Koupat Ha׳ir
La principale caisse de Tsédaka d׳Israël
Recevez une bénédiction du Rav ‘Haim Kanievski lors du siyoum hashass et participez au tirage au sort dont le prix exceptionnel est une Matsa préparées par le Rav lui-même!
Un Pessa’h gai ou triste ? Un Pessa’h gai ou triste Vos armoires sont grand ouvertes. Vous en sortez tout le contenu, vous l’aérez, vous l’essayez, et vous le remettez à sa place, en ordre et tout propre. Vous vous sentez bien, tout d’un coup. Vous triez la paperasserie, les tiroirs se vident et deviennent rangés. Ah ! Quel soulagement ! La maison est astiquée : tout est propre et brillant, et vous sentez votre cœur s’élargir. Propre, lumineux… La veille de Pessa’h est un moment de renouveau. Vous vous débarrassez du vieux, du lourd, du banal, et vous vous enveloppez de vivacité et de joie. Bientôt, la fête commencera et sera si blanc, propre, pur, noble… Pessa’h est une fête extraordinaire, une fête de royauté, une fête de proximité à D. Comme nous sommes heureux que Pessa’h arrive… Mais, et ce « mais » est sombre et triste, de l’autre côté vivent d’autres familles. De l’autre côté du pont qui relie la France à Israël, il y a des familles qui tremblent à l’approche de Pessa’h. Elles ont peur,
oui, et leur peur est si tragique, si amère. L’angoisse les envahit et se reflète dans leurs yeux écarquillés. Combien peuvent-ils supporter ? S’ils peinent pendant toute l’année, à plus forte raison avant Pessa’h, quand les rues sont pleines de gens qui font leurs achats pour la fête. A ce moment-là, ils préfèrent se cacher chez eux. « Mais tu m’as promis des chaussures neuves pour Pessa’h ! » s’écrie Yaacov. Il regarde, peiné, ses chaussures lourdes que lui avaient données ses cousins l’année dernières et qui sont déjà déchirées sur le côté. « Tu m’avais promis qu’à Pessa’h, j’aurai des chaussures neuves et brillantes » dit-il avant d’éclater en sanglots. Toute la semaine, y compris le chabbat, il porte ces hautes chaussures démodées. Tous les enfants du quartier portent de belles chaussures le chabbat, et lui n’a pas d’autre choix
Rav Kaniewsky offre un don po après chaque étape nécessaire à
que de mettre ces chaussures marron si bizarres qu’elles se font remarquer de tous. Mais chaque fois qu’il ressent un pincement au cœur, il se dit : « A Pessa’h… A Pessa’h, j’aurai les plus belles chaussures, toutes neuves… Des chaussures en vernis, noires, chabbatiques. A Pessa’h ! » Il compte les jours jusqu’à ce que Maman aille faire des courses et achète…
Une maison après l’autre Et maintenant, Maman a un air étrange. « Je n’ai pas d’argent, murmure-t-elle. Je n’ai pas de quoi, mon chéri. Qu’est-ce que je peux faire ? Je n’achète rien pour moi, ni pour Papa, ni pour les autres enfants. Si j’avais de l’argent, tu serais le premier. » Soudain, sa voix s’étrangle. Elle court dans sa chambre et ferme la porte. Affolé, Yaacov entend sa mère pleurer. A présent, Yaacov est désemparé : son rêve des chaussures neuves s’est envolé (comment pourra-t-il sortir à Pessa’h avec ces chaussures-là ? Il restera à la maison, c’est tout !) et sa mère est en train de pleurer. Maman, celle sur qui repose toute la maison… Maman est en train de pleurer dans sa chambre. Yaacov ne le sait pas, mais sa mère pleure à cause des chaussures de Yaacov, à cause de l’appareil auditif qu’elle ne peut pas acheter à Esther, à cause de la nourriture de Pessa’h qu’elle ne sait pas comment elle obtiendra. Yaacov ne le sait pas, mais sa mère s’effondre sous le poids de la pauvreté de l’année entière, de la lutte pénible, de la difficulté incessante… Dans un autre foyer, le manque d’argent influe négativement sur le père de famille qui crie sans
our les pauvres à Koupat Ha’ir à la fabrication de ses matsot
cesse. Ses filles, de jeunes filles gentilles et sages, sont apeurées. Non seulement elles n’ont rien, mais elles ont un père qui hurle au point d’ameuter tous les voisins.
L’année dernière, Koupat Ha’ir a proposé à Rav ‘Haïm Kaniewsky d’offrir à Koupat Ha’ir une matsa, l’une de celles qu’il prépare lui-même avec le plus grand soin. Un tirage au sort serait effectué parmi les donateurs, et l’argent serait offert à la Koupa et distribué à toutes les mains qui en ont tant besoin. Rav ‘Haïm fut très heureux de cette idée. Ces matsot sont précieuses pour lui, et c’est pourquoi il était d’autant plus content !
Dans une autre maison, une femme arrive en urgence à l’hôpital suite à une crise d’angoisse. Dans la rue d’à côté, une petite fille est assise sous les escaliers et pleure à fendre l’âme. Ses parents se sont disputés et se sont séparés, tout cela à cause de la tension qui règne à la maison à cause du manque d’argent à l’approche de Pessa’h. Sa mère accuse son père d’être responsable. Lui pense qu’il a fait tout ce qu’il pouvait et qu’au lieu d’être compris et estimé pour cela, il reçoit des reproches. Il est parti en claquant la porte et sa fille est assise en bas des escaliers, en larmes.
il pouvait gagner un bonus rare : une matsa du Grand Maître de notre génération. Peut-on décrire le sentiment de celui qui a eu le privilège de faire le Séder sur la précieuse matsa de Rav ‘Haïm Kaniewsky ?
Le tirage au sort Koupat Ha’ir a reçu de Rav ‘Haïm Kaniewsky une matsa qui, bien enveloppée, a fait le voyage jusqu’en France.
Une proposition alléchante Les jours qui précèdent Pessa’h sont si pénibles, si terribles. Tout cela à cause de l’argent, de l’argent qu’il n’y a pas… Nos Grands Maîtres le savent. Eux qui portent la charge du peuple, le malheur de ces foyers les touchent profondément. Parmi toutes leurs occupations, ils trouvent le temps de chercher des solutions et de les appliquer. Ils cherchent comment accroitre les dons, que faire pour obtenir de l’aide vitale afin que des familles supplémentaires élèvent leurs enfants dignement.
Peut-on décrire le sentiment de celui qui a eu le privilège de faire le Séder sur la précieuse matsa de Rav ‘Haïm Kaniewsky ?
L’année dernière, Koupat Ha’ir-France a proposé à Rav ‘Haïm Kaniewsky d’offrir à Koupat Ha’ir une matsa, l’une de celles qu’il prépare lui-même avec le plus grand soin. Un tirage au sort serait effectué parmi les donateurs, et l’argent serait offert à la Koupa et distribué à toutes les mains qui en ont tant besoin. Rav ‘Haïm fut très heureux de cette idée. Ces matsot sont précieuses pour lui, et c’est pourquoi il était d’autant plus content ! Koupat Ha’ir a reçu de Rav ‘Haïm Kaniewsky une matsa qui, bien enveloppée, a fait le voyage jusqu’en France. Les dons venant de France furent très importants car chaque donateur savait qu’en plus du mérite immense d’un don à la charité,
Le tirage au sort a eu lieu à la fin de l’Appel de Pessa’h. Le donateur gagnant a reçu cette matsa, et il n’y avait pas d’homme plus heureux que lui sur terre. Aucun prix matériel, aucun gros lot d’appartement ou de voiture ne peut se comparer à la joie d’avoir reçu ce privilège. Et cette année, Rav ‘Haïm Kaniewsky a voulu poursuivre la tradition… C’était étonnant : on aurait dit que le fait qu’une des matsot serait envoyée en France et encouragerait les dons à Koupat Ha’ir déversa sur tout le processus de préparation des matsot une intensification de sa puissance et de sa sainteté… Rav ‘Haïm fit un don à Koupat Ha’ir à chaque étape de la préparation des matsot afin que tout soit fait de la meilleure façon possible, sans aucune erreur. Le blé a été récolté l’année dernière déjà, en présence du Rav. Avant que la récolte ne commence, Rav ‘Haïm Kaniewsky a fait un don à Koupat Ha’ir et a prié pour les donateurs. Cette année, voici plusieurs mois, le Rav et ses élèves ont moulu le blé pour les matsot. Avant de commencer, il a prié et fait un don à Koupat Ha’ir en en ajoutant une supplique pour les nombreux donateurs. Voici quelques semaines, ses élèves sont allés préparer la fabrique de matsot avant le jour de la fabrication. Là aussi, à chaque étape, Rav ‘Haïm s’est interrompu, a fait un don à Koupat Ha’ir, et a prié. Les participants ont travaillé très vite, avec zèle et enthousiasme pour la mitsva. Rav ‘Haïm était parmi eux, et a prié sans cesse…
La préparation des matsot La farine et l’eau composent ensemble une création spirituelle très spéciale. L’odeur des matsot qui cuisent emplit l’âme d’une grande lumière. Ce parfum est lui aussi spirituel. Parmi ces matsot qu’on rapporta chez le Rav avec un soin infini, Rav ‘Haïm en choisit une. Une matsa.
Une matsa qui partira en France et sera offerte au donateur qui gagnera au tirage au sort. Peu importe combien le donateur aura donné : 50, 500 ou 5000 euros. Le tirage au sort est égal entre tous ; ce privilège attend chacun. En fait, le plus grand privilège, c’est d’avoir fait un don à la tsédaka par l’intermédiaire de Koupat Ha’ir. Il est vrai qu’en fin de compte, seul l’un des donateurs recevra la matsa, mais cette matsa n’est qu’un symbole. L’aspect profond, spirituel, est imprimé dans vos matsot ! La sainteté authentique, celle qui est absorbée dans les prières et les méditations de Rav ‘Haïm Kaniewsky, pénètre dans vos matsot, chers donateurs, dans les matsot que vous poserez sur votre table du Séder. Vos dons montent en Haut, et la sainteté pénètre dans les matsot, dans votre âme, en vous-même. Bientôt, le tirage au sort sera effectué. Bientôt, un donateur français recevra une matsa préparée par Rav ‘Haïm Kaniewsky en personne avec un grand amour pour la mitsva, cuite avec zèle, enrobée de toutes parts par ses prières pour tous les donateurs de Koupat Ha’ir et, parmi eux, les donateurs de la communauté française. Bientôt, ce tirage au sort aura lieu.
A la portée de tous Chacun peut y participer, chacun peut faire un don. Chacun peut être inscrit sur la liste des personnes qui affirment que pour elles, le plus grand privilège est un privilège spirituel. Avez-vous idée de la valeur d’une telle affirmation ? Vous pouvez participer au tirage au sort pour gagner un appartement à Natanya. Vous pouvez vous inscrire pour gagner une voiture de luxe. Mais que choisissez-vous ? De participer au tirage au sort pour recevoir une matsa de Rav ‘Haïm Kaniewsky… Quelle sanctification du Nom divin ! Quelle lumière vous projetez sur notre peuple et sur le monde entier ! En attendant le tirage au sort, nous faisons tous un don à Koupat Ha’ir en sachant que ce que nous
Le gagnant de l’année dernière.
voulons avant tout, c’est que Koupat Ha’ir pénètre dans tous ces foyers malheureux avant Pessa’h et leur donne de quoi accueillir la fête dignement. Pour que Yaacov ait de nouvelles chaussures, pour que sa mère n’ait plus envie de pleurer, pour que le père des malheureuses jeunes filles reprenne ses esprits après avoir reçu de quoi acheter des matsot, du vin et de la laitue. Notre but réel, c’est que notre argent vienne au secours de tous ces malheureux, entre dans leur vie difficile, et efface leurs larmes. Ainsi, nous pourrons nous asseoir dignement à notre table du Séder, en sachant que nous, membres du peuple juif, nous sommes réellement des princes.
Un mérite éternel Bientôt, ce Pessa’h aussi va passer, comme tout passe. Mais en réalité, cette fête ne passera pas. Dans les chroniques célestes de notre vie, elle sera inscrite en lettres d’or, emplies de mérites, en lettres qui ne seront jamais effacées. Ce Pessa’h sera inscrit à jamais, avec des mérites éternels. Cet argent que nous venons de donner ne nous sera jamais pris ; il nous appartiendra éternellement. Il sera inscrit à jamais dans la liste de nos mérites… Lorsque vous mangerez la matsa le soir du Séder, que ce soit la matsa tant espérée de Rav ‘Haïm Kaniewsky ou la vôtre, vous vous sentirez différent. Vous vous sentirez différent parce que vous serez différent : plus élevé, plus spirituel, plus authentique. Vous ressentirez une proximité réelle au Créateur car Il vous aime…
Afin de participer au tirage au sort dont le prix exceptionnel sera une matsa, préparées en la présence et selon les directives de Rabbi ‘Haïm Kaniewsky, merci de joindre, à votre don, le formulaire se trouvant au dos de cette brochure.
Le syoum hachass Kanievsky, un grand Entre jeûne, étude et bénédiction Chaque année, à la veille de Pessah, le 14 nissan, a lieu un évènement exceptionnel que chacun attend avec impatience et qui s’inscrit désormais dans nos traditions. Tous les ans, jour du jeûne des Premiers nés, Rav Haim Kanievsky nous convie au siyoum haChass, la fin de son étude complète des différents traités du Talmud de Babylone et de Jérusalem, la Thora orale. Ce jour, bien sûr, n’a pas été choisi par hasard. Depuis plusieurs générations déjà, en souvenir du miracle qui sauva de la mort les premiersnés hébreux de la dixième plaie d’Égypte, on a pris l’habitude de remplacer le jeûne par une séoudat mitsva, une collation en l’honneur de la fin d’une étude d’un traité talmudique, d’une circoncision, d’un mariage ou d’une bar-mitsva. C’est à l’issue de ce siyoum, que les aînés sont autorisés à casser le jeûne. Pour conclure le Chass entier à Pessah, Rav Kanievsky étudie toute l’année dans le chass bavli puis dans le yeroushalmi, sept pages de guemara par jour ! Au moment du siyoum, il récite la prière que nos ancêtres disent depuis toujours et associe à cette bénédiction le nom des donateurs de
Rav Haïm Kaniewsky étudie ses sept pages du Chass
Koupat Hair. « Puisse Ta Thora être notre occupation dans ce monde et nous accompagner dans le monde futur ; puisse-t-elle être agréable pour nous et à nos enfants…puisse notre cœur être entier dans les Lois de D.ieu, afin que nous n’oubliions jamais Ses décrets…Puisse le mérite des Tannaïm, des Amoraïm, et des érudits jouer en notre faveur afin que la Thora ne puisse ni s’écarter de notre bouche ni de celle de nos enfants. Qu’elle nous accompagne partout où nous allons. Puissent les jours de notre vie s’allonger grâce à elle… » A ces mots, le temps parait suspendu. L’instant est solennel, majestueux. La prière du grand Rav monte vers le ciel. Groupés autour de lui, tous ceux qui assistent à la bénédiction sont emplis d’un sentiment de paix et se sentent investis d’une vigueur nouvelle. Ce moment rare reviendra si D. le veut l’année prochaine. Mais allons-nous attendre jusque là ? pourquoi ne pas bénéficier dès à présent de la bénédiction divine ? Rav Kanievsky la demande pour lui, il la demande également pour tous les donateurs de Koupat Ha’ir… Vos prières peuvent être exaucées, et c’est maintenant…
La coutume de se réunir et de se réjouir pour fêter la clôture de l’étude du Talmud est très ancienne. Dans toutes les communautés, on a toujours conféré une très haute importance aux cérémonies accompagnant ces siyoumim. Dans le livre des coutumes de la communauté de Worms, il est rapporté que tous les Juifs de la ville se réunissaient à cette occasion et fêtaient l’évènement durant deux jours consécutifs. Dans les villes de Lituanie, tout le monde s’habillait de blanc durant 7 jours et les
s du rav d moment femmes préparaient les mets pour la séouda mitsva, afin de prendre part à cette joie immense.
Siyoum du Chass Bavli et yérouchalmi Il existe dit-on des moments et des lieux propices, où la prière fend les cieux et où les mots purs et légers parviennent aisément jusqu’à D.ieu : devant le Kotel, sur la tombe de Rahel imenou…sous la houpa, lors du rachat du premier né ( pidiyon haben), à Kippour bien sûr… et quand on célèbre la fin d’une étude. Pour un siyoum, dit-on encore, D.ieu LuiMême, et les ‘anges’ viennent se réjouir. C’est un moment unique et fort, où l’on se sent, où l’on est réellement plus proche de D.ieu. Par le mérite de l’étude de Rav Kanievsky, par le mérite de sa sagesse, la miséricorde enveloppera tous ceux qui auront l’honneur d’être présents physiquement à cet évènement particulier, et tous les absents également que le rav associera à sa prière : c›est-à-dire les donateurs de Koupat Ha’ir. Que celui qui désire s’élever spirituellement, qui espère voir ses enfants s’épanouir dans l’étude de la Thora, et grandir dans la crainte de D.ieu « se trouve là » à l’ instant où les lèvres de ce maitre incontesté prononcera cette prière pleine de sens, suivis de leurs noms. Nous en avons l’opportunité, ne la laissons pas filer…C’est une chance, un honneur, un mérite…
Etre béni en ce moment propice du
Siyoum du Chass Bavli et Yérouchalmi La veille de Pessah, les noms des donateurs de Koupat Ha’ir seront transmis à Rav Haïm Kaniewsky pour qu’il prie pour eux et les bénisse après son siyoum du Chass. Veuillez transmettre avant le 13 Nissan (5 Avril) à minuit les noms que vous souhaitez que Rav Kaniewsky bénisse au moment du siyoum.
Cela arrive une fois par an. Rav ‘Haïm Kaniewsky fait un grand Siyoum lorsqu’il termine son étude annuelle de tout le Chass Bavli et Yérouchalmi (le Talmud de Babylone et de Jérusalem). Faites un peu connaissance de l’emploi du temps quotidien du Grand Maître de notre génération, Rav ‘Haïm Kaniewsky. Il commence l’étude du Chass chaque année l’après-midi du 14 Nissan, la veille de Pessa’h. Il étudie chaque jour 7 feuilles du Chass, chose extrêmement rare aujourd’hui ! 7 feuilles par jour, outre tout ce qu’il étudie par ailleurs, ce qu’il écrit, ce qu’il conseille à tous ceux qui viennent le consulter etc. Outre ces 7 feuilles du Talmud Bavli, il étudie leurs pages correspondantes dans le Talmud Yerouchalmi. Comme on le sait, certains traités n’ont pas de Guemara dans le Talmud Bavli mais seulement dans le Yerouchalmi. Ces jours-là, tout de suite après Pessa’h, le Rav étudie quotidiennement 7 feuilles du Talmud Bavli et environ 50 feuilles du Yerouchalmi !
Le Siyoum d Rav ‘Haïm
Le vin de la mitsva ! A l’occasion de Roch Hachana dernier, Koupat Ha’ir a envoyé du vin béni par Rav Kanievsky à quelques-uns de nos donateurs. Avec l’aide de D.ieu, nous recommencerons cette opération qui a su vous plaire.
du Chass et la prière de m Kaniewsky chlita
Le Rav prend la feuille en main et prie pour les donateurs de Koupat Ha’ir dont les noms sont posés sur la table
Les noms sont posés sur le pupitre de la synagogue Léderman avant le début du Siyoum
Rav Kaniewsky inclut les donateurs de Koupat Ha’ir dans sa prière
Rav ‘Haïm Kaniewsky, au moment où il fait le Siyoum de la massékhet Nidda et commence la massékhet Berakhot, les noms des donateurs posés devant lui
e c t Es ? e l b i s s po
De nos jours ?
Comm
Oui, malheureusement. Nos classeurs sont là pour en témoigner. Une pauvreté accablante, des situations apparemment inextricables. Voici quelques-unes des familles qui ont été adressées à Koupat Ha’ir : Deux malades dans une même famille
enfant autant que possible.
Le fils ainé est malade puis on découvre chez le bébé aussi la terrible maladie. Deux enfants qui subissent en même temps des traitements chimiothérapiques; les deux parents restent constamment à leur chevet. Quelle est la situation ?
Mais quand les médecins ont diagnostiqué un cancer chez le bébé, sa mère s’est effondrée. Deux enfants en même temps ! Elle ne savait pas au chevet duquel rester, elle ne réussit pas à se partager en deux tout en continuant à s’occuper de ses enfants en bonne santé restés à la maison. Le bébé souffrait beaucoup et Penina maigrissait de plus en plus, sombrait de plus en plus.
Mme Penina Blisky a dix beaux enfants qu’elle veille à toujours bien habiller malgré leur budget très serré. Elle reçoit des habits de ses voisines, de ses cousines, d’autres personnes encore, mais ne les leur met pas s’ils ne sont pas assortis, ou s’ils sont un peu tachés ou abîmés. Elle veille à toujours bien coiffer ses filles et à repasser tous les vêtements. Sa maison est rangée et agréable, bien qu’il n’y ait aucun meuble superflu. Les aliments sur le feu ont toujours une bonne odeur même s’ils ne contiennent pas de poisson ou de viande. Lorsque son fils ainé est tombé malade, toute la famille est entrée dans un tourbillon. Soudain, les parents étaient absents pendant des jours entiers. Soudain ont pénétré dans la maison la peur, l’angoisse, les mots inquiétants. Yochoua et Penina Blisky ont expliqué à leurs enfants la situation du mieux qu’ils purent. Ils ont implanté en eux la foi et l’espoir ainsi qu’un désir de se rendre utiles afin que leurs parents puissent rester à l’hôpital avec leur
Yochoua continua à courir avec l’ainé aux traitements et aux examens alors que Penina restait avec le bébé au service Oncologie d’un autre hôpital. Ils ont dû pratiquement renoncer à s’occuper de la maison. Yochoua sentit que Penina n’avait pas assez de forces pour les communiquer au bébé. Or c’est une question de vie ou de mort. Mais que pouvait-il faire ? La charge qui pesait sur lui se faisait de plus en plus lourde. C’est lui qui devait entendre les rapports dramatiques des médecins sur l’état de ses deux enfants. Penina ne pouvait supporter de l’accompagner à ces momentslà ; cela ne faisait que la décourager et la démoraliser. Yochoua s’occupa seul de présenter aux volontaires d’aide médicale les papiers et les documents pour qu’ils s’assurent que ses enfants reçoivent le meilleur traitement possible. Ces démarches-là prenaient un temps fou, alors qu’il devait s’occuper de son fils…
Quand Penina laissait son bébé à l’hôpital avec une volontaire à son chevet, elle ne cessait de se lamenter de l’état de sa maison : les enfants étaient négligés, la maison était sale, les repas étaient improvisés. Il ne restait rien de son beau foyer chaleureux. Elle dormait et mangeait à peine, et n’était certainement pas capable de donner l’attention que réclamaient ses enfants. Lorsqu’elle était assise des heures à l’hôpital, elle ne cessait de se désoler de la situation de ses enfants, de leurs difficultés, du fait qu’elle doit être loin d’eux, et de son bébé qui souffrait tant.
ment ?
A Koupat Ha’ir, on a entendu parler de la situation et on est entré dans ce foyer pour voir ce qu’on pourrait faire. Ils se sont rendu compte que si Penina pouvait être accompagnée régulièrement en voiture à l’hôpital, elle gagnerait deux heures par jour et serait beaucoup moins fatiguée. Ils se sont rendu compte que si quelqu’un pouvait accompagner le fils ainé deux fois par semaine, Yochoua Blisky pourrait reprendre son travail, au moins à mi-temps, et retrouver une certaine stabilité économique. Pour l’instant, ils n’ont rien. Ni argent pour acheter à manger, ni les quelques sous pour un nouveau cahier, rien. Les enfants souffrent beaucoup : la peur envahissant le foyer à cause des deux enfants malades, les parents pratiquement absents à longueur de journée, le manque d’argent. Leur monde s’est renversé, littéralement. Mais de l’argent pourrait faire beaucoup pour les aider. Avec de l’argent, on pourrait employer une dame pour tenir le ménage : cuisiner, laver le linge, envoyer les enfants à l’école. Il est impossible de décrire le soulagement que ressentiraient les parents. Avec de l’argent, on pourrait payer aux deux parents des transports faciles en direction des deux hôpitaux. Avec de l’argent, on pourrait payer un rattrapage scolaire aux filles et un professeur privé qui s’occuperait un peu des garçons. Avec de l’argent, on pourrait envoyer Penina recevoir un soutien psychologique professionnel afin qu’elle retrouve ses forces morales. On ne peut pas acheter la vie ou la santé. Personne ne peut guérir ces deux enfants à part D., Lui qui a décrété leur maladie. Mais on peut acheter avec de l’argent la vie des enfants en bonne santé et la vie de leurs malheureux parents, et ce n’est pas rien… Pouvons-nous entendre des histoires semblables sans donner au moins quelque chose à ces familles ? Peu importe combien nous avons, nous avons certainement une petite somme pour eux, pour les soulager.
Un triple cadeau ! Trois couples de jumeaux, c’est un don extraordinaire, mais aussi une difficulté extraordinaire. Et quand s’ajoute une grave maladie chronique chez l’un des parents, tout devient presque impossible La famille Chaked a trois couples de jumeaux, plus quelques autres enfants « indépendants ». Il arrive de voir des familles avec deux couples de jumeaux mais trois ! C’est assez exceptionnel. Avec la joie que les jumeaux ont apportée à leur naissance, est venu aussi beaucoup de travail, beaucoup beaucoup de travail… Les « grands » jumeaux ne sont pas si grands que cela, et les nourrissons demandent beaucoup de soins. La maman, Mina, souffre d’une grave maladie chronique. Elle a été plongée dans un océan de traitements, d’examens, d’essais et surtout… de douleurs et de difficultés. Elle n’est pas capable de s’occuper de ses bébés, et ne peut supporter de savoir qu’elle ne s’en occupe pas. Comment peut-elle être assise dans la salle d’attente de l’hôpital alors que ses enfants sont seuls avec son mari qui, malgré ses directives au téléphone, ne s’en sort pas ? Mina entend les bébés pleurer sans arrêt, et son cœur est déchiré. Elle souffre physiquement mais ses souffrances morales sont encore plus fortes. Ses enfants ont besoin d’elle. Ils ont besoin de repas prêts et de linge propre, ils ont besoin d’une maman dévouée. A la place de cela, seul leur père essaie de faire le nécessaire, et n’y arrive pas. Les enfants plus grands essaient de ne pas déranger, et c’est la plus grande aide qu’on peut attendre d’eux. La maison est devenue pleine de cris, de faim, de saleté, d’impuissance. Mina aurait bien besoin que son mari l’assiste dans la période difficile qu’elle traverse. Normalement, il l’aurait certainement accompagnée à l’hôpital, l’aurait encouragée et lui aurait remonté le moral. Mais telles que sont les choses, ils ne peuvent pas se permettre d’être absents de la maison au même moment. Les semaines passent et la situation empire. Il faudrait absolument qu’une dame puisse être employée tous les matins pour prendre le ménage et la cuisine en main, et rendre possible au père la tâche de s’occuper des enfants l’après-midi. Il faudrait aussi quelqu’un pour accompagner Mina, être présente pour entendre l’opinion des médecins, l’encourager et la soutenir pendant cette période difficile. Si Mina
survit à ces jours critiques, elle redeviendra une maman douce et affectueuse, capable de porter la maison sur ses épaules. Mais sinon… si elle s’effondre, que se passera-t-il ? Comme Chimon est occupé 24 heures sur 24, il ne peut pas gagner d’argent. Et la maison s’en ressent: pas d’argent pour le lait des bébés et pour les dépenses de tous les jours. Chimon se rend compte que le problème médical n’est pas le seul : il a un grave problème d’argent! Comment survivre ? Pendant ces années, il faut que les parents soient en bonne santé et disponibles pour s’occuper de leurs jeunes enfants, pour que ceux-ci grandissent sains de corps et d’esprit. Deux paires de mains pour tant d’enfants, D. bénisse, ce n’est pas trop ! Et la situation actuelle, c’est que la maman souffre et doit se soigner elle-même. Il faut donc de l’aide : de l’aide pour libérer Chimon au moins dans la journée parce qu’il s’occupe déjà assez des enfants la nuit, de l’aide ménagère, de l’aide pour suivre les progrès scolaires des enfants, et aussi une baby-sitter pour occuper les enfants l’après-midi. Quand le foyer recevra ce dont il a besoin, Mina se sentira certainement mieux. Chimon aussi pourra avoir une pause pour réfléchir à l’avenir, à trouver du travail ou à apprendre un métier bien rémunéré. Pendant cette période, de l’aide pour eux c’est du pain et de l’eau, c’est la vie ! Pouvons-nous leur dire non ?
Un rai de lumière Ils sont arrivés de Yémen totalement démunis, avec une enfant malade. L’enfant est morte en Israël, les laissant inconsolables. Et ce n’est pas tout… « Les gens pensent que l’antisémitisme a disparu » dit-il aux quelques visiteurs qui viennent de temps à autre. « Si tu savais comment nous nous sommes enfuis en laissant tout ! Nous n’avons rien pris, pas même de l’or. Nous avions peur de tomber aux mains de brigands. Nous sommes sortis sans rien, mais nous étions très contents de cela aussi. Plus d’un a essayé de nous attraper en route. Nous n’aurions pas pu leur échapper. » L’arabe qu’il parle ne laisse pas la place au doute : ils se sont enfuis du Yémen à la suite d’un pogrom. Oui, un vrai pogrom. Personne n’en a parlé dans les médias et presque personne ne sait ce qu’il s’est passé entre les montagnes brulées par le soleil. Ils se sont enfuis jusqu’à la mer et sont montés dans un bateau, comme on le faisait voici cent ans. « Nous portions dans nos bras notre fille malade, que sa mémoire soit bénie. Ah ! Notre enfant ! D. a donné, D. a repris, que Son Nom soit loué. » Ce monologue revient régulièrement. Cette famille est arrivée en Israël dépourvue de tout, mais ils ne pensaient qu’à leur fille malade. Au Yémen, ils ne savaient rien mais en Israël, on a découvert chez elle un cancer. Elle a subi des traitements pénibles : chimiothérapie et rayons, interventions, etc. Bien qu’elle ne fût qu’une enfant, elle comprit son état et savait vers où elle allait. Chaque soir, avant que son père ne quitte l’hôpital, elle lui demandait de réciter avec elle le Chéma. Il prit peur au début, mais elle lui expliqua qu’il valait mieux le dire pour rien plutôt que de ne pas le dire quand viendrait le moment. Elle préférait ne pas demander cela à sa mère, car ses larmes
perçaient son jeune cœur. Ses frères et sœurs ne venaient pas souvent la voir à l’hôpital ; cela leur faisait peur. Ils priaient pour sa guérison mais n’osaient pas venir. Un jour, elle demanda qu’ils viennent. Son état était meilleur à ce moment-là, et les parents ont insisté que les enfants viennent la voir comme elle le demandait. Cinq enfants apeurés, vêtus du costume traditionnel yéménite, sont entrés dans sa chambre. Elle était assise sur son lit et les a regardés avec beaucoup d’affection : « Je vous ai languis ! » dit-elle en arabe. Ils lui ont raconté des histoires et ont essayé de la faire rire, mais ses yeux regardaient déjà au loin. Les médecins disaient que son état était satisfaisant et qu’elle en réchapperait peut-être. Cette même semaine, elle rendit l’âme. Personne ne sait comment elle l’avait senti… Ses parents l’ont pleurée, leur chère fille qui avait mérité d’être enterrée dans la sainte terre d’Israël. La famille a reçu un coup pénible, difficile à accuser. Mais le coup suivant fut non moins difficile. Le père fut pris dans un accident de la route entre l’autobus dans lequel il voyageait et une voiture. Il y eut deux blessés graves : le chauffeur de la voiture et lui. Sa tête heurta le pare-brise et il fut projeté en arrière. Il balança entre la vie et la mort pendant plusieurs semaines. Et lorsqu’il reprit conscience, il était aveugle. La pauvreté devint dramatique.
Au Yémen, ils avaient une belle maison, des serviteurs et des bijoux alors qu’en Israël, la pauvreté les accompagna fidèlement. Mais quand le père devint aveugle, ils n’avaient plus rien. Certains médecins dirent qu’on pouvait peutêtre sauver sa vue. Il subit une opération, une autre et une troisième, sans autre résultat que des douleurs atroces. Les espoirs se brisaient l’un après l’autre. « Aujourd’hui, je vois ma fille, dit-il en ricanant. Je la vois toute la journée, elle ne bouge pas de mes yeux. Ma gentille petite fille... » La lutte pour la survie commença. Ils n’ont pratiquement aucun revenu. Aucun des parents ne travaille. Bien qu’ils n’aient besoin que de très peu, ce peu-là, ils ne l’ont pas. La mère tente de travailler ça et là. La mentalité si différente et la nécessité de s’occuper de son mari handicapé ne lui permettent pas de travailler régulièrement. Les enfants sont malheureux. Un foyer sans joie, sans lumière, sans rire. Un foyer où l’on ne peut
assurer
besoins de base.
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Koupat Ha’ir a été prévenue et a découvert une situation effroyable. La maison était en ruines, littéralement. Les enfants dormaient sur des couvertures par terre, et en hiver ils se serraient les uns contre les autres pour avoir plus chaud. La nourriture était préparée sur un réchaud et ils se sont fabriqué un four primitif. Ils n’avaient pas de machine à laver et la mère n’est plus toute jeune. Ils ne connaissaient pas leurs droits, ils ne savaient pas comment obtenir ce qui leur revenait. Des gens emplis d’une pureté juive spéciale, des gens d’autrefois. Mais ils souffraient tant ! Peu à peu, ils ont su ce qu’ils pouvaient demander et ont reçu ce qui leur revenait des services sociaux pour l’infirmité du père. Koupat Ha’ir a réussi à obtenir des dons de meubles et d’appareils ménagers. Mais pour vivre de façon normale, ils ont encore besoin d’une allocation mensuelle. Peut-on les en priver ? Combien de souffrances ont-ils enduré ! Combien de tribulations ! Ils ne se plaignent jamais mais vivent dans un tel manque! Grâce aux donateurs de Koupat Ha’ir, eux aussi pourront vivre. Ces familles, Koupat Ha’ir les a prises en charge, les porte dans les bras, leur fait passer cette période difficile sans les laisser sombrer. Mais Koupat Ha’ir, c’est vous ! C’est vous qui leur donnez de quoi manger, de quoi s’habiller, de quoi survivre… Car vous ne pouvez pas, car vous ne voulez pas dire non.
Pour les fêtes de Pessah, Koupat Ha’ir distribue plus de 25000 colis alimentaires aux familles nécessiteuses de tout Israël. Prenez part à cette magnifique Mitsva!
é t i r a h c e d e u q i t u La bo au cœur de Paris n Avraham Allouche ז״ל à la mémoire de Méir be
re déposés Les vêtements peuvent êt 10h00 à 20h00 Du Dimanche au Jeudi de te : à l’adresse suivan
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16 Rue le Marois 75016 Pa
Si vous décidez de soutenir Koupat Ha’ir mensuellement, veuillez remplir ce formulaire: Autorisation de Prélèvement
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Je vous prie de bien vouloir débiter sans autre avis, à la condition qu’il présente la provision nécessaire, mon compte du montant de tous les avis de prélèvement établis à mon nom présentés par Koupat Ha’ir.
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Donateur: Nom:_________________________ Prénom:_______________________ Adresse:_______________________ Tel:__________________________ E-mail: ________________________ Bénéficiaire: Les Amis de Koupat Ha’ir Autorisation 61 268, 95209 SARCELLES CEDEX
J’autorise un prélèvement mensuel de _______ € ; soit en toutes lettres __________ ________________________________ euros. à compter du _______________ La présente autorisation restera valable jusqu’à nouvel ordre de ma part.
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Remarque: ______________________________________________________
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Si vous signez sur un prélèvement automatique d’un an, vous pouvez demander que les envoyés de Koupat Ha’ir prient pour vous au Kotel, sur la tombe de Rabbi Chimon bar Yo’haï ou sur la tombe de Rachel tous les jours de l'année. Transmettez les noms par téléphone au 0-800-525-523
1 La bénédiction des Tsadikim: Nos Grands Maîtres offrent généreusement leurs bénédictions aux donateurs de Koupat Ha’ir, selon leurs requêtes individuelles. Quel privilège !
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40 jours de prières face au Mur des Lamentations: Pour que les délégués de Koupat Ha’ir prient pour moi au Kotel, l’e ndroit que la Présence divine n’a jamais quitté, pendant 40 jours.
Une ségoula particulière qui produit des résultats extraordinaires.
Je donne _______ euros, aux familles nécessiteuses, pour Kimha Depissha, Veuillez prier pour:
3 Une prière en votre faveur au moment du siyoum Hachass de Rav H. Kaniewsky:
Notre Maître bénira les donateurs de Koupat Ha’ir après son siyoum Hachass, la veille de Pessa’h.
Prénom et prénom de la mère: Requête: Prénom et prénom de la mère: Requête:
19/12/08
11:03
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Merci de joindre ce formulaire à votre don, afin de participer au tirage au sort dont le prix exceptionnel sera une matsa, préparées en la présence et selon les directives de Rabbi ‘Haïm Kaniewsky:
Nom :____________________________ ments de base Prénom : _________________________ Adresse: __________________________ -marque séparé Code Postal: _______________________
éléments de base typographie
Ville :____________________________ Tel :_____________________________ Portable:_________________________ Email :___________________________
Le bloc-marque séparé est composé d’une partie texte fixe (N° Vert) fournie au format AI et EPS
La typographie utilisée est l’Arial disponible s
Illustrator et d’un numéro de 10 chiffres composé dans n’importe quelle autre typographie. Il est alors
C’est une police libre de droit.
possible d’utiliser le caractère du texte dans lequel le bloc-marque est inséré.
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