossier : URSS. NKVD. Département de la région de Moscou. Cas No.2641 à propos de l'accusation de Vasily Sergeevich Oshchepkov selon la clause 58 de l'article 6 du Code criminel de Russie, Vol 1. Le dossier était très peu documenté. En résumé, il ne relatait en fait que Vasily Sergeevich Oshchepkov, instructeur de lutte libre, judo et d'autodéfense pour l'Armée rouge, avait été arrêté pour crime de trahison car il espionnait pour le compte des Japonais. Il avait été envoyé au goulag et exécuté sommairement d'une balle dans la tête. Toutes ces accusations étaient fausses.

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HISTOIRE DU SAMBO

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ichail Lukashev pratiquait le sambo depuis bien des années. Il connaissait bien son art martial ainsi que soncurriculum technique, mais moins son historique. Les livres écrits sur le sambo par son « présumé » fondateur, Anatoly Arkadevich Kharlampiev, ne remontaient pas avant 1949. Lukashev avait cru comme tous qu'Anatoly Kharlampiev était le créateur du sambo et que ce n'était qu'une synthèse des différents styles de luttes slaves provinciales réalisée par Kharlampiev sur l'ordre de N.I. Podvoiski. C'est ce qu'Anatoly Kharlampiev clamait dans ses livres depuis des années. Mais il subsistait néanmoins quelques incohérences dans l'histoire de Kharlampiev.

C'est en lisant un article dans la revue Ogonyok, « L'histoire du sambo » par Rahtanov, que Lukashev commença à faire des recherches plus approfondies sur l'origine du sambo. Rahtanov ne parlait pas de Viktor Spiridonov dans son article. Pourtant, Spiridonov était vétéran de la Guerre russo-japonaise et avait débuté un travail sur l'autodéfense (le samoz) bien avant Anatoly Kharlampiev. De plus, Podvoiski était déjà un héros de la révolution en 1922 lorsqu'il aurait ordonné à Anatoly Kharlampiev de créer le sambo.

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r, en 1922, ce dernier n'avait que 15 ans. L’histoire n’était donc pas crédible. De plus, Rahtanov faisait mention dans son article, d'une déclaration que Kharlampiev avait faite en 1938 au sujet du lien qui existait entre le judo, le jujutsu et la création du sambo, ce qui n'a jamais été mentionné par Kharlampiev dans aucun de ses livres par la suite. La question demeure ainsi sans réponse. Mikhaïl Lukashev commença donc son travail de recherche au sujet de Viktor Spiridonov, sa biographie, son travail. Ce fut un travail ardu et compliqué : la majorité des gens impliqués avec Spiridonov étaient décédés, les archives le concernant au Club Dynamo avaient disparu. Il ne put trouver, pendant longtemps, que des histoires orales sur Spiridonov, recueillies d'amis, de collègues, de voisins. Il finit par tomber sur Fyodor Ivanovich Zhamkov qui était Maître de Sport en titre et qui avait travaillé pour Viktor Spiridonov au Club Dynamo.

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'est à cette occasion qu'il entendit parler pour la toute première fois de Vasily Oshchepkov. Zhamkov avait été un des étudiants d'Oshchepkov en 1920 à Vladivostok et il avait étudié le judo avec lui. C'est à partir de ce moment que Lukashev débuta ses recherches sur Oshchepkov et toute l'histoire du sambo commença à être dévoilée.

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PAR LE COMITE FRANCAIS SAMBO - CFS

A

près la publication de son manuel sur le Sambo en 1982, Lukashev fut confronté à un tollé de la part des étudiants de Kharlampiev. Au lieu de déclencher une discussion ouverte au sujet de la véritable origine du sambo, telle que racontée par Lukashev et lui prouver son erreur, les étudiants de Kharlampiev écrivirent une lettre de dénonciation et l'expédièrent au Comité Central du Parti Communiste de l'Union Soviétique. Les accusations étaient plus ou moins ridicules. Au lieu d'être jetée à la poubelle, la lettre fut pourtant envoyée et enregistrée au Comité d'État des Sports d'URSS. Les autorités de ce comité organisèrent une discussion au sujet du livre et de son auteur. Le livre controversé était destiné aux jeunes lecteurs. Il contenait surtout des informations sur les arts martiaux avec un guide d'apprentissage personnel. Néanmoins, ce sont les anciens vétérans du sambo, ceux qui avaient contribué à son développement et à sa propagation à travers tout l'Union Soviétique, qui se sont le plus intéressés à la discussion.

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es vétérans du Sambo en connaissaient la véritable histoire et pour la première fois, ils pouvaient la raconter. Andreï Andreevich Budzinsky, deux fois champion d'URSS et l'un des premiers étudiants de Kharlampiev, joua un rôle particulier dans cette histoire. Il forma un conseil de vétérans, et ils rassemblèrent des archives personnelles, des documents d'État, trouvèrent d'anciens compatriotes de l'époque, ils envoyèrent des lettres dans les musées, etc. C'est ainsi que de nouvelles informations furent dévoilées.

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Menace pistolet à bout portant au visage

Fiches réalisées par le Capitaine Jacques Levinet, expert, et Pascal Tabaglioo, instructeur SPK

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Menace pistolet à bout portant au corps

Fiches réalisées par le Capitaine Jacques Levinet, expert, et Pascal Tabaglioo, instructeur SPK

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MAGASIN ET BOUTIQUE EN LIGNE Spécialiste dans la vente de matériel d’arts martiaux, boxe et sports de combat

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