L e s r e v u e s d e p r e s s e 2 0 0 6 -2 012 d e L’ O s o s p h è r e : s é l e c t i o n P r e s s r e v i e w s o f L' O s o s p h è r e 2 0 0 6 -2 012 : s e l e c t i o n
L’ O s o s p h è r e
Sommaire
Revue de presse 2012
5
- Ososphère prend de la bouteille
6
- Article sur l’Ososphère dans le magazine Or Norme
8
- Inside «Sleeping Beauty»
14
- L’Ososphère 13e édition
Libération (presse)
Arte Creative (web) - L’Ososphère 2012
MCD #69 (presse) - Cahier special ososphère
DNA (presse) - Transfiguration de la Coop - Coop’ososphère créative - Strasbourg Nuits électroniques de l’Ososphère - Ososphère bâtit son futur - De cacophonies en europhonies
16 17 18 19 20
Poly (presse) - Grand entretien avec Daniel Payot
Lifeproof (web)
- L’Ososphère à Strasbourg - Festival - Thierry Danet « Ososphère, un espace public » - L’Ososphère s’invite à l’Aubette 1928
53
22 23
Revue de presse 2011
58
- Ososphère joue les éclaireurs
59
25 26 27
20 minutes (web) 29 30
France 3 Alsace (web)
- Ososphère, balade urbaine et numérique à Strasbourg - Strasbourg: le festival d’art numérique Ososphère émigre vers le port - Ososphère sur le môle - La croisière sonore - Ososphère : curiosité, interrogations et émotions urbaines - Focus : creative.arte.tv
32
- Colombages et fibre optique
33
- Thierry Danet - Directeur artistique
- Ososphère habite la Coop au port du Rhin
34
- Passage à l’Est - Entretien avec Cécile Babiole
- Coopératif
35
Novo (presse)
37 39
Zut ! (presse)
40
- Ososphère
41
- L’art est dans la vi(ll)e
E-alsace - Strasbourg (web) Was Magazine
Zut ! (web)
Novo (presse) Coze (presse) - Ososphère 2013 port du Rhin obligatoire
62 63 64 65
20 minutes (web)
Est Republicain (web)
- Ni friche ni soumise
61
DNA (presse)
- Ososphère allume le môle
- Ailleurs mais bien ici - Un jour ils ont disparu
60
Le Parisien (web)
31
Poly (presse)
52
MCD #63 (presse) - Interview de Thierry Danet (bilingue) L’ososphère: Festival 2.0
Rue 89 (web)
- Ososphère pour un week-end
50
Rue 89 (web)
L’Express (web)
- Ososphère, planète électro et numérique
48
DNA (presse)
- Le festival Ososphère investit le site historique de la Coop 24
- Etienne De Crecy a mis le feu aux Nuits Électroniques
47
Strasbourg.eu (web)
Libération (presse)
- Quand la culture et Ososphère apportent leur pierre à l’édifice - Dancefloor industriel
43
Spectacles (presse)
L’Alsace (web)
- Ososphère à la Coop : un nouveau théâtre pour l’art numérique - Ososphère à la Coop : le port du Rhin courtisé - Ososphère : Esprit de rave à la Coop
42
21
DNA (presse) - Les voisins de la Coop - De Crecy et kavinsky, french touch 2.0
Blog L’Ososphère
66
Or Norme 67
New Brisach 70
Poly (presse)
- An ideal for living - Ville électronique
72 73 74 75
Tsugi (presse) 76
Mouvement.net (web) 77
L’ O s o s p h è r e
Arte Creative (web)
Sommaire
et pop de Crystal Castles
110
- La crème de l’électro à la Laiterie
111 112 113
- Ososphère au Môle Seegmuller - B ande annonce de l’Ososphère édition février 2011 - P hilippe Poirier : « les aiguilles du passé»
78
Têtu (presse)
79
Poly (web)
79
- Porosité ambiante - Electro - hédonisme
Revue de presse édition 2009
80
- Les nuits électroniques de l’Ososphère 114
- Couverture - Thierry Danet, l’homme - orchestre
81 82
Revue de presse édition 2007
115
- Ososphère en expansion
83
- S trasbourg reçoit la crème de l’électro à la Laiterie
116
- Bouillante culture
84
- E n septembre pleuvent les festivals musicaux
117
Télérama (presse)
Libération (presse) Le Point (web)
20 minutes (presse)
Tsugi (presse)
Libération (presse) Le Monde (web) MCD (presse)
- Thierry Danet, Organisateur avec Quatre 4.0 de l’Ososphère
85
- Ososphère libère des oeuvres d’art dans l’atmosphère
86
- Flashback (couverture) - Ososphère
- L’odyssée Ososphère
87
- Strasbourg vaut- elle un aller simple ? 123
20 minutes (web) RefletsDNA
DNA (presse)
- Dans la ville numérique 88 - Les ondes tectoniques de l’Ososphère 89 - Au pays de l’art numérique 90
L’Alsace (presse)
- Les nuits électroniques de l’Ososphère 118
Trax (presse)
Technikart (presse) DNA (presse)
121 122
- Dans le village global - Utopies visionnaires
125 126
- O sosphère : Les nuits électroniques à Strasbourg
127
- Keine Party ohne den Plan
128
- La musique électro
129
L’Alsace (presse)
- L es cultures électroniques partout en ville
91
Der Sonntag (presse allemande)
- Arte live web à l’Ososphère
92
France inter (web)
- Ososphère up - to - date - Ososphère vs Scopitone (Critiques)
93 95
Poptronics (web)
- L es nuits de l’Ososphère, marathon pop
130
- L es belles nuits digitales de l’Ososphère
97
Revue de presse éditions 2006
131
- À Strasbourg, l’Ososphère en met plein la ville
- Le numérique en nombre
Le Monde (presse)
132
99
- De bien vivants concerts techno
133
102
AFP (web)
DNA (web)
Mouvement.net (web) MCD (presse)
Poptronic (web)
Revue de presse 2008 Le Monde (web)
- La nouvelle peau des festivals techno 103
Libération (presse)
- Wire, nouveau virage - Fructueuse pêche aux sons
DNA (presse)
104 105
- Mon salon sur les les murs - Des arts numériques florissants
106 107
- L ’Ososphère en plein chantier multimédia - L’Ososphère en mode digital
108 109
Mouvement.net (web)
Le Monde (presse)
- L es sons « blip - blip »
Libération (presse)
- Lancement des 9 ème « nuits électroniques » de l’Ososphère... 134
DNA (presse)
- Dans le mouvement numérique
135
- L’hôtel des arts numériques
136
- Les nuits de l’Ososphère
137
- Ososphère : Évasions nocturnes
139
Reflets DNA
Arte.tv MCD
Ortenaukreiss (presse allemande)
- Für Partygänger und Nachtschwärmer 140
Badische Zeitung (presse allemande) - Takt und Tanz bleiben wichtig
141
S é l e c t i o n r e v u e d e P r e s s e 2 012
L’ O s o s p h è r e
2 6 / 0 9 — 07 / 10
TREIZIÈME ÉDITION D E L’ O S O S P H È R E « PREMIERS A C T E S »
L’O S O S P H È R E
—
G A Z E T T E 1 2 0 9 1 8 0 1
L’OSOSPHÈRE Parution 12091801
À STRASBOURG PR ATI Q U ES ARTISTIQUES AUTOUR DU NUMÉRIQUE DANS L A VILLE
R EVU E D E PR ESS E
4
L’OSOSPHÈRE
L’ O s o s p h è r e
Habite la Coop
Édition 2012S é l e c t i o n r e v u e d e P r e s s e 2 012 Du 7 au 16 décembre
5
L’ O s o s p h è r e
L’Ososphère Pratiques artistiques autour du numérique dans la ville
S é l e c t i o nLibération r e v u e d e P r e s s e 2 012 Édition 2012 Revue de presse
Décembre 2012
6
4
L’ O s o s p h è r e
L’Ososphère Pratiques artistiques autour du numérique dans la ville
Édition 2012 Revue de presse
S é l e c t i o nNext.libération.fr r e v u e d e P r e s s e 2 012 10 décembre 2012
7
5
L’Ososphère Pratiques artistiques autour L’ Odus onumérique s p h è r e dans la ville
Édition 2012 Revue de presse
décembre 2012
S é l e c t i o n r e v u e d e P r e s s e 2 012
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L’Ososphère L’ OPratiques s o s p h èartistiques re autour du numérique dans la ville
Édition 2012 Revue de presse
Arte créative décembre 2012
S é l e c t i o n r e v u e d e P r e s s e 2 012
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S é l e c t i o n r e v u e d e P r e s s e 2 012
L’ O s o s p h è r e L’Ososphère Pratiques artistiques autour du numérique dans la ville
Édition 2012 Revue de presse
Arte créative décembre 2012
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L’Ososphère Pratiques artistiques autour du numérique dans la ville
L’ O s o s p h è r e
Édition 2012 Revue de presse
Arte créative décembre 2012
S é l e c t i o n r e v u e d e P r e s s e 2 012
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L’Ososphère
Pratiques autour L’ O s o s p hartistiques ère du numérique dans la ville
Édition 2012 Revue de presse
Arte créative décembre 2012
S é l e c t i o n r e v u e d e P r e s s e 2 012
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L’Ososphère Pratiques artistiques autour L’ O o s p h è r edans la ville dusnumérique
Édition 2012 Revue de presse
décembre 2012
S é l e c t i o n r e v u e d e P r e s s e 2 012
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L’Ososphère L’ O sosphère
Édition 2012 Revue de presse
Pratiques artistiques autour du numérique dans la ville
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MCD#69 – CAHIER SPÉCIAL OSOSPHÈRE DÉMOCRATIE : Un art difficile Musiques et Cultures Digitales, à l’invitation de Thierry Danet, directeur de l’Ososphère vous propose un cahier spécial gratuit, de 16 pages, distribué avec le numéro MCD#69 | Net Art – WJ-SPOTS#2 : Les artistes s’emparent du réseaux. MCD a assisté au premier Forum mondial de la Démocratie à Strasbourg sur la crise de la représentation politique et les défis démocratiques liés aux inégalités sociales. Ce tiré à part met l’accent sur les artistes qui investissent les réseaux et contribuent à la création de zones d’autonomie temporaires et nouveaux espaces d’expression démocratiques. D’autres artistes multimédia se réapproprient l’espace public à l’instar des activistes sociaux et politiques. EDITOS: L’ARTISTE CITOYEN Internet et les réseaux sociaux ont transformé la participation citoyenne aux débats démocratiques. Les activistes du Web (Anonymous, Occupy, Indignés…) participent à l’émergence d’une conscience collective. L’anonymat et le pseudonymat permettent aux gens d’agir en tant qu’individus, avec la possibilité d’avoir plusieurs identités. Fabrice Epelboin, membre du collectif de journalistes-hackers de reflets.info, dans un entretien donné à Xavier de la Porte (L’Impossible, l’autre journal, n°1), explique l’importance des chatrooms sécurisées qui ont permis aux tunisiens et aux syriens de communiquer sans se mettre en danger. Il affirme ainsi : « La démocratie telle qu’on la connaît, c’est terminé. La démocratie représentative ne marche pas. Les formes nouvelles de post-démocratie qui sont en train de s’inventer, soit parce qu’elles font participer massivement les citoyens, soit parce qu’elle parient sur le fait de nommer des représentants au hasard, ne sont pas la démocratie où on l’entend d’habitude. (…) Ici en Tunisie, ce ne sera pas la démocratie telle qu’on l’entendait au XX e siècle. Ce sera autre chose. Un truc où les citoyens pourront tous participer à la vie politique de la cité et où les différences se feront par les capacités de chaque citoyen à influencer les autres, à rassembler les gens, à faire du buzz etc. Mais il faudra trouver un autre mot que démocratie. » A l’invitation de l’Ososphère, Musiques & Cultures Digitales a assisté au premier Forum mondial de la Démocratie de Strasbourg, et nos équipes conjointes ont suivi les débats sur la crise de la représentation politique et les défis démocratiques liés aux inégalités sociales. Ce tiré à part met l’accent sur les artistes qui investissent les réseaux et contribuent à la création de zones d’autonomie temporaires et nouveaux espaces d’expression démocratiques. D’autres artistes multimédia se réapproprient l’espace public à l’instar des activistes sociaux et politiques. Mention spéciale à Peter Kennard, figure de l’artiste engagé, et à Krzysztof Wodiczko, qui donne lui aussi la parole à ceux qui ne l’ont pas (vétérans de guerre en Irak, femmes de Tijuana, immigrants, sans domicile fixe…) et transforme l’espace urbain en gigantesque territoire artistique. A suivre… Anne-Cécile Worms Musiques & Cultures Digitales
14 12
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mcd décembre 2012
Édition 2012 Revue de presse
S é l e c t i o n r e v u e d e P r e s s e 2 012
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MCD#69 – CAHIER SPÉCIAL OSOSPHÈRE DÉMOCRATIE : Un art difficile
UN GESTE
Strasbourg a accueilli du 5 au 11 octobre 2012 la première édition du Forum Mondial de la Musiques et Cultures Digitales, à l’invitation de Thierry Démocratie de Strasbourg, organisée avec le Conseil de l’Europe et réunissant plus de 1 000 Danet, directeur de l’Ososphère vous responsables propose un cahier gouvernementaux, élus, dirigeants d’organisations internationales, représentants de spécial gratuit, de 16 pages, distribué laavec le numéro société civile, journalistes et experts venus des cinq continents pour confronter les différentes MCD#69 | Net Art – WJ-SPOTS#2 : Les artistes démocratiques dans le monde. pratiques s’emparent du réseaux. Sur le thème de « la démocratie mise à l’épreuve : entre modèles anciens et réalités nouvelles », ce Forum MCD a assisté au premier Forum mondial de s’est la posé un certain nombre de questions essentielles dont celle de « l’impact des nouvelles technologies de la communication pour la mobilisation citoyenne ». Démocratie à Strasbourg sur la crise de la représentation aux inégalités politique et les défis démocratiques liés L’Ososphère a été invitée à participer à ce temps de questionnement en se penchant plus sociales. Ce tiré à part met l’accent sursingulièrement les artistes quisur la thématique « Valeurs virtuelles ? Démocratie et nouveaux réseaux sociaux ». investissent les réseaux et contribuentNotre à la création de a été de venir nous immerger dans ce Forum en y emmenant des artistes parmi proposition zones d’autonomie temporaires et nouveaux espaces ceux qui traversent notre programmation et se questionnent, chacun à leur manière, sur les enjeux d’expression démocratiques. D’autres de artistes multimédia la citoyenneté et de la démocratie ; nous avons également constitué une équipe rédactionnelle se réapproprient l’espace public à l’instar des activistes en complicité avec MCD et Radio En Construction avec pour objectif de produire notamment la sociaux et politiques. présente publication à partir de cette expérience du Forum.
EDITOS:
Nous sommes régulièrement percutés au fur et à mesure de la trajectoire de l’Ososphère par des œuvres qui interrogent l’impact d’Internet et des réseaux sociaux sur nos vies et sur les pratiques L’ARTISTE CITOYEN démocratiques, provoquant chez nous de nombreuses discussions – dont certaines partagées avec l’équipe de MCD. Cette action est ainsi née alors que nous ressentons le besoin qu’un débat la participation citoyenne aux débats démocratiques. Internet et les réseaux sociaux ont transformé complexe autour departicipent ces questions vienne équilibrer Les activistes du Web (Anonymous, Occupy, Indignés…) à l’émergence d’une les emballements médiatiques et la puissance des dispositifs lesen individus conscience collective. L’anonymat et leséductrice pseudonymat permettentafin auxd’amener gens d’agir tant que nous sommes, découvrant tout-à-trac sont identités. devenus «Fabrice friendsEpelboin, » ou « twittos », à du interroger cet endroit-là également leur qu’individus, avec la possibilité d’avoirqu’ils plusieurs membre collectifàde citoyenneté. journalistes-hackers de reflets.info, dans un entretien donné à Xavier de la Porte (L’Impossible, modeste et forcément parcellaire, publication n’est qu’un l’autre journal, n°1), explique l’importance des chatrooms sécurisées quicette ont permis aux tunisiens et geste dans ce débat et nous espérons à alimenter les conversations qui le feront exister en tous lieux. aux syriens de communiquer sans se mettre en qu’elle danger.contribuera Il affirme ainsi : « La démocratie telle qu’on la connaît, c’est terminé. La démocratie représentative ne marche pas. Les formes nouvelles de Thierry Danet post-démocratie qui sont en train de s’inventer, soit parce qu’elles font participer massivement les Ososphère citoyens, soit parce qu’elle parient sur le fait de nommer des représentants au hasard, ne sont pas la démocratie où on l’entend d’habitude. (…) Ici en Tunisie, ce ne sera pas la démocratie telle qu’on l’entendait au XX e siècle. Ce sera autre chose. Un truc où les citoyens pourront tous participer à la vie politique de la cité et où les différences se feront par les capacités de chaque citoyen à influencer les autres, à rassembler les gens, à faire du buzz etc. Mais il faudra trouver un autre mot que démocratie. »
A l’invitation de l’Ososphère, Musiques & Cultures Digitales a assisté au premier Forum mondial de la Démocratie de Strasbourg, et nos équipes conjointes ont suivi les débats sur la crise de la représentation politique et les défis démocratiques liés aux inégalités sociales. Ce tiré à part met l’accent sur les artistes qui investissent les réseaux et contribuent à la création de DIRECTRICE DEd’expression LA RÉDACTION zones d’autonomie temporaires et nouveaux espaces démocratiques. D’autres artistes multimédia se réapproprient l’espace public à l’instar des activistes sociaux et politiques. Mention ANNE-CÉCILE WORMS spéciale à Peter Kennard, figure de l’artiste engagé, et à Krzysztof Wodiczko, qui donne lui aussi la parole à ceux qui ne l’ont pas (vétérans de guerre en femmes de Tijuana, immigrants, sans RÉDACTEUR ENIrak, CHEF domicile fixe…) et transforme l’espace urbain en gigantesque territoire artistique. LAURENT DIOUF A suivre… RÉDACTEURS
Anne-Cécile Worms Musiques & Cultures DIOUF Digitales CECILE BECKER // LAURENT CATALA // LAURENT // EDITOS PAR ANNE-CÉCILE WORMS & THIERRY DANET
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L’Ososphère L’ OPratiques s o s p h èartistiques re autour du numérique dans la ville
Édition 2012 Revue de presse
DNA 07 décembre 2012
S é l e c t i o n r e v u e d e P r e s s e 2 012
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L’Ososphère
autour L’Pratiques O s o s p hartistiques ère du numérique dans la ville
Édition 2012 Revue de presse
DNA 08 décembre 2012
S é l e c t i o n r e v u e d e P r e s s e 2 012
15
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L’ O sosphère L’Ososphère
Pratiques artistiques autour du numérique dans la ville
Édition 2012 Revue de presse
DNA
S é l e c t i o n17rdécembre e v u e d e2012 P r e s s e 2 012
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L’Ososphère Pratiques autour L’ O s o s p h èartistiques re du numérique dans la ville
Édition 2012 Revue de presse
DNA 07 décembre 2012
S é l e c t i o n r e v u e d e P r e s s e 2 012
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L’ O sosphère L’Ososphère
Pratiques artistiques autour du numérique dans la ville
DNA
Édition 2012 Revue de presse
S é l e c t i o n19rjanvier e v u e 2013 d e P r e s s e 2 012
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L’Ososphère Pratiques artistiques autour L’du O numérique s o s p h è r edans la ville
Édition 2012 Revue de presse
01 mars 2013
S é l e c t i o n r e v u e d e P r e s s e 2 012
19 21
L’L’Ososphère Ososphère Pratiques artistiques autour du numérique dans la ville
Édition 2012 Revue de presse
DNA S é l e c t i o11n décembre r e v u e d2012 e P r e s s e 2 012
2022
L’ OL’Ososphère sosphère Pratiques artistiques autour du numérique dans la ville
Édition 2012 Revue de presse
DNA S é l e c t i o n 14r edécembre v u e d e 2012 P r e s s e 2 012
23 21
L’Ososphère L’ O sosphère
Édition 2012 Revue de presse
Pratiques artistiques autour du numérique dans la ville
L’Alsace.fr 9 décembre 2012
S é l e c t i o n r e v u e d e P r e s s e 2 012
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le 09/12/2012 à 05:00 par Olivier Brégeard Imprimer
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Offre Habitat, votre réflexe immo en Alsace Vente de maisons dans le Haut-Rhin | Mulhouse | Colmar Vente d'appartements dans le Haut-Rhin | Mulhouse | Colmar
Annonces gratuites Iookaz.com : site d'annonces gratuites La salle des cuves, lieu rétro-futuriste où l’artiste québécois Jean-François Laporte a installé une création visuelle et sonore. Photos Dominique Gutekunst Après une première salve de manifestations en septembre, la treizième édition du festival dédié aux arts numériques donne rendez-vous au Port du Rhin, pour une semaine d’exposition et deux nuits électro.
Des milliers de petites annonces en Alsace dans l’immobilier l'automobile, l'emploi les services à la personne. ¡ ¡
« Cela fait longtemps que l’on s’intéresse à cet endroit », souligne Thierry Danet, debout devant la grande façade vitrée qui donne sur les Malteries du Port du Rhin. L’endroit en question, c’est l’ancienne Cave à vin de la Coop, à Strasbourg, qui accueille pour la première fois, et jusqu’au 16 décembre, l’Ososphère.
¡
Un nouveau rêve se réalise pour le directeur de La Laiterie, concepteur et organisateur, avec ses trois amis d’Artefact, de ce grand rendez-vous strasbourgeois des arts numériques. « Dans le cadre d’Ososphère, nous avons toujours envoyé les artistes dans ce quartier, chercher de la matière pour leurs créations. Il était logique de s’y implanter, un jour ou l’autre, poursuit Thierry Danet. C’est une manière d’accompagner le développement de la ville et de provoquer une rencontre avec ce territoire, que les Strasbourgeois ne connaissent pas, alors qu’il abrite le deuxième port fluvial de France et qu’il va devenir très prisé, au terme des projets immobiliers en cours. »
¡
En pleine crise (lire notamment nos éditions de mercredi 5 décembre), ce n’est qu’en août que la Coop a donné son feu vert, amenant les organisateurs d’Ososphère à reporter le temps fort de cette édition à décembre. Le groupe ne fait que mettre le lieu à disposition, sans engager d’argent, précise Thierry Danet, qui évoque « une communication positive » autour du nom de la société.
¡ ¡ ¡ ¡ ¡ ¡ ¡ ¡ ¡
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Les travaux de mise en conformité du bâtiment, désaffecté depuis 2006, n’ont commencé qu’en septembre : il a fallu réinstaller des garde-corps dans les escaliers, refaire l’étanchéité… Soit quelque 200 000 euros d’aménagements, que les organisateurs espèrent pouvoir rentabiliser sur plusieurs années… Une trentaine de techniciens étaient encore à l’ouvrage mercredi, donnant à l’organisation-même de l’Ososphère un caractère de « performance ». Mais pas question de redécorer le bâtiment : « Il s’agit plutôt de s’y glisser, de dialoguer avec lui. C’est un lieu dessiné par son activité passée, qui recèle plein de trésors. C’est assez beau de jouer avec ça. » Tandis que des vestiges de machines sont encore visibles ici et là, que la vie semble s’être arrêtée du jour au lendemain dans certains recoins, Thierry Danet insiste sur la continuité établie entre l’ancienne fonction de la Cave à vin et le quartier du Port du Rhin d’une part, les créations présentées dans le cadre d’Ososphère d’autre part. Le collectif allemand Robotlab présente ainsi deux robots « échappés » de leur usage industriel : l’un dessine en direct le portrait du visiteur qui s’installe face à elle, le stylo à la main ; l’autre écrit des « manifestes », à chaque fois uniques, en associant de manière aléatoire des termes philosophiques. Autre exemple de convergence : l’installation visuelle et sonore de Jean-François Laporte dans l’étonnante salle des cuves – qui ressemble à la salle de commande d’une vieille centrale nucléaire – une visite à ne pas manquer. Au total, une quarantaine d’artistes ou collectifs sont à l’affiche de cette édition. Certains sont des fidèles
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L’Ososphère L’Pratiques O s o s partistiques hère autour du numérique dans la ville
Rue 89 Strasbourg 7 décembre 2012
Édition 2012 Revue de presse
S é l e c t i o n r e v u e d e P r e s s e 2 012
Prévisions 10 janvier 2013 jour
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par Cécile R. | 10 décembre 2012 | 7:00
A propos de l'auteur
�
Cécile R.
858 visites | 2 commentaires
Pour résumer: passionnée d'art contemporain, aimant lire, écrire et danser, plongeuse le plus souvent possible, workaholic (il faut bien l'admettre avec 2 blogs: lifeproof.fr + un autre sur Rue89 Strasbourg et un travail à temps plein) le tout avec la bougeotte !
P U B L I
ECLORC
C I
T É
EEN TON
Lire tous ses articles Son site internet Lab(au), "Binary Waves" à la Coop. © Lab(au). Photo: CR
NE FFB ERB
Ça y est, l’Ososphère a, à nouveau, débuté et prend cette fois ses quartiers au port autonome de Strasbourg dans le bâtiment anciennement dévoué à la Coop (prononcez [côôôpé]) ou coopérative, institution historique de la distribution alimentaire en Alsace. Au programme : des concerts, des performances et, ce qui nous intéresse maintenant, une exposition !
Rassemblement en faveur des sans-papiers lillois en grève de la faim ce samedi à Strasbourg 10 jan 2013
Plantons le décor : une ancien bâtiment industriel, une friche qui a été abandonnée il y a quelques années et sert depuis d’atelier à quelques artistes. Il s’y trouvait une boucheriecharcuterie, une mercerie, les emballages, l’électroménager mais aussi une cave à vin et une fabrique de pâtes alimentaires. Depuis le 7 décembre et jusqu’au 16, les espaces sont occupés par l’ososphère et de l’art numérique ! Déjà l’an passé ils avaient investi le Môle Seegmuller par une exposition et j’en avais parlé là mais leur parcours le long des berges strasbourgeoises s’est poursuivi et ils ont accosté à la Coop.
Manifestation des taxis de la place de l’Etoile à la place de la République
Croqué par Rue89 Strasbourg, 6 janvier 2013
10 jan 2013
Little Hits, nouvelle compilation gratuite du label Herzfeld 9 jan 2013
Le trafic de l’aéroport de Strasbourg repart à la hausse 9 jan 2013
Recyclez votre sapin de Noël 9 jan 2013
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Manifestation en faveur du mariage pour tous le 19 janvier 8 jan 2013
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Toutes les brèves DERNIÈRES NOTES Cécile Beau, "C=1√PX" au premier plan. © Cécile Beau. Au second plan: Cécile Babiole, "Pixels". © Cécile Babiole. Photo: CR.
Là, l’exposition n’a pas lieu sur un étage mais sur trois. On déambule entre les étages, les œuvres : découvertes en perspective ! Tout d’abord, le premier étage avec plusieurs
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Pour résumer: passionnée d'art contemporain, aimant lire, écrire et danser, plongeuse le plus souvent possible, workaholic (il faut bien l'admettre avec 2 blogs: lifeproof.fr + un autre sur Rue89 Strasbourg et un travail à temps plein) le tout avec la bougeotte !
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Lire tous ses articles Son site internet Lab(au), "Binary Waves" à la Coop. © Lab(au). Photo: CR
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Ça y est, l’Ososphère a, à nouveau, débuté et prend cette fois ses quartiers au port autonome de Strasbourg dans le bâtiment anciennement dévoué à la Coop (prononcez [côôôpé]) ou coopérative, institution historique de la distribution alimentaire en Alsace. Au programme : des concerts, des performances et, ce qui nous intéresse maintenant, une exposition !
Rassemblement en faveur des sans-papiers lillois en grève de la faim ce samedi à Strasbourg 10 jan 2013
Plantons le décor : une ancien bâtiment industriel, une friche qui a été abandonnée il y a quelques années et sert depuis d’atelier à quelques artistes. Il s’y trouvait une boucheriecharcuterie, une mercerie, les emballages, l’électroménager mais aussi une cave à vin et une fabrique de pâtes alimentaires. Depuis le 7 décembre et jusqu’au 16, les espaces sont occupés par l’ososphère et de l’art numérique ! Déjà l’an passé ils avaient investi le Môle Seegmuller par une exposition et j’en avais parlé là mais leur parcours le long des berges strasbourgeoises s’est poursuivi et ils ont accosté à la Coop.
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Quand la culture et Ososphère apportent leur pierre à l'édifice NOUVEAU : Pour partager et réagir à
l'actualité avec vos amis, c'est très Publié le 7 décembre 2012. 0 simple ! contributions - Connectez-vous avec votre compte facebook sur 20minutes.fr. Une personne recommande ça. Sign Up pour Tweeter Recommander - Retrouvez les articles que vous avez voir ce que vos amis recommandent. consultés. - Choisissez ceux vous L'arrivée temporaire du festival Ososphère dans les 14 que 000 m² de souhaitez l'ancienne cave Plus gros | Plus petit publier sur votre mur. à vins de la Coop pose la question de l'ancrage à plus long terme de la Laiterie Rejoignez-nous ! dans un quartier du Port du Rhin encore excentré mais au cœur des plans de développement de la municipalité. Pour Thierry Danet, le patron de la Laiterie et EMPLOI En partenariat avec d'Ososphère, c'est une envie très forte, avec « un projet inscrit dans la trajectoire Monster.fr de la ville, sur un site à la grâce façonnée par l'usage. » D'autant que des travaux de mise aux normes et d'assainissement ont été entrepris pour accueillir le festival jusqu'au 16décembre. Mais les conjectures, pour l'heure, s'arrêtent là puisque cet espace industriel reste la propriété de la Coop. Françoise Buffet se réjouit toutefois de « cette opportunité à la croisée des enjeux géographique,
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électro Le festival Ososphère s'installe à la Coop Installation Velux Voilà une façon de ressusciter une tradition propre aux musiques électroniques:
EMPLOI En partenariat avec Monster.fr
investir des friches et des cathédrales industrielles sur des terres à l'apparence inhospitalière. C'est ce que réalise le festival Ososphère, avec ses deux nuits électroniques vendredi et samedi. L'héritage des free parties C'est en plein cœur du quartier dépouillé du Port du Rhin, à quelques mètres de la frontière allemande et du port autonome, que se dresse l'ancienne cave à vins
Renseignez vous simplement et gratuitement sur les solutions VELUX toits plats ! » Cliquez ici
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Etienne de Crécy a mis le feu aux "Nuits Électroniques" de l'Ososphère
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Pour la première fois, le festival Ososphère organise les 14 et 15 décembre deux Nuits Électroniques sur le site de la Coop au Port du Rhin. 2000 fans de techno étaient présents vendredi soir pour suivre le show d'Etienne de Crécy. Publié le 15/12/2012 | 11:03, mis à jour le 17/12/2012 | 10:02
12/13 Alsace Toute l'actualité de la région Alsace. Toutes vos émissions sur pluzz
© Chaude ambiance vendredi soir pour la première nuit électronique au Port du Rhin
Le festival Ososphère a pris ses quartiers au Port du Rhin, plus précisément dans l'ancien chais de la Coop. Cet immense manoir industriel s'est transformé en dancefloor vendredi et cette nuit encore à l'occasion de deux "Nuits Electroniques". Deux nuits de concerts électroniques accompagnées de performances numériques.
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Trafic de cigarettes : les douaniers font u Lorraine
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Trafic de cigarettes : les douaniers font u Lorraine LA QUESTION DU JOUR
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A Gémonville, dans la nuit de mar Faites-vous les soldes sur internet mercredi, un homme a tiré sur son
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• oui A 10 h 45 : fin de ralentissement Ta • non opération escargot aujourd'hui sur l'A 31
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MARIAGE PRIN SUPPLÉMENT ECONOMIE &
JOURNA LES "PORTFOLIOS" DE NOS PH Kavinsky, l’une des têtes d’affiche du volet muscial du festival. Photo DR 1/2
SUPPLÉMENT ECONOMIE & L'ÉCOLE
PARCOURS ARTISTIQUE, performances, nuits de concerts électroniques : le festival Ososphère Kavinsky, l’une des têtes d’affiche du volet muscial du festival. Photo DR renoue ce week-end avec sa forme originelle en investissant un lieu unique, en l’occurrence le 1/2 site de la Coop. C’est dans d’anciens bâtiments industriels de la célèbre enseigne de distribution, situés au Port du Rhin, aux portes de la capitale alsacienne, que se concentreront les festivités de
l a 1 3 e édition de la manifestation, dédiée « aux pratiques artistiques émergentes de l’ère numérique et à leur rapport avec la ville (musiques, arts visuels, arts en réseau, spectacles Generated withnet www.html-to-pdf.net vivants, arts, architecture et design) ».
LES "PORTFOLIOS" DE NOS PH CONCOURS FRANÇOI
L'ÉCOLE MEUSE : LE CALENDRIER D
VISITES D’EXPOS EN FAMILLE Côté musiques électroniques, trois dance floor seront à la disposition des noctambules les 14 et 15 décembre, avec une quinzaine d’artistes aux platines, dont les renommés Ettienne de Crécy et Kavinsky. En attendant, les œuvres d’une cinquantaine d’artistes évoluant dans la sphère des arts PARCOURS ARTISTIQUE, performances, nuits de concerts électroniques : le festival Ososphère plastiques, sonores, numériques sont à l’affiche dès ce vendredi. L’accès aux expositions est renoue week-end avec sa forme originelle en investissant un lieu unique, en l’occurrence le gratuite.ceL’Ososphère propose même des visites « familles » gratuites, les samedi 8 et 15 et les site de la Coop. C’est dans d’anciens bâtiments industriels de la célèbre enseigne de distribution, dimanches 9 et 16 décembre. Inscriptions sur le site http://www.ososphere.org/2012/visitessitués au Port du Rhin, aux portes de la capitale alsacienne, que se concentreront les festivités de dediees/. Également au programme, des performances, des « croisières sonores » sur les canaux de la ville, ainsi qu’une radio temporaire à écouter en streaming audio sur www.ososphere.org et wwww.radioenconstruction.com.
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À LA UNE Strasbourg : Ososphère pour un week-end
VIDÉOS
Vendredi 14 décembre 2012 | 16h28 L’Ososphère se déroule encore ce week-end à Strasbourg. Il constitue une plateforme dédiée aux champs des pratiques artistiques émergentes de l’ère numérique et à leur rapport avec la ville.
L'avenir de la télé L'Ososphère est la convergence des musiques, arts visuels, arts en réseau, spectacles vivants, net arts, architecture et design. Après 3 nuits de concerts à La Laiterie les 28 et 29 septembre et le 6 octobre, après avoir investit l'Aubette en septembre et octobre, après avoir participé au Forum mondial de la Démocratie, l'Ososphère a investit le site de La Coop au port du Rhin, du 7 au 16 décembre.
L'OSOSPHÈRE À LA COOP
Pour un monde de
La Coop accueillera un parcours artistique, un programme de performances, un café conversatoire et deux nuits de concerts électroniques.
solidaire
Radio En Construction déploiera cette année encore ses studios mobiles pour créer une radio temporaire, alimentée en direct depuis le site de La Coop. Cette session réintégrera les échos de ce qui se sera joué durant ces 81 jours à Strasbourg et explorera les territoires de La Coop et du Port du Rhin. Ce programme radiophonique thématique sera retransmis sur Internet en streaming audio (accès sur www.ososphere.org et wwww.radioenconstruction.com). L'Ososphère propose des "Visites Familles" gratuites le samedi 15 et le dimanche 16 décembre (inscriptions sur le site : http://www.ososphere.org/2012/visitesdediees/ . < retour à la liste
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La salle bleue – pièce magistrale -, ancienne cave à vins, mise en sons et en lumières par l'artiste Jean-François Laporte avec son installation Tremblement de mer "Mutation" © Eric Antoine
Il fallait y être, et heureusement, il vous reste encore deux jours pour profiter des expositions et installations du festival de l’Ososphère, ce samedi agrémenté d’une deuxième nuit électronique. L’occasion de découvrir cette magistrale zone de La Coop par le prisme des arts numériques. Un parcours unique, des installations impressionnantes, une vision de Strasbourg réjouissante : une bouffée d’air frais. Il y a quelques mois, nous apprenions que l’Ososphère allait prendre ses quartiers à la Coop : la Coop, mais quelle Coop ? Celle juste derrière nous, juste après le pont, au Port du Rhin. L’annonce nous laissait presque de marbre tant ce paysage était inexistant du moins dans nos conscience, et puis graduellement, l’espace a commencé à s’installer. Il est apparu sur des programmes, dans les magazines, et là, nous avons compris l’importance d’une telle habitation. Au fur et à mesure des semaines, la Coop a repris la place qu’elle occupait dans l’urbanisme strasbourgeois : là pas très loin de Kehl, plus très loin du centre ville. Elle était là, bien là, la voilà revenue s’installant alors par là même dans un futur, plutôt proche.
ZUT ! EN LIGNE
Pour le Zut ! Strasbourg #16, je me suis rendue sur les lieux, encore vides. Un bâtiment d’embouteillage, une cave à vins, une siroterie : superbe. Les travaux étaient encore en cours, il fallait imaginer ce que le festival pouvait en faire : entreprise difficile. Le 7 décembre vite arrivé, le premier bâtiment s’offre à notre vision : chaque fenêtre est mise en couleurs grâce à des néons. Il faut marcher quelques minutes pour arriver dans le bâtiment principal du festival de l’Ososphère, en passant devant deux magic mirrors qui accueillent deux des trois dancefloors des nuits électroniques. Quelques marches métalliques plus haut : le premier espace d’exposition aménagé d’installations toutes plus intrigantes les unes que les autres. La première à nous accueillir émet les bruits des split-flaps des gares d’antan. En se plaçant au centre du cercle de split-flaps réalisé par le studio artistique Lab[au], le spectateur est confronté à une composition cinétique variable : entre motifs graphiques et sonores. Comme si la machine tentait de laisser des messages à celui qui la regarde, on distingue parfois des « Hey » qui disparaissent pour laisser place à d’autres assemblages de lettres, compréhensibles ou non.
MODE
Signal to Noise, une installation par le studio artistique belge Labau. © Eric Antoine
Quelques mètres plus loin, un robot au bras articulé dessine : comme une fable (Autoportrait par le collectif Robotlab). Les robots prendront-ils un jour la place de l’artiste ? Chaque installation nous amène à nous poser des questions sur la place de l’homme au centre de ces arts numériques. Les artistes tentent de contrôler les machines, et les nouvelles technologies pour nous faire des propositions uniques. Entre le premier et le deuxième étage, la cave à vins, pièce maîtresse. Cette salle étrange remplie de cuves liées les unes aux autres a été revisitée par l’artiste Jean-François Laporte. Trois grandes planches métalliques sont accolées à des baffles et tremblent en émettant un bruit sec à chaque son. Au centre, une boule surélevée donne l’impression de réagir par la lumière à ces tremblements. Une pièce à voir de nuit qui
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L’Ososphère Pratiques artistiques autour du numérique dans la ville
eurs mais bien ici | Zut !
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Édition 2012 Revue de presse
L’ O s o s p h è r e
Zut ! décembre 2012
S é l e c t i o n r e v u e d e P r e s s e 2 012
http://zut-magazine.com/coop-ososphere-exposition-concer...
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AILLEURS MAIS BIEN ICI
SUIVEZ-NOUS !
La salle bleue – pièce magistrale -, ancienne cave à vins, mise en sons et en lumières par l'artiste Jean-François Laporte avec son installation Tremblement de mer "Mutation" © Eric Antoine
Il fallait y être, et heureusement, il vous reste encore deux jours pour profiter des expositions et installations du festival de l’Ososphère, ce samedi agrémenté d’une deuxième nuit électronique. L’occasion de découvrir cette magistrale zone de La Coop par le prisme des arts numériques. Un parcours unique, des installations impressionnantes, une vision de Strasbourg réjouissante : une bouffée d’air frais. Il y a quelques mois, nous apprenions que l’Ososphère allait prendre ses quartiers à la Coop : la Coop, mais quelle Coop ? Celle juste derrière nous, juste après le pont, au Port du Rhin. L’annonce nous laissait presque de marbre tant ce paysage était inexistant du moins dans nos conscience, et puis graduellement, l’espace a commencé à s’installer. Il est apparu sur des programmes, dans les magazines, et là, nous avons compris l’importance d’une telle habitation. Au fur et à mesure des semaines, la Coop a repris la place qu’elle occupait dans l’urbanisme strasbourgeois : là pas très loin de Kehl, plus très loin du centre ville. Elle était là, bien là, la voilà revenue s’installant alors par là même dans un futur, plutôt proche.
ZUT ! EN LIGNE
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Pour le Zut ! Strasbourg #16, je me suis rendue sur les lieux, encore vides. Un bâtiment d’embouteillage, une cave à vins, une siroterie : superbe. Les travaux étaient encore en cours, il fallait imaginer ce que le festival pouvait en faire : entreprise difficile. Le 7 décembre vite arrivé, le premier bâtiment s’offre à notre vision : chaque fenêtre est mise en couleurs grâce à des néons. Il faut marcher quelques minutes pour arriver dans le bâtiment principal du festival de l’Ososphère, en passant devant deux magic mirrors qui accueillent deux des trois dancefloors des nuits électroniques. Quelques marches métalliques plus haut : le premier espace d’exposition aménagé d’installations toutes plus intrigantes les unes que les autres. La première à nous accueillir émet les bruits des split-flaps des gares d’antan. En se plaçant au centre du cercle de split-flaps réalisé par le studio artistique Lab[au], le spectateur est confronté à une composition cinétique variable : entre motifs graphiques et sonores. Comme si la machine tentait de laisser des messages à celui qui la regarde, on distingue parfois des « Hey » qui disparaissent pour laisser place à d’autres assemblages de lettres, compréhensibles ou non.
MODE
Signal to Noise, une installation par le studio artistique belge Labau. © Eric Antoine
Quelques mètres plus loin, un robot au bras articulé dessine : comme une fable (Autoportrait par le collectif Robotlab). Les robots prendront-ils un jour la place de l’artiste ? Chaque installation nous amène à nous poser des questions sur la place de l’homme au centre de ces arts numériques. Les artistes tentent de contrôler les machines, et les nouvelles technologies pour nous faire des propositions uniques. Entre le premier et le deuxième étage, la cave à vins, pièce maîtresse. Cette salle étrange remplie de cuves liées les unes aux autres a été revisitée par l’artiste Jean-François Laporte. Trois grandes planches métalliques sont accolées à des baffles et tremblent en émettant un bruit sec à chaque son. Au centre, une boule surélevée donne l’impression de réagir par la lumière à ces tremblements. Une pièce à voir de nuit qui
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aJ a sueJ , a u6!a sua ,7 ^spJ e6aJ sa ] sno, aJ !l l e
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Ja !]aJ l !op !nb 'P l Ol ua ]4a>l e,nbsn! anpuala 'heM w eJl np a au6!l el : ,uaw addolai\ap a
ap ]!l no Ja!w aJd au!ow !J, ed uos ap ,a aJ !o,s! uos ap 'a! deJ 6oa6 es J ed aau!w Ja,ap 'aJdo-id
al !l ua p! uos e la a ]lnq a un a u iJ o auoz a nb ey>
a, !s np sa, u!eJl uo> sap !l ed l ue !l ua lsa,] si an u!eqJ n l ua uiaddo lana p a p a nb!6ol a un
Jasuad la aJ !enl iod anb!w ouo, a aJq!]!nba,] J al adsa! : !l >a !qO ^ J a,ad paJ ]t ( a,s!6eshed Ja!lJ enb np i nal>ai !p ew a >s un,p uo!l es!]eaJ
el l ua ! uo> 'l4a>l a p a l!ii el >ane l e!J eualJ ed
'a l!i\ el Jai 6al u! e,nb apuew ap au alos! u!eq -J n a>edsa la> ^6J noqseJ,S ap Jn, n a] saauue sanb]anb s!ndap alJod la an!l e l sa ccauiol ue > >
< <^ J !J hno>ap aJ !o/ a] ap a!hua suoho snou J a!l -!qo ulul! a u!ou!lJ ) Dd a> a 'unuluio J a!oJ d un
dooJ Jadhn saholduia,p a u!el ua
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suadsns ua a, saJ !nb J nl n un
na!] a> >ane !a6ue a l uoJ pua!'i sals! e sap 'a q uia>a P e l ne L na ^doo3 el e ali od >! q
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-J ad 'suo il isodxa l uesodoJ d h ua a nb!dhl e
l uOl nO J no1 o !nb siow 'a!J a6uo O,] aJh[o,nb !nla J a nb l ua a p u!n qJ n al ol 3a ds > > suep
< < ai aqdsosO,l ap lohiJsa/ al i allol su! s oh no a6Dllia, noqw a,p ioq a J a w w oJ Oe saauuo
J nod ]oap i > > a a pisuo ]! nb 'a] elsui eTap anbilsilJ e neaJi al a] i ns l ueseq as laJ >uo> ,a T
'in] za43 < <sanbilsiuoqJn suoixa]/aJ sap J allol sui
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Signal to Noise, une installation par le studio artistique belge Labau. © Eric Antoine
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Il y a quelques mois, nous apprenions que l’Ososphère allait prendre ses quartiers à la Coop : la Coop,
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boule surélevée donne l’impression de réagir par la lumière à ces tremblements. Une pièce à voir de nuit qui métalliques sont accolées à des baffles et tremblent en émettant un bruit sec à chaque son. Au centre, une liées les unes aux autres a été revisitée par l’artiste Jean-François Laporte. Trois grandes planches Entre le premier et le deuxième étage, la cave à vins, pièce maîtresse. Cette salle étrange remplie de cuves contrôler les machines, et les nouvelles technologies pour nous faire des propositions uniques. poser des questions sur la place de l’homme au centre de ces arts numériques. Les artistes tentent de Robotlab). Les robots prendront-ils un jour la place de l’artiste ? Chaque installation nous amène à nous
Quelques mètres plus loin, un robot au bras articulé dessine : comme une fable (Autoportrait par le collectif
MODE
des « Hey » qui disparaissent pour laisser place à d’autres assemblages de lettres, compréhensibles ou non. et sonores. Comme si la machine tentait de laisser des messages à celui qui la regarde, on distingue parfois artistique Lab[au], le spectateur est confronté à une composition cinétique variable : entre motifs graphiques des split-flaps des gares d’antan. En se plaçant au centre du cercle de split-flaps réalisé par le studio d’installations toutes plus intrigantes les unes que les autres. La première à nous accueillir émet les bruits électroniques. Quelques marches métalliques plus haut : le premier espace d’exposition aménagé l’Ososphère, en passant devant deux magic mirrors qui accueillent deux des trois dancefloors des nuits Les travaux étaient encore en cours, il fallait imaginer ce que le festival pouvait en faire : entreprise difficile. cave à vins, une siroterie : superbe. Pour le Zut ! Strasbourg #16, je me suis rendue sur les lieux, encore vides. Un bâtiment d’embouteillage, une bien là, la voilà revenue s’installant alors par là même dans un futur, plutôt proche. occupait dans l’urbanisme strasbourgeois : là pas très loin de Kehl, plus très loin du centre ville. Elle était là, compris l’importance d’une telle habitation. Au fur et à mesure des semaines, la Coop a repris la place qu’elle l’espace a commencé à s’installer. Il est apparu sur des programmes, dans les magazines, et là, nous avons presque de marbre tant ce paysage était inexistant du moins dans nos conscience, et puis graduellement, mais quelle Coop ? Celle juste derrière nous, juste après le pont, au Port du Rhin. L’annonce nous laissait parcours unique, des installations impressionnantes, une vision de Strasbourg réjouissante : une L’occasion de découvrir cette magistrale zone de La Coop par le prisme des arts numériques. Un installations du festival de l’Ososphère, ce samedi agrémenté d’une deuxième nuit électronique. Il fallait y être, et heureusement, il vous reste encore deux jours pour profiter des expositions et La salle bleue – pièce magistrale -, ancienne cave à vins, mise en sons et en lumières par l'artiste Jean-François Laporte avec son installation Tremblement de mer "Mutation" © Eric Antoine
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L’Ososphère Pratiques artistiques autour Ailleurs mais bien | Zut ! duicinumérique dans la ville
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L’ O s o s p h è r e
Zut ! décembre 2012
S é l e c t i o n r e v u e d e P r e s s e 2 012
L’Ososphère L’ O s Pratiques o s p h è r eartistiques autour du numérique dans la ville
Zut ! décembre 2012
Édition 2012 Revue de presse
S é l e c t i o n r e v u e d e P r e s s e 2 012
par Cecile B eck er phot o : Christophe U rbain
f ocu s
L 'O S O S P H E R E A L A C O O P .
n uits lect r on iqu es. exposit ion s. p erf or man ces du 7 au l 6 decembr e. l . r ue de la Coop rat iv e au P or t du R h in
S trasbourg.
w w w .ososph ere.or g
N i fr ich e
.
n l
sou m iss
L e P or t du R hin, on le voit pas, m ais il sufFit simplement de se r etourner .
Cet en dr oit m conn u des S tr asbourgeois, r egor ge de biitiments sublimes
qui nous r am nent
l 'histoir e de l a v ill e et nous donnent
penser h son f utur
P armi eux, L a Coop, que l 'Ososph r e investit durant l Oj ours. Visite.
c
Le voici devant nous le chai construit par A dolphe Schul
et v id en 2006 avec sa baie v itr e qui v ient scander la faCade
du batiment. L'acc s principal n'est pas visible encore empli de verdures, autour, deux chapiteaux seront in stall s et
nous avons d
faire ent rer un dancefloor. L a secur ite et l 'accessibilit e ont
t Ies premiers param tres techniques
f or m er on t deux des t r oi s d an cef l o or s. L e t r oi si m e, au
lVous avons vraiment cherche
p our ra accueillir que 500 person n es. A ussi beau soit-il, ce
ne sommes pas insensibles
rez-de-chauss e du chai parsem de colon n es de b ton , ne
b timent n cessite qu'on s' apte lui : La probt matique a ete inverse, exp' que Thierry Danet, directeur de l'Ososph re
lVous sommes partis d 'une logique d 'exposition dans laquelle
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faire comprendre
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esp ace d'exp osit ion av ec ces fam eu ses baies v itr es ouv r n t sur u n
territoire industriel, la siroterie et un espace term qui accueiUera le cat
conversatoire. Un peu plus haut , surprise : un enchainem ent de cuv es reli es dan s lesquelles taien t st ock
l e v in . D e s e s cal i e r s t ou t a u t o u r , au
cen t re, un bur eau com m e suspen du o le tem ps s'est arr t . U n e bouteille
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de v in t r a n e en cor e su r la table , da n s
quelquessemainesl'art sonoredeJ eanF ranFois L aporte v ien dra lui repon dre.
d u l i e u : P a u l S ou v i r on e t A n t oi n e
quarantaine d'artistes s'impr gneront
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Lejolivet avec leur Super Surfaces, des ca t al ogu es m et t a n t en lu m i re
d es l i en s f or m el s, con cep t u el s et
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quiseratransform enbotenoirepour
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t age, un espace ouv er t
c e l u i d u r e z -d e -c h a u s s e
le besoin des exp osition s. P lus d'un e
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sem bl ab le
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dire. N ous
son histoire. u Au premier tage, un premier
A u t roi si m e '
U n travail
l equipe de L a Coop que
nous ne voutions pas t rii[vestir le lieu. Ce biit iment a des choses
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^l ' :
l-i'!^.
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prendre en compte.
de titan , mais aussi de con servation . Th ierry Danet poursuit : ^ L es discussions se sont ouvertes en mars et nous avons eu la r ponse en aoiit.
' 'h '
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eo n t e x t u e l s o u A n t o i n e S c h m i t t e t s o n
City L ig hts O rchestra , sy m ph on ie de
lu m i r e s su r o r din a t eu r s . S a n s o u b lier
la musi que av ec E ti en n e de Cr cy,
en t r e a u t r es, l
14 d cem b r e et la
ne
quip e K om pak t , B reakbot , K av in sky
ou en core Pachanga B oys le lendemain
Chn st ne O ft viendra clore ces 10 ]ours
accompagn e de Serv ov alv e pour une
cr ation m u sicale et graphique. E nt re
d couv er t e du lieu , per f or m an ces, ekposit ions et con cer t s, un program m e
den se et r jouissant . $
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S é l e c t i o njanvier r e v u2013 e d e P r e s s e 2 012
COZE Édition 2012 Revue de presse
L’ O s o s p h è r e
L’Ososphère Pratiques artistiques autour du numérique dans la ville
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Lifeproof janvier 2013
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PaGAGnini CIE YLLANA (TOUT PUBLIC DÈS 10 ANS)
© Yllana
s noir, parfois rouge ssi ludique et savouujets sérieux.
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metz.fr
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nicipal de musique
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Trois musiciens espagnols déjantés, lauréats de prestigieux prix de festivals internationaux, mêlent habilement leur génie humoristique au talent du violoniste virtuose Ara Malikian pour un spectacle musical délirant qui révise quelques moments de la musique classique fondus avec des standards de la pop. � 20 h 30 - Mardi 15 janvier
Country Show avec Texas Sidestep
L'Ososphère, 13e édition Née en 1998, l’Ososphère est une manifestation qui se consacre aux partiques artistiques intégrant les enjeux du numérique et accompagne la trajectoire de Strasbourg, ville qu’elle habite et qui l’inspire. La prochaine étape de la trajectoire de l'Ososphère se déploiera du 7 au 16 décembre sur le site de La Coop au Port du Rhin. L’Ososphère en épousera la poétique et les beautés et y installera in situ – dans le bâtiment de La Cave à Vin – un parcours consacré aux pratiques artistiques intégrant les enjeux du numérique et le désormais traditionnel café-conversatoire. L’Ososphère y proposera également un programme de performances, sets conversatoires, croisières sonores, deux nuits de concerts électroniques (les 14 et 15 décembre) et des impromptus.
Nuit électronique #5 Etienne de Crecy / Joris Delacroix / Dirtyblond3 (dance floor 1 , 22 €) ; Crystal Distortion / Ixindamix / 69DB / Jeff23 / Meltdown Mickey / VJ Feenix 13 (dance floor 2, 18 €) ; Julian Jeweil / Noob / Christine / Madben / Ben Watts (dance floor 3, 10 €) 35 €/nuit � Vendredi 14 décembre
Nuit électronique #6 Breakbot / Kavinsky / DJ Pone / Irfane / DVNO (dance floor 1, 22 €) ; Kode9 / Gramatik / French Fries b2b Bambounou / Valymo (dance floor 2, 18 €) ; Kompakt All night long avec Pachanga Boys, Superpitcher et Rebolledo, Robag Wruhme, Barnt, Mohn (dance floor 3, 10 €) 35 €/nuit � Samedi 15 décembre
Rens. www.ososphere.org Tous les événements proposés par l'Ososphère, à part les concerts, sont gratuits. Les croisières sonores se font sur inscription. Pour les concerts à La Coop, un système de billetterie par Dance Floor et de pass soirée a été mis en place http://billetterie.artefact.org/search/ STRASBOURG � Du 7 au 16 décembre
Malka Spigel, concert-performance d’ouverture le 7 décembre à 20 h Installation “Tropique” d’Etienne Rey
Texas Sidestep réunit tous les instruments typiques de la musique country. Leur répertoire, en constante évolution, est constitué des plus belles chansons des superstars actuelles de la new-country : Alan Jackson, George Strait, Tracy Lawrence, Randy Travis, Alabama, Brad Paisley, Mark Chesnutt, les Dixie Chicks et bien d’autres. � 20 h 30 - Vendredi 1er février
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Spectacles / TOUTE L’ACTUALITÉ CULTURELLE DE VOTRE VILLE / page 23
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L’ OL’Ososphère sosphère
Édition 2012 Revue de presse
Pratiques artistiques autour du numérique dans la ville
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L'Ososphère à Strasbourg | Les festivals de musiques à Strasbourg | Strasbourg.eu
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L'Ososphère à Strasbourg
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L'OSOSPHÈRE À STRASBOURG
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L'Ososphère persiste et signe… et revient sous de nouveaux atours au mois de septembre.
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Événement pluridisciplinaire majeur et singulier, d'envergure nationale et internationale, l'Ososphère développe depuis sa création en 1997 une plateforme de création, production et diffusion des nouvelles formes artistiques- notamment celles qui interrogent les nouvelles technologies et les usages de la création numérique et leur lien au territoire et à ses habitants. L'Ososphère ne s'est jamais considérée comme une forme figée mais comme un objet pop - objet humain, artistique, culturel, urbain voire urbanistique, objet de ville réagissant en temps réel aux contextes qu'il traverse, à Strasbourg qui l'inspire et aux territoires qu'il inspire, à l'époque dans laquelle il est plongé et aux situations qu'il crée.
Billetterie Les billets sont également en vente à la Boutique Culture.
Article du site de la Ville et de la Communauté urbaine de Strasbourg, www.strasbourg.eu
Ville et Communauté urbaine de Strasbourg Centre administratif 1 parc de l’Étoile 67076 Strasbourg Cédex Tel. +33(0)3 88 60 90 90
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L’OSOSPHÈRE
L’ OL’Ososphère sosphère
Pratiques artistiques autour Retour du numériqueen dans ville la ville
Édition 2012 Édition é l6eoctobre c t i o n r e v u e d e P r e s s e 2 012 Du 2012 26 septembre Sau Revue de presse
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L’Ososphère Pratiques artistiques autour du numérique dans la ville
Édition 2012 Revue de presse
S é l e c t i o nDNA r e v u e d e P r e s s e 2 012 septembre-octobre 2012
26/09/2012 Festival - Thierry Danet « Ososphère, un espace public »
Thierry Danet. Photo DNA – Milan Szypura.
Initiateur/concepteur/programmateur de L’Ososphère, Thierry Danet évoque la philosophie de la manifestation en quelques questions. À l’origine Ososphère était un festival consacré aux musiques électroniques, aujourd’hui les arts numériques ont pris davantage de place. Comment expliquez-vous cette évolution ? « En 2011, le festival est entré dans une nouvelle phase. Jusqu’à présent, l’Ososphère s’était plutôt inscrite dans un format d’objet pop basé sur l’immédiateté, les expositions se limitant notamment à l’espace-temps de cette paire de nuits à dominante musicale donnant son nom à la manifestation. Cette force de l’éphémère, constitutive d’un certain esprit du festival, avait en effet atteint certaines limites : Il y avait une véritable demande de pouvoir voir les expositions dans des conditions où l’on pouvait prendre son temps, et pas forcément en plein milieu de la nuit.
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L’Ososphère Pratiques artistiques autour du numérique dans la ville
Édition 2012 Revue de presse
S é l e c t i o nDNA r e v u e d e P r e s s e 2 012 septembre-octobre 2012
Et l’Ososphère, c’est et c’était une occasion de parler de la ville, de créer un bout de bout de ville qui regarde le reste de la cité. » Qu’est-ce qui vous passionne lorsque vous échafaudez la programmation ? « Bien plus que ce que l’on appelle la création numérique, c’est l’émotion permise par elle qui nous intéresse. L’important n’est pas que notre programme soit articulé autour des nouvelles technologies. L’important est d’affirmer que ces formes d’expression appartiennent à l’art et à la culture pop, tout simplement. Notre focus se situe surtout sur les résultats artistiques et pas seulement sur les innovations technologiques. Au début d’Internet, on trouvait tout un tas de créateurs qui n’avaient leur place nulle part. Notre idée a été de ramener cette énergie dans l’espace public. Ososphère, c’est un espace public. Dès sa première édition, il y avait un habillage visuel, une scénographie. Ce champ-là était quasivierge. Notre place était se saisir de proposer une surface et un récit qui se nourrisse de lui-même et se développe. Nous nous sommes intéressés à la façon dont les artistes se saisissent des enjeux numériques, de la matière numérique, du média. Très tôt, ils ont perçu comment notre société allait être impactée. L’idée d’Oso était d’articuler tout cela. Nos références sont à chercher entre la Factory de Warhol et la Factory à Manchester. En décembre, Ososphère investit le site de la Coop au Port du Rhin, après le môle Seegmuller en 2011. Dans quel but ? « Nous voulons accompagner la trajectoire naturelle de la ville vers ce quartier, accompagner également les mutations d’un territoire. C’est aussi l’occasion de se connecter avec un autre public [plus de 20 000 personnes en 2011, Ndlr] et de permettre de porter un regard différent sur une zone en évolution et en construction. Ososphère, c’est un propos choral qui se déploie avec les artistes et les acteurs d’un quartier et d’une ville. C’est un objet global et complexe qui demande de la souplesse dans un double cadre mouvant, celui de l’époque et celui de la cité. À travers le festival, il s’agit de raconter quelque chose, car je crois à l’importance du renouvellement du récit de cette ville de Strasbourg. »
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Rue89 S é l e c t i o n3 octobre r e v u e 2012 d e P r e s s e 2 012
Édition 2012 Revue de presse
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par Lola Juan | 2 octobre 2012 | 10:53
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Journaliste web et critique d'art avec un focus sur l'art contemporain ou l'art (content) (pour) (rien) ! Lire tous ses articles P U B L I
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NE FFB ERB L’Ares a jeté l’éponge au Ziegelwasser
ECLORC
EEN TON
3 déc 2012
Vue de l'installation de Laurent Berger: "Un peu de solitude dans la salle des fêtes". © Laurent Berger
L’ososphère est LA sortie électro de la rentrée à Strasbourg et a eu lieu à La Laiterie le week-end dernier. En parallèle des soirées de concerts, il y a aussi une programmation artistique qui se déroule à l’Aubette 1928 : pour cette rentrée, carte blanche a été donnée au collectif Burstscratch. Les différentes salles de l’Aubette sont plongées dans l’obscurité et éclairées d’une façon très originale.
L’UMP du BasRhin appelle à l’unité (et au calme) 1 déc 2012
Roland Ries change de directeur de cabinet 30 nov 2012
Poursuite du retrait de contrôleurs SNCF et des perturbations sur le TER Alsace
Croqué par Rue89 Strasbourg, 25 novembre 2012
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Lidl déménage en partie son siège de Strasbourg 28 nov 2012
Grève surprise à la SNCF, le trafic TER Alsace fortement perturbé 27 nov 2012 Vue de l'installation de Laurent Berger: "Un peu de solitude dans la salle des fêtes". (Photo Laurent Berger)
Dans la salle des fêtes, vous pourrez vous accorder un moment de solitude avec TSEEURAL Laurent Berger. La pièce est plongée dans l’obscurité et seules les deux
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J u i n 2 011 : S u i t e e t p e r s i s t a n c e s
J u n e 2 011: d e v e l o p m e n t s a n d p e r s i s t e n c e s
i n t e r vi e w d e Thi e rr y D a n e t, d i re c t e u r e t p ro g ra m m a t e u r, d a n s M C D d e j u i n 2011 : l e g u i d e i n t e rn a t i o n a l b i l i n g u e d e s f e s t iva l s dâ&#x20AC;&#x2122;a r t n u m ĂŠ ri q u e. I n t e r v i e w o f T h i e r r y D a n e t i n M C D j u n e 2 011 : the international bilingual guide of digital art festivals.
L’ O s o s p h è r e
Interview Thierry Danet / MCD
MCD (Musiques et Cultures Digitales) #63 / Juin 2011
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Interview Thierry Danet / MCD
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Interview Thierry Danet / MCD
MCD (Musiques et Cultures Digitales) #63 / Juin 2011
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Interview Thierry Danet / MCD
MCD #63 / Juin 2011 (Musiques et Cultures Digitales) Guide bilingue des festivals numériques
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Libération 15/02/2011
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L’Express 02/02/11
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Le Parisien 01/02/11
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DNA :Article du 4/02/11
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DNA :Article du 20/02/11
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DNA :Article du 21/02/11
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DNA : article du 26/02
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Zut! hiver 2011
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« Samedi je me suis rendu au Môle Seegmuller dans le but d'assister à la présentation d'ARTE Creative. Les indications que j'avais sur le lieu et sur la nature de l'événement étaient relativement floues. On m'a parlé de performances multimédia et d'un bâtiment désaffecté en face de l'UGC... Étant curieux de nature, je décidai avec mon colocataire journaliste (Arthur De Laborde Noguez, à qui nous devons ces superbes clichés) de me rendre au Môle plus tôt que prévu. Nous nous retrouvâmes donc à déambuler au milieu d'installations numériques dans cet ancien bâtiments portuaire fermé au public depuis 25 ans. J'ai beaucoup apprécié le côté ghetto et authentique de ce lieu, qui n'est pas sans rappeler les résidences pour artistes qui pullulent à Berlin. A 18h, Alain Bieber prend place au milieu de la salle d'exposition pour une présentation de notre magnifique plateforme créative. Le collectif Encastrable et Céline Trouillet nous ont donné à cette occasion un aperçu de leur travail, avec quelques explications sur leur démarche créative. A la nuit tombée, changement d'ambiance: les néons rouges et les lumières tamisées donnent au lieux un côté irréel et enchanteresque. Le monde se presse à l'entrée pour assister aux performances de Cécile Babiole et Vincent Goudard auxquelles il fallait s'inscrire sur le net. De nouveaux artistes expérimentent le multimédia au Môle Seegmuller tous les soirs à 20h, jusqu'au 20 février. C'est une des dernières occasions de profiter de ce lieu mythique puisqu'il fera l'objet d'une profonde rénovation (destruction) avec la création d'hôtels et de restaurants d'ici 2014. Alors pressez-vous ;) »
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LE POINT
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pratiques artistiques autour du numérique dans la ville
Spécial Strasbourg : Bouillante culture, actualité Régions : Le Point
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DERNIÈRE MINUTE
RÉGIONS Publié le 04/12/2009
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N°1941
14:16 - Développement du cerveau : de nouvelles découvertes
Le Point
14:11 Médecine du travail: le gouvernement présente ses axes de réforme
SPÉCIAL STRASBOURG
Bouillante culture
14:10 DIPLOMATIE - Washington obtient au moins 7.000 soldats alliés pour poursuivre le combat en Afghanistan
Jubilatoire. Festival d'art multimédia, Zombie Walk, artothèque... Strasbourg décoiffe.
14:08 L'Otan suivra Washington avec 7.000 hommes en Afghanistan
Catherine Piettre
Strasbourg, une belle endormie sans la moindre innovation culturelle ? C'est le jugement hâtif porté par beaucoup de VOS OUTILS Strasbourgeois sur la capitale alsacienne, estampillée ville du foie gras et des couche-tôt. Ils ont tort et sans doute ces Imprimez Réagissez Classez mauvaises langues devraient-elles mettre le nez dehors plus souvent. En septembre, par exemple, elles auraient ainsi découvert, au coin de la cathédrale ou du musée d'Art moderne, les performances et installations du dernier festival Ososphère, logées dans les conteneurs du port autonome. « sur Yahoo! Notre ambition était de venir percuter la ville sur le trajet des gens dans leurs déambulations quotidiennes » , explique Thierry Danet, directeur du Festival de musique électronique et d'art numérique. Lancé par La Laiterie en 1998, le concept était alors inédit. L'idée ? Faire des nuits musicales couplées à une réflexion sur la ville et organiser la plus importante exposition française d'art multimédia, à une époque où cet art naissant ne séduisait guère les musées. Depuis, Ososphère a fait des petits : Scopitone à Nantes, Les Nuits sonores à Lyon... Et se renouvelle sans cesse. Essaimer. Toujours en septembre, ces râleurs auraient pu croiser la première Zombie Walk, qui vit défiler des morts-vivants grimés et hurlant, dans le centre-ville. L'événement était organisé par le tout jeune Festival européen du film fantastique de Strasbourg en hommage aux films du genre.
14:07 Polanski est arrivé à Gstaad où il est désormais assigné à résidence 14:06 SUISSE - Libéré sous caution, Roman Polanski est arrivé dans son chalet de Gstaad 24 heures d'infos
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LA CARTE DES VILLES
Ils oublient aussi - ou ignorent - que l'Ecole des arts décoratifs essaime cha que année l'avant-garde artistique du neuvième art. Son atelier d'illustration, qui a accueilli entre autres Blutch ou Marjane Satrapi, continue à former un bataillon de jeunes dessinateurs qui sévissent tous azimuts, de la bande dessinée aux livres pour enfants, reprenant à leur manière le flambeau de Gutenberg et de Tomi Ungerer. Sur un tel terreau, il était logique que prenne racine un nouveau festival de BD, Strasbulles, qui associe les grands noms de la BD franco-belge à ceux des mangas, des manhuas chinois, des fanzines et des microéditeurs. Logique aussi qu'une ville riche d'autant de musées et de structures vouées à l'art mette en place une artothèque grand public, qui ouvrira au printemps 2010 à la médiathèque de Neudorf.
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CHRISTINE OTT VIBRE POUR LES ONDES Curiosité oblige, quand on rencontre Christine Ott, on cherche instinctivement l'instrument magique dans son salon. Las, un simple piano trône entre des étagères débordant de CD et des murs tapissés de photos. Christine Ott l'a mis à l'abri dans une petite pièce entre deux tournées. « Il est fragile, il a souffert des voyages », regrette-t-elle en faisant glisser ses doigts sur le fameux instrument,x qui se compose d'un clavier électronique, de quatre diffuseurs - un haut-parleur, une résonance, un gong et une pièce de lutherie -, qui sont autant d'éléments des ondes Martenot. Créé en 1928 par Maurice Martenot, cet ancêtre du
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COMPTE RENDU
Ososphère vs. Scopitone
Célébration des arts numériques date de publication : 06/10/2009 // 13868 signes
Le mois de septembre 2009 fut électronique. Double regard critique sur cette saison, au travers de deux festivals majeurs : Ososphère, à Strasbourg, et Scopitone, à Nantes, qui ont tout deux pris le parti de mêler, de façon plus ou moins réussie, installations et concerts, arts visuels et musique.
votre pseudo *******
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Ososphère 2009 : entre mues et moues En treize éditions, l’Ososphère est parvenu à exploser ses propres contours, en dépassant les murs de la Laiterie, son écrin originel, pour s’ancrer au cœur même de Strasbourg. De la bande des quatre festivals de la rentrée (aux côtés de Marsatac, Scopitone et du voisin NAME), le raout alsacien est celui qui mène le plus loin la pluridisciplinarité, en articulant des nuits de concerts à la coloration plus ou moins électronique et une exposition éclatée entre plusieurs sites. Des croisières sonores en guise d’afters (initiées par le collectif MU) et des déambulations urbaines destinées au grand public sont venues se greffer au programme, très roboratif et qui n’oubliait pas la scène locale (les vétérans Sun Plexus et les autoproclamés « cyber punk fluo » de Punish Yourself ont ainsi offert de belles leçons de noise baroque, histoire de débuter radicalement les hostilités). Cette année, l’Ososphère partait à la recherche de ses origines, grâce notamment à la proposition de Colin Newman (tête pensante des héros post-punk Wire, déjà présents l’an dernier), Robin Rimbaud (Scanner) et Malka Spiegel (ex-Minimal Compact). Non contents de livrer l’un des meilleurs concerts du festival, le 25 septembre, sous la bannière Githead, le trio, décidément très créatif, a répondu du tac au tac à la carte blanche offerte par Thierry Danet. Lors d’une courte résidence, les trois compères sont allés fouiller dans les interstices de l’histoire locale. Des origines du manifeste situationniste « De la misère en milieu étudiant » aux allers-retours Strasbourg-Manchester via le label Factory (et le groupe Durutti Column) ou encore le souvenir de la scène punk locale, les anecdotes convoquées par « Unknown Cities » sont de jolis contre-feux face à l’institutionnalisation qui guette tout festival solidement implanté. L’histoire la plus spectaculaire est celle de cette femme qui, au XVe siècle, se mit à danser spontanément dans les rues de Strasbourg, bientôt suivie par des dizaines d’autres : une « peste de la danse » qui se prolongea pendant deux mois et causa des morts d’épuisement. Newman, Rimbaud et Spigel ont demandé à une danseuse d’improviser une chorégraphie dans divers lieux de la ville, en référence à la scène originelle de perturbation mêlée de dérive. Les vidéos de cette chorégraphie, signée Marion Cenki, étaient visibles sur les murs de la Laiterie ainsi que dans un container du centre-ville : la bonne idée de ce festival était en effet de proposer une déambulation urbaine à la recherche de cubes rouges, prêtés par le Port autonome, qui hébergeaient des installations souvent ludiques (la plupart du temps jumelles de celles présentées à la Laiterie). Autre habituée de l’Ososphère, l’artiste belge Lydwine Van Der Hulst, qui revenait avec son installation Pan / Aura / Mix dans les travées de Laiterie. Une table de mixage arrangée par ses soins, et donc générative de sons préparés, qui permettait au public de s’essayer au difficile art des bruits. Vincent Elka bénéficie lui aussi de la fidélité du festival. Après le détonnant Sho(u)t en 2008, il montrait cette année Black Grease : le public pénètre dans une pièce plongée dans la pénombre. Des projecteurs balaient des toiles façon griffures aux reflets fluo. Le public est plongé dans une ambiance de coups de feu et de films porno. Le résultat se veut anxiogène (mais pourquoi un micro éteint tombe-t-il du plafond ?). Autre invitée quasi permanente du festival, Cécile Babiole a le cran de se réinventer régulièrement. Sa Control Room est une installation lumineuse qui s’impose aux oreilles, par la retranscription du crissement des rotatives du journal L’Alsace. Un mur composé de 64 carrés rouges perçant l’obscurité et transformant l’endroit en dance-floor d’un nouveau genre (gros succès auprès des clubbers). On aurait aimé que le reste de l’exposition nous happe de la même manière mais, las, cet assemblage d’œuvres (le plus souvent estampillées Fresnoy ou City Sonics, partenariats obligent) se contentait du minimum : on déambulait entre des dispositifs décoratifs (Lucent de David Burroughs, qui décline à l’infini son esthétique des raies de lumière), écolo (les plantes musicales du duo Scenoscome), stéréophoniques (L’harmonie municipale de Sébastien Cabour) ou ludiques (Step to Step de Thierry Fournier) ou vaguement chorégraphiques (IL-120609 de Christian Rizzo, qu’on a connu plus inspiré). Jamais n’étaient abordées frontalement des questions pourtant très présentes dans d’autres festivals siglés arts numériques et recherche (de l’Ars Electronica à Bandits-Mages, le spectre est large) : quid de la surveillance, de l’usage (et donc du détournement) des nouvelles technos, des réseaux sociaux bouffeurs de vie ou des nouvelles relations entre l’homme et la machine ? Les arts dits « numériques » seraient-ils condamnés au simple divertissement ou au souci de bluff technologique ? On aurait aimé que l’exposition de l’Ososphère soit moins déconnectée de ces problématiques pourtant aiguës, au lieu de se contenter d’empiler les œuvres souvent inoffensives, peut-être trop obnubilées par l’effet à produire (on pense aux effets de peinture blanche de Bertrand Planes, censés ressortir d’une démarche critique). Seule détonation dans la nuit strasbourgeoise, le détournement du Creamaster de Matthew Barney par un membre du collectif Ultralab, P. Nicolas Ledoux. Pixellisation à outrance, agrandissements, torsion de l’esthétique de l’Américain, musique de Sunn o))) : Creamaster 15 remix du sur-cinéma grâce à un travail de montage très subtil (signé Mihai Grecu), qui opère comme un miroir grossissant à la poésie brute. De poésie et de grâce, on en trouvait aussi infiniment dans la goutte d’eau musicale de Cécile Beau (Vallen) et dans les stars de l’année (Award of Distinction Digital Musics à l’Ars Electronica 2009) : Nabaz’mob, cet opéra pour 100 lapins communicants signé Jean-Jacques Birgé et Antoine Schmitt a beau circuler à peu près partout (il est en ce moment au Musée des Arts décoratifs), il envoûte toujours autant. Tout comme les calligraphies sonores du duo Vincent Epplay/Sébastien Roux, auteurs cette année de l’excellent album Concatenative Mu, qui plongèrent la petite salle de l’Aubette dans un maelström audiovisuel très enveloppant.
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Gagnez des invitations pour Kitsou Dubois à Reims, le festival des Inaccoutumés et la soirée Scandale ! à Paris, Archie Shepp, Dieudonné Niangouna et Pascal Contet à Annecy. Et toujours, les cinq ans du Point éphémère à Paris, L’Enfer de Marion Aubert à Château-Gontier, les festivals Dansem à Marseille, Arles et Aix-en-Provence, Elektroni[k] en Bretagne, Manca à Nic et Monaco, Hospitalités en Ile-de-France, les Eclats chorégraphiques en Poitou-Charentes, Les Fourberies de Scapin par Omar Porras à Annecy, Thomas Harrison vu p Claude Guerre à Paris et les expositions Brassaï à Nante et Vezzoli à Paris... VOIR LES OFFRES EN DETAIL
The Silent Anagram TELEKASTER Petit bijou de musique baladeuse, en prise directe avec l’imaginaire, The Silent Anagram, premier album de... lire la chronique de ce CD toutes les chroniques CD de la semaine
La chair de l’Ososphère, ce sont aussi et surtout deux nuits de concerts, sis dans les six salles de la Laiterie. Un carton plein (10 000 personnes cette année) dû en grande partie à une programmation très éclatée, bien loin d’un raout tout électronique. A Strasbourg, c’est
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l’énergie qui prévaut, et tant pis pour les subtilités ou les découvertes qu’autoriseraient pourtant la fidélité du public (le songwriting était représenté plutôt dignement par Elvis Perkins et Fredo Viola). Ce cru 2009 reprenait donc une recette éprouvée : savant dosage de vedettes installées (Laurent Garnier en version big band mais aussi les horribles The Orb et autres Tambours du Bronx), de pionniers toujours vaillants (Plaid et leurs broderies hors du temps, Raekwon du Wu-Tang Clan, en pleine bourre old-school), de perdreaux de l’année (SebastiAn,Yuksek, Brodinski et Digitalism dans leurs numéros habituels de roublards Ed Banger-esques, mais aussi le joli live de Nathan Fake ou un DJ set de Jackson façon bigbeat dans une Rocaille déjà échaudée suite à la prestation de DJ Pone) et de branchaga de saison (les protégées de David Lynch, Au Revoir Simone, qui portent bien leur nom, ou encore les inconséquents Naive New Beaters). Hormis la claque Githead (et, dans une moindre mesure, le nouveau live de Danton Eeprom), c’est aux Portugais Buraka Som Sistema qu’on devait les premiers entrechats. Après les cataclysmes post-indus promis par Alec Empire, leur kuduro survitaminé mit enfin le feu aux poudres. Une ferveur qui ne se démentit pas lorsque, dans la foulée, le vétéran de la scène drum’n’bass londonienne, Goldie, sortit de son bac à vinyles des perles 90’s jouissives, pour une fin de nuit très étoilée. Une croisière sonore dont on redemande, tant elle remit les pendules à l’heure. Comme un retour à l’essentiel très bienvenu. Benoît Hické A Nantes, Scopitone donne le ton Du grand Scopitone que cette édition 2009. Les préventes ne s’y étaient d’ailleurs pas trompées puisque le festival affiche complet pour la première fois depuis huit ans. Un succès entièrement mérité. A la Friche, si le nombre des installations numériques s’est restreint par rapport à l’année dernière, les œuvres sont quant à elles nettement plus abouties. Nichées derrière d’épais rideaux noirs, elles jalonnent l’espace démesuré de la halle Alstom, créant un parcours ludique où l’immersion dans l’univers de chaque artiste ou collectif est totale.
Telekaster/Stefan Bünnig, A Shift In Shapes, extrait de l'album Th Silent Anagram (voir CD de la semaine).
Et puisqu’à Scopitone, l’interactivité est de mise, les équipes se sont également renforcées afin de faciliter le contact des spectateurs avec les œuvres. Et qu’est ce qu’on s’y amuse ! A commencer par L’International Dance Party de Niklas Roy et Adad Hannah, malicieux flight-case réagissant aux mouvements des spectateurs selon le principe simplissime de « plus vous donnez plus vous recevez ». Invité à danser, le visiteur provoque par ses mouvements l’ouverture de cette boîte de pandore : fumée, boule disco et gyrophares au summum de la fête. Attention, l’IDP est exigeante et se referme au moindre relâchement. Autre curiosité, l’installation Shadow Monsters de Philip Worthington. Un écran interactif transforme votre silhouette en ombre chinoise qui se pare aléatoirement de crêtes, de becs ou d’écailles. Le son aussi est trituré par la machine qui éructe, piaille ou cancane. Drôle. Addictif aussi. A noter enfin, l’immanquable - tant elle est monumentale - installation 48x48 de Vs, lustre géant de 400 m enroulés de LED multicolores sensibles à la vitesse du déplacement des spectateurs détecté par une caméra. Voilà pour les yeux. Pour les oreilles, la programmation musicale du jeudi s’offre un grand écart entre la riot girl de Kap Bambino et le cristallin Fredo Viola. Qu’à cela ne tienne. Il est encore tôt à l’heure où Kap Bambino fait son entrée sur la petite scène des Friches ; la claque n’en sera pas moins abrasive. Caroline Martial, poupée-furie désarticulée s’agite, se contorsionne en feulant tandis que son camarade Orion attise cette boule d’énergie à coup de digital hardcore déréglé. Caroline donne tout, court partout, saute, harangue la foule, slame, réceptionnée par des mains attentionnées. Frénétique, noisy et tapageuse, la prestation est inoubliable tant la générosité de Kap Bambino emmène tout le monde. Place au singulier chanteur-vidéaste Fredo Viola, dont il fut un temps question qu’il occupe la cathédrale de Nantes. On aurait adoré cela mais qu’importe. La voix est si exceptionnellement pure qu’elle en donne des frissons à son auditoire assis tout ouïe. Les chansons s’enchaînent comme autant d’instants magiques et suspendus s’égrainant au rythme de l’effeuillage d’une rosace-vitrail au fond de la scène. Hautement émotif et épidermique, Fredo Viola n’en manie pas moins la symphonie avec fantaisie et ses mélodies sont tout autant pop que classiques ou gospel. C’est d’ailleurs sur le Downtown de Petula Clark qu’il nous rend à la nuit nantaise, encore tout frémissant. Vendredi. Les dimensions colossales de la Nef promettent cette année encore un spectacle grandiose ; pari gagné pour cet époustouflant son et lumière. L’incroyable dispositif du collectif Exyzt-1024 offre à Agoria et Oxia un vjying de haute volée. Au milieu de la Boom box tantôt ghetto blaster , tantôt façade architecturale, Agoria et Oxia distillent une électro chic et sexy qui tape parfois dans le baléaric voire la cold-disco. La structure métallique y réplique en éclats de verre, palpitations de mille couleurs. Absolument féérique. Du côté de la Friche, les jeunes et rigolos Naive new beaters envoient des beats hip hop sur une électro-pop gonflée aux riffs de guitare criards, le tout dans un joyeux fatras où la scénographie s’affiche aussi clinquante que les pull overs glitter des garçons. Comme convenu, les Sexy sushi jouent aux sales gosses et balancent des morceaux de poissons. Pas frais. La dernière soirée apportera son lot de révélations dont sont immanquablement les Londoniens de We have band. Tout de blanc vêtu, le trio, emmené par la voix du charismatique batteur Darren Bancroft et celle de Deborah WP , joue une électro pop sombre, riche et complexe. Autour d’une rythmique minimaliste, se mêlent sons synthétiques et mélodies eighties. We have band termine sur un cover de West End girls de Pet Shop Boys, enfonçant définitivement le clou de son évidente classe. Et puis enfin, Who made who qui enrichit son rock de rythmes funk et disco. Performeurs et musiciens exceptionnels, les Danois finissent en apothéose sur Satisfaction de Benny Benassi à la sauce riffs de basse et guitare pour la mélodie. Palme du slame à Jeppe Kjellberg qui gratte sa guitare à l’horizontal avec une étonnante décontraction. Pour les friands de BPM, il ne fallait pas manquer Beat Torrent et pour le coup d’œil, le dispositif de double miroir au cœur duquel Vitalic fait du Vitalic. Quoique La Rock 01 soulève encore les foules. Crédits photos : Nabaz’mob, de Jean-Jacques Birgé et Antoine Schmitt. Benoit Hické (Ososphère) et Charlotte Noury (Scopitone)
COMPTE RENDU
Vices de procédure
source : Les éditions du mouvement // date de publication : 11/06/2009 // 3947 signes
Malgré une programmation alléchante, le festival Seconde Nature s’est vu contraint de tout annuler à la dernière minute. Retour sur une rocambolesque affaire, confrontant autorités municipales, riverains en colère et gens du voyage, à une équipe organisatrice qu’on imagine désemparée… lire la suite
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PRESSE 2009 l’Ososphère<recherche> DOSSIER < publiés:DE 1344 articlesÉDITION > pratiques artistiques autour du numérique dans la ville
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POPTRONICS
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< mise à jour: 12:06 >
< pop'fil > < pop'agenda > < pop'lab > < pop'sonics > < pop'etc >
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10.000 festivaliers : joli succès cette année encore de l’Ososphère 2009. © DR
< 29'09'09 >
A Strasbourg, l’Ososphère en met plein la ville
Après-coup sur la 11ème édition du festival strasbourgeois de l’Ososphère, deux nuits de concerts et sets de DJ les 23 et 24/09, et une exposition nouveaux médias, encore visible jusqu’au 3/10, sur le site de la Laiterie, 13 rue Hohwald, et dans les containers rouges posés en centre ville, Strasbourg (67).
(Strasbourg, envoyé spécial) Ososphère n’en finit plus de grandir : cent artistes invités, six espaces de concert et deux d’exposition, sans oublier des installations disséminées en ville, des performances, des croisières sonores et même une pièce de théâtre dans un bus… Investie de toutes parts, Strasbourg a été pour la première fois au cœur de la proposition gargantuesque de ces Nuits 2009, les 24 et 25 septembre derniers. Par la programmation musicale d’abord, qui n’a jamais vu autant d’artistes locaux (du rock brutal de Punish Yourself ou Sun Plexus à l’électro-indus de Sonic Area) mais surtout parce que le festival passe avec fracas la frontière du quartier de la Laiterie pour s’exposer dans (à ?) la ville.
Sortez ! Aufgang, Grizzly Bear, Githead, les Transmusicales Chemin d’Accès(s) aux cultures électroniques à P Tokyo (1/2) : No Man’s Land, territoire artistiqu ouvert Sortez ! Battles, Winter Family, Kill The DJ On Kid Congo Sortez ! The Apartments, Danton Eeprom, Musiq Volantes… « Tsugi », deux ans et « à deux doigts de l’équilibre » In Famous Carousel fait le tour des mondes Le petit tour au salon Light qui éclaire le week-e Millefeuille de crabe à la sauce net-art chez NKM Poptronics à l’Ososphère, le making of Sortez ! The xx, Jason Edwards, Joakim, The Mountain Goats, Tsugi Party... Graffiti : une culture suicidaire, par Lokiss Cécile Babiole, qu’est-ce que tu fais pour les vacances ?
Millefeuille de crabe à la sauce net-art chez NKM Pop’geek Moqueries de l’ère techno Albion donne l’électro ton des Inrocks Le petit tour au salon Light qui éclaire le week-e Kitsch Catch, l’expo iconoclash
Le rouge est mis Echappés du Port autonome, face à la cathédrale ou au musée d’art contemporain, d’incongrus containers rouges occupent les places et les bords de l’Ill ; à l’intérieur, des installations, spectaculaires ou ludiques, pour « attraper » le béotien, mais aussi un travail sur la ville avec le magnifique projet « Unknown Cities » des musiciens Colin Newman (Wire), Malka Spiegel (ex-Minimal Compact) et Robin Rimbaud (Scanner). « Il fallait emmener l’Ososphère plus loin, nettement, et marquer les esprits, explique Thierry Danet, directeur du festival. Il n’est pas question de quotas ou d’identité régionale, mais pour parler du monde, c’est bien de savoir d’où on en parle. On a voulu montrer aux Strasbourgeois, contre la tentation de la carte postale, que la ville, c’est aussi ça. » Le trio anglais Githead, qui donne d’ailleurs un mémorable concert à l’entame du festival vendredi soir, est ainsi allé chercher les histoires enfouies, oubliées, méconnues ou rejetées de Strasbourg (le manifeste des étudiants de l’AFGES, le soviet de 1918…). La plus spectaculaire remonte à 1418 : une femme se met à danser spontanément dans les rues de Strasbourg, bientôt suivie par des dizaines d’autres (ça durera deux mois). La vidéo remake de cette « peste de la danse » est projetée sur les murs de la Laiterie. Le « label » Ososphère Colin Newman était déjà là l’an dernier avec Wire. L’Ososphère a ses fidélités artistiques, ce que Danet appelle la « logique de label » : Lydwine Van Der Hulst est de retour avec « Pan-Aura-Mix » (déjà
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l’Ososphère pratiques artistiques autour du numérique dans la ville
(septième invitation !) avec la belle installation lumineuse « Control Room », sorte de dancefloor industriel rythmé par le son des presses du quotidien « L’Alsace ». Après « Sho(u)t » en 2008, Vincent Elka/Lokiss met en scène « Black Grease », série de peintures anxiogène balayée de projecteurs (miradors ?) au son d’orgasmes et de coups de feu. Gros Sélection revue de Presse 2009 succès auprès des teufeurs. Dans la catégorie « brutal », « Cremaster 15 » de P. Nicolas Ledoux (ancien d’Ultralab), réinterprétation libre du cycle de Matthew Barney sur fond de Sunn o))), Clair Obscur et Cocoon. présentée DOSSIER DEL’installation, PRESSE ÉDITION 2009 dans un container, n’était POPTRONICS 33 malheureusement pas servie par sa proximité avec les salles de concert… Rares sont les œuvres présentées à avoir une dimension sociale voire politique, quand la dernière édition d’Ars Electronica en fourmillait. Ainsi, « Le Grand Générique » d’Antoine Schmitt, qui déroule sans fin une liste de patronymes collectés au fil de ses expositions, histoire de « regrouper le nom de tous les êtres humains pour constituer au fil du temps ledit générique », ne questionne pas le fichage généralisé, encore moins la en préservation données privées à l’heure numérique. montrée 2008, maisdes mieux installée), comme Cécile Babiole Si « Filmer lainvitation ville », docu-art debelle Joël Danet, Thierry Ramadier et Vincent (septième !) avec la installation lumineuse « Control Voillat»,(du collectif Mu), s’attaque via rythmé la dansepar auxlequestions de vidéoRoom sorte de dancefloor industriel son des presses du surveillance et dénonce en creux le mobilier anti-SDF, Hadopi, » en urbain 2008, Vincent Elka/Lokiss quotidien « L’Alsace ». Après « Sho(u)t les nanotechnologies, puces autres systèmes anxiogène de géolocalisation met en scène « Black les Grease », et série de peintures balayée de sont les grands absents?)deaucet Ososphère 2009, quicoups ne cède qu’àGros la projecteurs (miradors son d’orgasmes et de de feu. vogue bio avecdes le teufeurs. duo Scenocosme (pour ses deux installations succès auprès Dans la catégorie « brutal », « Cremaster éprouvées). « Je n’ai pas trouvé d’œuvres de ce réinterprétation type qui s’intégraient Ledoux (ancien d’Ultralab), libre du 15 » de P. Nicolas dans lederécit que jeBarney voulaissur formuler, Thierry Ceetqui cycle Matthew fond dejustifie Sunn o))), ClairDanet. Obscur m’intéresse, c’est l’intime, les différentes den’était relations sociales Cocoon. L’installation, présentée dans un couches container, (famille, communautés…), public… »avec Au les moins l’Ososphère malheureusement pas serviel’espace par sa proximité salles de tente-t-elle de faire le lien entre ces différentes familles électroniques. concert… Comme le fait le hors-série de « MCD » (Musique et culture digitale) « WJ-SPOTS », (unprésentées projet dont poptronics est non seulement friand Rares sont les #1 œuvres à avoir une dimension sociale voire mais aussiquand partie la prenante), sous-titré « 15Electronica ans de création artistique sur dernière édition d’Ars en fourmillait. politique, Internet enGénérique grande pompe par Anne Roquigny du festival. Ainsi, « », Lelancé Grand » d’Antoine Schmitt, qui lors déroule sans fin une liste de patronymes collectés au fil de ses expositions, histoire de Concatenative Mu Sébastien et Vincent Epplay, au 2009 «« regrouper le nom de»,tous les êtresRoux humains pour constituer fil :du temps ledit générique », ne questionne pas le fichage généralisé, encore moins la préservation des données privées à l’heure numérique. Si « Filmer la ville », docu-art de Joël Danet, Thierry Ramadier et Vincent Voillat (du collectif Mu), s’attaque via la danse aux questions de vidéosurveillance et dénonce en creux le mobilier urbain anti-SDF, Hadopi, les nanotechnologies, les puces et autres systèmes de géolocalisation sont les grands absents de cet Ososphère 2009, qui ne cède qu’à la vogue bio avec le duo Scenocosme (pour ses deux installations éprouvées). « Je n’ai pas trouvé d’œuvres de ce type qui s’intégraient dans le récit que je voulais formuler, justifie Thierry Danet. Ce qui m’intéresse, c’est l’intime, les différentes couches de relations sociales (famille, communautés…), l’espace public… » Au moins l’Ososphère tente-t-elle de faire le lien entre ces différentes familles électroniques. Comme le fait le hors-série de « MCD » (Musique et culture digitale) « WJ-SPOTS #1 », (un projet dont poptronics est non seulement friand mais aussi partie prenante), sous-titré « 15 ans de création artistique sur Internet », lancé en grande pompe par Anne Roquigny lors du festival. « Concatenative Mu », Sébastien Roux et Vincent Epplay, 2009 : Ces limites posées, Ososphère réussit quand même à faire déambuler une foule de fans de musiques électroniques dans une exposition nouveaux médias. Et la bonne nouvelle, c’est que celle-ci est prolongée au-delà des deux nuits, jusqu’au 3 octobre. Ce week-end en tout cas, les festivaliers s’y bousculaient, dissipés, (très) imbibés mais surtout ouverts, dans un rapport simple voire frontal avec les œuvres, bluffés par les projections de « Dream Hotel » de Wonderbabette ou « Bumpit ! » de Bertrand Planes ou cette mare d’encre de Chine qui s’anime au son d’une goutte d’eau (« Vallen » de Cécile Beau). Hors les murs, à l’Aubette 1928, le féérique « Nabaz’mob » (Jean-Jacques Birgé et Antoine Schmitt), opéra pour 100 lapins communicants, fait lui aussi salle comble comme la performance « Concatenative Mu » de Sébastien Roux et Vincent Epplay, samedi après-midi. Folk sensible, punk saturé et stars du dancefloor Le cœur de l’Ososphère cependant, ce sont ses nuits de concerts, DJsets et lives électroniques. Le festival tutoie pour la troisième année consécutive son record de fréquentation (10.000 personnes) grâce à un savant mélange des genres. Priorité au dancefloor certes, avec ses stars Garnier, Orb), mais les débuts nuitsà s’aventurent aussi (Laurent Ces limites posées,The Ososphère réussit quand de même faire déambuler punk jusqu’au bout avec sonexposition inaudible parce dans le rock une foule de (Art fans Brut, de musiques électroniques dansunune que poussémédias. au maximum), le folk pour âme sensibles (ElvisestPerkins, nouveaux Et la bonne nouvelle, c’est que celle-ci prolongée au-delà des deux nuits, jusqu’au 3 octobre. Ce week-end en tout cas, les festivaliers s’y bousculaient, dissipés, (très) imbibés mais surtout ouverts, dans un rapport simple voire frontal avec les œuvres, bluffés par les projections de « Dream Hotel » de Wonderbabette ou « Bumpit ! » de Bertrand Planes ou cette mare d’encre de Chine qui s’anime au son d’une goutte d’eau (« Vallen » de Cécile Beau). Hors les murs, à l’Aubette 1928, le féérique « Nabaz’mob » (Jean-Jacques Birgé et Antoine Schmitt), opéra pour 100 lapins communicants, fait lui aussi
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Sélection revue de Presse 2009
candidat trône de Ben Harper, DOSSIER DE au PRESSE ÉDITION 2009 en sosie de Johnny Depp bobo), voire aux pochades branchées (Au Revoir Simone, oui et à jamais) et au festif à la mode (Naive New Beaters, repris en chœur par la grande salle samedi soir). Sans oublier la prestation courue de Raekwon, échappé du Wu-Tang Clan, attendu comme le messie par une foule sur son 31 (casquettes neuves et survêts du dimanche) qui a fait une fête de son hip-hop old-school.
POPTRONICS
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Yuksek live à l’Ososphère 2009 (« Tonight » :) A coté des grosses machines (Digitalism, Sinden…), le wonderboy de Border Community, Nathan Fake, autre habitué, se taille un joli succès vendredi avec ses nappes aériennes et distordues, comme un peu plus tard, la musique cérébrale des vétérans Plaid, qui attire un public moins nombreux mais fervent. Le lendemain, même scénario. Porté par l’énorme succès de « Tonight », Yuksek déroule son gros son devant un public totalement acquis à sa cause comme à celle de SebastiAn, qui lui succède avec un set tout en compression à faire sortir la kalachnikov (il convoque pire du années Supertramp en tête). candidat auletrône de pire Bendes Harper, en 70-80, sosie de Johnny Depp bobo), voire aux pochades branchées (Au Revoir Simone, oui et à jamais) et au festif Empire, liveNew à l’Ososphère 2009en(«chœur Nightpar Of la Violence ») : àAlec la mode (Naive Beaters, repris grande salle samedi soir). Sans oublier la prestation courue de Raekwon, échappé du Wu-Tang Clan, attendu comme le messie par une foule sur son 31 (casquettes neuves et survêts du dimanche) qui a fait une fête de son hip-hop old-school. Yuksek live à l’Ososphère 2009 (« Tonight » :) A coté des grosses machines (Digitalism, Sinden…), le wonderboy de Border Community, Nathan Fake, autre habitué, se taille un joli succès vendredi avec ses nappes aériennes et distordues, comme un peu plus tard, la musique cérébrale des vétérans Plaid, qui attire un public moins nombreux mais fervent. Le lendemain, même scénario. Porté par l’énorme succès de « Tonight », Yuksek déroule son gros son devant un public totalement acquis à sa cause comme à celle de SebastiAn, qui lui succède avec un set tout en compression à faire sortir la kalachnikov (il convoque le pire du pire des années 70-80, Supertramp en tête). Alec Empire, live à l’Ososphère 2009 (« Night Of Violence ») : Plus rafraîchissante, la prestation des Portugais Buraka Som Sistema, tête de pont du kuduro, ce dérivé de Miami bass né en Angola et popularisé dans les banlieues de Lisbonne. Face à une salle chauffée à blanc par le concert tellurique d’Alec Empire (une heure et demie sous stroboscopes), le trio a une énergie communicative, renforcée par des percussions jouées en direct. Ceux qui n’ont pu entrer suivre le set de DJ Ponedes (degrosses Birdy Nam Nam)(Digitalism, archicomplet trouvent le là wonderboy matière à faire A coté machines Sinden…), de General les malins : toute la nuit, le nom deautre Buraka (comme celuiun dejoli Border Community, Nathan Fake, habitué, se taille succès Elektriks, dontses on nappes a raté leaériennes concert...)etpasse de bouche en bouche. A la vendredi avec distordues, comme un peu plus Goldie, encore un vieux de qui la vieille, clôture enmoins surprise générale,cérébrale tard, la musique des vétérans Plaid, attire un public beauté cet Ososphère 2009. A l’ancienne (pas scénario. l’ombre d’un nombreux mais fervent. Le lendemain, même Portélaptop par !), le pape de lasuccès drum’n’bass et de la»,jungle joue ses classiques. La foule l’énorme de « Tonight Yuksek déroule son gros son devantà un peine au moment de àses exploits en redemande. publicnée totalement acquis sa premiers cause comme à celle de SebastiAn, qui lui succède avec un set tout en compression à faire sortir la kalachnikov (il Buraka Sistema, l’Ososphère (« AquienPara convoqueSom le pire du pirelive desàannées 70-80, 2009 Supertramp tête). Voces ») : Alec Empire, live à l’Ososphère 2009 (« Night Of Violence ») : Comme quoi, Strasbourg, réputée froide, a fait sa place à ses nuits de Plus rafraîchissante, prestation Portugais Som Sistema, remix. On en connaîtlaqui doivent des pleurer du côtéBuraka de Marseille, qui n’en tête pont kuduro, ce dérivé deles Miami né en Angola finit de plus de du mettre des bâtons dans rouesbass au cousin phocéenet popularisé Marsatac. dans les banlieues de Lisbonne. Face à une salle chauffée à blanc par le concert tellurique d’Alec Empire (une heure et demie sous matthieu recarte stroboscopes), le trio a une énergie communicative, renforcée par des percussions jouées en direct. Ceux qui n’ont pu entrer suivre le set de DJ Pone (de Birdy Nam Nam) archicomplet trouvent là matière à faire les malins : toute la nuit, le nom de Buraka (comme celui de General Elektriks, dont on a raté le concert...) passe de bouche en bouche. A la < 3 > commentaires surprise générale, Goldie, encore un vieux de la vieille, clôture en beauté cet Ososphère 2009. A l’ancienne (pas l’ombre d’un laptop !), le pape de la drum’n’bass et de la jungle joue ses classiques. La foule à écrit le < au 01'10'09 > par < jjbirge 5G2 drame.org > peine née moment de ses premiers exploits en redemande. Si je partage le souhait de Matthieu Recarte de voir et entendre plus de dimension sociale et politique dans les œuvres il est allé Buraka Som Sistema, live à l’Ososphère 2009j’ignore (« AquioùPara chercher Voces ») que : la dernière édition d’Ars Electronica en fourmillait ! Sous la grande surface bio d’hypermarché, cela ressemblait plutôt à la Cité
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Sélection revue de Presse 2008
Quat r e 4.0 propose
vendredi 26 et samedi 27 septembre 2008
(les nuits électroniques)
R E V U E DE PR ESSE
St r a s b ou r g / Q u a r t i e r L a i t e r i e
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Le Monde
La nouvelle peau des festivals techno LE MONDE | 18.09.08 | 13h36 • Mis à jour le 18.09.08 | 13h36
e ne sont plus des raves, ces fêtes techno des années 1990, encore moins des teknivals, en plein champ, terreur des élus locaux. Ce ne sont pas des festivals de rock ou de chanson, avec grands chapiteaux et alignement de buvettes, ni ces rencontres de jazz au climat distingué. Ce sont les festivals électro d'aujourd'hui : urbains, protéiformes, mêlant musique et arts numériques. Puisant dans l'héritage de la rave, mais aussi de la culture clubbing, ils inventent des formes souvent reprises au-delà des musiques électroniques. Quatre d'entre eux, qui rassemblent chacun près de 10 000 spectateurs, ont lieu en septembre : Scopitone à Nantes, le NAME à Lille et Dunkerque, Marsatac à Marseille et Ososphère à Strasbourg. Ils investissent la ville, son coeur plus que sa périphérie, ses friches, mais aussi ses perles patrimoniales. Ainsi Scopitone, pendant quatre jours, se déploie dans dix lieux différents, des entrepôts de l'île de Nantes au château des Ducs de Bretagne, propose expositions interactives et concerts gratuits pour un public familial. Ososphère crée deux nuits durant un nouveau quartier dans la ville autour d'une salle de concert classique. L'objectif ? "Ne surtout pas se limiter au public techno conquis d'avance, explique Thierry Danet, fondateur d'Ososphère. Quelque chose me turlupine depuis toujours, c'est l'entente tacite entre les mouvements qui se mettent en dehors de la cité, comme a pu la faire la techno, et la cité qui est contente que tout ça se passe ailleurs. Ce qui m'intéresse, c'est d'exister dans l'espace public pour l'influencer." Changer de lieux, élargir le public passe aussi par une transformation esthétique. Si le fil conducteur reste la musique, il s'agit d'élargir les propositions, de faire le lien avec d'autres domaines - arts numériques et graphisme en tête. En Espagne, un festival comme le Sonar l'a fait il y a quinze ans, en s'installant dans le centre d'art contemporain de Barcelone. En France, Global Techno et Villette Numérique ont tenté, à la fin des années 1990, d'importer le modèle en France. Un flop, dans un pays qui diabolisait encore les musiques électro. Aujourd'hui, le NAME, Scopitone et Ososphère ont repris ce chemin avec succès, mais ailleurs qu'à Paris. Longtemps objet de sourires polis, "les cultures électroniques", mix d'images, arts numériques, installations interactives, acquièrent leurs lettres de noblesses. Lors des deux premières éditions, le NAME proposait des expositions multimédias. Cette année, le festival se recentre sur l'image, fixe ou mixée par un "veejay" (vidéo jockey) "pour ne pas tomber dans le simplement ludique, le principal travers de ce type d'installations", explique Sabine Duthois, organisatrice du festival. "Il y a quinze ans, être interactif suffisait, aujourd'hui, non", confirme Thierry Danet, qui accueille 35 oeuvres au sein de l'Ososphère. Une exposition montée en un temps record - "ici, une résidence d'artiste, c'est quinze jours" - et terriblement éphémère (deux nuits). "J'aimerais être plus précis dans les contenus, moins dans l'énergie brute, mais les moyens manquent", regrette Thierry Danet, qui autofinance son festival à plus de 70 %. Au départ, c'était 98 %..." La solidarité s'est imposée entre ces économies artisanales. Un réseau des festivals de culture électronique s'est créé en 2006. Il regroupe sept événements, dont Marsatac, Scopitone et le NAME. "Nous partageons certains frais avec Ososphère, explique Dro Kildjian, de Marsatac, et c'est parfois plus facile de persuader un artiste de venir pour deux dates en France que pour une seule." Hors normes, hors cadre, sans têtes d'affiche connues, les festivals électroniques attirent peu les sponsors, et se heurtent encore souvent à l'incompréhension des édiles. Il y a bien l'exception NAME, financé à 70 % par le conseil général du Nord, qui en a fait un outil de communication. "Un soutien essentiel pour permettre au festival d'être toujours créatif, explique Sabine Dutoit. Sans cela, tout partirait dans les cachets des artistes, qui ont énormément augmenté ces dernières années." A Strasbourg, en revanche, Thierry Danet doit répondre régulièrement aux mêmes questions sur "le public de marginaux" qui fréquenterait sa salle de concert. "Ces publics-là, déplore-t-il, on n'en parle qu'en termes de nuisance. C'est déprimant quand on voit l'énergie et la créativité de ces mouvements." Pour faire évoluer les mentalités, le NAME a misé sur des tables rondes et des interventions dans les collèges. Le thème de l'année 2008 : musique et hédonisme. Une sorte de manifeste techno.
Odile De Plas
Quatre régions sous le signe de l'électro Scopitone, à Nantes (Loire-Atlantique). 26 €. Divers lieux. Entrée libre à plusieurs manifestations. Jusqu'au 21 septembre. www.scopitone.org. NAME, à Lille (Nord) et à Dunkerque (Nord). Divers lieux. Du 19 au 26 septembre. 13 € et 15 €. www.lenamefestival.com. Marsatac, à Marseille (Bouches-du-Rhône). Divers lieux. Du 25 au 27 septembre. 22 € et 27 €. Pass trois nuits 60 €. www.marsatac.com. Ososphère, à Strasbourg (Bas-Rhin). Divers lieux. Les 26 et 27 septembre. 25 € et 28 €. www.ososphere.org.
103 Article paru dans l'édition du 19.09.08
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DICRÉAM 2008 < mise à jour: 18:45MANIFESTATIONS >
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« Le principe de l’Ososphère : réagir en permanence » Name Festival, on dirait le Nord Alvin Lucier s’asseoit sonore au Consortium Emergences, de jour comme deux nuits Pan Sonic minimal, mais il fait le max en concert Pop clip-03’ L’équipée sauvage de Sonic Youth Scott Walker, l’extrême chaos du silence... en musique
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La promo de Poptronics à Strasbourg. © DR
Martine piratée, Martine libérée Une finale pour rock stars virtuelles dans le vent Emergences, de jour comme deux nuits De Joy Division aux Happy Mondays, pop’surf des années Factory Le smiley, 25 ou 44 ans ?
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Les Nuits de l’Ososphère, marathon Pop
272/09/Saturday 02h16 liens promotionnels
(Strasbourg, envoyés envoyés spéciaux) spéciaux) (Strasbourg, A l’occasion des Nuits de l’Ososphère, les 28 et 29 septembre 2007, poptronics, l’agenda des cultures électroniques, sort du réseau pour réaliser une performance éditoriale et graphique en direct de la Laiterie, à Strasbourg. L’Ososphère, c’est deux nuits, vendredi et samedi, six scènes, soixante musiciens, DJs, VJs et groupes offrant toute la palette des musiques dites actuelles (électro, rock, pop, noise…) et une trentaine d’installations d’artistes nouveaux médias, pour 10 000 festivaliers attendus dans un quartier de transit, entre voie ferrée et autoroute, à Strasbourg. A l’invitation du festival, poptronics réalise « live » un journal qui sera imprimé pendant la nuit du 28 au 29 et distribué aux festivaliers au petit matin et lors de la deuxième nuit. Poptronics passe ainsi le mur de l’écran au papier, adaptant son pop’lab (le mag en PDF) pour l’occasion. Et s’engage physiquement en invitant Toffe, son directeur artistique graphiste de talent, à investir le recto de ce pop’lab-extension exceptionnel. Parce que le pop’lab est un magazine en PDF ouvert aux artistes, ce premier journal papier sera lui aussi transgenre, entre affiche et journal, comme le pop’lab en PDF joue entre papier et écran. Le site poptronics sera tout le week-end le reflet de l’événement, le média Internet conservant ses avantages et prérogatives : du chaud, du temps quasi-réel pour donner toute l’info sur ces deux nuits chargées en musiques et en scènes. Au choix, des étoiles montantes (Nathan Fake) et filantes (Jimi Tenor), du duo (Swayzak) et de la troupe (Architecture in Helsinki), de la Djette (notre chouchou, Monika Kruse) et encore de la Djette (Chloé), du DJ (Ivan Smagghe) et encore du DJ (DJ Hell), des espoirs (Danton Eeprom, Battant et Adam Kesher). Une offre large : Front 242, Treponem Pal et The Cinematic Orchestra en tête d’affiche, il fallait oser. « La programmation est faite pour que ça ne soit pas un truc pour happy few », revendique Thierry Danet, aux commandes de la Laiterie, pour qui le « croisement » est essentiel. Entre deux sets endiablés, le spectateur est ainsi invité à faire de la balançoire « augmentée » (Veaceslav Druta), à jouer à un Pong très détourné (entre Paris et Strasbourg, de téléphone portable à téléphone portable, avec les Allemands de Susigames), à ressentir le trouble d’Under (performance de Ramona Ponearu), à observer la représentation graphique des sons de l’autoroute (Lucent Landscapes de David Burrows) et à découvrir la trentaine d’installations, tranchant avec nombre d’autres manifestations électroniques qui privilégient les scènes ou thématisent artificiellement leur expo nouveaux médias. Ici, la circulation, le mélange, le brassage ne sont pas que des concepts. Et puis, pour apporter la touche de liant à ce « foisonnement » comme le dit Thierry Danet, l’invitation faite aux architectes d’Exyzt, qui interviennent sur cette édition en préambule à une action plus durable.
http://www.poptronics.fr/Les-Nuits-de-l-Ososphere-marathon
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Les Nuits commencent à 20 heures ce vendredi. Le pop’lab papier sera mis en ligne pendant la nuit (tard, très tard), puis suivront des compte-rendus en direct des concerts, des portraits de festivaliers, des interviews d’artistes… Le marathon peut commencer. matthieu recarte et annick rivoire
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Sélection revue de Presse 20 06
L’ O s o s p h è r e
Quatre 4.0 présente
L E S N U I T S É L E C T R O N I Q U E S D E L’ O S O S P H È R E
VENDREDI 28 et SAMEDI 29 SEPTEMBRE 2007
R EVUE DE PRESSE 2006
QUARTIER L AITERIE / STRASBOURG
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Sélection revue de Presse 20 06
Libération OSOSPHERE 2006
28 septembre 2006
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OSOSPHERE 2006
Sélection revue de Presse 20 06
Le Monde 02 octobre 2006
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L’ O s o s p h è r e
Sélection revue de Presse 20 06
AFP
OSOSPHERE 2006
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Musique-culture-festival Lancement des 9e «Nuits Electroniques» de l’Ososphère vendredi à Strasbourg STRASBOURG, 28 sept 2006 (AFP) - Les 9e Nuits Electroniques de l’Ososphère investiront vendredi et samedi l’ancien site industriel de la Laiterie de Strasbourg, en proposant musique, arts visuels et espace urbain conçus pour s’interpeller et se répondre. La musique hypnotique du «dub poet» Linton Kwesi Johnson ouvrira le festival qui programme cette année plus de soixante artistes de la scène électronique sur les six lieux du site qui constitueront autant de «flux de musique» pour proposer au public un «nombre infini de scénarios de soirée», a expliqué Thierry Danet, l’un des quatre porteurs du projet. La new wave berlinoise Ellen Allien côtoiera les rythmes hardcore de Manu le Malin et l’électronique industrielle des groupes allemands Oomph! et Die Krupps ainsi que les «groupes à guitare» The Ratcher et Radio 4. Du côté des arts visuels et numérique, la Laiterie sera rebaptisée pour deux nuits en éphémère «Hôtel de la logique» avec une quinzaine de «chambres» où «comme dans tous les hôtels accueillant des artistes, ceux-ci finissent par s’y installer et transformer le lieu en interrogeant les formes plastiques», a-t-il commenté. L’ancien site industriel habillé par le groupe Dune proposera un dispositif sur lequel les internautes pourront intervenir à distance en déclenchant des projections vidéo et des sons et le scintillement de lettres en néon. «Le but est de tracer des pistes chorégraphiques sur le parcours des gens avec comme idée de dire +je suis ici, mais la source de ce que j’entends est ailleurs», a-t-il résumé. Il a rappelé que «l’Ososphère poursuit sa volonté de dialoguer avec Strasbourg pour en faire une ville où l’on rêve, comme on rêve de Londres, de Berlin ou de Vienne».
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DNA
OSOSPHERE 2006
07 octobre 2006
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Reflets DNA OSOSPHERE 2006
23 septembre 2006
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Sélection revue de Presse 20 06
arte.tv
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Sélection revue de Presse 20 06
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OSOSPHERE 2006
septembre 2006
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OSOSPHERE 2006
Sélection revue de Presse 20 06
MCD (Musiques et Cultures Digitales) novembre 2006
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Ortenaukreiss OSOSPHERE 2006
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Badische Zeitung OSOSPHERE 2006
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