Parachat Bechalah

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La ségoula de la parnassa: pour une bonne subsistance

Lecture de la Parachat

Hamann: Mardi,

Parachat Béchala’h (Mardi 31 Janvier)


Une promesse

du Créateur

Vous êtes débordé, vous vous donnez beaucoup de mal pour gagner votre vie ? Vous voudriez acheter un appartement ? Vous devez marier vos enfants et n’avez pas de gros moyens ? Vous voudriez pouvoir aider financièrement certains membres de votre famille ? Ce bulletin s’adresse à vous : à toute personne qui ne dirait pas non à recevoir 1000 euros de plus par mois, à celle qui désire de larges revenus, à celle

Uneesse ! prom

qui déteste emprunter et qui a du mal à supporter les problèmes d’argent. Tout le monde se donne du mal avant de recevoir sa paie mensuelle. Aussi, avant de faire des détours, avançons tout droit… et tournons-nous vers Celui auquel appartient la richesse. Voyons à qui Il distribue de l’argent, quels sont les critères pour le recevoir, qui y a droit. Dirigeons-nous vers la Torah et cherchons-y des indications claires. Nous serons stupéfaits de la promesse explicite qui y est écrite. A qui le Créateur donne-t-Il de


l’argent? A qui promet-Il résolument qu’il ne manquera de rien ? Vous serez étonnés : la Torah nous donne une voie pratique pour nous enrichir. Nous ne citerons pas de sources inconnues mais des textes de base qui nous révèlent une chose : comment obtenir une parnassa honorable.

Nous avons consulté la Guemara et les écrits des décisionnaires et nous avons constaté que deux promesses ont été faites pour tous ceux qui désirent une aide financière directe du Roi de l’univers. Elles ne sont pas difficiles à obtenir. Elles sont expliquées dans ce bulletin de façon claire. Lisez… Les personnes intelligentes choisiront sans doute d’appliquer les deux moyens. Nous avons tous des difficultés d’argent. Lisez, cela en vaut la peine. Dans les pages qui suivent, vous trouverez deux nouvelles qui changeront votre vie. C’est promis…

Mardi,

Parachat Béchala’h « Il est dit dans le Yérouchalmi, traité Berakhot : toute personne qui récite la Parachat Hamann (le passage de la Torah concernant la manne), il lui est promis que ses revenus seront toujours suffisants ».


Promesse n° Choul’hane Aroukh Chapitre 1 Quel est le livre de halakha le plus fondamental ? Ouvrons-le, le Choul’hane Aroukh, et lisons. Dans le premier chapitre, voici sur un plateau d’argent une promesse explicite citée dans la Guemara : « Il est bon de réciter la Parachat Hamann (le passage de la Torah concernant la manne) ». Le Michna Beroura écrit à ce sujet (paragraphe 13) : « Il est dit dans le Yérouchalmi, traité Berakhot : toute personne qui récite la Parachat Hamann, il lui est promis que ses revenus seront toujours suffisants ». Remarquez bien : il n’est pas écrit « elle s’enrichira peut-être » ni « il est probable qu’elle aura suffisamment », mais formellement : « il lui est promis que ses revenus seront toujours suffisants». Le mot « promis » n’est pas un mot que nous rencontrons très souvent. Presque rien n’est promis dans la vie. Nous sommes habitués à demander au Créateur d’avoir

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pitié de nous, et à espérer le bien. Mais ici, le Maître du monde Luimême a choisi de promettre que les revenus ne manqueront pas. Ni plus ni moins.

Parmi tous les jours de l’année, le tsaddik a appuyé sur un jour particulier : « c’est une ségoula pour la parnassa de lire la parachat Hamann, deux fois en hébreu et une fois en araméen, le mardi de la Parachat Béchala’h ». Qui ne voudrait pas profiter d’une telle occasion ? C’est ainsi que tranche le Choul’hane Aroukh : il y a un lien direct entre la lecture de la Parachat Hamann et la parnassa, la subsistance.


La semaine de la parachat Béchala’h, ce sujet de la manne est particulièrement d’actualité. Il frappe aux portes comme pour dire : ‘Réveillez-vous, jeunes et vieux ! Ouvrez les yeux, vous qui travaillez dur pour gagner votre vie!’ Car cette semaine, parachat Béchala’h, la lecture de la Torah porte sur la manne qui descendait dans le désert. Et s’il est « promis » tout au long de l’année à ceux qui lisent la Parachat Hamann de réussir dans la parnassa, à plus forte raison le mardi de cette semaine. En effet, cette ségoula a été transmise par le Rabbi de Rimanov, Rabbi Mena’hem Mendel. Le lien entre la lecture de la Parachat Hamann et la parnassa figure dans le Choul’hane Aroukh et dans la Guemara (Yérouchalmi), mais cette précision – le mardi de la semaine où on lit la Parachat Béchala’h – nous l’apprenons de Rabbi Mena’hem Mendel de Rimanov. Dans toutes les communautés juives, on s’appuie sur ses paroles et l’on essaie de lire la Parachat Hamann (deux fois en hébreu et une fois en araméen) au moins le mardi de la parachat Béchala’h. Au cours des derniers moments de la vie du saint Rabbi Elimélekh de Lizhensk, tous ses disciples se rassemblèrent autour de lui. En ces minutes

Mardi,

Parachat Béchala’h Le Choul’hane Aroukh, Yoré Déa 247, tranche : « La tsédaka rend rich*. Et il est interdit d’éprouver le Saint béni soit-Il, sauf pour cette chose-là ». Et le Chakh commente : « [Cette bénédiction] arrivera certainement ».


Vous lirez vous aussi chez vous la Parachat Hamann (deux fois en hébreu et une fois en araméen). Mais renoncerez-vous à celle des Grands Maîtres ? Chaque mot qu’ils prononcent est extrêmement précieux au Ciel. Et ils acceptent de vous avoir à l’esprit lorsqu’ils liront la Parachat Hamann. sublimes où l’âme du tsaddik devait passer d’un monde à l’autre, Rabbi Elimélekh désira leur transmettre son héritage. A l’un, il donna son cœur pur, à l’autre (le Voyant de Lublin), il légua ses yeux d’ange, et ainsi de suite. Ses oreilles, c’est Rabbi Mena’hem Mendel de Rimanov qui les reçut. Depuis ce jour-là, écrit le Rabbi de Slonim, Rabbi Mena’hem Mendel a bénéficié d’une ouïe spirituelle exceptionnelle ; ses oreilles ont capté des sons du monde d’En Haut. Et lui qui percevait l’ouverture des Portes de l’abondance, il nous apprit que le meilleur moment pour réaliser les propos du Choul’hane Aroukh est le mardi de cette semaine, parachat Béchala’h. Chaque jour pendant vingt-deux ans, le Rabbi de Rimanov te-

nait à mentionner la Parachat Hamann dans tous ses discours, afin de permettre à l’abondance de se déverser sur sa génération.

Et parmi tous les jours de l’année, le tsaddik a appuyé sur un jour particulier : « c’est une ségoula pour la parnassa de lire la parachat Hamann, deux fois en hébreu et une fois en araméen, le mardi de la Parachat Béchala’h ». Qui ne voudrait pas

Le Gaon Rav C.E. Stern, l’année dernière, allumant d


profiter d’une telle occasion ? Quand le besoin d’argent se fait sentir, la lecture de la Parachat Hamann assure la réponse, nous promet le Créateur. Vous vous demandez peut-être: qu’est-ce que cela a à voir avec Koupat Ha’ir ? Pourquoi Koupat Ha’ir encourage-t-elle le public à recevoir tout ce que promettent la Guemara et le Choul’hane Aroukh? Est-ce simplement parce que les responsables de la Koupa savent que la situation économique est difficile et qu’ils veulent que les foyers vivent mieux ? Non, ce n’est pas la seule raison…

des bougies prés de la tombe du Rabbi de Rimanov.

Vous réciterez certes la Parachat Hamann chez vous, mais il y a certaines choses que vous ne pouvez obtenir seuls. Koupat Ha’ir vous offre trois avantages.

Premier avantage Savez-vous vous concentrer sur tous les yi’houdim et les kavanot qui se cachent derrière la Parachat Hamann ? Quels sont les allusions et les secrets contenus dans les lettres? Quand vous lisez qu’un récipient de manne a été caché pour les générations futures, que devez-vous penser? Koupat Ha’ir s’est donc adressée aux Grands Maîtres de notre génération, qui ont accepté de nous aider à résoudre nos petits problèmes, notre compte en banque, et de nous porter assistance le mardi de la Parachat Béchala’h.

Ceux qui feront un don avant mardi à 10 heures du matin bénéficieront des prières de grands Admorim: le Rabbi de Nadvorna, le Rabbi de Tchernobyl et le Rabbi de Ra’hmastrivka. Tous les noms qui parviendront à notre bureau jusqu’à cette heure seront transmis aux justes de la génération


« Je serai reconnaissant à celui qui allumera une lampe pour l’élévation de mon âme » dit Rabbi Mena’hem Mendel avant sa mort. Là, dans le vieux cimetière, un homme pieux allumera une lampe près de la tombe, puis lira avec ferveur la Parachat Hamann (deux fois en hébreu et une fois en araméen). Ensuite, il priera pour chaque donateur sur la tombe du Rabbi afin que se réalise la promesse d’une bonne parnassa. et seront posés sur leur table au moment où ils réciteront la Parachat Hamann. Puis nos Maîtres réciteront une prière particulière pour tous les noms des donateurs de Koupat Ha’ir. « Ses revenus seront toujours suffisants » – nos Grands Maîtres veilleront à ce que cette promesse se réalise. Ce mardi de la parachat Béchala’h, ils penseront aux donateurs de Koupat Ha’ir pendant leur lecture. Vous lirez vous aussi chez vous la Parachat Hamann (deux fois en hébreu et une fois en araméen). Mais renoncerez-vous à celle des Grands Maîtres ? Chaque mot qu’ils prononcent est extrêmement précieux au Ciel. Et ils acceptent de

vous avoir à l’esprit lorsqu’ils liront la Parachat Hamann. Ceux qui feront un don à la Koupa avant mardi à 10 heures seront privilégiés : leur nom sera ajouté aux listes de ceux qui mériteront une bonne parnassa. Ce n’est pas nous qui avons dit le mot « promis ». C’est la Guemara dans le Yérouchalmi.

Deuxième avantage : On ne se suffit pas du minimum à Koupat Ha’ir. Les donateurs bénéficieront de la prière de nos Grands Maîtres pour la parnassa. Mais pas seulement de cela… Un avion décollera et s’envolera vers les nuages. Les responsables de la Koupa accompagneront en


pensée cet avion. A l’intérieur, sur l’un des sièges, un érudit très pieux sera assis. Où se dirigera-t-il ? A Rimanov! Sur la tombe de Rabbi Mena’hem Mendel.

Nous dépêcherons un envoyé sur la tombe de Rabbi Mena’hem Mendel pour y prier et y mentionner les noms de toutes les personnes qui font confiance à ses paroles, la longue liste de Koupat Ha’ir. « Je serai reconnaissant à celui qui allumera une lampe pour l’élévation de mon âme » dit Rabbi Mena’hem Mendel avant sa mort. Là, dans le vieux cimetière, un homme pieux allumera une lampe près de la tombe, puis lira avec ferveur la Parachat Hamann (deux fois en hébreu et une fois en araméen). Ensuite, il priera pour chaque donateur sur la tombe du Rabbi afin que se réalise la promesse d’une bonne parnassa. L’envoyé de Koupat Ha’ir priera avec ferveur, mentionnera lentement chacun des noms des donateurs avec sa requête, et le mérite de Rabbi Mena’hem Mendel ouvrira la voie.

Troisième avantage : Entre Tsfat et Méron se trouve une tombe ancienne connue pour être une ségoula pour une bonne parnassa. Autrefois, cet endroit était

abandonné et difficile d’accès. Des Rabbanim y envoyaient ceux qui avaient besoin d’une bénédiction pour leur parnassa. Un riche homme d’affaires ayant fait faillite y fut envoyé par son Rav. Alors qu’il priait sur la tombe, il reçut un message de la bourse l’informant qu’un brusque tournant était intervenu. Sa situation s’était renversée de façon totalement inattendue. L’homme d’affaires rentra chez lui à New York mais n’oublia pas le miracle qui s’était produit sur la tombe de Rabbi Yehouda Bar Ilaï. Il envoya une somme importante pour la rénovation du site et des alentours.

En ce mardi propice pour la prière sur une bonne parnassa, les envoyés de Koupat Ha’ir se rendront sur cette tombe où ils réciteront la Parachat Hamann en hébreu et en araméen. De plus, ils seront présents au Kotel que la Présence divine n’a jamais quitté ainsi que sur la tombe de Rabbi Méir Baal Haness et y prieront pour vous avec ferveur. Les Portes célestes fermées s’ouvriront à grands fracas et la ségoula vous fera trouver grâce en Haut.


Promesse n° L’astérisque remplace la lettre « e » afin d’éviter le risque d’un manque de respect des textes saints cités.

Choul’hane Arouk h Yoré Déa chapitre 247 Il existe un tas de raisons pour lesquelles je ne peux pas faire de don à Koupat Ha’ir aujourd’hui. Je suis occupé(e). Je n’ai pas tellement les moyens, Je ne suis pas millionnaire, Je ne peux pas donner sans arrêt. Ces sommes s’ajoutent en fin de compte, qu’est-ce qu’ils croient ?

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Ils m’envoient trop de bulletins. Je suis sûr(e) que tous ces dons sont indispensables aux nécessiteux mais quand même, Je ne suis pas directeur de banque. Combien puis-je donner ? Cher donateur, cette fois-ci en particulier, avant d’aider les pauvres, vous vous aidez vous-même.

Le Gaon Rav C.E. Stern, l’année dernière, lit avec ferveur la Parachat Hamann et prie pour chaque donateur afin que se réalise la promesse d’une bonne parnassa.


Nous voulons vous rappeler des mots écrits dans la Torah. Voici une citation connue de la Guemara Taanit 9 : « Le fils de Rech Lakich demanda à Rabbi Yo’hanan: ‘Que veut dire le verset assèr taass*r?’ Rabbi Yo’hanan répondit : ‘Assèr bichvil chétitach*r’ – prélève la dîme pour que tu t’enrichiss*s. L’enfant demanda : ‘Comment le savez-vous ?’ ‘Va essayer par toi-même’ réponditil. ‘Est-il permis de mettre D. à l’épreuve ?’ ‘C’est interdit pour tout, sauf pour une chose, comme il est écrit : ‘Mettez-Moi à l’épreuve en ceci, dit D. … Et Je vous dévers*rai une bénédiction sans limite’.» Vous entendez ? « Mettez-Moi à l’épreuve » ! Quelle est cette épreuve ? ‘Prélève la dîme pour que tu t’enrichiss*s’. Donnez la tsédaka pour devenir riche, pour bénéficier d’une bénédiction sans limite. Il est vrai que Koupat Ha’ir frappe souvent à la porte. Mais le moment est venu de connaître la vérité : si vous donnez à Koupat Ha’ir, vous aurez la possibilité de rencontrer le Créateur et de voir Sa bénédiction, vous aurez une occasion de vous enrichir. Donnez la tsédaka et croisez-vous

les bras en attendant de voir la bénédiction arriver. Le moment de l’épreuve est arrivé. A présent, attendez en sachant que toutes les paroles de la Torah sont vraies et vous verrez la promesse se réaliser. Nous vivons dans un monde où nous ne voyons pas clair – les justes souffrent et les méchants réussissent. Le Maître du monde est caché. Un jour viendra où tous les mystères seront résolus mais en attendant, nous avançons dans un monde de dissimulation. Mais dans cette mitsva de charité, c’est différent. Le Créateur nous a donné 613 commandements, et une seule possibilité de mise à l’épreuve. Donnez la dîme et éprouvez le Maître du monde. Il bouleversera les données, changera les lois de la nature, et vous fera bénéficier d’un miracle. Il vous promet dans la Torah : donnez les dîmes et vous deviendrez riche. Le Choul’hane Aroukh, Yoré Déa 247, tranche : « La tsédaka rend rich*. Et il est interdit d’éprouver le Saint béni soit-Il, sauf pour cette chose-là ». Et le Chakh commente : « [Cette bénédiction] arrivera certainement ». Lorsqu’un bulletin de Koupat Ha’ir vous parvient, ne le jetez pas. Tenez-le bien en main, c’est une occasion pour que


l’amour du Créateur se dévoile. C’est une promesse explicite. Vous croyez qu’il existe un Créateur? Vous avez foi que la Torah est vraie? Vous mangez de la matsa à Pessa’h? Vous croyez que D. a promis que la tsédaka enrichit? Toutes ces choses sont écrites dans la Torah. Le Créateur ne nous promet pas de nous garder en vie à chaque instant. Chaque jour est un présent renouvelé. Il ne promet pas de faire tomber la pluie. Il ne nous promet pas notre sagesse et notre faculté de marcher, mais Il nous promet explicitement une chose, et nous propose même de L’éprouver pour le vérifier : si vous donnez la tsédaka, Il vous rend riche. Vous hésitez encore à faire un don cette fois ? Si vous ne le faites pas pour les pauvres, faites-le pour vous-même. Un jour exceptionnel est à notre porte, un jour propice à la parnassa. Ne voudriez-vous pas y ajouter la promesse : « pour que tu t’enrichiss*s»? Le mardi de la Parachat Béchala’h, jour propice pour prier pour la parnassa, vous bénéficiez d’une occasion exceptionnelle. Un don à Koupat Ha’ir réunira deux

promesses rares écrites dans la Torah. Marquez cette date dans votre calendrier. Ce sera un jour décisif dans votre vie. Comment osons-nous le promettre de façon si catégorique ? C’est parce que cette promesse n’est pas la nôtre mais celle du Créateur. Et Il réalise toujours Ses promesses. Imaginez votre vie transformée grâce à de l’argent qui, pour l’instant, vous manque. Vous avez donné la tsédaka? Maintenant, le Chakh dit dans le Choul’hane Aroukh en deux mots: « [Cette bénédiction] arrivera certainement». Votre rêve est sur le point de se réaliser. Il s’agit d’une promesse accompagnée de l’amour du Créateur envers ceux qui donnent la charité. Dans la Torah, deux promesses seulement sont écrites à propos de la parnassa: « Ses revenus seront toujours suffisants » à propos de la Parachat Hamann. « Prélève les dîmes, pour que tu t’enrichiss*s », à propos du don à la ch arité. Cette semaine où nous lisons dans la Torah le passage concernant la manne, si nous faisons un don à la Koupa, ces deux promesses s’associeront. Préparez-vous à l’abondance qui va se déverser.


a l e d i d r a m Le

Parachat' h ’ a l a h c é B

Les noms des donateurs de Koupat Ha’ir seront transmis aux Grands Maîtres et aux justes de notre génération afin qu’ils prient pour eux après la lecture de la Parachat Hamann. Chaque nom sera mentionné individuellement avec sa requête

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Au Kotel •

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Sur la tombe de Rabbi Chimon bar Yo’haï

• à Méron •

Sur la tombe de

• Rabbi Méir Baal Haness • Sur la tombe de

• Rabbi Yehouda bar Ilaï • propice à la parnassa

Sur la tombe de l’auteur de la ségoula

• Rabbi Mena’hem Mendel de Rimanov •

Après la lecture de la Parachat Hamann (deux fois en hébreu et une fois en araméen) en chaque lieu. Puisse D. entendre nos prières


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votre revenu imposable. Et pour vous aider à comprendre quelle somme vous pouvez déduire de votre déclaration d’impôts, Koupat Ha’ir a mis en place une équipe de conseillers fiscaux. Appelez-les au 0800 52 55 23.

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A l’intention de Koupat Ha’ir J’ai fait un don d’une somme deֹ​ֹ

aux nécessiteux.

Prénom(s):ֹ​ֹ Prénom(s) de la mère :

Je demande au Créateur de m’envoyer une abondante parnassa par le mérite de la tsédaka, car le Choul’hane Aroukh (chap. 247) déclare que la charité enrichit.

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Je demande aussi de mentionner mon nom après la lecture de la Parachat Hamann (deux fois en hébreu et une fois en araméen) le mardi de la parachat Béchala’h, selon la célèbre ségoula de Rabbi Mena’hem Mendel de Rimanov.

Auprès des Grands Maîtres de la génération qui prieront pour les donateurs de Koupat Ha’ir après la lecture de la Parachat Hamann (deux fois en hébreu et une fois en araméen) le mardi de la parachat Béchala’h.

Aux quatre lieux saints suivants : le Kotel, la tombe de Rabbi Chimon bar Yo’haï, la tombe de Rabbi Méir Baal Haness et la tombe de Rabbi Yehouda Bar Ilaï, chaque nom individuellement après la lecture de la Parachat Hamann.

Sur la tombe de l’auteur de la ségoula Rabbi Mena’hem Mendel de Rimanov, chaque nom avec sa requête personnelle, après l’allumage d’une bougie sur la tombe et la lecture de la Parachat Hamann.

Nom :___________________Prénom :_____________________ Adresse :_____________________________________________ Tel :_______________________ Email :____________________

Veuillez transmettre les noms avant le Mardi 7 Chevat (31 Janvier) au numéro :

0-800-525-523 www.koupathair.fr


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