L'Hebdo du Vendredi Épernay 650

Page 9

Depuis la démission de Jean Rottner à la tête du conseil régional du Grand Est, le 30 décembre, Franck Leroy est devenu président par intérim. Il devrait être officiellement élu le 13 janvier par ses pairs et donc quitter sa fonction de maire d'Épernay. p. 3

AU QUOTIDIEN SUR www.lhebdoduvendredi.com ÉDITION ÉPERNAY n°650 du 6 au 12 janvier 2023
Leroy président Jard, Berges de Marne, pont SNCF... Tour d'horizon des grands projets de 2023 p. 4 REGION GRAND EST A MÉNAGEMENTS 2022, année mémorable p. 6 Le Stade de Reims fait son entrée en lice p. 12 Michel Sardou au Millesium en 2024 p. 13 Première réussie pour Éper'Neige p. 5 A NIMATIONS C HAMPAGNE C OUPE DE F RANCE C ONCERT ©l’Hebdo du Vendrdedi Ce qui va marquer Reims et Châlons cette année p. 8 et 9 M ARNE

www.lhebdoduvendredi. com Du 6 au 12 janvier 2023

sur 2 HUMEURS

VALABLES

ENVIE DE BASKET ? VS 10 JAN. MARDI 20h REIMS RENÉ TYS vichy

www.lhebdoduvendredi.com

Le Rémois Mahiedine Mekhissi dit stop

Le triple médaillé olympique du 3 000 m steeple a annoncé dans le journal « L'Équipe » qu'il prenait sa retraite, après des dernières années gâchées par les blessures. Agé de 37 ans, le natif de Reims possède l'un des plus beaux palmarès de l'athlétisme français : trois médailles aux Jeux olympiques sur 3 000 m steeple (argent en 2008 et 2012, bronze en 2016), deux médailles aux championnats du monde (bronze en 2011 et 2013), quatre titres de champion d'Europe sur 3 000 m steeple en 2010, 2012, 2016 et 2018, mais aussi deux autres titres sur 1 500 m en salle en 2013 et sur 1 500 m en 2014. Mahiedine Mekhissi détient également le record d'Europe sur 3 000 m en 8'00''09.

ÉDITO

de Simon Ksiazenicki, journaliste

Selon l’enquête démographique publiée fin décembre par l’Insee et portant sur la période 2014-2020, la Marne a perdu 4 200 habitants (566 649 habitants). Les grandes villes du département sont impactées avec 2 700 habitants de moins à Reims (180 318), 1 700 à Vitry-le-François (11 458,), 800 à Epernay (22 362) et 700 à Châlons (44 336). En revanche, plusieurs communes limitrophes de la cité des sacres ont vu dans le même temps leur population augmenter, c'est le cas par exemple de Tinqueux (10 456, +400), Cormontreuil (6 459, +240), Bétheny (7 148, +680), Gueux (1 850, +160) ou Champigny (1 585, +230). La progression est même particulièrement spectaculaire du côté de Bezannes (3 513) qui a gagné 2 000 âmes en six ans.

Épernay soutient les Iraniennes en lutte

Afin de marquer son soutien et sa solidarité envers les femmes iraniennes dans leur combat contre le régime théocratique islamique, la ville d’Épernay expose, depuis la mi-décembre, un panneau sur les grilles de son hôtel de ville. Il comporte le portrait de Mahsa Amini, étudiante kurde décédée en septembre dernier, trois jours après son arrestation par la police des mœurs iranienne pour « port de vêtements inappropriés ». Son décès a soulevé une vague de protestation en Iran, réprimée par les autorités qui ont arrêté des milliers de personnes et condamné à mort onze d’entre elles. Le panneau comporte le slogan « Femme, vie, liberté », scandé par les manifestants iraniens.

Quatre Marnais dans l'émission « La meilleure boulangerie de France »

La 10e saison de l'émission télévisée « La meilleure boulangerie de France », diffusée sur M6, compte parmi ses participants quatre artisans marnais : David Mangin (Maison Karl à Champigny), Patrice Madelaine (Le Parvis de Reims, en image), Joffrey Clin (Maison Le Trio à Montchenot) et Patrick Baillet (Maison Baillet à Aÿ-Champagne). Avec l'aide de leurs équipes, ils tenteront de convaincre le jury que composent Norbert Tarayre, Bruno Cormerais et Noëmie Honiat. Rendez-vous du lundi 9 au vendredi 13 janvier à 18 h 35 pour découvrir les épisodes tournés dans la Marne, mais aussi dans l'Aube et en Lorraine.

© l'Hebdo du Vendredi © DR © l'Hebdo du Vendredi © l'Hebdo du Vendredi

C'est un petit coup de tonnerre qui a secoué la région Grand Est, peu habituée aux rebondissements politiques. Le 20 décembre, quatre jours après avoir fait voter le budget primitif 2023 au conseil régional, son président Jean Rottner annonçait qu’il quittait la vie publique en raison « d’impératifs familiaux ». Le choix de l’ancien maire de Mulhouse a été vécue comme une vraie surprise pour les observateurs, mais pas pour ceux qui épluchent les avis rendus par la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP), qui sont sans doute – je vous l’accorde – très peu nombreux. Le 6 septembre dernier, l’instance donnait son feu vert à Jean Rottner pour changer de job, à savoir devenir le nouveau directeur général Grand Est du groupe Réalités, promoteur immobilier côté en Bourse et spécialisé dans les projets d’envergure. La saisine de l’Alsacien avait été formulée le 12 juillet, soit moins de treize mois après sa réélection à la tête de la région. On ne peut accuser l’ancien élu d’avoir menti, ce nouveau poste sera vraisemblablement plus compatible avec les fameux « impératifs familiaux » invoqués. On peut en revanche lui reprocher de ne pas avoir dit toute la vérité. Il n’est pas le premier à « pantoufler » et ne sera certainement pas le dernier, certains spécialistes ayant même observé une accélération du processus depuis l’élection d’Emmanuel Macron. On peut citer le cas récent de l’ancienne secrétaire d’État et députée Brune Poirson, visiblement peu flattée de ne pas avoir été reconduite au sein du gouvernement Castex en 2021 et qui avait préféré abandonner son siège d’élue du Vaucluse pour « agir en faveur de la transition écologique » dans le privé. À savoir au poste de directrice du développement durable du groupe Accor, où elle y a retrouvé un certain Nicolas Sarkozy, administrateur indépendant du géant hôtelier depuis 2016. Son ancien premier ministre, François Fillon, était d'ailleurs encore récemment au conseil d’administration des mastodontes russes de la pétrochimie et des hydrocarbures Sibur et Zarubeshneft. On est loin du cas Rottner, certes, mais la propension des élus à passer du privé au public, et inversement, pose un sérieux problème déontologique. On ne peut pas vaticiner que l’ancien président du Grand Est se servira de ses anciennes responsabilités pour favoriser ses nouvelles, mais le doute restera toujours permis. En plus, démissionner seulement quelques mois après un scrutin, c’est faire bien peu de cas du choix des électeurs, déjà peu enclins à se rendre aux urnes. Voilà qui devrait donner du grain à moudre à certains mouvements contestataires, comme celui de Gilets jaunes, qui appellent à la résurrection ce samedi 7 janvier.

commercial

Jérémy Brochet - jeremy.brochet@lhebdoduvendredi.com

Administration : Martine Bizzarri - martine.bizzarri@lhebdoduvendredi.com

Responsable diffusion : Alexandre Percheron - distribution@lhebdoduvendredi.com

Parution le vendredi matin - Imprimé par l’imprimerie de L’Union C.P.P.A.P 1225 Q 94414

Provenance du papier : Suéde.

Les papiers utilisés sont certifiés PEFC/FSC. Taux de fibres recyclées : supérieur à 70%.

8
INVITATIONS
Les places sont à gagner
le site
POUR 2 PERSONNES offert par MATCH WWW.CHAMPAGNE-BASKET.FR
La Marne perd des habitants
L’Hebdo du vendredi édité par la SARL BMDR Editions Journal hebdomadaire gratuit d’information locale. Siège social : 195, rue du Barbâtre à Reims Tél. 03 26 36 50 13 Rédaction : redaction@lhebdoduvendredi.com Publicité : publicite@lhebdoduvendredi.com Directeur de la publication : Frédéric Becquet - fb@lhebdoduvendredi.com Edition Reims : Julien Debant, chef des éditions - julien.debant@lhebdoduvendredi.com Edition Châlons : Sonia Legendre - sonia.legendre@lhebdoduvendredi.com Edition Epernay : Simon Ksiazenicki - simon.ksia@lhebdoduvendredi.com
Service
: Fanny Chrapkiewicz - fanny@lhebdoduvendredi.com
Infographiste : Anne Rogé - Community Management : Dixie Foucher
Jean Rottner en pantoufles

Franck Leroy, le maire d'Épernay bientôt président du Grand Est

Après la démission surprise de Jean Rottner, le maire d'Épernay (Horizons) assure l'intérim au poste de président du conseil régional. Soutenu par la majorité de droite, il devrait être confirmé le 13 janvier et ainsi quitter son poste de premier édile.

C’est une importante page de la vie politique sparnacienne qui risque de se tourner le 13 janvier prochain. À l'hôtel de région de Metz, l’ensemble des conseillères et conseillers voteront pour élire leur nouveau président, après la démission annoncée le 20 décembre, à la surprise générale, de Jean Rottner (Les Républicains). Ancien maire de Mulhouse et président du conseil régional du Grand Est depuis 2017, à la suite de la démission, déjà, de Philippe Richert, l’Alsacien a invoqué, dans un communiqué, des « impératifs familiaux » pour justifier ce choix (lire par ailleurs).

«  Je l’ai appris quelques jours avant mes collègues, car on a toujours entretenu une relation complice, proche et amicale. Il m’a aussi averti parce qu'il savait que j’assurerai l’intérim et que j’irai peut-être même audelà  », nous confie Franck Leroy (Horizons), maire d’Épernay et premier viceprésident de la région Grand Est, qui sera, selon vraisemblance, le successeur de Jean Rottner.

En effet, quelques heures après l’annonce de la démission de leur chef de file, les 93 membres du groupe de la majorité régionale «Les Républicains, Centristes et Indé-

pendants » se réunissaient pour choisir le Boulonnais de 59 ans, ancien de l’UDI et membre du parti Horizons d'Édouard Philippe depuis le début de l'année 2022. Une suite logique, quand on sait que Jean Rottner, pourtant membre des Républicains, avait appelé, en juin dernier, sa famille politique à travailler avec Emmanuel Macron et le gouvernement ? «  Ça n’a jamais été un sujet chez nous, notre majorité est plurielle depuis le départ, assure Franck Leroy. Moins de 12 heures après l’annonce de Jean Rottner, nous avions un candidat. Ça prouve qu’il y a de l’estime, de la considération, de l’amitié, quels que

soient les territoires et les partis. » Le 13 janvier, celui qui dirige la capitale du champagne sans discontinuité depuis 22 ans devrait donc être élu par sa majorité, l’opposition n’ayant que 75 sièges, dont 32 pour le groupe « Rassemblement national et apparentés » qui sera représentée par Laurent Jacobelli. «  Si je suis élu, je perdrais automatiquement mon mandat local de maire, mais je resterais élu au conseil municipal d’Épernay et je resterais président de l’agglomération, ça n’affectera en rien mon engagement local », assure l'élu sparnacien. La loi empêche en effet de cumuler la fonction de président de conseil

régional avec celle de maire, mais pas de président d’intercommunalité. « Épernay ne disparaîtra pas de ma vie, bien au contraire. J’y habiterai toujours, car j’y ai mes amis, je connais tout le monde, j’aime cette ville et c’est d’elle que je tire ma légitimité politique. »

Christine Mazy pour lui succéder ?

Directeur de cabinet de Bernard Stasi, puis premier adjoint du maire centriste d’Épernay, Franck Leroy avait pris les rênes de la ville en 2000, à la suite d’une démission, déjà. Le schéma pourrait donc se reproduire, d'ici à quelques jours. « Si Franck Leroy est élu le 13 janvier, il perdra son mandat de maire et c’est son premier adjoint qui assurera l’intérim, dans l’attente de la réunion du conseil municipal », explique Christine Mazy, première adjointe au maire d’Épernay en charge des finances et du personnel et de ce fait intérimaire désignée. À 58 ans, celle qui occupe le poste depuis 2014 et celui de vice-présidente en charge du développement économique à l'agglo depuis 2017, se projette déjà vers la suite, avec retenue. « Pour l’instant, je me prépare à assurer l’intérim, on verra qui Franck Leroy proposera pour lui succéder et ensuite, le vote du conseil municipal, précise-t-elle. Quand on est première adjointe, on peut s’attendre à succéder au maire en cours de mandat, pour une raison ou pour une autre. On se prépare forcément à parer à toute éventualité, c’est la raison pour laquelle on a une vision globale sur tous les dossiers. »

Ceux qui attendent Christine Mazy, au moins jusqu’en 2026, devraient être nombreux.

Jean Rottner, une démission en question

Treize mois seulement après sa réélection, le président du conseil régional du Grand Est préparait déjà sa reconversion.

Il rejoindra prochainement la direction régionale du groupe de promotion immobilière Réalités.

Il faut croire que le costume est difficile à porter. Cinq ans après l’annonce de la démission de Philippe Richert à la tête de la région Grand Est, c’est au tour de son successeur, Jean Rottner, de jeter l’éponge. L’ancien maire Les Républicains de Mulhouse a annoncé, mardi 20 décembre, dans un communiqué, sa volonté « de quitter la vie publique » et de se retirer «  de l’ensemble de [ses] mandats d’ici la fin de l’année » en raison « d’impératifs familiaux ».

Un coup de tonnerre dans le paysage politique local. « Ça m’a surpris, mais je respecte ses raisons, confie Franck Leroy, premier vice-président et désormais président intérimaire. En politique, on est l’objet de critiques, voire de menaces, et c’est encore plus difficile quand on est Alsacien et qu’une partie des Alsaciens refusent de reconnaître que le Grand Est est un territoire d’une grande pertinence. Ça a pu fragiliser sa famille,

il a voulu préserver ce cadre intime. » Les mêmes arguments avaient été invoqués pour expliquer la défection de Philippe Richert, il y a 5 ans, mais il semblerait, cette fois-ci, que d'autres considérations motivent la sortie de Jean Rottner.

Le 12 juillet, treize mois après son élection, celui-ci avait saisi la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP) afin d’examiner son projet de reconversion professionnelle, à savoir rejoindre le groupe de promotion immobilière Réalités, en qualité de directeur général délégué chargé de développer l’activité sur le territoire de la région Grand Est. L’instance a rendu, en septembre, un « avis de compatibilité avec réserve », recommandant à Jean Rottner de « s’abstenir, dans le cadre de son activité privée, d’accomplir toute démarche, y compris de représentation d’intérêts, auprès des élus et des agents de la région Grand Est » et «  d’encadrer [ses] futures relations professionnelles ».

Son principal opposant, Laurent Jacobelli (Rassemblement national), qui briguera la tête du conseil régional le 13 janvier prochain, s’est engouffré dans la brêche : « L’ancien président a menti à tout le monde, y compris aux élus de sa propre majorité, en sachant pertinemment qu’il allait rejoindre le privé puisqu’il était probablement déjà en train de négocier son sa-

Le président démissionnaire va rejoindre un groupe de promotion immobilière. © l'Hebdo du Vendredi

laire avec ce groupe  ». Le député de la Moselle accuse ainsi Jean Rottner de « mépriser les urnes » et « de livrer la région aux macronistes ».

Candidat soutenu par les 32 élus du groupe « Rassemblement national et apparentés », Laurent Jacobelli n’a quasiment aucune chance de lui succéder.

3 À LA UNE www.lhebdoduvendredi. com Du 6 au 12 janvier 2023
Jean Rottner, président démissionnaire du Grand Est, et son successeur intérimaire, Franck Leroy. © l'Hebdo du Vendredi
P OLITIQUE
Il conservera la tête de l'agglo
S.K

A MÉNAGEMENTS

Ces projets qui vont marquer Épernay en 2023

En 2023, la capitale du champagne sera le théâtre de plusieurs projets d'envergure. Tour d'horizon.

Le réaménagement du Jard se poursuit

Démarrée l’été dernier, la construction d’un parking souterrain sur l’esplanade Charles-deGaulle est le chantier le plus visible à Épernay. La construction de cet ouvrage de 400 places, réparties sur six niveaux, se poursuivra jusqu’en 2024, pour une ouverture au public prévue au deuxième semestre. Non loin de l’entrée du futur parking, la construction d’un ensemble hôtelier Tribute Portfolio by Marriott de 111 chambres doit démarrer cette année. Livraison prévue en 2024. En revanche, à l’autre bout de l’esplanade, la vente de l’ancien palais de justice au groupe de BTP Fayat, qui projetait d’y installer un complexe hôtelier, a fait long feu pour des raisons de faisabilité économique. Le bien, dont la propriété est divisée entre la ville et le département, se retrouve donc sur le marché, mais la conjoncture actuelle ne devrait pas permettre de débloquer ce dossier rapidement. Le contexte plombe également le projet immobilier de standing de 50 logements qui doit sortir de terre sur le terrain qui jouxte la sous-préfecture. L’explosion du coût des matériaux et de l’énergie serait responsable du retard pris par le promoteur Sigla Neuf.

Réfection du pont SNCF de la rue de Reims

Un nouveau commissariat à la fin de l'année Enfin sur les rails après des années d’attente, la construction du futur commissariat d’Épernay a débuté à la fin de l’été dernier sur un terrain de plus de 4 800 m², jouxtant Le Millesium et faisant face au collège Terres Rouges. Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, est venu, en novembre dernier, poser la première pierre symbolique de cet ouvrage à presque 10 M€, devant des fonctionnaires police impatients de quitter le vétuste commissariat de la rue Jean-Chandon-Moët. Le déménagement dans le futur pentagone de bois et de métal est prévu à la fin de l’année.

Toujours plus pour le champagne

Autre projet de longue haleine, la réparation du pont situé rue de Reims commencera fin janvier et se poursuivra jusqu’en décembre. Renforcé par le dessous en 2020, l'ouvrage verra ses deux tabliers, aujourd’hui indépendants, liés. La rénovation de l’étanchéité, la réfection de la chaussée et des trottoirs, le renouvellement de l’éclairage public et la création d'une piste cyclable sont aussi programmés lors de cette opération à 1,65 M€, supportée essentiellement par le département de la Marne, propriétaire de l’ouvrage. Les conséquences sur la circulation routière seront importantes puisqu’une seule voie de circulation sera maintenue dans chaque sens et les poids lourds seront déviés.

Premières démolitions pour les Berges de Marne

Après de nombreuses phases règlementaires, le futur quartier Berges de Marne va se matérialiser cette année. D’importants travaux de démolition vont débuter en janvier. « L’objectif est de faire le tri entre de vieux bâtiments sans intérêt, voire dangereux, et ceux qui seront conservés et restaurés », a expliqué le maire Franck Leroy, lors du dernier conseil municipal. Une première étape pour ce chantier qui devrait s’étendre sur au moins dix ans afin de faire sortir de terre, sur ce site de 12 hectares, des logements, des bureaux, des espaces verts, des commerces, des activités de loisirs… Il sera relié à la gare d’Épernay par une passerelle aérienne qui enjambera les rails et dont la construction doit débuter en 2024, le projet ayant été retardé par sa complexité, compte tenu de la circulation des trains.

Dans le sillage d’une économie florissante (lire page 6), plusieurs maisons de champagne ont lancé de grands projets ces dernières années. C’est le cas de Pol Roger qui a entouré, en 2020, l'agrandissement de son outil de production sur son site historique situé entre l’avenue de Champagne et la rue HenriLelarge. L’imposant bâtiment de 18 000 m² sur quatre niveaux (dont deux sous-sols) est sorti de terre il y a plus d’un an, mais le chantier devrait se terminer dans les prochains mois. En dehors d’Épernay, Bollinger a engagé, à Aÿ, de grands travaux dans le but d'améliorer son outil de production et son offre œnotouristique, avec notamment, à la clef, un hôtel qui ouvrira en 2026. La maison Krug, intégrée au groupe LVMH, a également démarré la construction d’un nouveau site de production, à Ambonnay. Enfin, la communauté de communes de la Grande Vallée de la Marne indique qu’au printemps 2023, elle achèvera l’aménagement d’une nouvelle zone d’activités en image, entre Mareuil-sur-Aÿ et Bisseuil. Sur 5,6 hectares, quatre entreprises du secteur viticole s’y installeront.

4 ÉPERNAY www.lhebdoduvendredi. com Du 6 au 12 janvier 2023
© Duo Motion © l’Hebdo du Vendredi © l’Hebdo du Vendredi © l’Hebdo du Vendredi © LA/BA architectes

A NIMATIONS

Bilan positif pour la première d'Éper'Neige

Le 2 janvier, le rideau est tombé sur les Féeries de Noël et le premier bilan dressé par les Vitrines d’Épernay, coorganisatrices des festivités de fin d’année aux côtés de la ville, est plutôt positif. La mini-station de montagne, imaginée pour la première fois par l’association de commerçants, a attiré 15 000 visiteurs autour de quatre animations payantes : la patinoire, les pistes de luge et de ski de fond et le mur d’escalade.

«  C’était une année zéro pour Épern’Neige et on est globalement satisfait, se réjouit

Ce village de montagne est une belle thématique qui a amené de l’activité en centre-ville, notamment pour les jeunes et les ados, qui en manquent parfois à Épernay. » Et un chiffre d'affaires de 40 000 €. Malgré un calendrier réduit à quatre semaines au lieu des six habituelles dans le but de réaliser des économies, la fréquentation de la patinoire a culminé à 5 700 entrées, soit un peu moins que les 6 000 de l’an passé. Très prisé des Sparnaciens, l’équipement n’est toutefois pas assuré de revenir l’an prochain. « Si la pression énergétique est toujours aussi forte, ce sera très difficile à maintenir, car on se doit d’être exemplaire sur ce dossier, lance Laurent Barthélémy qui assure que les membres des Vitrines ont été extrêmement vigilants quant à leurs consommations énergétiques. On va se battre pour que la patinoire reste, car c’est une institution. » Quant aux autres animations, elles pourraient subir des aménagements, toutes n’ayant pas connu le même engouement. La piste de ski de fond, qui a mobilisé jusqu’à sept personnes, a dû être fermée à plusieurs reprises en raison d’arrêts maladie.

L’ancienne station Total d'Épernay pourra être vendue

Cela fait maintenant 20 ans que l’ancienne station-service Total de la place de l’Europe, située entre l’avenue Paul-Chandon et la rue de Sézanne à Épernay, a distribué ses dernières gouttes de carburant, mais le souvenir de cette activité subsiste en raison d’une longue procédure réglementaire consécutive à une fuite de l’ancien parc à cuve. « Les activités exercées sur cette parcelle ont été à l’origine de certaines pollutions des sols, a expliqué l’adjoint au maire Joachim Verdier, lors du dernier conseil municipal. C’est pourquoi l’Inspection des installations classées a préconisé d’interdire l’implantation d’établissements sensibles. » Malgré le démantèlement de la station-service, réalisé entre 2003 et 2008, puis la dépollution, organisée entre 2009 et 2017, la surveillance de la qualité des eaux souterraines indique en effet qu’une pollution persiste. « On arrive à la fin de la procédure, l’État autorise désormais la cession de la parcelle, mais en interdit certains usages, à savoir des crèches, des écoles ou des établissements de santé. Pour des locaux de type professionnel, ça ne posera pas de difficulté, a ajouté le maire, Franck Leroy. C’est bien, car cette station a fermé il y a 20 ans et est devenue une verrue. On ne sentait pas Total très motivé sur ce bien, mais ils ont finalement assumé leurs responsabilités et la fin de cette procédure va permettre une transaction sur ce dossier. » Le maire a indiqué par ailleurs que la ville avait eu, dans le passé, des contacts avec de potentiels acquéreurs qui souhaitaient transformer l’ancienne stationservice en espace commercial.

Un an de retard pour la future chaufferie au bois de Bernon

Afin de lutter contre sa dépendance aux énergies fossiles et d’accélérer sa conversion aux renouvelables, la ville d’Épernay souhaite changer de délégataire pour la gestion de son réseau de chaleur urbain, situé sur les hauteurs du quartier Bernon, et surtout qu'il soit alimenté par de la biomasse et non plus du gaz. Pour ce faire, elle avait même choisi, en septembre dernier, l’entreprise Idex qui proposait de faire fonctionner l'équipement à 95 % en bois local et de tripler la taille du réseau. Cependant, l’entreprise Dalkia, qui avait également proposé sa candidature, mais dont l'offre avait été jugée moins satisfaisante, a réussi à faire annuler la procédure par le tribunal administratif de Châlons en raison d’un problème de forme : son concurrent n’avait pas obtenu de convention signée de la part des propriétaires des chaufferies d’appoint qu’il comptait utiliser en cas de dépannage... Dès lors, les élus sparnaciens ont dû, avant les fêtes de fin d’année, déclarer sans suite la procédure initiale et en lancer une nouvelle. Les entreprises ont désormais jusqu'au 30 janvier pour soumettre leurs offres. « Cette annulation nous fait perdre du temps, a regretté le maire Franck Leroy, mais on n'allait pas choisir une offre nettement moins avantageuse pour la ville, dans la mesure où on s’engage pour un contrat de 24 ans. »

Ironie de l'histoire, la ville a également dû conclure une prolongation exceptionnelle de 12 mois de son contrat qui la lie avec… Dalkia, l’exploitant actuel, afin d’assurer le fonctionnement de la chaufferie, toujours au gaz, donc.

Le tri du plastique devient plus pratique

Depuis le 1er janvier, dans l'agglo d'Épernay comme partout en France, tous les emballages en plastique sont désormais à déposer dans la poubelle jaune. Cela concerne les films, les barquettes, les petits emballages métalliques, les pots de yaourt et leurs opercules, les sacs… Depuis le mois de septembre, Épernay agglo Champagne s’est également engagée dans une grande distribution de nouveaux bacs de collecte aux 22 300 foyers du territoire : un gris pour les ordures ménagères, un jaune pour ces recyclables et un marron pour les biodéchets. Les bacs bleus, pour ceux qui en disposent, seront retirés progressivement par les services de l'intercommunalité.

Atelier emploi et réseaux sociaux

Dans le cadre des Rendez-vous de l'emploi, la médiathèque Simone-Veil organise un atelier intitulé « Trouver un emploi grâce aux réseaux sociaux », le jeudi 12 janvier, de 14 h à 15 h. L'objectif sera d'apprendre aux participants à utiliser les réseaux sociaux et à connaître leurs codes afin de mettre en valeur leur profil, construire leur réseau professionnel et donc maximiser leurs chances dans leur recherche d'emploi. Gratuit. Réservation obligatoire : 03 26 53 37 80

Collecte de sang au hall Pierre-Gaspard

L’Établissement français du sang organise une collecte le mardi 10 janvier, de 10 h 30 à 13 h et de 14 h 30 à 18 h 30, au hall des sports Pierre-Gaspard d'Épernay (parc Roger-Menu) et non plus au Palais des fêtes comme c'était

le cas jusqu'ici. Pour faire un don, il est nécessaire de se munir de sa pièce d'identité, de ne pas venir à jeun, d’être en bonne santé, âgé de 18 à 70 ans et reconnu apte au don lors de l’entretien préalable, de peser au moins 50 kg, de ne pas avoir été en contact étroit avec un cas confirmé de covid-19 au cours des 15 jours précédant la collecte et d’attendre 14 jours après l’arrêt des symptômes en cas de contamination. Infos et prise de rendezvous : dondesang.efs.sante.fr

Le comité de quartier de La Cité en assemblée générale

L'assemblée générale du comité de quartier de La Cité se déroulera le samedi 14 janvier, à 10 h, dans la salle des associations, sise au 79 rue des Jancelins. À l'ordre du jour : rapport moral, rapport financier, rapport d'activités, projets 2023, questions diverses.

Collecte de sapins jusqu'au 31 janvier

Après les fêtes de fin d’année, on se demande souvent que faire de son sapin. Il est possible de le déposer dans les déchetteries de Pierry, Magenta et Voipreux (pour l’agglomération d'Épernay) et celles d'Aÿ, de Mareuil-sur-Aÿ, Dizy et Tours-sur-Marne (pour la communauté de communes de la Grande Vallée de la Marne), mais également dans les deux enclos de collecte de sapins, installés depuis lundi 26 décembre et qui fermeront le mardi 31 janvier, sur l’esplanade Charles-de-Gaulle et sur le square Raoul-Chandon, à Épernay. L’an dernier, 880 sapins y avaient été déposés. Pour rappel, l'abandon d'un sapin sur la voie publique, au même titre que tout dépôt sauvage de déchets, est interdit par la loi et passible d’une amende pouvant aller jusqu'à 1 500 €

S.K
5 ÉPERNAY www.lhebdoduvendredi. com Du 6 au 12 janvier 2023
La chaufferie d'Épernay a été installée au mont Bernon en 1975. © l'Hebdo du Vendredi Laurent Barthélémy, président des Vitrines. La patinoire a enregistré environ 5 700 entrées. © l'Hebdo du Vendredi
S.K
La station a fermé ses portes il y a maintenant 20 ans. EN BREF

2022, l'année de tous les excès ?

Si la profession champenoise a connu un nouveau chiffre d'affaires record lors de l'année écoulée, elle ne doit pas s'habituer à vendre 330 millions de bouteilles chaque année, prévient Maxime Toubart, président du Syndicat général des vignerons.

C’est une quasi-certitude, 2022 a été marquée par une nouvelle hausse des expéditions de bouteilles de champagne. Et ce malgré la guerre en Ukraine, la fermeture du marché russe, les difficultés liées à la reprise postcovid et les conséquences du Brexit. Les chiffres provisoires du Comité Champagne font ainsi état d’un volume de 331,5 millions de flacons écoulés entre décembre 2021 et novembre 2022, soit une hausse de près de 5 % par rapport à l’année précédente. Il y a donc de fortes chances que les chiffres définitifs de l’ensemble de l’année écoulée soient du même tonneau et se rapprochent du millésime record de 2007 (339 millions de bouteilles expédiées). « C’est le fruit du sérieux de notre travail sur la qualité, le process, la manière de vendre le champagne. Ce sont de bonnes nouvelles  », se réjouit Maxime Toubart, président du Syndicat général des vignerons (SGV) de la Champagne. Comme depuis plu-

sieurs années, l’export tire le bilan vers le haut et la stratégie de « premiumisation » (montée en gamme) des cuvées a permis de vendre les bulles plus cher. C’est la raison pour laquelle le chiffre d’affaires de l’année 2022 permettra à coup sûr d’établir un record à 6,5 milliards d’euros, largement supérieur à celui de 2021 (5,7 milliards d’euros).

« On est content, mais je ne fanfaronne pas, coupe

» Selon le président du SGV, l’interprofession ne pourra pas tenir ce rythme effréné pendant des années. « On n’est pas capable de produire 330 millions de bouteilles de manière durable, assure-t-il. On a baissé notre rendement de 15 % en 10 ans, le modèle volumique, c’est 300 à 310 millions de

bouteilles. Au-dessus, c’est plus compliqué. » Sur le marché français, où l’érosion a été importante ces dernières années, la tendance est à la stabilisation, autour de 140 millions de bouteilles expédiées. «  On arrive sans doute à la fin de la vague, estime Maxime Toubart. Il y a sans doute eu des commandes importantes par peur de la pénurie, on doit donc observer comment va se dérouler la suite. Il faut voir jusqu’où on peut augmenter les prix, sans perdre le client français. »

La donne est différente à l’étranger, où le précieux nectar est vendu plus cher. Les États-Unis continuent de raffoler des bulles champenoises, tandis que les Britanniques et les Japonais ne sont pas en reste. Le champagne fait mieux que résister à l’international, mais le contexte peut changer la donne à tout moment. Maxime Toubart le sait : « Toutes les professions qui exportent sont dépendantes de ce qui se passe à l’étranger. On peut être en fragilité de ce côté-là, car on est très présent sur seulement cinq ou six marchés. Il y a des modèles de croissance à mieux exploiter, je pense aux pays d'Europe du Nord et d'Amérique latine, comme le Mexique ou le Brésil. »

Si l'on ajoute à cela l'objectif d'atteindre la neutralité carbone en 2050, les défis sont nombreux pour l'interprofession.

6 ÉPERNAY www.lhebdoduvendredi. com Du 6 au 12 janvier 2023
Maxime Toubart. Il y a aussi une explosion des charges et nos équilibres commerciaux restent fragiles.
C HAMPAGNE
Plus de 330 millions de bouteilles ont été expédiées depuis la Champagne en 2022. © l'Hebdo du Vendredi
« Le modèle, c’est 300 à 310 millions de bouteilles »

Les boulangers au four et au moulin

Les annonces du gouvernement pour soutenir leur profession face à la flambée des coûts énergétiques ne rassurent qu'à moitié les artisans boulangers-pâtissiers de la Marne. L'arrivée des premières factures de l'année, courant janvier, dira si oui ou non le fameux amortisseur prévu par l'Etat remplit son rôle.

Philippe Chaumeille a repris la boulangerie de ses parents, à Châlons, en 1990, et préside depuis 2016 la fédération départementale des boulangers et pâtissiers. Il se heurte, comme les 250 artisans que compte la Marne, à une envolée inédite du coût des énergies. Sans compter l'augmentation du prix de certaines matières premières engendrée par le conflit qui sévit en Ukraine. « Le beurre a tendance à redescendre un peu et le cours du blé semble se stabiliser, tempère-t-il. Mais les moulins ont eux aussi des factures

énergétiques qui explosent. Les farines sont en hausse de 25 à 30 % et les œufs ont quasiment doublé. » Dans les années 2000, la fédération a expérimenté un système de groupement d'achats. En vain. « Chaque artisan négocie ses tarifs et choisit ses produits en fonction de ses recettes. Nous n'avons jamais connu une telle situation et n'avons pas de marge de manœuvre. » Impossible de travailler sans four, ni frigo ou chambre de fermentation. «  Certains adhérents se sont tournés vers d'autres fournisseurs d'énergie et risquent de se retrouver avec des sommes colossales à payer. On sent une très grande inquiétude au sein de notre profession, comme dans tous les métiers de l'artisanat. » Concrètement, les contrats n'excédant pas 36 kWh bénéficieront du fameux bouclier tarifaire reconduit en 2023. « Au-delà, on peut atteindre 200 à 250 % d'augmentation !  »

C'est ici que l' « amortisseur électricité » annoncé par le gouvernement doit jouer son rôle. L'Etat prendra en charge une partie des coûts et s'engage à la déduire des factures avant paiement. «  Soit environ 20 % de ce que l'on devra  », estime le président de la fédération marnaise. Les TPE et PME assujetties à une évo-

Une répercussion sur le prix des galettes

Au même titre que la baguette de pain, l'emblématique galette des rois, très prisée en ce début d'année, connaît des hausses de prix qui peuvent diverger d'un établissement à l'autre. En France comme dans la Marne. « On se situe entre 3,50 et 4,50 euros la part de galette, chiffre Philippe Chaumeille, le président de la fédération départementale des boulangers-pâtissiers. Les augmentations sont de l'ordre de 5 à 10 %, sachant qu'on ne vend quasiment plus de viennoiseries et de pâtisseries en cette période, surtout pendant la première quinzaine de janvier. » Du côté des chocolats, l'augmentation peut parfois avoisiner les 15 %. « Les prix sont les prix, mais on veille à rester accessible pour nos clients, qui continuent de nous soutenir. C'est aussi une question de qualité. On fait le choix d'utiliser des beurres AOP, des farines artisanales et des produits essentiellement français. »

Radar défectueux sur la RD 944 : les infractions seront régularisées

Depuis la dernière semaine de décembre, des usagers de la RD 944 (Reims-Châlons) ont reçu des procès-verbaux pour des infractions relevées à tort avec une vitesse limite autorisée de 80 km/h, au lieu de 90 km/h, par un des radars de chantier installé au niveau de Beaumont-sur-Vesle. Ce défaut de paramétrage a été constaté entre les 15 et 19 décembre et a été depuis corrigé. La préfecture de la Marne indique avoir fait le nécessaire pour procéder au plus vite à la régularisation des infractions auprès des usagers concernés et à leur remboursement, sans qu'aucune action ne soit nécessaire de leur part. Cependant, ceux qui n'auraient pas reçu la confirmation de cette régularisation dans le courant du mois de janvier pourront utiliser les services mis en place par l’Agence nationale de traitement

lution de leur facture de plus de 50 % malgré cette réduction pourront demander une aide complémentaire, à condition que leurs dépenses d'énergie équivalent à 3 % de leur chiffre d'affaires 2021. « On est un peu perdu parmi tous ces dispositifs qui nécessitent de savants calculs, concède Philippe Chaumeille. D'après mes estimations, ma facture d'électricité devrait passer de 14 000 à 35 000 euros par an. Même avec 7 000 euros de moins et sous réserve qu'ils soient bien dégrevés à la source, cette dépense sera multipliée par deux. »

Puis de relativiser : « Nous déplorons quelques fermetures d'établissements ces derniers mois, par anticipation, mais elles sont liées à des pro-

blèmes de trésorerie du fait de l'effet covid ou à des départs en retraite. La crise énergétique risque d'impacter les boulangeries déjà fragilisées à moyen terme. On ne saura avec exactitude à combien s'élèvent finalement nos factures que lorsqu'on les recevra, courant janvier.  » D'ici là, les boulagers-pâtissiers constateront également si les fournisseurs, comme exhorté par le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, les épauleront en leur permettant d'échelonner leurs redevances, de renégocier leurs contrats, voire de les résilier sans frais en cas de hausse tarifaire prohibitive.

(Antai)

contester leur avis de contravention, via le site antai.gouv.fr/particulier/designation-ou-contestation.

7 MARNE www.lhebdoduvendredi. com Du 6 au 12 janvier 2023
C RISEÉNERGÉTIQUE
La cuisson du pain au four, indispensable mais également très coûteuse pour les boulangers. © l'Hebdo du Vendredi
Jusqu'à 250 % d'augmentation sur certaines factures
J.D
automatisé des infractions pour Du 15 au 19 décembre, le radar de Beaumont‐sur‐Vesle a flashé à tort les véhicules roulant à plus de 80 km/h au lieu de 90 km/h. © l'Hebdo du Vendredi

Ces projets qui vont marquer Reims en 2023

Malgré un contexte économique incertain, la ville de Reims a annoncé des investissements records pour cette année 2023, avec 85 M€ fléchés. Une somme qui va alimenter plusieurs projets d'exception, dont celui très attendu de restructuration et d'extension du musée des Beaux-arts.

Premiers coups de pioche au musée des Beaux-arts Après avoir déménagé les œuvres abritées au sein de l'ancienne abbaye Saint-Denis, en 2020, puis consacré 2021 aux études de conception par l'agence d'architecture Aires Mateus, le projet de restructuration et d'extension du musée des Beaux-arts aurait dû entrer dans sa phase de chantier en 2022. Il n'en fut rien, le projet ayant été ralenti par le covid. Le lancement de ce grand chantier est finalement attendu en mars prochain. Il devrait durer environ deux ans. Ensuite, l'installation des œuvres nécessitera encore plusieurs mois de travail, si bien que l'ouverture du futur musée des Beaux-arts de Reims est espérée au mieux à la toute fin 2025, voire début 2026. Une incertitude demeure : son coût. Estimée au départ à 45 M€, la facture va forcément être plus importante en raison de l'inflation et notamment de la hausse des prix des matières premières.

Au chevet de la Porte de Mars

Le vestige gallo-romain emblématique de la cité des sacres, datant du IIe siècle, va bénéficier d'une nouvelle opération de restauration, après une première campagne sur la couverture menée en 2015, afin de la préserver des infiltrations d'eau. Cette seconde phase de travaux doit normalement débuter sitôt les installations du marché de Noël retirées du secteur des hautes Promenades. Cette restauration s’intéressera aux décors et aux parements du tout premier édifice rémois classé monument historique en 1840. Cette opération au coût de 1,8 M€ est ouverte aux dons, via la Fondation du patrimoine Champagne-Ardenne.

Le CHU poursuit sa métamorphose

Plus important chantier en cours sur l'agglomération rémoise, de par son coût et sa durée, avec un budget estimé à environ 550 M€ et des travaux prévus jusqu'en 2030, le projet du nouvel hôpital de Reims continue évidemment en 2023. La première phase, qui accapare à elle seule 230 millions de l'enveloppe financière, a débuté en 2020 et doit s'étirer jusqu'à mi-2023. Elle concerne la construction de l'immense bâtiment de plus de 50 000 m2 dédié majoritairement à l’activité chirurgicale et regroupant l’ensemble des composantes du plateau technique (bloc opératoire, imagerie et soins critiques, réanimation et soins intensifs), d’une capacité d'environ 400 lits. Si les délais sont tenus, l'infrastructure pourrait ouvrir dès l'automne prochain. La seconde phase, programmée de 2024 à 2028, verra la construction, après la déconstruction de l’aile de chirurgie de l’hôpital de Maison Blanche, d’un second bâtiment dévolu aux activités médicales, d’une capacité annoncée de 334 lits et places. Enfin, la troisième, prévue en 2029 et 2030, concernera l’hôpital Robert-Debré et l’aile de médecine de l’hôpital Maison Blanche, datant respectivement de 1976 et 1933, qui seront démolis et remplacés par des parkings et des espaces paysagers.

Lancement du chantier

de la nouvelle Esad

Présentée en mars 2022, la création de nouveaux locaux pour l'école d'art et de design de Reims (Esad) doit débuter en fin d'année dans le quartier du Port Colbert, près des anciens Magasins Généraux. Dessiné par Jean-Pierre Lott, ce projet tout en béton et en courbes, via de nombreuses terrasses végétalisées, se ca-

ractérise par une architecture audacieuse à l'échelle rémoise. Le bâtiment, qui doit être l'un des totems de ce quartier d'avenir, représente un investissement de 35 M€, financé par le Grand Reims avec le soutien envisagé du Grand Est et de l'Etat. Fondée en 1748, l'Esad occupe actuellement des locaux situés rue Libergier. Son déménagement est espéré pour la rentrée 2025.

La façade de l'hôtel de ville libérée Depuis l'été 2021, la façade principale de l'hôtel de ville de Reims est masquée par 5 000 m2 d’échafaudages, constitués de 190 tonnes de tubes métalliques ! Une installation nécessaire pour restaurer pierres, éléments sculptés et cheminées, changer toutes les fenêtres du premier étage et les lucarnes, mais aussi intervenir au niveau de la toiture, sur les ardoises et la charpente du campanile, culminant à 42 mètres de haut. L'ensemble du chantier, qui comprend aussi la façade côté cour, représente un budget total de plus de 3 M€. Accusant du retard, il doit se terminer cette année.

Neoma voit grand à Port Colbert

En mai 2022, l'école de commerce a dévoilé le projet de son futur campus rémois qui doit commencer à sortir de terre en fin d'année du côté du quartier Port Colbert. Ce grand projet coûtera environ 110 M€, principalement financés par l'école elle-même, grâce à ses fonds propres et à un prêt. Le Grand Reims et la région Grand Est apporteront chacun 10 M€. Imaginé par le cabinet danois Henning-Larsen, le futur bâtiment disposera de 85 salles de classe, de deux amphis de 120 places, d'un espace événementiel, avec un

auditorium d'une capacité de 750 places, divisible en trois parties et accessible depuis l'extérieur de l'établissement, et d'un grand hall qui placera l'étudiant au cœur de l'établissement. Des chiffres qui donnent le tournis et qui permettront à Neoma d'accueillir sur son campus de Reims jusqu'à 7 000 élèves, contre 4 700 actuellement dans ses locaux, répartis sur deux sites distincts dans le quartier CroixRouge. La livraison est attendue en septembre 2025.

Concertation sur le projet Berges du canal

Dévoilé début décembre, le projet de réaménagement des Berges du canal ambitionne la reconquête d'un espace de 11 hectares, situés entre les ponts Vesle et Venise, qui implique notamment la disparition complète du pont Charles-de-Gaulle ! L'ouvrage sera remplacé par une passerelle, réservée aux modes actifs de déplacements, c'est-à-dire aux piétons et aux cyclistes, dont le seul coût est estimé à 10 M€. Les objectifs sont de donner de l'ampleur au port actuel, de réduire la place dévolue aux automobilistes, tout en favorisant l'usage des modes doux, et d'anticiper la mutation de la traversée urbaine qui devrait devenir un boulevard urbain en 2028, date à laquelle la concession de la Sanef prendra fin. Si la collectivité rémoise table sur une réalisation de l'ensemble du projet courant 2025, aucun engin de chantier n'est attendu dans ce secteur avant 2024. L'année 2023 sera en effet marquée par la concertation qui doit être menée avec les habitants.

8 MARNE www.lhebdoduvendredi. com Du 6 au 12 janvier 2023
Le mois de mars sera marqué par le démarrage du chantier du futur musée des Beaux‐arts. © Aires Mateus Architectes
A MÉNAGEMENTS
Le monument gallo‐romain va se couvrir à nouveau d’échafaudages. © l'Hebdo du Vendredi Voilà à quoi devrait ressembler le batiment principal du CHU de Reims une fois livré, à l'automne prochain. © Groupe6 Architectes

Ces projets qui vont marquer Châlons en 2023

Dernière ligne droite pour le réseau de chaleur urbain

Baptisé Cloé, comme Châlons Locale énergie, le réseau de chaleur urbain entre dans sa dernière phase de déploiement. Les 33 km de tuyaux qu'il nécessite pour chauffer grâce à son énergie décarbonée les bâtiments qui y sont raccordés - déjà une soixantaine pour l'heure – seront entièrement opérationnels d'ici la fin de l'année et les travaux s'installeront sur le secteur de la Rive gauche. «  J'entends l'exaspération des habitants face aux travaux, concède le maire de Châlons, Benoist Apparu Mais on ne peut pas se plaindre, dans le même temps, du prix de l'électricité ou du gaz et des travaux liés aux solutions qui permettent d'y remédier. L'énergie produite par Cloé ne contribuera plus au réchauffement climatique, avec un prix à peu près maîtrisé sur ces trente prochaines années. » Une vingtaine de structures supplémentaires se verront raccordées au réseau avant fin février. Et en 2024, les chantiers engendrés par ce projet d'envergure, dont le coût de construction avoisine les 45 millions d'euros, ne seront plus qu'un vieux souvenir.

L'îlot Notre-Dame, le chantier de l'année !

Débutée en fin d'année dernière, la requalification du secteur Notre-Dame s'étendra sur

15 mois. Sans doute le chantier le plus visible de Châlons, « même s'il est tout aussi important que la rénovation du quartier Schmit, dixit le maire, Benoist Apparu. L'objectif, c'est de redonner un écrin digne de ce nom à la collégiale Notre-Dame-en-Vaux avec un parvis, la mise en valeur de l'eau et du végétal sur cette entrée vers le centre-ville. On se situe sur l'un des carrefours les plus empruntés de la ville.  » La reprise du parking face à l'Angleterre est terminée. Prochaines étapes, moyennant le déménagement des arrêts de bus : les rues Tissier et Grande-Etape, dès ce mois de janvier, puis l'aménagement de l'îlot en tant que tel. La réhabilitation de la collégiale, inscrite depuis 1998 sur la liste de l'UNESCO au

titre des Chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle, n'est pas à l'ordre du jour pour l'instant. Mais elle pourrait faire l'objet de nouvelles discussions avec les services de l'Etat à l'issue des travaux.

La piscine olympique

se prépare aux JO

La piscine olympique de Châlons devrait reprendre du service en septembre prochain, après une cure de jouvence chiffrée à environ 800 000 euros. Les coups de pouce de différentes collectivités permettront d'en financer la moitié et le raccordement de l'équipement au réseau de chaleur Cloé aura un impact considérable sur ses coûts de fonctionnement. « On mène également une réflexion sur la réutilisation des eaux de vidange, détaille Jacques Jesson, qui préside Châlons Agglo C'est un chantier d'ampleur.  » Avec la perspective des Jeux de Paris 2024, puisque la piscine pourrait accueillir des délégations de water-polo et de triathlon à cette occasion

Premières démolitions attendues à Chanzy

Après la livraison du nouveau bâtiment de l'Inrap en juin, la longue réhabilitation du quartier militaire Chanzy-Forgeot – 7 hectares cédés à Châlons Agglo sur une emprise totale de 23 – se poursuit. Pour rappel, l'agglomération et la mairie souhaitent, d'ici 2026, réunir la majorité de leurs services et leurs agents respectifs dans le bâtiment dit « de l'horloge », qui s'étend sur 5 000 m². «  Les premières démolitions interviendront dans les semaines à venir, annonce le président de Châlons Agglo,

Jacques Jesson. Elles concerneront d'anciens hangars et des bâtiments qui ne pourront pas être réhabilités. » 9 pour l'instant, peut-être 11 selon ce que préconiseront les études patrimoniales. En décembre, le conseil communautaire actait la vente du bâtiment 43 de cette friche au Centre de gestion de la Marne. Les travaux d'aménagement débuteront rapidement. Autre pierre angulaire du projet : l'accueil d'environ 200 fonctionnaires issus des services relocalisés de l'Etat. Ceux des Finances publiques devraient progressivement s'installer sur place cette année. L'arrivée du service national des données de voyage (SNDV), rattaché à la direction générale de la police nationale, est programmée en 2024. Quant au musée du cirque envisagé à Chanzy, il peaufine son projet scientifique. Et logiquement, le Palc (pôle national cirque) figure parmi les structures autour de la table. « L'objectif, c'est de créer dans ce quartier quelque chose de vivant et de dynamique, insiste l'élu Les animations et la présence de compagnies artistiques en résidence y contribueront. » Les appels aux porteurs de projets pour les volets commercial et sportif, dans les bâtiments situés à l'entrée du site, sont toujours en cours. A l'horizon 2024-2025, un lieu-dit sortira également de terre. En octobre, le Champagne

Basket présentait aux élus son projet d'implantation à Chanzy. «  Rien n'est encore arbitré, précise Jacques Jesson. Ça le sera sans doute dans le courant de l'année. Construire des bâtiments est une chose. Les faire vivre, c'est autre chose.

9 MARNE www.lhebdoduvendredi. com Du 6 au 12 janvier 2023
»
A MÉNAGEMENTS
Qu'il s'agisse d'aménagements, de réhabilitations ou de constructions, bon nombre de chantiers rythmeront l'année 2023 sur l'ensemble du territoire châlonnais. Petit tour d'horizon non exhaustif des projets en cours et à venir.
La rénovation de la piscine olympique se poursuivra jusqu'en septembre. © l'Hebdo du Vendredi La collégiale retrouvera sa splendeur après les travaux. © l'Hebdo du Vendredi
Cette semaine LES NOTAIRES vous proposent LES FRAIS DE NOTAIRES. Tarif concernant les frais de location dont la prestation de négociation est assurée par un notaire. Honoraires de négociation bail d’habitation : un mois et demi de loyer (en vertu du décret 2007-387 du 21/03/2007). Ce tarif s’applique à toutes les offres de locations faites par des notaires dans les pages suivantes. Pour la vente : les prix s’entendent émoluments négociation compris selon décret n° 93.1060 du 9/9/1993, barème fixé à 5% jusqu’à 45735€ et 2,5% HT au dessus de 45735€ (TVA 20%). Nos annonces en temps réel : www.notaires-tinqueux.fr www.immonot.com www.immobilier.notaires.fr D. PINTEAUX ● P. LINGAT • F. CROISON 4, bis rue J. Monod - TINQUEUX - 03 26 08 26 08 VENTES - 07 88 22 41 17 - 06 12 95 64 12 REIMS, SECTEUR CLÉMENCEAU/SAINT-MARCEAU Proche écoles et universités, bus et commerces. Dans une copropriété avec gardien, asc et piscine privée accessible toute l'année, appart. type 1 : - Entrée avec placard, séjour donnant sur terrasse, cuisine, sdb, WC. 1 parking sous-sol, 1 cave. Idéal invest loc ou primoaccèdant. Chauff gaz collectif Ref. : 22L02 114 000€ TINQUEUX Maison 6 pièces : RDC : Entrée, wc, cuisine A/E, gd séjour. A l'étage : 4 chbres, SDD, wc, SDB. Véranda. Grand garage et Beau jardin clos. Ref. : 22F08 325 000€ REIMS - SECTEUR GAMBETTA Dans une petite copropriété de 4 appartement Type 2 TOTALEMENT REFAIT A NEUF : entrée, wc, cuisine A/E ouverte sur pièce de vie, chbre séparée, salle d'eau avec dche à l'italienne. Chauff élec neuf. Une cave. Local à vélo dans la cour. Très faibles charges de copro. Rénovation assurée et garantie par un professionnel. Idéal investisseur et primo-accédant. Réf : 22K04 137 650€ TINQUEUX Appartement de type 1, au 2ème étage d'une petite copropriété avec asc comprenant : Entrée avec placard, pièce principale lumineuse de 16 m2, espace cuisine, salle d'eau et WC. Chauffage au gaz collectif. 1 parking en extérieur et 1 cave. Commerces, écoles, transports en commun et axes routiers à proximité immédiate. Réf : 22L03 86 000€ BAZANCOURT En fond de parcelle, terrain à bâtir d'environ 1991 m² à viabiliser, de forme rectangulaire. Ref : 22A01 198 000€ TINQUEUX Maison T7, 153 m² RDC : - Entrée, buanderie, grand gge 3 vehicules 1er : - Palier, séjour avec insert, véranda, cuisine équipée, 3 chbres, SDD, WC. 2eme : - Palier, 2 chbres avec cabinet de toilette, grenier aménagé accessible depuis une chbre. Chauffage électrique. Jardin clôt et arboré. Préau (d'environ 60 m²) Ref. : 22J03 479 000€ OFFICE NOTARIAL DE LA PORTE DE MARS Antoine BOUQUEMONT et Marie-Florence ZAMPIERO BOUQUEMONT 5 boulevard Desaubeau - REIMS Immobilier : 03 26 47 83 36 - Négociation : marie-pierre.mayette.51050@notaires.fr immobilier.notaires.fr - officedelaportedemars-reims@notaires.fr LOCATIONS ● SECTEUR COURLANCY : Beaux volumes pour ce studio meublé entièrement rénové dans résidence sécurisée secteur Courlancy. Cet appartement se compose d'une entrée, une pièce de vie avec lit, armoire, étagère, table et chaises. Cuisine ouverte équipée et aménagée, salle de bain avec douche et wc. Proche de tous commerces, transports, écoles et lycées. Chauffage individuel électrique. Loyer 460.00 €/mois Charges : 50.00 € /mois TOM : 8.00 €
A
● IDÉAL PROFESSION LIBÉRALE Bureau dans un très bel immeuble du centre ville de Reims avec ascenseur. Vous partagez cet espace avec 2 professions liberales et vous disposez d'un secrétariat commun, salle de réunion, salle d'attente, cuisine et 1 bureau privatif. Bel emplacement proche de toutes commodités et transports. Loyer
540
Charges
TOM
8.67 € ● SECTEUR CAPUCINS : Proche du centre-ville et de toutes commodités : transports, écoles, commerces, appartement en rez- de -chaussée, comprenant ; salon/salle à manger avec cuisine équipée et aménagée neuve, 1 chambre, salle d'eau avec WC - cour et petit jardin. Loyer 480.00 €/mois Chages : 30,00 €/mois ● QUARTIER SAINT ANDRÉ : Bel appartement dans résidence sécurisée, comprenant entrée avec dressing, un salon/salle à manger d'environ 20 m2 donnant sur un balcon et espaces verts, couloir avec nombreux placards de rangements, cuisine aménagée et équipée, salle de bains, 2 chambres dont 1 avec balcon, WC indépendant. Cave et place de parking. Appartement très lumineux proches des écoles, commerces et transports en commun. DPE E Loyer 744.00 € Charges 90.00 € TOM : 14.00 € Office Notarial ISABELLE CIRET-DUMONT ET MARJOLAINE LAMPSON www.ciret-dumont-lampson.notaires.fr - www.immonot.com - www.seloger.com 29, boulevard Foch - 51100 REIMS - 03 26 89 89 28 ● Honoraires négociation : 5% H.T jusqu’à 100.000,00€ - 4,5% H.T entre 100.000,00€ et 200.000,00€ - 4% H.T entre20000000€ et30000000€ -3%HTaudessusde30000000€ Lestranchessontcumulatives ● ● BETHENY Dans un secteur calme sur une parcelle de 406 m², maison développant 177 m² répartie sur 3 niveaux. Au RDC: entrée, local chaudière, buanderie, dressing, WC, garage. Au 1er étage: séjour double de 31 m² ouvert sur la cuisine, 2 chambres, salle de douche, WC. Au 2ème étage: débarras, WC, 2 pièces en enfilade de 21 m² au sol chacune. Chauffage individuel au gaz. CLASSE ÉNERGIE : E. CLASSE CLIMAT : E. 51052-470 Prix : 336 000 € Charge vendeur ● REIMS SECTEUR POMMERY En résidence, studio loué au 2ème étage comprenant une pièce principale avec kitchenette, placard, une salle de douche avec WC. Un garage en sous-sol. CLASSE ÉNERGIE : E. CLASSE CLIMAT : B. 51052-469 Prix : 68 900 € Charge acquéreur ● SECTEUR LUTON APPARTEMENT AVEC COUR Appartement fonctionnel en rez-de-jardin de type 2 avec jouissance exclusive de la cour de 47 m² comprenant un séjour, une cuisine, une grande chambre, une salle de bains, un WC séparé et un débarras. CLASSE ÉNERGIE : F. CLASSE CLIMAT : F. 51052-467 Prix : 148 100 € Charge acquéreur
BUREAU
LOUER
:
: 85.00 €
:
EN EXCLUSIVITE PROX POMMERY - Dans une résidence bien entretenue, un appartement situé au RDC de 3 pièces principales. Surface habitable de 73 m² comprenant Entrée, séjour (22m²) sur balcon (environ 9m²), cuisine, 2 chambres, SDB et WC. Nombreux rangements. Parking aérien et parking en sous-sol. Une cave. Chauffage collectif - Honoraire charge vendeur Classe Energie E Prix 139 000 € EXCLUSIVITE RUE DU CHAMP DE MARS, appartement 4 pièces de 65 m², au RDC (immeuble en retrait de la voie, au calme), comprenant un séjour de 26 m² et deux chambres. Fenêtres PVC, volets roulants. Intérieur à rafraîchir. Cave. DPE E. Honoraire charge vendeur. Prix 139 000 €
Dans un bel immeuble, appartement
5 pièces principales situé au 2ème étage. Surface habitable de 127 m² comprenant Entrée/dégagement, salon/séjour (48m²) avec cheminées, cuisine, deux chambres (20m² et 18 m²), possibilité 3 chambres, placard et WC. Cave
individuel gaz. Appartement traversant agréable et lumineux, belle vue dégagée. Secteur prisé. Honoraire charge vendeur
En cours. Prix 550 000 € F3 À REIMS RUE COURMEAUX, SECTEUR PLACE DU FORUM. Appt, au premier étage sans ascenseur, de 67.04m2 entièrement rénové. Cpt entrée, WC séparé, séjour avec cuisine meublée et équipée (plaques, four, hotte) ouverte de 39.27m2, une chambre, un bureau, salle de douche. Chauffage individuel électrique. Classe Energie C. Loyer: 850€/mois cc Dont Charges: 40.00€ Dont TOM: 10.00€ Dépôt de Garantie: 800.00€ Honoraires Charge Locataire: 607.67€ Dont 201.12€ TTC pour Etat des Lieux. F3 À REIMS - RUE LAURENT DÉRAMEZ - FACE PARVIS EGLISE ST ANDRÉ. Superbe appartement de 69 m2 au 1er étage d'une résidence de standing. Cpt entrée avec placards, séjour, cuisine ouverte avec éléments, 2 chambres, dégagement avec placards, SDB, wc, Balcon de 15m2. Parking en s/sol. Chauffage individuel électrique. Classe énergétique en cours de réalisation. Libre le 01/03/2023. Loyer: 822€/mois CC Dont charges: 35.00€ Dont TOM: 17.00€ Dépôt de Garantie: 770€ Honoraires charge locataire: 566.09€ Dont 207€ TTC pour état des lieux. F4 À REIMS- RUE DU BARBÂTRE - Appt de 66.82m2 au 4ème étage sans ascenseur d'une résidence sécurisée proche commerces. Comprenant une entrée avec placard, cuisine meublée et équipée (four, plaques et hotte), salon/séjour, deux chambres dont une avec placards, salle de douche, un rangement, WC. Chauffage individuel gaz. Classe énergie D Loyer: 795€/mois CC Dont charges: 60€ Dont TOM: 15€ Dépôt de garantie: 720€ Honoraires charge locataire: 576.41€ Dont 200.46€ TTC pour état des lieux. LOCAL COMMERCIAL DE 60.65 M2, PLACE CÉRÈS ARISTIDE BRIAND composé d’une boutique donnant sur la place, une pièce à l’arrière, coin cuisine, Wc, place de parking privative dans la cour, 2 caves. DPE vierge. Nombreuses places « arrêt minute » devant la boutique. Climatisation - Porte automatique Libre le 2 Janvier 2023 Activités tous commerces sauf restauration avec cuisson. Loyer : 18.000 €/an HT HC Soit 5 400€ TTC / trimestre Caution personnelle ou bancaire Droit d’entrée 7.000 € Taxes foncières 1.352 € (base 2022) + PNO : charge preneur Dépôt garantie : 1 trimestre - soit 4 500€ Bail commercial notarié - période ferme 6 ans honoraires charge preneur (1 500€ HT) LOCATIONS HYPER CENTRE, au 1er étage d'un très bel immeuble, spacieux quatre pièces de 125 m² en très bon état général, comprenant une salle de séjour de 49 m², parquet, belle hauteur sous plafond, cuisine équipée, deux grandes chambres et SDB complète. Grande cave et chambre de bonne au 4ème étage. Faibles charges (env 1350 € annuels). Chauff indiv gaz. Classe énergie en cours. Honoraire charge vendeur. Prix 438 000 € APPARTEMENTS EXCLUSIVITE TAISSY - Maison en très bon état général sur une parcelle de 2600 m², d'environ 190 m² habitables sur deux niveaux, comprenant séjour/salon avec cheminée 51 m², cuisine équipée, deux chambres, SDD et lingerie au RDC. A l'étage palier ouvert distribuant deux grandes chambres (28 et 20 m²) et SDD. Deux garages indépendants avec ouverture automatisée. CC au gaz. Beau jardin arboré. Ensemble dans un secteur calme, très agréable. Classe énergie D Honoraire charge vendeur. Prix : 655 000 € COURLANCY/MARTIN PELLER - Maison d'habitation d'environ 130 m² comprenant au RDC : entrée, bureau, buanderie (accès à un jardinet clos), garage avec porte sectionnelle automatique. A l'étage, séjour, cuisine meublée, 2 chambres, SDD/Wc. Au second Grenier aménageable (surface env 30 m²). Honoraire charge vendeur Classe Energie E Prix 299 000 € EXCLUSIVITE LA NEUVILLETTE maison d'environ 125 m² habitables sur deux niveaux comprenant au RDC séjour/salon 34 m², cuisine équipée, une chambre et toilettes. A l'étage : trois chambres et SDD (possibilité seconde SDB). Jardin, garage (vélos/motos).Ensemble bien entretenu. CC au gaz. DPE en cours. Honoraire charge vendeur. Prix 232 000 € MAISONS SECT CHARLES ARNOULD, maison ancienne d'environ 210 m² habitables comprenant un grand séjour/salon avec vaste cuisine équipée ouverte (72 m²), véranda donnant sur cour close et partie garage (1 voiture), Wc/SDD. A l'étage grand palier/bureau, trois chambres dont une suite parentale avec dressing et SDD (26 m²), lingerie, Wc, nbx rangements. Au second : une grande chambre avec partie bureau aménagée. Petits greniers/rangements. Cave. Ensemble en très bon état intérieur et extérieur. CC au gaz. Fenêtres PVC/VR. Classe énergie D. Honoraire charge vendeur Prix 440 000 € Barème des honoraires de négociation : Les honoraires de négociation sont réglés par le vendeur. Tarification TTC : Prix inférieur ou égal à 50 000 € : Montant forfaitaire maximum de 5 000 € TTC Prix supérieur à 50 000 € : 4% TTC + forfait maximum de 4 000€ TTC Tarification Location : (émoluments partagés par moitié bailleur et preneur) Emoluments: ½ loyer HT Emoluments cautions: ¼ de l’émolument HT Emoluments de formalités:170 € HT environ (selon les caractéristiques du bien) Etat des lieux : 5€ HT/m2 Honoraires : Négociation : ½ loyer HT à la charge du bailleur Gestion mensuelle : 7% HT des encaissements (hors dépôt de garantie) SAINT REMI - Appartement de 3 pièces principales situé au 1er étage avec ascenseur. Surface habitable d'environ 72 m² comprenant Entrée, séjour avec balcon, cuisine/arrière cuisine, 2 chambres, SDD/WC. Cave. Chauffage collectif, chges annuelle tout inclus env 2400 €. ENVIRONNEMENT AGREABLE, VUE DEGAGEE SUR LES JARDINS. Honoraire charge vendeur Classe Energie F. Prix 154 000 € SECTEUR CHANZY/GAMBETTA Dans un immeuble en pierre de taille, appartement de trois pièces principales situé au rez-de-chaussée. Surface habitable d'environ 56 m² comprenant : Entrée, séjour,
SECTEUR CATHEDRALEVOLTAIRE
de
-Chauffage
- Classe Energie
cuisine équipée, 2 chambres, SDD/Wc. Jouissance d'une cour avec un accès direct de l'appartement. Cave. Chauffage individuel Gaz. ENSEMBLE AGREABLE - Classe Energie : E - Honoraire charge vendeur. Prix : 185 000 €
à manger (40m²), cuisine, 5 chambres, SDB et SDD, 2 Wc. Deux caves, parking couvert et box fermé. Très beaux volumes, vue dégagée, ensemble lumineux et agréable. Chauffage collectif - Honoraire charge vendeur Classe Energie D Prix 290 000 € AXE JONCHERY SURVESLE maison indépendante de 197 m² habitables + sous/sol total, sur 964 m² de terrain. 7 pièces principales comprenant au RDC séjour de 42 m², cuisine équipée, deux chambres, bureau et SDB, à l'étage palier, trois chambres et SDD. Ensemble en très bon état général. Fenêtres PVC. Jardin clos. Grande terrasse/barbecue plein sud. Garage (s/sol). Honoraire charge vendeur. Classe énergie E Prix 420 000 € MAISONS PUISIEULX terrains à bâtir de 418 à 530 m², viabilisés. Grille tarifaire et plans : nous consulter TERRAINS A BATIR APPARTEMENT EXCLUSIVITE CENTRE REIMS FORUM Cession de droit au bail. Local commercial de 72 m² avec vitrines. Réserve de 61 m² à l'étage. Bail neuf, tout commerce (sauf bruit et odeur). Loyer trimestriel 4200 € HC. Dt au bail 90 000 €. Frais en sus, charge acquéreur, d'un montant total de 21 000 €. Prix 90 000 € SECTEUR AVENUE DE PARIS /AXE RAPIDE GARE TGV BEZANNES - Dans un immeuble ancien très bien entretenu, un appartement de 6 pièces principales avec garage, situé au 2ème étage sans ascenseur. Surface habitable d'environ 111 m² comprenant :Entrée/dégagement, séjour (26m²) sur balcon, salle à manger 11 m² (ou chambre), cuisine équipée, SDD, 2 chambres dont une double de 24 m² (possibilité de scinder en deux chambres) et SDD. Appartement en très bon état, lumineux et traversant Tous commerces à proximité. Cave. Honoraire charge vendeur Classe Energie E. Prix : 314 000 € VIGNOBLE SECTEUR VERZY maison ancienne rénovée d'environ 155 m² habitables sur deux niveaux comprenant au rdc cuisine équipée 14 m², séjour/salon 45 m², lingerie, Wc et SDD. A l'étage 4 chambres et SDB/wc. Ensemble en très bon état général. Grande cour intérieure avec petites dépendances et garage. Cave voûtée. Jardin pentu en surplomb. Ensemble très agréable. Classe énergie : C. Honoraire charge vendeur. Prix : 305 000 € MAISONS LOCAL COMMERCIAL
SECTEUR POMMERY - Appartement de 8 pièces principales situé au 8ème étage avec ascenseur Surf hab de 163 m² comprenant Entrée, séjour/salon/salle

La dynamique se poursuit avec Still

Sous la houlette du coach belge, le Stade de Reims reste sur neuf matches sans défaite et affiche un visage bien plus séduisant. Ce week-end, face aux amateurs de Loon-Plage, en 32e de Coupe, les habituels remplaçants devront se mettre au diapason.

En arrachant un nul face à Lille (1-1), le week-end dernier, le Stade de Reims a réussi ce qu’il n’avait réalisé qu’une seule fois cette saison : revenir dans un match où il était mené. C’était à Strasbourg, le 21 août et à ce moment-là, le club marnais affichait un visage bien différent de celui d’aujourd’hui. Avec son nouvel entraîneur, Will Still, ce Reims-là dégage bien plus de confiance. « C’est très positif, surtout vu le contenu de l’adversité en face de nous, a savouré le technicien belge, après la rencontre. On a fait le dos rond par moment, mais on sait qu’un déplacement à Lille ce n’est jamais évident. Le collectif est venu sur le devant de la scène avec un remplaçant qui a marqué avec une passe décisive d’un remplaçant. » En l'occurrence Jens Cajuste, intermittent depuis le début de la saison, qui a permis d'étirer la série d'invin-

cibilité rémoise à neuf rencontres et de conserver une dynamique positive au sein d'un groupe qu'on sentait facilement touché par les vents contraires il y a encore quelques semaines.

Avec les récents retours de blessure du Suédois, mais aussi de Maxime Busi, Thomas Foket, Andreaw Gravillon et Kaj Sierhuis, le coach rémois peut compter sur un effectif bien plus complet que celui avec lequel a dû composer, pendant un an et demi, Oscar Garcia, pas épargné par les blessures et les suspensions. Les habituels remplaçants auront à nouveau leur carte à jouer, ce week-end, lors de l'entrée en lice du Stade de Reims en Coupe de France, et l'occasion sera belle pour Still de reposer ses cadres et d'impliquer ceux qui rongent leur frein.

Pour ce 32e de finale, le sort a dévolu aux Rémois le club de Loon-Plage, pensionnaire de Régionale 1, soit la sixième division française. Après sept tours franchis loin de la petite commune du Nord, les hommes de Laurent Cosyn recevront, pour la première fois cette saison, dans leur enceinte de 1 346 places qui devrait être garnie de rouge et de bleu. Déjà bien lancés avec cette reprise anticipée en raison de la Coupe du Monde, les Rémois ne devraient pas connaître de retard à l'allumage, comme ce put être le cas dans le passé lors de ce premier tour de Coupe qui ouvre habituellement l'année. Une éli-

80 supporters rémois dans le Nord

Pour son entrée en lice en Coupe de France, le Stade de Reims affrontera les amateurs de Loon-Plage dans leur stade Marcel-Rosseel de 1 346 places. L'enceinte de cette commune nordiste de 6 000 habitants sera pleine, le président du club Franck Milliot ayant même reçu près de 5 000 demandes, selon « La Voix du Nord » ! Côté Rémois, les fans seront peu nombreux puisque seulement 80 places ont été accordées au Groupement officiel des

du Stade de Reims et aux Ultrem 1995.

Thomas Andrieux, n'a jamais vraiment semblé inquiet, même quand début novembre, son équipe végétait en milieu de tableau. Pas épargné par les blessures, à l'image actuellement du meneur Mathis Keita, absent depuis la mi-décembre pour une durée de six semaines, l'entraîneur du Champagne Basket a, comme ses joueurs, su faire le dos rond et se construire dans la difficulté.

Si la confiance est revenue progressivement, il semble que le succès acquis le 9 décembre à Angers (93-81), qui restait sur 29 victoires consécutives à domicile, a été décisif. Dans la foulée, l'union marnaise a d'ailleurs réussi ses premiers pas à l'Arena de Reims, disposant d'Antibes (70-58), alors leader de la Pro B devant plus de 4 000 spectateurs. Depuis ces deux probants succès, le Champagne Basket a certes chuté sur le parquet de Boulazac (91-87), mais aussi signé deux nouvelles victoires pour conclure en beauté 2022, à Quimper (77-70) et face à Saint-Vallier (103-84). Grâce à ce très joli mois de décembre, Thomas Andrieux et ses joueurs se sont rapprochés du haut du classement, partageant la 5e place du classement avec leurs homologues de Lille. Une ascension qu'ils ont bien l'intention de poursuivre en ce début d'année, à l'occasion de la réception de Vichy-Clermont, actuel 3e, avec une seule victoire de mieux au compteur que le club champenois.

Markis Jackson et ses coéquipiers débutent 2023 par la réception de Vichy‐Clermont à Reims. © Teddy Picaudé.

4 Champagne Basket - Vichy-Clermont, mardi 10 janvier, à 20 h, au complexe René-Tys, Reims.

Basket-ball LF2 : l'Américaine Townsend en renfort

Toujours englué dans la seconde moitié du classement, le Champagne Basket féminin a profité de la pause de Noël pour modifier son effectif. L’Estonienne Mailis Pokk (1,86 m, 40 ans) est partie et l’Américaine Jill Townsend (1,80 m, 24 ans) est arrivée. Un choix justifié par la coach Aurélie Lopez : « Nous avons besoin de créativité et d’efficacité offensive. Jill une joueuse polyvalente avec de belles qualités physiques qui va nous amener de l’impact offensif et défensif. » Formée à l’université de Gonzaga, la poste 1/2 arrive en provenance des Osnabrueck Panthers (Allemagne). Actuellement 9e sur 12, les Pétillantes se déplacent samedi 7 janvier sur le parquet de la Tronche Meylan (5e).

mination précoce serait une première anicroche dans l'ère Will Still. Simon Ksiazenicki 4 Loon-Plage - Reims, dimanche 8 janvier, à 15 h, stade Marcel-Rosseel et sur Bein Sports Max 5
sommet pour s'installer dans le bon wagon F OOTBALL C OUPE DE F RANCE : LOON -P LAGE - R EIMS E ÂTR U A E ’ AL Âge 40 min €10 € É VIO GNIE ONA A PA C ance e leur import tout ai l t s dé tit où les pe t de p bijou de finesse e , s t i t e p t- u o t s e l r u o p e dans un spe réinvent a e a l’ Où v shbé, A TH ? Album jeunesse de J OMP 5 A . s ont oésie t i t e p ctacle e s u anne 12 mois+ N LOW E-C ÂTR A Ù V O O © THIERR É H VE S GRA A PA CIE C’ES T E R I S N A TP 18H30 VEN . AN. 13 J N G I BA A L O É M O R Â 40 min €10 € oméo. ou R cu , Mer ybalt e, T Juliett o u our à t ées t habit omédi e ar deux c p er d’hui int aujour d’ es édie. Un Shak ag tr é où se mêlent déjant . Un spec e tJuliet om é R sion de er v oici donc une no u V 5 A ge 8+ tio… ar r p nnes é t é pr e ar pe t e e rir acle t t o e elle v J ©SERGESIMON VEN . 7 2
L’entraîneur belge, ici aux côtés de son adjoint Samba Diawara, n’a pas connu la défaite depuis qu’il est sur le banc rémois. © l'Hebdo du Vendredi
Un
J.D
12 SPORT
www.lhebdoduvendredi. com Du 6 au 12 janvier 2023
BASKET-BALL PRO B (14E J.) : CHAMPAGNE BASKET (6E) - VICHY-CLERMONT (3E) supporters

L'adieu de Michel Sardou passera aussi par Épernay

Peu d’artistes peuvent se permettre de faire leurs adieux à la scène musicale, d'y revenir cinq années plus tard à 75 ans passés et de voir la billetterie prise d’assaut dès l’annonce de son ouverture. C’est le cas de Michel Sardou, qui avait présenté sa tournée de 2018 comme la dernière, mais qui remontera finalement sur scène, en 2023 et 2024, avec « Je me souviens d'un adieu ». En novembre dernier, cette annonce avait suscité un engouement considérable, puisque 100 000 billets avaient été vendus en seulement 8 heures, des zéniths et des grandes salles affichant rapidement complets, comme l’Arena de Reims.

Les Marnais qui n’ont pas pu obtenir leur précieux sésame pourront néanmoins se consoler à Épernay puisque Le Millesium également accueillera, comme en 2013 et 2018, Michel Sardou. Le concert aura lieu le 31 janvier 2024, soit deux mois seulement après son passage dans la cité des sacres, une rareté depuis que ces deux salles sont en concurrence. Il reste encore des places pour la soirée sparnacienne, principalement en carré or (119 €) et en catégorie 1 (95 €), les moins onéreuses n’étant plus qu’une poignée encore disponibles. Le prix à payer pour assister à la (dernière ?) tournée d’adieu d’un monstre sacré de la chanson française...

Schubert à haute voix

4 Infos : lemillesium.com

Agenda

SPECTACLES

SAMEDI 7 JANVIER

SAMEDI COMPTINES

Des comptines et de petites histoires pour éveiller l’écoute des tout-petits, par les bibliothécaires du Pôle Jeunesse.

À 10h30, accès libre, médiathèque Simone-Veil d’Epernay. Infos : mediatheque.epernay.fr

DIMANCHE 8 JANVIER

« LA DISPARITION DE L’OGRE » - MJC D’AŸ

Dans une lointaine province, hommes et femmes vivaient depuis des millénaires sous la domination d’un Ogre. Un jour, un enfant qui s’est perdu dans la montagne en revient sain et sauf : l’Ogre a disparu ! Un conte philosophique par la compagnie Demain il fera jour, à partir de 8 ans.

À 16 h, salle Sabine-Sani, MJC d’Aÿ. Durée : 1 h 10. Gratuit sur réservation.

Infos : 03 26 55 18 44 et mjc-ay.com

MARDI 10 JANVIER

THÉÂTRE : « VIES DE PAPIER »

LE SALMANAZAR

Un jour de brocante à Bruxelles, Benoît Faivre et Tommy Lazlo découvrent un magnifique album de famille. Ils décident alors de partir sur les traces de la vie d’une femme née en 1933 en Allemagne. Théâtre d’objets documentaire à partir de 11 ans.

À 20 h 30, théâtre Gabrielle-Dorziat, Épernay. Durée : 1 h 20. Tarifs : 9 à 25,50 . Infos : lesalmanazar.fr

CONCERTS

JEUDI 12 JANVIER

« SCHUBERT IN LOVE » - LE SALMANAZAR

Les musiciens éclectiques de l’Ensemble Contraste et Rosemary Standley, voix des Moriarty, revisitent les facettes universelles et intemporelles de Franz Schubert, haut représentant de la musique romantique. À 20 h 30, théâtre Gabrielle-Dorziat, Épernay. Durée : 1 h 15. Tarifs : 9 à 25,50 . Infos : lesalmanazar.fr

CONFÉRENCES

JEUDI 12 JANVIER

« L’ATELIER SIMON-MARQ, UN NOUVEAU CHAPITRE » - MUSÉE D’ÉPERNAY

Pierre-Emmanuel Taittinger, président, Marine Rondeau, directrice, et Bruno Paupette, maître-verrier, raconteront l’histoire du prestigieux atelier Simon-Marq, fondé à Reims en 1640 et sauvé par deux entrepreneurs champenois en 2019.

À 18 h 30, musée d’Épernay, 13 avenue de Champagne. Gratuit. Inscription : 03 26 55 03 56 et billetterie.musee@ville-epernay.fr

LOISIRS

SAMEDI 7 JANVIER

ATELIER CRÉATION D’UN DOUBLE POUR LE CINÉMA - MÉDIATHÈQUE

Dans le cadre du Mois de l’image, un atelier pour apprendre à se dédoubler, à partir de 8 ans.

À 14 h, médiathèque Daniel-Rondeau, Épernay. Gratuit. Infos : mediatheque.epernay.fr

MERCREDI 11 JANVIER

ATELIER DÉCOUVERTE DES ROBOTS MÉDIATHÈQUE

A partir de 4 ans, un atelier pour découvrir la programmation informatique.

À 10 h et 13 h 30, médiathèque Simone-Veil, Épernay. Gratuit. Infos : mediatheque.epernay.fr

CINÉMA

LUNDI 16 JANVIER

AVANT-PREMIÈRE : « À LA BELLE ÉTOILE » LE PALACE

L’histoire vraie de Yazid Ichemrahen, jeune Sparnacien élevé entre familles d’accueil et foyers, devenu un grand chef pâtissier international. En présence des acteurs Riadh Belaïche, Loubna Abidar et Pascal Légitimus.

À 20 h, cinéma Le Palace, Épernay.

Tarifs : de 5 à 9,50 .

Infos : le-palace.fr

Compositeur prolifique du XIXe siècle avec plus de 1 000 créations à son actif, Franz Schubert est l’une des figures emblématiques de la musique romantique allemande. Il est reconnu comme le maître incontesté du lied, cette forme musicale typiquement germanique, initiée par Beethoven, qui consiste en un poème chanté, accompagné d’un piano ou d’un ensemble. Ses prestigieux contemporains, tels Robert Schumann, Franz Liszt ou encore Johannes Brahms, contribuèrent à faire connaître son œuvre à travers l’Europe et ainsi lui apporter une reconnaissance tardive. C’est pour ce compositeur d’exception que l’ensemble Contraste, emmené par le directeur artistique Arnaud Thorette et le directeur musical Johan Farjot, a imaginé « Schubert in Love », en s’adjoignant les services de Rosemary Standley, chanteuse du groupe de blues rock Moriarty. La voix de velours suave de la Franco-Américaine, qui revisite depuis quelques années le répertoire classique, couplée aux influences larges et variées des musiciens de l’ensemble, apportent un éclairage moderne aux lieder de Schubert. Piano, violon, violoncelle, mais aussi guitare, contrebasse, trompette et percussions rendent un hommage vibrant au plus romantique des compositeurs allemands. S.K

4 « Schubert in love », jeudi 12 janvier, à 20 h 30, théâtre Gabrielle-Dorziat, Épernay. Durée : 1 h 15. Tarifs : 9 à 25,50 €. Infos : lesalmanazar.fr

13 SORTIES www.lhebdoduvendredi. com Du 6 au 12 janvier 2023
C ONCERT - L E S ALMANAZAR
Habituée au blues rock, Rosemary Standley revisite Schubert, avec l'ensemble Contraste. © Julien Benhamou
C ONCERT - L E M ILLESIUM
Michel Sardou, en 2017, à La Seine Musicale. © Guy Delsaut

Une nuit blanche pour transcender la vie

Révélée sur le plateau de la salle Rive gauche avec sa première création, « L'Hiver Rude », La Générale Posthume, compagnie circassienne déjantée fondée par Elvis Buczkowski et Bambou Monnet, revient à Châlons pour y concocter un événement aussi inédit qu'inouï. Et pour cause, cette « Nuit Posthume » résulte d'une carte blanche que leur confie le Palc, pôle national cirque. Idéal pour amplifier le champ des possibles. Ni un spectacle, ni un concert à part entière, le rendez-vous proposera au public de piocher parmi une pléiade de choses à voir, à écouter ou à tester, selon ses aspirations du moment : chants médiévaux aux paroles impayables, concours d'équilibre sur trapèze, expositions de dessins, d'installations plastiques ou de photos cyanotypes, danse libre, medley de RnB, etc. «  On a conçu cette soirée comme un kaléidoscope, éclaire Bambou. Un moment festif et partagé, pour rire et profiter. On prévoit également une machine à pop-corn, une grande boom, des transats pour se poser et une tombola avec des lots vraiment sympa à gagner. Notamment un slip brodé à l'effigie de la compagnie. » Pour que la fête soit belle, le duo a ramené dans ses valises près d'une centaine de costumes et s'associe à huit potes-circassiens-clowns rencontrés sur les bancs de différentes écoles. Cerise sur le gâteau, le dessinateur Jean Chauvelot, déjà présent lors du festival Furies l'an passé, croque actuellement en BD les préparatifs et immortalisera en live la fameuse nuit. « L'idée, c'est d'accueillir les gens comme à la maison et de les chouchouter, glissent les artistes. Qu'ils viennent avec l'esprit léger, on s'occupe du reste. » D'ores et déjà, le collectif planche sur d'autres projets, qui promettent eux aussi de déménager.

4 Nuit Posthume, samedi 7 janvier à partir de 19 h 30, salle Rive gauche (15 rue de Fagnières) Tarif unique : 5 euros – Infos et réservations : lepalc.fr.

Valérie Damidot bientôt à Mourmelon

Révélée dès 1995 dans plusieurs émissions télévisées, notamment « D&co » du groupe M6, Valérie Damidot a conquis son public grâce à ses astuces en matière de marouflage, son âme de bricoleuse du dimanche et surtout sa bonne humeur communicative. L'ancienne présentatrice possède bien d'autres cordes à son arc et a mis ses talents de danseuse, chanteuse, cuisinière ou encore actrice au service du petit écran, pour le plus grand bonheur de ses fans. Il y a bientôt un an, elle dévoilait son premier seule-en-scène baptisé « Valérie Damidot s'expose » et écrit par ses soins, avec la complicité du metteur en scène Eric Théobald. On y retrouve toute la gouaille, l'humour et l'énergie qui la caractérisent, ainsi que des morceaux choisis, parfois intimes, de sa vie. Ses souvenirs d'enfance à Argenteuil ou de vacances familiales en Espagne par exemple, ses premiers pas à la télévision, son rapport aux régimes, etc. Mieux, elle associe les spectateurs à cette introspection multicolore ponctuée de cascades, de sessions karaoké et de surprises en tout genre. De quoi se marrer et s'évader, loin de la morosité ambiante et des petits tracas du quotidien.

S.L

4 Valérie Damidot s'expose, vendredi 27 janvier à 20 h 30, centre culturel Napoléon III de Mourmelon-leGrand - Tarif : 15 euros (5 euros pour les moins de 12 ans) – Infos et billetterie : mourmelonlegrand.fr.

Toute une vie sur papier glacé

Un jour de brocante à Bruxelles, Benoît Faivre et Tommy Lazlo découvrent un album de famille en excellent état, restituant sur papier glacé les souvenirs d’une Allemande née en 1933, de son enfance jusqu’à son mariage en Belgique. Aussitôt liés intimement à cette Christa, les deux compères, de la compagnie de théâtre d’objets La Bande passante, décident de partir sur les traces de sa vie. À travers toute l’Europe, ils interrogent des historiens, des généalogistes, leur propre famille, pour une enquête documentée. C’est ce travail qu’ils ont décidé de restituer, sur les planches, dressant le portrait d’une inconnue, au cœur du plus meurtrier des conflits.

4 « Vies de papier », mardi 10 janvier, à 20 h 30, théâtre Gabrielle-Dorziat, Épernay. Durée : 1 h 20. Tarifs : 9 à 25,50 €. Infos : lesalmanazar.fr

EN BREF

Cinéma : « À la belle étoile », avant-première avec l’équipe du film

En novembre 2021, les caméras de la société de production De l'autre côte du périph' s’installaient à Épernay pour le tournage d’un biopic sur Yazid Ichemrahen. Né de parents marocains à Épernay, où il a grandi placé dans une famille d’accueil, le jeune homme a fait partie, en 2014, de l’équipe de France championne du monde des desserts glacés, alors qu’il n’était âgé que de 25 ans. Aujourd’hui, il est à la tête de sa propre marque et de plusieurs établissements. Le film « À la belle étoile » sera diffusé en avant-première au cinéma Le Palace, le lundi 16 janvier, à 20 h, en présence des acteurs Riadh Belaïche, Loubna Abidar et Pascal Légitimus. Infos : le-palace.fr

Cinéma

LE PALACE

33, boulevard de la Motte - Épernay - 03 26 51 82 42

Du vendredi 6 au mardi 10 janvier 2023

TIRAILLEURS ven 14H20 - 20H45 sam 14H20 - 17H 20H45 dim 14H20 - 17H 20H30 lun 14H20 - 20H30 mar 14H2017H 20H30

16 ANS ven 14H30 - 20H45 sam 14H30 - 20H45 dim 14H30 - 20H30 lun 14H30 - 17H 20H30 mar 14H30 - 20H30

WHITNEY HOUSTON : I WANNA DANCE WITH SOMEBODY ven 14H - 17H* sam 17H dim 17H - 20H15* lun 14H - 20H15 mar 14H - 20H15*

LES HUIT MONTAGNES ven 14H* sam 17H* lun 17H15* mar 14H* - 20H*

CHOEUR DE ROCKERS ven 14H30 - 20H45 sam 14H3020H45 dim 10H45 - 14H30 lun 14H30 - 17H mar 20H30

LES BONNES ÉTOILES ven 17H10* sam 20H45* dim 17H15* lun 20H30* mar 17H10*

LA PASSAGÈRE sam 17H10 - 20H45 dim 20H30 lun 14H30 - 20H30 mar 17H10

AVATAR : LA VOIE DE L’EAU ven 14H* - 16H40 19H30* - 20H* sam 14H* - 16H40 19H30*20H* dim 14H* - 16H40 19H30* - 20H* lun 14H* - 16H40 20H* mar 14H* - 16H40 20H*

TEMPÊTE dim 10H30 - 20H30 lun 17H10 mar 14H30 - 17H10

LE PARFUM VERT sam 20H45 dim 17H lun 17H - 20H30 mar 14H30

LE TOURBILLON DE LA VIE ven 14H30 lun 14H30

LE PETIT PIAF ven 17H sam 17H dim 10H30 mar 17H

ERNEST ET CÉLESTINE : LE VOYAGE EN CHARABIE sam 14H30 dim 10H45 - 14H30

LE ROYAUME DES ÉTOILES sam 14H30 dim 10H45

LE CHAT POTTÉ 2 lun 14H20 - 17H15 dim 10H30 - 14H20

ENZO LE CROCO 1H47 - VF ven 17H dim 10H30 - 14H20 lun17H

BLACK PANTHER 2 ven 20H mar 20H

*VOST

14 SORTIES
www.lhebdoduvendredi. com Du 6 au 12 janvier 2023
Soirée déjantée avec Elvis et Bambou, de La Générale Posthume, et leurs amis. © Théo Lavanant « Vies de papier », une enquête documentée dans laquelle la petite histoire rejoint la grande. © Thomas Faverjon L'actrice et animatrice Valérie Damidot partagera son premier seule‐en‐scène à Mourmelon. © Anthony Ghnassia

Illusions, une autre idée de la magie

Depuis sa création en 2016, l'événement Illusions, consacré à la magie nouvelle, surprend petits et grands – près de 2 000 lors des précédentes éditions - grâce aux expériences qu'il donne à partager. Et à leur diversité. Car le propre de la magie, c'est de s'inviter sans crier gare un peu partout et de s'accorder avec brio à d'autres approches artistiques. Le cinéma bien sûr, mais aussi le cirque, la danse, la marionnette, la musique, etc. Pas moins de six créations et rencontres sont programmées à la Comète jusqu'à la fin du mois, dans des univers variés, tous plus fascinants les uns que les autres. Parmi elles, les sessions de close-up (ou magie rapprochée) orchestrées sur la scène du théâtre par les artistes, au plus près du pu blic, et l'univers burlesque du magicien-circassien Félix Didou, maître dans l'art de courir après son ombre. Les spectateurs pourront également tenter de percer les mystères des ho logrammes en compagnie de Marc Rigaud, visionner des pépites de Georges Méliès revi sitées grâce au collectif musical Solange, apprendre les ficelles de la triche avec la cartomancienne anglaise Laura London ou encore explorer le Jardin Parallèle et ses ba lades chimériques, importées de Reims pour l'occasion. Certes, la manipulation d'objets, voire de l'esprit, les effets techniques et autres trucs ou astuces dont ces spécialistes ont le secret permettent de créer l'illusion. Mais leurs inventions ne sauraient exister sans une bonne dose de magie, pourvu que l'on se laisse porter et émerveiller par l'instant présent.

4 Illusions, jusqu'au 26 janvier à la Comète, Châlons. Tarif unique : 10 euros (6 euros pour les moins de 12 ans). Infos : la-comete.fr.

Les musées rémois gratuits jusqu'à la fin de l'hiver

Du 2 janvier au 31 mars inclus, la ville de Reims expérimente la gratuité dans les musées SaintRemi, de la Reddition, Hôtel Le Vergeur-Maison Hugues Kraft, Fort de la Pompelle et la chapelle Foujita (dont les visites sont réservées aux groupes pendant cette période). La municipalité souhaite apprécier les effets de cette mesure sur le niveau de fréquentation, ainsi que sur la typologie des publics visitant les musées. Cette gratuité des entrées dans les parcours permanents des musées s’adresse plus particulièrement aux Rémois afin de les encourager à venir les découvrir. Elle s’inscrit dans la politique culturelle de la ville, notamment dans l’objectif de favoriser la culture pour tous et partout. Pour information, entre janvier et mars 2022, 9 984 personnes se sont rendues dans les musées municipaux, pour un montant de recettes de billetterie de 18 967 €. Cette expérimentation s’appuie sur l’expérience fructueuse de la sortie des confinements et des restrictions sanitaires. La gratuité d’accès aux musées municipaux pour les visiteurs en juillet et août 2020, puis 2021, a en effet contribué au rebond du nombre de visiteurs, supérieur aux étés précédents, malgré la forte diminution du nombre de touristes étrangers.

15 SORTIES www.lhebdoduvendredi. com Du 6 au 12 janvier 2023
RÉSERVEZ VOS BILLETS POUR LE MATCH WWW.CHAMPAGNE-BASKET.FR VS MATCH vichy 10 JAN. MARDI 20H REIMS RENÉ TYS
Les rencontres sur scène autour du close‐up font partie des temps forts d'Illusions. © Christophe Manquillet
J.D
À l'image ici du Fort de la Pompelle, tous les musées municipaux de Reims sont gratuits jusqu'au 31 mars. © l'Hebdo du Vendredi

L’horoscope Météo

Votre partenaire aura besoin de votre présence et vous éprouverez une certaine pression. Vous devrez malgré tout lui réserver plus de temps pour le ou la rassurer.

L'embellie espérée viendra dissiper la couverture nuageuse qui planait dans votre ciel depuis longtemps. Les astres vous soutiendront dans vos actions. Restez positif(ve)  !

Sur le plan personnel, vous pourrez explorer de nouvelles opportunités et développer vos capacités en relevant de nouveaux défis. Vous aurez tout le soutien de votre entourage.

C’est une semaine de défi : il faudra être plus structuré(e) et plus rigoureux(se). Vous devrez réaménager votre emploi du temps. Sachez prendre les bonnes décisions.

Une semaine à rebondissements vous attend  : vous irez du connu à l’inconnu le cœur battant. Coté affectif, laissez le temps au temps et privilégiez surtout le dialogue.

Mieux communiquer avec les autres sera votre objectif pour cette semaine. Votre nature introvertie devra laisser place à une personne plus ouverte et plus souriante.

BALANCE du 23.09 au 22.10

Certains changements seront stressants. Cultivez donc plus la légèreté et le lâcherprise afin de dissiper ainsi ces petits soucis d’ordre psychosomatique qui vous limitent.

SCORPION du 23.10 au 22.11

Vous aurez le soutien de votre partenaire, mais vous devez communiquer avec plus de tact. Essayez de passer plus de temps ensemble et tout ira pour le mieux.

SAGITTAIRE du 23.11 au 22.12

Belle semaine en perspective. Profitez-en pour réaliser vos envies et consolider vos acquis. Professionnellement, ce ne sera pas de tout repos, mais vous en ressortirez plus fort(e).

CAPRICORNE du 23.12 au 20.01

Une semaine où vous aurez de quoi vous enthousiasmer tant les astres vous seront favorables. Coté vie professionnelle, vous assumerez de nouvelles responsabilités.

VERSEAU du 21.01 au 19.02

Au programme de cette semaine, de belles rencontres vous permettront de vous sentir épanoui(e). Votre vie sociale bouillonnera, votre soif de renouveau et d'affection sera comblée.

POISSONS du 20.02 au 20.03

Cette semaine, les témoignages de reconnaissance vous donneront confiance et le cran de viser haut. Coté affectif, consacrez plus de temps à votre vie familiale, cela sera payant !

Qualité de l’air

La CLCV vous informe

Travaux prévus dans le bail

Dans un contrat de location, les parties peuvent convenir que le locataire réalisera certains travaux, moyennant une réduction de loyer. Dans ce cas, une clause du bail doit prévoir précisément la nature de ces travaux et les modalités d’imputation de leur coût sur le loyer (durée, dédommagement en cas de départ anticipé du locataire…). Cette clause n’est valable que si le logement est décent. Les travaux ne peuvent concerner que l’entretien du logement (peinture, tapisserie…) et non le gros œuvre. Le bailleur peut se faire préciser si les entreprises sont librement choisies par le locataire ou s’il doit valider préalablement les devis.

CLCV de la Marne – Reims - Contact : 03 26 05 03 88 ou clcv-marne.over-blog.com

16 LOISIRS www.lhebdoduvendredi. com Du 6 au 12 janvier 2023
9° 6° SAMEDI 12° 6° DIMANCHE 10° 8° VENDREDI SAMEDI DIMANCHE LUNDI 7° 6°
VENDREDI
Moyenne Moyenne Moyenne
du 21.03 au 20.04
du 21.04 au 20.05
au 21.06
du
au 22.07
au 22.08
au 22.09
BÉLIER
TAUREAU
GÉMEAUX du 21.05
CANCER
22.06
LION du 23.07
VIERGE du 23.08

Turn static files into dynamic content formats.

Create a flipbook
Issuu converts static files into: digital portfolios, online yearbooks, online catalogs, digital photo albums and more. Sign up and create your flipbook.