Jean-Baptiste Sécheret Oeuvre gravé et lithographié 2002-2014
Avec le soutien de la ville de Maubeuge
Remerciements Arnaud Decagny Maire de Maubeuge
Nathalie Gomes Adjointe au maire déléguée à la vie culturelle
David Deleye Directeur aux Affaires culturelles
Le Service technique de la Ville de Maubeuge Grand merci à Pierre Bergounioux ainsi qu’à Jean-Baptiste Sécheret et à la Galerie Jacques Elbaz, Paris, pour leur générosité, à la Galerie Documents, Paris et à la Bouquinerie de l’Institut, Paris, pour leurs prêts
© Roland Plumart - Association Malbodium Museum © Pierre Bergounioux pour son texte © Jean-Baptiste Sécheret pour les œuvres Conception graphique : Jean-Pierre De Kimpe - Roland Plumart Éditions Malbodium Museum
ISBN n° 978-2-912473-41-7
Roland Plumart
Jean-Baptiste Sécheret Oeuvre gravé et lithographié 2002-2014
Préface de Pierre Bergounioux
Porte de Mons - Maison Folie - Salle Haute - Maubeuge du 24 octobre au 9 novembre 2014
Photo : Émile SÊcheret, 2012
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Face au monde
Il est dans notre nature, quelle qu’elle puisse être, d’opérer doublement sur le monde, physiquement, puisque notre conservation en dépend, et symboliquement, par l’effet de nos dispositions pensives. L’art procède de cette capacité, qui nous met à part de tout ce qui existe. Mais il accuse, dans ses manifestations les plus téméraires, les plus inattendues, l’emprise de la nécessité, le primat de la détermination matérielle. Dans un raccourci fulgurant, l’anthropologue André Varagnac rapportait les trois âges de l’aventure humaine aux trois règnes de la Nature. La préhistoire est inféodée au monde animal. Elle en tire la chair et la peau dont on se nourrit et se vêt, l’ivoire des Vénus de Lespugue et de Brassempouy, les colliers de coquillages et de crocs, les bâtons de commandement – qui seraient plutôt des redresseurs de flèches – en omoplates de renne, les récits et les rêves qui se sont évanouis, en l’absence d’écriture, et les figures peintes aux parois des cavernes dont Picasso, sortant, ébloui, de Lascaux, constatera qu’on n’a pas fait mieux depuis. Le néolithique exploite le règne végétal. Les hordes errantes se sédentarisent sur les rives des fleuves du Moyen et de l’Extrême-Orient, cultivent d’humbles graminées, l’orge et le blé, le riz. L’histoire a débuté, aux deux sens du terme, de lutte sociale et de texte appuyé sur l’archive. Car l’écriture est fille de l’esclavage. Elle sert à contrôler, à l’origine, le produit du travail forcé à la porte du temple et du palais. Un corps de spécialistes trace, à la pointe d’un roseau, du bout d’un pinceau, des caractères en formes de coin, des signes plus ou moins ressemblants, idéogrammatiques ou hiéroglyphiques, dans l’argile, sur des carapaces de tortue, des feuilles de papyrus, du parchemin. Les historiens n’hésitent pas à faire coïncider la fin de l’ère agro-pastorale avec celle de l’Ancien Régime. La nuit du 4 Août 1789 consomme la ruine de l’aristocratie foncière qui dominait le monde depuis l’origine de la civilisation. C’est alors que l’humanité se tourne vers le règne minéral, dans un contexte politique inédit, de liberté formelle, et en vue du profit. La révolution industrielle ne pouvait pas ne pas retentir sur la manière dont nous nous représentons le monde, s’il est vrai que la production matérielle de l’existence est première, déterminante, nécessaire, son expression, dérivée, seconde, facultative, presque. Elle a porté à l’art de peindre, tel qu’il se pratiquait depuis la nuit des âges, un double et redoutable préjudice. Mais elle lui a offert, aussi, des facilités dont il lui appartenait d’user, s’il survivait au bouleversement des forces productives et des rapports sociaux correspondants. « La peinture est morte », déclare Paul Delaporte, un peintre, lorsqu’il découvre, vers 1840, les premiers travaux de Nicéphore Niepce. Et tel est bien le cas d’un art littéral, ingénu, qui postulait une réalité antérieure, tout extérieure, éternelle, à son horizon et s’évertuait à la fixer dans les deux dimensions de la toile ou du papier. Ce n’est pas tout. Ce furent, à leur manière, des temps heureux que ceux où l’artiste exécutait les commandes des puissants, du despote oriental, du prince et de l’évêque. Le métier suffisait. Il n’était que de le faire servir à reproduire le visage des maîtres de la terre, qui est l’unique source de richesse, alors, et leur panthéon, divinités à tête d’ibis ou de lion, Christ en croix ou trônant, en majesté, au jour du Jugement.
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L’émergence du capitalisme affecte non seulement la production des utilités mais celle, aussi, des œuvres d’art. La matière et la manière sont désormais du ressort de l’artiste. Cette liberté a toutefois une contrepartie. L’œuvre doit répondre à une attente, flatter un goût, ceux de la nouvelle classe dominante, citadine, comme son nom l’indique – la bourgeoisie –, dont la maxime directrice, qui est « le calcul rationnel des chances de profit », est mal compatible avec les initiatives audacieuses, « gratuites », des plasticiens les plus inventifs. Ni la photographie ni la formation d’un marché de l’art n’ont tué la peinture. Paul Delaporte était victime, comme nous tous, d’une certaine idée de la réalité qui touche aux fondements de la culture occidentale et que les plus pénétrants esprits du siècle dernier ont travaillé, chacun dans sa partie, à rectifier. Si éloignées que semblent, de prime abord, les recherches de la physique théorique, de la psychologie et de la philosophie, de la littérature, elles ont en commun, avec l’activité artistique, de révoquer en doute une certaine attitude existentielle, une posture subjective et l’objet correspondant. Ou, ce qui revient rigoureusement au même, de contester l’existence d’un monde doté d’une réalité propre, indifférente, nouménale, inhumaine, dont nous nous bornerions à recenser, intellectuellement ou plastiquement, les propriétés. Einstein établit la relativité du réel, la réalité du relatif. Freud révèle, sous les mobiles les plus élevés, les idées les plus claires et les plus nobles idéaux, l’emprise de l’inconscient. Husserl porte au jour la contribution de l’esprit à ce qu’il prend pour le monde extérieur. Or, celui-ci n’est jamais, à la limite, qu’«une prestation subjective », « un problème égologique de caractère universel ». On dira un mot de Faulkner. Quel rapport entre ces algorithmes, ces philosophèmes, ces textes difficiles et le très ancien face à face du peintre avec la Création ? D’abord, celui-ci ne peut plus ne pas avoir conscience de la part qui est la sienne, par le choix des moyens, des thèmes, à la constitution de la réalité. Il ne saurait, d’autre part, ignorer les ressources que l’essor du procès de production a mises à sa disposition, l’accès au grand dehors que les servitudes traditionnelles du métier, la préparation des couleurs, en particulier, lui fermaient. 1840 voit naître la photographie mais, aussi, la peinture toute prête, en tube. Giono distingue quelque part entre les livres qu’on lit dans une chambre ou un bureau et ceux qui supportent l’épreuve du plein air, qu’on peut consulter « à la corne d’un bois ». Il y a les travaux d’atelier, y compris ceux qui représentent des futaies, peuplées ou non de nymphes, l’arène et ses gladiateurs aux casques étincelants, les charges de cavalerie, dans la plaine, et puis ceux qui ont été peints au soleil et au vent, sur le motif, qu’il soit immuable, comme l’arbre et l’océan, le rocher, le soir et le matin, les collines noyées de bleu, la neige magicienne, ou récemment sorti de terre, avec les richesses minérales, le silo, le complexe sidérurgique, le gratte-ciel, la villa Belle Époque ou Années Folles. On pense au mot de Marx : « Tout finit à la ville ». L’histoire de la peinture, comme celle de la science, est jalonnée d’obstacles, épistémologiques, pour celle-ci, plastiques, quasi théoriques, aussi, pour la première.
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On ne s’explique pas tout, par exemple la perfection immédiate de Lascaux, de la grotte Chauvet, d’autres sites. C’est peut-être que, lorsqu’il est intégré à une société égalitaire, sans écriture, sans État, où chacun possède la totalité des techniques et de l’équipement sémantique – les mythes –, l’artiste déploie des capacités que rien n’altère ni n’entrave. Il en va tout autrement dans les sociétés historiques, de classes, où le sens du monde fait l’objet de contestations et de luttes, comme son appropriation matérielle et sa répartition. L’œuvre engage désormais l’artiste fort au-delà du métier qui le qualifie a minima. Il lui appartient de retenir, parmi tous les objets possibles, ceux qu’il tient pour réellement intéressants, au sens fort, étymologique du terme – intersum, je suis parmi, donc affecté, atteint, concerné. Qu’il le sache ou pas, le veuille ou non, il décrète que certaines choses sont importantes, ce qui constituerait la constante éternelle de son art, mais, depuis deux cents ans, à peu près, il lui incombe, et à personne d’autre, de les discerner, de les fixer. Comme la majeure partie de l’humanité, aujourd’hui, Jean-Baptiste Sécheret vit en ville, à Paris. Comme la plupart des habitants des pays développés, il se déplace, en province, où il a des attaches, à l’étranger, où son métier d’enseignant, à l’École d’Architecture, l’entraîne, quand ce n’est pas une inclination personnelle. La ville fait face à ses habitants comme une Création d’un nouvel ordre, humaine, changeante, et non plus divine, comme aux âges de ténèbres et de foi, les roches, les plantes, les bêtes, à la paysannerie qui formait le corps de la population et le travailleur collectif. Le fond sur lequel se détachent les actes, les pensées, les passions a changé. La littérature en témoigne. Elle a quitté, vers la même époque, l’antichambre nue de la tragédie, les salons rococo du marivaudage, les galeries dorées, la fausse nature des bassins et des bosquets de Versailles, pour les rues encombrées de Paris, les bureaux des ministères et des administrations, le comité de rédaction des journaux, le conseil de direction des banques, le bagne, à l’occasion. Une activité fiévreuse, risquée, inventive a supplanté celle, cyclique, des champs, des saisons, l’étiquette figée de la Cour. Marx, encore, dans le Manifeste : « C’est la bourgeoisie qui, la première, a fait voir ce dont est capable l’activité humaine : elle a créé de tout autres merveilles que les pyramides d’Égypte, les aqueducs romains, les cathédrales gothiques ; elle a mené à bien de toutes autres expéditions que les invasions et les croisades ». Si la splendeur du monde est exilée, c’est à nous, et non pas au monde, que la faute en incombe. La division du travail définit chacun bien moins par la compétence dont il est pourvu que par l’énormité de celles qui lui manquent. Le sens esthétique n’échappe pas moins que le restant des aptitudes à « l’unidimensionnalité » de l’homme moderne. Une société a besoin d’artistes comme de boulangers, d’informaticiens, de grutiers. Ils possèdent, comme tous les actifs, une capacité qui s’apprend. Mais il leur appartient encore, on l’a dit, de tirer de l’ombre où elle s’est retirée, la beauté que le travail productif, la structure sociale et les rythmes collectifs nous dérobent.
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Entre mille possibles également prometteurs, pareillement trompeurs, Jean-Baptiste Sécheret a retenu l’un des plus périlleux, qui est de peindre la réalité contemporaine, le paysage urbain où sa vie, et les nôtres, se passent. Périlleux, le choix l’est à plusieurs titres. La ville est le thème d’élection de la photographie. L’instantanéité, la rigoureuse fidélité de l’argentique, aujourd’hui du numérique, sont comme homogènes à la nervosité, la fugacité de la vie urbaine. On a tous présentes à l’esprit les images légendaires de l’homme qui enjambe une flaque d’eau de Cartier-Bresson, des amoureux et des enfants de Doisneau, des marginaux de Brassaï. La ville est déjà le produit d’un art. Le peintre est confronté à de la pensée matérialisée, pétrifiée. Les choses obéissent à des règles strictes, sont nées de la règle et du compas, d’une vision d’architecte. Enfin, il ne saurait prendre la moindre liberté sans attenter au principe même qu’il a adopté. À cela, il y a une raison spécifique, qui est la représentation collective de la ville, l’image gravée à des millions d’exemplaires dans des cerveaux et dont Jean-Baptiste Sécheret ne saurait s’écarter sans ruiner son travail. Atmosphère électrique, élaboration préalable, tyrannie proprement sociologique du modèle, travail en extérieur, telles sont les exigences auxquelles Jean-Baptiste Sécheret doit répondre pour avoir choisi, un jour, de figurer le monde contemporain, la ville. Il aime à citer Ingres : « La ressemblance est la moindre des choses ». Il l’a apprise, à vingt ans, aux Beaux-Arts de Paris. Il veille à en garder la maîtrise. Ce sont les humbles, les redoutables objets – tous les objets sont redoutables – qu’il reproduit, par tous les procédés, dans son atelier, entonnoirs, cône marbré des mers du Sud, têtes coupées de poissons… Il lui arrive aussi de partir, de se perdre dans des solitudes, collines pelées d’Italie, section inhabitée du littoral, et de s’appliquer à saisir les formes et les couleurs de la terre, du ciel, les variations de la lumière. Ces travaux et recherches confluent dans l’acte téméraire qui consiste à s’établir dans la rue, devant une construction pourvue de deux caractères pareillement comminatoires, à savoir une réalité matérielle précise, fouillée, intimidante – mascaron du Pont Neuf, avenue Magenta, Flat Iron –, que scelle la représentation que des millions de gens en ont. Il est déjà difficile de se planter sur un trottoir, parmi les gens qui vont et passent, dans la presse et le bruit, avec des couleurs, de l’encre, un petit bout de toile ou de cuivre. Il est arrivé que des chauffeurs de taxi newyorkais ralentissent, au passage, et pressent l’artiste de déguerpir au plus vite, l’endroit étant particulièrement mal famé. Une question hante la représentation depuis qu’une poignée de virtuoses s’est trouvée investie de la tâche qui consiste à élever le monde à l’existence seconde, écrite, peinte, qui illuminera celle, vécue, obscure où il est confiné aux yeux mêmes, dans l’esprit de ses habitants. Il a fallu trois mille ans à la littérature pour accéder au réel, c’est-à-dire à ce qui se passe, sur place, au présent, pour les intéressés. Avant cela, elle nous livrait l’idée que s’en fait quelqu’un qui n’est pas concerné, de loin,
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plus ou moins longtemps après. On a dû attendre 1927 pour que William Faulkner abdique la royauté de papier du narrateur et rétrocède la conduite du récit, la description du monde, aux acteurs. On ne peint pas la même chose selon qu’on l’envisage en pensée, dans le calme d’un atelier ouvrant au nord ou qu’on l’affronte in situ, dans la rue, par exemple, et qu’elle est, avec ça, universellement connue. De même que les conditions dans lesquelles on écrit – la paix, la délocalisation, la détemporalisation – affectent, si l’on n’y prend garde, la réalité, la vérité de ce qu’on décrit, de même la peinture se ressent-elle du contexte où elle se fait. On ne se confronte pas impunément aux buildings qui entourent Central Park ou à la Place de l’Europe, à Paris, ou, même, aux petites rues tortueuses, ombreuses, pluvieuses de Brive-la-Gaillarde, en Corrèze. L’artiste est engagé, par corps, dans l’espace qu’irradie l’objet et doit contrôler, avec ou malgré ça, la distance, la compétence qui éclaireront, feront s’épanouir, exister pleinement, les lieux que nous traversions sans véritablement les voir et qui, par suite, étaient peu, vaguement, presque pas. Nous sommes des êtres de besoin, assujettis au travail, amoindris, mutilés par sa division. La réalité excède, de toutes parts, la perception qu’on en a, l’idée qu’on s’en fait. Les artistes ont vocation à nous révéler ce que, par la force des choses, nous ignorons. Leurs œuvres, si elles valent, c’est pour nous renvoyer au monde, mais accru de ce que nous avions méconnu, oublié, enrichir notre présence aux choses, à la vie, à nous-mêmes, raviver notre joie.
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Les dimensions sont exprimées en centimètres, la hauteur en premier. Elles sont prises au coup de planche pour les gravures en taille-douce et les monotypes et aux limites extrêmes du sujet pour les gravures en taille d’épargne et les lithographies. Sauf mention contraire, les épreuves reproduites sont toujours du dernier état.
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Gravures
G 105
Judy Pillsbury 2002 Eau-forte sur cuivre 39,6 5 32,5 cm 10 épreuves et 5 épreuves d’artiste N.B. Il a été, en outre, tiré une épreuve d’un premier état.
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G 106
G 108
G 107
G 109
G 110
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Trouville, rue de Mannheim
G 111
2002 Vernis mou sur cuivre 10,9 5 12,2 cm 3 épreuves N.B. Il a été, en outre, tiré 2 épreuves d’un premier état.
Le dernier des grands chênes III 2003 Eau-forte, aquatinte et pointe sèche sur cuivre 1er état et 2e état : 30,6 5 21,7 cm, une épreuve de chaque état 3e état : 30,6 5 21,7 cm, 60 épreuves et 12 épreuves d’artiste en format d’estampe et 500 épreuves en carte de vœux, pliée, avec typographie, au format 27,8 5 21 cm N.B. Carte de vœux de la Galerie Paul Prouté, Paris, pour l’année 2004.
Brocoli I 2005 Vernis mou sur cuivre 13,8 5 14,6 cm 20 épreuves, 2 épreuves d’artiste en format d’estampe et environ 130 épreuves non numérotées N.B. Carte de vœux de l’Atelier René Tazé, Paris, pour l’année 2006.
Brocoli II 2005 Eau-forte et aquatinte sur cuivre 13,8 5 14,6 cm 5 épreuves d’essai, 20 épreuves en format d’estampe et environ 130 épreuves non numérotées N.B. Carte de vœux de l’Atelier René Tazé, Paris, pour l’année 2006.
Grenades 2005 Vernis mou et aquatinte sur cuivre 13,8 5 14,6 cm 20 épreuves en format d’estampe et environ 130 épreuves non numérotées N.B. Carte de vœux de l’Atelier René Tazé, Paris, pour l’année 2006.
Les noires roches 2007 Vernis mou sur cuivre 20,8 5 18,5 cm 2 épreuves d’essai.
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Marine
G 112
2007 Aquatinte sur cuivre 14,8 5 14,8 cm 60 épreuves N.B. Don de l’artiste à l’Association Malbodium Museum, Maubeuge, éditeur du portefeuille publié pour les deux lustres de son activité, avec une gravure de Devorah Boxer et une de Jan Peter Thorbecke.
Les poissons d’argent 1 2009 Vernis mou sur cuivre 39,5 5 29,5 cm Une épreuve.
Les poissons d’argent 2 2009 Eau-forte sur cuivre 39,5 5 29,3 cm 50 épreuves N.B. Il a été, en outre, tiré 4 épreuves des 4 premiers états. N.B. Gravure accompagnant les 50 exemplaires de tête pour les vingt ans des éditions du Promeneur, Paris.
G 113
G 114
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G 116
G 115
La Tréchandière 2010 Gravure au sucre sur cuivre 64,5 5 49,5 cm Quelques épreuves d’essai et 30 épreuves.
Les lianes 2010 Gravure au sucre sur cuivre 64,5 5 49,5 cm Quelques épreuves d’essai et 30 épreuves.
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G 117
G 118
1er état
Les poiriers dénudés 2010 Gravure au sucre sur cuivre 64,5 5 49,5 cm Quelques épreuves d’essai et 30 épreuves.
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Le potager, Saint-Vincent 2010 Gravure au sucre sur cuivre 64,5 5 49,5 cm Quelques épreuves d’essai et 30 épreuves.
Linogravures
LG 18
LG 19
Christilla. Anno aetatis suae LV 2002 Linogravure 1er état : 18,7 5 13 cm, une épreuve r2e état : 10,8 5 8,5 cm, impression en 2 couleurs, noir et gris mauve 12 épreuves d’essai, 70 épreuves et XXXV épreuves d’artiste N.B. Carte de vœux de Gilles Kraemer pour l’année 2003.
Le grand coquillage 2003 Linogravure imprimée en 2 couleurs, noir et gris 15,7 5 20,7 cm 1er état : 3 épreuves r2e état : 6 épreuves r3e état : 7 épreuves d’essai et 33 épreuves.
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LG 20 à LG 34
Le grand désert d’hommes 2006 Linogravures Texte de Michel Waldberg Édition Presses de Serendip 80 exemplaires et 15 suites. LG 20
LG 21
Masque - étui
Masque - chemise cartonnée
12,5
17,3
5
8 cm
5
23 cm
LG 24
LG 25
Masque - dernier cahier et achevé
Masque - emboîtage de la suite
d’imprimer de la suite 9,1 5 6,5 cm
17
18
5
26 cm
LG 22
LG 23
Masque - 4e de couverture
Masque - 1er cahier
9
8,2
5
6,5 cm
5
8,4 cm
LG 26
LG 27
Profil - 13e cahier 5
5
9 cm
Masque - non retenu 9,5
5
7,5 cm
19
LG 28
LG 29
LG 32
LG 30
LG 33
LG 31
Neige - cachet 5e cahier et au verso de la planche de la suite 2,4 5 2 cm Plage - cachet 10e cahier et au verso de la planche de la suite 2,5 5 1,5 cm
Âne - cachet dernier cahier et au verso de la table illustrée de la suite 2,5 5 3 cm
LG 34
Masque - cachet au recto ou au verso de toutes les planches de la suite 3,5 5 2,5 cm
Poissons - cachet au verso de la couverture du livre et au verso de la table illustrée de la suite 3,1 5 2 cm Poisson - cachet au verso de la couverture du livre 2,5 5 7,5 cm N.B. Trois autres cachets ont été utilisés pour ce livre et répertoriés dans le tome 1 du catalogue raisonné sous les numéros LG 15 (Grotesque), LG 16 (Les trompettes de la renommée) et LG 17 (Tête de satyre).
20
New York-Brooklyn Bridge 12,2 5 20,5 cm 15 épreuves pour les exemplaires de tête et quelques épreuves d’artiste.
LG 35 à LG 38
LG 35
LG 36
Mémoire des murs 2013 Linogravures Texte de Pierre Bergounioux Édition Presses de Serendip 95 exemplaires et 6 suites.
LG 38
LG 37
Scarabé - page 5 et dans la suite Diamètre 4,2 cm
Grecque inversée - achevé d’imprimer de la suite Diamètre 2,5 cm
Sanglier - page 35 6
5
8 cm
Profil - page 40 10,5
5
13,6 cm
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A1
Addenda au tome 1 1979-2001
A2
Bouteilles 1990 Aquatinte sur cuivre 29,5 5 24,7 cm Une épreuve.
A3
D’après Guardi 1992 Eau-forte sur marbre 14,2 5 30,6 cm Une épreuve.
La lagune d’après Guardi 1992 Eau-forte sur marbre 14,2 5 30,6 cm Une épreuve.
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A4
A5
Deux entonnoirs III Vers 1996 Eau-forte monotypée sur cuivre 11,8 5 15,9 cm Une épreuve.
Essai de technique 2000 Pointe sèche et roulette sur cuivre 13 5 14,2 cm Une épreuve.
A6
De la villa normande à la jetée 2001 Brunissoir sur cuivre grainé au carborundum 5 5 35,2 cm 2 épreuves.
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Lithographies
L 189
Portrait de Mathilde 2002 Lithographie 15,2 5 15 cm Une épreuve d’essai, 65 épreuves et XVI épreuves d’artiste N.B. Il a été, en outre, tiré 3 épreuves d’un premier état N.B. Les 65 épreuves insérées dans le portefeuille « Bonjour Picasso » édité par l’Association Malbodium Museum, Maubeuge, en 2002.
Émile 2002 Lithographie 15 5 13,5 cm 16 épreuves d’essai, 99 épreuves et XXV épreuves d’artiste N.B. Il a été, en outre, tiré 3 épreuves d’un premier état N.B. Don de l’artiste des 99 épreuves à l’Association Malbodium Museum, Maubeuge.
Bonjour Picasso 2002 Lithographie 15 5 15 cm Une épreuve d’essai, 65 épreuves et XVI épreuves d’artiste N.B. Il a été, en outre, tiré 3 épreuves d’un premier état N.B. Les 65 épreuves insérées dans le portefeuille « Bonjour Picasso » édité par l’Association Malbodium Museum, Maubeuge, en 2002.
Esther 2002 Lithographie 26 5 19,5 cm XI épreuves d’artiste.
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L 190
L 191
L 191 bis
25
L 192 à L 199
Folies d’Espagne 2003 Lithographie 43 5 60 cm 29 épreuves avec les 8 sujets sur un feuillet 25 épreuves non numérotées, coupées, dont les 8 sujets ont été édités séparément en cartes de vœux N.B. La couleur des papiers utilisés est très variée.
Madrid, Ventas L 192 20
5
20,7 cm
Madrid, Sanchez Preciado y Ofelia Nieto desde Francos Rodriguez L 193 17,3
5
14,1 cm
Madrid, Francos Rodriguez al reves L 194 13
5
19,8 cm
Au sud de Cuidad Real L 195 9
5
19,8 cm
L 194 L 192
Tarragone, le couvent du Haut L 196
L 193
19,3 L 195
5
28,2 cm
Sierra Nevada L 197 9,7
L 197
L 198
L 196
5
19,7 cm
Madrid, Plaza de España L 199 8
26
9 cm
Sierra Guadarrama L 198 8,7
L 199
5
5
28,3 cm
L 200
Reproduction couleur en 4e de couverture
New York II 2003 Lithographie 45,5 5 32,1 cm 1er état : quelques épreuves d’essai de couleur et 1 000 épreuves, impression en 2 couleurs, noir et bleu sur papier rouge brique, en couverture du catalogue d’exposition de monotypes de l’artiste à la Bouquinerie de l’Institut, Paris, mai-juin 2003 r2e état : 75 épreuves et XXV épreuves d’artiste en format d’estampe pour l’édition de tête de ce même catalogue.
27
L 201
Les Roches noires, Trouville 2003 Lithographie 44,9 5 40,7 cm 150 épreuves et XXXV épreuves d’artiste N.B. Édition « Société des Peintres-Graveurs Français », Paris.
28
L 202
Castello Aragonese, Brindisi 2004 Lithographie 25 5 52 cm 25 épreuves d’essai et VI épreuves d’artiste en format d’estampe, impression en 2 couleurs, noir et bleu sur papier vergé de différentes couleurs 700 épreuves en couverture du catalogue d’exposition de l’artiste à la Galerie Il Tempietto, Brindisi, avril-mai 2004, sur papier couleur cannelle.
29
L 203
Boulogne-Billancourt pas désespéré. Les toits de l’île Seguin 2004 Lithographie 47,3 5 39 cm 1er état : 15 épreuves r2e état : quelques épreuves d’essai et 20 épreuves.
30
L 204
Plage de Villerville 2004 Lithographie 37 5 62 cm Quelques épreuves d’essai et 70 épreuves.
31
L 205
Trouville-sur-Mer 2004 Lithographie 89 5 119 cm 30 ĂŠpreuves.
32
Trouville-sur-Mer. Contre Jim Dine 2004 Lithographie 92 5 119,5 cm 30 ĂŠpreuves.
33
L 208
Alcurza, botijo, vase et coings 2005 Lithographie 68,5 5 103 cm 50 ĂŠpreuves.
L 207
New York, Seventh Avenue (partie supérieure) East River… and West Side (prédelle) 2004 Lithographie 45,5 5 132 cm 3 épreuves d’essai, 75 épreuves et XII épreuves d’artiste.
34
L 209
Canal de l’Ourcq 2005 Lithographie 26,6 5 35,8 cm 13 épreuves d’essai non numérotées, 8 épreuves et tirage à nombre en démonstration.
35
L 210
Vue du café Hamming, Garnwerd 2006 Lithographie 43,5 5 36 cm Impression en 2 couleurs : 7 épreuves Impression en 3 couleurs : 3 épreuves d’artiste.
36
L 211 à L 231
Le grand désert d’hommes 2006 Lithographies Texte de Michel Waldberg Édition Presses de Serendip 80 exemplaires et 15 suites.
L 211
Lavis 38 5 76,5 cm Impression en violet pour l’intérieur de la couverture
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L 212
Masque 38
38
5
28,6 cm
L 213
Ourcq 38
5
57 cm
39
L 214
Magenta 38
40
5
57 cm
L 215
Porte 38
5
57 cm
41
L 216
Neige 38
42
5
57 cm
L 217
Place 38
5
57 cm
43
L 218
Pont 38
44
5
57 cm
L 219
Tour 38
5
57 cm
45
L 221
Masque 38
5
28,6 cm
L 220
Bureau de poste 38
46
5
104 cm
L 222
Plage 38
5
57 cm
47
L 223
Silo 38
48
5
57 cm
L 224
Portail 38
5
57 cm
49
L 225
Masque 38
50
5
28,6 cm
L 226
Profil 38
5
57 cm
51
L 227
Carrefour 38
52
5
57 cm
L 228
East River 38
5
57 cm
53
L 229
Masque 38
54
5
28,6 cm
L 230
Table 34
5
38,5 cm
L 231
Drapeau - dans le livre et la suite 5
5
16,3 cm
55
L 232 à L 237 Planches non retenues pour « Le grand désert d’hommes », tirées à quelques épreuves
L 232
L 233
L 234
Opéra, Paris Diamètre 11 cm
Avenida Reina Victoria, Madrid Diamètre 12 cm
L’angle de la rue de Rome. Parking des Batignolles 17,8
56
5
28 cm
L 235
L 236
L 237
Vue du XVIe arrondissement 38
5
29 cm
Vue de chez Claire Brétecher 34
5
29 cm
Trouée des chemins de fer de l’Ouest 26
5
19,5 cm
57
L 238
Brume 2007 Lithographie, impression en 4 couleurs sur vélin noir 19 5 30 cm 50 épreuves et 14 épreuves d’artiste non numérotées.
L 239
La Sablonnière 2007 Lithographie, impression en 4 couleurs sur vélin noir 19 5 30 cm 50 épreuves et 9 épreuves d’artiste non numérotées.
Plage de Trouville-sur-Mer 2007 Lithographie, impression en 4 couleurs sur vélin noir 6,6 5 30 cm 50 épreuves et 30 épreuves d’artiste non numérotées N.B. De nombreuses épreuves de L 238, L 239 et L 240 ont été datées 2008 par erreur.
L 240
58
L 241
L 242
San Eolia 2008 Lithographie 24,5 5 30 cm 6 épreuves d’essai.
Il Colosseo, Rome 2008 Lithographie 20,5 5 27,5 cm 1er état : une épreuve avant la pierre cassée r2e état : 2 épreuves après la cassure.
59
L 243
L 244
Central Park, brume 2008 Lithographie 49,4 5 70,3 cm 75 épreuves N.B. Il a été, en outre, tiré 2 épreuves d’un premier état.
Lavis sur Central Park 2008 Lithographie 28,5 5 42,5 cm 3 épreuves d’essai non numérotées.
60
L 245
Épreuve rehaussée
Central Park, soir 2008 Lithographie, impression en 6 couleurs sur japon vergé noir 33,5 5 52,5 cm 22 épreuves avec les deux bleus seuls 5 épreuves avec les deux bleus et le blanc 10 épreuves sans le blanc et sans le noir (l’épreuve 1/10 avec le noir) 75 épreuves et 10 épreuves d’artiste avec les 6 couleurs N.B. Il a été, en outre, tiré 5 suites de 6 épreuves, soit 30 épreuves en montée chromatique.
Montée chromatique pages suivantes
61
1
2
3
62
4
5
6
63
L 246
Trouville Palace 2008 Lithographie, impression en 8 couleurs sur vélin rouge brique 20,8 5 23,3 cm 99 épreuves et 23 épreuves d’artiste N.B. Il a été, en outre, tiré 7 suites de 8 épreuves, soit 56 épreuves en montée chromatique. N.B. Don de l’artiste des 99 épreuves à l’Association Malbodium Museum, Maubeuge.
1
2
3
64
4
7
5
8
6
Épreuve rehaussée.
65
L 248
La pénultième 2009 Lithographie 88,5 5 44 cm 2 épreuves.
L 247
Harlem 2009 Lithographie 45,5 5 132 cm Quelques épreuves d’essai et 50 épreuves.
66
L 249
L 250
1er état L 251
D’après le Murillo de Genova 2010 Lithographie 20 5 14 cm 30 épreuves environ N.B. Carte de vœux de l’Atelier « À Fleur de Pierre », Paris, pour l’année 2011.
1er état L 252
Notre-Dame 2011 Lithographie 19 5 25 cm 30 épreuves et V épreuves d’artiste N.B. Il a été, en outre, tiré 6 épreuves d’un premier état et 44 épreuves sur papier rouge qui seront rehaussées.
Depuis chez Matisse et Marquet 2011 Lithographie 19 5 24,7 cm 30 épreuves et V épreuves d’artiste N.B. Il a été, en outre, tiré 6 épreuves d’un premier état et 44 épreuves sur papier rouge qui seront rehaussées.
1er état L 253
La Conciergerie 2011 Lithographie 19,5 5 24,8 cm 30 épreuves et V épreuves d’artiste N.B. Il a été, en outre, tiré 6 épreuves d’un premier état et 44 épreuves sur papier rouge qui seront rehaussées.
Gare des Batignolles 2011 Lithographie 19 5 24,7 cm 30 épreuves et V épreuves d’artiste N.B. Il a été, en outre, tiré 6 épreuves d’un premier état et 44 épreuves sur papier rouge qui seront rehaussées. 1er état 67
L 255
Blanca I 2011 Lithographie 59 5 45 cm 40 épreuves Édition « Revue Révolutionnaire de Lithographie », Paris.
L 254
Le Colisée, Rome 2011 Lithographie 45 5 131,5 cm 50 épreuves.
68
L 256
Blanca II 2012 Lithographie 60 5 47,5 cm 120 épreuves et XV épreuves d’artiste Édition « Société des Peintres-Graveurs Français », Paris.
69
L 257 à L 270
Mémoire des murs 2013 Lithographies Texte de Pierre Bergounioux Édition Presses de Serendip 95 exemplaires et 6 suites. L 257
Étui du livre, signet et emboîtage de la suite Impression en 5 couleurs 37 5 59 cm L 258
Chemise cartonnée du livre et chemise souple de la suite Impression en 3 couleurs 32 5 49,5 cm
70
L 259
Recto de la couverture du livre Impression en 2 couleurs 40,5 5 65 cm L 260
Verso de la couverture du livre Impression en brun 40,5 5 65 cm
71
L 261
Entre les pages 6 et 7 Impression en 2 couleurs 26 5 38 cm
L 262
Entre les pages 10 et 11 Impression en 2 couleurs 26 5 38 cm
72
L 263
26
Page 13 19 cm
5
L 264
Entre les pages 16 et 17 Impression en 2 couleurs 26 5 38 cm
73
L 265
Page 19 Impression en brun 26 5 16,3 cm
L 266
Entre les pages 22 et 23 Impression en 2 couleurs 26 5 38 cm
74
L 267
L 268
Page 25 26 5 19 cm
26
Page 29 19 cm
5
L 269
L 270
Page 37 Impression en brun 11 5 8,7 cm
Page 33 26 5 19 cm
75
L 271
L 272
76
L 273
New York, vue de chez W.L.D. 2014 Lithographie 19 5 47,3 cm Quelques épreuves d’essai et 73 épreuves.
New York, Manhattan, vue de East River 2014 Lithographie 29 5 32,6 cm Quelques épreuves d’essai.
Moulins de Pantin 2014 Lithographie, impression en 3 couleurs sur papier préparé 41,5 5 58 cm 4 épreuves d’essai et 26 épreuves N.B. Il a été, en outre, tiré V épreuves d’artiste avec le bleu seul sur japon vergé noir.
77
L 274
Castres, cathédrale Saint-Benoît de Castres 2014 Lithographie 89 5 119 cm 15 épreuves.
78
L 275
Rome, Château Saint-Ange 2014 Lithographie, impression en 2 tons de brun 15 5 19 cm 60 épreuves et XXV épreuves d’artiste N.B. Don de l’artiste pour les exemplaires de tête du présent catalogue.
L 276
New York, Flat Iron 2014 Lithographie, impression en 2 tons de brun 15 5 19 cm 60 épreuves et XXV épreuves d’artiste N.B. Don de l’artiste pour les exemplaires de tête du présent catalogue.
79
26 monotypes pour les exemplaires de tête de ce catalogue Gennevilliers, à la traîne de (Georges) Seurat, 2014 15
80
5
20 cm
Madrid, vue de mon h么tel, 2014 20
5
15 cm
81
Le chêne du Friche, 2014
Le Friche Saint-Vincent, 2014
22,5
22,5
5
20 cm
Le Friche, peupliers d’Italie, 2014 22,5
82
5
20,5 cm
5
20 cm
Rome, en regardant vers les Thermes, 2014 15
5
20 cm
New York, vue de chez W.L.D., 2014 15
5
20 cm
83
Mondeville, 2010
Madrid, Biblioteca de las Escuelas Pias, 2014
21,2
15
5
26 cm
5
20 cm
Au nord de Brive, 2014
Brive, vers la carrière sub-lithographique, 2014
19,8
21,5
84
5
23 cm
5
30,7 cm
Rome, au-dessus du Cirque, 2014
Rome, le Forum vu depuis le Capitole, 2014
15
15
5
20 cm
5
20 cm
La Marie-Madeleine de Limeray, 2014 18,5
5
14,5 cm
85
Index
Alcurza, botijo, vase et coings, L 208......................................... 33 bis Angle de la rue de Rome (L’). Parking des Batignolles, L 234................... 56 Au nord de Brive ............................. 84 Au sud de Cuidad Real, L 195.......... 26 Avenida Reina Victoria, Madrid, L233 56 Blanca I, L 255 ............................. 67 bis Blanca II, L 256 ................................. 69 Bonjour Picasso, L 191 ..................... 25 Boulogne-Billancourt pas désespéré. Les toits de l’île Seguin, L 203...... 30 Bouteilles, A 1 ................................... 22 Brive, vers la carrière sub-lithographique........................................... 84 Brocoli I, G 108................................. 12 Brocoli II, G 109 ............................... 12 Brume, L 238 ..................................... 58 Bureau de poste, L 220..................... 46 Canal de l’Ourcq, L 209.................... 35 Carrefour, L 227................................. 52 Castello Aragonese, Brindisi, L 202.. 29 Castres, cathédrale Saint-Benoît de Castres, L 274................................. 78 Central Park, brume, L 243............... 60 Central Park, soir, L 245 .............. 61-63 Chêne du Friche (Le) ....................... 82 Christilla. Anno aetatis suae LV, LG18 17 Colisée, Rome (Le)........................... 68 Colosseo, Rome (Il), L 242 ............... 59 Conciergerie (La), L 252 ................... 67 D’après Guardi, A 2.......................... D’après le Murillo de Genova, L 249 De la villa normande à la jetée, A 6 Depuis chez Matisse et Marquet, L 251 .............................................. Dernier des grands chênes III (Le), G 107 ............................................. Deux entonnoirs III, A 4 .................. Drapeau, L 231..................................
22 67 23
East River, L 228................................ East River… and West Side, L 207 ... Émile, L 190....................................... Essai de technique, A 5 .................... Esther, L 191 bis.................................
53 34 24 23 25
Folies d’Espagne, L 192 à L 199........ Friche Saint-Vincent (Le) ................. Friche, peupliers d’Italie (Le ) .........
26 82 82
86
67 12 23 55
Gare des Batignolles, L 253.............. 67 Gennevilliers, à la traîne de (Georges) Seurat ............................................ 80 Grand coquillage (Le), LG 19........... 17 Grand désert d’hommes (Le), L 211 à L 231 .............................................. 37 Grand désert d’hommes (Le), LG20 à LG 34........................................ 18-20 Grenades, G 110 ............................... 12 Harlem, L 247....................................
66
Judy Pillsbury, G 105........................
11
Lagune d’après Guardi (La), A 3...... Lavis, L 211........................................ Lavis sur Central Park, L 244 ............ Lianes (Les), G 116 ...........................
22 37 60 15
Madrid, Biblioteca de las Escuelas Pias................................................ 84 Madrid, Francos Rodriguez al reves, L 194 .............................................. 26 Madrid, Plaza de España, L 199 ....... 26 Madrid, Sanchez Preciado y Ofelia Nieto desde Francos Rodriguez, L 193 .............................................. 26 Madrid, Ventas, L 192 ....................... 26 Madrid, vue de mon hôtel ............... 81 Magenta, L 214 .................................. 40 Marie-Madeleine de Limeray (La).... 85 Marine, G 112.................................... 14 Masque, L 212 ................................... 38 Masque, L 221.............................. 45 bis Masque, L 225 ................................... 50 Masque, L 229 ................................... 54 Mémoire des murs, LG 35 à LG 38... 21 Mémoire des murs, L 257 à L 270 70-75 Mondeville ........................................ 84 Moulins de Pantin, L 273 .................. 77 Neige, L 216 ...................................... New York II, L 200............................ New York-Brooklyn Bridge, LG 34.. New York, Flat Iron, L 276 ............... New York, Manhattan, vue de East River, L 272 .................................... New York, Seventh Avenue, L 207 .. New York, vue de chez W.L.D., L271 New York, vue de chez W.L.D. ....... Noires roches (Les), G 111............... Notre-Dame, L 250............................
42 27 20 79 76 34 76 83 13 67
Opéra, Paris, L 232............................ Ourcq, L 213......................................
56 39
Pénultième (La), L 248...................... 65 bis Place, L 217 ....................................... 43 Plage, L 222 ....................................... 47 Plage de Trouville-sur-Mer, L 240 .... 58 Plage de Villerville, L 204 ................. 31 Poiriers dénudés (Les), G 117 .......... 16 Poissons d’argent 1 (Les), G 113...... 14 Poissons d’argent 2 (Les), G 114...... 14 Pont, L 218 ........................................ 44 Portail, L 224 ..................................... 49 Porte, L 215 ....................................... 41 Portrait de Mathilde, L 189 ............... 24 Potager, Saint-Vincent (Le), G 118 ... 16 Profil, L 226 ....................................... 51 Roches noires, Trouville (Les), L 201 Rome, au-dessus du Cirque............. Rome, Château Saint-Ange, L 275 .... Rome, en regardant vers les Thermes ........................................ Rome, le Forum vu depuis le Capitole.........................................
28 85 79
Sablonnière (La), L 239..................... San Eolia, L 241................................. Sierra Guadarrama, L 198 ................. Sierra Nevada, L 197 ......................... Silo, L 223 ..........................................
58 59 26 26 48
83 85
Table, L 230....................................... 55 Tarragone, le couvent du Haut, L196 26 Tour, L 219 ........................................ 45 Tréchandière (La), G 115.................. 15 Trouée des chemins de fer de l’Ouest, L 237 ................................ 57 Trouville Palace, L 246 ................ 64-65 Trouville-sur-Mer, L 205.................... 32 Trouville-sur-Mer. Contre Jim Dine, L 206 .............................................. 33 Trouville, rue de Mannheim, G 106. 12 Vue de chez Claire Brétecher, L 236 Vue du café Hamming, Garnwerd, L 210 .............................................. Vue du XVIe arrondissement, L 235.
57 36 57
Expositions depuis 2001*
Jean-Baptiste Sécheret Né le 15 octobre 1957 à Neuilly-sur-Seine Vit et travaille à Paris Sociétaire des Peintres-Graveurs Français
2002 Maison d’Anaïs Nin, Louveciennes, « Paysages d’aujourd’hui. Exposition collective. 2003 Galerie de la Bouquinerie de l’Institut, Paris. Monotypes. Catalogue. Galerie Jacques Elbaz, Paris. Fusains - « Série Valabrègne ». Catalogue. Texte de Michel Waldberg. 2004 Galerie Il Tempietto, Brindisi. Monotypes, estampes. Catalogue. Texte de James Lord. Galerie Jacques Elbaz, Paris. Exposition collective. 2006 Galerie Jacques Elbaz, Paris, « Le grand désert d’hommes ». 2007 Villa Montebello, Trouville-sur-Mer. Peintures, dessins, estampes. Catalogue. Espace Culturel des Dominicaines, Pont-l’Évêque, « Paysages ». Exposition collective. 2008 Galerie Jacques Elbaz, Paris. Peintures. 2009 Galerie Jacques Elbaz, Paris, « New York ». Pastels, peintures. 2013 Galerie Jacques Elbaz, Paris, « Mémoire des murs ». Exposition itinérante Florence, Fabriano, Venise, 3e prix de gravure Leonardo Sciascia. Académie des Beaux-Arts, Paris. Lauréat du prix de gravure Mario Avati, estampes, dessins, monotypes. Galerie Jacques Elbaz, Paris, « Peintures 1986-1994. Entonnoirs ». Porte de Mons, Maubeuge. Estampes, monotypes. Parution du tome 2 du catalogue raisonné de l’œuvre gravé et lithographié. Texte de Pierre Bergounioux. 2014-15 Exposition itinérante. Musée Louis Senlecq, L’Isle-Adam et Musée Goya, Castres, « Paysages ». Catalogue. Texte d’Alain Madeleine-Perdrillat.
* Voir catalogue raisonné tome 1 pour la période 1979-2001.
87
Ce catalogue a été tiré à cinq cent cinquante exemplaires. L’édition de tête accompagnée des deux lithographies originales L 275 et L 276 se répartit comme suit : 26 exemplaires numérotés de 1 à 26 avec un monotype et les deux lithographies, 34 exemplaires numérotés de 27 à 60 avec les deux lithographies, XXV exemplaires numérotés de I à XXV avec les deux lithographies, réservés à l’artiste et aux collaborateurs.
Exemplaire n°
Achevé d’imprimer le 30 septembre 2014 par y Triangle Bleu 59600 Maubeuge – Dépôt légal : 3e trimestre 2014