Portfolio Paysage Johann Macke by Johann Macke

PORTFOLIO

J o h a n n

M a c k e

JOHANN MACKE PAYSAGISTE CONCEPTEUR

FORMATION Johann Macke 23/10/1995 - 24 ans 06 48 45 47 49 johann.macke@gmail.com Permis B johann.macke@gmail.com

0648454749 24 ans

3 rue des Bégonias 59190 HAZEBROUCK

Permis B + voiture

Formations

2016-2019 Diplôme d’État de Paysagiste (DEP) COMPÉTENCES École Nationale Supérieure du Paysage de Versailles (78) LOGICIELS 2015/2016 Adobe Photoshop et Aménagement L2 Géographie Adobe Indesign ULCO - Dunkerque (59) Adobe Illustrator Qgis Microsoft Word 2013/2015 Microsoft Excel BTS Design d’Espace - l’ESAAT - Roubaix (59) Autocad Sketchup 2013 BAFA - Base du Parc de Morbecques (59) LANGUES ÉTRANGÈRES 2013 Anglais Baccalauréat Technologique STD2A Espagnol (Sciences et Techniques du Design et des Arts Appliqués) Lycée Saint-Denis, Saint- Omer (62)

2019-2020 : Deuxième année de Master PAUL (Politiques d’Aménagm et Littoral) à l’Université du Littoral Côte d’Opale de Dunkerque, (Franc

Expériences

2016-2019 : Obtention du Diplôme d’État de Paysagiste (DEP) à l’Écol Supérieure du Paysage de Versailles (France).

2015/2016 : Deuxième année de Licence Géographie et aménagemen l’Université du Littoral Côte d’Opale, Dunkerque (France). Depuis Septembre 2019 Agent d’accueil au cinémadu «Les arcs-en-ciel» à Hazebrouck, (59) (Ecole 2013/2015 : Obtention B.T.S Design d’Espace à l’E.S.A.A.T des Arts Appliqués et du Textile), Roubaix (France). Juin/Juillet 2018 2013 : Obtention du B.A.F.A ( Brevet d’Aptitude au Fonctions d’animate Stage endu bureau d’étude à l’Agence Bocage, Bailleul (59) Base Parc de Morbecques (France).

Réalisation d’études du d’impacts 2013 : Obtention Baccalauréat Technologique S.T.D.2A (Sciences e Techniques du Design et des Arts Appliqués) à l’école Saint-Denis, Sai Suivis de chantiers (France). Carnets de recommandations pour plusieurs projets d’implantation de panneaux photovoltaïques Projet de ZAC

EXPÉRIENCES PROFESSIONNELLES

2017/2018 Agent d’accueil durant toutes les petites vacances scolaires au Depuis 2019 : Agent d’accueil cinéma «LesSeptembre Arcs-en-ciel», Hazebrouck (59) polyvalent au cinéma «Les arcs-en-ciel» à Hazebrouck, (France). Août 2017 Juin et Juillet 2018 : Stage en bureau d’étude à l’Agence Bocage à B Stage au Jardin du Montd’études des Récollets, Cassel (59).de chantiers, conceptio (France). Réalisation d’impacts, suivis Taille des pommiers, travail dans le potager, désherbage, taille 2017/2018 : Agent d’accueil polyvalent durant toutes les petites vacanc en topiaire scolaires au cinéma «Les Arcs-en-ciel» à Hazebrouck, (France) Mars et Août 2017 Août 2017 : Stage «ouvrier» de deux semaines au Jardin du Mont des Stages au Jardin Botanique (Italie). à Cassel, (France). Taille de desHanbury, pommiers, travail dans le potager, déshe Plantation, désherbage, taille, herbier, banque de graines taille en topiaire.

Mars et Août 2017 2016 : Stages «ouvrier» de trois semaines chacun au Ja Octobre 2015 à Août Botanique deau Hanbury, Plantation, désherbage, Agent d’accueil cinéma(Italie). «Les Arcs-en-ciel», Hazebroucktaille, (59) herbier, b graines.

Juillet 2013,2014,2015 2016 Octobre 2015 à Aoûtet 2016 : Agent d’accueil polyvalent au cinéma «Le Arcs-en-ciel» à Hazebrouck, (France). Animateur au centre aéré «La barrière Rouge», Hazebrouck (59)

Mai/Juin 2014 : Stage en paysage dans l’entreprise «Alice au jardin de merveilles», Saint- Omer (France). Travail en extérieur (relevés de terr plantation, entretient...) et en bureau d’étude (conception).

Connaissances Curiosités

Juillet 2013,2014,2015 et 2016 : Animateur au centre aéré «La barrièr Hazebrouck (France). Préparation d’activités sportives et manuelles po enfants 4/6 ans et 10/12 ans. manière d’exprimer mes Photoshop, Illustrator, In Design OOOOO Pratique dude piano (la plus fascinante OOOOO émotions) CENTRESSketchup D’INTÊRET Autocad OOOOO Peinture (un art qui invite à la détente) QGIS OOOOO Balades (surtout lorsque le temps est bon et que le ciel est bleu) Word, Excel OOOOO Cinéma (dernier film vu : Un jour de pluie à New York par Woody Sport : Randonnée, balades, course à pieds... Loisirs : Piano (depuis l’âge de 8 ans), voyages, Allen musées, cinéma, lecture, dessin et peinture, ... Anglais, Espagnol : scolaire Lecture (premier livre marquant : Histoire d’un ruisseau de Elisée Reclus)

Sommaire

Projets et analyses paysagères ...............................................................

Topographie

Comprendre le paysage en maquette .................................................................................

Mise en scène

Paris Observé, Île de la cité ...................................................................................................

Mémoire géologique

Faire projet avec la contrainte du sol, Clichy-sous-Bois .....................................................

Milieux humides

Analyse d’une zone humide, Bois d’Arcy .............................................................................

Tumescence et cicatrisation

Du grand territoire au micro quartier, Buenos Aires ..........................................................

Au fil de l’eau

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Balade rythmée aux ambiances changeantes, Guédelon .................................................

Where urban meets rural

Rencontre inter-écoles, Barcelone ........................................................................................

Lumières - couleurs

Laisser entrer la Chartreuse dans Grenoble ........................................................................

Un étagement du relief

Lecture urbaine, Paris .............................................................................................................

La voirie

Moteur d’une densification post-pavillonnaire, Essonne ..................................................

Un crayon à la main, croquis et peintures ................................

Projets et analyses paysagĂ¨res

Topographie

Comprendre le paysage en maquette / septembre 2016

Travail sur le relief d’un paysage de plaine ponctué de quelques monts. Après la réalisation de la maquette, on observe l’apparition d’un micro-relief dévoilé par la texture du matériau utilisé : les billes de polystyrène. Ce paysage est composé de deux éléments : les monts et le micro-relief qui s’opposent et se complètent. L’un n’est pas mis en valeur sans l’autre. La maquette en trame montre des lignes douces, un lissage du relief. La lumière met en valeur les creux. Il y a des directions et des cassures dans le paysage. C’est un travail sensible autour de la topographie. Les maquettes expriment l’ombre, la lumière, et la manière dont celle-ci accroche le sol et expriment des ambiances spécifiques.

Mise en scène

Paris Observé, Île de la cité / Travail de groupe / juin 2017 Intégrer dans un projet de paysage la question du changement climatique. Ici, le square du Vert Galant et le pont Neuf à Paris deviennent un observatoire sur la ville. Il a aussi fallu s’interroger sur les nouveaux usages que le lieu pourra offrir en le pensant de manière prospective. Cette interrogation s’est aussi faite pour le choix des matériaux, la végétation, la topographie… Cela pour répondre aux problématiques de la montée des eaux et du réchauffement climatique.

Les usages sont différents sur les rives nord et sud. Du côté le plus chaud on imagine un espace de baignade et de l’autre une promenade. La végétation permet de créer à l’intérieur du nouveau parc des zones d’ombre, des lieux de pauses, des espaces plus frais. Depuis le pont Neuf, cette même végétation cadre la vue sur plusieurs monuments emblématiques de Paris.

Mémoire géologique Faire projet avec la contrainte du sol / novembre 2017

Dans le cadre d’un plan de réhabilitation de la carrière située à Clichy-sous-Bois, la demande était de créer un parc urbain contemporain. Le site, terrain d’environ 20 hectares, se compose de deux espaces : au Nord, un boisement et au Sud, un terrain vague en réhabilitation (terrassement des terrains, comblement des carrières,…). Cet espace fût façonné par l’eau qui durant des millions d’années l’a fait évoluer, changer. Elle a donc fait naître ici le paysage tel qu’on le connaît. Elle provoque encore l’érosion des sols, crée des ravinements, des excoriations mais a fait naître une réelle biodiversité.

PMR

CHEMINS ET ACCÈS Entrée Entrée PMR Chemins Chemins PMR

HYDROLOGIE Écoulement de l’eau qui suis le sens de la pente, vers l’Ouest Écoulement de l’eau qui suis le sens de la flêche, utilisation d’une faible pente pour diriger l’eau

Espaces de faibles pentes ( environ 0,5 %)

Le projet propose une balade et une traversée du parc. Les couches géologiques permettent de dessiner, de créer les différents espaces et strates. Chaque espace se compose d’une végétation spécifique qui correspond au mieux à la nature du volet qui propose différentes ambiances. À travers la végétation et la forme des espaces il est ainsi possible de lire l’histoire et la structure géologique du site. Le site est un espace orienté. Il y a une traversée visuelle transversale forte et une traversée physique longitudinale presque inexistante. Le projet propose un équilibre entre ce que l’on voit, ce qu’on ne peut pas voir, ce qu’on peut toucher et ce dont il est nécessaire de rester à l’écart. De la topographie découle les points de vues. L’aménagement du parc crée du lien entre les quartiers sensibles au nord et les quartiers résidentiels au sud. 15

MILIEUX HUMIDES Bois d’Arcy

Milieux humides

Analyse d’une zone humide, Bois d’Arcy/ Travail en groupe / décembre 2017

Un travail d’analyse sur un site donné pour comprendre la composition et l’évolution d’un milieu humide au Bois d’Arcy. Avec une réflexion sur le devenir du site.

Tiphaine Babulle-Cadin Johann Macke

EVO

EVOLUTION DU BASSIN

SCÉNARIO DE GESTION SUR 20 ANS Etat actuel

Montée du niveau de l’eau = élargissement du cours d’eau

Baisse du niveau de l’eau = réduction du cours d’eau

EVOLUTION DU BASSIN

TION SUR 20 ANS

SCÉNARIO DE GESTION SUR 20 ANS

Etat actuel

Montée du niveau de l’eau = élargissement du cours d’eau

Baisse du niveau de l’eau = réduction du cours d’eau

Tumescence et cicatrisation

Du grand territoire au micro quartier, Buenos Aires / Travail en groupe / février 2018

L’approche paysagère du site s’est faite en s’appuyant sur l’économie mondiale et informelle de Buenos Aires. On observe un déclin du dynamisme du sud de la ville qui se traduit par l’abandon d’usines, le développement de friches, et d’espaces inoccupés. Le site présente également un relief qui met en évidence une graduation d’espaces plus ou moins humides laissant entrer l’eau à l’intérieur des terres. Les axes routiers ont une forte empreinte qui enclave et partitionne les territoires au sud du Riachuelo.

Travail à plusieurs échelles : littoral, ville, quartier, rue sur une temporalité de 100 ans. Sur cette échelle de temps, la problématique de la montée des eaux est un élément structurant du projet. On réaménage les espaces abandonnés (usines) en les transformant en zones tampons, pouvant accueillir l’eau. C’est un projet où l’on ne s’oppose pas à l’eau mais on vit avec l’eau. Les zones industrielles laissent place à la végétation pour que le site puisse à terme, à l’échelle du littoral, s’inscrire dans une continuité de la réserve écologique.

Au fil de l’eau

Balade rythmée aux ambiances changeantes, Guédelon / Travail en groupe / février 2019 Le site du moulin compris dans ce boisement mouillé, est entouré de zones sèches et d’autres très humides. Au cours de notre immersion dans ce paysage boueux et noueux, il a été décidé de mettre en avant les espèces végétales qui vivent dans ce milieu. Faire découvrir aux visiteurs, le long des bois mutilés, immergés et des touffes d’herbes en îlots, la multitudes d’ambiances que propose ce boisement. Au détour de ces ambiances forestières, il est proposé une passerelle continue. Celle-ci sera au fil des saisons l’objet d’un voyage au cœur des bruits de la forêts et de ses odeurs changeantes. Ce cheminement entre les arbres vient épouser les accidents arborés et met en exergue leur utilité au sein de l’espace forestier.

Where urban meets rural Rencontre inter-écoles / Travail en groupe / mars 2018

Le site de projet est une bande de terre bordant la rivière Llobregat à Barcelone, traversé par de nombreux axes de transports : autoroute/voies ferrées. C’est un terrain plat, agricole, déconnecté de la ville pourtant toute proche. Le projet présenté est un réaménagement qui amène une transition entre urbain et rural : une succession d’esplanades dominant un maillage agricole entrecoupé de promenades, une digue haute qui borde les infrastructures parasites et qui amène une continuité dans la plaine et un regard vers les collines. L’inscription dans la trame urbaine est visible, les grands axes du « parc » prolongent les rues descendants la colline, le bâti est pensé comme une extension du maillage.

La topographie dessine le parc et est visible à travers les usages : dans les points bas, l’agriculture. Dans les espaces hauts, de grandes traversées urbaines. Les digues accompagnent les axes routiers découpants le site, isolant du bruit et de la vue. L’approche entre l’urbain et l’agriculture se veut similaire à celle que l’on a lorsque l’on s’approche de la rivière : une descente progressive, un horizon ouvert sur le ciel et les paysages alentours, des axes ville/ campagne toujours présents.

Lumières - couleurs Laisser entrer la Chartreuse dans Grenoble / mai 2018

Le projet a débuté par un intérêt aux lumières et aux couleurs particulières de la Chartreuse ; elles sont la résultante de ce qui compose ce territoire et découlent d’une certaine végétation, du relief, de la présence de l’eau, de la présence humaine,… Une végétation qui crée un certain mouvement dans le paysage et qui crée également du rythme et des ambiances particulières qui nous plongent parfois dans une forme d’introspection. Un projet qui se veut fabriquer des espaces de fraicheur et créer une continuité d’espaces publics faisant lien entre le haut et le bas, la montagne et la vallée. Un travail qui met en avant certaines vues sur et depuis la ville. Ce travail a été mené à travers l’écriture sur site qui a permis de le ressentir et d’exprimer les ambiances.

D’un coté le clair et de l’autre le foncé. Tout naturellement, mon regard s’est tourné vers la pierre blanche. Même si le soleil est présent, le paysage au loin est terne. Il s’estompe avec la distance.

Le bruit vient salir les couleurs, il rend le paysage moins agréable à voir. Le panorama par moment Saint Laurent du Pont. disparait, tout ce qui nous entoure prend alors plus 7H30. La Chartreuse n’est pas encore réveillée dort encore sous sa couverture nuageuse qui d’importance ; les arbres, les haies, et les clôtures, l’entoure. La brume est épaisse, presque opaque, lourde. Seul les pierres, les gens, les bordure, le sol. le noir de certaines parties de la roche reste visible, et il nous Puis la Chartreuse refait timidement son de appariest impossible comprendre le relief, de deviner la montagne, tion. Et c’est un rythme qui de se savoir crée entre desestvi-en montagne. C’est comme si la brume, que l’on sions lointaines, des visions proches, couleurs blanche etdes humide, se déroulait depuis le haut de chaque ternes, des couleurs vives,...sommet jusqu’à nos pieds, puis nous contournait et continuait son chemin dans notre dos. Tout est presque blanc, tout est terne, tout est pastel. La lumière est indirecte, elle ne fait rien briller, elle matifie le paysage, l’homogénéise. Et cette lumière créée par la brume pousse chacun de nous dans une forme de retranchement, d’introspection ; c’est l’écho du Monastère qui arrive jusqu’à nous.

COULEURS

COULEURS LAISSER ENTRER LA CHARTREUSE DANS LAISSER ENTRER LA CHARTREUSEGRENOBLE DANS GRENOBLE

Puis plusieurs heures après l’aube me s’évapore. Elle a nourri la terre, elle ri les fleurs, elle nous a reposé. Puis plusieurs heures après l’aube C’est une multitude de verts qui fait me s’évapore. Elle a nourri la terre, elle parition. Les arbres créent un paysag ri les fleurs, elle nous a reposé. ses couleurs le rendent plus ou moi C’est une multitude verts Ce quisont fait ds fond, plus ou moinsde texturé. parition. Les arbres créent paysag leurs vives, puissantes dontun certaines sesl’oeil couleurs le d’autres. rendentAvec plusleou moic plus que soleil, fond, plus ou moinsjaune texturé. sont verts deviennent et leCe gris de dla leurs puissantes dont se vives, blanchit. La lumière faitcertaines briller la donne et duAvec reliefleau paysa l’oeil plus du quegrain d’autres. soleil, c cieldeviennent change très jaune vite enetChartreuse. verts le gris dePa la sombre, parfois seslac se paysage blanchit.devient La lumière fait briller sont presque saturées. donne du grain et du relief au paysa

ciel change très vite en Chartreuse. Pa paysage devient sombre, parfois ses c sont presque saturées.

La Chartreuse n’est pas encore réveillée et dort encore sous sa couverture nuageuse qui l’entoure. La brume est épaisse, presque opaque, lourde. Seul le noir de certaines parties de La Chartreuse n’est pas reste encore réveillée et est impossible de la roche visible, et il nous dort encore sous sacomprendre couverturelenuageuse qui la montagne, de relief, de deviner l’entoure. La brume savoir est épaisse, opaque l’on presque est en montagne.

que, lourde. Seul le noir de certaines parties de comme la brume,de blanche et humide, la roche reste visible,C’est et il nous est si impossible le hautdede chaque sommet comprendre le relief, se de déroulait deviner ladepuis montagne, nos pieds, puis nous contournait et contisavoir que l’on est enjusqu’à montagne.

Le ciel change. En un instant, il nous fait passer de l’ultra luminosité à quelque chose de beaucoup plus sombre. Le paysage perd de sa beauté, change de visage.

nuait son chemin dans notre dos. Tout est presque

blanc, tout est terne, tout est pastel. La lumière C’est comme si la brume, blanche et humide, est indirecte, elle ne fait rien briller, elle matifie le se déroulait depuis le haut de chaque sommet paysage, l’homogénéise. jusqu’à nos pieds, puis nous contournait et continuait son chemin dansEtnotre Toutcréée est presque cettedos. lumière par la brume pousse chablanc, tout est terne,cun toutdeest pastel. nous dansLa unelumière forme de retranchement, est indirecte, elle ne fait rien briller, ;elle d’introspection c’estmatifie l’écho le du Monastère qui arpaysage, l’homogénéise. rive jusqu’à nous.

Tombée de la nuit. Le silence nous obstrue aussi la vue. L’écoute de chaque pas, de chaque bruit, du plus petit craqu ment de branche prend de plus grandes dimensions, résonne.

Et cette lumière créée par la brume pousse chacun de nous dans une forme de retranchement, d’introspection ; c’est l’écho du Monastère qui arrive jusqu’à nous.

C’est comme si on venait mettre un filtre, plus ou moins opaque, plus ou moins sombre, plus ou moins uniforme entre la terre et le ciel. Et les couleurs qui se ternissent rendent le paysage presque uniforme. N

Du Fort de la Bastille au Stade des Alpes 20

Du Cimetière Saint Roch vers la Place de Verdun 1/2000 ème

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Du Fort de la Bastille au Stade des Alpes 1/2000 ème

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Lumières, contrastes, densités 1/5000 ème

rue aussi que bruit, nd de plus

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Continuité ecologique 1/10000 ème

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On a cette sensation de vouloir se réfugier, d’être N N protégé, peut être même de retrouver une certaine puissance lumineuse, naturelle ou non. La N grisaille ne mène pas à s’éterniserNdans le dehors mais nous pousse à s’abriter. Juste la regader par N la fenêtre. L’intérieure devient rassurant, agréable, N beau. Et lorsque ce filtre disparait, alors on absorbe le plus de lumière possible.

La lumière disparait en seulement quelques minutes, derrière le rocher. Durant ce moment, Et à d’autres le moments, lorsque c « Le mouvement des couleurs fait nuages sont présents, seulesnous certain ambiances, il y aen unelu paysage devient orangé, chaud, chaleureux. Et lasont tiespar dedifférentes la Chartreuse mises ralité dans la balade. Elle est rythmée un contraste se crée, les ambiances d tuée de ces moments plus sombres notion de mouvement fait alors so lumière rasante dévoile tous les me lons,uneles creux, lesquels on sort de notre retranchemen rition. nous permet de retrouver toute notre l les aspérités, les textures, le grain. Et cela par le Le mouvement des couleurs nous fait par différentes ambiances, il y a une jeu d’un contraste fort. Puis la nuit tombée, toutes ralité dans la balade. Elle est rythmée tuée de ces moments plus sombres les couleurs se transforment en nuances de gris. lesquels on sort de notre retranchemen nous permet de retrouver toute notre l La forme de chaque élément prend plus d‘importance que ses couleurs. L’ouïe vient aider la vue à comprendre le paysage, et les autres sens aussi. 1/5000 ème

1/2000 ème

Et à d’autres moments, lorsque c nuages sont présents, seules certain ties de la Chartreuse sont mises en lu un contraste se crée, les ambiances d une notion de mouvement fait alors so rition.

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Un ĂŠtagement du relief Lecture urbaine, Paris / Travail en groupe / fĂŠvrier 2018

Comprendre la conception d’un quartier dans Paris. Lecture urbaine d’un site où le bâtis crée de nouvelles lignes par rapport à la topographie existante. C’est un travail qui interroge sur l’aspect technique d’un quartier, les vues qu’il présente et l’effet produit. Le travail de lecture urbaine s’organise et se nourrit de l’histoire du site, sa topographie, son architecture, la végétation présente, les détails techniques, l’hydrologie,… On observe un étagement du relief où la végétation permet de créer du lien entre les différents paliers, tout comme le bâtis ; celui-ci s’adapte et s’adosse à la pente. La rue est une ouverture dans la ville et sur la ville.

La voirie

Moteur dâ&#x20AC;&#x2122;une densification post-pavillonnaire, Essonne / Travail en groupe / dĂŠcembre 2018

Le projet fût un questionnement sur la place de la voirie dans le paysage pavillonnaire et post pavillonnaire. Grâce à un travail de cartographie, il en a découlé une analyse du territoire qui illustre son histoire, les types d’urbanisations, les différentes fonctions de la voirie et de l’espace public et leurs relations.

Le parti pris du projet était de problématiser la voirie et en faire un élément déclencheur pour aménager d’une manière différente et plus viable la densification pavillonnaire. Par cela, il a été proposé une liaison urbaine entre Massy et Savignysur-Orge dans un objectif parallèle de densification du territoire et de fabrication de nouvelles polarités.

Un crayon Ă la main Croquis et peintures

Roubaix, 2015 36

Roubaix, 2015 37

Italie, 2017

ArdĂ¨che, 2018

Chartreuse, 2018

Flandre, 2019