Le Sillon de Bretagne

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Les carnets de visites de l’ardepa

© Groupe a5

Genèse d’un projet Le Sillon de Bretagne

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jeudi 7 juin 2012 Les expéditions urbaines de la ville de Nantes


Si les expéditions urbaines évoquent et présentent la réalité des lieux de la ville, l’ardepa et la Ville de Nantes souhaitent évoquer et présenter le rôle de l’architecte dans son acte de concevoir et de construire. Pour qui ? Pour quoi ? Pour quand ? Ces conférences-visites offrent l’occasion d’aborder le sujet de la commande (privée, publique), de la conception et de la fabrication du projet (privé, public). Qui sont les commanditaires ? Quels sont les enjeux ? Comment l’architecte requestionne t-il la commande ? Comment évolue le projet lors de sa construction ? Ce nouveau cycle de « genèse » de projets présentera, dans la continuité de la thématique des expéditions urbaines, trois grands ensembles de logements collectifs de Nantes et sa Métropole : la Cité de l’Hermitage à Chantenay, le Sillon de Bretagne à Saint-Herblain et l’immeuble Watteau aux Dervallières. Cette deuxième visite genèse est consacrée au Sillon de Bretagne. Cet édifice, conçu à l’origine comme un véritable quartier, atypique dans le paysage nantais connaît aujourd’hui sa plus grande transformation. Il est coutume de dire que ses mensurations sont : 100 m de long, 1 km de long et 1 000 logements. Le projet urbain de l’ANRU, construit autour et avec le Sillon de Bretagne, engage le territoire ouest de la métropole dans un statut de nouvelle polarité. Au cœur de ce vaste projet urbain, les dynamiques nouvelles sont attendues et commencent à se révéler sous l’effet des transformations structurelles, physiques et esthétiques de son plus fort atout : le « Sillon ». Objet même de révélation de la dimension « SRU) de sa fonction de quartier vertical, le projet de mutation et de restructuration a pour ambition d’engager un temps nouveau trentenaire à minima : - Développer la diversité de ses publics, - Rendre visibles ses fonctions révélées et complétées, - Engager ses fonctions d’accueil et d’invitations aux quartiers voisins

Visites-conférences, genèse d’un projet : le Sillon de Bretagne - le 7 juin 2012


- Nourrir les espaces publics de nouvelles dynamiques urbaines (les liens avec le transport et la ville d’activités…) et paysagères (le parc du Sillon retrouvé), - Donner à ses publics fidèles (habitants, salariés, personnels publics) des conditions de vie partagées de grande qualité, - Refaçonner le bâtiment pour l’engager dans une nouvelle perspective de construction contemporaine, économe, confortable, attractive et pérenne. Les enjeux sont croisés et volontaires, objet même de la vocation du projet ANRU qui permet d’initier un renouveau fait de reconnaissance et de nouveaux moyens. L’immeuble abritera, au terme des travaux engagés par Harmonie Habitat, l’ANRU et la Ville de Saint-Herblain, 620 logements réhabilités, un pôle tertiaire de 21 000 m² et quatre nouveaux équipements publics. La restructuration de l’ensemble, conduite par l’agence In Situ A&E, redonnera au Sillon de Bretagne un rôle majeur dans le nouveau dispositif urbain du quartier


Le début de l’aventure Architectes initiaux : Jean Boquien, Georges Ganuchaud, Jean Maeder et Jean Parois Architecte-conseil de l’État : Noël Le Maresquier. Il est crédité de l’idée de réunir en un seul bâtiment les huit ensembles envisagés au départ Architecte de la première réhabilitation structurelle (1984 - 1986) : Michel Lameynardie Architecte de l’actuelle réhabilitation - mutation : In Situ Architecture & Environnement (Pierrick Beillevaire, Ludovic Ducasse, Patrick Guitton, Solen Jaouen) Maître d’ouvrage initial : SAHLM Le Home Atlantique, devenu CIF Habitat en 2002, puis Harmonie Habitat en 2008. Livraison : 1974 En 1972, la société d’HLM le Home Atlantique achève la construction sur le territoire de la commune de SaintHerblain, en périphérie immédiate de Nantes, d’un ensemble de 895 logements HLM et PSR (programmes sociaux de relogement) et d’un foyer d’hébergement pour personnes isolées de 90 chambres. Le chantier de ce projet conçu en 1967/69, débute en 1970. Les logements, ainsi que l’ensemble des équipements, sauf les écoles sont concentrés dans un ensemble bâti continu constitué d’une pyramide tripode de 30 étages prolongée par une barre de 5 niveaux de 500 mètres de long. Dans cette pyramide, cœur de l’ensemble, sont rassemblés 450 logements et un foyer, desservis par un quadryptique d’ascenseurs prototypes. Celui- ci permet d’accéder tous les 5 niveaux à des «places» d’où partent des «rues» intérieures au long desquelles sont distribués les logements. Au pied de la pyramide on trouve, à partir du hall commun, une galerie marchande de 3000m² avec, en sous-sol, un marché couvert de 1200m².

Le Sillon de Bretagne ainsi que le supermarché Record en 1974

Le Sillon de Bretagne en 1974

Visites-conférences, genèse d’un projet : le Sillon de Bretagne - le 7 juin 2012


Le centre socio-culturel, la halte-garderie et une mairie annexe sont situés en rezde-chaussée de l’immeuble. D’autres logements occupent la barre, structurée en cages d’escaliers classiques. Cette concentration du bâti a permis de dégager un espace vert de 6 hectares. L’ensemble a été délibérément conçu pour favoriser une vie sociale intense et dynamique. De plus, soucieux d’une bonne gestion de proximité, le Home Atlantique installe son siège social au 30ème étage de la pyramide. En juillet 1972, les premiers logements sont mis en location. Des réunions d’accueil sont systématiquement organisées par la société d’HLM et une association est créée afin d’enclencher une dynamique de vie collective. Elle préfigure ainsi l’association de gestion du CSC (centre socio-culturel) et du foyer d’hébergement.

A sa demande, la réalisation du Sillon de Bretagne se fait dans le cadre d’une ZAC (Zone d’Aménagement Concertée) ce qui permet d’éviter tout retard dans la réalisation des équipements collectifs. Elle encourage et aide financièrement l’association de préfiguration au CSC. L’Etat, financeur du projet est garant de la procédure de ZAC, exerce principalement son influence sur la conception du projet par l’intermédiaire de l’architecte-conseil de la DDE. Le plan-masse présenté par le maître d’ouvrage prévoyait une pyramide de 13 étages et plusieurs barres. Trouvant l’idée de la pyramide séduisante, l’architecte conseil suggéra un projet plus ambitieux. Ainsi la pyramide passat-elle de 13 à 30 étages. Inquiétante et séduisante à la fois, cette évolution est alors difficilement contestable car les suggestions du conseil de l’Etat sont attachées aux financements.

Le Sillon de Bretagne est un projet alors porté par trois acteurs essentiels : la société HLM, la commune et l’Etat. La société HLM avait pour objectif de construire une cité avec équipements collectifs sous la responsabilité des habitants, d’associer les locataires à la gestion de l’ensemble immobilier et de concevoir une cité dont la structure du bâti facilite la vie sociale, notamment grâce à la configuration en rues et places. La commune et sa municipalité, sans étiquette, droite modérée, subissant la pression d’un développement urbain «en tâche d’huile» de l’agglomération nantaise, entend exercer un meilleur contrôle de son urbanisation.


Les premières difficultés La première difficulté apparaît en 1973 quand il s’agit de décider des modalités de gestion du centre socio-culturel dont l’aménagement se termine. Dans la continuité du travail d’animation et d’implication des habitants, l’association de gestion revendique la responsabilité pleine et entière de la gestion de ce centre. La municipalité refuse. Une assemblée générale de locataires propose alors au Home Atlantique une augmentation des loyers afin de financer le fonctionnement du centre à la place de la commune. Le consensus de base qui avait présidé aux rapports de la mairie et de la société HLM se transforme en conflit, cette dernière se rangeant du côté des locataires. Au cours de l’année 1975, les difficultés de gestion s’aggravent. Le principe de dialogue avec le comité de locataires et la présence de celui-ci dans les organes dirigeants de la société d’HLM donnent aux occupants les moyens d’exprimer leurs insatisfactions sans que la société ne parvienne toutefois à trouver des réponses pertinentes. Ces réclamations portent sur les espaces de vie collective : Le système de «rue-couloir», de «placepalier», la concentration des circulations et l’absence de contrôle social, des couloirs de cave de plus de 200 mètres de long, des dizaines d’enfants à la sortie des écoles attendant un ascenseur sur 10m² sont autant de réalités mal vécues, tant par les locataires que par la société d’HLM elle-même.

La sur-perception de la présence des populations immigrées s’amplifie rapidement. C’est en «off» que les représentants des locataires font remarquer que «les gens commencent à trouver qu’il y a trop d’étrangers», alors qu’en fait, ceux-ci ne représentent que 12% des familles. Ce ressenti résulte sans doute d’une volonté de la société HLM qui met en place une politique d’attribution des logements en dispersant les familles étrangères dans l’ensemble des logements. Cette pratique que l’on appelle aujourd’hui «de peuplement» est battue en brèche par la structure concentrée de l’immeuble, alors que, dans le même temps, les actions d’accueil et de soutien à ces populations se développent. Parallèlement, la société HLM voit les coûts de gestion s’envoler bien audessus des prévisions. L’ampleur des parties communes à entretenir aggrave les coûts d’entretien et de gardiennage. La nécessité d’ajuster le niveau des charges locatives au niveau de solvabilité des locataires oblige à tirer ces coûts, donc les prestations vers le bas. Face à l’impuissance de la société HLM à répondre aux malaises exprimés par les locataires, les relations se dégradent progressivement. La vie sociale se détériore et rejaillit sur la vie associative du quartier. Les espaces prévus pour la convivialité s’avèrent être des lieux du mal-vivre. Le seul lieu dont les habitants se plaignent rarement est leur logement. Le mécontentement des

Visites-conférences, genèse d’un projet : le Sillon de Bretagne - le 7 juin 2012


locataires ne fait qu’accélérer, en 1976, leur départ généralisé vers l’accession à la propriété. Ces désertions alliées à la dégradation rapide de l’image de l’immeuble entraînent une désaffection de la clientèle. La société HLM met alors en place une politique d’attribution qui se limitera en fait à une politique de non attribution. En effet, l’ensemble se retrouve progressivement «hors marché» du logement social. Seule y demeure, ou accepte de s’y installer, une clientèle elle-même «hors marché». Si cette politique évite l’accroissement de la paupérisation, elle augmente

aussi les vacances, ce qui ne fait que restreindre des moyens financiers déjà insuffisants. L’image négative de l’opération se transforme en stéréotype du mal-vivre des grands-ensembles. En rupture physique avec son environnement, l’ensemble connaît une dégradation qui le met également en rupture sociale alors qu’il ne présente pas de réelles dégradations physiques. En effet, achevé depuis seulement trois ans, il ne souffre pas de carences dans les équipements collectifs, ni d’obsolescence dans les logements.

Au milieu des arbres, entre le château de Bagatelle et le Sillon de Bretagne...


Que faire ? Le Sillon de Bretagne se retrouve au centre des débats de la campagne électorale municipale de 1977. Dans une commune qui a connu un développement urbain considérable, il est le symbole d’une urbanisation considérée comme ratée. Jean-Marc Ayrault est candidat à l’élection municipale ; il est alors professeur d’allemand au collège et locataire du Sillon, qu’il cherche comme bien d’autres à quitter. En mars 1977, l’union de la gauche l’emporte et les politiques affirment que l’avenir du Sillon de Bretagne les concerne. Pour les locataires, cette prise en compte de leur sort est une manière de sortir du face-à-face conflictuel avec la société HLM. Celle-ci, porteuse au départ d’un projet peu ou prou partagé avec ses partenaires, en assume seule l’échec, l’Etat et la commune considérant qu’il appartient à la société HLM d’apporter des solutions. La question n’est plus alors «quelle solution apporter» mais «avec qui et selon quels processus peut-on inventer l’avenir de cet ensemble.» Face à l’ampleur des problèmes, la procédure HVS (habitat vie sociale) est la seule à caractère exceptionnel qui ne relève pas d’une simple action de réhabilitation. De plus, elle est de nature à mobiliser l’Etat et la commune. Ainsi, à la fin de l’année 1977, après quelques tribulations avec les responsables locaux des services de l’Etat, le groupe interministériel HVS admet cette opération dans la procédure.

Dans les années 80, le Sillon de Bretagne connaît une première réhabilitation. Il est alors «dé densifié» avec la transformation des logements du 16ème au 28ème étage en bureaux et l’installation d’ascenseurs extérieurs afin de réduire la concentration des accès collectifs. Aujourd’hui géré par la SA d’HLM «Harmonie Habitat», cet immeuble emblématique comprend 780 logements hébergeant près de 2500 personnes et une surface de bureau de 13 500 m² accueillant près de 100 entreprises. «C’est un immeuble-quartier» résume Dominique Majou, directeur général de Harmonie Habitat. Cette singularité l’a d’ailleurs pénalisé durant de longues années car bien que constituant un quartier prioritaire du Contrat Urbain de Cohésion Sociale de l’agglomération nantaise, ce territoire n’était pas classé en Zone Urbaine Sensible par l’Etat. Il sera finalement retenu par dérogation au programme de rénovation urbaine de l’ANRU (Agence Nationale pour la Rénovation Urbaine) avec qui les collectivités signent une convention en 2009 pour une requalification en profondeur.

Le Sillon de Bretagne vu depuis le parc Visites-conférences, genèse d’un projet : le Sillon de Bretagne - le 7 juin 2012


Une nouvelle aventure Une réhabilitation - mutation TIRER PARTI DES QUALITES RECONNAITRE LES ATOUTS

La posture des architectes et des prestataires de l’équipe est clairement celle de reconnaître, de révéler, de prolonger pour dépasser… Le programme est une entame nécessaire qu’il faut questionner au regard de ce que les diagnostics, les observations, les analyses, les engagements révèlent. Ainsi, la recomposition des fonctions, l’ouverture vers le parc, l’observation

© In Situ a&e + MGA

des pratiques habitantes, les révélations qualitatives des structures physiques ont amené à prolonger le programme. Ce grand « capteur sud » pouvait s’offrir à la technique tout en recomposant les fonctions d’équipements, de services et la relation qualifiée des accès aux logement, aux bureaux, aux commerces, aux services dédiés et à inventer. L’urbanité se nourrissant des fonctions habitées, le travail de reconnaissance pour leur déploiement a été notre mode d’engagement.


tn + 47.00 tn + 47.20 46.40

tn +50.00

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0

proximité ?

47.21

47.21

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CONTROLE S i4.7152;ACCE ier +

i4.3656;(pomp

borne 45.40 tion) i4.198;répurga 44.30

PB

VOIE POMPIER (cheminement PMR)

101.00

accès cave

44.51

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NGF 60.98

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accès cave

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44.53

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E2

R)

10.10

45.29

+43.19 92.51 %

tn

+ 45

PENTE 3.9 %

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+43.17

FOURREAUX EN ATTENTE ?

45.49 45.56

NGF 46.49

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47.21

14.70

ACCES CAVES ET LOCAL VELOS

c

+43.19 PB

FOURREAUX EN ATTENTE ?

46.49

18.04

CHEMINEMENT PIETON 129.17

talus

Plan masse, état projeté du Sillon de Bretagne avec le projet de résidentialisation des abords © In Situ a&e et Forma6

BORNE FIXE

ACCES

37 A18 33

35

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A17 A

Bardage tôle oxycoupée

béton balayé

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Ch.1

Ch.2

Ch.1

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Dgt.

59 960

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Wc

Wc

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Séjour

T4

Ch.3

béton balayé

25 A12

Bardage tôle oxycoupée

Ensemble lumineux B.A.L. + façade ext. + porte vitrée

béton balayé

D A

Bardage tôle oxycoupée

Ensemble lumineux B.A.L. + façade ext. + porte vitrée

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Ensemble lumineux B.A.L. + façade ext. + porte vitrée

Dépose du sol existant

Dépose du sol existant

3 x 3 B.A.L. Tapis brosse -1.34 ép 30 mm Peinture blanche 44.53

3 x 3 B.A.L. Tapis brosse -1.34 ép 30 mm Peinture blanche 44.53

3 x 3 B.A.L. Tapis brosse -1.34 ép 30 mm Peinture blanche 44.53

3 x 3 B.A.L. Tapis brosse -1.34 ép 30 mm Peinture blanche 44.53

3 x 3 B.A.L. Tapis brosse -1.34 ép 30 mm Peinture blanche 44.53

3 x 3 B.A.L. Tapis brosse -1.34 ép 30 mm Peinture blanche 44.53

977

Ch.1

Ch.2

Ch.1

Ch.2

Démolition porte + imposte de cloison

résine de sol

bande podotactile 8

1 2 3 4 5 6 7 8

Sdb

1 2 3 4 5 6 7 8

10 9

Dgt. Entrée

Wc

Dgt.

Wc

T4

Entrée

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Ch.1

Ch.2

Ch.2

bande podotactile 8 7 6 5 4 3 2 1

Dgt. Sdb

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A

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Entrée

Wc

Dgt.

Wc

Cuis.

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Entrée

±0.00 997

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Séjour

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Démolition porte + imposte de cloison

1 2 3 4 5 6 7 8

±0.00988

Porte Fermée 45.87

Rgt.

Séjour

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Cuis.

Ch.3

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978 A

résine de sol

7 6 5 4 3 2 1

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±0.00

Porte Fermée45.87

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T4

27 A13 A

A

Bardage tôle oxycoupée

Ensemble lumineux B.A.L. + façade ext. + porte vitrée

Dépose du sol existant

Rgt.

Entrée

Cuis.

Entrée

béton balayé

Dépose du sol existant

7 6 5 4 3 2 1

Sdb

Rgt.

29 A14

A

Bardage tôle oxycoupée

Ensemble lumineux B.A.L. + façade ext. + porte vitrée Dépose du sol existant

bande podotactile 8

Wc

béton balayé

Dépose du sol existant

Démolition porte + imposte de cloison

Sdb Entrée

31 A15

A

Bardage tôle oxycoupée

Ensemble lumineux B.A.L. + façade ext. + porte vitrée

10 9

Ch.1

Ch.2

Ch.2

Démolition porte + imposte de cloison bande podotactile 8

1 2 3 4 5 6 7 8

1 2 3 4 5 6 7 8

7 6 5 4 3 2 1

Dgt. Sdb

998 A

Sdb

Rgt. Dgt. Entrée

Wc

Dgt.

Wc

Cuis.

Entrée

10 9

Ch.1

bande podotactile 8

1 2 3 4 5 6 7 8

7 6 5 4 3 2 1

Dgt. Sdb

Sdb

Rgt. Dgt. Entrée

Wc

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Wc

Entrée

1017 ±0.00

45.87

Rgt.

Séjour

Séjour

10 9

T4

Ch.1

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Ch.1

Démolition porte + imposte de cloison bande podotactile 8

1 2 3 4 5 6 7 8

Sdb

1 2 3 4 5 6 7 8

Sdb

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Wc

Dgt.

Wc

1 2 3 4 5 6 7 8

10 9

Ch.1

Dgt. Sdb Rgt.

A 1 2 3 4 5 6 7 8

Rgt.

Séjour

Séjour

T4

±0.00 45.87

Entrée

Ch.2

résine de sol

7 6 5 4 3 2 1

Dgt.

1019 A

Cuis.

T4

Ch.2

résine de sol

Cuis.

Cuis.

T4

Ch.2

Démolition porte + imposte de cloison

1 2 3 4 5 6 7 8

Cuis.

T4

Ch.1

Ch.2

résine de sol

±0.00 1007 1008 Porte Fermée 45.87 A

Rgt.

Séjour

Séjour

Cuis.

T4

Ch.1

résine de sol

Entrée

Wc

Dgt.

1038

Séjour

Cuis.

Cuis.

T4

T4

d'eau + syphoïde

garde-corps

37

é

8

escalier à déposer et à reconstruire

A1

de-corps

Plan niveau - 2 © In Situ a&e C D

B

B

A

NGF 47.26

B

C

B A

Visites-conférences, genèse d’un projet : le Sillon de Bretagne - le 7 juin 2012

10

tion)

+répurga

PH

attribuées i0.15664;33 au 25 rue de i0.6048;l'Angevinière

PH

retractable

cproximité ? LE ACCES (pompier CONTRO

nt

"banc-bac" i15.141;voir détail cuves

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appuisvélos

45.16

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tn

NGF 60.98

accès cave 47.10

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NT

+ 45.90

VOIE POMPIER (cheminement PENTE 3.9 % 46.54 PMR)

47.13

47.19

PE

7.80

cuve attribuée i0.44484;41, 43, 45 rue c i0.1285;de l'Angevinière

47.06

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tn + 46.75

120.68 accès cave

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NGF 60.98

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cuve attribuée i0.44484;47, 49, 51 rue i0.1285;de l'Angevinière

c

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47.06

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42

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tn + 44.70

45.16

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VOIE POMPIER (cheminement PMR)

STATIONNEMENT 50 PLACES

1.5 % / papier

stationnement 2 roues

PO MP 2ine %me IER nt PM

7.20

7%

NGF 60.98

PH

tn + 45.0 0

48.40

BEV

cuve attribuée i0.4532;53, 55, 57 rue tn + 46.80 i0.1285;de l'Angevinière

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17

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18

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19

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collecte verre

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cuve attribuée i0.44808;39, 37, 35 rue PENTE 2 % i0.1285;de l'Angevinière

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STATIONNEMENT 35 PLACES

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tn + 47.70

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tn +49.30 pj + 49.20

bastaings vue 80 cm

STATIONNEMENT 28 PLACES DONT 4 VISITEURS

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soutènement bois

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6

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soutènement bois

4

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25

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48.30

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palier + 46.50

soutènement bois

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soutènement bois

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bastaings vue 80 cm

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i2.315;dévers sup i3.6958;à 2%

4 ème Famille 4e FAMILLE

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voie pompiers

14.20

voie pompiers

16.65

aire de dépôt bac (pôle emploi)

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D’UNE

BONNE

Une structure en colonne vertébrale ou arrête de poisson : un voile central et des refends béton porteurs et planchers béton, offrant une grande modularité et une capacité d’inertie intéressante pour sa transformation. Un système de distribution du chauffage collectif en très bon état et des grandes surfaces orientées sud. De la défiance à une considération pour un objet anticipateur, bien construit et qui possède intrinsèquement des qualités permettant sa transformation. Le projet va s’appuyer sur le diagnostic et tirer parti des qualités du bâtiment (importance des surfaces vitrées, compacité du bâtiment, inertie), tout en corrigeant ses faiblesses. DES OBJECTIFS DE PERFORMANCE

Comme tous les grands ensembles construits à la même époque, le Sillon de Bretagne consomme beaucoup. En effet, les charges annuelles s’élèvent à deux fois et demie le montant du loyer. L’objectif de la maîtrise d’oeuvre est donc de tendre vers un abaissement significatif de la consommation énergétique au profit des ménages. L’option choisie par les architectes et les prestataires est de retravailler l’enveloppe : - 4 000 fenêtres PVC laquées anthracite à double vitrage et une enveloppe thermique (ITE) avec un isolant en laine de roche de 16 cm recouverte par une vêture en aluminium vernissé.

La nouvelle peau sera mise en œuvre sans toucher à l’intégrité des logements et des bureaux. Une fois achevée, la relation au logement s’instaure par la réalisation d’ébrasements à l’anglosaxonne. Le temps d’intervention est limité à 10 jours par logement. Les toitures terrasses sur lesquelles les panneaux solaires sont posés sont remises à neuf et isolées. 800 m² de capteurs assurent 50% de la production en couplant la co génération historique. Le cahier des charges initial prévoyait un objectif de réduction de la consommation énergétique de 30% seulement mais l’équipe de maîtrise d’oeuvre a su convaincre Harmonie Habitat d’investir 3 millions supplémentaires pour permettre de diviser par 10 la consommation en chauffage. Après les travaux, le bâtiment devrait atteindre le niveau BBC neuf avec une consommation de 48 Kwhep/m2/an ». Une fois rénové, l’immeuble représentera 21 000 m² de bureaux, 28 logements et 3 300 personnes y habitant ou y travaillant. Pour ce projet hors normes, l’investissement global s’élève à 35 millions d’euros .

© Baloon Photo

LA REVELATION CONSTRUCTION

Visites-conférences, genèse d’un projet : le Sillon de Bretagne - le 7 juin 2012

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L’enveloppe en cours de transformation. Avant en bleu et blanc, après en aluminium brillant et gris anthracite © Baloon photo

Façade intérieure avant travaux © In Situ a&e

Façade intérieure après travaux © In Situ a&e Coupe technique partielle sur la nouvelle façade courante. © In Situ a&e 13


POSER LE BATIMENT ENTRE VILLE ET NATURE

L’Etat accordera un financement au projet ANRU de 105 millions d’euros. Car au-delà d’un immeuble, c’est tout un quartier qui amorce son renouveau. Le projet de l’agence In Situ a&e prévoit le «retournement» de l’immeuble et la mise en visibilité de ses fonctions de sorte à croiser les espaces privatifs et publics voisins et offrir une vraie façade publique en front de l’avenue de l’Angevinière et de son transport public. Le symbole de l’ouverture sur le quartier est la création d’un « grand passage » ouvert sur une largeur de 56 mètres qui assurera les relations avec le parc de Bagatelle vers le sud et à la route de Vannes au nord. De part et d’autre de ce passage seront implantés une médiathèque et un pôle petite-enfance afin d’en garantir la fonction d’invitation publique. Ces équipements viendront compléter un pôle « insertion/emploi », un pôle « social/santé » et l’extension du pôle tertiaire qui occupera toute une aile (surface totale de 21 000 m²) avec une nouvelle entrée face au tramway. De nouvelles aires de stationnement seront créées, dont, côté parc, un parking silo privatif de 360 places qui permettra de donner plus de liberté à l’aménagement des abords de l’immeuble et offrir une fonction appropriée à l’automobile.

la loi SRU qui prévoit au moins 20% de logements sociaux. Seront ainsi construits plus de 1 000 logements dans l’ancien parc du château de Bagatelle situé au pied de l’immeuble. Sources : Daniel Asseray, «Sillon de Bretagne, le récit d’une aventure», revue Urbanisme, dossier «Le Grand ensemble, histoire et devenir», janv-fév. 2002, n°322, pp. 57-60 Le moniteur architectural, 12 juillet 2011 et 8 février 2012

Pour réaliser ce projet, quelque 165 logements sociaux vont disparaître ou changer d’usage. Ils seront restitués en partie à proximité pour respecter Visites-conférences, genèse d’un projet : le Sillon de Bretagne - le 7 juin 2012

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Vue aérienne sur l’immeuble réhabilité © groupe a5

Perspective du grand passage depuis le parc © In Situ a&e

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La nouvelle entrée des bureaux sur le parvis de l’Angevinière, et le passage traversant vers le parc du Sillon © groupe a5

Visites-conférences, genèse d’un projet : le Sillon de Bretagne - le 7 juin 2012

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Les nouveaux pôles d’équipements publics sur le parvis de l’Angevinière, entre le passage traversant et le grand passage © In Situ a&e

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Visites-conférences, genèse d’un projet : le Sillon de Bretagne - le 7 juin 2012

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ments

Remercie

L’ardepa remercie les personnes qui l’ont aidée à préparer et à réaliser cette visite Genèse : Pierrick Beillevaire, architecte-urbaniste agence In Situ a&e, Ludovic Ducasse, chef de projet, agence In Situ a&e, Laurent Devisme, Directeur du LAUA, Stéphanie Labat, DG adjointe Harmonie Habitat, Marc Doublet, Directeur du Patrimoine Harmonie Habitat et Fabienne Paul, Harmonie Habitat, Sophie Eraud, chargée d’accueil CSC Sillon de Bretagne, Arnaud Renou et Virginie Potiron du service communication Ville de Nantes.

en L’ardepa mots quelques 33 années de diffusion et de promotion, 33 années de sensibilisation Les actions développées par l’ardepa sont destinées à tous les publics curieux de la fabrication et des évolutions de la ville, des bâtiments qui la compose et des enjeux urbains et politiques dans lesquels la cité s’inscrit. Les citoyens ordinaires, les amateurs éclairés, les scolaires, les institutions et collectivités territoriales, les professionnels sont ainsi invités tout au long de l’année à l’occasion des actions singulières de l’ardepa. Les actions et débats que l’ardepa organise doivent informer et faciliter la compréhension des processus d’élaboration à travers les démarches respectives des différents intervenants, des mouvements culturels et des enjeux sociaux dans lesquels ils sont impliqués. Les maîtrises d’ouvrage institutionnelles et privées, architectes, urbanistes, paysagistes, experts, artistes, universitaires sont conviés à expliquer le sens de leurs actions sur les lieux mêmes qui résultent de leur travail. Ainsi, du projet à la réalisation, du local à l’international, de l’urbain au rural, l’ardepa propose de révéler les dimensions du territoire dans tous ses états.

19


e

Programm

Comment une Prochaine expédition urbaine e déroule rb ? La ville autour de l’eau - Samedi s 30 juin - 9h30- Du canal à la ined’eau aprise u n io it d é exp Elle est là, visible, invisible, canalisée, traitée,

épurée, consommée, domestiquée à l’horizontale, à la verticale, en belvédère, naturel ou construit, En partenariat avec la Ville de Nantes, les animateurs de l’Ar on peut même la franchir, organisent grâce aux ponts, la visite. passé d’une rive à l’autre.EnL’eau est du partout fonction parcours, des architectes, urbanistes, paysag sur le quartier Malakoff - Pré Gauchet. experts, artistes,Cette universitaires, maîtres d’ouvrages publics et p troisième expédition urbaine permettra de révéler interviennent pour faire partager leur expérience et leur con les assemblages du quartiersance autourdudequartier. l’eau en Histoire, enjeux de développement, nouv s’appuyant sur ces dynamiques historiques. Des architecturales sont au programme. projets, caractéristiques histoires singulières ponctuées, en visite ce mois de Chaque est l’occasion d’acquérir des repères et des clés juin, d’interventions artistiques réalisées pour mieux comprendrela l’évolution de la ville. 4e édition de la manifestation « Révéler la Ville ».

Durée d’une visite : environ 3 heures, à partir de 9h30.

Prochaine Conférence visite Vous -souhaitez participer à une expédit L’immeuble Watteau aux Dervallières- Jeudi 13 septembre - 18h

urbaine ou une conférence-visite...

1957, architecte : Marcel Favraud Chaque expédition ou conférence propose un nombre de pl Maître d’ouvrage : Nantes Habitat limitées. Première ZUP de la ville construite à partir de la Elles sont accessibles à tous les publics : habitants, étudi fin des années 50, le quartier des Dervallières professionnels de l’urbanisme, agents des collectivités, ... abrite le Watteau ou le grand A dont le confort est alors unanimement apprécié. Conçu comme Réservation et inscription obligatoires par téléphone un repère, cet ensemble de logements domine 02 40 59 04 59 ou le par mail à lardepa@yahoo.fr quartier du haut de ses 14 étages.

Lancée par les 24 communes de l’agglomér

la démarche « Ma ville demain » est une inv Ville de Nantes à construire ensemble un projet pour la mé Direction la communication Association de régionale pour la diffusion et la promotion de l’architecture nantaise à l’horizon 2030. ENSA Nantes 6, quai François Mitterrand BP 16202- 44262 Nantes Ce2, rue de l’Hôtel de Ville dex 2 - Tél. : 02 40 59 04 59 - lardepa@yahoo.fr - www.lardepa.com Elle s’appuie sur une large participation 44094 Nantes Cedex 1 des habitants et acteurs du territoire durant

pour aboutir fin 2012 à une vision partagée La contribution de chacun est essentielle :


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