Joggermag.fr by Jérémy RUIZ

Photographe couverture « Gaël Faride » : Jean jacques Negri, sapeur pompier (70)…

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Jérémy Ruiz, 23 ans Président de L’AmsEvenos depuis 2006, ancien coureur Equipe de France

Photographe couverture : Gaël Faride

JOGGER MAGAZINE ET ASSOCIATION MULTISPORTS EVENOS Siège Social : 110 chemin de la colle 83330 EVENOS Téléphones : 04-94-90-35-94 ou 06-11-60-07-40 CONTACT Email : jeremyruiz@joggermag.fr

Directeur de publication et Président : Jérémy Ruiz Rédacteur en chef et Trésorier général : Clément Sintes Directrice de la publicité et communication : Christelle Macannuco

Les éditions se succèdent et c’est toujours avec plaisir que je représente l’équipe de rédaction joggermag.fr. La qualité d’information et sa diversité passe par une augmentation des effectifs mais aussi grâce à la motivation et l’engagement volontaire de la quarantaine de journalistes que compte la rédaction. Après une période olympique, et de grandes vacances pour les sportifs de haut niveau, nous allons débuter les activités d’automne que sont les cross, les cyclocross, les trails... Les sports pleins air vont être à l’honneur pour les mois à venir. Malheureusement la météo cette année va rappeler à tous les athlètes de prendre les précautions vestimentaires adéquates pour ne pas risquer d’attraper le rhume ou la grippe qui s’annonce encore virulente cette année.

Responsable sponsors et partenaires : Cédric Soria

Consultants sportifs : Morgan Ballager, Emilie Domingues, Sophie Scanaruza, Emilie Bruard, Michel Spada, Christian Bailly… Sections Tests et Médical : Christophe Lefranc, Emmanuel Legrand, Thierry Demons, Jérémy Migneret, Jennifer Berthiaux, Anne Sophie Collet, Yvan Debien… Journalistes : Naëlle Berthiaux, Quentin Auberger, Jacky Thaveaux, Miguel Tirbois, Franck Salgues, Guillaume Calais, Bruno Bordier, E.P Marchand, Lionel Perret, Sophie Moreau, Béatrice Glinche…

Contribution pour ce numéro : Merci à Clarence, Gael Faride, Jean Jacques Negri, Christelle Macannuco, Michel, Pierre…

Cinq marcheurs russes ont été suspendus pour deux ans, après avoir été contrôlés positifs à l’EPO. Vladimir Kanaikin, Alexel Voevodin et Viktor Burayed, avaient subi un test hors compétition le 20 avril dernier, alors qu’ Igor Yerokhin et Sergei Morozov avaient été contrôlé le 29 juillet, toujours en dehors d’une épreuve. Les cinq hommes sont entrainés par le même homme, Viktor Chegin. Pour l’instant seul Kanaikin a annoncé qu’il allait contester sa suspension.

L’UTMB 2008, a vu la victoire d’un espagnol qui n’a pas démérité devant un Dawa Sherpa relégué à plus d’une heure. Une course médiatisée mais aussi aimée du grand public par ses paysages alpins somptueux, la distance qui pousse l’effort sur deux jours. Samuel Bonaudo en aura fait les frais, obligé de dormir il ne sera plus dans la gagne et décidera d’abandonner. Cela n’enlève en rien la qualité de l’athlète, mais rappelle le courage et la détermination des milliers d’arrivants de toutes nationalités. Je vous souhaite à tous une bonne lecture, un bon début de saison en espérant que chacun a trouvé le club ou le groupe d’entrainement pour préparer la saison de cross. Coté dopage, l’optimisme est de rigueur car la politique actuelle des fédérations françaises, donne un avertissement sévère à tous ceux qui seraient tentés de tricher pour des performances éphémères.

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15 Ă 17 - Haile souverain du marathon

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2h03m59s : Nouveau Record du monde Mizunoâ&#x20AC;Ś

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Actualite : Les dernieres infos…

28 septembre 2008, Une course qui a vu la victoire d’un Haile Gebreselassie voulait offrir à Berlin son septième record du monde, et l'Ethiopien y est parvenu puisqu'il s'est imposé dans la capitale allemande dans un temps de 2h03'59", devenant ainsi le premier coureur à parcourir les mythiques 42,195 km en moins de 2h04'. Gebreselassie détenait déjà ce record, obtenu l'an dernier à Berlin également, en 2h04'26". «Je suis si, si content. Tout a été parfait aujourd'hui, la météo était parfaite, le public était parfait ! Je suis si content !». L'Ethiopien de 35 ans ne cachait pas sa joie après l'arrivée sous la Porte de Brandebourg. «Il y a deux semaines, j'ai eu un petit problème au mollet et j'avais quelques doutes en venant ici mais j'ai pris une semaine de repos et le problème semble être réglé». Le double champion olympique du 10000 m, qui s'est imposé pour la troisième fois consécutive en Allemagne, a devancé les Kényans James Kwambai (2h05'36") et Charles Kamathi (2h07'48").

L'Ethiopien, qui a gagné six des neuf marathons qu'il a disputés dans sa carrière, espère maintenant pouvoir atteindre la marque de 2h03'30", mais avoue en plaisantant que « son plus gros adversaire, c'est son âge». A 35 ans, s'il a déjà indiqué qu'il souhaitait entamer une carrière politique dans son pays, le marathonien refuse pour le moment de parler de retraite. «Celui qui donne la date de son retrait s'est déjà retiré dans son coeur», a-t-il précisé. Chez les femmes, la victoire est revenue à l'Allemande Irina Mikitenko qui a couru en 2h19'19'', devant l'Ethiopienne Askale Tafa Magarsa (2h21'31'') et la Kényane Helena Kirop (2h25'01''). (Avec AFP)

Hommes : 1. Haile Gebreselassie (ETH) 2h03'59'' 2. James Kwambai (KEN) 2h05'36'' 3. Charles Kamathi (KEN) 2h07'48'' 4. Mariko Kipchumba KEN) 2h09'03'' 5. Mesfin Ademasu (ETH) 2h12'02'' 6. Joseph Ngolepus (KEN) 2h12'07'' 7. Kenjiro Jitsui (JAP) 2h12'48'' 8. Toshinari Suwa (JAP) 2h13'04'' 9. Falk Cierpinski (ALL) 2h13'30'' 10. Francis Kiprop (KEN) 2h14'30''

Femmes : 1. Irina Mikitenko (ALL) 2h19'19'' 2. Askale Tafa Magarsa (ETH) 2h21'31'' 3. Helena Kirop (KEN) 2h25'01'' 4. Rose Cheruiyot (KEN) 2h26'25'' 5. Gulnara Vigovskaya (RUS) 2h30'03''

Actualite : Les dernieres infos… Tenante du titre et détentrice du record du monde de la spécialité, Paula Radcliffe sera bien au départ de la prochaine édition du marathon de New York, le 2 novembre prochain. La Britannique, qui avait dû se contenter d'une décevante 23e place aux JO de Pékin à cause d'une blessure au fémur, a avoué qu'elle avait une relation particulière avec la course américaine: «J'ai vraiment hâte de retourner au marathon de New York. New York a toujours été une course à part pour moi et ce sentiment se renforce à chaque participation». Radcliffe s'est imposée deux fois à New York, en 2004 et en 2007, dix mois après avoir donné naissance à sa fille. Les tenants du titre sont parvenus à conserver leur bien, dimanche 28 septembre, sur les 16km du Paris Versailles. Les Kényans Jospeh Maregu et Myriam Wangari ont en effet décroché la victoire en respectivement 46'45 et 55'56. Maregu s'est imposé en solitaire et est passé à 7'' de battre le record de l'épreuve, établi par lui l'an passé.

HOMMES 1. Joseph Maregu (KEN) 46'45'' 2. Dieudonné Didi (RWA) 47'16'' 3. Abdelatif Meftah (FRA) 48'27'' 4. James Theury (KEN) 48'33'' 5. Mourad Maaroufit (MAR) 49'05'' FEMMES 1. Myriam Wangari (KEN) 55'56'' 2. Agnès Barbosio (KEN) 56'38'' 3. Yamna Oubouhou (FRA) 56'50'' 4. Hafida Gadi-Richard (FRA) 57'19'' 5. Patricia Lossouarn (FRA) 1h00'50''

Les Bleus ont brillé samedi à Lorient lors de la Coupe du monde de triathlon (distance olympique) puisque Cédric Fleureton s'est imposé devant son compatriote Tony Moulai. Ce sont les Tricolores, Aurélien Raphaël et Frédéric Belaubre qui sont sortis de l'eau les premiers. Cinq Français ont ensuite pris les commandes de la course au 30e kilomètre de la partie à vélo: Fleureton, Sudrie, Moulai, Vidal et Belaubre.

Classement Elite hommes : 1. Cédric Fleureton (FRA) 1h49'53" 2. Tony Moulai (FRA) à 1'08" 3. Ivan Rana (ESP) 1'17" 4. Steffen Justus (ALL) 1'25" 5. Laurent Vidal (FRA) 1'31"

Fleureton a alors fait la différence dans la partie course à pied. Il a rapidement pris quarante secondes d'avance sur le groupe de tête, et puis deux minutes sur le peloton pour finalement l'emporter devant son compatriote Tony Moulai. L'Espagnol Ivan Rana a pris la troisième place.

Actualite : Les dernieres infos… La saison 2008 du Trophée National des Raids Multisports touche à sa fin. Suite à la dernière étape du TNRMS qui s'est disputée avec le Raid des Chaussées, la première équipe masculine du trophée, CHANTONNAY RAID PREAUD n'a pas réussi à creuser un écart significatif sur ARVERNE OUTDOOR, les deuxièmes masculins. Mais il ne faut pas oublier ESPRIT RAID/ADS, troisième équipe masculine, qui est en embuscade et qui pourrait revenir grâce aux points qui comptent double sur la finale. Cette finale s'annonce donc indécise et promet une belle bataille jusqu'au bout. Photos : Team « Esprit Raids » et Team « Raid’Earth » Le TNRMS, comment y participer ? Le Trophée National des Raids Multisports est organisé par la Fédération Française de Course d'Orientation, pour y marquer des points, il suffit d'être licencié à la FFCO (licence raid ou licence compétition). Comment constituer les équipes ? Une équipe doit courir toute la saison sous le même nom, vous avez droit à 7 équipiers différents qui peuvent tourner pendant l'année. Néanmoins, un équipier ne peut pas faire partie de deux équipes différentes.

Principal partenaire du meeting Golden League de Paris-Saint-Denis depuis dix ans, Gaz de France a décidé de ne pas renouveler le contrat le liant à la réunion dyonisienne. Ce retrait s'explique par un changement de stratégie de l'entreprise, qui a fusionné avec Suez en juillet dernier. «Ils nous ont expliqué que l'événementiel athlé ne faisait plus partie de leurs orientations, précise l'organisateur de l'événement, Gérard Rousselle. GDF garde un pied dans notre sport, mais uniquement via le partenariat avec les athlètes (dix-huit en tout dont plusieurs de premier plan, dont Ladji Doucouré ou Mehdi Baala..» La décision de GDF, qui apportait un million sur les 2,5 du budget total, met en danger l'existence du meeting.

TNRMS, des épreuves de qualité ? Pour intégrer le TNRMS, les organisateurs des différentes manches ont dû respecter un cahier des charges. Ceci est garant de raids biens organisés avec notamment des circuits d'orientation de qualité préparés avec les clubs de course d'orientation locaux. Comment sont faits les classements ? Le TNRMS possède 3 classements : scratch, équipes mixtes et équipes féminines La saison se déroule en 2 phases :

«On va rameuter toutes les parties, le Stade de France, les collectivités territoriales, la Fédération et même GDF pour trouver une solution» explique Xavier Bersot, directeur général délégué de l'événement. En attendant d'aller défendre les dates de la plus grande réunion d'athlé en France devant les instances internationales, il s'agit de partir à la recherche de nouveaux partenaires financiers. «On a encore le temps, mais pas beaucoup» reconnaît Rousselle avant de conclure : «(Avec GDF) On a quand même rempli le Stade de France (72 000 spectateurs en 2005 ndlr) et aidé l'athlétisme français. On a vécu dix belles années, on se sépare en bons termes, ça arrive.»

1er : ESPRIT RAID O'FEMININ 1007,89 pts (1ere équipe féminine) 2e: CHANTONNAY RAID PREAUD 966,57 pts 3e: ARVERNE OUTDOOR 913,73 pts 4e : LET'S GO78-SQY DEFI NATURE 800,09pts (1ere équipe mixte) 5e: ESPRIT RAID/ADS 779,31pts

Première phase : 13 manches sur lesquelles ne sont retenus que les 4 meilleurs résultats. Deuxième phase : la finale, sur laquelle les points comptent double et ceux-ci se rajoutent aux points des 4 meilleures résultats de la première manche. La dernière étape du TNRMS 2008 : 14 Finale du TNRMS: Raid Jura 4 Pattes (39) - équipe de 4 - vendredi au dimanche 17 au 19 octobre -

Actualite : SUR LE FRONT DU DOPAGE…

ALINGHI (Voile) : UN EQUIPIER SUSPENDU 2 ANS… Simon Daubney, équipier du bateau suisse Alinghi vainqueur de la dernière Coupe de l'America, a été suspendu pour deux ans par le Tribunal arbitral du sport (TAS). Le Néo-Zélandais a été convaincu d'usage de cocaïne. Le résultat de l'épreuve n'a toutefois pas été affecté par cette sanction. Daubney est suspendu à compter du 14 juillet 2009. Il avait été contrôlé positif lors d'une régate le 23 juin 2007 au début de la Coupe de l'America.

Au départ, le skipper n'avait pas été sanctionné. L'Agence mondiale antidopage (AMA), qui contestait la non-sanction de Daubney, avait à cet effet déposé un appel. En septembre 2007, le jury de la Coupe de l'America s'était saisi de l'affaire mais il estimait que l'athlète n'avait pas commis de faute ou de négligence, décision confirmée par le Comité olympique suisse. Le TAS en a donc décidé autrement et estime que le jury de l'épreuve n'a pas adopté les règlements antidopage compatibles avec le Code mondial.

LA russie : Cinqs marcheurs en suspension…

Cinq marcheurs russes ont été suspendus pour deux ans, après avoir été contrôlés positifs à l'EPO. Vladimir Kanaikin, Alexei Voevodin et Viktor Burayev avaient subi un test hors compétition le 20 avril dernier, alors que Igor Yerokhin et Sergei Morozov avaient été contrôlé le 29 juillet, toujours en dehors d'une épreuve. Les cinq hommes sont entraînés par le même homme, Viktor Chegin. Pour l'instant, seul Kanaikin a annoncé qu'il allait contester sa suspension. «Ils ont tous été contrôlés à l'EPO et, après l'audience du 9 septembre organisée par la commission antidopage de notre fédération, il a été décidé que chacun d'eux sera banni pour deux ans», a déclaré à l'agence All Sport News, le secrétaire général de la fédération russe Vladimir Usachyov…

Le Comité exécutif de l'Agence mondiale antidopage (AMA) a adopté samedi la liste des substances et méthodes interdites pour la prochaine année. Il a également validé un texte, jugé controversé, sur la protection de la vie privée des athlètes. Le 1er janvier prochain, deux types de produits dopants seront distingués : les méthodes interdites (transfusions) et les produits dits lourds (hormones, stéroïdes et certains types de stimulants) d'une part, et tous les autres recours à un usage dopant, d'autrepart. Pour l'AMA, cette distinction aidera à une plus grande flexibilité dans les sanctions prévues dans le Code mondial antidopage effectif au début de l'année prochaine. Une première infraction n'entraînera pas systématiquement une suspension de deux ans. Elle pourra être portée à quatre années si l'athlète concerné est impliqué dans un programme de

dopage organisé, s'il est coupable d'obstruction « visant à éviter la découverte d'une violation des règles antidopage » ou s'il est un récidiviste. Inversement, s'il est reconnu que l'athlète n'a pas utilisé une substance pour améliorer ses performances sportives, il s'en tirera avec un blâme. Par ailleurs, l'Agence mondiale antidopage a aussi approuvé le nouveau « Standard international pour la protection des renseignements personnels » qui comprendra des données à caractère politique, religieux, syndical ou sexuel. Les détracteurs à ce texte l'ont qualifié d'« Edvige » antidopage, en référence au projet de fichier controversé en France. John Fahey, le président de l'AMA, a fait savoir que « des consultations très approfondies » vont se poursuivre avec les représentants européens jusqu'au 22 novembre prochain, date du nouveau comité exécutif de l'AMA. Ces derniers sont opposés à cette collecte d'informations personnelles non sportifs.

Actualite : sport dans les ecoles primaires…

L’éducation physique et sportive, discipline d’enseignement doit permettre à l’élève : - de s’approprier les habiletés caractéristiques de la motricité de l’enfant (courir, sauter, nager....) - d’adapter ses efforts suivant la nature des actions motrices effectuées. - d’acquérir des règles de l’action motrice individuelle et collective

comment leur donner du plaisir a l’effort ?

Certains enfants grignotent toute la journée, mais la plupart le font surtout au retour de l'école. En l'absence de surveillance parentale, le goûter peut se transformer en un long grignotage (bonbon, chocolat, sodas) jusqu'au dîner : si l'enfant n'a pas d'activité sportive et si de plus il est «touché» par le virus des jeux vidéos, cet apport d'énergie risque d'être excédentaire. Un moyen d'y remédier : faire du goûter un vrai "petit» repas avec, de préférence, un laitage et un produit céréalier, accompagnés d'un fruit ou d'un jus de fruit. Un autre moment où l'enfant peut se mettre à grignoter est le milieu de matinée, surtout s'il n'a pas pris de petit déjeuner : le manque de réserves va l'obliger à se nourrir avec ce qu'il trouve. Petit déjeuner et goûter bien organisés sont donc plutôt de bons moyens de limiter le grignotage.

La question, avec les primaires, reste toujours posée. A savoir ; comment leur donner du plaisir à l’effort dans la pratique sportive sans que ce soit une contrainte ? Quels ingrédients faut-il réunir pour préparer la meilleure recette d’approche de l’éducation physique et sportive ? Comment leur faire comprendre qu’il faut une tenue adaptée ? Comment leur faire ressentir le cœur s’accélérer puis revenir au rythme initial ? Comment les inciter à aller chaque fois un petit peu plus loin ? Comment les inviter à découvrir l’espace de leur environnement ? Comment générer une certaine solidarité ?... J’affectionne particulièrement cette activité que j’appelle le « 10 à 1 » (alors que nous marchons ensemble, dès que je décompte à partir de 10, les enfants vont se cacher. A zéro, tous ceux qui sont en vue sont éliminés. Rappel de tous puis nous recommençons en partant de 9 et ainsi de suite jusqu’à 1 ou bien jusqu’à ce qu'il y ait un unique vainqueur).

C’est une activité qui demande une pleine participation de chacun. Et chacun s’y prête volontiers puisque cela ressemble à un jeu. C’est aussi une activité qui gomme toutes les différences d’âges, chacune, chacun donnant le meilleur de soi-même. On travaille ainsi le respect des consignes (délimitation de l’espace jeu, signal de départ,…), la gestion du stress (attente du signal de départ, le choix de la cachette), l’esprit de compétition (être le premier caché, le dernier découvert), le cardiovasculaire (alternance de la course, des sauts et de la marche), la connaissance de son corps dans l’espace (savoir se repérer rapidement), les réflexes (signal de déclenchement, choix de la cachette), le respect d’autrui (ne pas dénoncer les autres), l’entraide (partage de cachette, échange vestimentaire) et le plus important à mes yeux est que tous y prennent du plaisir.

Actualite : destination chicago 2008…

Date : 12 octobre 2008 NOMBRE DE PARTICIPANTS

- + 40000 DE 120 PAYS HEURE DE DEPART 8H00 PARCOURS PLAT, TRES, TRES RAPIDE, CELUI DE TOUS LES RECORDS TEMPS LIMITE

6H TEMPERATURE MOYENNE

6° AU DEPART, 18° A L'ARRIVEE MEILLEURE PERFORMANCE HOMME

KHALIL KHANOUCHI 02:05:42 (USA) 1999 MEILLEURE PERFORMANCE FEMME

PAULA RADCLIFFE 02:17:18 (GRANDE BRETAGNE) 2002 ANIMATION

EXPO DU MARATHON, RECEPTION FRANCO-AMERICAINE - SOIREE DISCO LE DIMANCHE SOIR.

Un marathon 2007 sous la chaleur, qu’en sera t il en 2008 !!!

Le marathon de Chicago 2007, qui s'est couru par une température caniculaire, a été endeuillé par la mort d'une personne, tandis que 350 autres ont dû être hospitalisées. L'ordre d'interruption de l'épreuve a été donné à la mi-course, mais des milliers de concurrents ont ignoré l'interdiction et ont poursuivi la course jusqu'à l'arrivée, par 31 degrés C et un fort taux d'humidité (86%), et ce alors que l'eau manquait dans les postes d'approvisionnement.

«Nous avons essayé de bloquer la course, mais les coureurs ont traversé les barrières en sautant pardessus les vélos des policiers», a déclaré Joe Roccasalva, porte-parole des pompiers de Chicago chargés de la sécurité de l'épreuve.

Après des débuts prometteurs à la fin des années 70, le Marathon de Chicago, à la différence de son rival new-yorkais, a connu une adolescence difficile, le départ d'un commanditaire ayant même entraîné l'annulation de la 11éme édition en 1987. Dur, très dur pour une course à vocation internationale de remonter la pente! Pourtant, toutes les bonnes volontés se sont réunies, la banque LaSalle n'a pas voulu être en reste avec l'assureur John Hancock, qui parrainait "New York" et "Boston", et elle a mis de l'argent au pot en 1994, année du vrai renouveau. Reithoffer, parcours des records du monde détenus par Khalid Khannouchi et Paula Radcliff, qui s’étend le long du lac Michigan et à travers les quartiers les plus typiques d’une des plus belles villes de la vraie Amérique, un million de spectateurs

enthousiastes, musique, danseurs, pompom girls, vous porteront au bout de votre effort. Depuis, le LaSalle Bank Chicago Marathon n’a cessé de progresser. Désormais N°1 des quatre plus grands marathons du monde que sont Berlin, Londres et New York, Chicago est devenu au même titre que celui de la Big Apple (New York) le marathon U.S préféré des Français : organisation et accueil irréprochables, réception organisée à l’intention des francophones par le comité de jumelage Paris/Chicago sous la houlette de notre ami David Reithoffer, parcours des records du monde détenus par Khalid Khannouchi et Paula Radcliff, qui s’étend le long du lac Michigan et à travers les quartiers les plus typiques d’une des plus belles villes de la vraie Amérique, un million de spectateurs enthousiastes, musique, danseurs, pompom girls, vous porteront au bout de votre effort.

Actualite : vitrine, les dernieres technologies…

Sur le marche mondial, les nouvelles technologies !!!

Fourche SHOX REBA TEAM Roues CROSS MAX SLR Pneus BARACUDA TUBLESS LIGTH Pédalier SHIMANO XT Dérailleurs AV XT / AR XTR Freinage JUICY CARBON 7 Poids 10,5kg en taille L

Mémoire : 1 GO ou 2 GO

La nouvelle C4 Berline impose un style tout en force, dynamisme et élégance. Le dessin et les volumes de son nouveau pare-chocs intègrent une entrée d’air unique associés à un nouveau capot bombé aux formes à la fois arrondies et musclées. En 2008, C4 adopte deux nouvelles motorisations essence (VTi 120 et THP 150)

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De nombreux sites et magazines proposent des plans d’entrainements personnalisés mais l’équipe Jogger vous propose de faire mieux, un plan l’entraineur d’entrainement personnalisé pour un objectif a atteindre avec un suivi tout au long de votre préparation. Une correspondance par email régulière : «Oui, une vrai relation entre et l’entrainé».

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Actualite : interview avec J.J NEGRI…

Age : 56ans Profession : Employé communal – Sapeur pompier Volontaire à Lure 70 depuis 30ans Club : Licencié au G.A.H.S (Groupement Athlétisme de la Haute Saône) Performances : 1000m – 2min31s / 1500m – 4min / 5000m – 15min / 10km – 31min47s / Semi 1h06m20s / Marathon – 2h26m14s

Toute ma vie comme de nombreux passionnés est consacrée à l’athlétisme. J’ai eu l’opportunité de participer tout au long de ma carrière sportive à 85 championnats de France de la piste à la route en passant par le cross. J’ai pu prendre le départ sur de nombreuses courses toutes distances en Europe, en Amérique… Le marathon est une discipline que ème j’affectionne, 4 aux championnats de France Marathon en 2002 (2h47min). Celui de New York ainsi qu’Amsterdam ont été mes plus beaux chronos, grâce à leur parcours historiques, roulants et les encouragements des milliers de spectateurs. J’ai aussi couru pour ma caserne de pompiers, en participant à une trentaine de nationaux de cross et route. Pour moi, être pompier, c’est de savoir souffrir, connaître ses limites et se fixer des objectifs raisonnables et se battre pour ses couleurs en l’occurrence celle des soldats du feu Luron (70). J’ai également le soutien des pompiers de Lure. 42 ans de course à pieds ça use, je suis toujours là, j’ai un secret que je peux conseiller à chacun, je m’entraine presque toujours en sous bois car chez moi

56 ans, sapeur pompier volontaire et coureur passionne !!!

j’ai balisé 50km de sentiers et chemins à la roulette et j’ai même des parcours où je peux travailler sur piste. Avec l’âge, il faut courir « intelligent » être méthodique dans ce que je fais et avoir une bonne hygiène de vie. Pour atteindre mes objectifs, je m’entraine 5 fois par semaine durant toute l’année et j’effectue en 80 et 150km, mes séances types pour le marathon des sorties de 20 à 30km, de la VMA avec des 400m et 500m et pour finir du travail au seuil 3x3000 ou 3x4000… En période d’affutage commence pour moi dans les 3 dernières semaines, et retrouver les sensations allure marathon (4min au 1000m). J’évoque tout de même un temps futur ou je ne serai plus en haut du tableau, je pense que j’arrêterai la compétition mais je ne rangerai pas mes baskets, j’irai courir gentiment dans la forêt parce que la course à pied fait parti intégrante de moi.

Lure, petite ville active au pied des Vosges, compte 8500 habitants. Au nord de la Franche-Comté, Souspréfecture du département de la Haute-Saône (70), ville porte du Parc Naturel des Ballons des Vosges, elle se situe à proximité de Besançon (80 km) et de Belfort (30 km). Chef-lieu de canton, elle fait partie intégrante du Pays des Vosges Saônoises, et offre un visage urbain équilibré où dominent les activités tertiaires.

entrainement : l’electrostimulation a la mode …

Un complement devenu a la mode depuis quelques annees

La technique de l'électrostimulation est-elle sans danger ? La technique de l'électrostimulation est utilisée en médecine depuis 30 ans. Elle n’a aucune conséquence néfaste sur la santé ni à court, ni à moyen terme, à condition de respecter les contre-indications (grossesse, présence d’un stimulateur cardiaque ou accidents musculaires récents ...) et d'utiliser du matériel de qualité (Gammes Compex®, Cefar® ...). La technologie utilisée garantit confort et sécurité.

L'électrostimulation c'est quoi ? Le principe de fonctionnement de l’électrostimulation est très simple et reproduit fidèlement le processus mis en jeu lors d’une contraction musculaire volontaire. Lorsque l’on décide de contracter un muscle, notre cerveau transmet l’information à celui-ci par l’intermédiaire du nerf moteur. En électrostimulation, un courant électrique adapté agit directement sur le nerf par le biais d’impulsions électriques qui reproduisent le phénomène physiologique naturel. Avec l’électrostimulation, vous allez pouvoir réaliser un travail musculaire intense sans fatigue psychique ou cardiaque et en réduisant au maximum les contraintes articulaires et tendineuses.

L'électrostimulation pour vous ?

est-elle

faite

Que vous soyez sportif (amateur, de haut niveau, ou professionnel) ou tout simplement soucieux d'entretenir votre forme physique et votre corps, l'électrostimulation peut vous aider à atteindre vos objectifs.

Qu'il s'agisse : - de traiter des douleurs musculaires et articulaires. - de retrouver du volume musculaire après une immobilisation forcée. - de soulager les contractures et les douleurs liées à la pratique d'un sport. - d'améliorer votre préparation ou votre récupération physique. - de sculpter votre corps. - d'améliorer l'élasticité de votre peau et lutter contre "l'effet peau d'orange". Il existe des programmes spécifiques qui répondront à vos attentes. Les différents modèles d'électro stimulateurs Il existe actuellement des dizaines de modèles d'électro stimulateurs sur le marché. Certains de ces modèles sont uniquement destinés au secteur médical (nous n'en parlerons pas ici), d'autres sont destinés aux sportifs amateurs ou professionnels qui souhaitent améliorer ou compléter leur entraînement.

entrainement : l’electrostimulation a la mode …

L'électrostimulation est ce compliqué ? Si les principes de l'électrostimulation sont très complexes, en revanche l'utilisation d'un électro stimulateur est assez simple. Les dernières générations d'électro stimulateurs et en particuliers tous ceux de la gamme Compex sont fournis avec un manuel très complet et un guide illustré de placement des électrodes. Ils sont surtout dotés d'une interface claire et conviviale qui permet de naviguer facilement dans les différents programmes disponibles. La prise en main de votre électro stimulateur ne vous prendra que quelques minutes lors de votre première séance. Comment choisir un électro stimulateur ? Les deux paramètres principaux à considérer lors du choix d'un électro stimulateur sont vos objectifs et votre budget. Pour vous aider à choisir le modèle le plus adapté à vos besoins, nous avons créé un tableau de présentation des électro stimulateurs dans lequel nous avons considéré 3 catégories : "Santé Bien-être", "Forme Fitness" et "Sport". La catégorie "Sport" : s'adresse avant tout à des sportifs amateurs ou confirmés qui souhaitent disposer de programmes pour développer leur force physique, leur endurance, et leur résistance. En complément de ces programmes de préparation à l'effort, la plupart des modèles proposent également des programmes destinés à soulager les douleurs et contractures et d'une manière générale à améliorer la récupération après l'effort. La catégorie "Forme Fitness" : s'adresse avant tout à des sportifs occasionnels ou tout simplement à des personnes soucieuses de leur forme physique et de leur esthétique.

Les modèles de cette catégorie disposent généralement de quelques programmes destinés à développer la force physique et la récupération après l'effort, mais l'accent est mis principalement sur des programmes de type "musculation". L'objectif est plutôt d'entretenir ou de développer des muscles, d'augmenter la densité et la tonicité musculaire et de redessiner des zones peu esthétiques. La catégorie "Santé Bien-être" : s'adresse avant tout à des personnes qui ne souhaitent pas spécialement développer leur musculature, mais juste faire en sorte qu'elle soit harmonieuse. L'accent est mis sur le développement du tonus musculaire, le raffermissement et le massage des muscles, ainsi que sur la lutte contre les calories et la cellulite. Cette classification est cependant imparfaite, car certains électro stimulateurs (Myo4 et Compex Sport 400) sont polyvalents et pourraient figurer dans plusieurs catégories. La meilleure façon de vous faire une idée consiste donc à regarder les programmes proposés par les modèles qui vous intéressent. Les électro stimulateurs sont des appareils relativement coûteux, avec des prix compris entre 100 et 800

euros ; leur achat représente donc un investissement immédiat important (bien qu'il soit possible de payer la plupart de ces produits en trois fois). Cependant en rapportant ces prix sur deux ans (durée de garantie des produits de la gamme Cefar) ou sur trois ans (durée de garantie des produits de la gamme Compex) cela ne représente plus qu'un investissement de 4 à 33 euro mensuels pour les produits de la gamme Cefar et de 3 à 22 euro mensuels pour les produits de la gamme Compex. On est donc à un niveau de dépenses équivalent voire moindre que celui correspondant à un abonnement à certains clubs de sports ou salles de remise en forme. Pour plus d’informations sur les produits de la marque Compex : www.compex.info/index_inter.php

Les offres sur le marche mondial de l’electrostimulation …

Entrainement : Les notions de base…

- FARTLEK. Fractionné d’origine suédoise par lequel on alterne les allures selon la nature du terrain. On peut le faire de façon libre ou plus codifiée .

Cette rubrique est destinée à tous les amateurs de la course à pied qui recherchent des conseils pour éviter les blessures, progresser et prendre du plaisir en s’informant sur les différentes façons de s’entrainer...

- FCM. (Fréquence Cardiaque Maximale) Fréquence à laquelle votre cœur bat le plus vite. Elle sera la base de référence pour déterminer vos allures d'entraînement avec un cardiofréquencemètre. (Achat possible sur boutique en ligne). La FCM est déterminée par un test de terrain, ou un test en laboratoire ou encore pour un coureur débutant par la formule 220 l'âge pour les hommes et 226 pour les femmes.

Morgan Ballager, Sapeur Pompier Volontaire dans le Var a recherché pour vous un lexique running complet.

- FRACTIONNE. Forme d’entrainement ou alternent des phases de course rapide avec des allures moins soutenues. Il permet à l’organisme de progresser plus vite qu’avec l’endurance exclusive. Il peut se faire sur piste, sur route ou en nature. - SEUIL AEROBIE. Il correspond à un effort en endurance ou seules les limites du stock énergétique et la fatigue musculaire seront un frein au maintien de l’effort. - SEUIL ANAEROBIE. Il correspond au moment ou la fréquence cardiaque va très rapidement s’accélérer. Il se situe aux alentours de 85% de notre FCM. - VMA. (Vitesse Maximale Aérobie). La vitesse maximale aérobie est la plus grande vitesse à laquelle vous pouvez courir en apportant suffisamment d'oxygène à vos muscles. Au-delà, l'effort devient vite impossible. Déterminée en laboratoire ou par des tests de terrains (sur piste), la VMA sera travaillée durant des séances spécifiques courues en fractionnant sur de petites distances.

PRONATEUR : Si en courant, le bord interne du pied s'affaisse et que le bord interne se soulève. SUPINATEUR : Si en courant, le bord externe du pied s'affaisse et que le bord interne se soulève. UNIVERSEL : Si votre pied est parfaitement stable lors de la course, ne se déversant ni à l'intérieur, ni à l'extérieur. Pied égyptien : le gros orteil est le plus avancé (65 % de la population) Pied grec : le deuxième orteil est le plus avancé (25 % de la population) Pied carré : les trois premiers orteils sont de même grandeur, le quatrième régresse puis le cinquième régresse (7 % de la population) Pied bot : les os sont déformés ou mal positionnés, il s'agit d'une pathologie congénitale du pied (3 % de la population)

L'IMC se calcule en divisant le poids exprimé en kilogrammes par la taille au carré exprimée en mètres : IMC = poids (kg) / taille (m2). Pour l'instant, au Canada, un test unique est proposé aux hommes et aux femmes, bien que leur constitution soit différente. Aux États-Unis, les méthodes de calcul se raffinent et on propose déjà une formule différente selon le sexe.

entrainement : test du mois running …

Jérémy Ruiz, 23 ans (LUXEUIL LES BAINS) 70 Sous off Pompier dans Armée de l’Air Fonction : Président et Directeur de publication Spécialité : Course hors stade, VTT, Raids… Email : jeremyruiz@joggermag.fr

Condition du test : Environ 300km sur route et sentier en entrainement... Cette chaussure, est une référence pour les amateurs à la recherche de confort et d’amorti. On sait toujours reconnaitre la griffe de Nike sur l’amorti car il est agréable et à la limite du trop souple, sensation d’un léger rebond lors du déroulement de votre foulée. Esthétiquement bien réussie, le concept n’évolue plus énormément depuis 3ans et pour une milieu de gamme, cette running est vraiment très attractive rapport qualité/prix. Elle s’adapte à votre pied et à votre foulée. Une incontournable des pro Nike qui souhaite faire des économies et à la fois de la qualité.

Homme : 315g Femme : 280g

Légèreté, souplesse d’utilisation, respect du mouvement naturel du pied...

USAGE: Entrainement et compétition, toutes distances. TERRAINS: Route et sentier. COUREUR : - 80kg TYPE DE PIED: Universel à supinateur PRIX : 100 €

AMORTI STABILITE DYNAMISME CONFORT

Un complement devenu a la mode depuis quelques annees Clément Sintes, 23 ans (NIMES) 30 Préventionniste au centre de gestion du Gard Fonction : Trésorier général et Rédacteur en chef Spécialité : VTT, Raids, Natation, Trails… Email : clementsintes@joggermag.fr

Condition du test : Environ 420km sur route et sentier en entrainement... Je cours depuis un certain temps maintenant (2ans) avec des running Mizuno parce que j’ai des problèmes d’ampoules lors de mes sorties. La Precision, est très confortable même après des dizaines de sorties en sous bois et sur route. L’amorti ne s’use pas trop vite et ça permet de profiter de son investissement avec efficacité. L’amorti est un peu en retrait par rapport au confort (nouveau chaussant). D’un côté esthétique, la chaussure est bien finie, et le système d’aération en cette période de chaleur sera très utile.

Homme : 330 g Femme : 310g

USAGE: Entrainement et compétition, toutes distances. TERRAINS: Route et un peu de sentiers. COUREUR : - 75kg TYPE DE PIED: Universel ou pronateur PRIX : 110 €

AMORTI STABILITE DYNAMISME CONFORT

Pour entrainement rapide et compétition, coureurs jusqu'à 75kg. Ce modèle peut convenir pour une foulée supinatrice.

Dossier special : rendez vous avec haile…

Nouveau record du monde pour l’ethiopien de 35ans…

Hailé Gebreselassie a battu le record du monde du marathon, dimanche à Berlin, en 2h03'59''. Déjà détenteur du record, l'Ethiopien devient ainsi le premier homme au monde à parcourir les mythiques 42,195 km en moins de 2h04'. Grand absent du marathon lors des derniers Jeux Olympiques de Pékin, l'athlète, âgé de 35 ans, entre un petit peu plus dans le Panthéon de l'athlétisme. Il l'a dit, et il s'est exécuté ! Le 11 septembre dernier, Haile Gebreselassie affirmait qu'il pouvait battre le record du monde du marathon fin septembre lors de la 35e édition du marathon de Berlin. Détenteur de la meilleur marque mondiale sur la distance, déjà décrochée l'an dernier dans la capitale allemande en 2h04'26'', l'Ethiopien a récidivé ce dimanche en devenant le premier marathonien à boucler les 42,195km en moins de 2h04'. Avec un temps de 2h03'59'', «Gebre» s'octroie le 26e record du monde de sa carrière et inscrit pour la troisième année consécutive son nom au palmarès du marathon de Berlin. Il devance les Kényans James Kwambai (2h05'36'') et Charles Kamathi (2h07'48''), rappelant ainsi qu'à 35 ans, il est loin de la retraite.

Une

revanche

sur

les

Jeux

Ce coup de tonnerre résonne comme une revanche pour celui qui avait décidé de ne pas disputer le marathon aux Jeux Olympiques de Pékin, jugeant que l'humidité, la chaleur et la pollution ne lui permettaient pas de défendre ses chances. «Gebre» assista donc au sacre de son compatriote Kenenisa Bekele sur 10000m (le double champion olympique termina 6e) et surtout à l'éclosion du jeune kényan, Samuel Wanjiru, 21 ans, qui est devenu le nouveau champion olympique du marathon, signant au passage une nouvelle référence olympique en 2h06'32. Alors que certains lui prédisaient une mort lente sur la scène mondiale de l'athlétisme, le natif d'Arssi, à force de travail et d'abnégation, démontre qu'il est le roi du marathon. Dans la capitale allemande, qu'il surnomme la «Lucky City», Haile Gebreselassie a prouvé qu'il était une légende du sport, envoyant un message à tous ses rivaux avant les Mondiaux de 2009 qui se disputeront...à Berlin.

Un athlete hors du commun… Huit ans après son dernier titre majeur, le coureur de fond éthiopien réalise une performance de rêve : battre le record du monde du marathon en moins de 2h04min. Frêle comme un roseau, sec comme sa terre natale d’Arsi, village perdu des hauts plateaux abyssins, Haïlé Gebreselassié, 1,65 m, 53 kg, court depuis sa tendre enfance. L’histoire de sa vie est belle comme un cliché. Septième enfant d’une famille paysanne soumise au joug d’un père tyrannique, il découvre sa vocation un soir d’août 1980. Il a 7 ans, et écoute en cachette sur le transistor paternel la retransmission de la finale du 10 000 m des Jeux de Moscou,

Dossier special : rendez vous avec haile… remportée par son compatriote Miruts Yifter, son idole. Quand, adolescent, « Gebre » annonce à son père qu’il veut faire du sport son métier, il se heurte à un refus sans appel : sa place est aux champs. C’est la rupture. La mort dans l’âme, il fait son baluchon et quitte la ferme familiale pour monter à Addis-Abeba, la capitale, et s’engager dans un club de l’armée. C’est un jour d’hiver 1991 que Gebre rencontre celui qui allait devenir à la fois son manager et son mentor : l’ancien recordman de l’heure Jos Hermens. L’œil aiguisé du Néerlandais est immédiatement subjugué par la foulée aérienne du jeune Éthiopien. La plante des pieds toujours rigide, la pointe seule servant d’appui, sa technique semble emprunter davantage aux sprinteurs qu’aux fondeurs, et sa manière de courir est reconnaissable entre toutes. « Il ne parlait pas un traître mot d’anglais, la seule chose qu’il a su me dire a été : “Me, Europe !” », se souvient l’entraîneur. Les deux hommes ne se sont plus quittés. Pour Gebre, Hermens est bien plus qu’un entraîneur : il joue un rôle que son

père n’a jamais vraiment assumé, le protège, lui dispense force conseils, l’aide à déjouer les pièges de la notoriété. Haïlé Gebreselassié prend son envol à Stuttgart, aux Championnats du monde 1993 : à 20 ans à peine, il décroche l’argent au 5 000 m et l’or au 10 000, sa distance de prédilection. Son règne va durer dix ans. Avec, à la clé, une moisson de records, deux titres de champion olympique, en 1996 et 2000, et quatre titres de champion du monde, en 1993, 1995, 1997 et 1999. Une blessure l’empêche de défendre correctement ses chances, en 2001, à Edmonton, au Canada, où il ne finit que troisième. Chaperonné par Hermens, il apprend à s’économiser, à choisir ses courses. Contrairement aux frères ennemis de la vallée du Rift, les Kényans, qui s’épuisent à chasser les dollars dans les meetings du circuit européen, l’Éthiopien se réserve pour les grandes occasions. Il veut durer, pour marquer l’Histoire, mais aussi pour réaliser son rêve secret : monter sur le marathon, distance reine dans son pays depuis le prodigieux doublé du mythique Abebe Bikila, l’athlète aux

Une legende, des records du monde, un homme modeste …

10000 m des Jeux olympiques d’Athlanta (1996) une légende du fond est née.

Athènes 2004 – Accélération de Bekele, ème vainqueur du 10000m. Haile terminera 5 .

pieds nus, le seul à avoir jamais gagné deux fois consécutivement l’or olympique sur la plus exigeante des distances, à Rome, en 1960, et à Tokyo, en 1964. Malgré son statut de star planétaire, Gebreselassié accepte de bonne grâce de se fondre dans le moule de la préparation d’équipe, qui s’effectue invariablement à Addis-Abeba : il s’entraîne avec les autres athlètes, partage son quotidien et sa chambre avec eux. Cet esprit de groupe, qui se traduit, en compétition, par des courses d’équipe remarquablement maîtrisées, est sans doute une des clés de la réussite éthiopienne et constitue une des différences majeures avec le système kényan, plus individualiste. La gloire et l’aisance financière permettent au champion, marié et père de trois filles, de préparer l’avenir.

Dossier special : rendez vous avec haile haile…

Il crée une société, la Haïlé & Alem Company (Alem est le nom de son épouse), investit dans la pierre, fait construire plusieurs immeubles, à Addis-Abeba, le long d’Asmara Road, ainsi qu’à Bahar Dar et dans son village natal d’Arsi. Il ouvre aussi un cinéma dans la capitale et deux écoles en province. Des placements qui font sa fierté, car ils ont donné du travail à 225 personnes, mais qui ne le détournent pas de son métier de sportif de haut niveau. Il continue à se soigner au thé, au miel et à l’eau sacrée de l’église de la colline d’Entoto, où il s’entraîne. Sa seule concession à la modernité : des séances de physiothérapie et de massage pour faciliter la récupération. C’est que Gebre n’a plus ses jambes de 20 ans. Sa pointe de vitesse s’émousse.

En 2003, aux Mondiaux de SaintDenis (France), il s’incline devant son jeune compatriote Kenenisa Bekele, de douze ans son cadet. Sans amertume. Il a passé le témoin. Et peut se consacrer à son ultime défi : partir à l’assaut du marathon. En accord avec son entraîneur, il décide cependant de s’aligner une dernière fois sur 10 000 m, à Athènes, où il ne finit que sixième, loin derrière Bekele, qui l’a entre-temps dépossédé de ses records du monde du 5 000 et du 10 000 m. Les débuts de l’empereur déchu du fond sur marathon se révèlent plus laborieux que prévu. Son corps n’est pas assez préparé. Son moteur tousse. Surtout, l’approche de la course diffère radicalement. Contrairement aux autres distances, le marathon se court en ville, et chaque tracés

Une legende, des records du monde, un homme modeste … possèdent des caractéristiques différentes. Celui de Londres, par exemple, ne lui réussit guère. Son organisme commence à lui jouer des tours. Gravement blessé au talon d’Achille, il se fait opérer en 2005, et déclare forfait pour les Mondiaux d’Helsinki. On pense sa fin de carrière compromise. C’est mal le connaître. Il se rassure en signant la meilleure performance mondiale au semimarathon de Phoenix, aux États-Unis, en janvier 2006 (58’55’’) et en s’adjugeant le record de l’heure en juillet 2007, à Ostrava. Obsédé par le record du monde du marathon, Gebre, qui a coché le meeting de Berlin sur son agenda, fait l’impasse sur les Mondiaux d’Osaka. Les finales de championnat du monde, courses beaucoup plus tactiques, se prêtent mal aux performances chronométriques. Et il y a la moiteur du climat japonais, qui ne lui convient guère. Sacré à Berlin, Gebreselassie en 2007 et 2008, une 6ème place sur le 10000m olympique des Jeux de Pékin, il ne reste qu’à Haile le droit de prendre sa retraite le jour venu.

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Jeux olympiques d'été de 1996 à Atlanta États-Unis: o Médaille d'or sur 10 000 mètres Jeux olympiques d'été de 2000 à Sydney Australie: o Médaille d'or sur 10 000 mètres Record du monde du 5 000 mètres : 12'56"96 en 1994, 12'44"39 en 1995, 12'41"86 en 1997, 12'39"36 en 1998 Record du monde du 10 000 mètres : 26'43"53 en 1995, 26'31"32 en 1997, 26'22"75 en 1998 Record du monde semi-marathon : en 58"55 en 2006 Record du monde 20 km route en 55'48"00 en 2006 Record du monde du 10 km route en 27'02" en 2004

Sante forme : je mange souvent au restaurant

Est-ce un bon compromis avec la nutrition sportive ?

Certains ne s'offrent pas de sorties au restaurant parce qu'ils prétendent se préoccuper scrupuleusement de leur santé et de leur alimentation. Mais ce n'est plus une raison valable, car bien des restaurateurs et des traiteurs ont, comme nous, dit adieu aux fritures, au sel et aux calories... supplémentaires. Les Canadiens consomment environ 135 millions de repas par semaine au restaurant. En 1994, le petit déjeuner comptait pour 8 % de ceux-ci; le dîner - en baisse -, pour 29 %; le souper - à la hausse -, pour 39 %; et les collations pour 25 %. Aussi il est primordial pour les habitués de devenir plus exigeants quant à la qualité de ce qu'on leur sert... et de ce qu'ils choisissent. Les mets servis dans les restaurants sont en général trop gras. En outre, ils sont la plupart du temps pauvres en légumes, et ce, qu'il s'agisse de la quantité ou de la variété. Si certains établissements offrent fièrement les menus Mieux vivre, des tables d'hôte dont la teneur en gras est certifiée par des diététistes, ou encore les menus Cœur atout certifiés par la Fondation des maladies du cœur, d'autres mettent en vedette des plats santé qui sont élaborés par des gens sans expertise en nutrition. Il va sans dire que les résultats sont plus ou moins satisfaisants. Faire connaître ses exigences. Manger sainement au restaurant est avant tout une question de choix.

Ceux qui ont l'habitude des modes de cuisson santé auront ici un avantage marqué, car ils pourront faire adapter leurs repas à leurs exigences. Et c'est ainsi que petit à petit, les transformations s'opéreront. Signal encourageant, la combinaison des connaissances d'un diététiste et du savoir-faire d'un chef fait des merveilles. C'est ainsi que le programme Cœur atout, parrainé par la Fondation des maladies du cœur, assure un choix de mets approuvés et réellement contrôlés. Sensibilisés par la Fondation des maladies du cœur, plus de 220 propriétaires d'entreprises de restauration québécois (cafétérias, hôtels et restaurants) ont décidé de modifier leurs menus et de participer au programme Cœur atout. Par le fait même, ils s'engagent à préparer des menus qui répondent aux normes des Recommandations alimentaires pour la santé des Canadiens et des Canadiennes. Émises par Santé Canada, ces recommandations prônent notamment la réduction des matières grasses, du sel et des calories dans l'alimentation.

En fait, ils doivent comporter au moins une entrée, un plat principal et un dessert répondant aux critères établis par la Fondation. C'est ainsi que lorsqu'un restaurateur élabore ses Menus du cœur, il doit être certain que ses recettes sont approuvées. À cet effet, il peut puiser son inspiration dans les différents ouvrages publiés par la Fondation, dans le répertoire mis à sa disposition par ce même organisme ou encore y aller de son propre cru. Dans ce dernier cas cependant, les recettes doivent être analysées par un diététiste affecté à cette tâche. Ce professionnel les évaluera, puis les approuvera s'il y a lieu. En toute confidentialité, évidemment. Une fois cette étape franchie, l'établissement reçoit son contrat d'adhésion, valide pendant un an. Il est alors tenu d'inscrire à sa carte au moins six mets à teneur contrôlée en matières grasses, en sel et en calories. En outre, le chef et les serveurs reçoivent une formation qui leur permet de répondre adéquatement à toutes les questions de leurs clients sur le sujet. Les choix : une autre option santé

Les Menus du cœur Partie intégrante du programme Cœur atout, les Menus du cœur se composent de mets appétissants et savoureux, qui ont comme avantage de favoriser une meilleure santé cardiaque.

Encouragée par l'intérêt soutenu porté aux Menus du cœur et voulant inciter le public à adopter de meilleures habitudes de vie, la Fondation des maladies du cœur a récemment lancé un second programme destiné au milieu de la restauration.

Sante forme : je mange souvent au restaurant

Pour participer au programme Les Choix, les restaurateurs doivent inscrire des mets à faible teneur en matières grasses à leur menu, en plus de réserver une section de leur établissement aux clients non fumeurs. D'une part, ils doivent servir : du lait contenant tout au plus 2 % de matières grasses, des vinaigrettes à basse teneur en calories, de petites portions de viande (de 120 à 180 g ou de 4 à 6 oz au plus), du pain à grains entiers et des desserts nutritifs faibles en calories, comme des fruits ou du yogourt. D'autre part, ils doivent cuisiner avec une quantité limitée d'huile, enlever le gras visible de la viande et la peau de la volaille, en plus de pratiquer des méthodes de cuisson comme le grillage, le rôtissage ou le pochage. Une sortie au restaurant, c'est d'autant plus agréable dans un établissement qui affiche les couleurs du programme Cœur atout. Si, en plus, ou y trouve les Menus du cœur, on portera une attention particulière aux mets marqués d'un crochet (), car ce dernier signifie qu'ils répondent parfaitement aux normes du programme. Des restaurants Cœur atout, il y en a partout au Québec. Profitons-en! Garder le restaurant

contrôle,

même

La compétition se faisant de plus en plus forte en restauration, les établissements tendent à composer des menus personnalisés et adaptés aux besoins des clients. Nous avons la possibilité d'être à l'origine de ces changements. N'attendons pas l'offre, faisons connaître nos exigences. Dans cet esprit, ce qui suit donne un bref aperçu de ce que nous pourrions choisir au restaurant quand on a en tête d'équilibrer ses repas: Le matin : Opter pour de vrais jus, des cocktails de fruits ou du yogourt léger. Privilégier les œufs pochés ou à la coque et le jambon plutôt que le bacon, les saucisses ou les cretons. Choisir des crêpes ou des gaufres garnies de fruits ou d'un peu de sirop,

et des céréales froides ou chaudes. Tartiner son pain de grains entiers de beurre d'arachide ou de confiture de fruits. Le midi ou le soir Prendre les plus petites portions possibles ou combiner deux entrées, car au restaurant, on mange souvent trop : trop de viande, trop de gras, trop de calories. Manger lentement et s'arrêter dès que l'on est rassasié. Au lieu de se forcer à prendre le dessert, le garder pour l'heure du goûter. À l'occasion d'un buffet, limiter ses portions car, après tout, à la carte, on ne prend généralement qu'un plat. Choisir des entrées composées de légumes frais, d'une soupe au lieu d'une crème, d'une salade ou encore d'un jus de légumes. Les virgin caesar ou mary conviennent parfaitement. Éviter les fritures. Les huiles et les graisses constituent un milieu propice à la formation d'éléments toxiques ou cancérigènes, et ce, particulièrement si elles ne sont pas filtrées ni changées régulièrement. S'informer sur les modes de cuisson et, dans la mesure du possible, privilégier celui qui nécessite le moins de matières grasses comme le grillage au four, le pochage, la cuisson à la vapeur ou le braisage.

Changez vos habitudes !!! Au comptoir à sandwichs, opter pour du pain (ordinaire, pita, bagel, etc.) aux grains entiers à la place des croissants. Préciser que l'on désire très peu de matières grasses et de mayonnaise, ou choisir de la moutarde, de la salsa ou du raifort. Garnir de viande maigre ou d'une préparation de fruits de mer sans trop de mayonnaise. C'est ainsi que nos habitudes changeront progressivement et prendront une tout autre allure. Faisons donc le premier pas, n'hésitons pas à exprimer nos désirs.

Sante forme : la recette du mois…

La recette du mois avec christelle macannuco …

1) Dans une poêle, mettre 2 cs d’huile d’olive et y faire revenir les blancs de volailles coupés en morceaux. Une fois la volaille cuite, saler et poivrer.

5) Mettre la farine, le beurre et les pignons dans un mixeur. Faire tourner jusqu’à l’obtention d’une pâte sableuse.

2) Couper les légumes en petits dés, chauffer le reste d’huile et y faire revenir les légumes 5 minutes. Saler, poivrer et baisser le feu. Verser un grand verre d’eau et couvrir pendant 15 minutes.

6) Recouvrir la viande avec les légumes puis avec la pâte.

- 600 g de blanc de volaille - 3 courgettes - 3 tomates

7) Cuire jusqu’à coloration du crumble (20-25 minutes). Servir dès la sortie du four.

- 1 poivron rouge - 100 g de farine - 100 g de beurre froid

3) Oter les blancs de la poêle et les hacher grossièrement. 4) Préchauffer le four à 210°C. Frotter un plat avec la gousse d’ail. Verser un peu d’huile dans le fond et y déposer les blancs hachés.

Ingrédients * pour 6 personnes :

- 80 g de pignons de pin - 4 cs d’huile d’olive Il vous manque des ingrédients pour faire cette recette, n’hésitez pas avec la filiale de casino, on vous livre à domicile et à petits prix !!!

- 1 gousse d’ail - sel et poivre

Sante forme : infos pratiques pratiques…

Infos en vrac !!! !! Stimuler votre cerveau ! Mâchez du chewing-gum. gum. Des travaux ont montré que la mastication de gommes améliorait la mémoire à court terme, sans doute en provoquant une élévation vation du rythme cardiaque,, donnant lieu à une augmentation du débit sanguin cérébral.

Le meilleur du chocolat pour les coureurs !!! Pour choisir le chocolat le plus sain, voici les indications qu’il qu faut vérifier sur l’emballage : Pourcentage de cacao : la quantité de cacao peut varier de 10 % à 94 %. Généralement,, plus la teneur en cacao est élevée, plus il y a de flavonoïdes. Mêmee si les méthodes de raffinage peuvent réduire leur quantité. Choisis sissez plutôt du chocolat contenant plus de 35 % de cacao.

Une poignée de fruits secs et de fruits oléagineux. Cette association de protéines et de glucides couplée à un apport en magnésium, devrait maintenir à un niveau optimal votre niveau de vigilance en fin de journée.

Calories : la plupart des chocolats contiennent entre 5.5 % et 7 calories par gramme, donc à consommer avec modération. Liste des ingrédients : les chocolats de qualité sont composés de cacao et de matière de grasse, de lait. Evitez ceux qui contiennent des huiles végétales ou hydrogénées De nombreux modèles sont sur le marché marché… Mais avec Eolos Sport, le gain fait sur la respiration est époustouflant époustouflant…

Graisse : Privilégiez ceux qui ne contiennent aucun acide gras « trans ». Leur volume peut atteindre 20 grammes par bouchée car plus il y a de cacao dans une barre, plus elle contient de graisse.

www.eolosweb.com

Elle est douée, épatante, belle, riche et célèbre. A seulement 21 ans, Laure Manaudou est une nageuse hors normes qui a déjà tout remporté. Championne olympique, du monde, d'Europe et de France, mais aussi recordwoman mondiale, continentale et nationale : rien ni personne ne résiste au poisson poissonpilote de la natation tricolore. Mais aujourd'hui, 'hui, la sportive préférée des Français a dépassé le simple cadre du sport pour devenir à la fois une people incontournable dont on traque les péripéties amoureuses et une icône publicitaire qui a su mettre les pluss grandes marques de luxe à ses pieds.

Biographie non autorisée de Zinedine Zidane qui, en dépit de la médiatisation, reste l'un des hommes les plus secrets de France. Homme d'affaires redoutable, père de famille attentif, chef d'un clan très fermé, il a réussi à imposer une véritable omerta autour de sa personne. Enquête sur ses contrats publicitaires, ses investissements financiers, ses relations avec les médias ou avec sa famille...

Sante forme : infos pratiques…

Amis sportifs, qui n’a jamais perdu son latin et par la même occasion son alphabet en essayant de déchiffrer et de connaître avec exactitude les vitamines? Tout le monde sait qu’elles existent mais à quoi servent-elles concrètement? Quels sont leurs rôles au sein de notre organisme? Que risque t-on en cas de carences? Quels sont les apports journaliers nécessaires? Tant de questions qui peuvent demeurer sans réponses. A travers cet article, nous allons tenter d’apporter une certaine clarté autours des vitamines. CHEZ LE SPORTIF

Vitamine A (ou Retinol): Cette vitamine est uniquement présente dans les aliments d’origine animale; néanmoins, certains végétaux possèdent des provitamines A (carotènes) capables de se transformer en vitamine A. Elle est bénéfique pour la vision, le développement des bronches, de l’intestin et de la peau. Elle est également nécessaire dans la croissance osseuse, la synthèse de certaines hormones (comme la progestérone) et dans la défense immunitaire.

Durant un effort physique, notre corps va consommer nos très chères vitamines. En effet, grâce à l’action des vitamines, les nutriments vont être changés en énergie. En cas de pratique sportive occasionnelle (1 à 3h/semaine), les apports en vitamines doivent concorder à ceux de la population française. Mais en cas de pratique intense, les besoins en vitamines, B2, PP et B6 peuvent être augmentés.

Elle est aussi indispensable à la santé du système nerveux, à la circulation sanguine et à la réduction du taux de cholestérol et des triglycérides. La vitamine B3 est impliquée dans les phénomènes de désintoxication, d’anti oxydation et de synthèses d’hormones (œstrogène, progestérone, insuline,…).

Cette vitamine contribue à la fabrication de plusieurs enzymes. Elle possède des dérivés qui jouent un rôle dans la transformation des acides gras, des acides aminés et des protéines en énergie. Elle intervient également dans le métabolisme de réparation des muscles. Il n’existe pas de carence propre à la vitamine B2 mais plutôt des poly carences (manques relatifs à la vitamine B dans son ensemble).

Les vitamines (amines nécessaires à la vie) sont des substances organiques simples et non énergétiques qui sont indispensables pour le bon fonctionnement de notre organisme.

Vitamine B3 (ou PP ou Niacine) : Cette vitamine participe à la dégradation du glucose, à la nutrition cellulaire et à des fonctions métaboliques (celles des hydrates de carbone, des graisses et des protéines).

Vitamine B2 (ou Riboflavine) :

Aliments riches en vitamine B3 : - viandes, abats (foie cuit, volaille cuite) - légumes secs - poissons (thon, saumon fumé) - certains fruits (framboises, groseilles) - café torréfié - levure alimentaire - cacahuète - petit déjeuner type « All Bran » - lait Risques en cas de carences : - irritations de la peau - manque d’énergie - faiblesse musculaire - vertiges, maux de tête - perte d’appétit - nausées, vomissements - Pellagre (problèmes cutanés, digestifs et nerveux)

En effet, celles-ci agissent comme biocatalyseur en engendrant les cycles de constructions des éléments primordiaux à notre corps. Actuellement, 13 vitamines sont répertoriées et divisées en deux groupes: les liposolubles (solubles dans les graisses) et les hydrosolubles (solubles dans l’eau). Les liposolubles sont les vitamines A, D, E et K tandis que les hydrosolubles sont les vitamines C, B1, B2, B3 ou PP, B5, B8 ou H, B9 et B12.

Journal des courses : * UTMB 2008 * north face

Pierre Emmanuel Marchand, est un raideur passionné. Ce mois ci, il vous propose de vivre la mythique course du Mont Blanc de l’intérieur. De nombreux participants, athlètes, accompagnateurs ne prennent pas toujours conscience de la logistique mise en place pour que leur défi soit le plus confortable possible, enfin faut il utiliser le terme confort dans ce genre d’ultra trail… En tout cas, encore une édition riche en sensations et en paysage !!! Si vous souhaitez rejoindre notre équipe comme Pierre Emmanuel, n’hésitez pas à nous contacter : jeremyruiz@joggermag.fr

Utmb 2008 : l’envers envers du decors vu du cote organisation … Vous connaissez forcément l’U.T.M.B. : le tour du Mont-Blanc à pied. Le plus lus beau trail du monde, l’un des plus durs aussi, dans un cadre fabuleux. C’est désormais trois courses distinctes :

Trois heures de marche pour rejoindre le point de contrôle : oh dieu que c’est beau !

Monter, descendre, pour remonter puis redescendre, afin de remonter et avant de redescendre...

- UTMB : 166 km 9400m dénivelé positif 46 h maxi - CCC : 98 km 5 600 m dénivelé positif 26h maxi - La Petite Trotte à Léon : 220km 17 000 m dénivelé positif 100 h maxi Si on veut rajouter quelques chiffres à ce week-end end mythique, c’est aussi plus de 4 500 inscrits qui sont les heureux élus d’une coursee qui s’est déroulée sur Internet un matin de janvier, une course beaucoup plus courte, puisque les inscriptions sont closes en moins de 10 minutes. C’est bon pour les chiffres, vous en avez assez ? En fait il en manque encore un, pas le moins important, ett ce n’est pas un chiffre, mais un nombre, un vrai, avec des zéros derrière : 1 200. Le nombre de bénévoles qui sont volontaires pour consacrer un de leur week-end end à ces fabuleuses courses, contribuer à leur bon déroulement et prendre aussi du bon

temps car cela reste quand même un plaisir. La blessure qui m’avait incité à faire l’assistance pour un ami sur le récent raid CanéO est à peine guérie. Je me suis donc décidé à aller voir cette course de près, pour la vivre, ressentir l’ambiance, apporter ma pierre à l’édifice, profiter du paysage et rencontrer ces sportifs dont j’aimerais bien faire partie un jour. L’aventure commence le vendredi matin. J’ai réussi à m’extirper du boulot tard le jeudi soir et je suis allé dormir chez un pote à Chambéry pour couper la route en deux. Je me lève quand même à 5 h 00 pour arriver à 7 h 00 au grand hall des bénévoles afin de récupérer toutes les informations me concernant et rallier mon premier point d’affectation. J’avais demandé à être au plus près de la course, d’avoir la possibilité de voir les coureur et j’avais indiqué que j’étais prêt à marcher : je ne vais pas être déçu ! Chamonix se réveille et il y a du monde. On se croirait en plein Paris, avec des stationnements intempestifs et des doubles files qui deviennent même parfois triples. C’est le nombre

Journal des courses : * UTMB 2008 * north face impressionnant de camping-cars qui indiquent qu’on ne trouvera pas de bouches de métro à proximité. Nathalie sera ma partenaire pendant la première journée et elle m’attend dans le hall avec sa belle–sœur. Leur mari courent l’UTMB et l’une des deux a fait le CCC l’année dernière : ça vous pose une famille ! Pour commencer, on doit aller à la Tête de la tronche, lieu-dit côté Italien entre Bertone et Bonatti, qui comme son nom l’indique doit être un petit sommet. Notre rôle sera d’effectuer un contrôle inopiné des coureurs. Nous serons donc sur le CCC pour commencer. - Au fait, il y en a combien des coureurs ? - 2 200 ! - A quand même ! Et il faut tous les scanner ? - Evidemment, sinon ils sont déclassés car on considère qu’ils ont triché en empruntant un raccourci -… Bonjour la pression, y’a pas intérêt à faire de boulettes. J’imagine déjà le mec dépité, prêt à m’assommer parce qu’il a été mis hors course à cause de moi pour un contrôle mal fait.

Et d’ailleurs, comment on fait pour le contrôle ? On nous donne alors une espèce de scanette, digne de celle que donne un hypermarché à ses clients pour qu’ils fassent eux-mêmes le travail des caissières. Et il va falloir scanner 2 200 produits… On a tous les papiers, un beau teeshirt rose qui nous rend identifiable à des kilomètres, et il ne reste plus qu’à récupérer le panier repas avant de partir. C’est là que surviendra le seul petit couac du week-end : le bureau pour récupérer notre dû n’ouvre qu’à 9 h 00. Or nous avons trois heures de marche, une fois passée en Italie, pour rejoindre le point de contrôle. Impossible d’attendre donc car on n’aura pas le temps de tout faire. On se ravitaille donc léger dans une boulangerie en se disant que ça suffira et on décolle. Sortie de Chamonix en voiture, on prend le tunnel et on arrive à Courmayeur. On tourne à gauche pour longer le massif du Mont-Blanc. Déjà, c’est beau et l’excitation commence à poindre. On va déposer la belle-sœur de Nathalie qui elle, contrôlera au refuge Bonatti.

Utmb 2008 : l’envers du decors vu du cote organisation …

La longue file des coureurs que nous allons tous scanner, un par un

Même à 1 h du matin, le savoyard est accueillant pour cette belle course qui passe devant chez lui

La pauvre. Elle est finisher 2007 sur le CCC, donc respect quand même, et n’a pas pu s’inscrire cette année. Elle ne le sais pas encore, mais elle sera d’autant plus déçue qu’elle aura la lourde et frustrante tâche de recenser les abandons, sans pouvoir s’empêcher de penser qu’elle aurait peut-être pu faire mieux qu’eux. Nous, on revient un peu sur nos pas, on se gare et on prépare nos sacs pour rejoindre la fameuse tête de la tronche. De là, on démarre un superbe rando de 3 heures, avec un pause au refuge Bertone, pour tomber sur des Italiens à qui j’arrive presque à pardonner de nous avoir volé la Coupe du Monde 2006, tellement ils sont sympas et accueillants. Ils nous offrent même le petit déjeuner : thé, croissant et chamalow ! La première partie se déroule sur un petit chemin, assez raide par endroit, dos au massif du Mont-Blanc et je m’arrête toutes les 10 mn pour regarder.

Journal des courses : * UTMB 2008 * north face

Certes, c’est beau, mais c’est surtout que je suis complètement à court de forme, même pour marcher, et que je n’arrive pas à suivre le rythme de ma coéquipière. La seconde partie, après le refuge, est encore plus belle : nous sommes sur une crête, la vue est sublime et on voit au loin, un sommet. Je m’exclame à l’attention de Nathalie : - j’espère que ce n’est pas là-bas ! - non, je ne pense pas : c’est trop loin et trop haut, dit-elle

Mais est-ce pour se rassurer ou pour me rassurer ? C’est d’autant plus dur que le téléphone du boulot commence à sonner et que grimper en expliquant à mon stagiaire préféré ce qu’il doit faire en mon absence, conjuguée à celle de mon propre chef, c’est pénible pour le souffle.

Utmb 2008 : l’envers du decors vu du cote organisation … Finalement, il nous aura bien fallu trois heures pour nous retrouver à un endroit somptueux, sous un beau et chaud soleil et d’où on a une vue fabuleuse. Courmayeur est loin en bas. Devant nous, on a le massif du Mont-Blanc, sur la gauche, on devine le col de la Seigne et derrière, le descente que vont emprunter les coureurs vers le col Sapin et la montée que vont prendre ceux de la Petite Trotte à Léon vers le col Malatra. Le contact avec les coureurs est formidable. On se salue. Certains nous disent spontanément : « Merci les bénévoles ». On leur donne des indications sur l’endroit où ils sont et sur ce qu’il les attend. Un petit mot d’encouragement à certains. Comme on voit les noms et le club d’appartenance sur les dossards, je glisse même une plaisanterie à quelques uns. Ça les détend. Certains font même une pause et prennent le temps de parler avec nous : vu ce qu’il y a encore derrière, ils préfèrent y aller cool ! Il y a quelques spectateurs à nos côtés. Des randonneurs qui apprécient le spectacle de cette longue file indienne qui se dirige vers

nous en marchant, car on est tout en haut d’une montée. Le scanning des dossards se passe bien, pas de souci technique. Le seul problème c’est que le mien, ne bip pas convenablement pour confirmer que tout c’est bien passé. Prévoyante, l’organisation nous a donné un écouteur que j’utilise et qui fonctionne très bien. L’inconvénient est que les coureurs ne l’entendent pas et craignent de ne pas avoir été identifiés convenablement. Je dois donc les rassurer pour qu’ils poursuivent leur course. Le portable du boulot continue de sonner et je dois régler quelques cas tout en scannant les concurrents. Certains ont du me trouver très impoli et je m’en excuse, mais je n’avais pas le choix. Pas pratique quand même ! On est censé rester là 3 heures pour contrôler tous les coureurs : on y restera près de 4, à cause de la chaleur et d’un fort dénivelé, qui ont beaucoup étirés le peloton. En plus, on a un problème avec un Irlandais qui s’est endormi au sommet : il est malade et veut abandonner. OK, mais on ne peut pas le laisser là, tout seul. Est-il en état de redescendre ?

J’appelle le PC course pour savoir quoi faire. Les échanges vont durer près de 30 mn. Hélico, pas hélico. Il redescend ou pas. Seul ou pas. En plus, je commence à être inquiet car le timing est serré pour rejoindre notre second poste. Finalement, on accompagnera le malade qui a repris des forces jusqu’au refuge de Bertone, juste après avoir croisé les signaleurs qui enlèvent le balisage de la course, car l’UTMB passera par un autre chemin. On s’enquille le dénivelé en sens inverse pour retourner à la voiture. Il nous faut repasser par le PC course pour changer les batteries des scanners avant notre second poste. Il ne faut pas traîner, mais là commence la galère. Un embouteillage nous empêche de prendre le tunnel entre Courmayeur et Chamonix. Je préviens le PC course qu’on ne pourra pas peut-être pas être à 20 h 30 au second poste, qui est au Quy, entre St-Gervais et les Contamines, donc sur l’UTMB. Il me demande de faire le maximum car on il n’y a pas de solution de secours.

Journal des courses : * UTMB 2008 * north face J’en profite pour lui expliquer notre problème du plateau repas du matin : on n’a que très peu mangé et on n’a plus d’eau. Il faut qu’il nous trouve quelque chose. On finit par arriver et tout est près pour qu’on puisse repartir, sauf la bouffe. Nous sommes finalement autorisés à nous servir dans le buffet prévu pour les officiels. Avec Nathalie, on se fait donc un assiette à l’arrache, tout en mangeant aussi directement dans les plats, le tout au pas de course et sous les yeux des quelques huiles locales, qui ont du nous trouver peu ragoûtants, mais là, je ne m’excuse pas ! On fonce sur la route, évidemment je me trompe ce qui m’oblige à faire un demi tour sur une quatre voies, sans commentaires, avant de tomber sur un embouteillage du à une circulation alternée. On découvrira quelques minutes plus tard que c’est pour permettre à la course de passer. On arrive finalement sur un chemin au bout de nulle part, alors que moins de 5 coureurs sont passés. Le PC nous dit d’attaquer quand même : ils savent qu’ils sont les 5 premiers et en tiendront compte. Nous, on est

reparti pour 2400 scanning cette fois, mais de nuit et dans une ambiance fabuleuse. En effet, au bout du chemin, habite un couple qui est venu voir la course avec quelques amis et leur cloche, pour l’ambiance. Ils vont rester avec nous jusqu’au passage du dernier coureur, ajoutant la patience à la bonne humeur. Ils nous alimentent en eau, nous offre même le café et sortiront la grappa pour finir, à 1 h 30 du matin, juste avant d’aller au lit ! Je reconnais le nom de Yves Masson sur son dossard, membre du même club de raid que mon pote, alors je l’encourage. Surpris mais ravi, il lève un poing rageur dans la nuit. Idem pour Benoît Laval, que le Stéphanois d’adoption que je suis ne peut laisser partir sans crier « Allez les Verts ». Nathalie, elle, aura serré dans ses bras son beau-frère et son mari, fêté comme des héros par nos hôtes puisqu’ils connaissent la contrôleuse ! On en aura finalement fini peu avant 2 h 00 du matin, heure à laquelle le dortoir des bénévoles est bondé. Nathalie dormira donc dans sa voiture et moi dans la mienne, sur un parking à l’entrée de la ville.

Utmb 2008 : l’envers du decors vu du cote organisation …

Le bonheur, c’est par là !

L’eau est prête pour les coureurs à Bertone

Le samedi sera plus cool mais tout aussi riche. D’abord la matinée est libre et je la passe à regarder passer les arrivants de la CCC. J’en suis ému aux larmes et je les jalouse même un peu. C’est promis, j’essaierai d’y être en 2010. Il faut que je pense à le dire à ma femme. Je reprends mon poste à 14 h 00, sans Nathalie, sur la ligne d’arrivée où je distribue au finisher la polaire si durement gagnée. J’ai donc la chance d’assister à l’arrivée de tous les premiers avec toute l’intensité que vous imaginez. Je prends des photos, je filme un peu et j’ai la chance de pouvoir leur glisser un petit mot à chacun. Grand moment, renouvelé des centaines de fois sans ressentir la moindre routine. A 20 h 00, mon poste fini, je pars manger sur le pouce car l’arrivée d’Yves Masson est imminente et je ne peux manquer de parler enfin à cette légende du raid. Je reviens donc sur la ligne et je l’attends, fébrile, pour le filmer et lui serrer la pince.

Journal des courses : * UTMB 2008 * north face Il ne me connaît pas et je l’aborde d’autant plus brusquement qu’il sort juste de son effort. Je suis heureux mais j’apprendrai le lendemain matin que si j’avais attendu ¾ d’heures de plus, j’aurai aussi pu assister à l’arrivée d’un autre pote dont je ne savais pas qu’il participait à la Petite Trotte à Léon. Désolé mon Pascalou mais j’enrage encore. La prochaine fois, je resterai plus longtemps. Je retourne me coucher à la voiture, mais pas longtemps, car je reprends un poste de 2 h à 8 h du matin. C’est impressionnant aussi d’accueillir dans la nuit tous ces anonymes, alors que l’effervescence est retombée, pourtant auteur d’une performance que je considère de très haut niveau. Ils sont heureux et nous partageons un peu de cette joie avec eux, par procuration. Certains sont déçus car leur temps ne leur convient pas, alors nous essayons de les réconforter. Pour certains, la polaire est symbolique, mais pour beaucoup, c’est la marque de plusieurs mois d’efforts, matérialisés ce jour-là et ils l’enfilent devant nous comme pour bien être sûrs qu’ils sont allés au bout.

Rarement cadeau aura été autant mérité. Au petit matin, j’accueille la relève avec satisfaction quand même, avant d’aller boire un grand crème et de manger un croissant avec la jeune fille avec qui j’ai partagé toutes les émotions de cette nuit. C’est la fin d’un beau week-end, riche en satisfaction et intense. Certes on est crevé, mais pas autant qu’eux, ces forçats du trail, que j’admire et que j’espère approcher encore, et pourquoi pas essayer de les rejoindre. J’ai déjà quelques belles passes d’arme à mon actif alors si ma cheville et mon chef me laissent tranquille, je reviendrai, mais pour me faire scanner le dossard, pas pour scanner celui des autres. Si je n’y arrive pas, alors ce sera à nouveau comme bénévole, mais ce ne sera pas par dépit car il y a bien une vie derrière l’UTMB et elle est belle. PS : cerise sur notre gâteau, l’organisation nous a fait la surprise de nous envoyer, sans nous le dire avant, un superbe coupe-vent technique The North Face, comme récompense. C’est un peu notre polaire finisher à nous. On ne la pas

Utmb 2008 : l’envers du decors vu du cote organisation …

volé non plus mais notre vraie récompense a été tout le long du week-end.

Journal des courses : * Coupe du var vetathlon * EMBIEZ 2008

Petit rappel sur la discipline : Le Vétathlon est une discipline qui rejoint le duathlon à la différence que la partie vélo est en nature soit V.T.T. En général les distances de course à pied ne dépasse pas les 10 km et la partie vélo 25km. L’émergence de coupe départementale et de nombreuses compétitions permettent à cette discipline, d’attirer de plus en plus d’adeptes .Nous avons choisi la Coupe du Var comme support médiatique cette année. Si vous souhaitez rédiger des articles sur vos courses dans votre région , n’hésitez pas à nous contacter : jeremyruiz@joggermag.fr

Coupe du var : de l’interieur avec le team ams-evenos…

Passage des vélos à la révision et dernier coup de téléphone pour les horaires de bateaux…

Ca y est, le coup d’envoi est donné pour lancer la coupe du Var de Vétathlon 2008. Une coupe se prépare en amont dans une saison, car il faut prévoir la gestion des manches, présence ou pas avec utilisation de joker, ce qui nécessite avant tout une bonne lecture du règlement. Hormis le coté sportif et physique, on oublie parfois d’étudier le règlement qui détermine pourtant les modalités de classification et participation, important pour préparer son calendrier, bloquer des week end, préparer le transport…

La météo conditionne souvent le mental mais au final quelque soit le temps, on prendra le départ avec son dossard sur le ventre près à en découdre. Ce vendredi là, je venais de voyager toute la nuit, le train de rigueur pour faire Besançon – Toulon. Je suis militaire sur la base aérienne de Luxeuil les bains en Haute Saône. Mon coéquipier, clément lui arrivera de Nîmes comme à son habitude en fin de soirée. Voila toute une journée de libre a récupérer, ainsi qu’aller trottiner pour éviter d’avoir des courbatures du au voyage.

Je vous propose de vivre de l’intérieur la 1ère manche qui a eu lieu le 7 septembre dernier à l’Ile des Embiez avec la team AMS-EVENOS.

Coté entrainement le vendredi est un jour de repos, car il serait inutile de faire une séance l’avant-veille de la compétition, on y perdrai en jus et on y gagnerai rien en amélioration physiologique.

Pour commencer, il faut savoir que vous pouvez participer à un Vétathlon en individuel ou en équipe avec un coureur et un cycliste. VENDREDI 5 septembre : Nos Rockrider 8xc en salle d’attente pour une fouille approfondie !!!

Comme à chaque fois, la première pensée du matin va pour quel temps va-t-il faire dimanche. Chez un sportif en week end compétition cela reste normal, rassurez vous.

SAMEDI 6 Septembre : Quand vous êtes seul, le paramètre du stress se gère plus ou moins bien car on finit par se connaitre avec le temps. Sauf que là dans notre cas, il y a deux coéquipiers qui se cherchent le moindre petit signe de forme et c’est la catastrophe. Le moindre petit détail contradictoire et on s’inquiète.

Journal des courses : coupe du var de vetathlon Mon équipier et moi avant deux caractères qui finalement se complètent donc on arrive toujours a se rassurer l’un pour l’autre. Le matin nous avons amenés nos vélos au magasin Décathlon le plus proche, des Rockrider 8xc à la révision complète. Pas encore de véhicule utilitaire pour la facilité, c’est le porte vélo de rigueur. Il faut dire qu’encore une fois l’atelier de Décathlon a fait un boulot remarquable. Clément avait cassé une partie de sa manette de vitesse et il n’y avait pas la pièce dispo en magasin. Sachant que nous avions une compétition le dimanche même, ils ont pu prendre le nécessaire sur un autre vélo neuf. Pendant que nos vélos passés à la révision, on a pu en profiter nous, pour flâner dans les rayons cycles et diététique. L’après midi, c’est la sieste pour tout le monde, un peu plus tard c’est le moment enfin d’aller faire tourner les jambes. Pour moi l’échéance du dimanche n’étant que la prise de conscience d’une nécessité de reprendre l’entrainement, car 8 mois sans activité dite de ce nom, je savais que j’allais être à la rue. Donc c’est à

deux que nous sommes partis roulés une petite heure. Il est 19h, dernière préparation des vélos, graissage, nettoyage au chiffon électro statique… Puis un repas complet, pour tous je ne pense pas que cela soit un secret, des pates, un peu de gruyère pour le goût avec de l’eau. C’est simple rapide efficace et surtout ça cale. Séance rasage des jambes pour la toute dernière finition, ainsi que massage pour bien dormir. Peut être un peu de télé car l’équipe de France de Foot affrontait l’Autriche, mais je ne commenterais pas le score.

Clément Sintes dans le bateau qui faisait la navette entre Six fours et l’Île des Embiez (VAR)

Le sommeil, la veille d’une course est souvent perturbé peut être du à l’euphorie de prendre le départ, enfin il ne faut pas se mettre de pression pour trouver le sommeil, la nuit la plus importante est celle de l’avantveille. Pour nous, se fut une nuit de 7h. DIMANCHE 7 SEPTEMBRE : 7H00 : Génial, au réveil il fait beau, météo France pour des rares fois avait vu juste !! Par contre il ne fait pas si chaud qu’il devrait être en cette

Une photo prise par le photographe thierry juoanin …

Jérémy Ruiz dans la côte, on ne peut qu’admirer le paysage magnifique de l’arrière plan…

période sur la côte d’azur. 8H00 : C’est leur du départ pour l’île des Embiez, un petit coin de paradis appartenant à la famille Ricard (pastis renommée mondial) au large de Six fours le Brusc. La particularité de cette manche de coupe, c’est qu’il faut prendre le bateau pour se rendre sur le stand de l’organisation. 9H00 : En tout cas, l’association Var défi nature qui organise depuis quelques années a montré une qualité d’organisation sans failles. Des parkings étaient mis à notre disposition gratuitement, et le mot gratuit prend toute sa valeur sur la côte d’azur. L’année dernière on avait pris une amende pour non paiement de parking. Et oui même le dimanche les forces de l’ordre travaillent.

Journal des courses : * coupe du var de vetathlon

9H30 : On peut dire que la traversée c’est bien déroulée, les vélos ont pris le pouvoir du bateau pendant quelques instants. 10min de trajet entre chaque port. Le stress commence a prendre place, Clément évalue le potentiel des futurs concurrents, à leur vélo. Enfin ce que fait un athlète qui n’est pas en pleine confiance. Moi ce jour là, je suis dans un état d’esprit différent, pas envie de jouer la gagne. Je savais que les quelques petits footing rendraient la partie difficile (se fut le cas). La pression est positive quand on sait la gérer, et la je souhaitais prendre du plaisir avant tout.

Vivez la coupe du var avec le team ams evenos …

10H00 : Une fois les vélos, posés dans le parc prévu à cet effet, nous avons pu aller à la chasse d’épingles à nourrisses. Il y a du monde, des coureurs finissent la course de 9h30, un 14km de toute beauté. 2 tours de l’île a effectuer, dommage que celle-ci n’attire pas plus d’athlètes de haut niveau. Les individuels, et les équipes arrivent par en fonction des horaires de bateaux, mais comme chaque année, le vétathlon des Embiez se fera sous un magnifique soleil, une température acceptable et dans cadre paradisiaque. 10H50 : L’avantage dans ce genre de compétition, c’est que tout le monde se connait, enfin bien sur à quelques exceptions. L’état d’esprit sportif est bien là, adversité et cohésion. On a la particularité dans cette discipline de partager l’échauffement entre coureur et cycliste. Celui-ci a duré pas plus de 30min. le départ donné à 11h30, la petite marge de 10min a été plus que limite parce que les petits détails comme changer de chaussures, faire ses lacets, avec la petite appréhension d’avant course tout devient plus compliqué.

PENDANT LA COURSE : le décor est planté, les objectifs aussi depuis 2 mois… En ayant repris l’entrainement il y a quelques jours après une coupure de plusieurs mois, il fallait partir prudent. Je peux comprendre maintenant que la course à pied demande des sacrifices nécessaires pour aller vite. Mais parfois la situation professionnelle, familiale ou même la condition physique parfois, font que nous ne sommes pas maitres de notre niveau de forme. Enfin là où le vétathlon, est intéressant c’est qu’il propose une performance au cumul des deux coéquipiers. Le « pas dans la course » peut être compensé dans la super forme de l’autre. Au final, je passe le relais à Clément avec plus d’une minute de retard sur

le premier et il fera l’erreur du débutant, partir fort pour rattraper ème son retard. Bilan il craque dans le 2 tour, en se payant même le luxe de se tromper de chemin et perdre ème 1minute. On finira 4 de cette manche mais outre le résultat, on retiendra la belle journée ensoleillée et le cadre idyllique des Embiez. Le rendez vous est pris pour dans 3 semaines à La Navarre (83). A noté, la victoire des Frères Djoudi avec une bonne marge d’avance sur les 2èmes, les frères Bony. Pour plus d’informations, retrouvez le site de l’association Var défi Nature. Une organisation sans faille, est la réussite du trophée varois 2008.

Resultats embiez 2008

1h02'10

1020

1h02'19

1019

DJOUDI Saïd BONNY Guillaume

DJOUDI Nicolas BONNY François

Equipe Hommes Equipe Hommes

1h02'20

1341

PELET Thierry

1h04'21

1342

DICIOCCIO Julien ROUX Janick

Equipe Hommes

SINTES Clément

Equipe Hommes

1h04'51

1018

MOURGUES Jean Loup

1h05'30

1009

RUIZ Jeremy

IND VET+ H IND H

1h06'16

1365

FERRIE Jonathan

1h06'48

1370

MOURGUES François BOULOUS David

Equipe Mixtes

LOMBARD Guillaume

Equipe Hommes

1h09'42

1014

TREGUIER Emmanuelle

1h10'20

1008

SANTIAGO José

INDH INDH

Journal des courses : * 10.6km d’autun *

Jacky Thaveau, est un vétéran conquérant qui n’a pas froid aux yeux quand il faut se déplacer à la fraiche le dimanche matin pour prendre le départ d’un 10km. A 57ans, il nous fait vivre la course de l’interieur celle du 10.6km « Croix de la libération » à Autun. Si vous souhaitez rejoindre notre équipe comme Pierre Emmanuel, n’hésitez pas à nous contacter : jeremyruiz@joggermag.fr

10.6km d’Autun : Jacky Thaveau nous raconte… Course de côtes de 10.6 km « la croix de la libération » à Autun édition du 5 octobre 2008. Levé à 5h40mn, petit déjeuner habituel ; bol de café au lait, je sais ce n’est pas terrible mais c’est comme ça, à 57 ans on a du mal à changer ses habitudes.

Deux tours de lacs au départ avant d’attaquer la côte…

Photo prise de l’arrivé, il ne faut pas avoir peur du dénivelé !! On voit le lac du départ en contre bas…

Préparation de la bête, j’ai du temps devant moins car je vais partir de Ciry à 7h30. Alors comme la course est très dur et que j’ai fait le marathon de Decize la semaine avant. J’aurai besoin d’une équipe en forme, j’ai prévenu le cœur hier soir, en faisant un léger footing et quelques lignes droites, quand je fais ça…le cœur sait que le lendemain il va falloir y aller. Les jambes sont prêtes, affûtées, elles répondent bien, mais peut-être pas à 100% dans les terribles côtes qui mènent à la croix de la libération. Donc j’averti les épaules et les bras qu’il faudra peut-être amplifier le mouvement et donner un peu plus que d’habitude. Alors je fais 120 pompes…ça ne sert peut-être à rien (quoique !), mais comme je n’ai pas grand-chose d’autre à faire.

Je rassemble le matériel, tenue de course allégée au possible, débardeur, short ultra court, chaussures sans amorti quasiment. Vu qu’il n’y a pas beaucoup de descente, le bandeau pour retenir la sueur, le chrono et…la bouteille, 33cl, d’eau glucidée. Je prends le sac douche et change. Le talc, les épingles, la licence, l’argent, la casquette, l’appareil photo,…. Manque rien ! Tout est là…. ! J’ai prévu de faire un départ très rapide (pour moi !), je vais ventiler énormément, Aller la Mégane direction Autun HA 1° Celsius sur le capteur de l’auto…..pfffffffffff J’vais être bien en débardeur, bon départ à 10h si le soleil est là ça va monter. Je fais 200m, 0°, je continue 1°, puis -2° si ça continue comme ça je retourne chercher les moufles et boire un coup d’niaule ! Tiens un hérisson pas encore vivant sur la route…s’il ne faisait pas si froid je l’aurais mis dans l’herbe pour ne pas qu’il se fasse écraser….

Journal des courses : * Croix de la liberation * AUTUN Puis d’un coup je suis anéanti… Je m’aperçois que j’ai oublié de prendre la glacière avec les binouzes. C’est la cata…AA a encore frappé aujourd’hui (Aloïs Alzheimer), mais là comment vais-je pouvoir récupérer sans ma bière………je suis à la limite de la déprime (j’en rajoute un peu)… J’arrive tranquille à Autun, le lac n’est pas encore gelé… La brume se lève doucement, les canards s’ébrouent. Oh que c’est beau dirait Eric l’écolo…. Je vais m’inscrire, je suis le premier c’est un cygne non un signe peutêtre. Je place le dossard…du mauvais côté pour commencer. Je suis con le dossard je l’ai mis dans les dos….c’est sur le ventre un dossard… J’ai toujours pas compris pourquoi ça s’appelle un dossard !!! Je rectifie la position. Voila c’est fait, je bois, je pisse, je bois je pisse, je bois… etc…. Je prends quelques photos « paf » l’accu est mort…ben oui avec ce froid… Le monde afflue de toute part. Je vais aller m’échauffer avec ma canadienne, parce que la ce n’est pas le marathon, ça va droper d’entrée donc il faut un bon échauffement.

Une demi heure de footing quelques accélérations….c’est pas mal. J’écoute Jeannot ! Je me place sur la ligne, les organisateurs veillent à ce que personne ne morde le trait (remarque c’est du plâtre vaut mieux pas le mordre…le trait) Pff (je ne vais pas sniffer la ligne quand même !) Bien positionné le Jacky... Il ne faut rien laisser au hasard tout à de l'importance sur une course. Le départ est donné il y a un coureur juste devant moi. Mais j’ai bien choisi, puisque c’est celui qui finira premier… Effectivement, je pars sans forcer je suis aspiré par le gars, départ tonitruant, du coup je passe le premier km en 3’28’’ ben, y a longtemps que je n’étais pas parti si vite. Décoiffé l’Jacky ! Là, je temporise parce qu’il faut partir vite OK, mais y’a la côte là-bas qui attend. Je passe le km 2 en 7’12’’, puis le km3 avec déjà une petite montée en 11’12. Maintenant il faut garder cette cadence finir les deux tours comme ça. Récupérer si possible dans le p’tit faux plat qui précède la côte. Je suis très bien dans la tête.

10.6 km d’autun : vu de l’interieur avec jacky thaveau …

Une petite course sympa, mais qu’est ce qu’il fait froid dans cette région !!!

La tête de la course et une traversée de village pour le bonus !!

Je suis pas mal, mais avec le marathon dans les jambes vont-elles bien pousser ? C’est parti 19’51s j’attaque la côte ça va, mais celle là elle ne monte pas beaucoup par rapport à la suite. Certes elle est longue, toute droite, monotone…. Mais il faut la faire. Il y a 7 coureurs autour de moi, y a de la bagarre, ça double, ça redouble, en tous les cas… Ca souffle. Virage en épingle…au plus court…ça grimpe mais il manque un petit quelque chose dans les cuisses. C’est reparti, les places sont plus ou moins figées. Franck, c’est la deuxième course que je fais avec lui…on ne se connait pas, mais je peux vous dire qu’il est Hyper fort dans la tête ce gars là, sacré mental chapeau ! Enfin un peu de répit, une descente assez longue, on peut souffler…eh bien non, il ne faut pas mollir on déroule. Parce que bientôt…ça va remonter. Après, on arrive à un carrefour, il faut prendre à droite.

Journal des courses : * croix de la liberation 10.6km * autun

Sur le côté gauche il y a un mur « minable » et vous savez qu’est-ce qu’il y a derrière. Et bien ceci…

Étonnant non ! Ça va surprendre quelques coureurs ça, on est loin d’imaginer ça quand on passe devant. Maintenant un faux plat montant, un virage à droite et…un mur.

Course de cote : jacky thaveau a gauche nous raconte..

Jacky en seconde position sur la photo essaie de revenir, « ondes positives action ».Un peu d’aide….STP hé ho réveil ! A l’issue de la course nous ne prenons pas la navette, nous prenons les « raccourcis » et nous retournons vers la ligne de départ à pinces. Je peux vous dire que Georges est un gars formidable, très grand champion…de vélo (2 victoires sur le circuit de Saône et Loire, entre autres, puis de course à pieds. Son premier marathon à 53 ans 2h32mn…mes respects. Ex champion de France V2 et V3 de marathon + tout le reste, il faut des pages entières. Là c’est un client. Très humble et fort sympa.

Je peux vous dire qu’il règne une très bonne ambiance sur cette épreuve, j’ai un très grand plaisir à faire cette course. Le plus, en attendant les résultats, le film de la course est projeté sur grand écran…c’est formidable…quel plaisir. On voit tous les coureurs et plusieurs fois… Merveilleux. Bon maintenant je vais vous parler de mes lots. L’ombre au tableau….. - Une grosse coupe - Un séjour à la montagne d’une semaine…Vous savez le piège à con où pour toi c’est gratuit mais il faut que tu trouves un abruti qui veule bien payer sa place pour que tu puisses y aller gratuitement (ça c’est fait). - Un bon d’achat de 15 € sur du foie gras…il va falloir débourser pour gagner de l’argent….ZERO - Un paquet de macarons….pas mal mais beaucoup trop petit - Un tee-shirt taille M, qui irait très bien à un Wallisien d’1,90 et 140 kg. - Un rasoir mécanique…peut être parce que je suis un coureur « au poil » ! Bof à voir - Un sac Classement : Le premier termine en 39’45’’ pour 10,6 km, ce champion tourne à moins de 32mn sur 10km ça donne une bonne indication des difficultés de cette course. Je suis 28ième/195, je fais un chrono de 46’19’’ officiellement… j’améliore mon temps de 52s.