Journal collectif libre
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Octobre 2018
La Mouche POIL !
Manifeste La Mouche est un journal collectif, participatif et artistique. La Mouche se télécharge, se photocopie, s’agrafe, se répand, se prête, se détourne, s’affiche, s’arrache. L’impression et la diffusion se font de manière autonome et par les moyens du bord. Par définition, La Mouche est libre. Chacun-e s’en peut participer en envoyant des textes, des images, des manifestes, des BD, des illustrations, des affiches, des photos, des collages et tout ce qui s’imprime à :
lamouche@darksite.ch Les numéros sortent tous les 3-4 mois et sont accessibles sur le site web :
www.darksite.ch/lamouche La Mouche est insignifiante et pourtant la Mouche est partout, elle est anonyme, elle se reproduit et devient innombrable. La Mouche est insaisissable, agaçante et collective. La Mouche est (prix) libre, et se multiplie. Rejoins La Mouche, nourris-la et diffuse-la !
SONGE En nageant dans ce lit, océan d’aventures, Traversant la marée et bravant de ses bords L’infinité des flots scindant l’âme du corps, Je tiens cap en ma main attachée aux soudures. Ô Bonté que je vois libre en toutes natures, Ô Gravats recouverts des sangs voilés et d’ors! À mes yeux Christ enseigne un vœu juste, au-dehors De sa voix, l’enfant couvre un cœur plein d’ires dures! C’est qu’en rêvant ainsi de ces vagues décors, Le cri tient au lointain prisonnier des accords, Les terres ont ici soif de calmes pâtures. Lorsque pâlit la nuit, rassemblant mes efforts, J’en ferai le choix sain de passer les clôtures, Allant amariner mon canot de verdures! Hernès
au cinéma LES COURAGEUX CHASSEURS DE VAMPIRES
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nécrophiles _ on est pile poil dans l’axe
POIL ?!? C’est ce que propose la Direction du zine philodiptera pour son 12ème numéro :
– Poil –
Le marsupial en est recouvert et il veut bien se poiler sur la formation pileuse, mais de le négligé qui, ou plutôt, de quoi parlet-on ? Car la liste est longue, très longue, trop longue, ou même interminable. Il y a le poil de nez, celui dans la main, le poil ou les poils du Poilu de 14, celui à bois (mais il a deux e dont un avec un petit châpeau à la place du i) et qui peut se dire : “pouèle”. Le poil qui se dresse, celui qui transpire, ras ou qui se fait raser. Le pubien ou pilosité pubienne (terme plus sexy). Evidemment, il y a aussi du poil à gratter, le : “À poil !”, souvent l’aristo bienvenu, moins en taule ou chez les militaires. Pile-poil, à rebrousse-poil, des poils dans le dos, une femme à poil, un homme aussi, des poils de chat, follicule pileux, poil de carotte, une bonne poilade, de tout poil, dans le sens du poil, “C’est au poil !” Reste toutes les locutions saugrenues ou grivoises, le bon vieux : “– Comment vas-tu yau de poêle ?” ou “À poil les nœuds !”. Mais en toute première place il y a le grandiose et magnifique : POIL AU CUL ! n le dressé
CE N’EST PAS LE POIL QUI RIT... ...qui va faire grise mine ! lance le barbier son rasoir bien en main. Chaque jour la sentence est appliquée, car même un hipster islamiste, maître en la matière, doit agir ! Rien que pour garder l’apparence velue voulue. Le poil n’est jamais en vacances. Et comme « Quand il y a de la vie il y a du poil ! », alors évidemment, il pousse et pousse encore jusqu’à épuisement de son bulbe. Chez l’humain, comme chez tous les êtres poilus, c’est un long cheminement où l’intéressé reste quelque peu en vie après la mort du sujet. C’est donc un être stakhanoviste qui se charge même de fermer la maison en fin de bail. Il perd aussi de sa superbe avec le temps, mais tant qu’il a sa racine bien attachée il s’accroche. Il a aussi tendance à être très réactif quand il se fait sectionné presque tout son corps. Il ne fait ni une ni deux, ses cellules s’activent et tout redémarre. Un jour hélas, mais pas pour tous et toutes, le poil se meurt ou est assassiné par une épilation Totale et Définitive. Triste fin pour l’un des plus petits organes du corps humain, mais la pilosité : Oui, le fouillis : Non ! disait le Général Dugland.
Ce chat est si poilu que le pauvre MichaĂŤl ne parvient pas Ă y enfoncer sa bite.
La plateforme à Posidoniens Il y a quelques temps je décide de bricoler un jouet pour divertir mon chat. Je constate qu’un plomb rebondissant renouvelle grandement son intérêt pour les histoires de bouchons. Les jours suivants je dois le surveiller parce qu’il a décidé de balancer systématiquement le plomb en direction de l’ordinateur, ce qui est relativement stressant. Heureusement il finit par se lasser de ce jeu stupide. Depuis que j’ai eu vent des dégâts provoqués par la pêche en eau profonde, je ne mange plus de filet de sabre. Mon chat est un peu triste, moi aussi. Visiblement stressé par ses choix alimentaires, le voilà soudain limite burn-out pour s’installer dans le canapé. Rêve t-il aux étranges bestioles peuplant le bord des mers ou celles du fond des océans ? Sans remords je vole son joujou, y adjoignant une cible intégrée sensée détourner son attention de mon écran. Lorsqu’il émerge de ses rêves, le chat semble pourtant déçu de ne pouvoir taquiner à sa manière mon écran tactile. A ses moustaches frémissantes je devine qu’il résiste à la tentation d’une savante pichenette pour dégommer le Posidonien se faufilant entre les piliers de ma petite sculpture. J’en profite pour manipuler le bouchon d’excitation afin de le taquiner à mon tour. Mon chat commence à s’énerver, j’espère que j’ai bien calculé la longueur de l’élastique. Ah putain c’est pas passé loin, ah ben ça y est je crois bien qu’il à réussi à le dégommer c’est malin tient mais quel con il a tout pété. Voilà mon chat tout dépité. Pour le consoler de la perte de son jouet je lui propose joyeusement un filet de sole, mets délicat à déguster. Mais le chat miaule qu’il en veut un sans isotopes particuliers. Il est tout de même gonflé Pépère. Quoique parfois je me demande, peut-être a t’il raison ? Je ne sais pas quoi penser de mon chat en définitive. Une chose semble clair c’est qu’il préfère les croquettes au filet de sole, ce qui a priori n’est pas bio logique. Serait-il devenu cinglé en parcourant les rayons des supermarchés ? Sorry le chat, me suis encore trompé : paquets de chips. T’en veux ? Plateforme à Posidoniens en kit
Pourquoi tu me regarde de travers l’air de rien ? Y a du poulet, fait pas laSculpture gueule. Guide de montage
- Miaou Jcl jcenligne.fr
Vérifiez que vous disposez de l'ensemble des pièces composant la sculpture avant de débuter l'assemblage. 1 - Installer la plate-forme sur les piliers
Lucky Luck et le voyage pyrétique J’avais huit ans je crois. Emballé dans ma couette sur le canapé du salon, je regardais un dessin animé de Lucky Luck à la télé. Et j’étais raide défoncé. Non je n’avais pas piqué la méthadone de papa, sifflé le Cynar frelaté qui traînait dans le bar, ou bu du Canard WC au goûter. J’avais juste une putain de grippe des Enfers. Avec un joli pic de fièvre à 41° et les sinus gorgés de mucus hautement infectieux, je planais dans un délire somnolant. Prostré et immobile, j’avais pourtant l’impression de tanguer, de voguer, sur une mer agitée par une folle tempête au ralenti. Des montagnes russes chaotiques, qui tantôt me grisaient par leurs accélérations, tantôt semblaient aspirer mes tripes, ne laissant que le froid vide que provoque le vertige d’une chute. Alors que ma tête vivait les tourments d’un hamster dans une machine à laver, mon corps me semblait comme une lourde masse de terre humide. Malléable certes, mais inerte et pesante. Je me sentait m’enfoncer dans le canapé, m’écraser sous mon propre poids, tout mouvement me paraissant impossible, ou plutôt, sacrilège. Je « savais » que j’étais capable de bouger, mais j’avais l’impression que le moindre geste briserait une condition sacrée aussi vieille que le temps lui-même. J’étais une montagne immense, qui pesait sur le monde et le rassurait de son immuabilité millénaire. Et puis il y avait ma couette, encore bien plus grande que moi à l’époque, qui m’englobait entièrement ne laissant libre que mon visage. Je la ressentais comme une forteresse, une construction faisant office de carapace et de camouflage à la fois. Mon lourd corps inerte et hors du temps ainsi protégé, cela me permettait de focaliser mon attention sur ma tête,
active et fébrile dans sa mollesse, qui vivait une autre expérience, dans un autre monde. Je suivais avec un décalage introspectif les aventures de Lucky Luck réduites à cette image si lointaine. Mon cerveau captait quelques secondes ici et là, et brodait sur cette matière des songes étranges et tortueux dont j’étais acteur. Le temps passait, suivant les modulations de la fièvre ; hagard et délirant, sommeillant, parfois lucide quelques instants. J’émergeais de loin en loin, percevant la lumière du jour baissant, jusqu’à laisser place à la nuit. Lucky Luck avait déserté l’abstrait rectangle lumineux, remplacé par un homme grave à un bureau fixant la caméra, puis plus tard par un bateau de pêche bardé d’hommes rougeauds en cirés jaunes. Et enfin, toute ces longues absences chargées de rêves tournoyants peuplés de sorcières, de chasseurs, de mexicains, et de bateaux, ont aboutis à une douce et morne luminosité. Je me réveillais, pour de bon, le lendemain matin dans mon lit. La fièvre était repartie ; le monde était à nouveau bien réel, bien simple, bien stable. Un soleil matinal d’automne, froid et clair, le silence dans l’appartement. Je me sentais mieux, plus léger, mon corps en unité avec mon esprit. Tout était cohérent, compréhensible, évident. Je me suis levé, et ai joué comme à mon habitude sur la moquette de ma chambre en attendant que ma famille se réveille. Un agréable dimanche matin, comme tant d’autres. Et pourtant… Je ressentais une certaine mélancolie. Le regret inconscient d’être revenu.
Jeudi 20 juillet 2017. 6. Ton corps en moi à réceptionné Mon désir de te voir adoré Un jour tu entendras mon silence Mon cœur déjà s’impatience De voir ton être parcourir tout tes Sens Dans ce joli paysage, Sans père ni mère à l’entourage Et pourtant, une grande force et un doux plaisir Un murmure à ton oreille.
16 01 2017 9. Un rêve soudain, je ressens souvenir primitif qui me ment une illusion traverse ma foi tel le mirage d’une vie je crois transgression d’un instant sans calcul à l'amour qui se veut sans préambule ni calcul se fourvoie faux semblant, telle une image gravée dans un cœur, photographié par un œil qui se ment. Disparait, subsiste la pensée sauvage un souffle transparent de sentiments de l'âge. Quiddité, empreinte de la savoureuse fleur l’ultime essence en son subtil état. Reste ? l’oiseau paradis se pose prés de toi, par foi s’envole sagement éventuellement content tes histoires et chantonne. C’est sous ce ciel étoilé que tu observes l’immensité de ton être. C’est sous le regard des femmes qui s’aiment que je vois l’éternel amour, qui demeure en moi et s’ouvre quand je te vois. Je vis dans ces beaux moments que tu reçois. J’aime ces vides qu’on ne perçois. Et la joie qui est en moi se déverse quand je te vois. Se reconnaître. Novembre 2017. C’est sous les gouttes de Rosées, au petit matin Que je t’offre la saveur de ma fleur épanouie par ton regard charmeur.
Abir Telliche
Au poil.
(NDA : 5ème épisode / Jaquot Cliquot par Plk) Jacquot Cliquot s’arrêta soudainement de baver , ses muscles se relaxèrent , son esprit se concentra et d’un regard ………………... - STOP STOP STOP STOP MAINTENANT !!! - NDA : Quoi , qu’est-ce quoi stop maintenant ET T’ES QUI D'ABORD ? - L’ÊTRE : TU VAS CESSER IMMéDIATEMENT , CETTE HISTOIRE EST COMPLéTEMENT DéBILE , PLEINES DE FAUTES D’ORTHOGRAPHE ET CARRéMENT ABSURDE . - NDA : Eh beh , hormis que j’apprécie les critiques , t’es qui et qu’est-ce tu m’veux à m’embrouillé au début du 5ème épisode comme ça , là , à l’aube ? - L’ÊTRE : IL EST QUE TU ES EN TRAIN DE FOUTRE LE BORDEL DANS LA DIVINE FAMILLE CORPORATION ET J’EN SUIS LE PDG EN QUELQUE SORTE , JE SUIS L’ÊTRE DU TOUT UN CHACUN . - NDA : PPPPffffffffiiiiiiiooooouuuuuuu … tu m’as fatigué … Sinon du coup tu vas pas me laisser continuer à conter l’histoire de Jacquot Cliquot ? - L’ÊTRE : T’ES AUSSI CON QUE JACQUOT MA PAROLE … - NDA : Quel beau compliment ! - L’ÊTRE : FAIS PAS LE MALIN LE PLOUC SINON TU FINIRAS INTEGRé DANS UNE VITRE SANS TAIN POUR L'ETHERNITé … - NDA : AH OK D’ACCORD ON EST BIEN ... Bref , donc … Jacquot Cliquot s’arrêta soudainement de baver , ses muscles se relaxèrent , son esprit se concentra et d’un regard il constata le désastre paradisiaque … - C’est quoi ce putain de bordel mazette ? - (TDV) le résultat de la folie divine mon pote , rien d’autre ! - (un passant paumé traumatisé) - il est ou Dieu , je prie pour lui , me fouette je prie je prie ? - Vas-y fermes ta gueule !!! - (TDV) - Jacquot OOOOHHH !!! ... tu te détends de suite qu’est-ce qui te prends ? - Tes dents Tache de vin , ta gueule , vos gueules , fermez vos gueules bande de morts !!!
- (TDV) - Jacquot , t’as craqué ma parole … Vas faire une sieste ! - Je baise vos morts , allez tous vous faire engouffrer !!! - (Le Démiurge) - JACQUOT , CALMES TOI…TU DOIS RESPIRER , TE DéTENDRE ET SURTOUT TE CALMER . - Vla l’autre psychopathe … - (Le Démiurge) - D’ANGES HEUREUX , VENEZ CHERCHER JACQUOT ET TRANSFéRER LE DANS MON BUREAU DE LA DIVINITé DIVINE , SOYEZ DOUX ET BIENVEILLANT AVEC LUI . - %ç&(%ç%// ç*ç%*/ *ç%/*ç/** ç%&&/* !!!!! - Doux et bienveillant ? … - (Le Démiurge) OUI JACQUOT , LE PARADIS JACQUOT , DOUX ET BIENVEILLANT MERVEILLEUX FANTASTIQUE UTOPIQUE GENIALISSIME INCROYABLEMENT INFINI ! - Dis moi gros taré que tu es , t’as fumé de l’herbe cosmique ou pris un buvard HOFFMAN 4 DOSES/100 gouttes ? - (Le Démiurge) JACQUOT CLIQUOT , J’AI A TE PARLER ET C’EST VRAIMENT IMPORTANT , ON SE RETROUVE DANS MON BUREAU DE LA DIVINITé DIVINE … D’ANGES HEUREUX , EMMENEZ LE S’IL VOUS PLAÎT ! - Bah alors , t’es poli maintenant … n’importe quoi !!! - ç*%&( %ç*ç%/*& &/%)/% !!!! D’un claquement de doigt de Démiurge , la couleur , la verdure , de grand espace de détente , des bars , des salles de spectacles , des pistes de courses , de la neige pour skier , des voitures volantes , des patins à roulettes supportant la vitesse de la lumière , toutes sortes de trucs en fait , milles milliards de trucs , des trucs auxquelles mêmes les terriens n’ont pas pensés , le paradis s’est fait en un claquement de doigt avec une infinie possibilité de trucs à faire , des trucs partout pour toute sorte de trucs . quel truc ! Les pensionnaires d’ailleurs sont consternés , bloqués sourires aux dents , prostrés les yeux brillants , c’est tout à fait complètement fou ce truc qui vient de se passer , le paradis est et sera à tout jamais . L’éthernelle n’est plus , bienvenu à l’éternel .
(L’être) - AHAHAHAHAHAHAHAHAH AAHAHAHAHAHAHAH HHHAHAHAHAHAHAHAH QU’EST-CE T’ES CON !!! (NDA) - Oh le grand PDG de la Divine Famille Corporation , tu souris tes dents et m’insultes comme ça , là , tranquille , t’as rien d’autre à foutre sans déconner ? (L’être) - OUI J’AI A FAIRE MAIS TON HISTOIRE ME GONFLE POUR DIRE VRAI ET J’AIMERAI BIEN TE VOIR DANS UNE VITRE SANS TAIN , VOIR LA GUEULE QUE TU FERAIS , COINCé POUR L’ETERNITé !!! (NDA) - Wesh tête de mort , tu pues la défaite franchement , casses toi et laisses moi finir cette histoire sans la gâcher … Va renifler le cul du cosmos ou l’auréole de Jupiter !!! (L’être) - BAH NAN , J’AI PAS ENVIE !!! (NDA) - Pfffffffffffff ouais bon va jouer aux boules Ricard , Bref !!! BUREAU DE LA DIVINITé DIVINE , 15H08 , MARDI , ORAGEUX , 23 DEGRé , DU VENT , DES FEUILLES VIREVOLTENT , LE SILENCE S’INSTALLE PROGRESSIVEMENT , UNE MOUCHE VOLE PéNIBLEMENT D’AVOIR TROP MANGé , JACQUOT ARRIVE DEVANT LA PORTE (13,48MèTRES) DU BUREAU DE LA DIVINITé DIVINE ET SE PROSTRE EN ATTENTE à 1,23MèTRE DU SEUIL . LE DéMIURGE TRANSPIRE , HéSITE , PALPITE , SE GRATTE , PUIS TRÔNE SUR SON FAUTEUIL ET SOMME JACQUOT DE RENTRER DANS SON BUREAU DE LA DIVINITé DIVINE . (Le Démiurge) - JACQUOT , INSTALLES TOI SUR LE FAUTEUIL DEVANT TOI , METS TOI à L’AISE , J’AI DES CHOSES IMPORTANTES ET INCROYABLES à TE CONFIER !!! - C’est une de ces vieilles blagues de merde dont la chute va se terminer en salle te torture céleste ? (Le Démiurge) - NAN , DU TOUT , NE T’INQUIèTE PLUS DE RIEN JACQUOT CLIQUOT , TU NE RISQUES PLUS AUCUNS SéVICES , TU ES AU PARADIS !!! - Y’a t’il une morue sous le rocher , c’est quoi l’embrouille ZEUS ? (Le Démiurge) - TU VIENS DE FINIR TA 3619èME EXISTENCE D’ÊTRE
HUMAIN JACQUOT , TU ES LE TROISIèME FILS DE LÊTRE ET DONC MON FRèRE , MON PETIT FRèRE . - Bleblblble ppppffffffffffff ihi NAN MAIS SANS DéCONNER J’EN PEUX PLUS Là , VE TE FAIRE ENGOUFFRER DANS L’ANTI-MATIèRE PUTAIN DE BORDEL DE MERDE !!! (Le Démiurge) - ATTENDS , TU VAS COMPRENDRE SAVOIR PERCEVOIR RESSENTIR LE TOUT ENTIER DU TOUT UN CHACUN , LA PAUPIèRE DE TON TROISIèME OEIL VA S’OUVRIR ET TU VAS ÊTRE ET AVOIR ! - Causes toujours !!! Le scintillement rond et grave , des vibrations lourdes . Les murs qui respirent lentement aux nez des oreilles … PUIS SOUDAIN , un éclair ultra-lumineux et insistant frappa le BUREAU DE LA DIVINITé DIVINE . - Oh Mazette , nan ? , mais nan ? , comment est-ce possible ? … Nan ? , c’est juste pas possible ! , dis moi Zeus , dis moi que c’est un leurre pour mieux me punir après ??? … Nan , mais merde quoi … (Le Démiurge) - C’EST LA PLUS STRICTE DES VéRITéS MON FRèRE , TU ES DE LA LIGNéE DES DIEUX ET DéESSE DE LA DIVINE FAMILLE CORPORATION . ... A suivre , ou pas ... (L’ÊTRE) - NE PAS LIRE CETTE HISTOIRE , ELLE EST HORS DE PROPOS , naïve et nulle . NDA : Ta Gueule , t’es relou , va visiter un trou noir ! A SUIVRE , OU PAS !
Participe au prochain numéro ! Thématique : toit/logement ...ou autre chose, si tu as une meilleure idée...
Envoyez vos images et textes pour fin janvier 2019 à
lamouche@darksite.ch La Mouche a besoin de vous !
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Fifille Soeurs forêt noire Sacha Philippe Battaglia Olive
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