Hag Saméah Pessa’h 5771-2011
Gratuit
Découvrez dans ce magazine des recettes de plats et desserts typiques de Pessa’h ainsi que de magnifiques serviettes de table, très faciles à réaliser, pour une table du Séder splendide !
Le magazine des fêtes juives
Chers lecteurs,
Éditorial
Hag Saméah fête son premier anniversaire ! Un an déjà que nous avons le plaisir d’accueillir les fêtes avec vous dans la joie ! Nous espérons continuer longtemps en votre compagnie ce circuit dans l’année juive. Pour ce Pessa’h, nous vous proposons des recettes de mets traditionnels : le ‘harosset pour le soir du Séder, le nougat marocain (tout un art !), les pastels, les kneidlakh pour la soupe, un sauté d’agneau à l’orientale et pour terminer le repas, des desserts au chocolat et aux fruits. Vous trouverez les photos des étapes de préparation de certaines recettes sur notre site internet ! Pour embellir votre table de fête, vous trouverez des pliages de serviettes en papier selon diverses formes. Surprenez votre famille et vos invités avec ces idées originales qui prouveront votre bon goût et votre savoir-faire. Et prenez le plaisir de décorer et d’exprimer votre personnalité… Les enfants découvriront une histoire sur la fête qui leur apprendra qu’un instant de maîtrise de soi peut faire toute la différence le soir du Séder. N’oubliez pas notre site à votre disposition. Nous accueillons avec intérêt vos commentaires, vos idées, vos recettes et vos astuces. Un prix est offert à celles qui nous feront partager leurs délicieux secrets culinaires ou autres…
Hag Saméah !
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Le ‘Harosset Le mettre dans un saladier et râper dessus les pommes. Bien mélanger et conserver au frais. Au moment de servir, arroser d’un peu de jus de raisin. Facultatif : ajouter de la cannelle ou 1 c à c de confiture de prune.
Ingrédients: • 20 dattes dénoyautées • 15 noix • 10 amandes • 2 pommes • jus de raisin.
Conseil : cette préparation peut se faire à l’avance sans y ajouter les pommes. Pour cela, les râpées le jour même et bien mélanger au reste de la recette.
Réalisation : Hacher les dattes au mixer (après les avoir vérifiées), avec 1 c à s de jus de raisin, Il est important de mixer les deux à la fois, pour éviter que l’appareil chauffe trop et s’abime. Incorporer les cerneaux de noix et les amandes réduites en poudre. Obtenir une pâte lisse.
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Boulettes de Matsa
(Knedleih)
Ingrédients : Les boulettes
Le bouillon de poulet
• 3 verres de farine de Matsa • 6 œufs, ½ v d’huile • 2 ½ v d’eau chaude • 2 pommes de terre bouillies (facultatif) • sel,
• 2 à 3 carcasses de poulet • 1 oignon • 2 branches de céleri • coriandre fraîche • sel • huile.
poivre.
Réalisation : Battre les œufs, ajouter le reste des ingrédients. Bien mélanger. Laisser la pâte se reposer environs ½ heure. En attendant préparer le bouillon. Nettoyer les branches de céleri et couper les en bâtonnets. Eplucher l’oignon. Couper finement la coriandre. Dans une casserole, mettre les carcasses de poulet avec un filet d’huile. Faire revenir quelques instants, ajouter l’oignon coupé en 4, le céleri et le sel et la coriandre. Couvrir d’eau et laisser bouillir. Se mouiller les mains et former des boules. Les mettre dans le bouillon. Porter à nouveau à ébullition et baisser le feu. Poursuivre la cuisson 20 à 25 min. Astuce : Les boulettes de Matsa peuvent se congeler.
Sauté d’agneau au cumin Ingrédients :
• 1 kg d’épaule d’agneau
coupée en gros cubes 3 gousses d’ail 1c à soupe de concentré 1 c à c de tomate d’harissa (facultatif) 1 c à c de cumin sel, poivre.
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Réalisation : Mettre dans un faitout 2 c à soupe d’huile, l’ail pressé, le concentré de tomate, la harissa, et poser dessus les morceaux d’agneau. Faire légèrement revenir et couvrir d’eau. Laisser cuire à petit feu pendant une heure. Ajuster l’assaisonnement et laisser réduire. Vérifier sa cuisson à l’aide de la pointe d’un couteau. Si celui-ci pénètre facilement les morceaux d’agneau c’est que votre plat est prêt. Vous pouvez le servir avec des petites pommes de terre. Pour, cela, éplucher 1.5 kg de petites pommes de terre rondes à chair ferme, et les poser sur la viande à mi-cuisson.
Réalisation : Préparer la farce : Faire cuire la viande hachée avec ½ verre d’eau jusqu'à ce qu’elle soit complètement sèche. Faire revenir 1 oignon jusqu'à ce qu’il blondisse, l’ajouter à la viande hachée avec sel et poivre. Hacher le tout et réserver. Préparer la purée de pommes de terre : Faire bouillir les pommes de terre avec la peau, préalablement rincées, elles doivent être cuites mais encore fermes (photo 1). Oter les du feu, les éplucher, les écraser à l’aide d’une fourchette et rajouter le jus d’ ½ citron, le curcuma, le persil, le sel et le poivre.
Les
La purée doit être sèche et consistante.
pastels
(banatages)
Ingrédients: Pour la base:
Dans un grand plateau, préparer la fécule de pomme de terre. A côté, dans un saladier, battre les œufs. Enrober chaque pastel dans la fécule de pomme de terre puis dans l’œuf battu. Les déposer dans l’huile chaude.
Pour la farce :
• 1 kg de pommes de terre • Viande hachée • 1 oignon blanches • 2 œufs, ½ c à c de • sel • poivre curcuma • quelques feuilles de persil finement hachées • 1 ½ citron • sel, poivre • fécule de pomme de terre, huile pour la friture.
Se huiler les mains, prendre une poignée de purée, l’étaler sur la main, poser dessus une petite boulette de viande hachée et refermer en formant une boule, tapoter pour l’aplatir un peu.
Les faire frire jusqu'à ce qu’ils soient dorés de chaque coté. Servir chaud avec des rondelles de citron, quelques feuilles de persil et une salade fraîche.
La couleur doit être blonde, surtout pas caramélisée.
Le nougat blanc
Ingrédients:
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Le nougat blanc de pessah 1 Kg de sucre ½ v de jus citron 2 blancs d’œuf cerneaux de noix grillées.
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Réalisation : Dans une casserole, mettre le sucre avec 1 ½ verre d’eau et le jus de citron . Au départ mettre sur feu normal, dés que le sucre est plus au moins fondu baisser le feu et surveiller sa cuisson « au boulé» c'est à dire qu'il faut prendre un peu du sirop qui est en train de bouillir avec les 2 doigts essayer de tirer dessus pour voir s'il forme un fil ouvrir fermer le pouce et l'index plusieurs fois pour juger.
Dans un saladier, battre le blanc d’œuf avec une pincée de sel, en neige. Battre le sirop jusqu’à ce que le mélange s’éclaircisse, s’épaississe et tiédisse. Ajouter cuillère par cuillère, le blanc en neige dans le sucre en poursuivant de battre pendant longtemps, jusqu'à ce que le mélange devienne bien blanc et épais. Mettre le Zaban dans un bol ou une coupe et décorer de noix grillées.
Nougat au
pistaches et aux
chocolat Ingrédients:
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360 gr de chocolat noir 450 gr de pistaches décortiquées neutres 2 c à s bombées de miel.
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Réalisation :
Mettre au réfrigérateur.
Faire griller les pistaches dans un four à 150°C, environ 15 min en les remuant de temps en temps.
Avant de servir couper des tranches en biais, d’une épaisseur de 1 à 2 cm.
Faire fondre le chocolat au bainmarie.
Longue conservation.
Quand il est presque fondu, ajouter le miel. Remuer et éteindre le feu. Ajouter les pistaches grillées. Partager le nougat en deux et verser chaque moitié sur une feuille de papier sulfurisé. Rouler bien serré pour former un boudin.
Variante : - Pour faire des chocolats individuels, dans la préparation, concassée grossièrement les pistaches grillées. Verser dans des moules en silicone et mettre au frais. - Il est possible de faire un mélange de fruits secs, amandes, noisettes, noix…
é it r a h c e d e u q ti u o b a L au cœur de Paris Avraham Allouche ז״ל à la mémoire de Méir ben
Les vêtements peuvent être déposés Du Dimanche au Jeudi de 10h00 à 20h00 à l’adresse suivante :
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Réalisation : Préparer la gelée selon les indications de la boite. Dans le bol du blender, verser les ananas avec leur jus, les pêches avec leur jus, la gelée prête, le nectar et la rich. Mixer bien le tout au blender et garder au frais 1 à 2 heures. Servir dans des grands verres et décorer d’une rondelle de kiwi.
Ingrédients :
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1 boite d’ananas (825gr), 1 boite de pêches (825 gr), 200 ml de crème fraiche (rich) sachet de poudre à gelée à la fraise, 1l de nectar de fraise ou de banane, 1 ou 2 kiwis pour la déco.
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Nectar de fruits
e r a r a s t a ne m
Vous êtes assis à la table du Sédère dressée dans toute sa splendeur. Autour de vous sont présents les membres de votre famille et quelques invités, les yeux tournés vers vous. Voilà enfin arrivé le soir du Sédère, cette nuit mémorable ! Sous le napperon de velours se cache votre trésor : une matsa.
Une matsa ? Oui. Une matsa. Un trésor comme vous n’en avez jamais eu. Une matsa qui se vendrait pour une fortune si on la mettait en vente aux enchères. Mais vous, vous avez choisi de la garder pour vous, de la couper en petits morceaux et d’en donner à chacun de ceux qui font le Sédère avec vous cette année. De quelle matsa s’agit-il? Quelle est son histoire? Comment vous est-elle parvenue?Il est des choses dont on ne bénéficie qu’une fois dans la vie. Il est des choses qu’on n’a pas la chance d’avoir même une seule fois. Cette matsa-là en fait partie.
Un vrai trésor Chaque année, Rav ‘Haïm Kaniewsky surveille et participe à la fabrication
d’une petite quantité de matsot pour lui-même, des matsot particulières, faites avec tous les hidourim possibles. Combien de préparations à la fabrique avant son arrivée ! Quelle surveillance sur les grains de blé, la farine qu’il moud lui-même à la main, l’eau qu’il va lui-même puiser ! Il s’agit des matsot du Grand Maître de notre génération, sur lesquelles il dira les bénédictions et grâce auxquelles il accomplira la mitsva de manger un kazayit le soir du Sédère… Que d’efforts on a investi avant de voir ces matsot faites à la main sortir l’une après l’autre du four !
Le tirage au sort Rav Kaniewsky garde précieusement ces matsot qu’il consommera pendant Pessa’h. Il ne goûte que celles-ci, qui ont été préparées en sa présence et selon ses directives. Parmi ces matsot spéciales que seuls les membres de sa famille ont le mérite de consommer, Rabbi ‘Haïm Kaniewsky en mettra une de côté pour Koupat Ha’ir-France. Elle sera offerte à celui dont le nom sera tiré au sort parmi les donateurs de France de
Pourim jusqu’à deux jours avant Pessa’h. Quiconque fera un don à nos frères démunis participera à ce tirage au sort dont le prix exceptionnel sera : une matsa offerte par Rabbi ‘Haïm Kaniewsky. Son estime pour les Juifs de France, pour leur coopération enthousiaste à l’œuvre de Koupat Ha’ir, notre Maître l’exprime par ce geste.
La reconnaissance de nos Grands Maîtres Cette matsa arrivera en France comme un geste de reconnaissance, comme un signe d’encouragement, comme une requête renouvelée. Vos dons généreux sauvent des vies ! Sauvez d’autres personnes encore ! Continuez à nous donner la main ! Rav ‘Haïm Kaniewsky mettra de côté une matsa pour un donateur inconnu, celui qui sera tiré au sort, mais tous les donateurs reçoivent le message qu’il adresse à la communauté de France par ce geste. Ce n’est pas sans raison qu’il transmet son cadeau par l’intermédiaire de Koupat Ha’ir. Il existe un grand nombre d’organisations, de caisses de charité qui recueillent des dons. Beaucoup de gens centralisent les dons et les transmettent à des causes de valeur, dans de bonnes intentions.
Rav Kaniewsky garde précieusement ces matsot qu’il consommera pendant Pessa’h. Il ne goûte que celles-ci, qui ont été préparées en sa présence et selon ses directives. Parmi ces matsot spéciales que seuls les membres de sa famille ont le mérite de consommer, Rabbi ‘Haïm Kaniewsky en mettra une de côté pour Koupat Ha’ir.
ne matsa rare Rav Kanievsky donne encore pour les pauvres après avoir participé à la mouture du blé
‘Mayim chelanou’ : l’eau protégée des rayons du soleil a reposé une nuit entière, c’est le moment de la puiser…
Le Créateur ne retiendra sûrement la récompense d’aucun d’entre eux.
Koupat Ha’ir, il n’y en a qu’une Mais il existe une grande différence entre eux et Koupat Ha’ir. Rav ‘Haïm Kaniewsky lui-même témoigne qu’une caisse de charité exemplaire, c’est Koupat Ha’ir. Ses responsables ne touchent pas le moindre sou, ils se donnent corps et âme dans un but désintéressé. A la Koupa, on ne fait aucune différence d’origine, d’appartenance, de cercle. Les dons sont transmis à 100% aux familles nécessiteuses, sans que personne ne prenne le moindre pourcentage. Il n’y a pas de salaire pour les dirigeants et aucun avantage ni profit personnel. La comptabilité est tout à fait transparente, irréprochable. Koupat Ha’ir ne se contente pas de donner de l’argent : elle fait tout le nécessaire pour réhabiliter des familles qui ont chuté. Rabbi Kaniewsky connaît à fond Koupat Hai’r : il est membre de l’Association et les clés sont dans ses
Rav Kanievsky versant l’eau…
…et aussitôt fait, transmettant son don à Koupat Ha’ir !
mains. Il témoigne de son honnêteté absolue et de sa soumission aux directives des Rabbanim.
Quiconque fera un don à nos frères démunis participera à ce tirage au sort dont le prix exceptionnel sera : une matsa offerte par Rabbi ‘Haïm Kaniewsky. Ce n’est pas pour rien que Rav Kaniewsky donne un tel cadeau par Koupat Ha’ir. La matsa de Rav ‘Haïm Kaniewsky, il n’y aucun autre moyen de l’obtenir que de faire un don à Koupat Ha’ir, un don qui ira directement aider une famille pauvre. Aucun autre moyen.
L’heureux gagnant Celui qui la gagnera aura le privilège, le soir du Sédère, de sentir le goût particulier de la matsa d’un Grand Maître. Il sentira aussi les bénédictions du Rav, son dévouement pour les do-
Merci de joindre ce formulaire à votre don, afin de participer au tirage au sort dont le prix exceptionnel sera une matsa, préparées en la présence et selon les directives de Rabbi ‘Haïm Kaniewsky: Nom :____________________________ Prénom : _________________________ Adresse: __________________________ ________________________________ Code Postal: _______________________ Ville :____________________________ Tel :_____________________________ Portable:_________________________ Email :___________________________
nateurs, son estime, sa reconnaissance. Car le cœur de Rav Kaniewsky est avec vous, avec nos frères de France qui s’associent à son œuvre, à l’œuvre de Koupat Ha’ir. Heureux celui qui recevra cette matsa, et heureux tous les donateurs qui sont l’objet de l’estime du Grand Maître de notre génération.
Le Tsadik Rabbi David Abou’hatsira : «Grâce à Koupat Ha’ir, de très nombreuses personnes peuvent donner la charité à une organisation irréprochable. Par ce mérite, elles ont leurs problèmes résolus. C’est là un acte de bonté extraordinaire envers le peuple juif, envers chaque individu, à tout moment de malheur et de désarroi.»
«La mitsva de Tsédaka faite à Koupat Ha’ir peut ouvrir les Portes de la pitié céleste!»
Au sommet Cet événement se produit une fois par an. Rav ‘Haïm Kaniewsky célèbre un grand Siyoum, celui de tout le Chass, Bavli et Yérouchalmi, qu’il a étudié pendant toute l’année. Chaque jour, Rav ‘Haïm étudie sept dapim (pages recto-verso) du Chass Bavli, plus la partie correspondante dans le Yérouchalmi. Lorsqu’il fait un Siyoum, il le fait pour les deux Chass en même temps, le jour du jeûne des premiers-nés la veille de Pessa’h, avant de brûler son ‘hamets. Une foule de gens vient assister à ce Siyoum !
L’endroit le plus haut Lors du Siyoum, Rav ‘Haïm prie pour deux groupes seulement : pour lui et sa famille (ses enfants, ses petitsenfants, ses arrière-petits enfants) et, oui, les donateurs de Koupat Ha’ir. Eux seuls méritent d’être présents, plus proches que ceux qui se pressent autour de lui pour voir, plus proches que tous les responsables, les photographes et les curieux. Les noms des donateurs sont posés entre la Guémara que Rav ‘Haïm vient de terminer et celle qu’il ouvre pour recommencer. Du plus profond de son cœur, en ces moments saints où l’esprit s’élève dans la Torah, il prononce une prière
particulière, une prière pour la réussite spirituelle. Rav ‘Haïm prie que la Torah soit douce dans votre bouche, qu’elle vous protège jour et nuit, qu’elle prolonge votre vie et qu’elle vous accompagne toujours. Cette prière, en votre faveur, prononcée par un Grand Maître de notre génération… N’est-ce pas la prière la plus importante, la plus essentielle ?
Une intensité particulière Quand Rav ‘Haïm prie pour lui-même et pour sa famille, lorsque son cœur est chaux et ému par son Siyoum et
la Torah qu’il a étudiée assidûment pendant un an entier, il vous bénit vous aussi. Il existe des jours dont la puissance est universelle. A Yom Kippour par exemple, il règne dans le monde entier un Attribut de pardon et d’expiation. A Pourim, il règne l’amour et la joie, à Pessa’h le rapprochement à D. et l’élection du peuple juif. Chaque fête a sa sainteté, son intensité, son éveil céleste. Au moment du Siyoum de Rav ‘Haïm Kaniewsky, il existe quelque chose qui a une force indescriptible : un éveil d’en bas, un élan et un amour de l’homme vers D., du Juif vers son Créateur. C’est un moment où les murailles sont brisées, où la prière se fraie un chemin direct vers le Maître du monde. C’est un moment extrêmement élevé né de l’étude de la Torah, de la joie de l’avoir terminée. Et c’est le Grand Maître lui-même qui fait ce double Siyoum qui contient toute la Torah : le Bavli et le Yérouchalmi entiers ! Koupat Ha’ir est la seule qui réussit à se faufiler dans ce Siyoum et à y introduire les noms des donateurs pour une prière dans le domaine spirituel, mais pas seulement dans ce domaine-là. Il n’y a rien de plus élevé que cet événement, rien de plus émouvant. Au Siyoum, Rav ‘Haïm récite la bénédiction sur un vin spécial – le vin des Siyoumim – qu’il sort aussi chaque fois qu’il fait un Siyoum chez lui.
Siyoum du Chass Bavli et Yérouchalmi La veille de Pessah, les noms des donateurs de Koupat Ha’ir seront transmis à Rav Haïm Kaniewsky pour qu’il prie pour eux et les bénisse après son siyoum du Chass.
Veuillez transmettre avant le 13 Nissan (17 Avril) à minuit les noms que vous souhaitez que Rav Kaniewsky bénisse au moment du siyoum.
Koupat Ha’ir reçoit ce vin et le répartit dans de petites bouteilles pour le distribuer. De nombreuses familles gardent ce vin comme un vrai trésor et en versent une goutte dans le Kiddouch de chabbat afin que chacun puisse en goûter un peu en l’honneur du chabbat. C’est une ségoula pour l’amour de la Torah, la réussite dans l’étude, la protection et une longue vie. Dans les fêtes de famille ou les occasions exceptionnelles, on ajoute une goutte de ce vin dans la bouteille familiale…
Le célèbre vin des Siyoumim Les donateurs gardent ce vin des Siyoumim pendant une année entière, d’un chabbat à l’autre, d’une fête à l’autre. Les membres de la famille vivent ainsi la joie du Rav, ses prières et ses bénédictions. Un enfant qui a grandi entouré de l’amour de la Torah de ses parents, un enfant qui a grandi ainsi « avec la bénédiction du Rav », qu’il habite en Israël ou en France, a grandi enveloppé de la Torah. Cette douceur-là ne le quittera pas de sa vie, avec l’aide de D. Les prières de Rav ‘Haïm en faveur des donateurs en ces moments les plus saints s’associent à la mitsva de la tsédaka. Les dons offerts pour être présents à cette occasion du Siyoum sont utilisés pour acheter du pain et du lait, pour sauver des foyers, pour éclairer des parents aux yeux éteints. Quel soulagement peut apporter ce don à une famille, et à plus forte raison quand on le multiplie par des milliers
pour qu’il soit possible de faire circuler la chaise roulante de leur fille aînée. Bientôt, ils achèteront aussi à la deuxième une chaise roulante et il faut de la place pour les faire rouler. Ils ne se plaignent pas et ne frappent pas aux portes. Ils ne font que lever des yeux tristes… vers vous.
La prière monte avec votre don Chez les Z., il n’y a pas de place pour faire passer une chaise roulante. C’est cela qu’ils ont expliqué, c’est pour cela qu’ils demandent de l’aide. Un couple bon et discret qui n’a jamais rien demandé à personne et qui, à présent, est très gêné de demander. Lorsque vous entrez chez eux, vous découvrez une famille avec beaucoup d’enfants, dont la fille aînée est très handicapée. Voici deux ans, une deuxième fille est née avec un grave handicap. Deux « jumelles » de douze ans et de deux ans, couchées l’une près de l’autre presque sans mouvement. Comme c’est triste ! La mère porte la grande fille dans les bras, comme un bébé. La deuxième fille handicapée est lourde pour son âge et après elle, il y a encore un bébé. Ils ne sortent pas leurs deux filles handicapées de la maison. Ils s’occupent bien d’elles et les autres enfants leur parlent, les caressent, jouent près d’elles. Tout ce qu’ils demandent, c’est de l’aide pour agrandir les couloirs de leur petit appartement de 50 m2,
La différence Lorsque vous donnez une somme pour le Siyoum, vous la donnez à eux, et à d’autres familles comme la leur. Vous leur permettez non seulement d’élargir les couloirs de la maison, mais aussi d’acheter de la nourriture dont ils ont tant besoin. Vous leur donnez de quoi acheter un vêtement à ces enfants handicapées pour qu’elles n’aient pas l’air encore plus malheureuses qu’elles ne sont. Lorsque la prière de Rav ‘Haïm arrive en Haut, ce mérite-là l’a précédée. Le mérite de la mitsva que vous avez accomplie, le mérite de la tsédaka que vous avez donnée à Koupat Ha’ir. Ce mérite vous fait avancer tout près, jusqu’au Trône de Gloire, et c’est alors que la prière de Rav ‘Haïm en votre faveur se fait entendre. Sa supplication que vous ayez une longue vie, que la Torah vous accompagne, que les paroles de Torah soient douces dans votre bouche et celle de vos enfants, que vous soyez vous et vos descendants des hommes qui craignent D. et qui étudient Sa Torah. Toutes les prières pour vous sont entendues
Les dons offerts pour être présents à cette occasion du Siyoum sont utilisés pour acheter du pain et du lait, pour sauver des foyers, pour éclairer des parents aux yeux éteints. alors que votre mérite est là, le mérite sacré de la tsédaka. Ces malheureuses petites filles, les enfants de D., sont présentes devant Lui. Il voit qui les a aidées, et Il entend Rav Kaniewsky prier pour vous. Telle est la différence, l’énorme différence, entre une prière qui monte avec la mitsva de tsédaka et une prière qui monte sans elle.
Des doubles pleurs
Bientôt
Un jeune couple avec un petit enfant. L’album de leur mariage est encore tout frais. Le père est très malade : il est hospitalisé au Service Oncologie et souffre horriblement. La jeune femme élève seule son bébé. Elle pleure, cette malheureuse femme, et son bébé assis sur ses genoux pleure avec elle. Et leurs pleurs déchirent ciel et terre. Vous faites un don à Koupat Ha’ir pour le Siyoum et Koupat Ha’ir enlève avant tout à ce couple la charge du crédit mensuel sur leur appartement. Elle ajoute un peu d’argent pour que la mère puisse prendre une baby-sitter pour le bébé et des taxis pour se rendre à l’hôpital au lieu de s’épuiser dans les autobus. D. entend leurs pleurs et regarde qui aide Ses enfants dans leur tragédie. D. voit que vous les aidez et en même temps, les prières de Rav ‘Haïm en votre faveur montent devant Lui. Le mérite de la tsédaka vous amène tout près de D. Quel plaisir vous Lui procurez, comme votre mérite est grand !
Bientôt, ce grand jour arrivera, la veille de Pessa’h au matin. Le peuple juif entier sera occupé à brûler le ‘hamets, à faire les dernières courses pour la fête. En ce jour chargé, un moment entièrement spirituel sera réservé pour le Siyoum de Rav ‘Haïm Kaniewsky. Celui qui le peut y viendra en personne. C’est une occasion à ne pas manquer. Celui qui ne le peut pas essaiera d’y être au moins en pensée, au moins par un don. Rav ‘Haïm fera son Siyoum, récitera la bénédiction sur le vin des Siyoumim et priera… Serez-vous présents vous aussi ? Le Rav priera-t-il pour vous aussi ? Aurezvous le mérite de donner auparavant de quoi aider les enfants de D. ? Aurezvous le mérite de ce mélange rare de la mitsva de tsédaka, qui sauve souvent des vies, accompagné de l’étude de la Torah et de la prière du Grand Maître de notre génération ? C’est vous qui en déciderez… Le choix est le vôtre !
Le vin de la mitsva ! A l’occasion de Roch Hachana dernier, Koupat Ha’ir a envoyé du vin béni par Rav Kanievsky à quelques-uns de nos donateurs. Avec l’aide de D.ieu, nous recommencerons cette opération qui a su vous plaire.
Pour la première fois, Rav 'Haïm Kaniewsky écrit son opinion sur le phénomène des délivrances arrivées grâce à un don à Koupat Ha’ir.
Motsaei Chabbat Vayigach 12 Tévet 5771
Voilà environ dix ans qu’a été fondée Koupat Ha’ir qui fait de grandes choses dans le domaine de la charité aux pauvres nécessiteux dans notre ville. Je connais les responsables, qui sont des hommes honnêtes et droits, qui demandent [comment agir en] chaque chose. Ils s’occupent bénévolement de tous les besoins des démunis qui, pour un grand nombre, sont en danger de mort. C’est une grande mitsva de les aider et de les assister. Toute personne qui donne à cette organisation de tsédaka, c’est comme si elle donnait à des milliers de nécessiteux.
La tsédaka à Koupat Ha’ir est digne de protéger les donateurs et de les délivrer de tout malheur. Tous ceux qui l’aident seront bénis de grands bienfaits. J’écris et je signe en l’honneur de la mitsva
‘Haïm Kaniewsky
La table du Seder Les serviettes de table, en tissu ou en papier, ont une place de choix dans la décoration de vos tables de fête. Par leurs formes et leurs couleurs, elles ajoutent une touche particulière.
nuancier NAOURI
Avec un minimum d’effort, de temps et de savoir-faire, vous pourrez transformer votre table et lui donner le cachet unique que vous choisirez…
NAOURI, futura HV bold, 36 pt
Nous avons choisi pour vous quelques modèles. Ils sont faciles à réaliser et le market, Tahoma Bold,résultat 22 pt est très réussi. RAL 7031
RAL 6018
Rubrique sponsorisée par:
L’oiseau Lyre Rond de serviette
Convient à une table de fête et aux grandes occasions.
L’avantage, c’est la possibilité de l’assortir à votre table, de lui donner un thème en y ajoutant des éléments liés à l’occasion ou à la fête. Voici un modèle pour vous donner une idée. Ensuite, faites jouer votre imagination et votre goût.
Pour réaliser ce modèle, il vous faut deux serviettes de couleurs différentes.
1 1 1. Ouvrir les deux serviettes en un grand carré.
2 2. Couper un morceau de 15 cm.
2 2. Plier l’une des deux en triangle.
3 3
1. Prendre une jolie bande de
tissu de votre choix.
3. Insérer la deuxième serviette ouverte entre les plis du triangle, bien au milieu, de manière symétrique.
3. Agrafer les extrémités à
l’arrière de façon à obtenir une bague.
4 4
5nuancier NAOURI
5. Enrouler la
NAOURI, futura HV bold, 36 pt RAL 7031
5 5. Plier en deux et introduire dans le verre.
4. Plier en accordéon les deux serviettes ensemble, en commençant par la base du triangle et en continuant jusqu’au bout des serviettes.
4. Coller ou agrafer à
l’avant la fleur (ou tout autre élément) par ses feuilles.
market, Tahoma Bold, 22 pt
serviette et l’introduire dans la bague.
RAL 6018
Rubrique sponsorisée par:
La table fleurie Convient à une table de fête et aux grandes occasions.
Pour ce modèle, il vous faut deux serviettes : une de couleur verte pour les feuilles et une autre de la couleur qui vous plait pour la fleur.
L’eventail
Modèle élégant, à poser sur l’assiette. Choisissez un modèle uni ou imprimé.
1
4
Commencer par la serviette verte :
2
1. Ouvrir un seul des plis
2. La plier en
1
triangle
4
3
1. Ouvrir la
serviette en un grand carré
de la serviette de manière à obtenir un rectangle.
3. La rouler finement
4. La plier
en deux et depuis la base du triangle l’introduire dans jusqu’à son sommet. le verre Prendre la deuxième serviette pour préparer la fleur :
2
1 1. Ouvrir un seul des plis
de la serviette de manière à obtenir un rectangle
5 2 2. Plier en accordéon
jusqu’au pli de la serviette.
2. Plier le rectangle pour
obtenir un rectangle plus étroit.
4
3
3. Tenir le rectangle, la lisière
de la serviette vers le haut. Enrouler en formant des plis jusqu'à obtenir une fleur.
4. Séparer les
4. Plier le rectangle restant en un triangle.
6
5
5. Insérer la fleur épaisseurs de la entre les « feuilles serviette comme des vertes » qui sont pétales dans le verre.
5. Relever et plier le rectangle restant.
3
3. Plier en deux, les plis de
l’accordéon à l’extérieur.
6. Poser sur l’assiette et ouvrir
joliment l’éventail.
La couronne transparente Brakha Rivka La maison est silencieuse, tranquille, habillée pour la fête en vue de la nuit exceptionnelle. La table est recouverte d’une nappe éclatante et décorée de la splendide vaisselle de Pessa’h.
amandes grillées délicieuses, et surtout des compliments. Et « halayla hazéh », cette nuit, c’est Ruthy qui va chanter et que tout le monde va applaudir ; moi, je resterai dans un coin…
Avi se tourne et se retourne dans son lit. Il tire la couverture qui lui chatouille les pieds. Ses parents et ses frères sont plongés dans un profond sommeil en ce début d’après-midi mais lui n’arrive pas à s’endormir. « Oh lala ! » soupiret-il. Comment peut-il s’endormir quand il entend dans le salon la voix aigue de la petite Ruthy qui chante Ma Nichtana? Il les connaît par cœur, les Quatre Questions. Il les a révisées à l’école et les a chantées de nombreuses fois. Il s’est tant appliqué à les apprendre et à les retenir ! Il attendait déjà la caresse de son père sur sa joue, le sourire de sa mère, et les regards admiratifs de ses grands frères. Il connaît toutes les questions par cœur ! Il sentait déjà le goût des amandes grillées que son père lui tendrait après sa caresse… mais ne s’attendait pas à ce que Ruth, âgée de deux ans de moins que lui, connaisse elle aussi Ma Nichtana !
***
« Ma nichtana halayla hazéh… » Ruthy chantonne les mots de sa voix fine. « Chébékhol haleylot anou okhlim… » Oui, tous les soirs du Séder, j’ai mangé des
Un silence royal règne à table. Chacun tient son verre de vin et Papa fait le Kiddouch d’une voix forte. Avi est assis à sa place et répète les mots du Kiddouch. Bientôt, ce sera le tour de Ma Nichtana qu’il devra se retenir de réciter. « Magguid ! » annonce Papa. Tout le monde baisse les yeux vers les livres de la Haggada et Papa poursuit : « L’enfant pose les Quatre Questions ». Ruthy se lève avec émotion. Avi sent son cœur prêt à éclater : il voudrait tant les réciter! « Ma nichtana halayla hazéh… » Ruthy chantonne les mots clairement de sa petite voix douce. « Halayla hazéh coulo matsa ». Les grands frères la regardent attentivement. Papa et Maman sourient. Et Avi… Avi joue avec sa fourchette sans que personne ne jette un coup d’œil dans sa direction. « Chébékhol haleylot eyn anou matbilin euh… euh… afi.. afilou paam aaa… a’hat.” Ruthy hésite, bégaie et essaie de se souvenir de la suite. Papa l’encourage du regard et essaie de l’aider. Ruthy dit
un mot, deux, puis s’arrête.
clin d’œil et lui sourit.
Ah ! Ruthy ne sait pas la suite ! Alors c’est lui qu’on va interroger ! Ruthy n’a pas réussi mais lui va réussir ! Il sait tout par cœur ! Le moment est venu ! Il va se lever, dire « Moi, je sais » et chanter sans faute les Quatre Questions. Ah ! Formidable !
« Halayla hazéh koulanou messoubin ». Avi se rassoit. Papa lui pince la joue avec un sourire satisfait et lui tend une double poignée d’amandes. Son grand frère Yaacov lui serre même la main, comme le font les grands.
Il se lève déjà quand il aperçoit le visage de Ruthy qui est devenu écarlate, puis livide. Elle a les yeux baissés et bégaie confusément. Il s’apprêtait à commencer Ma nichtana mais s’arrête. Ruthy s’est préparée, a appris, a répété et il… il lui prendrait sa place ? Elle attendait avec tant d’impatience de réciter et il le ferait à ses dépens ? Soudain, un sentiment agréable l’inonde ; il se rassoit et se tait. Non, il ne posera pas les Quatre Questions. Ruthy s’est trompée et elle va continuer dans quelques secondes. Voilà, elle a déjà repris courage et passe sans difficulté aux autres questions. Il se mord la langue et la regarde avec satisfaction. Il a réussi ! Maman adresse un large sourire à Ruthy qui a bravement terminé. Papa dépose des amandes grillées dans sa petite main. Bientôt, le Séder va se poursuivre. « Avi ! Papa se tourne soudain vers lui. Tu sais toi aussi poser les Quatre Questions ? Tu sais réciter Ma Nichtana? Je voudrais que chaque enfant le récite à son tour. » Est-ce qu’il sait ? Bien sûr qu’il sait ! Il se lève avec enthousiasme et récite en chantant une question après l’autre. Le sourire de Papa s’élargit et ses frères le regardent avec admiration. Maman lui fait un
Avi reprend sa Haggada. « Avadim hayinou… Nous étions esclaves de Pharaon en Egypte… L’année prochaine, des hommes libres… » Maintenant, Avi se sent libre, libéré du mauvais sentiment qui s’agitait à l’intérieur de lui. Il l’a vaincu ! Il est libre ! La Torah parle de quatre fils : le sage, le méchant, le simple et celui qui ne sait pas poser de questions. Et lui, Avi, sait quand il ne faut pas poser de questions. Il a compris quand il faut laisser la couronne aux autres et recevoir la couronne noble et transparente, celle qui ne se voit pas…
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La bénédiction des Tsadikim:
40 jours de prières face au Mur des Lamentations:
Nos Grands Maîtres, que le Ciel a désigné pour guider notre génération, nous offrent un cadeau précieux : leur bénédiction personnelle, à notre nom.
Pour que les délégués de Koupat Ha’ir prient pour moi au Kotel, l’e ndroit que la Présence divine n’a jamais quitté, pendant 40 jours.
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