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PFE : Projet de Fin d’Études ou Projet Fastidieux Effrayant ?
Le projet de fin de session est un cours que tout étudiant du bac en aménagement et environnement forestiers, ainsi que d’opérations forestières doit faire. Une description plus détaillée du projet est disponible dans l’éditionAvril-2020 du Jaseur Boréal.
Voici quelques projets réalisés durant la session d’automne 2020.
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étudiante : Laurie Chicoine, Directrice du projet : Alison Munson, Titre du projet : Réponse de l’épinette blanche à la compétition en plantation
Le projet vise à déterminer l’effet de la compétition sur la disponibilité des ressources et la croissance des épinettes blanches en plantation. Pour ce faire, de jeunes plantations dégagées antérieurement sont comparées à d’autres n’ayant jamais été traitées. Ces comparaisons se basent sur des données dendrométriques (hauteur, diamètre à hauteur de souche) et écophysiologiques (luminosité, teneur en eau du sol, nutrition foliaire, compétition).
étudiant : Maher Haj Amor, Directrice du projet : Maude Flamand-Hubert, Titre du projet : Les différents usages d’une forêt privée dans la région Chaudière-Appalaches et la sélection de l’usage optimal pour un lot privé situé à Sainte-Apolline de Patton
Mon projet de fin d’études vise ainsi à évaluer les différents usages d’un territoire forestier privé dans la région Chaudière-Appalaches et d’identifier les conditions qui en permettraient un usage optimal selon les objectifs du propriétaire pour son lot.
étudiante : Claudelle Bourque Directeur du projet : Jean-Claude Ruel Titre du projet : Dynamique d’acclimatation et de croissance de semis naturels et plantés d’épinette rouge et de thuya occidental dans un contexte d’enrichissement en coupe progressive irrégulière
En somme, l’étude préliminaire de semis naturels et plantés d’épinette rouge et de thuya sous des conditions créées par la coupe progressive irrégulière (CPI) a permis de constater qu’à court terme, les semis, tant naturels que plantés, ont semblé performer davantage dans le traitement 30 % de prélèvement de la surface terrière marchande (comparativement aux traitements 40 et 50 %), et ce, pour les deux essences étudiées. Cela pourrait s’expliquer par la repousse rapide d’une végétation concurrente favorisée par un degré d’ouverture plus grande du couvert forestier.