Expédition 4 - 14 septembre 2013

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Les carnets de visites de l’ardepa

Expédition urbaine L’Erdre

© Ville de Nantes

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Samedi 14 septembre 2013 Les expéditions urbaines de la Ville de Nantes


Introduction

L’Erzh bretonne, avant que la Cité des Ducs ne la rebaptise Erdre, disparaît dans le tunnel Saint-Félix, pour rejoindre le canal Saint-Félix et son écluse de marnage avec la Loire. Contrainte depuis la Loire vers l’Erdre par les gabarits fluviaux, la navigation suit le cours du fleuve, le long des rives qui offre une variation de séquences urbaines qui faisait dire à François 1er qu’elle était la plus belle rivière de France. Les quais sont d’activités et festifs, frôlés par la ligne historique du tramway. L’Erdre semi apprivoisée, coule au rythme des vols de hérons, de promenades aux poussettes. Les rives, urbanisées au long cours, entre alternance résidentielle et équipements publics, ponctuées de « folies » d’un autre temps, privées ou publiques, jalonnent les pieds des « bourgs quartier » jusqu’aux plaines de Mazerolles que l’on traverse à pieds en été….

Expédition urbaine # 4 - L’Erdre - 14 septembre 2013


Le pont de la Motte Rouge


L’Erdre Cette rivière, qui prend sa source en Maine et Loire, se jette dans la Loire à Nantes après un périple de près de 100 kilomètres (97,4 km). Parvenue à Nort-sur-Erdre, elle traverse les marais de l’Erdre en formant deux vastes lacs (la plaine de La Poupinière de 2 km² et la plaine de Mazerolles de 3 km²). Son régime hydraulique est régulé à son embouchure par l’écluse Saint-Félix. Avec de nombreux manoirs, parcs et châteaux somptueux qui bordent ses rives, l’Erdre porte bien le nom de «plus belle rivière de France», que lui a donné François Ier. Pendant la grande période de comblement des bras de la Loire à Nantes, au début du XXéme siècle, l’Erdre a elle aussi subi des modifications. Ainsi, ses 500 derniers mètres ont été comblés et sont aujourd’hui devenus l’un des axes principaux de Nantes, le Cours des 50 Otages. L’Erdre passe donc aujourd’hui par un tunnel sous le cours Saint-Pierre et Saint-André, ainsi que la place Duchesse-Anne, avant de se jeter dans la Loire par l’intermédiaire du canal Saint-Félix. L’Erdre présente des types d’habitats remarquables bien distincts : marais, tourbières, eaux douces intérieures, prairies humides, bois marécageux à aulnes, terres agricoles, haies bocagères, zones urbanisées et industrielles, routes, décharges, carrières, zone d’extraction de tourbe… Expédition urbaine # 4 - L’Erdre - 14 septembre 2013

A l’échelle de la ville, le secteur de la vallée devient plus étroit et plus urbanisé. La végétation riveraine, ligneuse ou/et herbacée, forme un couloir écologique quasi continu parallèle au cours d’eau. Parfois, au profit d’un affluent, tel le ruisseau de l’étang Hervé où à Portla-Blanche, ce couloir écologique se ramifie et assure des connexions perpendiculaires avec d’autres espaces agricoles, naturels à l’intérieur des terres ou avec des zones urbanisées. Malgré la présence d’habitats remarquables, l’Erdre est fortement influencée par les activités agricoles, l’urbanisation, le développement d’infrastructures linéaires, de réseaux de communication, par le tourisme nautique. Elle l’est aussi par le rejets de substances polluantes dans les eaux, le drainage et l’exploitation de la tourbe. Il est donc nécessaire de limiter l’urbanisation à proximité de la vallée, de contrôler les pollutions (épandages d’engrais, de lisier en amont, eaux usées, eaux urbaines – voiries, parkings, etc.) et ainsi de maintenir une activité agropastorale respectueuse des équilibres biologiques, d’établir des plans de gestion, de limiter les drainages, le creusement de fossés et de limiter l’exploitation de la tourbe. Extrait de «La Biodiversité à Nantes», Ville de Nantes


Schéma de l’Erdre sur sa portion de Nort-sur-Erdre à Nantes

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Détournement et comblements de l’Erdre Le 1er juillet 1859 une commission nommée par le Conseil Municipal se prononce sur un « Projet pour l’assainissement et l’agrandissement de la ville de Nantes et la rectification du chemin de fer d’Orléans au moyen de la dérivation du canal de l’Erdre et de la suppression du bras Brancas ». Cette dérivation qui débouchait dans un bassin occupant toute la place de la Duchesse Anne n’apportait pas de solution satisfaisante au problème de l’écoulement des crues. Le projet fut abandonné mais, très vite, le passage de l’Erdre en plein cœur de la ville apparut dangereux pour la salubrité publique. De nouvelles études sont entreprises en 1894, 1914 ; en 1925 elles s’intègrent dans l’avant-projet des grands travaux à effectuer dans le port de Nantes. Lorsque priorité est donnée au comblement des bras nord de la Loire par le Ministère des Travaux Publics, la Ville de Nantes reprend à son compte le détournement et le comblement de l’Erdre étant entendu que l’opération serait exécutée au titre du plan Dawes, que l’entreprise allemande serait payée partie en marks, partie en francs, que le montant de la dépense payable en marks-or serait avancé par l’Etat et remboursé par la ville moyennant un amortissement sur 30 ans, au taux de 4 %. Les travaux de détournement furent assez rapidement menés : - 23 décembre 1927 : approbation du projet d’exécution Expédition urbaine # 4 - L’Erdre - 14 septembre 2013

- 2 mars 1928 : premières soumissions - octobre 1929 : installation du chantier - janvier 1930 : construction d’une galerie d’évacuation des matériaux sous le quai de Richebourg et les voies ferrées. - février 1930 : projet définitif – On abandonne la construction de l’écluse du square Sully qui devait permettre l’écoulement des crues de l’Erdre. La rivière dont le débit reste faible a toujours la possibilité d’emmagasiner ses eaux en amont dans sa large vallée. Par contre, pour éviter la pénétration des eaux de Loire, surélévation d’un mètre du niveau du souterrain et maintien de l’écluse d’aval (Saint-Félix). Le tunnel de 740m est composé de deux éléments distincts : - une partie voûtée sous les cours SaintAndré et Saint-Pierre, d’une longueur de 550m. La voûte circulaire en béton armé (5m de rayon, 0,60m d’épaisseur à la clé, 1m aux naissances) enveloppe une cuvette de 8m40 de hauteur, 7m90 de largeur, creusée dans le rocher et masquée par 3 à 6m de remblai. - une galerie sous la place de la Duchesse Anne de section rectangulaire (8m50 entre des pieds droits de 2m25 d’épaisseur) fermée par une poutre de béton armé supportant une mince épaisseur de terrains rapportés, se prolonge dans le lit de la Loire par l’écluse n°1 du canal. Extraits de «Nantes : les îles, le fleuve, le port» M. Denizeau (1988), Documents d’histoire régionale, CRDP de Nantes.


Le pont Saint-Félix permettait de franchir le canal du même nom. «Quand la ville se mirait dans l’eau» Loïc Ménanteau, Nicasio Perera San Martin, Ed Ponctation Estuarium, 2000.

Bras de la Loire avant le comblement de la partie en aval, août 1934. «Nantes, le comblement de la Venise de l’Ouest» Chantal Cornet, Ed C.M.D, 1996.


Les Jardins Flottants du SEVE Les Jardins flottants, imaginés par Pierre Oréfice avec le Seve, sont de retour après avoir conquis le public en 2009 lorsque les Floralies avaient essaimé en ville. Cette installation célèbre la « conquête de la nature en ville ». Des îles végétales flottantes, des massifs, des arbustes, et un bateau-lavoir habillent désormais le bassin Ceineray, face à la préfecture. La différence avec la précédente édition, qui présentait nombre de plantes exotiques, réside dans le choix des 200 espèces et variétés d’arbres, de semis, de plantes et de fleurs choisis, tous en provenance des bords de l’Erdre. «Nous faisons le pari que le public accepte une nature en ville, moins séduisante et plus réelle, une nature ordinaire, qui n’est pas luxuriante et décorative. L’image que nous allons proposer ne sera pas figée, mais dynamique», annonce Françoise Barret, paysagiste au SEVE.

Cette fois-ci, un suivi naturaliste doublé d’un inventaire sera effectué, des canards et libellules ayant élu domicile sur les îlots il y a quatre ans. «On a disposé des nichoirs pour passereaux et chauves-souris, des paniers de ponte pour canards, des frayères pour poissons, des souches de bois pour les insectes. On est très confiants. Il y a déjà beaucoup de poules d’eau d’arrivées.» Cette végétation appelée à devenir exubérante pourra être observée depuis la terrasse du bar bateau-lavoir. Plus compatibles avec la vie aquatique, ces nouveaux jardins flottants pourraient demeurer à flot de façon permanente, mais sans le BateauLavoir. « Si l’histoire fonctionne, elle pourrait se pérenniser, à condition que les nouvelles solutions techniques encore expérimentales résistent à ces conditions très particulières. »

© Ville de Nantes

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Texte de Nantes Métropole

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La faune citadine La richesse de la biodiversité urbaine peut nous réserver des surprises, spécialement en ce qui concerne la faune, plus importante et plus variée qu’on ne le croit généralement. Insectes, reptiles, batraciens, oiseaux, rongeurs, mammifères sont des citadins à part entière, quasiment nos voisins de palier. Depuis l’écureuil aussi farouche que sympathique, les grenouilles et les libellules qui animent les endroits humides, sans oublier les centaines d’espèces d’oiseaux qui peuplent nos corniches, nichent dans nos arbres et pépient si bruyamment au printemps, les hérons qui viennent pêcher dans les bassins en ville, un faucon crécerelle qui chasse depuis le clocher de l’église St-Clément, les canards colverts et les poules d’eau adaptés à nos plans d’eau, les cormorans qui pêchent sur la Loire... On a également vu les labours des sangliers dans la promenade du Gesvres… Et encore plus incroyable, une colonie de renards qui loge sur le campus. Toutes ces variétés d’animaux appartiennent à notre environnement. Leur apparition est toujours spontanée. C’est un signe de bonne santé pour la ville et beaucoup d’entre eux sont des prédateurs très utiles à l’équilibre naturel. Extrait de www.jardins.nantes.fr

V i s i t e co m m e n t é e

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Les Jardins à Quai

samedi 6 juillet


Habiter ou travailler sur l’Erdre Les péniches parlent d’elles-mêmes : sédentaires ou vagabondes, actives ou somnolentes, bichonnées ou délaissées, rénovées ou authentiques... toutes véhiculent une odeur de bienêtre, un état d’esprit, une saveur de passion vécue, de désir assouvi. Mais avant tout elles restituent l’identité de la ville. Car Nantes reste en premier lieu un port fluvial, jouant de cet atout pour diversifier son économie. Aujourd’hui, les péniches sont alignées en rangs serrés le long des quais. Leurs habitants y vivent, y travaillent, s’y prélassent aux beaux jours. Ces Nantais que l’on surnomme familièrement «pénichards» semblent redécouvrir le décalage qui existe entre vivre les pieds sur terre et vivre les pieds dans l’eau. Au fil du temps, l’installation sur les bords de l’Erdre s’est mise à obéir à des règles tacites puis écrites. Dans les années 1970, certains se sont amarrés hors de tout cadre légal. Les péniches échappaient ainsi à l’impôt, ne relevant pas du domaine construit. Néanmoins, en lieu et place de cette dîme, les riverains payaient une «taxe d’occupation du domaine public».

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En fait, c’est en 1994 que tous les emplacements ont été réglementés. Une autorité s’occupe d’orchestrer la vie de l’Erdre : la capitainerie, bâtiment installé sur l’île de Versailles. Les missions de cet organisme sont multiples. Il accueille les usagers, gère les emplacements, entretient et promeut les équipements, conseille et fédère. Il fait également fonction de percepteur des redevances de stationnement et régule les allées et venues des usagers et des plaisanciers. Il n’est plus possible aujourd’hui d’amarrer sur les bords de l’Erdre une péniche d’habitation ou de commerce. Il y a une liste d’attente d’une dizaine de bateaux et certains patientent déjà depuis dix ans. Les difficultés spécifiques rencontrées par les habitants de l’Erdre les ont poussés à s’associer, en 1986, en un collectif nommé Argonantes. L’association se veut l’interlocuteur principal de la mairie de Nantes, qui a toujours maintenu une relation étroite avec les riverains et les commerçants du bord de l’eau. Le fleuve habité, par Pénélope Boeuf et Pandora Reggiani, publié sur www.lexpress.fr le 23/03/2006

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L’Ile de Versailles L’île de Versailles se situe au bout du cours des Cinquante Otages. Cette île n’était qu’un marécage et fut aménagée par les déblais du canal de Nantes à Brest. Diverses appellations lui ont succédées Marais de Barbin, Ile Le Gall, Ile aux Singes, et enfin Ile de Versailles nom du quai. Durant la fin 18ème et le 20ème siècle de multiples activités se sont succédées blanchisseries, menuiseries, tanneries, forges et constructions de bateaux. Après 1950, l’île est peu à peu abandonnée, puis rachetée par la Ville qui en 1983 décide l’aménagement de ce site. Les travaux d’aménagement commencèrent sous le mandat de Michel Chauty (maire de Nantes de 1983 à 1989). À l’issue du concours d’architectes, c’est l’équipe Jacques Dulieu/Claudine Breton/Michel Cormier/ Michel Dudon, complétée par le paysagiste Louis Soulard, qui obtint le chantier avec une réalisation sur le thème japonais. La composition s’articule autour de 3 constructions inspirées de l’habitat traditionnel nippon : - La capitainerie destinée à gérer les activités du port de l’Erdre. - La Maison de l’Erdre dont la structure rectangulaire entoure un jardin zen. Elle est utilisée par de nombreuses expositions ayant le thème de l’Erdre et de l’environnement aquatique. - Et pour terminer, le restaurant situé à l’extrémité de l’Ile. Expédition urbaine # 4 - L’Erdre - 14 septembre 2013

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Le Jardin japonisant L’exotisme de ce site se trouve justifié par la tradition nantaise du port tourné vers l’Orient et le Nouveau Monde, par la vocation de l’Erdre aux loisirs, par les plantations exotiques rapportées par les marins nantais dans les propriétés bordant ses rives (bambous, cyprèschauves, rhododendrons, cèdres, séquoias, etc.). Ce jardin n’est pas un authentique jardin japonais car il a été créé par des occidentaux qui n’ont fait référence qu’à une esthétique extrême-orientale, laissant de coté toute signification philosophique ou religieuse. Le vrai jardin japonais est intime et précieux, notions incompatibles avec la surfréquentation du site. Le style japonais permet, sur une petite surface, de donner une impression d’espace en créant des paysages variés, avec pièces d’eau, cascades, plages de galets, rocailles (3000 tonnes de rochers ont été apportées pour recréer ces paysages de « montagne »). Le visiteur appréciera les dégradés de nuances de vert, la mise en valeur des productions régionales de plantes de terre de bruyère : rhododendrons, camélias, azalées, magnolias. Il y trouvera aussi des érables, des bambous, des cerisiers-fleurs, des pins taillés «à la japonaise», des cyprèschauves (conifères poussant dans les marais de Louisiane et parfaitement acclimatés sur les bords de l’Erdre : ce serait un des seuls endroits en France où ils se reproduisent naturellement).

Le Jardin sec Dans le patio de la Maison de l’Erdre, un jardin sec ou «Zen» a été aménagé. Le tracé des motifs dans le sable est considéré comme un exercice de discipline spirituelle : il y faut pas mal de concentration et un certain savoir-faire. La Maison de l’Erdre Située au cœur de l’île, elle s‘inspire d’un pavillon de thé japonais dans lequel le maître de maison reçoit ses hôtes. Dans cet esprit, elle est librement ouverte à tous et permet de découvrir tout ce qui a trait à la rivière : la flore, la faune (nombreux aquariums), l’histoire des activités humaines (blanchisseuses, batellerie, etc.) La Maison de l’Erdre propose aux enfants des écoles nantaises des animations orientées vers la biodiversité de la rivière et le jardin japonais. Textes du SEVE

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La crèche flottante «Une Souris verte» Livraison : 2005 Surface : 275 m2 (surface habitable) Maîtrise d’ouvrage : Association «La Souris verte» Architecte / Maître d’œuvre : Agence In Situ a&e Coût du projet : 500 000 € (TTC) Le site de la crèche est un site caractéristique de la ville sur l’eau. L’enjeu, ici, est de réinterroger les liens avec la rivière qui devient «territoire d’inscription du projet». Cette situation particulière définit de nouveaux liens à la ville : liens visuels entre un environnement actif et un intérieur relativement perméable, liens d’usages entre le quai et la terre ferme, liens affectifs et sensoriels entre les enfants et l’eau.

La position du projet est de révéler l’enfant dans ses potentiels effectifs sans les simplifier. Les lieux fabriqués doivent être forts, signifiant, stimulants et fortement inscrits dans la ville, car l’apprentissage de l’espace et de l’autre est indissociable d’un apprentissage de la ville «intense et partagée».

La vie sur un bateau est une pratique transformée de nos usages domestiques où la relation dedans/dehors devient plus étroite. Les surfaces contraintes sont l’occasion de composer des espaces successifs et filtrés à l’aide du mobilier jouant le rôle d’écran variable. Le ponton central crée l’articulation spatiale et sociale entre «deux âges» (les petits et les grands), entre «deux sphères» (l’espace public du quai et l’espace privé de la crèche), entre «deux terrains» (la terre et la rivière). L’organisation de la crèche flottante repose alors sur un principe d’itinéraires: succession d’espaces aux qualités différenciées (lumières, matières, couleurs...) amenant progressivement de l’espace public à l’espace privé le plus intime (les espaces de sommeil).

Deux barges en fer de 40 et 30 m de long reliées entre elles et entièrement aménagées en bois. Large de 6,2 m, la crèche propose un espace de 400 m2 avec une ossature en bois qui rappelle les bateaux lavoirs présents autrefois sur l’Erdre. «C’est du sur-mesure à grande échelle», commente Pascal Bellec, président de l’association nantaise.

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Texte : In Situ a&e

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© In Situ a&e

© In Situ a&e


Les différents franchissements Le pont de la Tortière est un ouvrage en béton, inauguré en 1977. Il remplace un pont en brique et pierre construit en 1876 et ouvert à la circulation en 1878.

Le Pont de la Beaujoire est un pont situé à Nantes, juste à côté du Pont de la Jonelière permettant au périphérique nantais de traverser l’Erdre. Il a été construit en béton.

Le pont de la Jonelière en premier plan et le pont de la Beaujoire en second plan

Le Pont de la Jonelière, achevé en 1948, est un viaduc ferroviaire enjambant l’Erdre entre Nantes et La Chapelle-sur-Erdre. Il est emprunté par une voie ferrée unique de la ligne Nantes - Châteaubriant qui doit rouvrir prochainement sous la forme d’un tramtrain. Il remplace un ancien pont métallique, construit de 1872 à 1877 qui comportait un arc dont la portée était de 95,03 mètres, sa longueur totale étant égale à 171,18 mètres et qui fut détruit lors de la Seconde Guerre mondiale. Le pont actuel adopte le même schéma que le précédent, c’est aussi un viaduc ferroviaire, construit en tant que pontarc. L’arc, en béton armé cette fois-ci, a une portée de 95 mètres. Albert Caquot en a été son concepteur.

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Le Pont de l’Erdre est un pont construit en 1991-1993 entre La Chapelle-surErdre et le nord de Nantes. Il traverse l’Erdre et supporte l’autoroute A821. C’est un pont en dalle et poutre, à double poutre, de type viaduc autoroutier. L’architecte est Françoise Vié, qui a participé au chantier de l’autoroute A19 (Sens-Artenay). La dalle est en béton armé et les poutres en acier (2 450 tonnes d’acier de construction ont été utilisées).

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Le long de l’Erdre... Le Pavillon Tourneron, ancienne propriété du docteur Laënnec (inventeur du stéthoscope). La résidence de la Houssinière est la résidence du recteur de l’Académie de Nantes. Le château du Tertre, racheté par l’Université de Nantes, abrite un centre de recherche. Le château de l’Eraudière, superbe manoir du XVIème siècle, propriété de la famille de la Tullaye. Les quais de la Jonelière, ses péniches, ses bars, ses restaurants ... Un peu plus loin, le fameux centre d’entraînement du Football Club de Nantes. En face le Parc des Expositions, au pied du Stade de la Beaujoire - Louis Fonteneau. Le Château de la Desnerie, mentionné dès 1371, il est la propriété de Jean Leet alias Lect, compagnon d’armes de Du Guesclin et du connétable Olivier de Clisson. Le château de la Desnerie devient au XVIIéme siècle la propriété de la famille de la Roche Saint-André qui l’agrandit. Il possède une chapelle privée qui date de XVIIéme siècle La famille Trévelec, qui en est propriétaire au XVIIIéme siècle, qui l’agrandit également et ajoute l’aile ouest (œuvre de l’architecte Ceineray). La famille de Sesmaisons obtient le domaine de la Desnerie par alliance avec les Leloup de Chasseloire. La tour jumelle, vestige du château primitif, date du XV-XVIéme siècle.

Le parc des expositions

Le château de l’Eraudière

Le Château de la Desnerie

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L’Erdre, une biodiversité « surpre-Nantes», Etude écologique de l’Erdre nantaise

La zone nantaise de l’Erdre située entre le quai Ceineray et le Gachet (Nantes Nord), recèle de nombreuses richesses encore mal connues. Au sein même de l’agglomération nantaise, les zones humides comme les marais du Cens, du Gesvres, du Port Boyer, les boires de l’Eraudière, des Salles, de la Tortière, du Rectorat et d’autres, constituent des réservoirs de biodiversité et une véritable mosaïque d’habitats. L’état des lieux des ressources environnementales actuelles de l’Erdre, réalisé au cours de cette étude, va permettre un meilleur suivi au cours du temps. L’acquisition de bonnes connaissances sur le fonctionnement de l’Erdre et sur les espèces animales et végétales présentes permet d’élaborer des plans de gestion adaptés et ainsi mieux préserver la rivière.

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L’Erdre,

une biodiversité "SURPRE-NANTES " Étude écologique de l’Erdre nantaise

Exposition

14 juin - 15 septembre 2013

© Droits photos : Héloïse Caillaud

La Ville de Nantes propose à partir du 14 juin et jusqu’au 15 septembre 2013, l’exposition « l’Erdre, une biodiversité surpre-Nantes» à la Maison de l’Erdre, sur l’île de Versailles. Cette exposition présente l’étude écologique réalisée, entre février 2012 et février 2013, par la Fédération des Amis de l’Erdre sur la partie nantaise de l’Erdre et ses affluents. Cette étude avait pour objectif de faire l’inventaire des espèces animales et végétales présentes dans la zone nantaise de l’Erdre.

Maison de l’Erdre - île de Versailles

ALLONANTES 02 40 41 9000

www.nantes.fr

A travers textes et photos, l’exposition présente les résultats et informations collectées, et trace ainsi les perspectives du futur plan de gestion de la zone. Communiqué de presse Ville de Nantes

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n s L’ARDEPA eo rciement e m e R tsquelques m ts

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Comment epa sont destinées à tous les et Virginie Potiron de la Direction de la Communication Nautilus, Arnaud Renou é cs curieux de la fabrication et des évolutions de la ville, desComment évolue le projet lors de saComment constructi t des évolutions de la ville, des Nantes Métropole. ents qui la composent et des enjeux urbains et politiques Ce nouveau es enjeux urbains et politiques projets p lesquels la cité s’inscrit. Les citoyens ordinaires, les amateursCe nouveau cycle de « genèse » de tique des e itoyens ordinaires, les amateurs tique des expéditions urbaine, 3 grands ensem és, les scolaires, les institutions et collectivités territoriales, les sa Métropo s et collectivités territoriales, les sa Métropole : la Cité de l’Hermitage à Chant et le Sillon d ssionnels sont ainsi invités tout au long de l’année à participeret le Sillon de Bretagne à Saint-Herblain. t au long de l’année à participer ctions singulières de l’Ardepa. O Genèse 1 O Genèse 1 : Cité de l’Hermitage 1938/53, a Spitz - M tions et débats organisés par l’Ardepa informent et facilitent la1938/53, architecte : Michel Roux 2008/2010 ’Ardepa informent et facilitent la depa en 2008/2010 : Réhabilitation par l’agence d’ dans réhension des processus d’élaboration L’ar à travers les démarchesÉrigée dans les années 30 afin d’y Érigée loger les ou boration à travers les démarches s t o été fférents intervenants, des mouvements es met des enjeuxd’abord été bombardée durant lad’abord seconde g quelquculturels uvements culturels et des enjeux Aujourd’hu ux dans lesquels ils sont impliqués. Aujourd’hui réhabilitée par l’agence MaP, la C ués. maîtrises d’ouvrage institutionnelles et privées, architectes, O Si Genèse les exp2 nnelles et privées, architectes, O Genèse 2 : le Sillon de Bretagne 34 annéesexperts, de diffusion et de promotion, 34 années de sensibilisation istes, paysagistes, artistes, universitaires sont conviés 1970/74, a ville, l’arde Si les expéditions urbaines évoquent et istes, universitaires sont conviés 1970/74, architecte : M. Lemaresquier - Ma « Le Home iquer le sens de leurs actions sur les lieux mêmes qui résultentville, l’architecte l’ardepa et la Ville de Nantes souha « Le Home Atlantique » à l’origine, aujourd sur les lieux mêmes qui résultent 2010/2013 Les de actions développées l’ardepa sont et destinées à tousRéhabilitation les son publics Pour quane acte curieux de années diffusion, deparpromotion del’architecte ur travail. 2010/2013 : dans parconcevoir l’Atelier du Architecture Pour quand ? n, de promotion et de de àlalafabrication etdudes évolutions de la ville, des bâtiments qui la compose et des du projet réalisation, local à l’international, de l’urbain Architecture & Environnement) Ces confére sibilisation ocal à l’international, de l’urbain Cet édifice, enjeuxpropose urbainsde et révéler politiques lesquels cité s’inscrit. Lesconçu citoyens ordinaires, ral, l’Ardepa les dans dimensions dulaterritoire Cet édifice, à l’origine comme un vér publique), d Ces conférences-visites offrent l’occasion d’a ler les dimensions du territoire nantais (85 les amateurs par éclairés, les scolaires, les institutions et collectivités territoriales, les nantais (85de m la deconception haut, plus d’un de tous sesdéveloppées états. manditaires et dekilomètre la fabrication ctions l’Ardepa sont destinées à tous lespublique), aujourd’hu professionnels ainsi tout de au la long dedes l’année à l’occasion des actions aujourd’hui plussont grande transformation. Comment éL manditaires ?saQuels les enjeux ? 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Les citoyens ordinaires, lesd’infos amateursCe La restructu tique des ep Plus : cycle de « genèse » de projets La restructuration deet l’ensemble, conduite pa Les actions etamateurs débatset que l’ardepaterritoriales, organise les doivent faciliter laMétropo itoyens ordinaires, de Bretagn és, les scolaires, les les institutions collectivités sa tique desinformer expéditions urbaine, 3 grands ensem de Bretagne un rôle majeur dans le nouveau ARDEPA compréhension des processus d’élaboration à travers les démarches respectives et leàSillon d s et collectivités territoriales, lesau long de sa Métropole : la Cité de l’Hermitage Chant ssionnels sont ainsi invités tout l’année à participer ARDEPA O Genèse 3 ENSAN - 6, quai François-Mitterrand - BPculturels 16202O Genèse 3 : l’immeuble Watteau des des mouvements et des enjeux sociaux dans et le Sillon de Bretagne à Saint-Herblain. ti François-Mitterrand au long dedifférents l’année à-intervenants, participer ctions singulières de l’Ardepa. BP 16202 1957, arch1 O Genèse 44262 Nantes Cedex 21957, architecte : Marcel Favraud - Maître lesquels ils sont Cedex impliqués. 44262 Nantes 2 Première a Z O Genèse 1 : Cité de l’Hermitage 1938/53, Premièrearchitectes, ZUP de la ville construite à partir Tél.l’Ardepa : 02 40institutionnelles 59 04 59 - 06 92 01 d’ouvrage et 68privées, urbanistes, débats par informent et80 facilitent la1938/53, Dervallières 2008/2010 architecte : Michel Roux Spitz - M :tions 02 40etLes 59 04maîtrises 59organisés - 06 80 92 68 01 Dervallières abrite le Watteau oude le grand lardepa@yahoo.fr paysagistes, experts, artistes,à universitaires sont conviés à :expliquer le sens ’Ardepa informent et facilitent la apprécié. C Érigée dans réhension des processus d’élaboration travers les démarches 2008/2010 Réhabilitation par l’agence d’ lardepa@yahoo.fr apprécié. Conçu comme un repère, cet ense actions sur lieux mêmes qui résultent de leur travail. haut été Érigée dans les années 30 afin d’y d’abord logerde lesses ou boration à travers les démarches fférentsleurs intervenants, desles mouvements culturels et des enjeux haut de ses 14 étages. d’abord été bombardée durant laAujourd’hu seconde g du ils projet àimpliqués. la réalisation, du local à l’international, de l’urbain au rural, l’ardepa uvements culturels et des enjeux ux dansAinsi, lesquels sont Aujourd’hui par l’agence MaP, la C de révéler les dimensions du territoire dans tous ses réhabilitée états. ués. propose maîtrises d’ouvrage institutionnelles et privées, architectes, O Genèse 2 Réservatio et inscription obligatoires, pa nnelles et privées,experts, architectes, istes, paysagistes, artistes, universitaires sont conviésRéservation 1970/74, a O Genèse 2 : le Sillon de Bretagne ou par mai ou par mail à lardepa@yahoo.fr istes, sont conviés « Le Home - Ma iquer universitaires le sens de leurs actions sur les lieux mêmes qui résultent1970/74, architecte : M. Lemaresquier 2010/2013 « Le Home Atlantique » à l’origine, aujourd surtravail. les lieux mêmes qui résultent ur 19 Architecture du du projet à la réalisation, du local à l’international, de l’urbain2010/2013 : Réhabilitation par l’Atelier ocall’Ardepa à l’international, ral, propose de del’urbain révéler les dimensions du territoireArchitecture & Environnement) Cet édifice, nantais Cet édifice, conçu à l’origine comme un(85 vér

n L’ARDEPA eo ts tsquelques m

c Les conféren visites Genèse d’un


Création : Double Mixte - Adaptation : Vu par... - Photos : Stéphan Ménoret, Régis Routier et Archives municipales - Direction de la communication

PA en E D R A ’ L n e A P emots L’ARDE mem rau s Pruoeglq s t q o m quelques Si les exp ent m ville, l’arde m o C PROCHAINE31 CONFÉRENCE VISITE e n u années de diffusion, et del’architecte udelepromotion o r é d e s années de diffusion, de promotion et de Grand Carcouëtsensibilisation - Jeudi 26 septembre à 18h aine ? Pour quan b r u n io it d é Ces confére sibilisation Livraison prévue en novembre 2013 exp

0 ière

© In Situ a&e

m de parcours onverge à la uisseau de la nière aux pentes s et pentés de cture, en attente les arpenteurs Les actions développées par l’Ardepa sont destinées à tous lespublique), d Architecte : agence In Situ a&e, Port, réaménagé ctions développées par l’Ardepa sont destinées à tousetles ppodromeMaître et le publics curieux de la fabrication des évolutions de la ville, desmanditaires d’ouvrage : Nantes Habitat Comment uellecurieux refonte. Les cs de la fabrication et des évolutions de la ville, des En avec la Ville de urbains Nantes, les animateurs de l’Aré bâtiments qui la partenariat composent et des enjeux et politiques Le projet du Grand Carcouët inscrit 30 logements eront les décors ents qui la composent et des enjeux urbains et politiques la visite. dansàlesquels la POSitive) cité s’inscrit. Les citoyens ordinaires, les amateursCe nouveau ens et de l’Erdre. BEPOS (Bâtiment Energieorganisent dans

lesquels la cité s’inscrit.éclairés, Les citoyens ordinaires, lesduamateurs des e En parcours, des architectes, urbanistes, paysag institutions et collectivités territoriales, lestique une clairière dominantleslescolaires, val fonction delesChézine, és, les scolaires, les institutions et collectivités territoriales, lesau long de sa Métropo experts, artistes, universitaires, maîtres d’ouvrages publics et p professionnels sont ainsi invités tout l’année à participer entre le quartier des Dervallières et du Breil et leur le Sillon ssionnels sont ainsi invités tout au long de l’année à participer interviennent pour faire partager leur expérience et cond aux actions singulières de l’Ardepa. Malville. Ce projet, réalisé par Nantes Habitat ctions singulières de l’Ardepa. du quartier. Histoire, dePouget développement, nouv O Genèse 1 en conception-réalisation par sance le groupement Quille, CMB,enjeux In Situ, propose 1938/53, a projets, caractéristiques architecturales sont au programme. Les actions et débats organisés par l’Ardepa informent et facilitent la une réponse généreuse aux problématiques soulevées par la question de l’habiter tions et débats organisés par l’Ardepa Chaque informent et facilitent la visite estd’élaboration l’occasion d’acquérir desdémarches et2008/2010 des clés compréhension à travers les durable. Cette réponse s’illustredes tantprocessus par la qualité du bâtiment que par larepères démarche Érigée dans réhension des processusdes d’élaboration à travers les démarches mieux comprendre l’évolution de la ville. différents intervenants, des mouvements culturels et des enjeux de sensibilisation engagée. d’abord été fférents intervenants, des mouvements culturels et des enjeux sociaux ils sont impliqués. La Loiredans lesquels Durée d’une visite : environ 3 heures, à partir de 9h30.Aujourd’hu ux dans lesquels ils sont Les impliqués. maîtrises d’ouvrage institutionnelles et privées, architectes, Samedi 12 octobre - 9h30 EXPÉDITION URBAINE maîtrisesPROCHAINE d’ouvrage institutionnelles et privées, architectes, urbanistes, paysagistes, experts, artistes, universitaires sont conviésO Genèse 2 Du Bas Chantenay au parc des Oblates istes, paysagistes, experts, artistes, universitaires sont conviés Du Bas Chantenay au parc des Oblates : samedi 12 les octobre à 9h30qui résultent1970/74, a à expliquer le sens de leurs actions sur lieux mêmes Vous souhaitez participer à une expédit e parc des Oblates propose unerésultent vue « Le Home iquer le sens de leurs actions sur les lieux mêmes qui dereligieuse leur travail. Le parc des Oblates propose vue religieuse sur une une Loire industrieuse. ur travail. urbaine ou une conférence-visite... Ainsi, du projet à la du local à l’international, de l’urbain2010/2013 Aujourd’hui ouvert auxréalisation, Nantais,ouvert à l’ensur une Loire industrieuse. Aujourd’hui Architecture du projet à la réalisation, du local à l’international, de l’urbain où broutait encore propose la dernièrede vache au rural, l’Ardepa révéler les dimensions du territoire Chaque expédition propose un nombre de p aux Nantais, àdroit l’endroit où broutait encore la ou conférence Cet édifice, nantaise, et oùles les dimensions religieuses récoltaient les ral, l’Ardepa propose de révéler du territoire dans tous ses états. limitées. dernière vachefruits nantaise, où les religieuses dans les et vergers, ce parc offre des nantais (85 tous ses états. sud ouest les anciennes aujourd’hu Elles accessibles à tous les publics : habitants, étudi récoltaient lesbelvédères fruits dans lessursont vergers, ce activités portuaires. De la gare de Chantenay, engagés pa professionnels de l’urbanisme, agents des collectivités, ... parc offre desaubelvédères sud ouest sur les pied du quartier populaire, les projets se

L

© Loïc Abed

© Loïc Abed

Plus d’infos :réhabilités, mettent portuaires. en œuvre pourDe entrelacer de maanciennes activités la gare de Plus d’infos : Réservation et inscription obligatoires par téléphone La restructu trèsdu singulière les fonctions du travail, Chantenay, aunière pied quartier populaire, les du résidentiel et de02 l’institutionnel. Il you est par mail à lardepa@yahoo.fr 40 59 04 59 ARDEPAde Bretagn projets se mettent en oeuvre pour entrelacer de question de nouvelles inventions, de formes ENSAN - ARDEPA 6,du quai François-Mitterrand - BP 16202 d’habiter inspirées de l’histoiredu urbaine O Genèse 3 manièreENSAN très singulière les fonctions travail, -quartier 6, quai François-Mitterrand BP 16202 44262 Nantes Cedex 21957, arch en s’accordant avec les enjeuxquestion de du résidentiel et de tout l’institutionnel. Il y est de nouvelles inventions, 44262 Nantes Cedex 2 40 59 04 59 - 06 80 92 68 01de la ville de demain. Tél. : 02 Première Z formes d’habiter inspirées de l’histoire urbaine du quartier tout en s’accordant avec Tél. : 02 40 59 04 59 - 06 80 92 68 01 lardepa@yahoo.frDervallières les enjeux de la ville de demain. lardepa@yahoo.fr apprécié. C haut de ses

Lancée par les 24 communes de l’agglomér

la démarche « Ma ville demain » est une inv Ville de Nantes Réservatio à construire ensemble un projet pour la mé Direction la communication Association de régionale pour la diffusion et la promotion de l’architecture ou par mai nantaise à l’horizon 2030. ensa - 6,de quai 2, rueNantes de l’Hôtel VilleFrançois Mitterrand - 44262 Nantes Cedex 2 Tél. : 02 40 59 04 59 - lardepa@yahoo.fr www.lardepa.com Elle s’appuie- sur une large participation 44094 Nantes Cedex 1 des habitants et acteurs du territoire durant

pour aboutir fin 2012 à une vision partagée La contribution de chacun est essentielle :


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