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Page 2 / Adsum / 28 janvier 2009

Le test final avant la mission Par Simon Baillargeon Journal Adsum

Les 1640 militaires de Valcartier qui seront déployés en Afghanistan dès le mois de mars vivent présentement le point culminant de leur entraînem e n t , a ve c l ’ e xe r ci ce R ÉFLEXE AGUERRI qui prend place sur la base américaine de Fort Bliss, au Texas.

L’Adsum s’ est joint à leur entraînement au beau milieu du désert.

Du 16 janvier au 6 février, ce sont plus de 3000 militaires qui passeront par Fort Bliss pour peaufiner leur entraînement. Sur une période de dix jours, ils seront confrontés à une douzaine de plateaux différents, où leurs connaissances seront mises à l’épreuve à travers différents scénarios. «Les scénarios sont élaborés pour recréer autant que possible ce qui se passe en théâtre», explique le lieutenant-colonel Roch Gauthier lors du briefing d’arrivée.

Cet entraînement constitue le test final pour les militaires avant de s’envoler pour une mission de six mois. Bien que ceux-ci avaient déjà toutes les capacités requises

pour aller au combat après leur passage à Wainwright l’automne dernier, les Forces canadiennes tenaient mordicus à ce que les soldats soient à leur meilleur lorsqu’arrivera le temps du déploiement. «Après Wainwright, les soldats étaient déjà aguerris pour le combat, affirme le lieutenant de vaisseau Bruno Tremblay, officier d’affaires publiques pour le 5e Groupe-brigade mécanisé du Canada.

Avec le congé des Fêtes et les trois mois qui séparaient l’entraînement du déploiement, nous voulions nous assurer que les militaires soient au top de leur forme pour aller en mission».

Et rien n’a été laissé au hasard afin que les soldats se sentent bel et bien comme en Afghanistan. Des officiers canadiens, par exemple, sont déguisés en militaires américains puisqu’ils se côtoieront pendant la mission. «Cela fait en sorte que lorsqu’un Canadien m’aborde, il le fait comme s’il avait à le faire là-bas et non comme si j’étais un de ses camarades», souligne le lieutenant Bruno Choquette, habit américain sur le dos.

Ne manquez pas notre prochaine édition avec un photo-reportage complet sur l’exercice de Fort Bliss.

Simon Baillargeon, journaliste à l’Adsum, a passé six jours à Fort Bliss avec les troupes qui s’y entraînent.

- Photo : cpl Marc-André Gaudreault, section Imagerie, Garnison Valcartier

Un terrain similaire à l’Afghanistan Par le capitaine Mathieu Dufour Officier d’affaires publiques, Groupement tactique 2 R22eR

aura lieu sous la protection des snipers en couverture avancée et du feu des artilleurs.

L’exercice prend fin au début de février.

De p u i s l e 1 2 j a n vi e r, p l u s d e 1 0 0 0 membres du Groupement tactique du 2 e Bataillon, Royal 22 e Régiment (GT 2 R 2 2 e R ) s ’ e n tr a î n e n t a u Te xa s e n p r é vi s i on d e l e u r d é p l oi e m e n t e n Afghanistan en mars.

CACTUS, SERPENTS ET SABLE Contrairement à Valcartier, le terrain est désertique et les montagnes sont rouges.

L’exercice RÉFLEXE AGUERRI se déroule sur la base américaine de Fort Bliss. Bien que la base américaine soit localisée à El Paso au Texas, la plupart des manœuvres du contingent québécois seront effectuées dans une partie de la base qui se situe dans l’État du Nouveau-Mexique.

Les soldats du GT 2R22eR vont exécuter des pratiques de convois et des drills contre les explosifs improvisés. Plusieurs opérations en zones bâties auront lieu au cours de l’exercice. Mentionnons notamment des activités dans un village «afghan» et du tir réel dans un «shoot house», un complexe urbain intérieur dans lequel on tire sur des cibles avec des munitions «live». La sécurité des entrées et sorties sur les bases d’opérations avancées est aussi au menu de RÉFLEXE AGUERRI. L’assaut le plus difficile aura lieu dans un village isolé à flanc de montagne. Les fantassins devront manœuvrer avec des chars et travailler en conjonction avec les ingénieurs de combat pour sécuriser le village. Le tout

Oubliez les arbres et les rivières ici. Pensez cactus, serpents et sable. Bien que le terrain soit à 1300 mètres (4000 pieds) d’altitude, le mercure peut monter jusqu’à 20 degrés Celsius le jour. La nuit, il tombe autour de zéro. Je vous confirme que personne ne s’est plaint de la météo ici…

Une section de soldats se prépare à nettoyer une maison de tir de guerre urbaine. À l’aide d’un fusil, le soldat fait sauter le verrou de la porte, puis la section pénètre dans la maison et nettoie chacune des pièces. Les murs de ces immeubles sont à l’épreuve des balles. Ainsi, les soldats qui se trouvent à l’intérieur des immeubles peuvent engager les objectifs avec des munitions réelles. Photo : sergent Dennis Power

Les soldats en opération lors d’un exercice. Les secteurs d’entraînement de Fort Bliss ressemblent davantage à l’Afghanistan que Valcartier ou Wainwright. Photo : ministère de la Défense nationale

28 janvier 2009 / Adsum / Page 3

Sixième édition de la Fête hivernale

Toute la famille est de nouveau invitée cette année à prendre part à la grande Fête hivernale qui aura lieu au Centre plein air Castor (CPAC) le 7 février prochain.

Photo : Carnaval de Québec

Pour sa 6e édition, la Fête hivernale prendra place sur une seule journée au lieu de trois comme ce fut le cas l’année dernière.

Dès 11 heures, petits et grands pourront envahir le site du CPAC pour participer à une pléiade d’activités. Glissade sur tube, jeux

CARNAVAL DE QUÉBEC

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Une 55 édition haute en couleur Par Simon Baillargeon Journal Adsum

Le p l u s gr a n d ca r n a va l d ’ h i ve r a u monde prend son envol le 30 janvier et promet une édition haute en couleur.

Les organisateurs du Carnaval de Québec ont choisi la thématique de la mascarade pour colorer cette 55e édition qui se déroulera jusqu’au 15 février.

Plusieurs nouveautés sont au programme cette année dont le ski joring, un sport d’équipe où les skieurs sont tirés par des chevaux et doivent effectuer des sauts, contourner des obstacles et attraper des objets. Les carnavaleux auront aussi la chance de faire du traîneau à chien sur les plaines d’Abraham.

Encore une fois, le country sera à l’honneur avec la tenue du traditionnel déjeuner western, offert par l’organisation du Stampede de Calgary en collaboration avec le 12e Régiment blindé du Canada qui offre le soutien technique.

Le Festival western de Saint-Tite s’associe également au Carnaval pour tenir une soirée country au Centre des congrès qui prendra des allures de Far-West pour l’occasion.

Bien sûr, les incontournables qui font la renommée du Carnaval sont de retour cette année. Bain de neige, course de tacot et de chiens de traîneaux, course de canot, concours de sculpture et les deux défilés de nuit combleront les inconditionnels.

Quant au palais de bonhomme, il sera encore plus vaste et plus animé. Il fera revivre l’ambiance que l’on retrouvait sur la rue Sainte-Thérèse dans le quartier Saint-Sauveur qui fut autrefois surnommée «la rue du Carnaval».

Donner son 110%... et même plus L’expression «donner son 110%» a pris tout son sens alors que la campagne Centraide de la Garnison Valcartier a amassé pas moins de 274 110 $, dépassant de 14 % l’objectif prévu. Le major Serge Lapointe, directeur de la campagne Centraide pour la Garnison Valcartier, était bien fier du montant amassé en raison des nombreuses opérations et des montées en puissance qui amènent les

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- Photo : Simon Baillargeon, journal Adsum

INSCRIPTION À la

MATERNELLE

Page 4 / Adsum / 28 janvier 2009

POUR SEPTEMBRE 2009 mardi, 3 février 2009 7h30 à 17 h au secrétariat Grand certificat de naissance et carnet de santé obligatoires

gonflables, pêche blanche, maquillage, balade en carriole, croquet sur glace et tire sur la neige ne sont qu’un aperçu de ce qui attend les familles.

Entre 11 heures et demie et 13 heures, un dîner spaghetti sera servi sur place pour remplir les estomacs vides. Un spectacle de jonglerie est aussi prévu dès midi et demi. En cas de mauvais temps, les organisateurs de la fête invitent les gens à appeler au 844-5000, poste 5226, pour confirmer la tenue des activités.

PROMOTION PROLONGÉ E R JUSQU'AU 15 FÉVRIE Sur présentation de cette annonce

militaires hors de la garnison pour de longues périodes. Cette année, le coup de cœur de la campagne est décernée au CI SQFT, qui a atteint 233 % de son objectif. Sur la photo, le major Serge Lapointe et Paul Morissette remettent le chèque à Kim Descormiers, coordonnatrice à la campagne Centraide pour la région de Québec et Chaudière-Appalaches.

NOUVELLES

EXPRESS

Le deuil des familles davantage reconnu par l’armée Des modifications seront apportées aux règlements régissant la remise de la Croix du souvenir. C’est ce qu’ont annoncé Peter MacKay, ministre de la Défense nationale et ministre responsable de la Porte canadienne de l’Atlantique, et Greg Thompson, ministre des Anciens combattants. Les familles de tous les militaires des Forces canadiennes morts en service après le 6 octobre 2001 recevront dorénavant jusqu’à trois Croix du souvenir. Cette modification permettra de s’assurer que les soldats morts en service depuis le début de la participation des FC à la campagne internationale contre le terrorisme sont reconnus comme il se doit et traités équitablement.

Deux décorations décernées pour service méritoire (division militaire) La gouverneure générale et commandante en chef du Canada Michaëlle Jean a annoncé que le Canada décernera deux Médailles pour service méritoire (division militaire) à des étrangers dont les réalisations particulières ont fait honneur au Canada. Les récipiendaires sont le colonel Steven M. Czepiga de l’Armée américaine et le lieutenant-colonel Jean-Pierre Duran de l’Armée française. Une cérémonie de remise des décorations aura lieu dans les prochaines semaines.

le pays par différents organismes comme l’Agence canadienne de développement international ou les services correctionnels canadiens. Il succède à Elissa Golberg, qui a occupé ce même poste au cours des onze derniers mois.

100 M $ pour revamper les Coyote Les Forces canadiennes évaluent présentement la possibilité d’améliorer l’équipement de surveillance sur sa flotte de véhicule de type Coyote. Plusieurs compagnies ont assisté à une rencontre le 15 janvier portant sur le programme d’extension de vie des systèmes de surveillance de véhicule blindé léger. Le coût du projet est estimé à 100 millions $. Le projet permettrait l’acquisition et l’installation de nouveaux radars, caméras et des détecteurs de chaleurs afin de mieux débusquer l’ennemi en zone de combat. Il est réaliste de penser qu’un contrat puisse être accordé en 2010 et que la livraison début en 2012.

Nouveau représentant du Canada en Afghanistan Ken Lewis est désormais le nouveau représentant de la diplomatie canadienne en Afghanistan. Il a été assermenté le 10 janvier. Son travail consistera à coordonner les efforts des équipes déployés dans

28 janvier 2009 / Adsum / Page 5

37e année, No 15, mercredi 28 janvier 2009 Le journal Adsum est une publication non officielle publiée un mercredi sur deux avec la permission du Commandant du 5e Groupe de soutien de secteur. Les opinions et les points de vue exprimés dans ce journal ne sont pas nécessairement ceux du MDN, des FC et de l’ASPFC/Personnel des FNP. Le journal Adsum informe la communauté militaire de la garnison et de la grande région de Québec depuis 1972. Notre publication constitue l’un des principaux outils de communication interne de l’Armée au Québec. C’est un moyen privilégié pour le Secteur du Québec de la Force terrestre (SQFT) de communiquer avec son personnel et les familles. Les succès, les intérêts et les préoccupations de la grande équipe du SQFT, voilà la matière avec laquelle est bâti l’Adsum.

Tirage : 7350 copies Éditeur Lcol Richard Préfontaine, cmdt(I) 5 GSS Rédactrice en chef Caroline Charest, poste 5672 charest.c@forces.gc.ca Journaliste Simon Baillargeon, poste 6656 baillargeon.sb@forces.gc.ca Conseillère en publicité Ginette Demers, 871-1274 gdemers@videotron.ca Responsable petites annonces et comptabilité Francine Boutin poste 5598 boutin.fmc@forces.gc.ca Infographiste Philippe Dionne-Raymond poste 6656 production_journalvalcartier@videotron.ca Imprimerie Les Presses du Fleuve Toute correspondance doit être adressée à la rédactrice en chef. Les demandes de publication doivent être acheminées par courrier électronique à +adsum@forces.gc.ca. Soumettre les textes en format Word et les photos en jpg. La rédactrice en chef se réserve le droit de rejeter ou de modifier tout matériel rédactionnel ou publicitaire. Les auteurs des textes ne seront pas nécessairement avisés des modifications apportées à leurs textes.

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Le journal Adsum est une entité des Programmes de soutien du personnel (PSP) et est financé en grande partie par les fonds non publics. Les revenus générés par les annonces publicitaires contribuent en majeure partie au financement du journal. Nous vous remercions d’encourager nos annonceurs.

ABONNEMENT : GRATUIT pour les militaires et les employés civils du MDN. Pour les autres : 20,00 $ par année (22 éditions), taxes en sus ISSN 0705-0992

Des pompiers français explorent le travail de leurs collègues québécois Par Simon Baillargeon Journal Adsum

Pas facile la vie d’ un pompier canadien lorsque sévit une vague de froid intense et que plus d’un mètre et demi de neige recouvre le sol. C’est ce qu’ont constaté deux pompiers français venus documenter les méthodes de travail de leurs collègues de Valcartier.

Stevens Lediagorn, pompier volontaire, et Emmanuel Phelippeau, pompier professionnel, sont originaires de Versailles.

Armés de leur caméra, ils sont débarqués pour une dizaine de jours au Québec, en plein mois de janvier, pour en apprendre plus sur les techniques des pompiers québécois. «Nous sommes venus pour voir principalement comment travaillent les pompiers québécois sous des températures difficiles», résume M. Lediagorn.

Québec est d’ailleurs le premier arrêt de ces deux hommes qui comptent parcourir le globe pour montrer les spécificités de chaque pays et de leurs pompiers.

Ils gardent en tête deux objectifs à accomplir au cours de leur séjour. Premièrement, ils désirent profiter de l’expertise québécoise en ce qui concerne le travail d’inspecteur, un aspect du travail où la France en est encore à ses premier pas, disent-ils.

Ensuite, ils veulent apprendre les techniques de travail des pompiers d’ici, qui doivent composer avec des températures très basses et la neige. «Il n’y a pas longtemps en France on a eu -10 degrés, ça nous a permis de nous habituer un petit peu, admet M. Lediagorn. Mais une température comme aujourd’hui, ça pique un peu sur le visage», ajoute-t-il en rigolant.

Les pompiers s’occupent des deux victimes du crash d’hélicoptère sous l’œil attentif du caméraman Emmanuel Phelippeau qui ne manque rien de la scène. - Photo : Simon Baillargeon

CRASH D’HÉLICOPTÈRE ET INSPECTION

Afin de démontrer tout son savoir-faire, le Service des incendies de Valcartier n’a pas lésiné sur la préparation pour en mettre plein la vue aux deux pompiers-reporters.

Une simulation de crash d’hélicoptères avec blessés était au programme pour démontrer la façon de travailler par grand froid. Et pour le froid, les cousins français ont été servis. Le thermomètre indiquait – 35 degrés Celcius, facteur éolien compris.

Caméras à la main, ils ont absolument tout filmé de l’exercice qui a duré un peu plus d’une heure. «C’est parfait. On ne voit

COURRIER DU LECTEUR Les opinions et points de vue exprimés dans le Courrier du lecteur ne sont pas nécessairement ceux de la rédaction ou de l’éditeur du journal Adsum et n’engagent que les auteurs des lettres publiées.

Quand nos fils vont à la guerre Depuis l’opération ATHÉNA roto 1 de 2004, beaucoup de nos soldats sont retournés en Afghanistan. Certains sont revenus mais beaucoup d’autres pas. Aux familles de ces derniers, j’offre mes plus sincères condoléances, je comprends votre détresse et pour certains votre rage.

Pour ma part, j’ai cru que c’était la dernière mission de Stéphane (mon fils), mais voilà qu’un nouveau départ pointe à l’horizon

pour mars 2009. J’essaie de me résigner, mais l’angoisse, la peur et l’impuissance me rongent. Bien sur l’Armée s’occupe de nous : je reçois l’Adsum aux deux semaines qui nous propose plein d’activités, mais voilà, je demeure en région, je me sens au bout du monde et malgré tous ces départs, celui-ci me semble le plus difficile. En 196570, on prêchait «faites l’amour et non la guerre». Cette époque a été très critiquée, pourtant aujourd’hui ces mêmes paroles devraient réveiller nos dirigeants. Trop de vies gaspillées, de veuves, de mères et de pères éplorés pour l’orgueil et le besoin de puissance de nos dirigeants. Que de détresse, d’angoisse et de chagrins qui ne guérissent pas tant pour ceux qui reviennent que pour l’entourage de ceux qui partent.

Ma colère est grande, et peu m’importe que l’on dise que je ne connais pas la politique si cette même politique tue nos enfants, alors je préfère rester dans l’ignorance…

ADRESSE : Journal Adsum Garnison Valcartier, bât. 200 C.P. 1000, succ. Forces Courcelette (Québec) G0A 4Z0

TÉLÉPHONE : (418) 844-5000, POSTE 5598

TÉLÉCOPIEUR : (418) 844-6934

Page 6 / Adsum / 28 janvier 2009

SITE WEB : www.journaladsum.com COURRIEL : +adsum@forces.gc.ca PROCHAINE PARUTION

mercredi 11 février

DEMANDE DE PARDON (RÉHABILITATION ET U.S. WAIVER) Assistance pour l’obtention d’une réhabilitation rapide et efficace, ou pour une demande de levée d’interdiction aux États-Unis

DATE DE TOMBÉE

lundi 2 février

3405, boul. Wilfrid-Hamel, bur 310, Québec, Qc. G1P 2J3

418-681-0609 poste 60 Fondé par le 12e Régiment blindé du Canada

pas ça souvent», lance le M. Phelippeau à propos de l’exercice. «Rien à voir avec chez nous, renchérit son collègue. Des raquettes, on n’a pas ça».

Après cet épisode au grand air, l’inspection d’un logement familial a suivi.

«Le travail d’inspecteur vient d’arriver en France. Ce sont d’ailleurs des Québécois qui sont venus former nos chefs», mentionne M. Lediagorn.

Après Valcartier, d’autres casernes de Québec les attendent où ils passeront des nuits complètes à attendre que l’alarme sonne. Espérons seulement que leur visite au Québec ne les laissera pas… de glace.

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Stéphane partira en mars 2009 et je serai à l’écoute par ordinateur et par courrier parce que mes fils sont ce que j’ai de plus cher au monde. Je vivrai dignement son départ comme je l’ai fait pour tous les autres… Mais il doit revenir, il reviendra et je serai là pour l’accueillir… avec joie et bonheur, dans l’espoir que ce sera la dernière fois! À tous ceux qui partent, je vous souhaite un tour calme et sans pertes et à ceux qui sont déjà sur place, sachez que nous vous attendons avec impatience! À tous nos chers disparus, vous vivrez dans nos cœurs tels des héros!

Je souhaite à tous ceux qui partiront bientôt et à leurs proches : courage, santé, sérénité…

Denise Bélisle

L’expérience a eu le dessus sur la jeunesse!

Par le lieutenant Nicholas Chef de troupe 61, Escadron de reconnaissance

Le 12 décembre, le 12e Régiment blindé du Canada tenait sa partie de hockey annuelle opposant les sous-officiers aux officiers.

Cette partie était la dernière au sein de la brigade et c’était également la dernière chance pour une équipe d’officiers de remporter au moins une partie, car les équipes des sous-officiers des autres régiments avaient tout raflé.

L’équipe du Salon Ortona subissait une grande pression de l’emporter pour empêcher un balayage. Toutefois, à la suite de la défaite crève-cœur de 9 à 2 de l’an dernier contre les officiers du Salon Ortona, les sous-officiers du Club 86 se sont présentés cette fois avec la ferme intention de vaincre et n’ont laissé aucune chance à l’autre équipe.

L’expérience du Club 86 a permis dès le début d’épuiser les joueurs du Salon Ortona. L’équipe a dominé l’ensemble de la partie en l’emportant 5 à 2. Les joueurs du Club 86 ont disputé une partie sans faille et doivent remercier grandement leur gardien, le sergent Lapointe, qui a brillé devant le filet en frustrant à de nombreuses reprises les joueurs du Salon Ortona et particulièrement, leur joueur vedette, le major Major. Il ne faut pas passer sous silence l’excellente performance du gardien du Salon Ortona, le major Binette, qui a gardé

Photo : Cplc Andrew Saunders, Forces canadiennes

L’équipe victorieuse des sous-officiers, Club 86.

son équipe dans le match. Il s’est démarqué à plusieurs reprises en épongeant les erreurs d’une défensive défaillante. Nous avons pu l’entendre dire : «Où est passé la défensive?» À noter que les jours précédant la partie de hockey, le Club 86 a eu un doute sur sa chance de l’emporter quand il a aperçu l’arme secrète du Salon Ortona, le major Huet. Malheureusement pour les officiers, ce dernier n’a pu jouer, car il devait retourner à Wainwright la veille de la partie.

Finalement, lors du repas suivant la partie, les membres du Club 86 ont remis avec fierté au Salon Ortona, le bâton de gardien troué qu’ils avaient gardé l’an passé bien en vue dans leur mess. À noter que le bâton revient à l’endroit où il a passé la plus grande partie de son temps depuis les dernières années. Et comme l’a souligné le commandant, le lieutenant-colonel Tremblay : «Ce bâton sera de retour dans votre mess l’an prochain!».

KANDAHAR AIR FIELD, AFGHANISTAN – Natif de Sherbrooke, le caporal-chef Ray Zivko inspecte méticuleusement l’équipement à bord d’un hélicoptère CH 147 Chinook canadien. Le cplc Zivkow est ingénieur de vol au sein de l’escadre aérien canadien en Afghanistan. Il est responsable d’assurer que tous les systèmes de vol de l’hélicoptère fonctionnent correctement avant son décollage.

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Les «comms» pour les techniciens SICT du QGET Par le caporal Patrice Villeneuve Technicien SICT, Quartier général et Escadron des transmissions

Cet article est le dernier d’une série de six portant sur les changements et les améliorations qu’a entraînés au Quartier général et Escadron des transmissions (QGET) la numérisation du 5e Groupe-brigade mécanisé du Canada.

Les techniciens SICT au sein du QGET font partie d’un noyau de personnel qui a entre autres pour mission d’effectuer la distribution des réseaux. Lors d’un déploiement, les tech SICT démontrent leur maîtrise de la numérisation pendant les exercices de confirmation et en déployant avec succès les réseaux suivant : DWAN, TACNET (réseau secret), CSNI, SAS (système de connaissance situationnelle).

Normalement, durant des exercices, ils assurent la distribution des services pour une multitude d’entités qui ne sont normalement pas regroupés dans le même endroit physique. Tout ces réseaux sont distribués à l’aide d’un mélange d’équipement de réseautique conventionnel tel le routeur et le commutateur ainsi que d’équipement tactique tel que radio microondes et satellites.

aussi des routeurs et des commutateurs.

Différemment du RÉD, nous utilisions Astérisk comme office centrale téléphonique, pour représenter le plus fidèlement possible le théâtre opérationnel. Nous avons aussi utilisé le logiciel Intermapper qui servait de contrôle (opération qui consiste à suivre méticuleusement le fonctionnement d’un système, d’un processus en temps réel) pour l’ensemble du réseau Tacnet.

Le CSNI (Consolidated Secret Network Infrastructure), anciennement appelé TITAN, est un système permettant d’envoyer des messages secrets sur un réseau

étendu. La distribution se faisant aussi à partir de routeurs ou commutateurs.

Les tech SICT au sein du QGET sont désormais beaucoup plus que des réparateurs d’équipement. Ils font partie intégrante du cœur de l’unité et travaillent en étroite collaboration avec les autres occupations signaleurs. Les formations n’étant pas toujours disponibles en raison de la progression ultra-rapide des capacités technologiques, ils doivent continuellement apprendre de nouvelles choses et relever de nouveaux défis ce qui nous procurent un grand sentiment de fierté.

PHYSIOTHÉRAPIE CHIROPRATIQUE MASSOTHÉRAPIE ACUPUNCTURE OSTÉOPATHIE AMÉLIOREZ VOTRE QUALITÉ DE VIE Clinique Multidisciplinaire Dr Vincent Robert chiropraticien 190, Dubé, Courcelette (Valcartier) Québec G0A 1R1

28 janvier 2009 / Adsum / Page 7

Boîte de distribution.

Les tech SICT ont aussi régulièrement l’occasion de mettre en place certains systèmes informatiques comme Astérisk qui est un système d’exploitation à source ouverte axé sur les services téléphoniques IP ainsi que certains téléphones logiciels (Xlite, Skype) qui réduisent les coûts d’achat du matériel téléphonique. Le QGET a été la première unité canadienne à utiliser le KG-250 (crypteur de données pour les réseaux IP) avec des clés opérationnelles pour encrypter les données.

Le service RÉD est distribué à partir d’un réseau existant qui est par la suite étendu de façon à former un réseau complet tel que ceux qui sont installés dans les garnisons à la seule différence que nous sommes dans des installations mobiles. Chaque élément de l’architecture de ce réseau doit ensuite être configuré selon les besoins et paramètres requis pour le déploiement en cours.

Le QGET étant toujours à l’avant-garde, relevant sans cesse de nouveaux défis en tentant d’ajouter robustesse et flexibilité au réseau de différentes façons. Nous avons entre autres tenté d’utiliser plusieurs connections provenant de différentes sources du RÉD afin d’augmenter la capacité de la bande passante et augmenter la robustesse du réseau en cas de perte d’un des liens.

Nous utilisons de plus en plus la téléphonie IP (VoIP) et nous avons été en mesure de brancher des lignes téléphoniques analogiques sur notre routeur VoIP de façon que nos usagers soient désormais en mesure d’effectuer des appels avec les mêmes fonctionnalités qu’ils possèdent lorsqu’ils sont en garnison. Poussant toujours plus loin les limites de ce que nous pouvons accomplir, nous possédons désormais une capacité d’opératrice automatisée configurable (CISCO Unity Call Manager) qui propose des choix tout comme ceux qui sont disponibles dans les entreprises civiles ou sur la garnison.

Le réseau TACNET (un réseau tactique et classifié qui permet aux membres de l’état-major des unités d’effectuer de la planification, tout en tenant compte de la situation actuelle sur le terrain) comporte aussi une grande distribution qui utilise

L’exercice RÉFLEXE AGUERRI 09 se déroule à Fort Bliss, au Texas, du 16 janvier au 6 février. Cet exercice d’aguerrissement constitue le point culminant de l’entraînement des militaires qui composent la Force opérationnelle 1-09 (FO 1-09), force qui sera déployée dans la province de Kandahar au sein de la Force opérationnelle Afghanistan rotation 7, de mars à octobre 2009. L’exercice plonge les troupes dans un environnement qui se rapproche du terrain afghan et dans une variété de scénarios semblables à la réalité à laquelle les militaires seront confrontés en Afghanistan Photos prises du 20 au 24 janvier par le caporal Marc-André Gaudreault, Section d’imagerie Garnison Valcartier

Des membres du Groupement tactique (GT) du 2e Bataillon du Royal 22e Régiment vérifient les douilles vides des Léopard.

Un militaire du groupement tactique ravitaille le Léopard I avec de nouveaux obus.

Page 8 / Adsum / 28 janvier 2009

Un membre de l’Élément de soutien national (ESN) durant l’exercise «Bushlane». Deux militaires doivent suivre un chemin désertique parsemé de différents obstacles. Les militaires à l’entraînement doivent savoir avancer en paire de manière sécuritaire et intelligente en se couvrant l’un et l’autre.

Des membres de l’escadron C, composé de membres du Lord Strathconna Horse d’Edmonton en Alberta, procèdent au zérotage des chars d’assaut de type Léopard I.

Des membres de l’Équipe provinciale de reconstruction (EPR) pendant l’exercice «Entry Control Point» qui consiste à un prendre la relève d’une base d’opérations avancée et par la suite de la défendre contre des attaques d’insurgés.

Des membres du peloton de reconnaissance participent à l’exercice «US Improvised Explosive Devices Lane» qui consiste à suivre une route qui est possiblement piégée avec des engins explosifs artisanaux confectionnés par les insurgés. Les militaires doivent savoir les repérer ainsi que les identifier de manière sécuritaire. L’exercice se fait en coopération avec le groupe spécialisé en IED de l’armée américaine et des véhicules Humvee.

Défi du commandant :

les gagnants

Le 5 décembre avait lieu le Défi du commandant auquel participaient 50 équipes provenant de plusieurs unités du 5e Groupe-brigade mécanisé du Canada. Le défi consistait en des épreuves d’orientation, de champs de tir austères et de premiers soins.

Voici les équipes qui ont obtenu les trois premières places.

2e place : équipe du 3e Bataillon Royal 22e Régiment, formée des membres suivants : cplc Rioux, cplc St-Pierre, cpl Fraser-Bleau, cpl Dion, cpl Gauthier (recevant son prix), cpl Savard, cpl Morin, cpl Lechasseur, sdt Cyr et sdt Grimard.

1re place : équipe du 2e Bataillon Royal 22e Régiment, formée des membres suivants : cplc Dion (recevant le prix sur la photo), cplc Murphy, cplc Turcotte, cpl Morin-Bernard, sdt Bélanger, sdt Bilodeau-Roy, sdt Deschesnes, sdt Lanoix, sdt Mercier et sdt Nadeau-Blais.

3e place : équipe du 3e Bataillon Royal 22e Régiment, formée des membres suivants : cplc Toupin-Dussault, cplc St-Jean, sdt Levasseur-Tremblay, sdt Chagnon, sdt Benoit, sdt Letourneau, sdt Dumont-Pichet, cpl Laporte, cpl Bouchard et lt Faber.

Une compagnie de Voltigeurs à NOBLE GUERRIER 2009 Par le sous-lieutenant Derek Picard-Fortin Représentant Affaires publiques, Voltigeurs de Québec

La compagnie C du Groupement tactique du 35e Groupe-brigade du Canada (35 GBC), composée principalement de membres des Voltigeurs de Québec, a participé à un très grand nombre d’entraînements et d’opérations lors de son passage au Mississippi pour l’exercice NOBLE GUERRIER 2009, durant lequel elle a excellé.

L’exercice NOBLE GUERRIER 2009 a vu le déploiement d’une compagnie de trois pelotons de Voltigeurs de Québec, renforcée d’un peloton du Régiment du Saguenay et de membres des Fusiliers du St-Laurent. De plus, il y avait des attachés provenant de la 55e Ambulance de campagne et du 35e Régiment du génie de combat, le tout portant cette compagnie à plus de 200 membres. Elle était commandée par le major Jonathan Chouinard, des Voltigeurs de Québec.

La compagnie a effectué des opérations qui reflétaient ce que les troupes canadi-

ennes en Afghanistan sont appelées à faire.

Ainsi, les pelotons ont pris part à l’assaut de caches d’armes, à la protection de convois, à la sécurisation de la base d’opérations avancée (BOA) et à des tâches de force d’intervention rapide. Elle a travaillé en conjonction avec les autres armes et capacités de la Réserve, tels le génie, les adjoints médicaux, les blindés, le COCIM et les OPSPSY. L’entraînement était facilité par l’utilisation de l’équipement WES qui était porté par les membres de la compagnie ainsi que par les autres participants. De plus, la FOROP, qui arrivait directement de Wainwright (Alberta), s’est impliquée dans des scénarios réalistes et formateurs, notamment grâce à l’utilisation de ses engins explosifs improvisés. Bien sûr, ceux-ci ne répandaient pas la destruction, mais plutôt de la poudre de bébé, pour limiter les risques et permettre d’identifier ceux qui auraient réellement été blessés en situation réelle. Toutes ces activités étaient encadrées par les mentors qui étaient présents avec les unités.

Des membres du Groupement tactique du 35e Groupe-brigade du Canada en train d’embarquer dans un CH-47 Chinook.

L’utilisation des installations du camp Shelby a été très appréciée, notamment les reconstitutions de BOA et de villages afghans. De plus, certaines unités étatsuniennes étant en montée en puissance, les membres de la compagnie C ont pu profiter de la capacité aéromobile de notre allié, qui a fourni de nombreuses heures de vol, aussi bien sur les UH-60 Blackhawks

que sur les CH-47 Chinook, ce qui plu à tous ceux qui ont eu la chance d’en profiter.

Lors de sa visite dans les secteurs d’entraînement, le brigadier-général Guy Laroche, commandant du SQFT et de la FOI(E), a exprimé sa satisfaction quant à l’excellence du travail effectué par les membres de la compagnie C et par le reste du GT 35 GBC.

28 janvier 2009 / Adsum / Page 9

SOUS LE SOLEIL ET LA PLUIE DU MISSISSIPPI e

Les parachutistes du 3 R22 R se préparent pour l’Opération d’évacuation des non-combattants Par le caporal Sylvain Lafrenière Nouvelles de l’Armée

Les parachutistes de la compagnie A du 3 e Bataillon, Royal 22 e Régiment ont participé à l’exercice SOUTHERN P EGAS US à C a m p Sh e l b y a u Mississippi. L’exercice qui s’est tenu du 10 au 22 janvier était une phase préparatoire en vue de l’ Opération d’ évacuation des non-combattants (OENC), un exercice mandaté par l’OTAN, qui se tiendra en avril sous le chaud soleil de la Floride.

Les membres de la cie A se sont dits chanceux de pouvoir se préparer au Mississippi «C’est plus facile d’accomplir nos manœuvres sans avoir à faire face aux conditions hivernales difficiles du Québec», nous confie le caporal-chef Jonathan Dion.

«Au programme : tir à la C6, C7, C9 et au 9 mm, mortier, FIBUA, attaques de peloton, conversion Hummer pour les chauffeurs, mises à jour diverses et finalisation des NIAC et NAC de niveaux 3 et 4 pour être prêts pour l’OENC en Floride», explique le major Phil Bourque, commandant de la cie A. Malgré quelques jours pluvieux et humide, nos fantassins ont semblé apprécier l’expérience. Ils ont été satisfaits de l’accueil et des commodités que leur ont donné nos voisins américains.

Durant cet entraînement, les membres du 3e Bataillon ont eu droit à la visite du colonel Daniel Ménard et de l’adjudant-chef Pierre Marchand, respectivement commandant et sergent-major du 5e Groupe-brigade mécanisé du Canada. «Vous faites partie de l’élite et vous représentez fièrement le Canada. Je suis très satisfait du travail que vous avez accompli, et suis impatient de voir vos accomplissements futurs», a indiqué le col Ménard aux troupes rassemblées pour le rapport des attaques survenues quelques instants auparavant.

Des scénarios divers attendaient nos fantassins tout au long des convois qu’ils pratiquaient. Un blessé est évacué après l’écrasement d’un avion. L’ennemi attendait non loin de là pour les embusquer. - Photos: Cpl Sylvain Lafrenière, Nouvelles de l’Armée, Valcartier

L’exercice s’est terminé par une extraction de VIP d’une ambassade canadienne simulée dans un village aménagé à cet effet et une attaque de peloton avec tir réel accompagnée d’appui de feu en véhicule de type Hummer. Cette attaque a dégagé énormément d’énergie, de détermination et de vitesse.

Prochaine étape, la Floride. Bon entraînement et attention aux coups de soleil… dure réalité du métier.

Page 10 / Adsum / 28 janvier 2009

Les chauffeurs de la compagnie A du 3 R22eR ont échangé leurs blindés légers contre des véhicules de type Hummer, ce qui leur a permis d’appuyer les attaques et de pratiquer une base de feu avec les C-9.

L’équipe d’extraction de VIP sort d’un sous-terrain, où ils évacuaient les dignitaires canadiens.

Chevrolet Uplander LT1 2007, 65 000km,

Hyundai Tiburon GT 2003, 53 000km,

Hyundai Tucson L 2005, 34 000km,

Hyundai Sonata GL 2008, 47 000km,

stock No: U-1788

stock No: U-1687

stock No: U-1762

stock No: U-1787

$13,995

$11,995

$12,495

$14,995

Pontiac Montana SV-6 2007, tout équipé, 75 930km,

Dodge Caravan SE 2005, tout équipé 68 400km,

Hyundai Élantra GL 2004, automatique 51 600km,

Hyundai Accent 2005, automatique 48 750km,

stock No: U-1804

stock No: U-1792

stock No: U-1771

stock No: U-1773

$12,995

$9,495

$8,995

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28 janvier 2009 / Adsum / Page 11

BILAN DE NOBLE GUERRIER 09

Les soldats ont été mis à rude épreuve Par le capitaine Paul Saccà Officier d’Affaires publiques, 35e Groupe-brigade du Canada

L’heure est au bilan au retour de l’exercice NOBLE GUERRIER 09 (NG 09) qui s’est tenu au camp Shelby, dans l’état du Mississippi, du 2 au 11 janvier dernier.

Pour une deuxième année consécutive, les unités des 34e et 35e groupes-brigades

du Canada se réunissaient pour mettre conjointement en pratique les techniques et procédures de combat, complétant ainsi leur cycle d’entraînement annuel. «Ce genre d’exercice majeur permet de véri fier l’uniformité des applications techniques et surtout de valider le niveau d’aguerrissement», explique le colonel Richard Lapointe, commandant de l’exercice.

Le scénario, opposant un imposant groupe d’insurgés à la Force opérationnelle

Page 12 / Adsum / 28 janvier 2009

Par le niveau de son expertise et de son organisation, la force opposante, jouée par des militaires de Wainwright, a considérablement rehaussé le calibre de l’exercice.

Phoenix, était essentiellement basé sur l’environnement des opérations qui ont présentement cours en Afghanistan.

«L’unité de mesure pour déterminer la progression reposait sur les évaluations provenant des observateurs-contrôleurs ainsi que sur les rapports des experts de la force opposante», poursuit le commandant de NG 09.

L’équipe de la force opposante (FOROP), composée de plus d’une centaine de militaires de Wainwright qui ont connu l’expérience de l’Afghanistan, a joué un rôle de premier ordre dans l’exercice, en offrant aux soldats une résistance efficace et remarquablement bien organisée. «Elle a définitivement fait la différence par sa remarquable contribution, poursuit le colonel Lapointe. La force d’opposition, organisée et très bien équipée, avait même des officiers de liaison qui lui ont permis de suivre la bataille à tous les niveaux tout au long de la semaine.»

La présence aussi nombreuse d’opposants à la Force opérationnelle Phoenix aura permis aux soldats d’être continuellement mis à l’épreuve. «En entraînement, il n’y a rien de formateur, pour un soldat, de patrouiller une route sur 5 kilomètres, par exemple, sans être engagé par des ennemis insurgés», indique le commandant de l’exercice.

Pour le colonel Lapointe, l’avenir passe vers une confirmation efficace, conséquente de ce qui est déjà entrepris et dans le suivi de ce qui aura été réalisé à NG 09. «Le prochain exercice sera formé à 50% ou

60% d’effectifs nouveaux. Les cadres demeurent les mêmes, mais au niveau de la troupe, à cause de différents facteurs – étudiants, emplois civils, etc. – il y a beaucoup de mouvement. Pour cette raison, il ne sert à rien de mettre la charrue avant les bœufs; il sera préférable de plutôt chercher à valider les acquis au niveau où nous sommes rendus et assurer une base solide à un membre qui désire être déployé en mission.»

Au cours des prochaines semaines, les planificateurs de l’exercice s’activeront à analyser les rapports des différentes sections pour mettre en relief les leçons apprises et déterminer les objectifs qui assureront la nouvelle étape de progression.

Les soldats participant à NOBLE GUERRIER 09 ont vu de l’action lors de leur séjour au Camp Shelby (Mississippi).

NOBLE GUERRIER en images

Des cuisiniers sur la base d’opérations avancée Hurricane. - Photo : Cpl Isabelle Provost, 35 GBC

- Photo : Cpl Isabelle Provost, 35 GBC

Un sergent du renseignement dans son QG. - Photo : Cpl Jean S. MacKay, Imagerie Grn St-Jean

Un policier militaire tombé dans une embuscade protège des journalistes civils qui le suivaient lors d une patrouille de visibilité. - Photo : Cpl Jean S. MacKay,

Attaque en milieu urbain contre des insurgés. - Photo : Cpl Jean S.

Le caporal Thibault, du 55e Bataillon des services, mécanicien à la base d’opérations avancée Hurricane. - Photo : Cpl Isabelle Provost,

Imagerie Grn St-Jean

MacKay, Imagerie Grn St-Jean

35 GBC

28 janvier 2009 / Adsum / Page 13

18 000 $ pour cesser de fumer!

Le Défi «Le 1 er mars j’ arrête» est de retour en plein dans le temps des résolutions du Nouvel An. En participant à ce concours, vous pourriez gagner de nombreux prix tout en intégrant une saine habitude de vie. Il suffit de vous inscrire et de demeurer non fumeur pendant tout le mois de mars !

Vous désirez relever le défi? Nous avons des conseils pour vous donner un coup de main!

Utilisez vos proches Demandez à quelqu’un de votre entourage de vous soutenir dans vos efforts. Cette personne pourra vous motiver dans les moments plus difficiles ou être votre ange gardien qui vous empêchera de dire oui à une cigarette offerte dans un prochain party. Avertissez également les membres de votre famille ou vos amis qui sont fumeurs de vos intentions. Certains se font un malin plaisir à vous offrir des cigarettes et vous tester dans certaines occasions, tentez donc de les mettre de votre côté afin qu’ils puissent vous donner un coup de main.

De la motivation s.-v.-p.

Abandonner une habitude que nous avons avons depuis un certain temps, voire de nombreuses années, est une démarche exigeante pour la plupart des fumeurs.

Ainsi, il vous faut toute votre motivation et votre détermination pour arrêter pour de bon. Vous pensez arrêter, car votre famille vous met de la pression ou vos amis vous agacent avec cette habitude? Certes, cela peut vous faire penser à cesser la cigarette pour leur faire plaisir ou les faire taire, mais est-ce assez? Pour que ça fonctionne, vous devez faire ce changement pour vous et pour des raisons qui vous tiennent à cœur. De plus, les raisons pour lesquelles vous avez pris cette décision seront également des éléments de motivation supplémentaires lorsque l’envie sera forte de succomber à une cigarette.

Utiliser une aide pharmacologique Certaines personnes arrivent à arrêter «à froid», mais il est tout de même plus difficile de le faire ainsi. Plusieurs aides pharmacologiques sont disponibles et peuvent grandement vous aider en diminuant les symptômes de sevrage tels qu’irritabilité, maux de tête, insomnie, etc.

Généralement, plus votre dépendance à

la nicotine est grande, plus l’aide pharmacologique peut vous être utile. En communiquant avec la Promotion de la santé, vous pourrez obtenir toute l’information nécessaire au sujet des aides pharmacologiques disponibles.

Joindre un groupe d’arrêt tabagique De nombreuses façon existent pour obtenir un coup de main et des conseils en lien avec l’arrêt tabagique. Mais sans aller bien loin, le programme «Écrasezla» offert par la Promotion de la santé est disponible chaque semaine au Centre des sports. En plus d’avoir droit à votre médication gratuitement en participant à ce programme, vous recevrez des conseils et du soutien pour vous préparer à arrêter de fumer et à demeurer non-fumeur par la suite. De plus, les études démontrent que les fumeurs qui utilisent à la fois un

programme d’aide et une aide pharmacologique augmentent grandement leur chance de succès!

Choisir le bon moment Vous êtes entre deux exercices, sur un cours, à la veille de votre départ pour l’Afganhistan? Peut-être n’est-ce pas le meilleur moment à choisir pour arrêter.

Bien des gens veulent arrêter rapidement et choisissent ainsi des périodes où le stress est élevé; malheureusement, ils diminuent ainsi leurs chances de succès. Tout changement d’habitude de vie demande du temps et des efforts. Choisissez donc une période où vous aurez le temps de vous concentrer sur vos nouvelles habitudes et où le stress ne sera pas le facteur responsable de votre rechute. Devenir non-fumeur demande du temps et des efforts, on ne s’en sort pas!

Inscrivez-vous au Défi «Le 1er mars j’arrête» Vous avez jusqu’au 28 février pour vous inscrire soit en remplissant le dépliant, soit en allant sur le site www.forces.gc.ca/health-sante/iquit-jarrete/ Qui sait, savoir que vous pouvez gagner des sous pourrait également être une source de motivation à changer cette habitude! De plus, vous aurez à nommer deux de vos proches pour vous parrainer et eux aussi pourraient gagner des prix tout en vous secondant.

Pour plus d’info sur le Défi «Le 1er mars j’arrête» ainsi que pour obtenir de l’aide via le programme «Écrasez-la», contactez la Promotion de la santé, en composant le 418 844-5000, poste 4677, ou par courriel à PromoSante.Valc@forces.gc.ca.

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Page 14 / Adsum / 28 janvier 2009

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Vêtements «déjà aimés» pour bébés à cajoler Par Simon Baillargeon Journal Adsum

Quinze années passées à servir son pays, ça forge une personnalité. Mais seulement neuf mois de grossesse peuvent changer tout cela. Parlez-en à Chantal Crépeau qui en l’espace de quelques mois est passée de militaire à fe m m e d ’ a ffa i r e s a u s e r vi ce d e s mamans.

La jeune femme d’affaires avoue ellemême que le lien entre militaire et propriétaire de sa boutique de vêtements et accessoires pour les enfants de 0 à 8 ans à Lac-Beauport peut être difficile à saisir.

Le cheminement qu’elle a fait est pourtant rempli de logique.

Enrôlée en 1993 à l’âge de 23 ans, c’est le désir de trouver un emploi très varié et qui apportait son lot de défi quotidien qui l’a conduit vers la Réserve à temps plein. «Après mes études à l’université, je n’arrivais pas à me trouver quelque chose qui me passionnait», raconte-t-elle.

C’est l’arrivée d’un premier marmot qui lui fera réaliser que sa carrière d’officier ne lui permettra pas de jouer son rôle de mère. «Je ne me voyais pas me séparer de lui, même une seule nuit», avoue-t-elle.

Il fallait donc passer à autre chose. Mais quoi?

«Je me suis rendu compte que mon fils portait à peine ses vêtement et qu’ensuite ça ne lui faisait plus. Et ils étaient comme neufs», souligne-t-elle. Donner une deuxième vie aux vêtements déjà portés, Chantal Crépeau préfère parler de «vêtements déjà aimés», voilà ce qu’elle allait faire.

L’idée de son commerce étant maintenant trouvée, il lui fallait maintenant se faire connaître. «Au Salon des générations, j’ai partagé un kiosque pour faire connaître mon commerce et recueillir des courriels de mamans intéressées», raconte-t-elle.

De plus, elle va à la rencontre de créateurs de vêtements et d’accessoires qu’on ne retrouve pas dans les boutiques de Québec, question d’offrir quelques exclusivités. Car à la base si elle vend des vêtements déjà portés, elle veut aussi se démarquer avec d’autres produits.

Des collections comme Catimini, Weekend au bord de la mer et les chaussures Robeez lui permettront de rapidement se faire un nom. Il ne faut pas oublier de mentionner «Vanille la girafe», un des premiers jouets de sa boutique qui lui a permis de bien s’établir. «Le bouche à oreille a fait la différence», souligne Mme Crépeau.

Chantal Crépeau en compagnie de «Vanille la girafe», l’un des premiers produits qu’elle a vendus et qui a contribué à l’essor de son commerce. - Photo : Simon Baillargeon, journal Adsum

Le 22 septembre 2007, Bébé Boomerang ouvrait dans un petit local situé dans sa maison.

CLIENTS INTERNATIONAUX ET EXPANSION

En plus de s’occuper de sa boutique avec une employée, Mme Crépeau passe énormément de temps sur son site web (www.bebeboomerang.com). Les vêtements photographiés y sont exposés et les clients peuvent passer leur commande.

«J’ai même des clients de New-York, l’Ontario, la Suède et l’Australie», dit-elle.

En 16 mois d’opération, Bébé Boomerang a connu un tel essor que Mme Crépeau

songe déjà à quitter son local de 150 pieds carrés pour un de 2000 pieds carrés situés aux limites de Lac-Beauport et Charlesbourg.

Bien au-delà d’un simple commerce, elle souhaite offrir un espace où les mères pourront se retrouver et placoter tout en jetant un coup d’œil aux dernières nouveautés de la mode enfantine.

L’ex-militaire n’oublie pas non plus son passé dans les Forces canadiennes et les quinze années qu’elle y a passées. Avis aux jeunes parents de Valcartier, Chantal Crépeau offre aux militaires et conjointes de militaire un rabais de 10 % en tout temps.

BIBLIOTHÈQUE COMMÉMORATIVE GÉNÉRAL-JEAN-VICTOR-ALLARD

Avez-vous trouvé un sens à votre existence?

Si vous vous questionnez sur votre existence et sur ce qui ce trouve à l’intérieur de vous, le livre Qui fuis-je? Où cours-tu? À quoi servons-nous? : vers l’intériorité citoyenne de Thomas d’Ansembourg répondra à vos besoins. Dans le doute, la difficulté ou l’épreuve, nous ne manquons pas de ressources mais plutôt d’accès à cellesci. Thomas d’Ansembourg nous propose d’accéder à «l’intériorité transformante», cette capacité que nous pouvons développer pour aligner notre vie sur notre élan vital propre. Chacun de nous cherche un sens «personnel et vivant» à son existence.

Faute de le trouver à l’intérieur de soi, nous avons créé une société où tout le monde court hors de soi. Cette course nous épuise et épuise la planète. Aujourd’hui, devant les défis que l’humanité rencontre, que nous soyons croyant, athée ou agnostique, que nous ayons ou non une vie spirituelle nourrissante et que nous adhérions ou non à une religion, nous savons que le monde a grand besoin d’hommes et de femmes

qui se connaissent bien, qui connaissent les processus de réconciliation intérieure et les pièges de l’ego, qui savent comment développer la confiance en soi, en l’autre et en la vie et mettre leur talent au service de la communauté. Aujourd’hui, l’intériorité ne relève plus de la seule sphère privée : elle acquiert plus que jamais une dimension citoyenne.1 Endos du volume

1

NOS NOUVEAUTÉS EN FRANÇAIS

- Qui fuis-je? Où cours-tu? À quoi servons-nous? : vers l’intériorité citoyenne / Thomas d’Ansembourg - Un enfant à la fois : protéger nos enfants des cyberprédateurs / Julian Sher - Les maths pour les nuls / Jean-Louis Boursin - Talent Toyota : les hommes au cœur de la réussite / Jeffrey Liker, David Meier - L’art de la générosité / Lucinda Vardey et John Dalla Costa - Pourquoi les rayures ont-elles des zèbres? / Jean-Baptiste Giraud - L’affaire Jeanson : l’engrenage / Alain Gravel

Du 2 au 6 mars ars 200 2009 9

RELÂCHE LsLÂCHE Â ÂC C colaire

RELÂCHE 2 au 15 février 2009

Information

SCOLAIRE 418 844-5000 * 5226

NOS NOUVEAUTÉS EN ANGLAIS

- Armed Groups: Studies in National Security, Counterterrorism, and Counterinsurgency / edited by Jeffrey H. Norwitz - Hot Spot: North America and Europe / Joseph R. Rudolph Jr. - Faces of Courage: Young Heroes of World War II / Sally M. Rogow - Life in the U.S. Armed Forces: (not) Just Another Job / Anni Baker

- Analysis of Strategy and Strategies of Analysis / David C. Gompert [et al.]

-Military Transformation and Modern Warfare: a Reference Handbook / Elinor Sloan - Soldiers Made me Look Good: a Life in the Shadow of War / Lewis Mackenzie - Prisoners of War: a Reference Handbook / Arnold Krammer - Kalasnikov Culture: Small Arms Proliferation and Irregular Warfare / Christopher Carr - Going Global or Going Nowhere?: NATO’s Role in Contemporary International Security / Jennifer Medcalf

POUR EMPRUNTER DE VALCARTIER L’envoi des livres s’effectue par courrier interne.

Réservez par Intranet en allant sur le site de la bibliothèque, vérifiez si les volumes recherchés sont disponibles, procédez à la réservation des documents (si vous avez votre code d’accès) ou notez l’information de base (auteur, titre et cote) et envoyez un courriel à +BIBLIOTHEQUE STJEAN@STJEAN. Vous pouvez également le faire par téléphone au (450) 358-7099, poste 7816.

Pour obtenir votre code d’accès, composez le (450) 359-7099, poste 7509, poste 7130, ou poste 7557.

Du plaisir pour toute la famille !

Horaire

FÊTE HIVERNALE

Samedi 7 février 2009 11h00 à 15h00 : Activités sur le site 11h30 à 13h00 : Dîner spaghetti ($)* 12h30 à 13h30 : Spectacle de jonglerie

break

au Centre plein air Castor

* Billets en prévente jusqu’au 4 février au Centre des sports au coût de 2,50$ ( Billets en vente sur place au coût de 4,00$ )

418 844-5000, poste 5226

28 janvier 2009 / Adsum / Page 15

Période d'inscription au Centre des sports

- Lexiguide des motos / Carsten Heil sous la dir. de M. Ahlsdorf, D. Becker - La conduite de la guerre / William Langewiesche - Ambiances de Montréal / Christine Bourgier – photos, Sébastien Barangé – textes

Page 16 / Adsum / 28 janvier 2009

BRAVO ZULU

Lieutenant-colonel Érick Simoneau Promotion 430 ETAH

Capitaine Joanne Bilodeau Promotion Décoration des FC

Capitaine Bruno Lafontaine Promotion 12 RBC

Capitaine Karine Thibault Décoration 12 RBC

Adjudant Stéphane Grenier Mention élogieuse 3 R22eR

Sergent Raynald Godin Promotion 430 ETAH

Sergent Marchand Promotion 5 RALC

Sergent Réjean Proulx Promotion QGET

Caporal-chef Dave Bard Promotion 12 RBC

Caporal-chef Karine Bernes Promotion 430 ETAH

Caporal-chef Martin Cloutier Promotion 12 RBC

Caporal-chef Pierre-Louis Heneault Promotion 3 R22eR

Caporal-chef Manuel Lachance-Beaumier Promotion 5 Bn S du C

Caporal-chef Yannick Leroux Promotion 3 R22eR

Caporal-chef Éric Ouellet Promotion 12 RBC

Caporal-chef Pierre-Luc Plamondon Promotion 3 R22eR

Caporal-chef Martin Roy Promotion 3 R22eR

Caporal-chef Sébastien St-Jean Promotion 3 R22eR

Caporal-chef Martin Taillefer Promotion 3 R22eR

Caporal-chef Thibeault Promotion 5 RALC

Caporal-chef Jean-François Verrault Promotion 12 RBC

Caporal Carl Bilodeau Promotion 12 RBC

Caporal Dufour Promotion 12 RBC

Caporal Éric Fournier Promotion 5 Bn S du C

Caporal Nicolas Girard Promotion QGET

Caporal Maxime Giroux Promotion 5 Bn S du C

Caporal Dominic Lambert Promotion 3 R22eR

Caporal Vicky Létourneau Promotion QGET

Caporal Yoan Morier-Thibault Promotion 12 RBC

Caporal Yannick Roch Promotion 12 RBC

Caporal Renée Rodrigue Promotion 430 ETAH

Caporal Stevens Simard-Claveau Promotion QGET

Caporal Jean-Claude St-Laurent Promotion 12 RBC

Caporal Turcotte Promotion 5 RALC

Caporal Annick Gagnon Promotion 5 Bn S du C

Bravo Zulu est un terme emprunté à la marine qui signifie «bien fait» ou tout simplement «bravo».

Caporal Dave Mailloux Décoration des FC 2 R22eR

Caporal Mathieu Pilon Promotion 5 RGC

Caporal Manon Tessier Promotion 5 Amb C

Soldat Diane Servant Promotion 5 Bn S du C

Soldat Lessito Augustin Promotion QGET

Pour soumettre la photo du récipiendaire d’une promotion, d’une décoration ou d’une distinction, ou encore de quelqu’un prenant sa retraite, veuillez nous demander le formulaire de rédaction pour Bravo Zulu par courriel à +adsum@forces.gc.ca ou composer le 418 844-5000, poste 6656.

PROMOTION de la SANTÉ

Ateliers et programmes Le stress? Un peu, beaucoup, passionnément, à la folie…

Séance d’information : le mercredi 21 janvier à 11 h au Centre des sports (bât. 516), salle 182.

Apportez votre lunch et assistez au programme «Poids-santé» qui aura lieu les mercredis de 11 h à 13 h à partir du 4 février.

Une bonne gestion du stress est vitale pour augmenter notre niveau d’énergie, améliorer la qualité de nos relations et de notre vie.

C’est ce que vous propose le département de la Promotion de la santé en permettant une prise de conscience de vos habitudes de vie et en vous offrant des outils afin de maîtriser le stress dans votre vie.

Quand : le jeudi 5 février de 8 h 30 à 12 h Notez que vous devez vous inscrire à l’avance pour ces ateliers.

Atelier «La colère : pour ou contre soi!»

Garder son calme toute la journée, oui c’est possible! Avec le programme «Gérer les moments de colère», découvrez ou inventez d’autres manières de réagir aux frustrations quotidiennes, que ce soit sur la route, avec votre famille, vos collègues de travail ou même avec les objets qui ne veulent pas fonctionner.

• Atelier de 4 heures, pratique et concret.

• Permet de mieux comprendre votre colère et avoir des trucs pour mieux la gérer!

Quand : le jeudi 12 février de 8 h 30 à 12 h Notez que vous devez vous inscrire à l’avance pour ces ateliers.

Alliez contrôle de poids et plaisir!

Contrôlez votre poids en suivant le programme «Poids-santé» et préparez-vous à changer vos habitudes alimentaires ainsi qu’à vous remettre en forme!

Objectifs • Apprendre sur la nutrition • Apprendre sur les pratiques d’activités physiques bénéfiques Bénéfices recherchés • Perdre du poids (si nécessaire) • Maintenir un poids santé à long terme • Améliorer votre santé • Mieux vous sentir dans votre peau.

Apprivoisez votre stress Le programme «Le stress, ça se combat» vous propose d’apprendre à mieux gérer votre stress.

Objectifs • Permettre une prise de conscience de vos habitudes • Développer des outils pour maîtriser et minimiser le stress dans votre vie.

Bénéfices recherchés • Améliorer votre performance au travail • Augmenter votre niveau d’énergie • Améliorer la qualité de vos relations et bien d’autres avantages.

Séance d’information : le mardi 20 janvier de 13 h 30 à 14 h 30 au Centre communautaire (bât. 93), local 204.

La Promotion de la santé vous offre un programme de six rencontres d’une demi-journée. Informez-vous sur la date du début du cours.

Restez calme, restez cool!

Avec le programme «Gérer les moments de colère», découvrez ou inventez d’autres manières de réagir aux frustrations quotidiennes, que ce soit sur la route, avec votre famille, vos collègues de travail ou même avec les objets qui ne veulent pas fonctionner.

Objectifs • Développer vos habiletés interpersonnelles • Identifier les situations précises qui engendrent de la colère • Acquérir de nouveaux outils pour gérer les différentes formes de frustrations et de conflits rencontrés au cours de votre carrière.

• Mettre en application des stratégies d’adaptation fructueuses face à ces situations.

Bénéfices recherchés • Explorer votre relation avec la colère • Comprendre et faire face à vos déclencheurs • Éviter de vous mettre dans tous vos états.

Le programme «Gérer les moments de colère» comporte six rencontres d’une durée de 3,5 heures par semaine. Informezvous sur la date du début du cours.

Pour toute information ou inscription, veuillez communiquez avec Sylvie Heintz au 844-5000, poste 4677, ou par courriel à PromoSante.Valc@forces.gc.ca.

GÂTEZ-VOUS À LA SAINT-VALENTIN! À l’occasion de la Saint-Valentin, la Promotion de la santé vous invite à découvrir la massothérapie.

Bien plus qu’un moment de détente, le massage est un moment juste pour vous et permet une meilleure gestion du stress ainsi qu’une amélioration de votre santé et votre bien-être.

Et puisque c’est la Saint-Valentin, une petite gâterie vous sera également offerte!

Quand : mercredi 11 février

de 11 h 30 à 14 h 30 Où : à l’entrée du Centre des sports Venez en grand nombre, C’EST GRATUIT! Renseignements : 418-844-5000, poste 4677, ou par courriel à PromoSante.Valc@forces.gc.ca.

TÉMOIGNAGE DE GENS DE CHEZ NOUS Vous avez déjà vécu une épreuve?

Vous avez su tirer des leçons importantes de cette expérience?

Le journal Adsum vous invite à partager votre témoignage avec ses lecteurs. Aucune obligation. Possibilité d’anonymat si désiré.

Composez le 418 844-5000, poste 5672.

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TRANSFERT juin 2009. Superbe propriété, construction 2004, aire ouverte, 4 chambres, lattes de bois, beaucoup d'espace, grande salle familiale, sous-sol aménagé, grand terrain, plus de 19 000 pi.c., grand cabanon, patio. Près de la Base Militaire Valcartier. Coup de coeur assuré.

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28 janvier 2009 / Adsum / Page 17

NEUFCHATEL Impeccable, unité de bout en copropriété de 20 unités, 1 chambre au rez-de-chaussée, lattes de bois, sous-sol aménagé avec 2 chambres et 1 salle familiale, près de tous les services. Secteur très calme, très peu d'unités à vendre. Faites vite.

T FER NS A TR

Le suicide d’un proche : un événement bouleversant Lorsqu’une personne se suicide, le désespoir qui se dégage de ce geste touche une vaste population. La perte d’un proche par suicide est un événement traumatisant pour son entourage et le choc peut s’étendre dans toute la communauté.

Le deuil d’un proche s’étant donné la mort par suicide est une épreuve particulièrement difficile à traverser. Le fait que le décès soit soudain, inattendu et souvent violent provoque de vives émotions et une grande détresse chez les «survivants». En plus de la tristesse créée par la mort s’ajoute aussi l’incompréhension du geste suicidaire et de la douleur vécue par la personne s’étant donné la mort. Ceux qui doivent surmonter cet événement bouleversant peuvent aussi vivre de la honte et de la culpabilité face au geste suicidaire de leur proche.

Devant l’incompréhension du suicide, certains éprouvent une vive colère envers le défunt alors que d’autres personnes se demandent s’ils auraient pu déceler la détresse de l’autre et ainsi «le sauver».

Souvent, les indices qu’une personne donne sur ses intentions suicidaires sont très subtils et le processus suicidaire est complexe.

Ainsi, l’entourage et les proches de la personne s’étant suicidé ne sont pas responsables de ce geste.

Lorsqu’on est bouleversé par le suicide d’un proche, voici quelques moyens pour retrouver son équilibre : • Donne-toi du temps. La blessure laissée par le suicide d’une personne peut mettre du temps à guérir. Au fil des jours, des mois ou des années, la douleur s’apaisera.

Tu n’oublieras pas celui qui est parti, mais ce sera moins souffrant.

• Garde des bons souvenirs. En partant, la personne n’a pas effacé tous vos bons souvenirs et vos beaux moments.

En plus de la tristesse créée par la mort s’ajoute aussi l’incompréhension du geste suicidaire et de la douleur vécue par la personne s’étant donné la mort.

• Entoure-toi d’amis et de gens que tu aimes et qui comprennent ce que tu ressens.

• Parle de ta peine. Exprime tes émotions avec les gens en qui tu as confiance, cela t’aidera éventuellement à donner un sens à un événement qui ne semble pas en avoir. Parler de tes émotions te permettra de te libérer de ton chagrin.

• Change-toi les idées. Même si tu n’en a pas toujours l’envie, continue de pratiquer les activités qui te font habituellement du bien.

• Évite de te culpabiliser. Cela ne ramènera pas la personne et ne fera qu’amplifier ta tristesse ou ta colère.

Page 18 / Adsum / 28 janvier 2009

VENDU

• Évite l’alcool ou la drogue. Dans les moments difficiles, certaines personnes ont tendance à consommer de l’alcool ou de la drogue dans l’espoir d’anesthésier leur peine. Cependant, ces substances n’aident pas à surmonter un deuil. Au contraire, elles peuvent amplifier la douleur et occasionner d’autres difficultés.

UN DEUIL PLUS DIFFICILE QUE LES AUTRES

Le suicide n’est pas une mort comme les autres. Les proches et la famille de la personne qui s’est donné la mort vivent des émotions intenses, et ressentent souvent le besoin de comprendre les raisons qui ont motivé le geste suicidaire. Le besoin de comprendre donnera une signification au geste et pourra peut-être apaiser la douleur et le sentiment de culpabilité des proches.

L’incompréhension du geste peut aussi se traduire chez la famille par de la colère, par un sentiment de trahison ou le geste peut être perçu comme un désir de la personne décédée de «leur faire payer quelque chose». Les proches endeuillés peuvent s’identifier au défunt, et ainsi, les gens qui perdent un proche par suicide ont un plus grand risque de commettre un geste suicidaire eux-mêmes. De plus, les maladies associées au suicide telles que la dépression sont généralement héréditaires.

Dans les petites communautés, la nouvelle du suicide d’une personne peut être un choc tel que plusieurs personnes de cette communauté songeront au suicide comme moyen de régler leurs difficultés.

Cet effet est appelé la «contamination» et correspond à l’effet d’entraînement que peut avoir un suicide dans une communauté. Le suicide d’une seule personne laissera dans le deuil environ une dizaine de ses proches.

QUAND UN PROCHE NOUS INQUIÈTE… Lorsqu’on remarque que le comportement d’un proche a changé radicalement, certains signes peuvent révéler des intentions suicidaires dissimulées. Par exemple, lorsque la personne est profondément triste, dépressive, traverse une période particulièrement pénible et a de la difficulté à s’y adapter, ou se débarrasse de ses objets personnels de valeur ou auxquels elle accorde une valeur sentimentale.

Lorsqu’on sent qu’un proche a besoin d’aide, voici quelques actions à poser : • Établis un climat de confiance. Écoute ce que la personne a à dire, accorde de l’importance à sa situation, ne banalise pas sa détresse.

• Parle-lui de tes inquiétudes.

Explique à ton proche que tu t’inquiètes pour son bien-être et ouvre-lui la porte à ce qu’il te parle de ses difficultés.

• Pose des questions claires.

Demande-lui directement s’il pense au suicide en employant des mots clairs!

Demande-lui s’il a envisagé un moment précis, un endroit et un moyen pour passer à l’acte suicidaire.

Plus le plan est précis, plus il faut agir rapidement.

• Encourage la personne à demander de l’aide. Si la personne est réticente à consulter un professionnel (médecin, travailleur social, infirmier), propose-lui de l’accompagner pour une première fois ou appelle avec elle le Centre de prévention du suicide de Québec.

• Sécurise son environnement. Élimine les moyens qui peuvent servir à passer à l’acte suicidaire, tels que les armes à feux ou les médicaments dangereux.

• Reconnais tes propres limites lorsque la situation est grave et que tu dois avoir recours à l’hospitalisation.

Lorsqu’un proche présente un potentiel suicidaire élevé, tu ne peux pas «le sauver» et tu n’es pas responsable de ses gestes. Si tu n’es pas en mesure d’aider la personne parce que sa sécurité ou la tienne est compromise, tu peux avoir recours aux services d’urgence tels que l’hospitalisation de l’individu. Pour y parvenir, explique à la personne que pour sa sécurité, tu devras appeler l’ambulance ou les policiers afin que ces derniers la reconduisent dans un milieu hospitalier.

Lorsqu’un proche nous inquiète, il importe de demander de l’aide aux professionnels qualifiés.

Voici les ressources à contacter dans ce cas : Aumôniers : 418 844-5000 # 5777 Centre de la famille Valcartier : 418 844-6060 Programme d’aide aux employés (PAE) 418-844-5000 # 6729 Pour les employés des FNP, en français 1 800 361-5676 Pour les employés des FNP, en anglais 1 800 387-4765 Programme d’aide aux membres (PAM) 1 800 268-7708

Services disponibles 24 h/7 jours • Ligne d’écoute téléphonique 1-866-APPELLE (1-866-3553) • Centre de prévention du suicide de Québec : 418-683-4588 • Centre de crise de Québec : 418-688-4240 • CLSC, médecins, urgence de l’hôpital

RECHERCHE

Partenaires pour la communauté militaire

Maison 3 chambres Disponible rapidement

Par Dany St-Laurent Centre de la famille Valcartier

URGENTLY NEEDED 3 bedroom house Possession date Flexible

URGENT Recherche maison 3 chambres à coucher Date de prise de possession Discutable

Le 18 décembre était une nouvelle occasion pour le Centre de la famille Valcartier (CFV) de mieux servir la communauté militaire de l’Est du Québec, et ce, grâce à un protocole d’entente qui est intervenu entre le CFV et les services financiers du RARM. L’entente repose sur l’identification des besoins de la clientèle afin de la rediriger vers les services propres aux deux organisations. «De nos jours, il est rare de voir une demande de service unique chez nos membres respectifs. Ils ont besoin de plusieurs choses en même temps. Alors, nous agissons comme une équipe multidisciplinaire», explique Sylvie Dompierre, directrice adjointe du CFV.

De gauche à droite : Marie-Claude Michaud, directrice générale du CFV, et Lucie Bédard, gestionnaire de la succursale de Valcartier des services financiers du RARM.

Ce protocole d’entente servira la communauté militaire de Valcartier et de l’Est de la province, par une offre de service conçue pour leur réalité, ce qui n’est pas toujours le cas dans les organisations civiles.

PRÉVENTION DU HARCÈLEMENT

Gardons le moral!

Par Chamili Boismenu-Lefebvre Conseillère en gestion de conflits, QG SQFT/FOI (Est)

La gestion de conflits peut-elle vraiment nous aider? Et quel est son mandat?

Après quelques années au sein du ministère de la Défense nationale (MDN), j’ai tout bonnement été affectée au secteur de la gestion de conflits. Au départ, je croyais fermement les rumeurs affirmant que l’armée regorgeait de harceleurs… Eh bien non! Il n’y en a pas plus et même moins qu’ailleurs. À mon grand étonnement, les Forces canadiennes (FC) et le MDN sont bien avancés dans ce domaine. Ils sont en quelque sorte les précurseurs en ce qui a trait au développement des lignes directrices concernant le harcèlement au travail. Se basant sur les politiques du Conseil du trésor, les FC ont développé des instructions explicites et claires sur la prévention du harcèlement. Contrairement au gouvernement provincial, qui a instauré en 2004 une politique contre le harcèlement psychologique au travail, le fédéral possède depuis belle lurette diverses législations liées à ce domaine.

UN MILIEU DE TRAVAIL EXEMPT DE HARCÈLEMENT : UN LEITMOTIV

La prévention s’avère une arme de pointe dans notre milieu et l’existence des programmes mandatés le prouve. Les nouveaux employés civils, comme les recrues, reçoivent une formation de base sur la tolérance zéro de toute forme de harcèlement. Par la suite, chaque année, tous les employés civils et militaires ont le devoir d’assister à une séance d’information sur le harcèlement. Revoyant ainsi chaque année les comportements à adopter pour une meilleure gestion de notre environ-

nement de travail, difficile de prétendre que ce sujet nous est inconnu.

Comme mes lecteurs sont sûrement au courant de ces pratiques, demandons-nous plutôt pourquoi le harcèlement existe toujours?

Les fatalistes diront : «Tant qu’il y aura de l’Homme, il y aura de l’Hommerie!»

(Homme pris dans le sens d’être humain).

Certes, ils n’ont pas tort. Depuis l’origine des temps, les conflits en tout genre sont présents. Ce qui est rassurant, c’est que nos habitudes évoluent et certaines de nos pratiques anciennement courantes deviennent maintenant inacceptables. Par exemple : «Eille! Check la Noire qui passe!».

Pour rassurer les sceptiques, depuis que la politique sur la prévention du harcèlement est en place, les plaintes ont diminué de 90 % au Québec. Ajoutons que tous en bénéficient. Que ce soit le plaignant ou le mis en cause, les deux sont protégés et défendus de façon équitable par ces politiques. En fait, ces lois nous protègent et nous dictent la marche à suivre. À nous de décider de les enfreindre ou pas, de les respecter ou pas.

Si le harcèlement existe encore, c’est entre autres parce que diverses personnes ne sont pas encore prêtes à assimiler certaines notions. L’intégration de nouveaux concepts dans une société n’est pas chose facile. Cela peut prendre bien du temps, dépendamment de l’effort qui est donné.

Oui, le harcèlement existe encore, mais il a fort heureusement diminué.

QUAND IL FAUT S’ENTENDRE

Comment régler un conflit? Avec le MARC pour Mode alternatif de règlements des conflits, une méthode de résolution de conflit franchement efficace. Cette recette est constituée de trois étapes dis-

LES TROIS ÉTAPES DU MARC PRIMO : L’INITIATIVE PERSONNELLE On recommande la résolution sans tarder d’un cas de harcèlement au palier qui convient. On encourage fortement les personnes qui ont l’impression de subir du harcèlement à prendre des mesures directes en communiquant avec le mis en cause possible dans les plus brefs délais. Les situations qui comportent l’interprétation de communications interpersonnelles ou des questions qui exigent une clarification entre des personnes peuvent être résolues rapidement et avec efficacité si les parties profitent de l’occasion pour échanger dans un climat de confiance.

Si la communication verbale n’est pas possible, le plaignant peut choisir de transmettre par écrit son mécontentement ou ses préoccupations au mis en cause possible. Il devrait décrire dans cette communication l’incident en cause en relatant les faits, sans faire de jugement, et en indiquant les répercussions de la situation qu’il vit. Il devrait indiquer dans sa lettre le comportement attendu (par exemple, «j’aimerais que ce comportement cesse»). Si possible, la lettre devrait être livrée en personne et le plaignant devrait en garder une copie.

SECUNDO : L’INTERVENTION DU SUPERVISEUR Si l’initiative personnelle s’avère infructueuse ou inappropriée, on peut demander l’aide du superviseur immédiat du plaignant éventuel, ou d’une autorité supérieure de la chaîne de commandetinctes cherchant à régler des différends d’une façon constructive et efficiente.

Nous sommes tous responsables de notre environnement de travail. Il incombe à tous et à chacun de faire sa part. Ne sousestimez pas la gestion. Les superviseurs ont reçu une multitude d’outils et de for-

ment, pour régler la situation par un autre MARC si le mis en cause possible est le superviseur immédiat. Lorsqu’ils traitent des situations de harcèlement, les superviseurs sont encouragés à recourir aux services de leur conseiller en harcèlement.

Les superviseurs peuvent jouer un rôle clé dans la résolution des cas présumés de harcèlement à cause de leur vaste expérience en leadership et en gestion et de leur connaissance des parties.

Cependant, comme il faut qu’un tiers neutre dûment formé exerce le rôle de médiateur et qu’il faut qu’il n’y ait aucun parti pris réel ni perçu, les superviseurs ne peuvent généralement pas servir de médiateur dans une situation touchant leurs propres subalternes (ou d’autres personnes, le cas échéant).

TERCIO : LA MÉDIATION La médiation est un processus volontaire grâce auquel un tiers impartial ayant reçu la formation nécessaire, appelé le médiateur, encourage la communication entre les parties et les aide à en arriver par elles-mêmes à un règlement acceptable pour tous.

On encourage fortement le recours à la médiation pour régler les cas de harcèlement, même après qu’une enquête traditionnelle a été entamée. Si l’on opte pour la médiation, les parties seront informées de la procédure de médiation par le conseiller en harcèlement, ses assistants, le Centre de règlement des conflits ou un médiateur.

La décision de participer à la médiation exige que les deux parties signent au préalable une convention de médiation et un protocole d’entente à l’issue du processus. La médiation est un processus volontaire et l’une ou l’autre des parties peut y mettre fin à tout moment. mations relatives à la gestion du personnel. Ils sont là pour nous aider et nous appuyer. Tâchez de leur faire confiance!

Et soyons zen!

Pour de plus amples renseignements, n’hésitez surtout pas à joindre votre équipe locale de gestion de conflits.

28 janvier 2009 / Adsum / Page 19

Collecte de paniers de Noël Par le capitaine Eric Doiron Padre CI SQFT, responsable de la collecte de paniers de Noël

Au cours de la période précédant Noël, la générosité reconnue de la population militaire et civile de la garnison de Valcartier ne s’est pas démentie. Grâce aux multiples activités visant à recueillir des fonds, la chapelle Sainte-Jeanne d’Arc a pu offrir un panier de Noël à 36 familles militaires et à 14 familles d’employés civils du ministère de la Défense nationale.

Malgré le nombre de soldats en exercice cette année, l’équipe des padrés, aidée par les membres militaires et civils de leurs unités respectives, a tenu le pari d’aider les familles vivant une période plus critique en ce temps de réjouissance.

On peut se demander comment un militaire, avec tous les avantages offerts par les Forces, peut éprouver le besoin de recourir à cette aide. D’abord, il est bon de préciser que cette aide est d’abord et avant tout ponctuelle. Une famille peut connaître une mauvaise passe en ce temps de récession économique. De plus, les

Un aperçu des denrées non-périssables qui ont été recueillies.

padrés rencontrent personnellement chacun des bénéficiaires justement pour les aider à faire le point et, si besoin est, les référer aux services appropriés offerts par

la garnison. Pour avoir été de ceux qui ont reçu les membres, je peux affirmer que les dons sont accueillis avec beaucoup de gratitude et, ce qui est le plus important, que ce geste de partage a permis à ces familles d’offrir un Noël agréable sinon inoubliable à leurs enfants.

Concrètement, les unités ont rivalisé de créativité dans le but de ramasser aussi bien des fonds que des denrées non-périssables, que ce soit au moyen d’une loterie moitié-moitié, ou bien en autorisant le port de vêtements civils en échange d’un montant d’argent. D’autres encore ont été invités à apporter une denrée non périssable au PT d’unité avec la sanction de faire un exercice plus intensif pour ceux qui auraient oublié la consigne. C’est grâce à toutes ces activités de collecte qu’un montant de 4569,94 $ a pu être recueilli. Ce montant nous a permis d’offrir à chacune des familles un bon d’achat dans un supermarché. Cette collecte a donc été pour tous une excellente occasion d’exprimer notre solidarité envers un frère d’arme un peu moins chanceux peut-être. Et c’est tout à fait dans l’optique des valeurs militaires.

UN ÉVÉNEMENT SPÉCIAL? Besoin des services de notre journaliste?

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Page 20 / Adsum / 28 janvier 2009

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Parler de Dieu à nos enfants Par l’aumônier June Reid

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PAROLE D’AUMÔNIER

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Nous venons à peine de sortir du temps des Fêtes, temps où il nous est peut-être plus facile de parler du «petit Jésus» à nos enfants. En effet, il peut nous sembler qu’avec le rangement du sapin de Noël, nous rangions également tout notre bagage spirituel ainsi que notre discours religieux auprès des enfants.

Si parler de religion nous rend muet, il n’en demeure pas moins que depuis toujours les hommes et les femmes s’expriment sur Dieu ou les dieux. En effet, la quête de sens et les questions existentielles qui l’accompagnent sont intrinsèques à la personne humaine et par conséquent elles sont présentes chez les enfants.

La question de la spiritualité chez l’enfant ne fait pas de doute, le défi est de découvrir comment celui-ci l’exprime. Au même titre que l’enfant fait l’apprentissage du langage, de la lecture ou de la morale, sa vie de foi traverse des étapes liées à son développement. De 0 à 17 ans, on parle de six stades de développement qui passent de la foi primaire ou indifférenciée entre 0 et 3 ans à la foi individualisée et réfléchie vers 17 ans. Si à chacune de ces étapes la réflexion sur Dieu s’affranchit, il va de soi que le milieu familial a une influence importante et qu’il demeure l’endroit de prédilection pour l’éveil spirituel de l’enfant. Effectivement, c’est au sein du giron familial que l’enfant construit son bagage affectif, émotionnel et qu’il trouve ses premiers modèles. C’est également en famille qu’il constitue son bagage de valeurs et qu’il s’habilite à traverser la vie.

Dans cette perspective, le rôle de la famille dans la vie de foi de l’enfant est central.

Aussi, parler de Dieu en famille ne nécessite pas d’être titulaire d’un diplôme en théologie. Il suffit de saisir certaines réalités du quotidien et de réaliser qu’elles sont pour nous et nos enfants propices à une plus grande ouverture à Dieu et aux autres. Ainsi, chaque repas en famille peut devenir le lieu d’apprentissage de la reconnaissance, et chaque chicane, elle, le lieu d’apprentissage du pardon et de la paix.

En somme, l’expression de l’amour qui nous habite peut aussi devenir l’expression d’un amour qui nous dépasse : celui de Dieu.

UNE IDÉE d’article pour le journal Adsum ?

Nous sommes à l’écoute !

Communiquez avec notre journaliste au 844-5000, poste 6656, ou envoyez un courriel à +adsum@forces.gc.ca

Bloc-note 10 FÉVRIER LIGUE LA LECHE

Toutes les futures mamans, les mères allaitantes, leur conjoint et leurs enfants sont invités aux rencontres gratuites de la Ligue La Leche, qui se tiendront à la chapelle St-Alban (150 rue Hodson, sur la Garnison Valcartier) tous les deuxièmes mardis du mois à 9 h 30. Le thème de la prochaine réunion le 10 février sera : «La naissance et les premières semaines de vie». Toutes les questions en lien avec l’allaitement pourront aussi être posées. Infos : Élise 418 847-5059.

14 FÉVRIER SAINT-VALENTIN AU CENTRE PLEIN AIR CASTOR

Vivez une Saint-Valentin tout feu, tout flamme au Centre plein air Castor. Souper dansant, menu table d’hôte. Premier service à partir de 18 h 30, deuxième service à 19 h 30. Aussi offert : randonnée à la lueur des flambeaux en raquettes ou en ski de fond à partir de 17 h 30. Soupe et feu de camp à mi-chemin. Réservation avant le 10 février au 418 844-3272, poste 221 et 224.

17 au 22 FÉVRIER BÉNÉVOLES RECHERCHÉS

La Coupe du Monde de surf des neiges du Québec est à la recherche de gens en forme pour nous donner un coup de main sur les parcours, du 17 au 22 février.

Idéalement, les bénévoles sont en ski, en snowboard ou en snowblade. Plusieurs postes sont disponibles. Repas du dîner ou souper fourni selon l’horaire. Infos : Marie-Hélène Montpetit, 418 827-1122.

20 FÉVRIER SOUPER SPECTACLE AVEC MARTIN PETIT

La communauté militaire est invitée à venir assister à un souper-spectacle mettant en vedette l’humoriste Martin Petit le vendredi 20 février, 18 h 30, au mess des adjudants et des sergents. Le coût de la soirée est de 20 $. Les places sont limitées.

Inscription avant le 12 février au Centre de la famille Valcartier ou au 418 844-6060.

20 FÉVRIER CHAPELLE ST-ALBAN

Chaque dimanche à 9 h, il y a culte liturgique (deux fois en anglais et deux

CHARLESBOURG LIBRE ! Au rez-de-chaussée dans un immeuble de 4 unités seulement, magnifique condo sur 2 étages. 4 grandes chambres + 1 bureau au soussol, salle familiale, 2 salles de bains complètes.

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LISE LAMONTAGNE (418) 843-1151

CHRONIQUE LECTURE

TOTALEMENT THAÏ

fois en français, chaque mois). Ensuite, il y a culte évangélique francophone à 10 h 45. Il y a un temps de fraternité entre le deux services. Il y a une étude biblique à midi les mardis en anglais, et les mercredis, en français. Il y a un déjeuner mensuel des hommes et des activités pour des femmes. Info : padré Harold Ristau, 418 844-5000, poste 6716.

Each Sunday ST-ALBAN CHAPEL

Every Sunday at 9 a.m., there is a liturgical worship service (two times in English and two times in French every month). At 10:45 a.m. a French evangelical service follows. A time of coffee fellowship is held between the two. You are invited to an English Bible study at noon, every Tuesday in English and one in French on Wednesdays. We have a monthly men’s breakfast and activities for the ladies. Info: padré Harold Ristau, 418 844-5000, extension 6716.

Divers LE CHŒUR DE MA RIVIÈRE À LA RECHERCHE DE CHORISTES

La chorale Le Chœur de ma Rivière est présentement à la recherche de choristes. Il s’agit d’un groupe vocal à quatre voix dont le répertoire est composé de chants populaires et de chants classiques.

Aucune formation musicale n’est exigée.

Les répétitions ont lieu le mercredi, à 19 h 30, à l’église de Sainte-Catherinede-la-Jacques-Cartier. Infos : Raymond St-Pierre, 418 875-4200, ou Line Guay, 418 875-2659.

HORAIRE DES CUISINES AU CENTRE PLEIN AIR CASTOR

Durant la saison hivernale, les cuisines du Centre plein air Castor seront ouvertes le jeudi et le vendredi de 7 h à 13 h.

Possibilité de réserver la salle à manger ou une salle de réunion pour les groupes de 30 et plus en tout en temps. Infos : 418 844-3272, poste 224.

RAQUETTE ET SKI DE FOND GRATUIT POUR LES MILITAIRES

Saviez-vous que le Centre plein air Castor offre gratuitement l’accès aux sentiers et la location des équipements de ski de fond et de raquettes à tous les militaires avec la présentation de la carte des Forces canadiennes? Horaire d’utilisation des sentiers : ski de fond, du lundi au vendredi de 7 h à 16 h. Raquette, du lundi au vendredi de 7 h à 16 h et le samedi et dimanche de 8 h à 16 h. Infos : 418 8443272, poste 221.

ORSAINVILLE

Grand bungalow de 42x27 offrant espace pour toute la famille. 4 chambres, 1 salle de bains, 1 salle d’eau. Foyer au salon, cuisine refaite. Très beau secteur résidentiel. Faut voir. Disponible fin novembre 2009.

SYLVIE AUDET

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Faut voir sans faute. Superbe cottage avec garage, près de la base militaire. Accès facile à l’autoroute. Fini sur 3 étages. Il offre 5 chambres dont 3 à l’étage. Belles grandes pièces bien éclairées. Terrain de 35 548 pi².

Entrée asphaltée, piscine. Une visite s’impose.

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FORMATION EN RELATION HUMAINE

Le Centre de formation L’AIDANT propose différentes formations en relations humaines données par le psychothérapeute Gilles Gosselin. Les formations disponibles portent sont : comment écouter et comprendre l’autre, subir ou choisir l’influence de mes émotions, négociation d’un changement de comportement et aidants naturels. Les cours sont donnés au Patro Roc-Amadour, 2301, 1ère avenue. Infos : Céline 627-5058.

Voyagez au cœur de la gastronomie thaïlandaise grâce à la multitude de recettes exotiques proposées dans cet ouvrage.

Ce livre vous montrera comment préparer les pâtes au cari, des sautés croustillants ainsi que l’inévitable salade thaïe.

Les deux auteures donnent aussi des trucs et astuces de chefs réputés sur les méthodes de préparation et de cuisson asiatique.

Prochaine parution du Bloc-Note :

TITRE : Totalement thaï TEXTE : Helen Brierty et Annette Fear

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ÉDITEUR : Modus Vivendi INFORMATIONS TECHNIQUES : 192 pages, 21 x 28 cm, couverture rigide ISBN 978-2-89523-536-1 29,95$

Soumettez vos suggestions d’activités au plus tard le 2 février par la poste (voir notre adresse dans l’encadré en page 6), par télécopieur au 844-6934 ou par courriel à : +adsum@forces.gc.ca.

Gagnez ce livre

C’est la saison des REER

Vous pourriez gagner ce livre en soumettant tout simplement votre nom et numéro de téléphone par courriel à +adsum@forces.gc.ca ou par télécopieur au 844-6934 au plus tard le jeudi 5 février.

La gagnante de notre dernier tirage

Par Pierre Goulet, CFP, CGF, FICVM Gestionnaire spécialisé en planification financière et en assurance, Services financiers du RARM, Ottawa

Mme Diane Lefebvre est l’heureuse gagnante du livre présenté dans notre chronique du 15 janvier 2009 : « L’ultime guide d’artisanat ».

En janvier et en février, bien des Canadiens et Canadiennes cotisent à un régime enregistré d’épargne-retraite (REER). Durant les 60 premiers jours de chaque année, nous pouvons compléter nos cotisations, emprunter de l’argent pour y cotiser si nous ne l’avons pas encore fait, ou commencer un nouveau programme de cotisation. Vous pouvez présenter toutes les cotisations que vous avez faites jusqu’au 2 mars 2009 sur votre déclaration de revenus de 2008 ou 2009.

1. N’attendez pas à la dernière minute Vous travaillez dur 12 mois par année pour gagner votre argent. N’attendez pas l’échéance pour choisir vos options de placement. C’est plus facile de placer de petites sommes à la fois. Tentez de prendre des décisions de placement durant toute l’année, alors que vous avez plus de temps pour y réfléchir. Vous éviterez ainsi la course aux REER en février.

2. Combien cotiser?

Lorsqu’il s’agit de cotiser à un REER, le temps c’est de l’argent! Or, puisque nous pouvons reporter indéfiniment les déductions inutilisées, certains d’entre nous en avons accumulées beaucoup. Décidez combien vous désirez cotiser à votre REER pour 2008 et combien vous aimeriez y cotiser en 2009. Soyez raisonnables, ne placez pas toutes vos liquidités excédentaires et n’empruntez pas trop au moyen d’un prêt REER. Une telle démarche pourrait vous causer

VAL-BÉLAIR Grand bungalow 42x28 avec 5 chambres. Terrain 11 405 pi². Garage 8x20, remise, atelier, coin tranquille. Combustion lente. Occupation flexible.

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Félicitations! des ennuis financiers et nuire à vos projets de cotisation futurs.

Si vous ne disposez pas de liquidités excédentaires et que vous ne voulez pas emprunter, il est préférable de mettre l’accent sur l’année qui vient et de commencer à cotiser mensuellement à un REER. Vous aurez ainsi une longueur d’avance l’an prochain à la même époque.

3. À quel REER cotiser?

En général, le REER sert à faire des économies qui constitueront une source de revenu au moment de la retraite. Si vous avez un régime de pension et que votre conjoint n’en a pas, vous pourriez cotiser à un REER de conjoint. Ces cotisations sont déduites du revenu du cotisant, mais elles permettent au conjoint n’ayant pas de régime de pension de disposer d’un revenu de retraite.

4. Déterminez votre tolérance aux risques et votre choix de placement en fait de REER Pour réussir vos placements, vous devez comprendre vos objectifs et votre tolérance aux risques. Les bons conseils peuvent être très rentables. Laissez les planificateurs financiers vous aider à déterminer votre tolérance aux risques et le mode de placement qui vous convient.

Le contenu précédent est offert à titre informatif seulement et l’opinion présentée est celle de l’auteur.

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Cottage aménagé sur 3 étages. 3 salles de bains complètes.

Grandes pièces très éclairées. 4 chambres à l’étage. Au rez-de-chaussée, 2 salles à manger, 1 bureau et une salle de bains complète. Garde robe de cèdre au sous-sol. Aucun tapis. Proximité de la base. Piscine creusée, clôturé. Faut voir. Impeccable.

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Une erreur s’est produite dans l’article intitulé «Les services informatiques fournis par le QGET» et publié dans l’édition du 15 janvier. En effet, l’auteur de l’article n’est pas le caporal Villeneuve comme il était écrit, mais bien le soldat Benoît Ouimet.

28 janvier 2009 / Adsum / Page 23

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