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L’édition sportive (ou beauf, c’est comme tu veux)
27 juin—1er juillet
Lundi 27/06:
• ULB Village du CD
• 10h-16h : Erasme Summer Day
• TD Cercle de Philosophie et Lettres et Cercles de sections
Mardi 28/06:
• 12h-22h : Gazon du CDS
• TD Cercle des Sciences
Mercredi 29/06:
• 12h-22h :Foot Folklo (FFPPKK) Philo
• TD Pôle santé
Jeudi 30/06:
• 12h : Tournée Erasme
• TD
Vendredi 01/07:
• 12h-22h Gravier du CP
• TD Cercle Polytechnique
*Cet article concerne un fait d’actualité qui peut potentiellement trigger certaines personnes.
TW : violence, meurtre, psychophobie
Le mois de juin touche à sa fin et après une session qui nous a toustes mis.e.s un peu HS, il est grand temps de se retrouver et se ressourcer durant cette semaine qui s'annonce bien folklo ! L'odeur du soleil et des vacances pèse sur notre université que l'on va d'ailleurs bientôt quitter pour quelques semaines avant de se retrouver en septembre (ou en août pour certain.e.s). Mais en attend, place à la fête ! Heureusement que le Foot Folklo Party Pétanque Kicker Kiff est là.
Crème solaire sur la peau, lunettes de soleil sur le nez, penne sur la tête pour bien se protéger du soleil et une grande gourde (d’eau) à disposition pour bien s’hydrater et c’est parti ! Peu importe la balle avec laquelle vous choisirez de jouer, éclatez vous et amusez vous, c'est le plus important ! Des idées de recettes, de nouvelles friperies à découvrir pour chopper des pépites et être super frais.che cet été pour pécho ta/ton crush, une BD, des articles de qua-li-té,... le tout dans une Philomène soigneusement préparée par vos déléguées super motivées ! Que tu partes à l’autre bout du globe ou que tu restes dans notre magnifique plat pays (check la dernière Philomène du mandat 2021-2022 si tu veux découvrir de chouettes endroits/activités à faire en Belgique) n’oublie pas ta Philomène et apprécie-la comme il se doit.
Je profite de cet édito pour souhaiter la bienvenue à Laurine Gref, fraîchement élue Philomène II, qui, j'en suis sûre, fera un travail formidable !
Bonne semaine et bonnes vacances !
Olala c’est la panique, me voici à peine président et je me retrouve déjà dans les premières pages de la Philomène. Mais bon comme a dit un jour un grand homme : « de grands pouvoirs impliquent de grandes responsabilités ».
Et puis, pas le temps de trainer ! À peine élu, le comité philo est déjà parti au quart de tour alors je dois suivre la cadence. Entre le foot-folklo, la sortie à la fondation Folon et notre premier TD avec le CJC, le CROM, le CdH, et le CHAA, on ne s’arrête pas.
On ne s’arrête pas, que dis-je, on ne s’arrête plus ! Les évènements que la philo a proposé pendant les délibés de cette année ne sont qu’un échantillon de nos idées, de notre énergie et de notre motivation. Attends-toi à nous voir partout et dans tous les états et ce, dès la rentrée.
Sur ce je te souhaite de bonnes vacances et force à celleux qui connaitront la troisième session. Dans tous les cas on se retrouve à la rentrée plus déchainé.e.s que jamais !
- StuttleSi je vous dis les mots : «sport », «amusement», «alcool» (avec ou sans modération) vous pensez à quoi ? Au Foot Folklo Party Pétanque Kicker Kiff bien sûr ! Cette journée mythique organisée par le cercle de Philosophie et Lettres est l’occasion de se retrouver après une longue et rude session d’examens. Pendant cette journée : des terrains de sport, des stands de rafraichissement et des endroits pour te détendre sont prévus afin de passer un agréable moment sous le soleil (on espère).
Que tu sois adepte de football, friand de pétanque ou bien même amateur de kicker, tu trouveras ton bonheur dans une de ces trois compétitions. Comme on dit « Après l’effort, le réconfort ! » Cet évènement propose encore mieux, la possibilité d’associer le sport et la boisson. Vous connaissez sûrement les règles classiques du football, mais connaissez-vous les règles folkloriques de celui-ci ? C’est l’occasion de découvrir le plaisir de ce sport de manière un peu originale.
Au plaisir de vous voir suer et abreuver.
Le mardi 24 mai, le monde entier a retenu son souffle à l’annonce d’une fusillade dans une école primaire ; un jeune homme de 19 ans a ouvert le feu sur des élèves âgé.e.s entre en 9 et 10 ans, faisant 21 morts, dont 19 enfants. Cet acte prémédité, annoncé sur les réseaux sociaux, a choqué bon nombre d’entre nous en raison du nombre et de l’âge des victimes. En revanche, la surprise a été des moindres lorsque nous avons appris le lieu de ce massacre sordide : le Texas, aux États-Unis. Une fois de plus, le monde se prenait en pleine face le « rêve américain ».
"C'est l'heure de mourir". Voilà comment Salvador Ramos, 18 ans, a annoncé à ses futures victimes le sort qui les attendait alors qu'il braquait son fusil semiautomatique AR-15 sur une classe d'élèves de l'école primaire Robb, à Uvalde. Cette fusillade s’ajoute ainsi à la longue liste des tueries commises au sein des établissements scolaires américains. En effet, selon l’ONG GUN Violence Archive, il s’agit de la 212e tuerie de masse du pays, et la 38e fusillade dans un établissement scolaire (petite précision, cette ONG ne compte comme tuerie de masse que les incidents entrainants un nombre de victimes, blessées ou tuées, de quatre personnes ou plus).
Les fusillades scolaires sont un phénomène relativement propre aux États-Unis, et cette épidémie de tueries, tel ce cher COVID, semble se propager par vagues (« fun fact » : les USA sont en train de vivre une des vagues les plus violentes depuis environ 3 ans). On retrouve un modèle « type » de fusillade scolaire. Tout d’abord, l’incident a lieu dans un cadre scolaire et le tireur étudie ou a étudié dans l’établissement visé. Il y a plusieurs victimes, blessées ou tuées, ou du moins plusieurs cibles. Néanmoins, même si certaines personnes sont ciblées parce qu’elles ont causé du tort au tireur, la plupart des victimes sont choisies pour leur symbolique (comme le corps enseignant, les sportifs et sportives, les personnes racisées,…) ou tout simplement visées de manière aléatoire. Malheureusement, ce qui devrait être un acte extraordinaire est devenu au fil des ans une caractéristique récurrente du paysage médiatique américain.
À vrai dire, ces événements sont devenus si « communs » que toutes les écoles primaires et secondaires du pays se préparent à en vivre au moyen de tests (pensez aux tests de fausses alarmes incendies que vous avez pu connaitre, mais imaginez que là, c’est pour se préparer à se faire tirer dessus). Vraiment quel rêve que de grandir aux States. Les fusillades en milieu
scolaire sont entrées dans la pop-culture américaine et on été maintes fois abordées dans les teen séries, avec plus ou moins de pertinence. Pour n’en citer que quelques-unes : Glee, Les Frères Scott, Degrassi ou encore 13 Reassons Why. Maintenant que la télé américaine cherche vraiment à illustrer ce fléau avec beaucoup plus ou moins de talent, l'attention portée à ces épisodes est autant accrue en interne qu'en externe. Force est de constater les délais trop courts entre la diffusion de la fiction et les fusillades de la réalité, les épisodes opportunistes et sans sens qui répètent sans cesse une problématique sans solution. Les épisodes qui touchent à ce délicat sujet font systématiquement parler d’eux.
Avant la tuerie de Columbine, en avril 1999, tristement célèbre pour ses 24 morts, beaucoup de chercheurs ont suggéré que les tireurs étaient inspirés, influencés, par les médias populaires, notamment les films et des jeux vidéo comme « Mortal Kombat » qui glorifient la violence comme étant l’apanage de l’anti-héros. Après Columbine, il semble que cette tragédie elle-même soit devenue une source de fascination, un modèle de notoriété de défiance anti-sociale envers ceux qui se conformaient parfaitement à l’ordre établi (les athlètes, les riches, les populaires,…). On peut également penser au roman Rage de Stephen King, édité en 1977, dans lequel un lycéen prend sa classe en otage après avoir tué son professeur. En 1988, un lycéen de Californie séquestre sa classe sous la menace d’un fusille après s’être identifié au personnage du roman. On retrouvera également un exemplaire de ce livre après un événement similaire dans le Kentucky en 1989. Un jeune homme déclarera avoir été lui influencé lui aussi par différentes oeuvres de fiction, dont Rage, lors de son procès pour le meurtre de son professeur et de deux élèves en 1996. Enfin, en 1997, un exemplaire du même roman sera retrouvé dans le casier d’un étudiant ayant ouvert le feu sur le groupe de prière de son école, tuant trois jeunes filles. À la suite de cette dernière tragédie, ainsi que de la fusillade du lycée Columbine, Stephen King demande alors à son éditeur d'arrêter la publication du roman.
Les différents cas recensés et étudiés ont permis de dégager un profil des tireurs au travers de leurs antécédents, que ce soit des écrits violents, des traitements psychiatriques, des démêlés avec la justice et des preuves de ce qui est appelé une "personnalité Jekyll et Hyde", c'est-à-dire la capacité de séparer un comportement menaçant d'une conduite tout à fait ordinaire.
Les études de cas suggèrent que, dans la plupart de ces épisodes, on constate un agresseur perturbé, aux tendances violentes, qui suit un traitement de santé mentale, mais dont les autorités n'ont que rarement imaginé que la détresse aboutirait à une attaque.
Ainsi, dans Rampage : The Social roots of School Shootings, Katherine Newman et ses collaborateurs ont établi 5 facteurs nécessaires aux fusillades scolaires : la perception que le tireur a de lui-même, il se considère comme en marge de normes sociales ayant de la valeur à ses yeux ; des problèmes psychologiques divers qui peuvent amplifier son impression d’exclusion sociale ; l’idée de "scripts culturels" qui font de l'attaque armée un modèle de résolution des problèmes, en particulier pour modifier la réputation du tireur, qui passe de celle d'un perdant à celle d'un antihéros notaire ; l’échec du système scolaire qui faillit à repérer les signes de troubles chez l’individu ; enfin, l’accessibilité aux armes.
Les travaux de Newman et les différentes études et articles auxquels je me suis référé pour écrire la première partie de cet article sont incroyablement représentatifs de l’esprit américain. En vérité, les lire m’a mis en colère. Tout le monde est d’accord pour dire que ce genre de tuerie, et toute tuerie de masse en général, est événement sordide. Mais il ne s’agit pas de n’importe quel type de tuerie : on parle ici bel et bien de fusillades. Je trouve ainsi révoltant que la majorité des textes que j’ai pu lire ne remette la faute sur l’accessibilité aux armes qu’en dernier lieu. Non, c’est bien plus facile d’incriminer la santé mentale, l’influence des oeuvres de fictions ou encore l’incapacité du corps enseignant à remarquer les troubles chez leurs étudiants. En Belgique aussi, des jeunes souffrent de troubles similaires et ont été bercés par ces mêmes oeuvres de fiction, pourtant, l’idée d’une fusillade de masse dans nos écoles relève de la dystopie. Dès qu’un événement de la sorte fait les gros titres, pas besoin de lire le lieu pour savoir que cela se passe aux USA. En effet, la légalisation du port d’arme dans ce pays est évidemment pour beaucoup en Europe la raison principale de tels massacres. Dans la plupart des cas, il a été prouvé que les armes utilisées lors de l’attaque ont été acquises à la maison.
Face à tant de morts et de blessées, on peut légitimement se demander pourquoi les Américains restent tant attachés aux armes à feu. Partout sur les réseaux sociaux, et même dans des articles très sérieux, les pro -armes défendent leurs « droits » avec virulence. J’ai
même eu l’occasion de lire un article dans The Lancet qui expliquait que certaines lois fédérales interdisaient le financement des recherches sur la violence armée, car elles n’étaient pas légitimes puisque 2/3 des décès liés aux armes sont en réalité causés par des suicides. Donc oui, pas besoin de s’inquiéter de la violence armée puisque les fusillades ne représentent qu’une minorité des décès par armes à feu. Les arguments classiques pour et contre le contrôle des armes à feu, présentés par des avocats, des politiciens et des activistes communautaires, entre autres, se mélangent constamment et le reste du monde est indigné face à ces meurtres évitables. Malheureusement, le lobby des armes à feu est l’un des plus puissants du pays et est activement soutenu par les conservateurs (vous savez, ceux qui avaient fait élire Trump). Ce n'est donc pas une mince affaire d’ouvrir le débat compte tenu des positions idéologiques tranchées que ce sujet suscite entre les Américains, beaucoup considèrent les armes à feu comme un droit constitutionnel et culturel, et estiment que les conséquences de la violence armée ne sont pas une raison suffisante pour les réglementer. La restriction des armes à feu dans le pays serait une atteinte à la liberté si chère à ce pays. En attendant, ces mêmes êtres, qui prônent la liberté avant tout, sont ceux qui remettent également en cause le droit à l’avortement dans le pays (court raccourci, je sais, mais pas moins juste). D’ailleurs, comme l’a tweeté Alexandria Occasio-Cortez, qui semble être l’une des seules personnes saines dans ce pays :
« Il n’y rien de tel que d’être « pro-vie » tout en soutenant des lois qui permettent d’abattre des enfants dans leurs écoles, des ainés dans des épiceries, des fidèles dans leur maison de foi ou quiconque dans un endroit peuplé. C’est une idolâtrie de la violence. Et ça doit finir. »
Je sais, j’aurais dû m’arrêter là, ce message est si juste. Mais j’ai cédé à la tentation et j’ai lu les commentaires du tweet. C’était affligeant. Il y a même un homme qui a écrit que s’il n’y avait plus d’armes à feu, les agressions au couteau seraient légion. À la lecture de ces mots, je me suis dit que c’était vraiment très américain comme commentaire et que c’était vraiment un pays d’arriérés. Nous en Belgique, on n’a pas d’armes à feu, et pourtant je n’ai pas l’impression qu’il y ait un nombre affligeant d’agressions au couteau. Non, ici, on est bien plus raffiné que les Américains, on agresse les gens à la seringue ou en droguant leur verre.
Pourquoi faire un article sur l’histoire de la bière et du pastis me diriez-vous? Voici donc quelques raisons avant de rentrer dans le vif du sujet.
Le pastis pour se souvenir du regretté « pastis-pétanque » d’antan ; la bière parce qu’on en boit tous les jours*, pour certain.e.s, ou de temps à autre, pour d’autres. Cependant, on ne connait pas vraiment leur histoire !
1)Labinouze
Lors du team-building « cours de zythologie » que l’on a effectué avec le comité 20212022, j’ai pu en apprendre un peu plus sur notre boisson nationale (malheureusement c’est faux, je ne me souviens pas vraiment de ce qui a été dit, le Faro m’avait déjà trop monté à la tête, mais heureusement, « Google est ton ami! » comme on dit :) ). À l’aide ce précieux outil, je peux tout de même vous proposer un petit historique quant à l’évolution de la bière.
Aussi vieille sur terre que Steven dans le folklore, la bière était déjà bue par nos ancêtres mésopotamiens, il y a plus de 6 000 ans. Elle commença comme étant de la « soupe au pain » (pain dans de l’eau, t’as capté) et avec les toutes petites Après avoir pris l’appellation de « vin d’orge » chez les Babyloniens et les Égyptiens, on la nomma « cervoise » chez les Romains et elle fut conservée dans un tonneau en bois chez les Gaulois. L’actrice majeure dans cette histoire est probablement l’abbaye, à qui la bière doit son perfectionnement. En effet, c’est dans ces institutions que l’on mis au point la fermentation basse et que l’on introduisit le fameux houblon dans la préparation. Pour l’anecdote, le mot « bierre » apparaît pour la première fois en 1435 dans un édit de Philippe III de Bourgogne. Quelques affonds plus tard et nous voilà déjà à l’ère industrielle ! Produite en masse pendant plusieurs décennies, les années ‘70 viennent un peu changer la donne et l’on voit un regain d’intérêt pour les micro-brasseries qui vont côtoyer les grandes industries.
Blanche, blonde, ambrée, brune, d’abbaye, triple, Saison, IPA, Stout, tant de variétés différentes Alors, quelle est ta préférée ? (Tu veux les résultats du sondage Insta ? Rendez-vous à la page XX !)
2)Lepastaga
Suite à l’interdiction de l’absinthe et ses dérivés en France au début du siècle passé, le pastis a fait son apparition. C’est en 1932 que naît la célèbre marque au logo si reconnaissable (y a son nom dessus aussi donc bon). Son doux (non c’est pas vrai c’est pas bon) goût si typique lui confère toute sa popularité. Anis, anis étoilée, fenouil, réglisse miam miam ! Un peu d eau, des glaçons, le soleil de Marseille et ses copain.ine.s autour d’un petit terrain de pétanque et c est parti pour une journée de foliiiiiiiiie !
Indispensables pour bon.ne footeux.se:
Qui dit foot dit accoutrement de circonstance !
Voici quelques indispensables pour être un supporter/une supportrice digne de ce nom :
• Drapeau : quoi de mieux que de montrer notre soutien à notre pays avec le drapeau national ?
• Maquillage : heureusement que le ridicule ne tue pas.
• Trompette : pour montrer qu’en Belgique, on ne rigole pas avec le foot !
• T-shirt de ton équipe de foot préférée : ça serra l’occasion de, pour une fois, le sortir (surtout vu le prix des maillots des équipes nationales)
• Casquette : pour éviter les insolations ou se protéger de la pluie parce que l’on reste en Belgique
• Porte-clés décapsuleur : il faut toujours avoir de quoi s’ouvrir une bière, d’autant plus lors des matchs de foot
• Lunettes floquées avec le drapeau de l’équipe que tu supportes : certes, ça n’est pas pratique de voir avec ces lunettes mais elles te permettront de voir les choses en noir/jaune/rouge
• Perruque: t’as toujours voulu avoir la chevelure de Fellaini ? C’est l’occasion
(/!\ l’abus d’alcool est dangereux pour la santé et tout le tralala /!\)
La coupe du monde de football approche à grand pas et quoi de mieux à faire que jouer à un jeu à boire pendant le visionnage d’un match. En plus de vous tenir en haleine pendant le match, ce jeu permettra à vos proches qui n’apprécient pas le foot de se sentir plus impliqué dans le match.
Matérielnécessaire:
Un match de football
Des bonnes binouzes
Un bol
Une feuille de papier
De quoi prendre note
Des ami.e.s
(en vrai tu peux jouer seul.e mais c’est un peu cringe)
Préparationdujeu:
Lorsque la composition du jeu est connue prends une feuille A4 et fais 11 petits bouts de papier. Sur chaque papier note le numéro des joueurs titularisés
(dans ce cas : 12, 19, 2, 5, 21, 6, 8, 11, 7, 23 et 10). Avant le commencement du match plie les papiers pour cacher le nombre, mets les dans un bol et laisse chaque participant.e.s tirer un papier.
Déroulementdujeu:
Début du match :
Chaque participant.e annonce le numéro tiré et donc le joueur qui le représente. Petite mise en situation : imaginons que tu as tiré le numéro 6 : Axel Witsel
Chaque fois que ton joueur a la balle au pied tu bois jusqu’au moment où il fait une passe ou perde la balle. Si ton joueur intercepte un ballon que ce soit au milieu du terrain ou en arrêtant un but tu recommences à picoler. Si ton joueur reçoit un carton jaune tu prends 1 demi-affond, s’il prend un rouge tu en prends 1, si ton joueur prend deux cartons jaunes et fatalement un rouge tu additionnes (1 demi-affond pour le premier carton jaune, 1 demi-affond
pour le deuxième et 1 affond pour le carton rouge) et tu obtiens donc 2 affonds, parce que la violence c’est mal. Dans ce cas vu que ton joueur est exclu tu dois choisir le joueur de l’équipe adverse sur lequel le tiens a commis la faute et jouer avec lui jusqu’à la fin de la partie. Dans ton cas, Axel Witsel s’est mangé un jaune à la 36ème minute du coup tu as droit à 1 demi-affond. Ton joueur s’élance dans les derniers mètres et avec toute sa volonté il frappe, un boulet de canon traverse la cage du but adverse. Tout le monde hurle et est surexcité, toi par contre tu viens de gagner 2 affonds pour féliciter ton joueur. Si ton joueur est l’auteur d’une passe décisive tu prends 1 affond.
Remplacement :
Rien de bien sorcier ton joueur est remplacé par un autre, pas de problèmes ! Tu remarqueras que le truc sympa avec du papier c’est qu’il y a deux faces, tu peux donc retourner ton papier et noter le numéro du joueur qui prend sa place. Dans ton cas, Axel Witsel est remplacé à la 85ème minute par Wout Faes, le numéro 22. Tu notes donc à l’arrière de ton papier “22”.
Gardien de but :
Aïe t’avais 1 chance sur 11 de tomber sur lui et tu l’as eu... pas de bol. On va faire court mais sache que tu vas prendre cher. En gros toutes les autres règles citées plus haut s’appliquent à toi aussi. Mais vu qu’on est gentil voici toutes les règles qui s’ajoutent rien que pour toi :
Ton gardien marque un but ??? 5 affonds
Ton gardien encaisse un but, 2 affonds
Ton gardien arrête un tir, 1 demi-affond
Tirs au but :
Les 90 minutes de temps réglementaire sont passées, les 120 minutes dépassées. Tout le monde stresse à l’idée des redoutables tirs au but, pas vous vous êtes déjà toustes à terre. Les rares ayant survécu doivent s’achever, chaque pénalty marqué par votre équipe c’est un affond général.
Fin du match :
Bah tout le monde finit son verre mon reuf.
En espérant vous avoir motivé.e.s à jouer à ce petit jeu folichon keur keur,
Pour cette première édition de la Philomène 2022 - 2023, j’aimerais initier une petite chronique qui, je l’espère, réussira à rester présente et constante tout au long de l’année à venir. Cette chronique abordera un thème que j’affectionne particulièrement et sur lequel je n’ai plus autant l’occasion d’écrire étant donné que mon premier Master, qui se focalisait sur le sujet, commence tout doucement à dater. La Philomène est donc la tribune parfaite pour que je puisse partager avec vous cette fascination, celle de l’Amérique ancienne. Bien entendu, l’idée n’est pas de rentrer dans les détails scientifiques, mais de partager à chaque fois quelques informations de base sur un domaine bien particulier et que j’essaierai de mettre en lien avec le thème général de la Philomène. Je ferai également le part belle aux photographies et aux illustrations pour que vous puissiez tous apprécier la beauté de ces sociétés assez mal connues du grand public.
Pour initier cette chronique, mon choix s’est porté sur le jeu de balle mésoaméricain, une manière peut-être moins folklorique que le Foot Folklo d’engager le ballon, mais avec des conséquences bien plus importantes et dramatiques. Mais avant cela, qu’est-ce que la Mésoamérique ? C’est une aire culturelle d’Amérique centrale dans laquelle différentes sociétés, comme les Aztèques ou les Mayas pour les plus célèbres, partagèrent des caractéristiques communes. L’une d’entre est la pratique du jeu de balle. Contrairement à ce que le nom pourrait indiquer, il ne s’agit pas juste d’un jeu ou d’un sport, puisque cette pratique pouvait parfois servir dans le cadre de rituels, notamment avec des sacrifices humains pour le joueur ou l’équipe perdante. Le but était de faire passer une balle en caoutchouc de 3 à 4 kg dans des anneaux de pierre se trouvant sur les côtés du terrain en utilisant
les genoux, les coudes ou les hanches. Les archéologues n’ont aucune certitude chronologique et géographique quant à l’apparition du jeu de balle, mais il est certain que la pratique est ancienne puisque des terrains existaient déjà au sein de la civilisation olmèque qui est considérée par beaucoup comme la culture-mère de la Mésoamérique. Aujourd’hui, plus de 1500 terrains sont connus à travers les régions qui composent la Mésoamérique.
L’architecture d’un terrain de jeu de balle ne varie pas beaucoup d’un site à l’autre puisque vu d’en haut, elle évoque systématiquement un « i » majuscule. Des plateformes se trouvent sur chaque côté long de l’allée rectangulaire constituant le terrain pour accueillir des décors sur leur partie inférieure, notamment des sculptures qui montrent justement la pratique de ces rituels, et des spectateurs sur leur partie supérieure. Les joueurs se protégeaient en portant un casque et parfois des protections aux genoux. Ils portaient également une sorte de hache à la ceinture qui servait à renvoyer la balle. Parmi les rites pratiqués dans le cadre du jeu de balle, il y a ceux qui doivent s’assurer de la fertilité de la terre. Le mouvement de la balle qui passe d’un camp à l’autre évoque le mouvement des astres indispensable au bon déroulement de l’année agricole avec l’alternance du jour et de la nuit, ainsi que des saisons. Le sacrifice habituel en rapport avec la fertilité de la terre est la décapitation qui se déroulait sur le terrain même. L’importance du jeu
de balle est telle qu’il apparait dans certains des mythes les plus connus, notamment chez les Mayas avec l’aventure des jumeaux mythiques à Xibalba, le monde souterrain, qui furent à l’origine du soleil et de la lune. Les rois mayas sont également souvent représentés en joueur de balle.
Super ! Un numéro de la Philomène spéciale foot-folklo qui nous annonce un nouvel été haut en couleur. Installe toi dans ton transat au soleil et prépare ton meilleur thé glacé pour lire ma petite histoire.
Ce matin, comme tous les matins Basile se lève, il est assoiffé. Il sort assez difficilement de son lit et se jette sur le robinet de la cuisine à la recherche du liquide sain : l’eau. Il cherche à tâtons, active la vanne et s’apprête à se délecter. Il ouvre la bouche, sort sa langue sèche et rappeuse pour surprendre les premières gouttes dans leur chute mais rien ne vient. Il tourne la vanne une nouvelle fois, dans un sens, puis dans l’autre mais rien n’y fait le robinet ne répond pas à son appel.
Aux grands maux les grands remèdes il sort de chez lui et se rend d’un bon pas dans son estaminet préféré. J’ai nommé le Gauguin. Quand il arrive le bar est fermé mais pas de soucis Basile a ses entrées, il passe sa main sous le paillasson et la ressort quelques secondes plus tard avec une clé en main. Il entre la clé dans la serrure avec une certaine fébrilité et plusieurs tours de poignets plus tard la porte se livre enfin. Il se saisit de la poignée, l’ouvre en grand et plonge à l’intérieur avant de refermer derrière lui. Il soulève un coin du rideau et jette un petit coup d’œil vers l’extérieur, ouf c’est bon ! Personne ne l’a vu, son secret est bien gardé. Sans un mot il se rend derrière le bar et, la main tremblante il actionne le robinet
Il ne fait pas très chaud pourtant Basile transpire à grosse gouttes, son cœur bat à tout rompre dans sa poitrine. Il peine à retenir les mouvements parasites qui encombrent ses bras. Il entend monter au loin le cri plaintif de la vieille tuyauterie qui se met en branle. Le robinet se met tout à coup trembler, Basile s’y cramponne, il n’en peut plus d’attendre. Au bout du cri, comme une délivrance le robinet concède trois malheureuses gouttes d’eau qui s’écrasent lamentablement dans le fond de l’évier. Basile se redresse, il tremble de tout son corps, il ne cherche même plus à cacher son inquiétude. Il court jusque dans la réserve, passe devant les futs de pils sans même y prêter attention. Au passage il renverse même un bac de spéciales mais il ne s’en soucie pas. Il arrive face à la sainte citerne d’eau…malheur, elle est vide.
C’est exactement à ce moment la que le chat de Basile a décidé de lui adresser son meilleur coup de patte pour réclamer son petit déjeuner. Bien sûr il est fâché parce que ce n’est pas très agréable d’être réveillé par un chat qui a faim mais bon, aujourd’hui il passera l’éponge. Il vient quand même de le tirer d’un sacré mauvais rêve. Sa réputation a failli voler en éclat. Lui, fier barman qui imagine un monde sans eau… - Stuttle
L’été approche à grands pas et il est déjà l’heure de faire bronzette avec tes potes une bière à la main, mais tu as déjà dépensé toute ta moula aux TDélibés et la seconde session qui te guette ne te permet pas de trouver un job étudiant adapté à tes horaires ? Ne t’en fais pas, cette liste est faite pour toi ! Voici un Top 5 des activités à faire entre potes* cet été avec un petit budget.
1. Quoi de mieux pour profiter des douces soirées d’été qu’un pique-nique entre potes ? Des bières, 2-3 plaids, ce pote que tu fréquentes uniquement pour son baffle et c’est déjà une réussite ! Mais puisque vous êtes un groupe non seulement en dèche, mais aussi d’humeur anti gaspi, n’oubliez pas de réserver votre panier Too Good To Go pour faire de votre repas une vraie surprise.
2. Il est maintenant temps de gratter ces ami.e.s wallon.ne.s qui ont un jardin, et d’organiser votre meilleure soirée camping. Sortez vos tentes Quechua, faites griller des marshmallows et profitez, avant de regretter le lendemain en voyant les piqûres de moustiques partout sur vous.
3. Bien que Karafun ne soit pas si cher, ici on est des rats. De ce fait, préparez votre soirée karaoke à la maison, et pourquoi pas en profiter pour faire un concours de cocktails ? Voici le concept de « Un dîner presque bourré » : chacun.e prépare un cocktail surprise pour les autres, s’en suivent des notes et commentaires (avec vidéo à l’appui dans un petit confessionnal improvisé), et vous choisissez une récompense pour le.a gagnant.e !
4. Vos ami.e.s sont plutôt littéraires et aiment presque autant écrire que s’insulter entre elleux ? Préparez autant de sujets que d’invités ( comme « Pourquoi X ne sait-iel jamais arriver à l’heure ? »), mélangez les sujets dans un récipient et procédez au tirage au sort. Vous avez maintenant 1 heure chacun.e pour écrire votre théorie sur ce sujet et en faire un Powerpoint. Une fois le temps écoulé, place aux présentations !
5. Tout ça c’es bien sympa, mais tu as quand même envie de bouger un peu. Ne t’en fais pas, si tu as moins de 26 ans, tu peux toujours profiter du pass Youth Holidays proposé à 29 euros par mois (ou 18 euros par semaine) par la SNCB pour pouvoir voyager entre potes dans toute la Belgique de manière illimitée !
*Offre soumise à condition : Ces idées ne fonctionneront que si vous arrivez à rassembler tout un groupe d’amis à une même date dans un même endroit. Bonne chance. - Vachette
Maintenant que tu as choisi ta recette préférée parmi celles proposées par notre déléguée éco-responsable, il ne te reste plus qu’à la réaliser et regarder l’article suivant, préparé par notre déléguée balef I, afin de déterminer l’endroit où tu dégusteras ton petit plat sympa !
Envie de trouver des nouveaux endroits où faire tes meilleurs pique-niques, histoire de changer des habituels Bois de la Cambres et Pelouse du K ? Ça tombe bien, j’ai réalisé une petite liste qui va te plaire ... Tous ces endroits se situent à environ 1h de trajet de notre Alma Mater, alors plus d’excuses : prends ton billet de train, tes essentiels pique-niques et va profiter d’une journée loin de chez toi.
Le Bois de Halle
Le Bois de Halle, lieu de pique-nique certes mais lieu de promenades en tous genre également. Après un bon repas confectionné par tes soins, suis les chemins balisés du bois, admire les tapis de fleurs bleues, les ruisseaux de sources, les centaines d’hectares d’arbres et surtout, profite des paysages bien différents de ceux observables depuis la BSH.
Le domaine du Château de Gaasbeek
Installe toi sur les pelouses du domaine - entre étangs, vignoble et animaux - et profite de la vue du dernier vestige de la seigneurie de Gaasbeek. Riche d’histoire, le château abrite un musée d’art, faisant revivre le passé. Pour les plus passionné.e.s d’entre vous, sachez que vous vous trouverez sur les propriétés du comte d’Egmont.
Envie de dépaysement ? Va découvrir les moulins à eau de Grimbergen dans la campagne brabançonne. Tu y trouveras un petit ruisseau ainsi que des fermettes et des vergers. Si l’ombre que les arbres t’offrent pour un pique-nique ne te suffit pas et que tu es assoifé.e de « spéciale », certains moulins ont été transformés en tavernes champêtres.
Amateur.trice de flore belge, viens découvrir le domaine de la Hulpe et ces remarquables rhododendrons ainsi que quelques 450 autres espèces de plantes sauvages. Installe toi sur les pelouses, déploie ton draps et ouvre ton panier pique-nique et détend toi après cette longue session. Petit clin d’œil à nos déléguées Culture et Philomène, le domaine accueille la Fondation Folon ainsi que plus de 500 œuvres de l’artiste belge.
Pour découvrir cette ancienne carrière de pierre appartenant à l’abbaye de Dieleghem, traverse Bruxelles et rends toi chez nos amis Jettois (coucou Lara <3). Ce site t’offre une végétation exceptionnelle et si tu y restes assez tard, tu pourras y admirer de nombreuses chauve-souris. Ce bout de verdure bruxellois est donc parfait pour une journée pique-nique et découverte de la nature.
Des frip’, des frip’, des frip’, des frip’ des frip’ ! (à lire comme « des frites » dans Les Tuches évidemment)
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(Et non ! Malheureusement pour toi et ton irrépressible envie d aller convaincre les 4% qui ont voté PSG qu
Une majorité écrasante pour la douceur
Pourquoi le PSG a que 4% ?!?!?!
?
La meilleure bière Le meilleur club de foot ?Le personnage le plus beauf ?
La belgitude en force
La musique la plus beauf ?
La chose la plus beauf ?
Heureusement que c’est pas le mulet qui a gagné sinon CHTMB nous aurait encore mis en
Où est le dancefloor? Pat’ Seb’ va commencer son show !!
Tu as de quoi manger, tu sais où aller… mais tu ne sais pas quoi prendre avec toi pour ton piquenique de folie ? Séverine vous a concocté un petit jeu pour ne rien oubliez. Alors,
parti !
« Alors ? On attend pas Patrick ? »
« Tu sais, si j’avais l’physique de Florent Pagny, j’m’y prendrais autrement »
dans OSS 117 : Le Caire, nid d’espion
« Marilyne Monroe comme ça, comme un œuf ! »
« Comment est votre blanquette ? »
« Vous avez bien une amicale des anciens nazis ? un club ? une association peutêtre ? »
« J’te fascine hein ? Allez viens on parle de moi ! »
« Un chien vaut mieux que deux kilos de rats. »
« Elle est morte de vieillesse... mais jeune. »
« - Eh, Pierre! Y'a un monsieur très malpoli qu'a téléphoné, y voulait e****** Therèse !
- Oui mais c’est un ami.
- Ah bah ça va alors. »
« Les vacances c’est fait pour se promener en slip pas pour lire des bouquins ! »
dans Les Tuche dans RRRrrr !!!
dans Dikkenek
dans Brice de Nice
dans Le père Noel est une ordure dans Les Bronzés font du ski dans Camping 2
dans La Tour Montparnasse infernale
dans OSS 117 : Rio ne répond plus
Éditeur responsable : Antoine Langlet
Rédactrices : Camille Nogris et Laurine Gref
Merci à Romain Hancisse pour ses dessins
Merci à Iseut Lesjeune pour la relecture
Merci à toustes les contributeur.trice.s
