Del 30 de noviembre al 13 de diciembre de 2015
CONTENIDOS Y ENLACES
Comunicados: Romper con el régimen del 78 (el único contrato que nos obliga)
Noticias: [FR] Comprendre pour résister La revista Cuba+ nº 14: Venezuela y también Libia, concentran el análisis en esta ocasión. [Salamanca] Presentación: Cuando el pueblo se organiza [Madrid] Concierto solidario con el Donbass El tablero inclinado de Pablo Iglesias Barcelona acogerá el 12 de diciembre una concentración contra la guerra y la OTAN
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Presentación de las Conclusiones del Tribunal en Talavera Semana de lucha: Alfon libertad!! Revista Pim Pam Pum Número 11 [Murcia] Manifestación: Murcia contra las guerras imperialistas
Cultura revolucionaria: Ellas nos prepararon el camino
Noticias externas: El grito por la AMNISTÍA para las y los presos vascos resonó nuevamente en las calles de Bilbao Turquía: ¿falsa bandera en defensa de Daesh? La tregua en Donetsk Derecho burgués y derecho socialista antes del comunismo Un misil contra el gasoducto Venezuela: mucho más que unas elecciones Washington está tomando las medidas más extremas contra el chavismo Venezuela, desde hace años, grita libertad Crímenes históricos de militares franceses
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La lucha contra la oligarquía: segundo frente de la guerra de Donbass Venezuela: las dos tácticas de la derecha Venezuela, nosotros y la democracia La OTAN sigue extendiéndose Nemo, un brigadista internacional en Donbass Golpes electorales: la injerencia extranjera es un fraude
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COMUNICADOS
Romper con el régimen del 78 (el único contrato que nos obliga)
podemos permitir que en base a esto nos sigan haciendo avalar que el criminal sistema de concertación que parió la Traisición no sea condenable en origen. Nosotros no denunciamos la ruptura de ese contrato, sino el contrato mismo.»
Detalles Publicado en Viernes, 04 Diciembre 2015 14:19
Así pues, esto no nos pilla por sorpresa. Era la conclusión lógica de una dinámica interminable de “rebaja” programática que se inicia con el comienzo mismo de la operación podemista de canalización electoralista de la indignación, a principios del 2014; una “rebaja” con respecto a lo que hasta entonces ya habían avanzado las luchas en la calle. Pero, naturalmente, quieren hacernos tragar sus derivas “moderadas” con argumentos “tácticos” sobre el imperativo de primero “llegar al gobierno” sea como sea.
Categoría: Comunicados Escrito por Red Roja Llega el 6D, el día en el que el régimen celebra su Constitución del 78. Y una nueva ocasión para reincidir en una necesaria denuncia: la del “enjuague” que esa Transición supuso. Algo que Red Roja ha hecho parte indisoluble de su criterio político y que es clave en la construcción de la línea revolucionaria en el Estado español. No puede haber superación de la crisis en clave popular si se pasa por el aro de la Transición. Por ello, nos vemos en la obligación de identificar al mayor obstáculo para ese trabajo de concienciación y de acumulación de fuerza revolucionaria, para retomar el hilo de la Ruptura pendiente con el régimen que los fascistas nos impusieron a sangre en el 39, y que luego fue retomado y legitimado con su Transición y su Constitución.
Pues bien, lo repetiremos una y mil veces: en el gobierno o fuera de él, ningún movimiento mejorará la vida del pueblo si no se inserta en la ruptura con el régimen del 78 y en la ruptura con la soga de la UE y el euro. La experiencia griega de Syriza está demasiado presente, cuando ahora Tsipras firma los peores recortes sociales de Europa. Moderarse no producirá efectos mágicos. Hay que romper. El único contrato que nos obliga es el que establecimos con el pueblo. Por ello, un año más, gritamos:
Hoy día, el obstáculo principal para generar conciencia y lucha consecuente no lo tenemos en esa llamada “clase política” desacreditada ante todos, sino en esos otros que proponen simplemente “reactualizar las cláusulas del contrato de la Transición”, obviando lo que supuso y supone aquella imposición, aquel “contrato”. En esos que han terminado por caracterizar la Transición como un gran paso adelante (como sostiene ahora Iglesias).
NO AL RÉGIMEN DEL 78 Y A SU CONSTITUCIÓN NO AL PAGO DE LA DEUDA Y A LA DICTADURA DE LA TROIKA Y DEL EURO CONSTRUYAMOS ORGANIZACIÓN Y PODER POPULAR
Ya en febrero de 2014 publicamos un texto donde afirmábamos: «cuando se habla de ‘contrato social que se ha roto’ [declaraciones de Monedero], nosotros no
Red Roja - 04/12/2015
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NOTICIAS [FR] Comprendre pour résister
bombardements en Libye, deux jours après la Résolution 1973 du Conseil de Sécurité de l'ONU [1], auxquels se joignent immédiatement la GrandeBretagne, les Etats-Unis et le reste de l'OTAN. Le Gouvernement de Zapatero, dont le Chef de l'Etat-major de la Défense était Julio Rodriguez, l’actuel candidat de Podemos dans la circonscription de Saragosse, a participé aux bombardements de la Libye avec quatre bombardiers F-18. Ce pays africain qui avait le plus haut Indice de Développement Humain de toute l'Afrique, a été détruit et plongé dans un chaos dans lequel aujourd’hui des différents groupes se disputent le pouvoir.
Detalles Publicado en Lunes, 30 Noviembre 2015 09:23 Categoría: Noticias cercanas Escrito por Red Roja Comuniqué de Red Roja Les graves, et injustifiables, attentats de Paris sont venus rendre dans le cœur de l'Europe une petite partie de la barbarie que nos gouvernements criminels portent quotidiennement depuis des décennies à d'autres peuples, spécialement ceux du Proche Orient et l'Afghanistan.
Tout cela est arrivé avec la complicité méprisable d'une certaine gauche et de quelques "intellectuels" qui détournaient le regard ou même justifiaient les interventions de l'OTAN (directes ou dissimulées). Là où le slogan "Ni Bush, Ni Sadam" n'a pas trouvé d'écho, ils ont ourdi - au moins pour décourager la mobilisation solidaire des accusations de corruption ou de répression contre les dirigeants des pays attaqués, accusations encouragées par ceux qui, à partir de positions soi-disant de gauche, collaboraient à la criminalisation de l'agressé. Comme si, dès les égouts de l'UE, nous étions légitimés pour faire la leçon à d'autres peuples, surtout si les leçons se matérialisent en bombardements et en plongeant ces pays dans le chaos ses pays.
Cette simple vérité est celle que les grands pouvoirs et ses médias œuvrent pour nous cacher, en montrant les scènes du massacre mais non ses causes. Ils craignent par-dessus de tout les gens dans les rues et essaient d'éviter à tout prix que nous arrivions à la même conclusion du 11 mars de 2004 après les attentats d'Atocha à Madrid. Alors on a indubitablement signalé l’Aznar des Açores au cri "l'impérialisme, c'est le terrorisme !". Au-delà de savoir qui étaient les exécuteurs du meurtre, le peuple a condamné les vrais responsables : ceux qui avaient anéanti le peuple irakien. La mobilisation nous fit immunes à ses mensonges. La résistance nous a permis de comprendre. Au même temps que s’accomplissait la destruction de l’Iraq, nous assistions dans l'État espagnol à la démobilisation généralisée après l'énième illusion électorale, à l’époque de Zapatero. Le 19 mars 2011 la France initie les
La propagande de guerre s'intensifie précisément parce que les guerres de pillage et de destruction sont l'autre face de la même monnaie de l’attaque sauvage de classe qui s'abat sur la 5
classe ouvrière et les secteurs populaires des mêmes états attaquants. Nous avons besoin de comprendre pour résister. Pourquoi est le conséquence des l'impérialisme ?
DAESH crimes
d’armement et d’argent. Le but était, selon les mots de Zbigniew Brzezinski, “rendre à l’URSS son Vietnam”. On a annulé ainsi l’unique période de progrès et de liberté démocratique qui ait connu le pays afghan. Dans le contexte d’un réglage de compte avec ce gouvernement-là ‘non fiable’, puisque évidement il n’était pas du "bon côté" de la Guerre Froide, l'appui aux groupes confessionnels a été aussi utilisé dans les pays arabes pour affaiblir la gauche et le nationalisme progressiste ; et dans d'autres lieux, comme dans l'exRépublique Fédérale de l'Yougoslavie, pour promouvoir les affrontements qui ont facilité l'intervention de l'OTAN et sa destruction.
une de
Aujourd'hui, malgré le fait que nous assistons à une escalade à l’armement et belliciste sans précédents depuis la II Guerre mondiale - escalade qui ne fera qu'augmenter favorisée par une crise capitaliste qui exacerbe la lutte pour les matières premières et par les disputes d'hégémonies géostratégiques -, l'accès à une information véridique s’avère très limité. Ce que nous avons su dire fort et clair dans les rues en 2004, lors des attentats d'Atocha, c’était que tant Al Qaeda comme son descendant ISIS (DAESH) sont des créatures engendrées par les crimes d'un impérialisme qui, depuis longtemps, va jusqu’à préférer le chaos et la déstabilisation permanente. Cette affirmation n'a donc besoin d'aucun recours à une théorie de la conspiration qui attribue la planification directe des différents attentats aux Etats-Unis et à l'UE. Bien au contraire, ce qu’il faut comprendre c’est la complexité des éléments agissants, ce qui ne fait qu’augmenter la dimension du crime des gouvernements impérialistes qui, impliqués dans des guerres interminables de pillage et de destruction simple, éparpillent partout et progressivement la barbarie. En voici historiques :
quelques
- La guerre entre l'Iran et l'Iraq (1980 1988), encouragée et soutenue par les EEUU, qui mit face à face ces deux grandes puissances régionales. Elle s’est soldée par un million de morts et un haut degré de destruction dans les deux pays. Un abîme de haine fut alors creusé entre sunnites et chiites ce qui a facilité sa passivité et, dans quelques cas, son appui à la destruction postérieure de l'Iraq. - La dévastation de l'Iraq en 1991 de la part d'une coalition multinationale, avec à la tête les Etats-Unis, mit en place toute une machinerie infernale après la chute de l'URSS, ce qui sans sa disparition il n’y aurait pas eu lieu. Le Pentagone a admis que durant 42 jours (du 17 janvier au 28 février 1991), 110.000 attaques aériennes se sont produites contre l'Iraq et 88.500 tonnes de bombes ont été jetées sur le pays, l’équivalent à sept bombes et demi de celles qui sont tombées sur Hiroshima. Les bombardements avaient pour objectif déchiqueter n'importe quelle structure ou recours nécessaire pour la vie de la population civile. On ne peut pas obvier que dans cette coalition pro-
jalons
La guerre civile des guérilleros talibans contre la République Démocratique d’ Afghanistan (1979 – 1989) fut instiguée et appuyée par les EE UU, qui livrèrent à ceux derniers d’énormes quantités 6
étasunienne l'Iraq est resté pratiquement isolé, ce qui mit en évidence non seulement les différences au-dessus mentionnées entre sunnites et chiites, mais aussi les vieilles contradictions entre les branches Irakienne et Syrienne du Parti Baaz, ce qui par la suite a facilité des accords "contra natura" entre des groupes laïques et religieux de la partie sunnite de l'Iraq.
ceux-ci face aux forces d'occupation et contre l'actuel gouvernement de Bagdad.
- Suite à la première guerre de 1991, le Conseil de Sécurité de NN.UU. imposa un embargo contre l’Iraq qui a coûté plus d'un million et demi de vies comme résultat direct des sanctions ; plus de la moitié étaient des enfants âgés de moins de cinq ans.
L'aide de caractère mercenaire d'EtatsUnis., la France et la Grande-Bretagne aux groupes armés en Syrie, qui finalement contribue d'une forme décisive au raffermissement de DAESH, avait comme objectif la tombée de la Syrie entre leurs mains ou, au défaut, la mettre en pièces, ce qui est de moins en moins possible de cacher. Á toutes ces évidences, il faut ajouter les mots pathétiques de Hollande, deux jours après les attentats de Paris, en exigeant aux "rebelles" syriens qui se sont passés à l'État Islamique la dévolution des armes livrées par la France en 2012 et 2013 [2]
Á présent, DAESH contrôle la partie de l'Iraq et de la Syrie la plus riche en gisements de pétrole et de gaz ; sur cette base s'est développé par la suite tout un lattis financier et d’armements appuyé directement ou utilisé par la Turquie, les dictatures du Golfe et par l'état sioniste d'Israël.
- L'invasion et l’occupation de l'Iraq, initiée en 2003, a coûté plus d'un million de vies et plus de deux millions de réfugiés. Le pays est resté dévasté et divisé en trois parties et ses ressources naturelles livrées à des multinationales comme Bechtel, Monsanto, etc. Après l'occupation l'appareil de l'État a été démantelé. L’immense majorité de ses cadres a été assassinée, emprisonnée ou exilée. Un million d'employés publics et ses familles sont restés sans ressources et sans espérance. Plusieurs se sont intégré pendant des années dans une Résistance héroïque, symbolisée dans la ville martyr de Faluya. Le désespoir et la soif de vengeance a mené à une bonne partie de ceux qui ont survécu à fonder l'ISIS (DAESH) avec des différents groupes liés à Al Qaeda originaires de la Libye, de l'Afghanistan ou d'autres pays arabes. Et comme nous avons déjà indiqué, on sait aujourd’hui que ces cadres de l'État irakien déchiqueté - qui autrefois faisaient front aux groupes islamistes ont fini par sceller des alliances avec
Le prétexte utilisé pour justifier l'entraînement militaire et la livraison d'argent et d'armes à l'ASL (Armée Syrienne Libre) pour lutter contre Bachar Al Assad, s’est démontée il y a longtemps quand ses dirigeants se sont reconnus des membres d'Al Nusra et intégrants d'Al Qaeda. Il est évident que la plus grosse partie des armes et des munitions a été fournie au DAESH par l'Arabie Saoudite et le Qatar, le grand partenaire commercial de la France et aussi de l'État espagnol. Dans ce cas-ci, et comme il arrive toujours avec les affaires menées avec les dictatures du Golfe, fait grâce aux démarches bien rémunérées du roi Juan Carlos I. Il ne s'agit pas seulement de la vente d'armes. L'Armée espagnole soutient 7
d’étroites relations avec celle de l'Arabie Saoudite, dont les pilotes – qui au jour d’aujourd’hui sont en train d’attaquer le Yémen - apprennent à manier les Eurofighter chez nous [3].
République Centrafricaine. Un pays plus grand que la France et la Belgique ensemble, et où les compagnies Areva, Total, Bollore et France Telecom dictent sa loi [5].
La France impériale, une fabrique Djibouti, une autre ex-colonie française importante de désespoir. située en face du Yémen dans le détroit L'arrivée de Sarkozy au gouvernement, de Bab le Mandeb dans la Mer Rouge, et après celle de Hollande, tous les est aussi le siège d’importantes bases deux fortement appuyés par le militaires de la France et d'Etats-Unis. sionisme, a impliqué l'abandon du statut social de neutralité acquis par la France depuis la décennie de 1960. En 1961, après la décolonisation de l'Algérie, les relations se sont refroidies avec Israël et en 1966, avec De Gaulle au pouvoir, le pays gaulois abandonne la structure militaire de l'OTAN.
Le meurtre de civils à Paris, au contraire d’autres massacres récents comme celle de Beyrouth ou celle de l'avion russe avec deux fois plus de morts, a eu sa réponse avec la même réaction sinistre répétée depuis le 11 septembre 91 : des attaques indistinctes contre la population civile de pays dont le contrôle ambitionne l'impérialisme, dans une violation flagrante du droit international, et l'application d’une législation d'exception qui annule toute liberté publique.
Aujourd'hui les relations avec l'État sioniste sont plus étroites que jamais et en 2009 la France est réintégrée à la structure militaire de l'Alliance Atlantique. En 2010 Sarkozy signe avec Cameron un accord bilatéral de sécurité et de défense ; un accord assez surprenant entre deux membres remarquables de l'OTAN si ce n’était pas que quelques mois après, la France tout d'abord et le Royaume-Uni après, s’avancent au Pacte l'Atlantique dans l'attaque en Syrie.
Des meurtres de civils en Syrie pour venger le meurtre de civils à Paris, voilà la réponse criminelle de la France qui, dès 2008, essaie de reprendre avec force son sinistre rôle de puissance coloniale. Et elle le fait comme une forme d’esquiver la crise capitaliste et de se coudoyer d’égal à égal avec ses alliés, ce qui certes ne cesse pas de générer des tensions à l'intérieur même de la Union Européenne comme reflètent les réserves que Merkel a fait au discours belliciste d'un Hollande qui, soit dit en passant, annonçait déjà qu'il ne pourrait pas accomplir les objectifs de déficit exigés au reste de partenaires européens.
Les objectifs néocoloniaux gaulois dans l'Afrique ont pour scène l'ex-colonie française du Mali, où dès 2013 elle intervient au moyen des bombardements et des actions militaires sur le terrain pour assurer à ses multinationales le contrôle des importantes mines d'or du pays. Il en va de même pour l'intervention dans la République Centrafricaine à la fin de la même année, connue comme "Opération Sanguiris", menée par 1.200 soldats français et qui avait pour objectif empêcher l'arrivée des Chinois et contrôler les réserves d'or, de diamants et d'uranium du sous-sol de la
Domination et pillage dans l'extérieur et marginalisation et humiliation dans les banlieues des grandes métropoles européennes où millions de jeunes s'entassent sans espérance. C'est cette même jeunesse qui brûlait les 8
faubourgs de Paris en 2005 ; insultée et pliée elle vit dans les quartiers ouvriers il y a longtemps abandonnés du militantisme communiste. Ce sont les jeunes qui, sans aucune possibilité de faire face à la domination avec un projet d'émancipation de classe, cherchent à reconstruire son identité en se vengeant de l'humiliation et se rangent dans les files qui, à son avis, frappent avec le plus de fureur ceux qui les piétinent quotidiennement.
augmentent. Les complexes militaires industriels d'Etats-Unis et des principaux pays de l'UE ont agi avec rapidité. Les grandes multinationales fabricantes d'armes ont obtenu dans la semaine postérieure aux événements de Paris un bénéfice en Bourse de plus de 13.000 millions d'euros. Les premières décisions de Hollande ont été de suspendre, comme nous avons déjà indiqué, l'application des mécanismes de contrôle du déficit pour augmenter la dépense publique en sécurité et défense, alors qu'une Réforme Constitutionnelle est approuvée pour légaliser la suspension des garanties et des libertés publiques.
Hollande, en montrant ses vrais objectifs d'intervenir à grande échelle en Syrie, accusait à ce pays d'être la fabrique de terroristes. Bien au contraire. C'est son terrorisme d'État, le sien et celui du reste des pays de l'OTAN, qui engendre la barbarie, à Dans le cadre d’une crise économique l'intérieur et au-delà de ses frontières. sans aucun horizon, l'exacerbation du Des 4.000 combattants qui sont sortis racisme et la xénophobie, l'essor du de l'Europe pour intégrer les files de fascisme, la détérioration des conditions l'ISIS en Syrie, 1200 procèdent de la de vie et l'étendue de la guerre France. Et ils l'ont fait sans que jusqu'à impériale, cause directe de la fuite des présent aucun obstacle ne leur fût mis réfugiés, définissent la scène de la de la part des gouvernements de l'UE ; barbarie. Et elle ne fera qu’augmenter ceux-ci fermaient là-dessus les yeux davantage. avec l’excuse de qu'ils allaient et solidarité un combattre le gouvernement de Bashar Résistance internationaliste Al Assad. Résistance anti-impérialiste a, Face à une nouvelle escalade La aujourd'hui plus que jamais, une militaire et répressive dimension interne très importante et Au-delà des spéculations, par ailleurs directement liée à la reconstruction de répétées dans d'autres occasions, sur la conscience et l'unité de classe. La d’indices de mains occultes qui auraient nécessité d'être organisé pour détruire tiré les ficelles des attentats de Paris, un ordre social qui anéantit des millions tout semble viser dans la direction d'êtres humains, même dans les d’une nouvelle escalade d'interventions métropoles, passe pour incorporer à militaires en Syrie. Après les cette tranchée l'ensemble de la classe manœuvres gigantesques de l'OTAN, et doit placer au premier rang ceux qui récemment finies, qui concrétisaient les dans une plus grande mesure scénarios de guerre, le bouillon de supportent l'exploitation, c’est à dire la culture d'une population terrorisée est jeunesse immigrante. Et cette le plus approprié pour continuer incorporation requiert faire le grand d'imposer des découpages dans les saut de géant que la classe ouvrière fit services publics, alors que les dépenses dans d'autres moments de crise si militaires et les afférentes à la police 9
graves que l'actuelle : construire l'unité dans le combat contre l'ennemi de classe en incluant le respect pour les identités nationales ou culturelles. Nous ne pouvons pas nous placer dans une "équidistance" devant l'agression impériale. Les tâches de la solidarité internationaliste, comme Red Roja projette dans ses Thèses [4], ne peuvent pas mettre au même plan l'agressé et l'agresseur ; elles ne s’appuient pas sur la qualité "démocratique" ou "socialiste" de l'agressé. Nous nous opposons à l'agression contre la Syrie, comme nous l'avons fait avec la Libye (ou auparavant avec l'Iraq ou l'Afghanistan), non à cause de la nature de ses gouvernements mais parce que nous considérons les attaques de l'impérialisme comme des crimes contre l'humanité et comme attentats injustifiables contre le droit souverain des peuples à son autodétermination. Nous ne tomberons pas non plus dans ce simplisme, si cher aux intérêts "occidentaux", qui maintenant essaie de comparer l'attitude de la Russie avec celle-là de la France ou d'autres agresseurs impérialistes. Le gouvernement souverain de la Syrie résiste avec l'aide de la Russie, qui seulement intervient à sa demande. C’est le devoir de tout l'anti-impérialiste du monde appuyer la victoire dans cette lutte qui dure déjà des années.
garde, tout près du cœur de la bête impérialiste, a une énorme importance. Dans ce processus de création indispensable d'un mouvement populaire contre la guerre, Red Roja salue la création du Tribunal Permanent des Peuples contre la Guerre Impérialiste et l'OTAN. Comme elle affirme dans son Communiqué Final : "Á l’égal que dans d'autres sujets décisifs pour la vie des peuples, la guerre impérialiste se situe au-delà de sa portée et, par conséquent, seule la construction d'une réponse sociale organisée pourra faire front à cette barbarie et empêcher l'impunité de ses responsables". --------------------------[1] La Résolution 1973 du Conseil de Sécurité de l’ONU, approuvée le 17 de mars de 2011, autorisa à “Prendre toutes le mesures nécessaires” en Lybie pour “protéger les civils et les régions peuplées sous menaces d’attaques” y comprise la création d’une zone d’exclusion aérienne sur le pays. [2] http://es.awdnews.com/pol%C3% [3] http://www.elconfidencial. [4] http://www.redroja.net/docs/ [5] http://www.michelcollon.info/Republica -Centroafricana-las.html?lang=es
En ce qui concerne nos tâches militantes directes, Red Roja annonce qu'elle va promouvoir ou appuiera les mobilisations anti-impérialistes qui s'opposent à toutes les agressions ouvertes ou cachées - et aux manœuvres de déstabilisation menées par l'impérialisme. Même si ces mobilisations soient minoritaires, le simple fait qu'une résistance antiimpérialiste existe ici dans l'arrière10
La revista Cuba+ nº 14: Venezuela y también Libia, concentran el análisis en esta ocasión. Detalles Publicado en Lunes, 30 Noviembre 2015 14:21 Categoría: Noticias cercanas Escrito por Cuba+ de Cádiz
De nuevo la Venezuela bolivariana se lleva la mayor parte del más de nuestra revista Cuba+. Por razones de allí pero también de aquí... Así comienza la revista Cuba+ nº14 de este mes de noviembre. Venezuela y también Libia, concentran nuestro análisis en esta ocasión, como siempre con la intención de difundir y sembrar apoyos, conciencia y acción en nuestra línea antiimperialista. Para leer la revista o descargarla en pdf pincha aqui, en la imagen, en cualquiera de los enlaces o Revista CUBA+ nº14
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[Salamanca] Presentaci贸n: Cuando el pueblo se organiza Detalles Publicado en Martes, 01 Diciembre 2015 08:59 Categor铆a: Convocatorias Escrito por Red Roja Salamanca
Presentaci贸n de "Cuando el pueblo se organiza" el pr贸ximo jueves, 3 de diciembre, en el Rastrel (Salamanca).
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[Madrid] Concierto solidario con el Donbass Detalles Publicado en Jueves, 03 Diciembre 2015 14:15 Categoría: Convocatorias Escrito por Red Roja Madrid
El próximo jueves, 10 de diciembre, en la sala Hebe de Vallecas (Madrid). Todos los beneficios irán destinados al envío de material médico al Donbass.
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El
tablero inclinado Iglesias
de
Pablo
Detalles Publicado en Lunes, 07 Diciembre 2015 07:13 Categoría: Opinión Escrito por Manuel Navarrete ¡Qué hermosa sería una revolución -decía Andrés a su patrona-, no una revolución de oradores y de miserables charlatanes, sino una revolución de verdad! Pío Baroja, El árbol de la ciencia
antes: el que suele leer páginas como esta. El que milita y tiene conciencia, a menudo al menos anticapitalista. Es nuestra intención hacer reflexionar a “esa otra” gente, que ha llegado a justificar lo injustificable (cosa que tendrá que admitir cualquier persona para la que la OTAN, por ejemplo, sea injustificable). Hacerles reflexionar sobre si es aceptable que el tablero de Pablo Iglesias, supuestamente en disputa de la “centralidad”, más bien esté acabando por inclinarse hacia la derecha. ¿Cuántas fichas más caerán por los suelos antes de que acabe esta farsa?
I.
II.
Este escrito nace desde un profundo respeto a esa parte del pueblo llano que, con ilusión y ganas de cambio, espera al 20 D para votar a Podemos. Voten lo que voten, invitamos a esa gente a participar en las luchas obreras y populares en curso, y recordamos que así, desde la base, es como se cambian históricamente las cosas. Entendemos el razonamiento que hacen: nada se pierde por votar. Solo que añadimos: nada puede ganarse votando a un proyecto que, para empezar, no proponga la ruptura con las instituciones europeas y esa moneda única que, sencillamente, dicta las políticas de ajuste. Y si no, que le pregunten a Syriza o, mejor aún, al pueblo griego que sufre sus recortes.
Ya lo sabemos: la Teoría de la Centralidad del Tablero (en adelante, TCT) fue un paradigma presentado por Iglesias y Errejón como la genialidad definitiva que llevaría a Podemos a su objetivo, que no era otro que el de lograr que un partido con el nombre “Podemos” ganara las elecciones. Y decimos “con el nombre” porque, según este paradigma, el programa, los principios, las tácticas, la estructura interna e incluso los objetivos pueden ser transformados en su contrario sin el menor problema.
No escurrimos el bulto. Somos conscientes de la necesidad de la construcción organizativa, de que hemos fallado a la hora de crear algo lo bastante potente, de que precisamente eso explica el auge de iniciativas lastradas como las que aquí someteremos a crítica. Y, no obstante, nos vemos obligados a publicar esto sobre todo para dirigirnos a otro sector de la población diferente al aludido
En realidad, a nivel histórico, la TCT no tiene nada de nuevo. La “tercera vía” y la socialdemocracia europea existen desde hace mucho. Pero también ese oxímoron del “marxismo no revolucionario”; y es que Carrillo, Berlinguer y Marchais ya sabían, en los años 70, mucho sobre “centrarse” en el tablero. Y aún antes que ellos, a principios del siglo XX, Bernstein, Kautsky y otros ensayaban ya el abandono de la perspectiva internacional (y, por tanto, el abandono de la perspectiva de clase) que, como veremos, la TCT implica. En todo caso, la TCT ha ido más allá que todos ellos,
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pues, incluso a nivel “interno” o nacional, sustituye la lucha de clases por una supuesta contradicción entre “la casta de los políticos corruptos” y “los ciudadanos honrados”, así, en general. Después de tanta “mesa redonda” y tanta verborrea, el prestigio teórico de algunos deviene en parodia puesto que, incluso para sus objetivos declarados, la TCT se ha mostrado totalmente inútil. Es más, ha sido clave en el hundimiento electoral de Podemos. A la luz de la evolución de las encuestas electorales, los genios y “Mick Jaggers” de la política que la propugnaron deberían plantearse una prudente rectificación y, quizá, irse a dormir un rato. Pues, pese a tanto efectismo mediático, en tan solo unos meses de TCT Podemos ha pasado de aspirar a ganar las elecciones a ser la cuarta fuerza política del país. Con un porcentaje menguado y menguante de votos, ganar se les aparece hoy como algo imposible, ante el triste destino que les deparan barómetros, CIS e incluso modestas fruterías de barrio (que de esto saben más que tantos “profesionales”). III. El caso es que se nos antoja natural que así sea, puesto que el caladero de votos de Podemos, como es sabido, no es el PP, sino el PSOE; y los votantes del PSOE se perciben a sí mismos como gentes “de izquierdas”, sin tener el menor problema con esa palabra. Dichos votantes se debaten, a menudo, entre Pablo Iglesias y Pedro Sánchez; y solo optarán por el primero si verdaderamente observan alguna diferencia sustancial con respecto al segundo. De lo contrario, optaran por el “voto útil” de siempre; máxime cuando Iglesias se les aparece como un tipo deshonesto, ambiguo, voluble, que jamás dice lo que piensa.
Dado que por el lado izquierdo muchos están regresando al PSOE (como decimos, por no encontrar finalmente demasiadas diferencias entre una cosa y la otra) y que, por el lado derecho, el “lagarto de V” Rivera y sus Ciudadanos van a “pescar” a los ex-votantes del PP hastiados de tanta “corrupción genovesa”, la TCT se revela como un intento fallido que si aún no ha sido abandonado, es solamente a causa de la testarudez intelectual de ciertos egos “a la altura de Carrero Blanco”. Podemos, claro, sigue contando con sus adeptos; pero, más allá de ellos, ha confundido la conquista de la centralidad con la poco inspirada táctica de quedarse en tierra de nadie. En la modesta frutería de mi barrio no saben nada -lo admitode “núcleos irradiadores” que seduzcan a “aliados lateralizados”; pero saben que, por mucho que te moderes en todo, no lograrás que “los fachas” te voten (por algo determinado diario tuvo tanta PRISA en aupar a Ciudadanos); y que, a su vez, si te moderas en todo, ya no hay diferencia alguna con respecto al PSOE y, para eso, la gente vota al original. IV. Pero hay más: en realidad, ya nadie puede estar seguro de lo que propone Podemos, más allá de una serie de “garantías constitucionales” que, en su mayoría, el PSOE suscribiría sin problemas y que son puro papel mojado. Como si no hubiésemos aprendido nada de 1978 y de las propiedades mágicas atribuidas a escribir maravillas en constituciones doradas. Y como si no se notaran los guiños, cada vez menos disimulados, de Iglesias a Pedro Sánchez. Pues, por lo que se ve, “coleta morada” sí que querría “fumar la pipa de la paz” con él. E incluso con la CEOE a ratos, con la
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cual lleva tiempo limando asperezas para desconcierto de quienes pensaban que los explotadores debían ser, por definición, “casta” enemiga. Incluso se está llegando al extremo de defender que las multinacionales españolas “ayudan” a Latinoamérica. Y nosotros que creíamos que más bien sorbían sus venas abiertas. ¿Qué propone Podemos? ¿Qué propondrá mañana? Cualquier votante que en las últimas elecciones europeas votara a Podemos seducido por sus propuestas de entonces (el impago de la deuda ilegítima, la prohibición de los despidos, la salida de la OTAN, la paralización de los desahucios, la nacionalización de la banca y de las eléctricas, la renta básica universal, un proceso constituyente, etc.) puede buscarlas en vano en su actual programa. No hallará ni una sola de ellas. Y se supone que los “círculos” deben acatar con total naturalidad que todo esto desaparezca del programa, sin que hayan podido opinar nada al respecto. Se supone que no pueden decir “basta”, so pena de ser acusados de “sectarios” y de estar “haciéndole el juego a la casta”. ¿Tal vez pensaron que lo de “programa, programa, programa” significaba sacar tres programas distintos e incluso contradictorios en pocos meses, y no precisamente lo contrario? V. También deben aceptar esas bases que se califique de “fiero león” a un Alexis Tsipras que está aplicando el peor programa de ajuste, recorte y privatización del FMI en toda la historia de Grecia y Europa, mientras, al mismo tiempo, se rechaza y abandona a una Venezuela acosada por el imperialismo y que, ella sí, tuvo el valor de mandar al ALCA y al FMI “al carajo” (como diría el gran Hugo Chávez). Al respecto del
caso griego, es necesario recordar que fueron numerosos los debates, tanto en vivo como por vía escrita, en los que defendimos, literalmente, que dentro de la UE y el euro no había margen de maniobra alguno, por lo que Syriza iba a decepcionar a sus votantes. Por parte de gente bienintencionada de Podemos se nos contestó, también literalmente, que sí existía margen de maniobra (y, como de costumbre, se nos tildó de catastrofistas, infantiles, gente sin propuestas y otras lindezas similares). Pues bien, cuando el tiempo nos ha dado la razón, esa gente bienintencionada no solo no ha sido capaz de reconocerlo, sino que sigue proponiendo exactamente lo mismo, esta vez para España. Y nos siguen tildando de catastrofistas, infantiles, etc. cuando avisamos de lo siguiente: dentro de la UE y el euro, solo hay privatización, ajuste y recortes, gobierne quien gobierne (incluso aunque gobernara el mismísimo Pepe Díaz), por el sencillo motivo de que el organismo que regula la emisión de moneda, el BCE, seguirá donándola a la oligarquía financiera para que esta la revenda cara a cualquier país que no cumpla con los objetivos de déficit que convienen a Alemania. ¿Es que el luminoso “núcleo irradiador” que apostó (por lo visto, en dos decisiones brillantes) por Tsipras y por la TCT no entiende nada de la política europea y de su empleo criminal de las “primas de riesgo”? ¿Es que no entiende que dentro de la UE no hay margen de maniobra alguno pues, de hecho, para eso mismo se creó la UE? ¿O acaso es creíble la excusa de que el tamaño de la economía española hará que sea respetada? ¿Debemos entonces dejar de darnos por aludidos por la S de PIGS, o pensar que basta con imaginar que no pertenecemos a la periferia de
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Europa para que ello sea cierto? La situación nos exige ser serios: por desgracia, si nuestra economía es mayor, más razón tendrán para evitar que se les vaya de las manos. VI. Pero hay algo más llamativo en todo este proceso, y es cómo Podemos ha entendido, desde el mismo comienzo, que debía intentar ridiculizar a otros actores de la izquierda (y precisamente a los sectores transformadores) para no tener que responder a sus molestas preguntas. Ya en otras ocasiones hemos denunciado la utilización de la falacia del muñeco de paja como argumento estelar, y casi único, para criticar a miembros comprometidos del activismo político extra-institucional. Por desgracia, las agresiones han seguido, aunque cada vez sean menos creíbles para la gente. Nos tildan, sin mayores contemplaciones, de gente que solo critica sin hacer nada. Nos parece estupendo. Será peor para ellos, pues, en nuestra localidad, cada vez más gente currante sabe que desde el Grupo de Acción Sindical “sí que podemos” realizar acciones directas si son despedidos, se les escamotea algún salario o sufren algún abuso. Y cada vez más vecinos saben, gracias a iniciativas de poder popular como Barrio en Pie, que la solución a sus necesidades inmediatas (alimentación, educación, vestido, ocio, vivienda) va a correr más a cargo de la solidaridad y el apoyo mutuo que logren tejer que a cargo del número de papelitos que logren meter en una urna. De hecho, en diversos puntos del Estado llevan tiempo creciendo iniciativas similares, gracias a cuadros revolucionarios que, por más que sean caricaturizados por Iglesias y sus “fans”, saben intervenir.
cuando lo son justamente ellos al negar la existencia de clase obrera por no saber verla en los camareros, teleoperadores, reponedores, empleadas de hogar, precarios, inmigrantes... Pero claro, quizá así crean justificado no incluir a sindicalistas o cuadros obreros en sus listas y órganos directivos (ya sabemos del bloqueo efectuado, por ejemplo, a Cañamero y Gordillo), que están confeccionando únicamente a base de “fichajes estrella”, como jueces, guardias civiles o incluso el jefe militar español que bombardeó Libia en una de las acciones más abyectas y criminales de la historia de la OTAN. Un criminal de guerra que, a propósito, no ha modificado ni un ápice sus posiciones. Es más, ha logrado que Podemos asuma la necesidad de continuar en la OTAN (e incluso de apoyar las “intervenciones humanitarias” que estén “avaladas por el Consejo de Seguridad”, como se viene repitiendo últimamente), ante lo cual cabe preguntarse: ¿quién hegemoniza a quién? ¿Es Podemos quien ha fichado a alguien de la OTAN, o es la OTAN quien ha fichado a Podemos? Nos acusan de mirar atrás, cuando son ellos quienes anhelan únicamente volver al pasado, a su llamado “Estado del bienestar”, y cuando el llamado “Estado social” capitalista e imperialista (Bismarck) es de hecho más antiguo que el socialismo. Pero, en realidad, no hace falta irse tan lejos pues, de hecho, tanta palabrería teorética y vacua es una mera cobertura ideológica para justificar las ambiciones del sector social y socio-profesional que ellos representan, que se reconoce a sí mismo como “clase media” y que lo que anhela es volver a los 80 y vivir tranquilos en uno de los países dominantes del norte.
Nos tildan de obreristas “de mono azul”, 17
Nos acusan de anacrónicos, cuando lo son ellos. El error principal nace de la creencia (muy de “vieja política” y de los socialdemócratas, por otro lado) de que podemos cambiar algo sin meter mano a los intereses del poder económico, o limitándonos a actuar vía impuestos. Nosotros sostenemos que la conciliación de clases es imposible e indeseable actualmente; y que esos son dos debates distintos. Antes era posible aunque no deseable (por asentarse en la sobreexplotación de otros trabajadores: los de los países del “tercer mundo”). Hoy en día, con un capitalismo en crisis estructural, además de indeseable, es imposible. ¿Quién es el “desfasado”? ¿Y, por cierto, qué tiene de “nueva política” eso de dejarse moldear el camino a manos de los “castigos y premios” de los medios de comunicación? ¿No lleva el PCE haciendo eso desde la Transición?
revolucionarios”? ¿No es similar al cura que le dice a un niño que Dios se ha hecho invisible para demostrar sus increíbles poderes? VII.
La desafección está llegando ahora a muchos que aceptaban ser peones de un verdadero cambio, pero no de este tablero inclinado de un Iglesias, que, como era de esperar, ha acabado por aceptar sin reservas la Constitución del 78. Parece que, tras la tragedia de Felipe González, la historia se repite como farsa. Quizá Monedero percibió a tiempo el ridículo que se avecinaba. Ahora, cuando Errejón e Iglesias comienzan a encontrarse solos, y cuando muchos de sus seguidores se sienten como en una vergonzosa resaca, cabría preguntarse si aquello que vieron con dos copas de más fueron los Mick Jaggers de la ciencia política o, más bien, el Dúo Dinámico Nos acusan de no tener táctica, cuando de la “progresía” universitaria. ellos esgrimen ideas del calibre de que si criticamos los recortes, no debemos criticar también a la UE. ¿Por qué? Para unirnos también a los partidarios de la UE. ¿Y si dentro de la UE estamos obligados a recortar? Da igual, ahora hay que unirse a los pro-UE y, es más, hacerlo bajo su programa pro-UE. ¿La idea es engañarlos y, posteriormente, una vez en el poder, salir de la UE? ¿Y cómo aceptará el pueblo semejante engaño? No, pues está la otra opción: que la idea sea seguir en la UE y cambiarla desde dentro. ¿Pero para eso no haría falta que partidos anti-UE (y ni siquiera Podemos y Syriza lo son) ganaran las elecciones en quince o veinte países seguidos de Europa? ¿Esa es su maravillosa y sesuda “táctica”, o más bien una estafa vulgar y grotesca a la gente, a sus ilusiones y a sus necesidades? ¿Y qué hay de esa excusa de que “después de las elecciones se quitarán la careta y serán 18
Barcelona acogerá el 12 de diciembre una concentración contra la guerra y la OTAN
sufrimos los planes orquestados por el Imperialismo y el neocolonialismo de dominación y explotación”. En el escrito, se exige la salida de la OTAN y el desmantelamiento de las bases militares de la organización atlántica, así como acabar con las vías de financiación de los grupos terroristas y respetar la soberanía de los pueblos.
Detalles Publicado en Lunes, 07 Diciembre 2015 14:08 Categoría: Convocatorias Escrito por Plataforma Unitària i Popular contra la Guerra i l'Otan
El documento cierra haciendo un llamamiento a recuperar la solidaridad y la bandera del internacionalismo como vía para lograr la paz.
La ciudad de Barcelona acogerá el próximo sábado 12 de diciembre una concentración contra las guerras imperialistas y la Organización del Tratado Atlántico Norte (OTAN). La protesta, bajo el lema “No a la Guerra. OTAN No, bases fuera”, ha sido convocada por la ‘Plataforma Unitaria y Popular contra la Guerra y la OTAN’, que ya cuenta con la adhesión de 15 organizaciones de la izquierda. El acto se realizará a las 17:00 horas en la céntrica Plaza Catalunya y pretende ser el punto de partida de una campaña de movilizaciones sostenidas con el objetivo de dar una respuesta popular a la escalada de violencia que está protagonizando la coalición imperialista en Siria y la región. El manifiesto de la Plataforma advierte que “es absolutamente necesario e imprescindible volver a levantarse, salir a la calle, manifestarse en los momentos en los cuales la OTAN ejecuta agresiones orquestadas por las oligarquías de Estados Unidos y la Unión Europea con ayuda de sus aliados, de Israel y las teocracias dictatoriales del Golfo Pérsico” y asegura que “tanto en París como en Siria, tanto anteayer en Yugoslavia como ayer en Libia, los trabajadores en particular y el pueblo en general 19
Presentación de las Conclusiones del Tribunal en Talavera Detalles Publicado en Lunes, 07 Diciembre 2015 14:18 Categoría: Convocatorias Escrito por TPPCGIO
Acto público de presentación de las conclusiones del Tribunal Permanente de los Pueblos Contra la Guerra Imperialista y la OTAN, en Talavera de la Reina. Intervienen: Manuel Pardo, del Colectivo Anemoi y Ángeles maestro, de Red Roja Organiza: Asociación Sociocultural Aurelio de León. Miércoles 16 de diciembre, a las 19:30 horas, en el salón de actos de la UNED, calle Santos Mártires 22.
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Semana de lucha: Alfon libertad!! Detalles Publicado en Miércoles, 09 Diciembre 2015 07:44 Categoría: Convocatorias Escrito por Ptfma. Libertad de Alfon
6 Meses sin Ti 6 Meses Contigo #SemanadeLucha por @Alfon_Libertad del 11 al 17 de Diciembre. ALFON SOMOS TOD@S. Stop FIES. ¡¡LIBERTAD PRESXS POLITICXS!!
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Revista Pim Pam Pum Número 11 Detalles Publicado en Miércoles, 09 Diciembre 2015 12:43 Categoría: Noticias cercanas Escrito por Red Roja Vallecas
Ya está disponible el último número de Pim Pam Pum! Para descargarlo en formato PDF hacer clic aquí Editorial: LA MANO NEGRA
En 1939, tropas de la infantería alemana disfrazadas de soldados polacos “atacaron” el III Reich: “para defenderse”, Hitler se vio en la dolorosa obligación de invadir Polonia. En la posguerra española, guardias civiles disfrazados de maquis antifranquistas asesinaban a inocentes campesinos para achacar tales vilezas a “la barbarie marxista.” Durante la Guerra de Vietnam, tropas travestidas con el uniforme del Vietcong perpetraban crímenes inenarrables, fanáticamente apoyados por la emisora Radio Bandera Roja, que luego se descubrió era integrante de la CIA. Alpha 66 de Eloy Gutiérrez Menoyo, la CORU de Luis Posada Carriles, y Hermanos al Rescate, en Cuba; la Contra nicaragüense, la UNITA de Holden Roberto en Angola, la RENAMO del supuesto maoísta Jonas Savimbi en Mozambique, los “Escorpiones Negros” en Laos, el “Escuadrón Mangosta” en la isla de Granada, los talibanes en el Afganistán prosoviético… ni siquiera se molestaban en llevar disfraz.
A finales del siglo XIX, el Gobierno español hablaba de una fantasmagórica organización terrorista: la Mano Negra, que perpetraba sus crímenes en el campo andaluz. Hoy, todo conduce a suponer que tal organización fue un invento gubernamental para sofocar la lucha social de los asfixiados jornaleros sin tierra de aquella España latifundista En la posguerra europea, el ex jefe del SD (servicio secreto nazi) Reinhard y señorial que nunca se fue del todo. Gehlen, creaba, junto con la CIA, la Red Las misteriosas bombas de la Procesión Gladio, una red durmiente de del Corpus de Barcelona en 1896 organizaciones terroristas dispuesta a justificaron los procesos político- despertar en el momento preciso para religiosos de Montjuïch, y la represión desarrollar una estrategia de la tensión salvaje contra el incipiente movimiento y desestabilizar a los gobiernos y obrero y los republicanos anticlericales. partidos progresistas, sobre todo si comunistas. Esta red fue En 1898, otra misteriosa “mano negra” eran voló el barco estadounidense Maine, destapada en la Italia de los 90, a anclado en el muelle de La Habana. Ello consecuencia de la ola de violencia pudo justificar a las mil maravillas la armada conocida como “los Años del intervención imperialista yanqui en la Plomo” (1968-1982), uno de cuyos guerra colonial hispano-cubana. El últimos hitos fue la bomba de la CIA magnate mediático norteamericano (disfrazada de Brigadas Rojas) en la Hearst había dicho a un reportero estación de ferrocarril de Bolonia… gráfico de uno de sus muchos Atentado sospechosamente similar al periódicos: “Quédese en Cuba. Yo le 11-M de 2004. proporcionaré la guerra.” La guerra deslocalizada, de baja o alta 22
intensidad según las zonas, no declarada, y orquestada por los medios de comunicación hegemónicos, no es algo nuevo. Todo el mundo busca a ISIS, unas siglas muy bonitas que recuerdan a la divinidad felina egipcia del mismo nombre, diosa de la Noche y del Misterio. Ahora nadie piensa en la Siria en ruinas, ni en la desesperación de los refugiados. Siempre nos quedará París. Y el estado de excepción permanente.
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[Murcia] Manifestaci贸n: contra las imperialistas
Murcia guerras
Detalles Publicado en Jueves, 10 Diciembre 2015 10:47
Categor铆a: Convocatorias Escrito por Asamblea contra la guerra de Murcia
El pr贸ximo s谩bado, 12 de diciembre, en la plaza de la Fuensanta de Murcia.
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CULTURA REVOLUCIONARIA Ellas nos prepararon el camino
posible donde exigir no signifique, sin embargo, aceptar condescendencia. Por eso muchas de nosotras seguimos hablando de lucha y procuramos eludir ciertos enfoques de la noción de empoderamiento que contemplan el poder como un objeto mágico del cual surtirse y no como un conjunto de relaciones.
Detalles Publicado en Lunes, 30 Noviembre 2015 11:07 Categoría: Cultura crítica Escrito por Belén Gopegui
Qué dirán de nosotras, de nuestras “Compañeras: hay que decidir desde asociaciones, nuestras redes, nuestras ahora un cambio de ruta. La gran noche concesiones, nuestros titubeos y en que estuvimos sumergidas, hay que nuestro valor. sacudirla y salir de ella. El nuevo día Me ha conmovido la firmeza con que las que ya se apunta debe encontrarnos autoras y autores de los artículos de No firmes, alertas y resueltas. (…) La hay nación para este sexo avanzaban humanidad espera algo más de entre las huellas del pasado para nosotras que imitación caricaturesca reconstruir el empuje de mujeres que (...) no hay que reflejar una imagen, quedaron relegadas en la historia de la aun ideal, de su pensamiento y su literatura. Ellas nos prepararon el sociedad, por los que ellos mismos camino hacia una existencia más justa, sienten de cuando en cuando una en igualdad. Aún no se ha alcanzado inmensa náusea” pero, por ellas, estamos menos lejos. Y Habrá entre ustedes quienes hayan también por las horas de quienes han reconocido las palabras de Frantz Fanon buscado en silencio, entre cartas y en Las condenadas de la tierra. Me he documentos, dejar constancia de esos limitado a poner algunas “aes”, ay, esa afanes robados a la memoria colectiva letra tan subversiva cuando de pronto de una humanidad que debiera ser se empeña en recordar que hay un indivisible. nosotras común compuesto por las ¿Qué decir de nosotras a las personas, y un nosotras específico investigadoras y los investigadores del compuesto por las mujeres ausentes de futuro -si es que hay futuro-? la historia que escriben ellos. Las escritoras jóvenes suelen preferir, en nuestros días, rechazar toda clase de reivindicación que pueda evocar siquiera levemente una actitud victimista; al menos en el terreno de las letras, dicen, casi todo lo que podía lograrse se logró y ahora nos toca trabajar por lo nuestro como cualquiera. Las escritoras mayores comprendemos esa actitud pues también pasamos por ella, y si bien rechazamos, sin duda, el victimismo, pensamos que ha de haber un espacio
Quisiera que estas palabras de Fanon formaran hoy parte de nuestro proyecto. Escribía Rubén Darío en 1900 en alusión a las sufragistas y según cita en el libro Ana Peluffo: “Tengo a la vista unas cuantas fotografías de esas políticas. Como lo podéis adivinar todas son feas y la mayor parte más que jamonas”. Ciento quince años han pasado y aún siguen tantas políticas sometidas al estúpido juicio parcial del patriarcado y muchas terminan acatándolo por soledad, por impotencia.
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Ya basta, esquemas.
no
les
devolvamos
sus mayor parte de nuestras hermanas escritoras del periodo estudiado Porque nos inquietaría ser como ellos, pudieron encontrar tiempo para viajar y reproducir gran parte de sus escribir, y si no fueron escuchadas por instituciones, de sus condecoraciones y colonia y por mujer, algunas no sus consejos de administración, tal conocieron el silencio que impone la como a veces parecieran querer clase. quienes reclaman la mitad de todo. En otra dirección, también nos inquieta esa parte del llamado feminismo de la diferencia que puede olvidar el continuo dilema de la cultura de la oprimida. La profesora Laura Mintegui lo formulaba así: “Yo -mujer- no sé quien soy, no sé hasta qué punto soy lo que soy porque venía así o porque soy un cúmulo de respuestas a estímulos negativos, mecanismos de defensa ante una sociedad por la que me he sentido invadida desde el minuto uno, desde que dijeron: ay, una niña,...”. Distinguir pues, en la cultura de la oprimida lo que hay propio, nuevo y necesario, y lo que hay de reacción, de golpe encajado, de definición asumida aunque sea con descaro, con un “¿y qué?” del tipo: soy, como dices, un saco deseante cargado de pulsiones ¿y qué? No, no aceptaremos sus enunciados ni siquiera a la contra. Pensamos, en cambio, que el trabajo es más largo. Se trata de empezar a poder decir yo soy: en este punto el patriarcado no es tan distinto del colonialismo, en él nos encontramos con nuestras hermanas latinoamericanas presentes en el libro que padecieron la doble opresión, que supieron lo que es no ser escuchada por ser colonia y por ser mujer: “hace falta una carga -hagamos decir al poetapara vengar a las muertas, que padecen ultraje, para limpiar la costra tenaz del coloniaje”. No hay nación para este sexo permite además pensar en un tercer silencio, el de la clase: la
Me preguntaba Pura Fernández mi experiencia particular de la sororidad entre escritoras. Hablaré de tres autoras que me dan consistencia. La primera, Mercedes Soriano, una escritora muerta a los cuarenta y nueve años sin homenajes. Cierto que su obra no es extensa y que ella misma comenzó a restarle importancia en sus últimos años. Pero esa obra existe, importa y dice. También debieron de existir cartas e inéditos cuya destrucción acaso nadie se cuidó de evitar. Soriano había escrito dos novelas cuando la conocí. Me leía sus textos, yo tenía veintipocos años, me prestó y recomendó libros, me enseñó algunas de las trampas del mundillo y, a ratos, me contó su relación con un muy conocido escritor. No diré su nombre pues su historia afectiva en nada nos compete, pero quiero contar que Mercedes Soriano le mostró, como a mí, obras, perspectivas, caminos posibles que luego he visto transitados por él sin que haya visto nunca -tal vez ha sido mala suerte, no he podido leer todo- ninguna referencia a quien fue, me atrevo a decir, una de sus maestros. De la segunda persona he hablado muchas veces, Carmen Martín Gaite, gran escritora, amiga, maestra generosa también con los y las más jóvenes. De ella hoy apenas voy a citar esa frase que recordaba hace unos días Rosa Pereda. “No te pongas Dostoievski”, decía Martín Gaite y así nos hacía ver cómo el humor no trata de que las personas no sean importantes, sino de que la importancia
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es un secreto y nadie puede dársela a sí ni sus opresiones. “No es lo que tú misma o sí mismo sin resultar un dices, es lo que la gente oye”, señala poquito ridícula, o ridículo. Nuria Varela y pregunta a continuación: tener autoridad individual De la tercera diré primero sus iniciales, ¿Cómo NC. Es una escritora con una potencia cuando tu género no la tiene? Nuestras singular, distinta, y aún no palabras, las de quienes escribimos, “consagrada”, sea eso lo que sea. son como polvo a no ser que las Digamos que aún no ha sido convertida ampare un colectivo de personas en en mujer cuota, ya saben: “el poder pie. No basta con que nos concedan la pues toda autoridad arrebatado a una gran mayoría de autoridad, mujeres se ofrece a unas pocas para concedida no es más que préstamo y que parezca que cualquier mujer tal vez chantaje. De la autoridad hemos ‘verdaderamente cualificada’ es capaz de apoderarnos tanto como hemos de de acceder al liderazgo, el merecerla. No hay nación para este reconocimiento y la recompensa; es sexo ayuda a construir ese ambiente decir, que prevalece de hecho la justicia propicio y ese lugar de amparo en basada en el mérito”, explicaba con donde las palabras necesarias no exactitud Adrianne Rich. NC se debate mueran sin haber vivido. con, contra, las palabras y con, contra, su propia situación personal, con tanta honestidad y rabia, es como si cada día, pese a haber escrito varios libros luminosos, tocase por primera vez los límites impuestos desde fuera. NC, Natalia Carrero, es mi maestra hoy, con ella trato de no perder nunca esa fiereza con la que golpea y golpea y un día hará -haremos- trizas los muros.
No hay nación para este sexo. La Re(d)pública transatlántica de las Letras: escritoras españolas y latinoamericanas (1824-1936). Pura Fernández (ed.). Editorial Iberoamericana-Vervuert. Madrid 2015
** Texto leído en la presentación de “No hay nación para este sexo”, editado Sabemos ya que nada se construye en por Pura Fernández terreno neutral, ni nuestras ambiciones
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NOTICIAS EXTERNAS
El grito por la AMNISTÍA para las y los presos vascos resonó nuevamente en las calles de Bilbao Detalles Publicado en Lunes, 30 Noviembre 2015 09:07 Categoría: Noticias externas Escrito por Resumen Latinoamericano Miles de personas (algunos medios señalan que entre 4.500 y 5.500), convocadas por el Movimiento por la Amnistía y contra la Represión (Amnistia ta Askatasuna, son sus siglas en lengua vasca) ganaron las calles de Bilbao este sábado para reivindicar una de las consignas históricas de mayor calado en la lucha independentista del pueblo vasco. La marcha discurrió entre la plaza del Sagrado Corazón hasta el Arenal, y durante todo el trayecto se fueron sumando manifestantes que aguardaban el paso de la pancarta de cabecera donde la única frase que se pudo leer era precisamente la de AMNISTIA. Numerosos jóvenes de organizaciones sociales y movimientos antifascistas de Euskal Herria, así como algunos conocidos representantes de otros pueblos del Estado españoll solidarios con la reivindicación de la libertad de los presos y presas, marcharon junto a familiares de presos y refugiados.
Amnistía no hay paz), «Jo ta ke irabazi arte» (Luchar hasta vencer) o «Errefuxiatuek Euskadin bizi behar dute» (Los refugiados deben vivir en Euskal Herria). Sin embargo, la consigna fundamental fue, como en tantas otras ocasiones: «Presoak kalera, amnistía osos» (Presos a la calle, Amnistía ya). De acuerdo a declaraciones dadas al portal La Haine (que cubrió todo el acto en directo) por uno de los organizadores, Sendoa Jurado: ”Nuestro objetivo era volver a sacar a la calle esta reivindicación y explicarle a la gente qué es lo que ha ocurrido aquí, que no solamente tengan la visión distorsionada que se nos quiere vender desde el aparato institucional. La realidad es que los responsables de las torturas y de la guerra sucia siguen en la calle mientras lxs militantes políticxs continuan encarcelados. La manifestación de hoy es el primer paso para informar sobre esta situación pero las acciones tienen que continuar en cada pueblo y en cada barrio”. Otro de los convocantes señaló que “”Hace año y medio tomamos el compromiso de volver a sacar a la calle la reivindicación de la Amnistia, esta manifestación es un punto de inflexión importante. La Amnistia es la única salida que puede dar una solución al conflicto que vive este pueblo”.
También se ha mostrado convencido de que en la izquierda abertzale «no hay nadie que no desee la amnistía» y «prueba de ello es que, en la marcha Durante todo el trayecto que duró la de este sábado hay mucha gente de manifestación por el centro de Bilbao , Sortu con nosotros». se corearon lemas reivindicativos como: Por otra parte, ha precisado que la «Amnistiarik gabe, bakerik ez» (Sin manifestación de este sábado es «un 28
punto de inflexión de cara al futuro» y ha expresado su deseo de que «otras organizaciones» participen en este tipo de movilizaciones.
además de ser esta “la única salida que puede dar una solución al conflicto político vasco”, ya que “mientras existan represalias no habrá paz”.
Desde Madrid llegó hasta Bilbao para sumarse a la manifestación la dirigente de la Red Roja, la ex diputada Angeles Maestro, quien expresó su total solidaridad con el pueblo vasco y con el motivo de la marcha. También hubo representantes de Galicia y de Catalunya que adhirieron a los objetivos y a las reivindicaciones por una urgente puesta en libertad de los luchadores vascos y vascas.
Para finalizar el acto, los presentes entonaron, puño en alto, el “Eusko Gudariak” (Himno del gudari vasco, en homenaje a quienes lucharon contra el franquismo) y la Internacional, en euskera. Fuente: Resumen Latinoamericano
Cuando la marcha llegó hasta la entrada del Casco Viejo de Bilbao, desde el escenario improvisado, uno de los portavoces apuntó: “Pese a todos los obstáculos aquí estamos y estaremos”. Luego, se leyeron adhesiones de presos políticos, enviadas desde las cárceles de Huelva y Córdoba, así como otras de militantes refugiados en el exterior. También se entonaron versos cantados por militantes juveniles, en homenaje a quienes en las cárceles resisten la prepotencia de los gobiernos fascistas español y francés. Por último, se escuchó la voz de los convocantes de Aministia ta Askatasuna, que además de agradecer “el sacrificio y la fuerza de quienes se movilizaron a pesar de los controles de la Guardia Civil (que retuvo varios ómnibus que llegaban desde Navarra), llegaron nasta aquí para pedir AMNISTIA, INDEPENDENCIA Y SOCIALISMO. También resaltaron que sin apenas recursos, medios “ni políticos profesionales” han demostrado que es posible hacer frente a retos y subrayaron que “esta manifestación es un punto crucial en la lucha por “la independencia y el socialismo, que serán con la amnistía o no serán», 29
Turquía: ¿falsa bandera en defensa de Daesh? Detalles Publicado en Martes, 01 Diciembre 2015 08:04 Categoría: Noticias externas Escrito por Carlos Santa María ¿Por qué autorizó el presidente Recep Tayyip Erdogan el artero ataque de un caza turco al bombardero táctico ruso Su-24, mientras cumplía misiones contra posiciones terroristas y sin existir ninguna amenaza mínima a las fuerzas armadas ni a la soberanía de dicha nación? Las explicaciones dadas sobre el derribo del aparato por el mandatario a la OTAN (organización militar de Occidente), han sido tres: que la protección de fronteras es una misión de toda nación y por tanto procedía defenderlas; que se advirtió a dos aeronaves rusas por permanecer en el espacio aéreo nacional y, luego de ello, una fue neutralizada en territorio turco; que se hizo todo lo posible para evitar este incidente. Al respecto de este grave hecho, es importante referirse a la verdad de lo ocurrido desplazando la especulación y la falsedad en la argumentación. En primer lugar, Erdogán considera que Daesh es un aliado fundamental para mantener su hegemonía en la región, oponiéndose a Irán. Por tanto, los ataques rusos están destruyendo sus planes de conquista y dominio lo que conduce a un odio acérrimo a sus supuestos enemigos. En segundo lugar, el negocio del petróleo directamente manejado por su hijo ha sido afectado por la operación militar
disminuyendo la fortuna familiar y el emprendimiento ilícito. La destrucción de pozos, rutas y camiones cisterna ha desbaratado “la empresa” tanto para EI como a su régimen. En tercer lugar, su decisión ha sido analizada racionalmente y el visto bueno para tal acto ha sido avalado por la OTAN, pues de no ser así se habría eliminado esa posibilidad. Es decir, se contaba con un poderoso aliado que no cuestionaría su acción. En cuarto lugar, prevé claramente que de convertirse la región en una zona con menor conflicto, es en su país donde comenzará una sólida movilización para pedir la renuncia, impidiéndole usufructuar de un gobierno dictatorial. En quinto lugar, las tendencias a realizar una alianza con Rusia por parte de Francia, y las evidencias que la Coalición no ha realizado una estrategia eficaz para derrotar al Estado Islámico, implicaba una fuerte presión y legalización al avance sirio. Ello hubiera sido definitivo para perder poder. Sexto, se ha violado el memorándum de entendimiento suscrito entre la Coalición euro estadounidensemonárquica y Rusia, según el cual se estudiaría formas para cuidar la seguridad aérea de los suscritos. Para resolver esta situación que afecta a Erdogán es comprensible una bandera falsa: provocar un conflicto inexistente que impida su propio debilitamiento, todo ello apoyado por los Medios de Información, naturalmente incluyendo masacres o atentados.
¿Cuál es la falsedad argumental de Erdogán para eliminar el bombardero ruso? Cabe mencionar que Washington no ha
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confirmado que Rusia violó la frontera turca insinuando que fue “en la frontera” con el fin de dejar dudas, aunque ha apoyado a Ankara sin documentación suficiente sino por fe e interés político. Incluso Reuters ha confirmado Estados Unidos cree que la aeronave fue alcanzada en el espacio aéreo sirio después de una breve incursión en la zona turca según un funcionario estadounidense que habló bajo condición de anonimato, basando su afirmación en la detección de la señal de calor del chorro. Al mismo tiempo, la OTAN ha establecido que la incursión en el espacio aéreo turco duró únicamente 17 segundos.
Absolutamente inconcebible es que no se haya seguido el protocolo reconocido mundialmente: al percatarse de una violación probable, despegan los cazas y establecen contacto visual directo y se comunican para saber si ocurren fallas en el sistema de navegación o sistema de dirección, problemas electrónicos u otros. Si no existe falla técnica, los cazas intentar expulsarlo o lo obligan a aterrizar en uno de sus aeródromos. Si continúe adentrándose en el territorio del país, se abre fuego de advertencia y si se descubre amenaza se despliega fuego directo sobre el avión infractor. Lo único que sucedió fue el ataque artero, por la Sin embargo, es falso que el caza haya espalda. derribado a la nave rusa en Turquía ya Cabe mencionar, entonces, qué que los mapas demuestran el esquema diferente es la posición de Rusia a la de de agresión en Siria, por lo cual quien las potencias occidentales. Vladímir violó la frontera intencionadamente fue Putin, ante el atentado en Egipto y la nave extranjera. De igual modo, fue éste, ha privilegiado investigar para a mansalva pues los pilotos jamás tener la documentación solvente esperaron una reacción mientras que las potencias EAIF ante desproporcionada e inusual. Es falso cada hecho han asesinado, también que se haya intentado alertar bombardeado, intervenido, tal como la manifestando que se enviaron diez última operación francesa provocando advertencias durante el deceso de 28 estudiantes en la cinco minutos sobre la necesidad de escuela primaria de Fatima al-Zahra, cambiar de rumbo: ¿entonces el avión ubicada en la localidad de Al-Zohur, en volaba a 36 kilómetros por hora? Sin el este de Mosul. embargo, ambos aviones permanecieron en territorio turco ¿Y qué pasaría si el gobierno durante 17 segundos, según Ankara. O legítimo de Bashar al Assad sea, la redacción de la carta derriba un avión denunciando ante la ONU a Rusia es estadounidense en Siria, su incoherente y demuestra hipocresía plena. Es falso también que el ataque propio país? se hizo para defender las fronteras pues Las preguntas que quedan por no hubo agresión alguna al territorio ni responder son definitivas: ¿está a su pueblo, ni siquiera riesgo aéreo. dotando Turquía de fuerza aérea a la Aún más, Erdogán había manifestado misión terrorista de EI? ¿Por qué de ante sus violaciones al espacio sirio y inmediato se dirigió a la OTAN para griego en muchas oportunidades, que “denunciar” su ataque? ¿No hubiera esa situación nunca podría servir de sido lo correcto hacerlo con Rusia que pretexto para destruir o agredir una es el afectado? ¿Podrá confiar alguien nave. en François Hollande, quien traicionó a 31
su pueblo al declararse finalmente neoliberal “socialista”? ¿No será ético que las potencias europeas reconozcan su respaldo a Daesh?¿ Quién infringe la resolución 2249 del Consejo de Seguridad de la ONU que ordena a los Estados combatir la amenaza del terrorismo con el uso de todos los medios? Ahora que se conoce las declaraciones de uno de los pilotos, que ha sobrevivido gracias a la inteligencia desplegada en el campo de acción rescatándolo, se corrobora que nunca existió comunicación ni violación de frontera. Lo que si ocurrió fue un ataque por la espalda del caza F16, como se conoce al traidor que dispara cuando nadie lo ve, y correspondió al misil que impacto la cola del bombardero. El crimen de guerra del otro piloto deberá ser castigado ejemplarmente por las autoridades internacionales. Lo esencial es que el régimen turco no sólo no ha logrado su objetivo de atemorizar a Rusia o de involucrarlo en una escalada militar con este gobierno, sino que ha reforzado la moral del ejército sirio y ruso para continuar su proyecto de liberar el país de todo terrorismo. Ello se está logrando con alta rapidez y ratifica la importancia de continuar sin desmayo la estrategia prevista.
imposible confirmar que fue Rusia responsable. Afortunadamente no todos los gobiernos que integran la OTAN son fundamentalistas y creen sólo por fe pues algunos poseen la inteligencia para exigir bases suficientes y prever lo que significa este hecho para el mundo. Finalmente, parece ser que el desorden controlado es una estrategia de la Corporatocracia a través de los regímenes “occidentales” con el fin de apoyar el proyecto del terror, condenándolo retóricamente y alimentándolo en la práctica. La contundente reiteración la ha dado Hillary Clinton quien en su escrito sobre decisiones difíciles lo sentenció: “Habíamos acordado con los Hermanos Musulmanes en Egipto que se anunciara el Estado Islámico (Daesh) en el Sinaí. Además se había acordado que una parte del Sinaí sería para Hamas y la otra para Israel…Se había previsto que, en una reunión con nuestros amigos europeos, en enero de 2013, reconociéramos al Estado Islámico”. Mayor confesión de apoyo al terrorismo es innecesario y causa inmenso repudio la “predicción” de John Kerry quien auguró que pronto Rusia vería como caen del cielo sus aviones… justo antes de los atentados.
La OTAN ha reaccionado previsiblemente acompañando a Turquía sin pedir ninguna comprobación y olvidando sus compromisos internacionales, lo que ha hecho que sus miembros tengan posiciones internas diferentes aunque aconsejen no escalar el conflicto…sin presentar obviamente los mapas satelitales y radares de última generación que confirma que dicho país violó el espacio aéreo de Siria para atentar contra los pilotos y, por dicha razón, le ha sido 32
La tregua en Donetsk Detalles Publicado en Martes, 01 Diciembre 2015 12:48 Categoría: Noticias externas Escrito por Slavyangrad La tendencia en los alrededores de Donetsk continúa siendo la misma que en semanas anteriores. Los enfrentamientos comienzan cada tardenoche con el uso de lanzagranadas, morteros y algunos D-30. Los escarceos en el arco Peski-Avdeevka se producen a menudo, aunque se trata de batallas posicionales, que en ocasiones se convierten en ataques de mayor intensidad. Algo similar ocurre en la zona de Gorlovka. El ministerio de Defensa de la RPD publica comunicados a diario en los que denuncia nuevos movimientos de artillería pesada en la “zona desmilitarizada”, que no lo es, ya que no se están aplicando los acuerdos de Minsk. La noche del sábado al domingo, las fuerzas ucranianas bombardearon los barrios de Oktyabrsky y Kubishevsky en Donetsk y Zaitsevo en Gorlovka, lo que causó la destrucción de una tubería, según el ministerio de Defensa de la autoproclamada República Popular de Donetsk. “Sobre las 23.30, las fuerzas ucranianas comenzaron a bombardear el distrito de Oktyabrsky, donde una vivienda recibió un impacto directo en el número 103 de la calle Checoslovaquia, además de la ruptura de una tubería en las calles Shajtoprojodka y Kurchatov”, afirmó el representantes de la RPD según cita la Agencia de Noticias de Donetsk (DAN). También Zaitsevo fue bombardeado.
Armadas de Ucrania denunciaron los casos de infracciones del alto el fuego del sábado por la noche por parte de las milicias de Donbass. “Desde las 18.00 horas de ayer hasta las 6.00 de la mañana, los terroristas han continuado con sus provocaciones disparando contra las posiciones de nuestras tropas”, afirmó el centro de prensa del cuartel general de operaciones en un mensaje publicado en Facebook. Según el comunicado, los ataques se produjeron utilizando morteros, lanzagranadas, ametralladoras y armas ligeras. Ver vídeo –Ria.ru Dos viviendas ardieron a causa del bombardeo. Ha ocurrido esta noche [entre el sábado y el domingo] en el distrito de Kubishevsky a consecuencia del uso de morteros, lanzagranadas y armas ligeras. Así lo informaron los residentes locales de esta zona de Donetsk. 19.02: “Ataque en el distrito Oktyabrsky, calle Checoslovaquia, impacto en dos edificios”. 19.45: Tengo la sensación de que se están utilizando Grads en la zona del Volvo Center [junto al aeropuerto de Donetsk], pero no puedo asegurarlo. 18.45: Plaza Shajterskaya: aparentemente comienzan a trabajar los lanzacohetes múltiples (ruido continuo). Hace unos cinco minutos, se ha escuchado el uso de Grads al norte de Donetsk”, escribieron los ciudadanos de Donetsk. Y de ayer [sábado]. Comunicado oficial:
En las últimas 24 horas, las Fuerzas Armadas de Ucrania han infringido el alto el fuego en ocho ocasiones. Un El domingo por la mañana, las Fuerzas miliciano ha muerto y otro ha resultado gravemente herido. 33
Según el Ministerio de Defensa, se utilizaron tanques, morteros, vehículos de infantería, blindados y armas ligeras en el ataque contra Oktyabrsky y los alrededores del aeropuerto en la zona norte de las afueras de Donetsk y las localidades de Jabunki y Spartak. Según la información disponible, las Fuerzas Armadas de Ucrania han trasportado hacia la línea de contacto en dirección a Donetsk 24 piezas de artillería, 30 tanques y blindados y seis piezas antiaéreas. En Maximilianovna, a 9km de la línea de contacto, se han observado 18 piezas de artillería autopropulsada y seis Grads de la 14ª Brigada Mecanizada; en Ivanovka, a 29km de la línea de contacto se observan 10 tanques, 20 vehículos de infantería y 300 soldados; en Avdeevka, a 5km de la línea del contacto, hay instaladas seis unidades de misiles tierra-aire Strela-10”. Además, según la inteligencia de la RPD, las tropas ucranianas continúan expulsando de sus viviendas a ciudadanos de Marynka, al oeste de Donetsk, y en Pavlopol, en el frente sur. Para desacreditar a la RPD, alegan el inminente ataque de las milicias”. De “Informes de la milicias de Novorrusia”. “Gorlovka: En la calle, o al abrir las ventanas, se hace evidente que la guerra está en pleno apogeo. La lucha continúa en Jeleznaya Balka. No descansan. Utilizan lanzagranadas y tanques. En el norte, continúa la batalla en Golmoy. En la zona de la mina número 5, entre Gruboko y Shirokaya Balka, se ha producido un tiroteo. Los tanques dispararon en el distrito de Novgorodska. En la zona de Dolomitnoye se han utilizado morteros y ametralladoras.
De la Agencia Novorrusia:
de
Noticias
de
“La batalla continúa en los suburbios al norte de Donetsk con uso de armamento pesado. Las Fuerzas Armadas de Ucrania continúan atacando Donetsk y bombardean las posiciones de las milicias. En estos momentos, la lucha continúa en la zona del aeropuerto, donde el ejército ucraniano utiliza morteros e infantería, y en la zona de Spartak. Según los residentes el norte de la ciudad, pueden escucharse claramente las explosiones de armamento pesado”. Mensaje del miliciano “Angel”: en el Volvo Center, parece haber uso de Grads. Ya llevan 40 minutos y aún no hay histeria porque no se cumple el acuerdo de Minsk. Además, en Yasinovataya hay explosiones bastante potentes y, lo que es más importante, continuas”. De la milicia: “Donetsk. Explosiones en todo el frente occidental, especialmente en Peski, donde hay un potente combate de infantería con uso armas ligeras (AK’s, RPG’s) y los tanques de los Nazis ucranianos. El barrio de Kievsky y el aeropuerto continúan bajo un fuerte bombardeo. En Azotny se han escuchado tres potentes explosiones. En la zona de Marynka, hay un duelo de artillería de 82mm”. Ver vídeo - Distrito de Oktyabrsky en Donetsk. Los resúmenes del día no han variado en el último mes: bombardeos, enfrentamientos, movimiento de equipamiento y de tropas hacia el frente. La situación sigue siendo la misma que a principios del mes de noviembre. El lado ucraniano refuerza periódicamente el frente y utiliza a batallones punitivos destacados en la
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retaguardia para la actual guerra de trincheras. Al contrario de lo constantemente repetido por nuestra propaganda, que asegura que luchan por su cuenta, las unidades que llegan al frente forman parte de las estructuras de poder o están estrechamente coordinadas con el Ejército Ucraniano y la Guardia Nacional. Disponen de escaso armamento pesado y en caso de necesitarlo, piden apoyo de artillería o tanques del ejército. En términos generales, la situación en Donbass continúa estancada, algo que puede cambiar por la vía diplomática (lo que parece improbable) o una ofensiva de una de las partes, algo que aún está por decidir. Así que todo sigue su curso. La línea seguida por la Federación Rusa es evidente: enfriar al máximo la situación en el frente de Donbass y tomar la iniciativa en Siria. La línea de sus oponentes está igual de clara: evitar que Rusia mantenga la iniciativa en Siria y, a su vez, impedir que Rusia ponga en práctica una versión del escenario Transnistria. Además, existe la posibilidad de abrir un nuevo frente, ya sea en el Cáucaso (el conflicto en Nagorno Karabaj) o en Asia central (Tayikistán), para comprometer al Kremlin y forzarle a utilizar recursos, que no son infinitos. Este tipo de conflictos podrían aparecer en los próximos meses, si no semanas. Para quienes se preocuparon porque Motorola se había marchado a Siria. Entrenamiento del Ejército Ucraniano en la región de Jmelnitsky. No parecen prepararse para el “proceso de paz”. Fuente: Slavyangrad
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Derecho burgués y derecho socialista antes del comunismo Detalles Publicado en Miércoles, 02 Diciembre 2015 09:18 Categoría: Noticias externas Escrito por Iñaki Gil de San Vicente Presentación de Iñaki Gil de San Vicente del Libro «Derechos Humanos como arma de destrucción masiva».
Hasta la revolución bolchevique El texto que aquí presento tiene la función de mostrar que la ideología burguesa de los «derechos humanos» es uno de los instrumentos más efectivos que sustentan la invisible dominación del capital sobre el trabajo y, a la vez, de justificación de las agresiones del imperialismo contra los pueblos que se resisten a claudicar a sus exigencias. Por ello mismo, el texto contradice la totalidad de las prácticas reformistas que, en esta cuestión, aceptan incondicionalmente dicha ideología. La contradicción no surge por la diferencia ideológica sino por las prácticas sociales que, desde el fondo de la realidad diaria, se expresan luego en diferencias ideológicas. Los derechos burgueses y su democracia han venido al mundo gracias a océanos de sangre y miseria impuesta por el terror físico, moral y simbólico paralizantes, como se expone en el texto que aquí presento. Y se han mantenido también aplicándolos cuando han fallado otros sistemas de alienación e integración. El mito de los «derechos humanos» y de la «democracia» es uno
de los más efectivos sistemas de alienación, siendo otro el fetichismo de la mercancía y sus efectos destructivos de la conciencia crítica. Ambos anclan en la realidad inaprensible del trabajo abstracto que se caracteriza por tres cosas: es trabajo enajenado, es trabajo impuesto y es trabajo ilimitado1. El texto que presentamos empieza precisamente por el trabajo abstracto porque estructura todas las dinámicas de la acumulación del capital bajo la ideología del «ciudadano libre». Fué necesaria una gran brutalidad para vencer a la tiranía medieval y papal igualmente feroz, practicando el «derecho al tiranicidio» reconocido con muchas excepciones por Tomás de Aquino2 que casi siempre beneficiaban al papado y a nobleza3. Después, Maquiavelo, admirado por Marx, escribió: «Los suizos son muy libres porque disponen de armas propias»4. Y Locke, ideólogo de la burguesía inglesa con más experiencia que Hobbes, que también defendió el «derecho al tiranicidio» pero con bastantes más restricciones, no dudó en afirmar que «todos están de acuerdo en que a quienes invaden por la fuerza las propiedades de un pueblo, sean súbditos del mismo, o sean extranjeros, pueden ser resistidos en su intento por medio de la fuerza […] hay ciertos casos en que los pueblos tienen derecho a ofrecer resistencia al rey»5. Sin poder extendernos ahora, las revoluciones burguesas en los Países Bajos y en los EEUU superan las masacres de los intentos revolucionarios anteriores al siglo XVI. El epítome de los «derechos humanos», la revolución francesa de 1789, tiene con razón la guillotina como su símbolo decisivo porque, además de cortar cuellos nobiliarios y papales, y hasta reales, como lo habían hecho los
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ingleses, también segó los de las mujeres revolucionarias6, los de las izquierdas populares y de naciones oprimidas –bretones, vascos, haitianos…–, y el de Rosbespierre, «un pequeño propietario del campo honesto y satisfecho»7 que no negaba el derecho de propiedad, que sólo buscaba supeditarlo a otros derechos humanos, así como prohibir lo que entendía por opresión nacional, perseguir como «asesinos, bandidos y rebeldes» a quienes hacen guerras reaccionarias contra los pueblos, y declarar a reyes, aristócratas y tiranos como enemigos de la humanidad8. Los «derechos humanos» burgueses hacían lo imposible por destruir los derechos precapitalistas, sobre todo los derechos de los pueblos a utilizar en su beneficio los frutos de las tierras comunales. La historia del pueblo trabajador vasco preindustrial e industrial9 también está marcada por esta resistencia tenaz en defensa de los derechos comunales. La represión de las prácticas populares de recuperación de bienes comunes privatizados por el capital fue una larga lucha de clases que abrió la conciencia crítica de un joven Marx que con el lenguaje que tenía con solo 24 años defendió el derecho consuetudinario precapitalista que tenía el pueblo para disfrutar de los bienes de las tierras comunales:
inventado. La moderna ocurrencia de unos tenderos ávidos se vuelve irrefutable apenas proporciona desechos al antiquísimo interés teutónico por la tierra10. Es innegable la actualidad de esta cita ahora que el imperialismo está desesperadamente lanzado a monopolizar lo poco que va quedando de bienes comunes en el planeta, generalizando la lucha de los pueblos para que se redacte una Declaración Universal del Bien Común de la Humanidad11, problema al que volveremos luego al analizar el vacío conceptual de una parte de la izquierda abertzale al respecto. La crítica de Marx se extiende hasta abarcar a las fuerzas represivas y al Estado que imponen los intereses de los ávidos tenderos: de los guardianes que vigilan los bosques para reprimir que los y las niñas empobrecidas cojan leña o comida dice que su «deber profesional es la brutalidad»12. Los guardabosques son servidores de los propietarios de los bosques, que a su vez son los propietarios del Estado:
Se ha llegado realmente en un lugar a convertir un derecho consuetudinario de los pobres en monopolio de los ricos. Se ha dado la prueba concluyente de que se puede monopolizar un bien común; de ello se desprende evidentemente que hay que monopolizarlo. La naturaleza del objeto requiere el monopolio porque el interés de la propiedad privada lo ha 37
Esta lógica, que transforma a los servidores del propietario foral en autoridades del Estado, transforma a las autoridades del Estado en servidores del propietario forestal. La división del Estado, la función de cada uno de los funcionarios administrativos, todo tiene que salirse de quicio para que todo se rebaje a un medio del propietario forestal y su interés aparece como el alma que determina todo el mecanismo. Todos los órganos del Estado se transforman en oídos, brazos y piernas con los
que el interés del propietario forestal oye, espía, calcula, protege, coge y corre13.
enfrentados: el de la clase explotadora, la que compra la fuerza de trabajo, y el de la clase explotada que no tiene más remedio que vender su fuerza de Con un rigor teórico, político y filosófico trabajo, venderse a sí misma, para mayor, Marx volverá a decir lo mismo subsistir. Derecho de la minoría opresa en El Capital: y derecho de la mayoría oprimida. Marx vuelve a insistir poco más adelante en Pugnando por alargar todo lo nada menos que la lucha entre el posible la jornada de trabajo, derecho burgués a poseer el tiempo de llegando incluso, si puede, a vida de la humanidad trabajadora, y el convertir una jornada de derecho de la humanidad trabajadora trabajo en dos, el capitalista para ser propietaria colectiva de su afirma sus derechos de propio tiempo de vida, de su vida comprador. De otra parte, el misma: «La implantación de una carácter específico de la jornada normal de trabajo es el fruto de mercancía vendida entraña un una lucha multisecular entre capitalistas límite opuesto a su consumo y obreros»15. O dicho de otro modo, por el comprador, y, al luchar debemos hacernos la pregunta sobre si por reducir a una determinada llegado un momento preciso se trata de magnitud normal la jornada una cuestión de derecho o de poder16, de trabajo, el obrero reivindica o de ambas cosas. sus derechos de vendedor. Nos encontramos, pues, ante Las luchas populares por los derechos una antinomia, ante dos concretos han planteado desde finales derechos encontrados, del siglo XVIII y en especial desde el sancionados y acuñados primer tercio del siglo XIX el enconado ambos por la ley que rige el debate de si se debe y se puede utilizar cambio de mercancías. Entre el Estado capitalista para ayudar a la derechos iguales y contrarios, conquista de derechos que en su decide la fuerza. Por eso, en la esencia son anticapitalistas porque historia de la producción sacan a la luz el problema de la capitalista, la reglamentación propiedad, que es una de las bases de la jornada de trabajo se históricas de la aparición del derecho, y nos revela como una lucha no a la inversa. Semejante experiencia que se libra en torno a los práctica y teórica acumulada ha sido límites de la jornada; lucha olvidada en buena medida. Pero la ventilada entre el capitalista realidad es tozuda y lo supuestamente universal, o sea, la clase «superado» vuelve otra vez aunque no capitalista, de un lado, y del en forma de tragedia sino de farsa. otro el obrero universal, o sea, En base a la experiencia acumulada la clase obrera14. hasta finales del siglo XIX que pudo ser estudiada por Marx y Engels, este Dos derechos iguales y contrarios, último no dudó en escribir que: «Las dialéctica de la unidad de contrarios libertades políticas, el derecho de antagónicos que lleva tarde o temprano reunión y de asociación y la libertad de a la lucha dentro de esa misma unidad prensa: estas son nuestras armas. Y de dos fuerzas sociales irreconciliables ¿debemos cruzarnos de brazos y que defienden sus respectivos derechos 38
abstenernos cuando quieran quitárnoslas? Se dice que toda acción política implica el reconocimiento del estado de cosas existente. Pero cuando este estado de cosas nos da medios para luchar contra él, recurrir a ellos no significa reconocer el estado de cosas existente»17. Y más adelante: «En política no existen más que dos fuerzas decisivas: la fuerza organizada del Estado, el ejército, y la fuerza no organizada, la fuerza elemental de las masas populares»18. Por su parte, en 1906 Rosa Luxemburg fue muy precisa: El terreno de la legalidad burguesa del parlamentarismo no es solamente un campo de dominación para la clase capitalista, sino también un terreno de lucha, sobre el cual tropiezan los antagonismos entre proletariado y burguesía. Pero del mismo modo que el orden legal para la burguesía no es más que una expresión de su violencia, para el proletariado la lucha parlamentaria no puede ser más que la tendencia a llevar su propia violencia al poder. Si detrás de nuestra actividad legal y parlamentaria no está la violencia de la clase obrera, siempre dispuesta a entrar en acción en el momento oportuno, la acción parlamentaria de la socialdemocracia se convierte en un pasatiempo tan espiritual como extraer agua con una espumadera. Los amantes del realismo, que subrayan los «positivos éxitos» de la actividad parlamentaria de la socialdemocracia para utilizarlos como argumentos contra la necesidad y la
utilidad de la violencia en la lucha obrera, no notan que esos éxitos, por más ínfimos que sean, sólo pueden ser considerados como los productos del efecto invisible y latente de la violencia19. Rosa Luxemburg tenía toda la razón, y la historia se lo demostró en su propio cadáver al ser asesinada en plena revolución de 1918 por sus compañeros de partido que en el debate de 19051906 se declaraban «demócratas pacifistas», pero que doce años después ayudaron a armar y dirigieron a los asesinos de los «cuerpos francos» que impusieron a cañonazos la «paz» y la «democracia» de la República de Weimar sobre miles de obreras y obreros exterminados. Es desde esta perspectiva enriquecida por muchas otras muchas aportaciones, que T. Eagleton están en lo cierto cuando recientemente ha escrito: «Tomado en el más estricto sentido del término, el pacifismo es sumamente inmoral»20. Como era característico en él, Lenin planteó de forma lacónica la concatenación entre propiedad, Estado, violencia y derecho con una pregunta elemental, la misma que en todo momento se hacen las burocracias del Estado especializadas en mantener el orden, reiterándola con más angustia e insistencia conforme se agudizan las crisis: «¿Tiene armas la clase oprimida?»21. La escueta pregunta supera cualitativamente cualquier cavilación pacifista y legalista que se haga sobre el famoso y odiado «Preámbulo» de la Declaración Universal de los Derechos Humanos firmada por las Naciones Unidas en 1948, en la que se reconoce el derecho a la rebelión contra la opresión. En el texto que presentamos se analizan declaraciones y prácticas
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revolucionarias sobre derechos humanos concretos anteriores y posteriores a la Declaración de 1948 que la superan cualitativamente en alcance y contenido humano concreto. Una de ellas, sin duda la decisiva en su potencial de futuro, fue la Declaración de los derechos del pueblo trabajador y explotado22 redactada a comienzos de 1918. La fase álgida durante la que los derechos burgueses empiezan a girar hacia la reacción para derrotar los derechos populares se inicia con la Comuna de París de 1871 y llega a su punto crítico con la revolución bolchevique de 1917. Entre los insuperables logros de la revolución de 1917 está el de haber actualizado la reflexión marxista sobre la extinción del Estado y del derecho en el mismo proceso de superación de la propiedad burguesa, de la ley del valor y del trabajo abstracto en base a las tesis de Marx23. Ni la burguesía ni el reformismo pueden «perdonar» a los bolcheviques esta actualización básica para entender la crítica marxista del derecho en general y del burgués en particular. La lógica dialéctica de semejante crítica fue aplicada por G. Novack en su minucioso estudio sobre las democracias y las revoluciones: «El derecho a la revolución es el derecho supremo de cualquier pueblo y la salvaguarda última de su democracia. […] El derecho a la revolución llegó a ser un elemento permanente de la herencia de la humanidad progresista durante el ascenso de la revolución burguesa»24. Desde 1917 más y más sectores imperialistas optan por dictaduras en vez de por democracias: son innegables las simpatías de la Casa Real Británica25 hacia el nazismo en los años treinta, por no hablar de amplias
franjas de las burguesías norteamericana y francesa. Ya antes de que acabase la Segunda Guerra Mundial, el imperialismo había comenzado una «guerra preventiva contra la URSS»26 que se endureció y extendió a escala mundial desde 1945 en adelante. La denominada «guerra fría cultural»27 fue un auténtico adelanto concentrado de estrategias integrales en las que se aplican todas las violencias posibles y que adquieren diferentes nombres según los casos: «guerra cultural», «guerra de cuarta generación»28, etc., y hay que decir que el imperialismo incluso integró en esta larga ofensiva antisocialista las lecciones extraídas durante «la construcción simbólica del fascismo español»29. Hasta finales del siglo XX No es casualidad que los adalides del neoliberalismo más maltusiano comenzaran en 1947 su selectiva y planificada penetración en los más importantes centros de poder imperialista. En el texto estudiamos por qué el imperialismo negoció la Declaración Universal de Derechos Humanos en 1948, incluido el derecho a la rebelión, pero lo cierto es que en 1949 estaba preparando un masivo ataque nuclear contra la URSS empleando trescientas bombas atómicas más destructivas que las de 1945 para arrasar los cien enclaves industriales más importantes30, por citar uno de los planes militares de la OTAN en aquel momento mientras en Washington se loaban los «derechos humanos». Durante los años cincuenta y setenta las derrotas imperialistas –para ser breves– convencieron definitivamente al capital mundial que debía pasar a la ofensiva doble: exterminadoras dictaduras militares que impusieran los
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programas del FMI siendo el golpe fascista de Pinochet de 1973 el paradigma de esta línea, y para compensar el desprestigio de tamaño exterminio, desde 1975 y a raíz de la humillante derrota yanqui en Vietnam, comenzar la publicidad a favor de los «derechos humanos». En marzo de 1977 Fidel Castro, denunció que: Al imperialismo le ha dado ahora por la manía de hablar de los derechos humanos, para los imperialistas los derechos humanos equivalen al derecho a la discriminación racial, el derecho a la opresión de la mujer, el derecho a saquear los recursos naturales de los pueblos; para los imperialistas los derechos humanos son el vicio, la miseria, la pobreza, la ignorancia. Solo los países revolucionarios luchamos verdaderamente por derechos humanos, por la dignidad del hombre, por la libertad de los pueblos31.
sino a lo sumo dar una imagen neutralista y equidistante, con ligeros toques de humanitarismo, al hablar del choque frontal de dos derechos contrarios. Las supuestas «ciencias sociales» oficiales entran en esa feliz expresión que J. P. Garnier define como «voluntad de no saber», de negarse conscientemente a conocer la realidad insoportable: «La voluntad de no saber […] “capitalismo”, “imperialismo”, “explotación”, “dominación”, “desposesión”, “opresión”, “alienación”… Estas palabras, antaño elevadas al rango de conceptos y vinculadas a la existencia de una “guerra civil larvada”, no tiene cabida en una “democracia pacificada”. Consideradas casi como palabrotas, han sido suprimidas del vocabulario que se emplea tanto en los tribunales como en las redacciones, en los anfiteatros universitarios o los platós de televisión»34.
Es la industria político-mediática la que fabrica y actualiza una forma ignorante y lábil de hablar sin conceptos radicales, científicos, divulgando unas ideas y marginando otras. En su Uno de los derechos fundamentales, sin respuesta a García Linera, A. duda el fundamental, más atacados por Teiltebaum sostiene que: el imperialismo es el la violencia En los medios culturales, defensiva de los pueblos y clases ideológicos, políticos y explotadas, derecho que es identificado científicos, se produce una con el concepto de «terrorismo». La especie de selección o fábrica de ideología burguesa llega a jerarquización –entre elaborar más de cien definiciones de espontánea y provocada– del «terrorismo»32, lo que permite a la prestigio o renombre de industria político-mediática imperialista determinadas personas, donde manipular a sus anchas en el pantanal ocupan casi siempre los de la desorientación. La lógica formal y primeros puestos los que el «sentido común», la ideología (dicho de manera muy burguesa, las llamadas «ciencias esquemática) tienen en común sociales»33, fracasan de pleno en el algunas de las siguientes entendimiento de lo que sucede, y a lo ideas: no cuestionar la máximo que llegan es a proponer propiedad privada de los negociaciones, acuerdos y pactos entre medios de producción y de esos derechos irreconciliables, o ni eso, 41
cambio; atribuir al mercado capitalista la cualidad de inherente a la sociedad humana; no cuestionar el sistema político-social elitista existente (la llamada «democracia occidental» o «democracia representativa») y el rechazo (expreso o no) del materialismo histórico y dialéctico como método de investigación en las ciencias sociales y en las ciencias llamadas «duras»35.
existe en movimiento. Cuando la circulación se detiene, el valor desaparece y todo el sistema se viene abajo36.
A lo anterior hay que sumar que el papel de la industria universitaria como fábrica de ignorancia funcional, de conculcación de una forma de interpretar la realidad que desconoce absolutamente los rudimentos de la dialéctica. D. Harvey sostiene que: Una de las cosas curiosas de nuestros sistemas educativos, señalaré de paso, es que cuanto más formado está uno en determinada disciplina, menos probable es que se haya acostumbrado al método dialéctico. De hecho, los niños son muy dialécticos; lo ven todo en movimiento, en contradicción y transformación. Tenemos que ejercer un inmenso esfuerzo para arrebatarles esa capacidad y que dejen de ser buenos dialécticos. Marx quería recuperar la capacidad intuitiva del método dialéctico y ponerla en funcionamiento para entender que todo está en proceso de cambio, todo está en movimiento. No habla simplemente de trabajo; habla de proceso de trabajo. El capital no es una cosa, sino más bien un proceso que solo
Exactamente lo mismo pero con otras palabras viene a decir Gonzalo Pontón basándose en su muy dilatada experiencia como editor e intelectual militante. Tras afirmar que de la universidad sale gente muy analfabeta37 , no duda en poner el dedo en la llaga de la ignorancia de los economistas –y de todos los «científicos sociales» en general–, hablando sobre las lecturas y preparación teórica de los economistas antes y durante la actual crisis, capacitándose así para prevenirla y superarla, y afirmando sin tapujos que: «los estudiantes y los profesores de economía son los más analfabetos […] ellos no nos pueden explicar lo que ha sucedido porque teóricamente tenían que haber sabido lo que iba a suceder». Tras esta rápida desmitificación de la industria universitaria en lo que concierne a la propiedad, al Estado, a la violencia o al derecho, entendemos la ambigüedad e intención del diario El País al informar sobre el «derecho al agua» y «guerra del agua» en Bolivia en dos artículos38 que permiten descubrir el tramposo límite de la ideología burguesa de los «derechos humanos»: la humanidad empobrecida tiene «derecho» al agua, las grandes empresas transnacionales tienen «derecho» a comercializar el agua y los Estados «democráticos» tienen «derecho» a privatizar el agua negociando con «el mercado» para vender el agua privatizada al pueblo con una «justa» relación entre los tres «derechos»; si bien la línea de El País es la de reconocer formalmente la primacía de los derechos humanos y de la democracia no controlada por «la mercantilización».
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El presente Ha sido conveniente describir un poco qué es la «intelectualidad progresista» para comprender cómo y por qué sectores apreciables de la izquierda occidental han aceptado el «imperialismo humanitario»39 tan correctamente denunciado por J. Bricmont sobre todo en lo referente al olvido de la historia verdadera y a la necesidad de recuperarla como respuesta a la contrarreforma soterrada de la Declaración de 1948. Ante esta situación, el Movimiento Continental Bolivariado (MCB) declaró a comienzos de 2009 el 26 de marzo como Día del Derecho Universal de los Pueblos a la Rebelión Armada, porque a estas alturas de la historia sigue siendo incuestionable que el poder nace del fusil40. La contrarreforma imperialista para anular el «Preámbulo» de la Declaración de 1948 es tan sistemática y totalitaria que el mexicano Movimiento de Unidad Socialista y Izquierda Socialista (MUS-IS) publicó el texto En defensa del derecho de pueblo a la autodefensa41 contra la narcomafia y otras organizaciones terroristas, mientras que M. Urbano ha tenido que recordar que el pueblo portugués se rebeló el 25 de abril de 1973 contra una salvaje dictadura practicando el derecho a la rebelión42.
instrumentos que permiten a la «democracia occidental» profundizar en su estrategia sistemática contra el derecho internacional45. También se exponen los intentos continuos de los movimientos obreros, populares, sociales, culturales, nacionales, ecologistas, etc., formados por mujeres y/u hombres, para utilizar las instituciones y organismos múltiples, los aparatos de Estado, las administraciones de los gobiernos, las Naciones Unidas46, la «vía institucional y legal» en suma, permanentes intentos casi fracasados permanentemente. La investigadora Leyla Castillo analiza cómo y por qué la Unión Europea está incluso minando la teoría neoliberal de los derechos humanos, la que los reduce solo a los derechos individuales, abstractos y aisladamente considerados:
En el texto que ahora presento se analiza el devenir de la lucha entre los derechos burgueses y los derechos socialistas y el decisivo papel que han jugado los Estados como fuerzas conscientes que defienden los primeros y combaten los segundos: la tendencia capitalista a ampliar los poderes del «Estado vigilante»43 que «protege los derechos humanos» mientras en la realidad se extiende el «fascismo silencioso»44, como uno de los 43
Derechos clasificados como individuales (los únicos tutelados por la sociedad capitalista), tales como la libertad de expresión y de prensa, la supuesta igualdad religiosa, de géneros o étnica, la privacidad de la correspondencia y comunicaciones o el derecho de reunión y asociación, son gradualmente más denigrados y comprometidos […] La Unión Europea acelera la adopción de medidas que disminuyen el poder adquisitivo de los obreros y otros asalariados, que –desde 1957– enfrentan una de las etapas de mayor desempleo e incertidumbre social, debido a la agudización del neoliberalismo. Las desigualdades socioeconómicas provocan
otros males, insalvables en los momentos actuales, que van desde la precariedad –aún en los Estados más solvente– hasta la proliferación del tráfico humano, la prostitución y la drogadicción, la xenofobia o la represión contra las minorías y grupos más vulnerables, entre otros47. Andrés Piqueras ha hecho un listado de trece medidas que muestra cómo desde 1971 se han impuesto medidas antidemocráticas necesarias para liberalizar y dar alas al capital ficticio48 para intentar recuperar la tasa de beneficios. Directa o indirectamente cada una de las trece medidas impuestas que el autor expone, y que nosotros resumimos en las siguientes, atacan a los derechos de los pueblos y clases explotadas: 1. 1971, fin de Bretton Wood; 1974, se libera la especulación financiera; los años setenta se crean los paraísos fiscales y los productos financieros derivados; fin de los años setenta, EEUU sube los tipos de interés para atraer inversiones, cubrir su deuda y armarse. 2. Se privatiza casi todo lo público y los servicios del Estado, los fondos de pensiones e inversiones se quedan con los ahorros y jubilaciones. Los mercados financieros se erigen en el centro de la economía. 3. La banca privada se reconvierte hacia la gestión privada, la fusión de empresas, el mercado hipotecario e inmobiliario. Los bancos centrales se independizan de los Estados
que dependen cada vez más del capital financiero transnacional, lo que aumenta sus deudas y sus dependencias, perdiendo soberanía. 4. Hay contrarreforma fiscal a favor del capital y se facilitan los contratos baratos y precarios. Se bombea la renta hacia el mercado financiero y bancario. El capital ficticio crece incontrolablemente49. Los derechos de las mujeres son especialmente atacados en todo el mundo por el simple hecho de que el feminismo es una fuerza básica en la lucha de clases50 y en las de liberación nacional51, basándose en el soterrado machismo de la Declaración de 1948, cuestión que estudiamos con insistencia. El ataque burgués a los derechos socialistas tiene como uno de sus objetivos prioritarios destruir los derechos sindicales, especialmente el de huelga porque, como explica X. Arrizabalo: Este derecho democrático a la huelga concentra toda la carga conflictiva propia de la sociedad capitalista. Como otros derechos, la valoración que hacen de él los trabajadores y los capitalistas es antagónica. Por una parte, para los trabajadores, es un elemento de presión al que pueden recurrir en su lucha para mejorar sus condiciones laborales. Por otra parte, para los capitalistas, es una amenaza a su posición privilegiada que exige una ganancia suficiente. Pero hay algo más: la huelga muestra de la forma más clara que sin los trabajadores no hay nada,
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no hay vida. Por tanto, supone también una dimensión política e ideológica crucial al impulsar la concienciación de los 52 de su poder53. Valoración antagónica de derechos formalmente válidos en su esencia tanto para explotadores como explotados: esto es lo que muestra la experiencia histórica de la lucha popular y obrera por el derecho de huelga. De nuevo afirmamos que para descubrir la naturaleza reaccionaria de los «derechos humanos» burgueses es necesario estudiarla en su unidad y lucha de contrarios, es decir, pensarla dialécticamente. Siguiendo a Raya Dunayevskaya que afirma que «Marx fue capaz de demostrar cómo la desigualdad surge de la igualdad del mercado»54, la lucha social puede enseñar a cada obrera u obrero que el derecho burgués oculta y refuerza la explotación humana, que la burguesía siente y entiende el derecho de huelga como un ataque directo a su derecho de propiedad, y cuando chocan estos dos derechos iguales y contrarios decide la fuerza, y frecuentemente ganan los «derechos humanos de las oligarquías»55.
Con 100 dólares puede comprarse un rifle; pero también se pueden adquirir suficientes tabletas de vitamina A para prevenir la ceguera de 3.000 niños de un año de edad. Con 100 millones de dólares se pueden comprar 10 millones de minas terrestres; pero también se pueden adquirir vacunas para inmunizar a 8 millones de niños contra seis enfermedades mortales en la infancia. Con 800 millones de dólares se pueden comprar 23 aviones de combate F-16; pero también se podría adquirir sal yodada durante 10 años para ayudar a 1.600 millones de personas a evitar trastornos por déficit de yodo. Con 2.400 millones de dólares se podría comprar un submarino nuclear; pero también se podría fabricar instalaciones para el suministro de agua potable y saneamiento a bajo costo para 48 millones de personas.
La igualdad del mercado permite y justifica que las grandes corporaciones transnacionales y los Estados decidan sin control alguno despilfarrar Con 24.000 millones de inconcebibles masas de capital en dólares se podrían comprar 11 gastos militares que, a la postre, son bombarderos a prueba de improductivos. La democrática igualdad radar; pero también se podría de mercado impone aquí la desigualdad garantizar la educación de los derechos concretos de la primaria para 135 millones de población trabajadora. Antes de seguir, niños que no están hagámonos una idea del problema que escolarizados56. tratamos al leer esta lista de gastos militares contrasta con la lista de gastos Dos derechos humanos irreconciliables, sociales elaborada por P. Núñez el de la burguesía que necesita armarse Mosquera: hasta los dientes57 a costa de la salud 45
de la humanidad explotada y el de la humanidad explotada que necesita invertir masivamente en salud y cultura a costa del desarme capitalista. Volvemos a encontrarnos con esa totalidad concreta formada por la propiedad, el Estado, la violencia y el derecho, y aunque cada una de las partes de esa totalidad pueden ser estudiadas en su autonomía relativa, ninguna de ellas será conocida en su realidad interna si la aislamos de las restantes, si no la insertamos en ese todo superior y, a la vez, si no mantenemos este segundo siempre en el interior de las contradicciones del modo de producción dominante, el capitalista en nuestro caso.
instituciones donde estamos: en primer lugar, priorizar de manera estructural y permanente la puesta en marcha de experiencias de democracia directa y participativa allí donde sea posible, siendo importante el qué y el cómo, y sin miedo al resultado: en última instancia, la democracia directa es en sí un ejercicio de izquierdas; en segundo lugar, fomentar las herramientas de la desobediencia civil activa (gran ejemplo de la juventud vasca en el Aske Gune); en tercer lugar, y de manera estratégica, dedicar esfuerzos, recursos y tiempo a la articulación con movimientos sociales, generando espacios y agendas de confianza y entendimiento real. En definitiva, superar y desbordar –antes de que nos desborde– los estrechos marcos de esta democracia decadente, ofreciendo a la ciudadanía formas de democracia más emancipadoras. La democracia es de izquierdas, reclamemos esta bandera60.
Solo este método nos descubre que de la misma forma en que «no existe “democracia pura”: existe democracia de la clase burguesa»58, tampoco existe «derecho puro», sino derecho de la clase burguesa, dentro de la cual están los empresarios. Decimos esto porque hablar solo de «derechos empresariales» como opuestos a los «derechos humanos»59 a secas, nos puede llevar a un nivel de abstracción en el que no aparezca referencia alguna, ni siquiera en una corta frase cargada de contenido sociohistórico, a la necesidad de oponer los derechos concretos de la clase trabajadora a los ¿La lucha institucional debe derechos empresariales, y más encaminarse hacia la conquista del precisamente, los derechos socialistas a poder estatal con miras a la futura los derechos burgueses. autoextinción del Estado, del derecho y Una limitación como la aquí vista surge de la propiedad? ¿La democracia directa al identificar «democracia» con debe buscar la recuperación de «izquierda» sin aclarar lo suficiente qué empresas, locales y pisos? ¿La entendemos por ambos términos desobediencia activa debe reivindicar el teniendo en cuanta lo arriba dicho derecho a la autodefensa aunque sobre la concatenación e interrelación decida no ejercerla? ¿Los movimientos de propiedad, Estado, violencia y sociales son parte de la lucha de clases derecho: e independentista? ¿Sólo existe la «ciudadanía»? ¿Qué «democracias más Debemos ampliar la emancipadoras» existen o pueden democracia, también en las 46
existir, y cómo desarrollarlas?
de la transformación social permitió abrir un abanico de posibilidades alrededor de unas políticas públicas de contenido social. También ayudó a la democratización de la sociedad61.
¿Y en Euskal Herria? Una de las virtudes del método dialéctico es que exige ser aplicado a sí mismo, exige la autocrítica como elemento constituyente de la crítica radical de todo lo que existe. Esta exigente virtud es tanto más necesaria e implacable cuanto que el pensamiento humano es en primer lugar acto colectivo expresado de forma individual y, en segundo lugar, acción colectiva contradictoria y cambiante que se muestra de forma individual. Cuando ese pensamiento individualmente expresado se inserta en un colectivo organizado con objetivos comunes, entonces el análisis crítico del pensamiento individual es también crítica del pensamiento colectivo, pero con matices más o menos secundarios. La mayoría inmensa de los textos que vamos a estudiar adolecen del mismo error que estamos criticando en las páginas anteriores: aislar los problemas, estudiarlos en su quietud, no ir a la raíz del capitalismo limitándose a describir algunas formas de su superficie… Por ejemplo, determinadas fuerzas políticas plantean ahora «rescatar el Estado» para emplearlo como instrumento de liberación, sin siquiera recordar los clásicos debates al respecto que llenan la historia del socialismo utópico, del anarquismo, del socialismo y del marxismo: Cuando se hace referencia a rescatar al Estado, nos estamos refiriendo a cómo lograr que el Estado sea un agente activo a favor del cambio. Raul Zelik reconoce que en un principio era bastante escéptico ante este reto, y termina reconociendo que el atraer al Estado a favor
Pero esta perspectiva también tiene sus riegos y contradicciones, que Zelik resume en cuatro: populismo de Estado, Estado rentista, Estado clientelar y Estado burócrata. En ningún momento profundiza en el carácter de clase del Estado, o al menos la persona que ha resumido su intervención no lo expone, pero esta persona sí dice que «la democracia no es en absoluto una construcción burguesa, como se critica desde algunos sectores marxistas. Esta es una crítica equivocada según Zelik. La democracia siempre fue una conquista de movimientos populares, de obreros, de luchas de mujeres en contra de las elites. La democracia es pues una construcción popular»62. La mixtura de abstracción y ambigüedad –¿qué es la «transformación social»?– que sustenta a estos dos párrafos es incompatible con las tesis centrales del texto que aquí presento, como se apreciará durante su lectura. También lo es la mezcolanza de términos como procesos constituyentes, socialismo, buen vivir, poder popular, interés comunal, etcétera, que se realiza en la cita que sigue: Uno de los planteamientos que hace EH Bildu precisamente es el de los procesos constituyentes, más de uno. El planteamiento del proceso constituyente precisamente viene del socialismo del buen vivir y lo que viene a decir es
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que cada uno de nosotros tendremos que decidir cómo queremos gobernarnos, con quienes queremos hacerlo y que tipo de relaciones queremos tener con los demás. Con lo cual, esa es uno de la primeros planteamientos que queremos defender en las instituciones. La construcción del poder popular es precisamente el eje del cambio. Tenemos que pasar de la concentración del poder político en muy pocas manos, a defender el interés comunal. Esa es una de las partes también que tiene que ver con cómo regulamos los procesos participativos, cómo de vinculantes tienen que ser las decisiones que se toman en comunidad y cómo todo eso se tiene que llevar a las instituciones. Las instituciones no pueden ser la punta de lanza, pero siempre tienen que estar al servicio del pueblo. Tampoco el pueblo va a ser igual de efectivo si no tenemos las instituciones para proyectar sus demandas. Lo mismo que apuntábamos antes, en este caso también, cuanto más seamos, y más representación institucional tengamos, y cuanto más coordinadamente funcionemos con el pueblo será mejor. Ese es el planteamiento institucional que queremos llevar adelante63.
cosa que esa totalidad concreta formada por la propiedad, el Estado, la violencia y el derecho, totalidad inserta en otra superior, el modo de producción dominante. Hablar de «socialismo del buen vivir» puede sugerir algunas ideas sobre por dónde va el mensaje, pero también puede sugerir otras muy diferentes, opuestas o contrarias. Aparte de esto, en ninguno de los desarrollos expositivos de lo que significan los términos de desmercantilización, desmaterialización y descentralización que aparecen en el título, en ninguno de los tres se investigan sus relaciones con la propiedad burguesa de las fuerzas productivas, aunque se plantea la necesidad de salir del mercado con otras formas de intercambio, pero en modo alguno se cuestiona la propiedad privada a pesar de que se cita la palabra «socialismo».
En situaciones peligrosas para su dominación y antes de recurrir a sucesivos grados de ascensos la violencia terrorista de su Estado, la burguesía puede aceptar unos «derechos humanos» laxos e imprecisos que no entren en radical conflicto con formas suaves de la desmercantilización, desmaterialización y descentralización, siempre que queden suficientemente aseguradas para ella su propiedad y su Estado. Únicamente cuando esas consignas son practicadas dentro de una estrategia tendente a la desaparición de la ley del valor y a la extinción del trabajo abstracto, sólo entonces la desmercantilización, la desmaterialización y la descentralización adquieren su potencial revolucionario siendo por Como se aprecia a simple vista, no tanto inaceptables por el capital. existe nada que conecte internamente la variopinta terminología empleada, y Otra perspectiva del problema, con la que, a nuestro modo de ver, no es otra que estamos más de acuerdo, es la que 48
nos ofrece Antoni Aguiló al proponer cuatro prácticas contra los derechos abstractos, descolonizarlos, despatriarcalizarlos, desmercantilizarlos y democratizarlos64. Aunque el orden de exposición no corresponde a nuestro entender al orden lógico-histórico de superación de los derechos burgueses en la medida en que paralelamente se desarrollan los derechos socialistas como antesala de su definitiva extinción, junto al Estado, no por ello deja de ser muy acertada la propuesta del autor. Para nosotros, el orden es: democratizarlos, descolonizarlos, desmercantilizarlos y despatriarcalizarlos, partiendo del hecho innegable de que la lucha ha de ser simultánea e interactiva.
derechos humanos concretos es inseparable de la independencia estatal, y más aún en el grado ya irreversible de centralización del poder de clase en la Unión Europea y en los Estados español y francés. Hoy defender los derechos humanos progresistas, revolucionarios es luchar por la independencia nacional de clase de los pueblos trabajadores, mientras que defender los derechos burgueses es defender la Unión Europea y el imperialismo. Pero es en la históricamente decisiva cuestión de la propiedad de la tierra desde las primeras ciudades-Estado sumerias, en donde se descubre la absoluta fatuidad del discurso que se realiza en la gran mayoría de textos de la izquierda Una de las características del abertzale. capitalismo es la de intensificar la Si leemos el capítulo titulado «Los expropiación de tierras y bienes nudos de la territorialidad» que comunales, de toda clase de recursos contiene tres textos escritos por Iñaki privatizándolos e integrándolos de mil Esnaola, Eneritz Zabaleta y Floren Aoiz, modos en el proceso de producción de En ninguno de ellos se intenta siquiera ganancia, algo ya sabido por Marx en recordar que existe la propiedad una época tan temprana como 1842 capitalista de la tierra, del territorio cuando defendió el llamado «derecho como base imprescindible para la consuetudinario» de los pueblos para explotación asalariada, la producción de utilizar en su provecho los «bienes plusvalía y la acumulación ampliada del comunes» a los que nos hemos referido capital. De los tres artículos, el de anteriormente, es decir, el derecho de Floren Aoiz es el que más esperanzas los pueblos para utilizarlos en beneficio suscita por su título un tanto autocrítico propio, condenando su privatización y pero el que más defrauda por su oponiéndose a la represión de quienes vacuidad, decepción total sobre todo recuperaban bienes comunes cuando da a entender que analizará la privatizados65. En realidad, aquí radica vertiente socioeconómica de la el problema básico del territorio, de la territorialidad desde la «lógica de la propiedad de la tierra y, además de la construcción de la estatalidad»66 pero productividad del trabajo y el aumento a continuación no dice ni una sola de la ganancia, también y sobre todo de palabra sobre la base territorial del la acumulación ampliada de capital. desarrollo socioeconómico y menos aún Ahora mismo en Euskal Herria y en los sobre las decisivas formas de propiedad Països Catalans, y cada vez más en de la tierra67. Galiza, se debate con más ahínco sobre Un programa estratégico de cómo avanzar hacia un Estado propio. construcción de la territorialidad No hay duda que la conquista de los nacional debe tener siempre en cuenta 49
el inevitable choque de derechos opuestos de la propiedad de la tierra que se dará tarde o temprano siempre que la lucha independentista no se desinfle: por una parte, el derecho de la nación que quiere estatalizarse y, por la parte contraria, el derecho del Estado ocupante que mediante su superior fuerza invasora impone su derecho de propiedad. Prepararse para esta inevitabilidad que aquí ni siquiera ponemos a debate, exige una serie de pasos de los cuales citamos el primero, responder la cuestión de quién es, qué clase social es la propietaria de ese territorio ocupado que la nación oprimida quiere recuperar; y en esta decisiva cuestión previa a cualesquiera reflexiones ulteriores de nuevo chocamos con el vacío. Ni Naroa Iturri ni Iñaki Soto se la plantean a Hasier Arraiz en la única pregunta que le hacen sobre la territorialidad, tema al que «se le ha dado mucha importancia»68, en una larga, aterciopelada y cómoda entrevista realizada para su mayor lucimiento, pero es que tampoco Hasier Arraiz se aventura a entrar en esa cuestión que le llevaría al instantáneo choque frontal con la burguesía y sus Estados español y francés.
pública. Para lograrlo propone tres mecanismos a desarrollar: - Apostar por un modelo más municipalista, con mucha base y poca altura. En el que los poderes estén más cercanos, participados y controlados. Es necesario crear una democracia transparente y abierta a la participación. - Una democracia en la que no solo se pueda elegir sino revocar a la gente. - Aplicar la práctica de la consulta y el referéndum. Que esta práctica no sea algo utilitario para utilizarlo sólo cuando interesa. Deberá ser una práctica integrada en lo que es el funcionamiento normal de las instituciones y de la propia sociedad69. La ideología burguesa de los «derechos humanos» va unida a la democracia abstracta. Por esto son de agradecer aportaciones como las de Sabino Cuadra que van más allá del tópico de la democracia. Sin embargo, su aportación se limita a una parte del problema y no precisamente la decisiva. No debemos extrañarnos de ello: muchas izquierdas se mueven en las mismas limitaciones aunque también planteen como urgente una radicalización de la democracia, pero lo restringido de su enfoque les lleva al cuestionamiento sutil del derecho a la autodeterminación70, error en el que no cae Sabino Cuadra, sino al contrario, que quede claro.
Llegados mediante esta respuesta al punto primero, el de «identificar al enemigo», si se permite la expresión, debemos pasar a una segunda: ¿cómo enlazar el avance hacia el Estado vasco con el avance en los derechos humanos concretos y en la «democracia popular», término al que luego volveremos? Sabino Cuadra nos responde que radicalizando la Como veremos en el texto que democracia: presentamos, los derechos burgueses y La democracia no debe ser la democracia liberal unida a ellos solo electoral sino también operan exclusiva y formalmente en el social. Hay que descender a área o fase de la circulación del proceso todos los espacios de la vida productivo, social, en su totalidad: 50
producción de mercancías, circulación en el mercado y realización de la ganancia. De los tres, el vital es el primero, en el que mediante la explotación de la fuerza de trabajo se produce el valor que luego ha de materializarse en plusvalía y luego en ganancia capitalista que necesita ciegamente ampliar su acumulación, dicho muy sintéticamente. La democracia burguesa actúa solo en la fase de la circulación de las mercancías, en la vida mercantil, contractual, en la que el valor de cambio lo domina absolutamente todo y por ello el voto y el derecho individual son siempre medidos por su precio, por su valor de cambio, en dinero, en suma: quien más capital tiene –sin precisar ahora la diferencia entre dinero y capital–, más derechos y más votos tiene, es más libre. En la civilización del capital, la ética, el arte y la libertad viven felices y hasta filosofan sobre «derechos humanos» en la cuenta corriente del banco, pero son producidas en el interior de la explotación humana, infierno en el que tienen prohibida la entrada los derechos humanos concretos y la democracia popular.
no solo en municipalizarla, en extenderla a lo «social», aproximarla a la vida cotidiana, instaurar la revocación popular de las personas elegidas, practicar el referéndum y la consulta populares –¿vinculantes?–, llegar a todos los espacios de la «vida pública» y de la «normalidad» de la vida institucional…; radicalizar la democracia, como decíamos, no solo consiste en esto, sino fundamentalmente en algo más esencial, en llegar a la raíz de la explotación y acabar con ella desde dentro, necesidad imperiosa que Sabino Cuadra omite, peor aún, el básico concepto de explotación no aparece en ninguna parte del texto, sino que las frases sueltas que en él aparecen y que podrían sugerir algo parecido a la realidad objetiva del modo de producción capitalista, esta posibilidad se difumina al leer el modelo económico propuesto:
Según la dialéctica marxista, la radicalidad es bucear hasta la raíz de las cosas, descubrir en ellas las contradicciones que luchan en su interior e intervenir en ellas para, en la medida de lo posible o de lo probable, dirigir su automovimiento hacia los objetivos de liberación. Al hablar de automovimiento queremos decir que la praxis humana debe llegar a ser parte consciente del movimiento interno de las contradicciones, debe pensar y actuar en el interior mismo de la unidad y lucha de contrarios.
Debemos alejarnos del desarrollismo actual. La economía a construir deberá estar basada en lo cercano, en lo próximo, integrada, que vaya creciendo desde abajo hacia arriba. Una economía asentada en la soberanía alimentaria, en la soberanía energética. Una economía de hermanamiento con la tierra71.
Las buenas intenciones aquí presentadas las asumimos todas y todos; y si se mantiene su alta abstracción pueden usarlas propagandísticamente sectores de la pequeña y hasta mediana burguesía local según los contextos sociopolíticos que les permitan explotar de manera «democrática» a eso que llaman Desde esta perspectiva, radicalizar la «ciudadanía». Podríamos hablar democracia –y los derechos– consiste también de las corrientes burguesas 51
que glorificaban a finales del siglo XX el «desarrollo económico local, regional y estatal en un mundo de producción en red»72, etc., minusvalorando la supeditación al poder omnívoro del capital transnacional, poder ubicuo mientras su dominación no sufre menoscabo pero brutalmente destructor, palpable y directo cuando es contestado por los pueblos. Es entonces cuando las buenas intenciones han de optar en la práctica para enfrentarse o no a la propiedad capitalista, a su Estado y a sus violencias. Por ejemplo, una economía de hermanamiento con la tierra es al final imposible si esa tierra no es recuperada por el pueblo que la habita, si no es expropiada a las gigantescas agro-industrias y a las grandes transnacionales minero-energéticas, o en todo caso, como en Euskal Herria, si no poseemos independencia financiera cosa absolutamente imposible dentro de la Unión Europea73, por lo que volvemos al dichoso problema de las formas mutuamente excluyentes de propiedad y de los derechos que cada una de ellas genera. Hay que saber que la tendencia ciega capitalista es la de comprar y/o privatizar74 mediante la intervención del Estado la mayor cantidad posible de tierras de campesinos empobrecidos y/o de tierras públicas o comunales, siguiendo una planificada política de despojo75 de los territorios.
ni el momento para hacer una crítica sistemática de los efectos prácticos de la ideología expuesta por la mayoría de los textos que aquí citamos y que exponen el ideario de una parte de la izquierda abertzale. Nos limitamos a recomendar la lectura de dos editoriales del diario Gara, que se destacan por reforzar aún más su línea editorial centrista e interclasista. En la primera se defiende una estrategia explícita de reforma gradual sin forzar el orden vigente, intentando racionalizar la autoderrota de Syriza para ver de aplicar en Euskal Herria una estrategia parecida77.Y la segunda, que trata de las «relaciones de la izquierda con la policía», relaciones que se definen como «tortuosas» (sic), se abandona totalmente la tradición socialista o en todo caso democráticoradical de la izquierda independentista que siempre ha exigido la depuración de las fuerzas represivas, su salida de Euskal Herria y otras medidas urgentes78.
Sí existen otros sectores de la izquierda abertzale que profundizan más en la problemática del derecho, propiedad, Estado y violencia como totalidad concreta que exige un estudio integral que respete la evolución relativa de cada uno de sus componentes como su supeditación última a otra totalidad superior, la del modo de producción dominante, en nuestro caso el capitalista. Solo como un ejemplo muy Llevamos tiempo malviviendo en un reciente tenemos a disposición el nº contexto así, lo que está suponiendo un 256 de la revista de Herria 2000 Eliza retroceso dramático en los derechos dedicada al mismo tema. concretos aunque la apariencia formal Tendrán mucho que hacer los de la «democracia» se mantiene más lingüistas para hacer del sólida de lo que creemos como el euskera la lengua propia y sistema más eficaz de dominio, entre oficial; los juristas para otras razones debido a la capitulación adecuar nuestro cuerpo legal a ideológica de la izquierda las realidades institucional76. Pero no es este el sitio contemporáneas; los artistas 52
para desarrollar nuestras diferentes competencias y sensibilidades culturales; los economistas para orientar la gestión de nuestros recursos en claves solidarias, socialistas y actuales; los ecologistas, para seguir defendiendo nuestra tierra con la misma pasión que sus predecesores; los ecumenistas, para hacer del nuestro un Estado sin inquisidores, abierto a todos los cultos, creencias o increencias.
de estos garantiza que nunca aceptarán por las buenas el dictado democrático popular»80. En cuanto al llamado «derecho al trabajo», el autor explica que tras la feroz ofensiva capitalista, ocurre que: «Así asumimos que el derecho al trabajo se convierte en un privilegio, y que es mejor el trabajo precario que no tener trabajo… De la “lucha de clases” pasamos a la “lucha en la clase”: Fijos contra temporales, funcionarios contra interinos, autónomos laborales contra precarios, becarios contra parados…»81, concluyendo así: Toda reforma socialdemócrata de lo existente tiene fecha de caducidad: la decide El Gran Capital, de ahí que lo obvio sea que la única vía de emancipación democrática para construir una democracia real es el socialismo.
Pero sobre todo, y como siempre, el principal protagonista de esta aventura restaurativa será nuestro pueblo. Haciendo honor a su etimología, será el principal garante de un Estado auténticamente democrático en el que no quepan las desigualdades y quepan quienes quieran, respetuosamente, incorporarse a nuestra marcha79.
Porque no existe democracia sin socialismo y no existe socialismo sin conciencia de clase lo mismo que no existe nación sin conciencia nacional. Ahí está la clave82.
Y con un contenido más directo y amplio, Gabriel Ezkurdia sí precisa lo irreconciliable de la dominación del opresor que se disfraza bajo el autocalificativo de «nosotros los demócratas», con la democracia del pueblo oprimido. Estudia el desarrollo del capitalismo y de la desregulación financiera, etc., advirtiendo que «no debemos olvidar que ni el Estado unionista totalitario español, ni el capitalismo internacional que ha involucionado de modo brutal radicalizándose en sus objetivos de expolio en eso que llaman “crisis”, se van a rendir por los votos o por las mayorías. La esencia antidemocrática
Para concluir, leamos los títulos de los capítulos: Dialéctica del trabajo Hasta Marx y Engels Desde Marx y Engels Los Grundrisse El capital Fin del derecho La Declaración de 1948 Vivienda, Corán y Biblia tilizando el derecho burgués Avanzando al derecho socialista
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Contraofensiva imperialista
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G.
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Un misil contra el gasoducto Detalles Publicado en Miércoles, 02 Diciembre 2015 11:14
bloqueaba –en diciembre de 2014– los trabajos del South Stream, enterrando así el proyecto [2].
Pero al mismo tiempo, y a pesar del antagonismo entre Moscú y Ankara sobre Siria y el Emirato Islámico, Categoría: Noticias externas Gazprom firmaba con la compañía turca Escrito por Manlio Dinnuci Botas un acuerdo preliminar para la construcción de un doble gasoducto El misil Aim-120 Amraam que un F-16 entre Rusia y Turquía a través del turco (ambos Made in USA) lanzó la Mar Negro. semana pasada contra un Su-24 ruso El 19 de junio, Moscú y Atenas firmaban no estaba dirigido solamente contra un acuerdo preliminar sobre aquel bombardero táctico sino contra la extensión del Turkish Stream (con un un objetivo mucho más importante: gasto de 2 000 millones de dólares que el proyecto de gasoducto asumiría Rusia) hasta Grecia, Turkish Stream, que debía llevar el gas para convertir este último país en ruso hasta Turquía y de allí a Grecia y a puerta de entrada del nuevo gasoducto otros países de la Unión Europea. a la Unión Europea [3]. El proyecto Turkish Stream es la El 22 de julio, el presidente respuesta de Moscú al sabotaje, estadounidense Barack Obama estadounidense, contra el South telefoneaba a su homólogo turco Recep Stream, gasoducto que –sin pasar por Tayyip Erdogan, exigiéndole Ucrania– debía llevar el gas ruso hasta que Turquía se retirara del proyecto [4]. Tarvisio (en la provincia italiana de Udine) y de allí al resto de la Unión El 16 de noviembre, Moscú y Ankara Europea, lo cual debía reportar grandes anunciaban, por el contrario, próximos gubernamentales para beneficios a Italia, incluso en materia encuentros de empleo [1]. Aquel proyecto, iniciado dar inicio al proyecto Turkish Stream, por la compañía rusa Gazprom y con un alcance superior al del mayor existente a través de la italiana Eni, contó después con la gasoducto incorporación de la compañía alemana Ucrania. Ocho días después, el derribo Wintershall y la francesa EDF y ya había del bombardero táctico ruso en el norte alcanzado una fase avanzada de Siria bloqueaba la posibilidad de de realización (Saipem, empresa de la dichos encuentros, por no decir que Eni, ya tenía un contrato de 2 000 anulaba el proyecto mismo. millones de euros para la construcción En Washington seguramente hubo del tramo a través del Mar Negro), brindis para festejar el nuevo éxito. cuando –después de haber provocado Turquía, que importaba de Rusia el 55% la crisis ucraniana– Washington del gas y un 30% del petróleo que emprendía lo que el New York Times consume, se ve de hecho duramente definía como «una estrategia agresiva afectada por las sanciones rusas y tendiente a reducir el corre peligro de que se le escape aprovisionamiento de gas ruso a el tremendo negocio del Turkish Europa». Stream. Baja presión estadounidense, Bulgaria Entonces, 58
¿quién
podía
tener,
en Turquía, interés en derribar voluntariamente el avión ruso, sabiendo las consecuencias que podía tener ese acto? La frase de Erdogan, «no hubiésemos querido que sucediera esto. Pero sucedió. Espero que algo como esto no vuelva a repetirse», implica la existencia de un escenario más complejo que el oficial. En Turquía existen importantes centros de mando, bases y estaciones de radares de la OTAN, bajo mando estadounidense: la orden de derribar el avión ruso fue impartida dentro de ese ámbito.
actualmente bloqueado –y no por casualidad– por la guerra desencadenada en esos países por la estrategia de Estados Unidos y la OTAN.
¿Cuál es, en este momento, la situación en la «guerra de los gasoductos»? Estados Unidos y la OTAN controlan el territorio ucraniano, por donde pasan los gasoductos que conectan a Rusia con la Unión Europea. Pero Rusia ya no está tan obligada a contar con esos gasoductos (los volúmenes de gas que estos transportan y que antes alcanzaba el 90%, han caído a un 40% de las exportaciones rusas de gas hacia Europa) gracias a dos vías alternativas: El gasoducto North Stream, al norte de Ucrania, que transporta el gas ruso hacia Alemania: Gazprom tiene intenciones de agregarle una segunda tubería pero ese proyecto está siendo bloqueado –dentro de la Unión Europea– por los gobiernos de Polonia y de otros países del este de Europa, más obedientes ante Washington que ante la autoridad de Bruselas. El gasoducto Blue Stream, administrado conjuntamente por Gazprom y por [la compañía italiana] Eni. Blue Stream pasa por Turquía, lo cual implica cierto riesgo para Rusia. La Unión Europea podría importar gas a bajo precio desde Irán, gracias a un gasoducto ya proyectado que pasaría por Irak y Siria. Pero este proyecto está 59
Venezuela: mucho más que unas elecciones Detalles Publicado en Miércoles, 02 Diciembre 2015 14:51 Categoría: Noticias externas Escrito por Alejandro Fierro
devastados por catástrofes naturales, hambrunas o en guerra. Al desabastecimiento generalizado y la inflación descontrolada, siempre de acuerdo a este planteamiento, habría que añadir unos niveles de inseguridad desatados que diezman a una población que se siente prisionera en su propio país.
Este es el marco de sentido que plantea la oposición. Como todo frame, aspira a no ser cuestionado. El objetivo es instalarlo como sentido común. Después se puede debatir sobre las causas, los responsables o las alternativas, pero siempre a partir de la premisa de que Venezuela está en el abismo. La oposición ha sabido consolidar este sentido común en el extranjero, pero ha fracasado en el plano interno. El éxito internacional es una victoria amarga por insuficiente. Al Para una persona no venezolana es fin y al cabo, es el pueblo venezolano el prácticamente imposible conocer de que vota. una forma más o menos veraz el Es cierto que la situación económica, escenario electoral. El espejo especialmente en lo tocante a deformante que los medios de abastecimiento y precios, es calificada comunicación de masas aplican sobre el por la mayoría de la población como país caribeño lo convierte en una negativa. Así lo ratifican todos los caricatura que poco tiene que ver con la sondeos de percepciones. Pero esos realidad. En la prensa internacional se mismos estudios certifican que, a pesar ha adoptado el principio de que todo de las dificultades, los venezolanos y vale contra Venezuela, vulnerando venezolanas no comparten en su constantemente el derecho a la totalidad la visión apocalíptica que información de sus audiencias y las más propone la derecha. básicas normas deontológicas del En primer lugar, hay que señalar que el periodismo. Gobierno de Nicolás Maduro realiza un El marco de sentido que ha construido gran esfuerzo para garantizar el la oposición neoliberal interna y externa suministro de bienes y servicios, para estas elecciones, y que difunde a especialmente a las clases populares, a través de sus poderosas terminales precios razonables, al mismo tiempo mediáticas, se basa en caracterizar el que decreta aumentos salariales para momento actual como una situación contrarrestar la inflación. Se trata de dantesca, sin parangón en la historia una alternativa heterodoxa fuera de las reciente. Según este relato apocalíptico, lógicas neoliberales. Buena parte del Venezuela sería comparable a países pueblo ha naturalizado que el En Venezuela, cada cita con las urnas significa mucho más que la elección de unos determinados cargos. Desde que Hugo Chávez accediera a la Presidencia en 1999, los comicios han adquirido un halo plebiscitario. Toda contienda electoral se transforma en un debate sobre ese sistema que llegó para disputarle la hegemonía al neoliberalismo. Las elecciones legislativas que se celebran este 6 de diciembre no son una excepción.
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abastecimiento diario puede desarrollarse bajo paradigmas ajenos a la ley del mercado y aplaude estas iniciativas con la misma fuerza con la que la oposición trata de ocultaras. Se publica la fotografía del anaquel vacío de una tienda pero no la imagen de un operativo estatal de alimentación que surte a una comunidad a un costo razonable.
Juventud, realizada en 2013, señala que el 60% de los venezolanos y venezolanas entre 15 y 29 años consideran el socialismo como el mejor modelo económico, frente a un 21% que se decanta por el capitalismo. Este mismo estudio y otros de tipo generalista reflejan una valoración mayoritariamente positiva de las mejoras sociales alcanzadas bajo el También ocultan que a pesar de las chavismo. dificultades, agravadas por la abrupta Por tanto, puede ser cierto que la bajada del precio del petróleo, principal población exija un cambio de rumbo, y casi única fuente de ingresos de pero no parece acertado deducir que Venezuela –su cotización en el ese cambio deseado sea hacia momento de escribir este artículo es de postulados neoliberales. Al contrario, 34 dólares el barril frente a los 147 que las exigencias populares se centran más llegó a alcanzar en 2008-, Maduro se ha bien en pedirle a Maduro mayor firmeza comprometido a mantener la inversión y profundidad en sus decisiones, sobre social en educación, sanidad, vivienda, todo en las medidas económicas. Es pensiones, etc. En este ámbito, el decir, no otro sistema, sino más Gobierno venezolano vuelve a situar las sistema. necesidades de las personas por encima La oposición lo sabe y por eso oculta su de los intereses del capital y adopta verdadera agenda y se vuelca en el una postura totalmente contraria a las ejercicio de travestismo político que políticas de austeridad que han toda opción neoliberal adopta en su arrasado a los países del Sur de Europa asalto al poder. La propuesta electoral como lo hicieron en el pasado con se limita al señalamiento de lo que está Latinoamérica. De nuevo, la satisfacción mal y a presentar el cambio como la con la que las mayorías populares solución. No importan los programas. El acogen estas medidas contrasta con el concepto “cambio” se mitifica y se silencio de la derecha. presenta como un valor en sí mismo, La construcción del marco del apocalipsis, por tanto, se tambalea dentro de Venezuela con la misma facilidad con la que se refuerza, inútilmente, en el resto del mundo. Aún así, la oposición avanza en la consecuencia lógica de este relato. Es la evidencia de que el modelo chavista ha fracasado. La situación del país es la prueba incontrovertible. La victoria de Mauricio Macri en Argentina inaugura una nueva etapa.
autosuficiente y autónomo con respecto a cualquier tipo de medida. No importa hacia dónde se cambia. Solo importa el cambio.
El problema para los opositores venezolanos que el votante, y muy especialmente el de clase popular, sabe perfectamente quiénes son. La Revolución Bolivariana ha sido un curso acelerado de formación política. El voto de los más humildes ya nunca más es un voto ignorante. Muchos electores Este fin de época por decreto también pueden estar irritados con el chavismo, choca con la realidad, al menos en pero eso no les llevará Venezuela. La II Encuesta Nacional de automáticamente a echarse en manos 61
de la derecha. Conocen cuál es su Torrealba, apoyando la propuesta de agenda y no la quieren. Macri de expulsar a Venezuela de A este rechazo ideológico hay que Mercosur por una supuesta vulneración añadir la ausencia de nuevos liderazgos de derechos humanos, son un auténtico con capacidad de seducción. La derecha despropósito en términos tácticos. venezolana es una amalgama de Nadie entiende cómo la oposición apoya dirigentes procedentes de las clases que se perjudiquen los intereses alta y media-alta, detentadores de un venezolanos. La derecha sigue sin enorme poder económico, alejados por comprender la profundidad de los completo de las clases populares, cambios experimentados en el país. La responsables a los ojos de las mayorías defensa de la soberanía y el rechazo a sociales del saqueo del país en el cualquier tipo de injerencia son ahora pasado siglo y de los golpes contra la principios irrenunciables y transversales democracia en el siglo actual, a amplios sectores con independencia esencialmente corruptos… Henrique de su alineamiento partidario. Capriles fue quien más se aproximó al perfil de candidato aséptico con el que las derechas latinoamericanas quieren recuperar el poder, pero tras la derrota en abril de 2013 frente a Maduro mostró su verdadera cara llamando a la agitación callejera que provocó el asesinato de once militantes chavistas. Las denuncias de ausencia de democracia que realizan estos dirigentes tienen eco en el exterior pero carecen de credibilidad dentro de Venezuela. La ciudadanía considera que sus derechos y libertades están razonablemente salvaguardados y no se reconocen en ese régimen autoritario descrito por la oposición. Leopoldo López no es visto como un preso político, sino como un político preso por conspirar contra el orden legalmente establecido con el funesto balance de 43 personas asesinadas, la mayoría de ellas en acciones de los golpistas. Su condición de mártir queda, nuevamente, para el consumo mediático internacional.
Este panorama lleva a concluir que la derecha no puede ganar las elecciones pero el chavismo sí puede perderlas. El resultado, obviamente, es el mismo, pero la forma en la que se llega a él es diferente y también lo son las consecuencias. La derecha no ha podido constituirse en un bloque con identidad programática y simbólica propia. Se define tan sólo en oposición al chavismo, que de esta forma compite contra sí mismo en unas elecciones que se desarrollan en unas circunstancias inéditas: es la primera vez en el periodo revolucionario en la que se irá a votar viviendo sensiblemente peor que el día anterior. La incógnita consiste en ver si los venezolanos y venezolanas responderán a los automatismos electorales que castigan a los gobernantes en caso de dificultades económicas o, por el contrario, valorarán más el capital político acumulado en estos años, reafirmando así la peculiaridad del proceso bolivariano.
La oposición tampoco está sabiendo manejar el supuesto cambio de ciclo en Latinoamérica, inaugurado con la derrota del kirchnerismo en Argentina. Las declaraciones del secretario ejecutivo de la alianza opositora, Jesús
En cualquier caso, la oposición no aceptará el veredicto de las urnas sea cual sea este. Si pierde, de inmediato denunciará fraude y no reconocerá los resultados. Si gana, anunciará el fin del chavismo y maniobrará con todos los
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medios a su alcance para derrocar al Gobierno de Maduro. Esos medios van desde la utilización de la Asamblea para bloquear políticamente al país –la Constitución Bolivariana de 1999 otorga al poder legislativo enormes competencias para controlar e incluso maniatar a los poderes ejecutivo y judicial- a todo tipo de estrategias desestabilizadoras ya utilizadas en el pasado reciente. Se puede augurar, por tanto, un 2016 extraordinariamente convulso en Venezuela, máxime cuando a mitad de año se abre la posibilidad legal de revocar al presidente Maduro mediante referéndum y a finales se celebrarán elecciones a gobernadores de los 23 estados. En las situaciones complejas, el chavismo siempre ha reaccionado profundizando la acción transformadora y llevando el proceso a una etapa más avanzada. Ante cada acometida neoliberal en formas de golpes de Estado o sabotajes petroleros, Chávez se defendió avanzando, nunca retrocediendo. La experiencia argentina demuestra que el inmovilismo conduce a la derrota. El vicepresidente de Bolivia, Álvaro García Linera, lo sintetizó claramente: “Argentina reveló la disyuntiva: o profundizar los procesos revolucionarios desde adentro o regresa la derecha”. El chavismo, con la experiencia de estos años y el aval que le confieren los enormes logros alcanzados, puede convertir esta amenaza en oportunidad y volver a ser la vanguardia latinoamericana en los procesos de emancipación popular.
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Washington está tomando las medidas más extremas contra el chavismo Detalles Publicado en Jueves, 03 Diciembre 2015 14:30 Categoría: Noticias externas Escrito por James Petras
Oriente. Pero es un factor importante para entender qué impacto ha tenido, qué influencia, en las guerras norteamericanas y la ideología de la ‘lucha contra el terrorismo’. Hasta el autor de este eslogan, de ‘guerra contra el terrorismo’ es un sionista que escribía los discursos del presidente (George W.) Bush en 2003. Debemos entender este factor.
Ahora, sobre el impacto de las guerras Análisis internacional de James hay que entender que la política israelí Petras en CX36, 30 de noviembre era contra la política de los países de 2015. Escuchar: petroleros. Esos países pensaban http://www.ivoox.com/analisisderrocar al gobierno, copar Iraq, internacional-james-petras-cx36instalar un gobierno iraquí títere que audios-mp3_rf_9555853_1.html pudiera funcionar, pero Israel quería todo lo que existía Efrain Chury Iribarne: Hoy vamos a destruir anteriormente. Entonces, hay un empezar con inquietudes de la audiencia que se comunica con la radio choque entre los distintos factores que para que te consultemos. EEUU utiliza también influye. el factor terrorismo para lograr metas Y como consecuencia de la influencia geopolíticas en Medio Oriente, que israelita, destruyeron el ejército y la incluyen la expulsión de Bashar Al burocracia civil iraquí, dejando un país Assad del gobierno sirio, lo que hasta el ingobernable, y eso necesitaba momento ha fracasado y lo que ha Washington para dividir y conquistar los provocado es un aumento del países bajo su dominio. Por eso terrorismo. Inquietudes de la audiencia empezaron a fomentar las divisiones que te pasamos. entre chiítas y suníes; entre tanto JP: Hay algo de verdad en eso. No hay empezaron a armar a uno y otro grupo; duda que los EEUU como poder imperial incluso los que formaron al grupo busca extender su influencia, su terrorista ISIS. Después recibieron apoyo de EEUU, apoyo dominación, sus posiciones militares, mucho incluso algunos mencionan el factor financiero y voluntarios de Arabia petróleo. Más allá de eso, mientras Saudita; y un enorme comercio con tanto, debemos incluir otros dos Turquía. Una vez que empezaron los asaltos en Iraq y en Siria, empezaron a factores. canalizar el petróleo a Turquía, como Primero la influencia de Israel que tiene una enorme fuente de ingresos para enorme penetración en el gobierno financiar la guerra. Recibieron muchas norteamericano, mucha influencia a armas directa e indirectamente, y partir de la quintacolumna sionista. Eso muchos voluntarios a partir de Turquía. muchos extranjeros no lo entienden porque los comentaristas burgueses e Entonces, Washington tenía el apoyo de izquierdistas no quieren discutir por Arabia Saudita, Israel y Turquía, un miedo o cobardía el factor sionista en triangulo que apoyaba de una forma u las razones de las guerras en Medio otra a los terroristas. Y a pesar de que 64
Washington utilizó muchas armas y gastó mucho dinero, no pudo dominar a los países que invadió como Afganistán, Iraq, Yemen y ahora Siria; porque las fuerzas que apoyaba Washington no tenían ninguna legitimidad, no tenían bases sociales concretas que pudieran realizar las tareas de Washington. Por esa razón hay conflictos en algún nivel. Y cuando los rusos intervinieron para apoyar al gobierno de Bashar Al Assad y terminar con el terrorismo, Turquía le baja un avión, porque los aviones rusos atacaban los camiones que transportaban el petróleo de Siria hacia Turquía, un negocio con estimaciones de 2015 de mil millones de dólares a partir del mercado turco. Pero podríamos decir finalmente que Washington tenía medio éxito, medio en el sentido del corto plazo porque destruyeron al gobierno nacionalista en Iraq, destruyeron parte de Siria con su intervención. Pero por otro lado es un fracaso, porque no consiguen dominar al país y poner un títere en el gobierno de forma estable y no hay ningún interés norteamericano en lo económico, más allá de beneficiar a la industria militar que está vendiendo más armas por la guerra. Políticamente ahora Washington queda sin posibilidad de ganar frente a los varios opositores que han surgido en el último tiempo y también por la competencia entre sus aliados -Turquía, Arabia Saudita e Israel- porque cada uno quiere imponer sus intereses geopolíticos. Esto hace que tengamos una situación con mucha volatilidad. Y Washington está constantemente revisando su política apoyando a un grupo terrorista contra otro, terminando sin ninguna influencia real. En este sentido, a mediano y largo plazo la política norteamericana es un fracaso porque no consiguieron imponer sus
intereses pero destruyeron gobiernos independientes.
algunos
EChI: ¿Cómo analizas Francia? Porque Hollande dice combatir el terrorismo cuando está en una situación interna bastante deteriorada. JP: No hay ninguna duda de que Hollande con sus políticas pro empresarios, anti obreras y buscando imponer una política neoliberal, perjudicando a los trabajadores e imponiendo la austeridad antipopular favorable a los grandes capitales, muestra en las encuestas una caída vertical. A partir de lo que llamaron actos de terroristas, ataques de islámicos contra la población, podemos decir varias cosas. Primero, que la Inteligencia francesa tenía conocimiento pero no tomaron medidas preventivas. La pregunta es por qué. En segundo lugar, la forma en que declaran un estado de guerra, una emergencia, y arman toda una serie de concentraciones supuestamente movilizando la población, fue una forma de fomentar el terror, el miedo y la necesidad de “unidad” atrás de Hollande como una táctica. Podemos ver las consecuencias negativas, utilizando el Estado de sitio, ahora están reprimiendo a los manifestantes en las protestas por la cumbre del clima que se está realizando ahora en París. Ha habido 200 encarcelados y cientos de heridos por los ataques policiales, que utilizaron gases, bastones, etc. Eso me parece simbólico de lo que representa el Estado de sitio: reprimir a los opositores, reprimir manifestaciones callejeras y facilitar la realización de las políticas, no sólo contra los llamados terroristas sino también contra cualquier protesta contra la política neoliberal. Hoy le están pegando a los manifestantes contra la cumbre
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climática, y mañana podrían usar las mismas medidas ante otras manifestaciones contra las guerras francesas en Medio Oriente, invasiones en África, o la austeridad en Francia. Podemos decir que Francia está bajando dos pájaros de un tiro. Primero, movilizando a la población atrás del gobierno y en segundo lugar, marginando los derechos democráticos en el país, facilitando el neoliberalismo. Porque inevitablemente las medidas neoliberales van a provocar conflictos, huelgas, protestas, marchas. Y esta política actual de represión complementa la política neoliberal. EChI: A días de las elecciones de Venezuela, la intromisión de la OEA con Luis Almagro a la cabeza es permanente. JP: Washington está tomando todas las medidas que puede utilizar, las más extremas, para tratar de desestabilizar el clima político. Lo último fue el asesinato de uno de los opositores, un líder provincial, que está acusando al gobierno venezolano de represión, de terrorismo; pero descubrimos que los involucrados fueron sicarios, eran asesinos pagos. Los capturaron, pero el hecho es que Washington y los opositores están dispuestos a sacrificar incluso a sus propios cuadros para fomentar esta imagen de terrorismo del gobierno y descalificarlo antes de las elecciones. Washington ha gastado más de 50 millones de dólares en esta campaña, ha fomentado toda una serie de condiciones negativas sobre la economía; ha hecho mucha propaganda anti gobierno. Pero también usa los instrumentos internacionales como la que mencionaste, la OEA, utilizando a Almagro como un caballo de Troya para fomentar a la oposición y desprestigiar al gobierno. Acusándolo sin pruebas,
sin ninguna investigación seria, sin tomar en cuenta la posición del gobierno, sin denunciar la intervención norteamericana. ¿Cuántas veces Almagro ha denunciado la intervención norteamericana? Ninguna. Cero. ¿Y cuántas veces ha denunciado y criticado al gobierno de Venezuela? Por lo menos una decena de veces. Y además, fomentando Comisiones y acusaciones que no tienen ninguna base en los hechos, no hay pruebas. Uruguay en este contexto tiene alguna responsabilidad por los resultados que puedan surgir de esta campaña. No hay dudas de que Venezuela enfrenta al imperio, enfrenta al terrorismo, enfrenta la intervención en los mercados domésticos. Es formidable la oposición pero el gobierno mantiene su fuerza, su madurez y su capacidad de luchar y cualquiera que sean los resultados podemos decir que la lucha en Venezuela va a continuar antes, durante y después de las elecciones. No será un resultado dado sólo por las presiones externas, es también producto de la lucha de clases internas, la movilización nacional y popular que busca eliminar las grandes trabas del pasado, la explotación, los asesinatos, bajo los gobiernos pro norteamericanos. Hay una memoria colectiva que no quiere volver al pasado a pesar de las dificultades de la actualidad. EChI: Lo que dices de Uruguay es así, porque tanto el Ministro de Economía, Danilo Astori, y el vicepresidente Raúl Sendic (h), como la presidencia del Frente Amplio, se han puesto del lado de Almagro y de la OEA y contra Venezuela en sus declaraciones. ¿En qué otros temas estás trabajando? JP: Es una gran vergüenza dada la tradición del Frente Amplio en el pasado
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con el general Seregni y otros grandes luchadores que tenían otras concepciones, al lado del pueblo, al lado de los antiimperialistas, y no sirvientes del poder del norte, como lo hacen las actuales figuras políticas que mencionaste. Ahora, sobre lo que estoy trabajando, hay varias cosas. Primero debemos reconocer el terrorismo norteamericano doméstico. Otra vez un terrorista mata y ataca, esta vez una clínica de mujeres, en Colorado, con cuatro muertos y nueve heridos. Y las autoridades capturaron al asesino y declararon que no saben el motivo. Es ridículo, el motivo es obvio: es anti mujer, anti aborto, anti contraceptivo, es parte de una red nacional influyente que está haciendo este tipo de terrorismo por años y años, con más de cinco decenas de muertos, entre médicos, enfermeros y pacientes.
Argentina, diciendo que va a dar la vuelta hacia la política de Menem de los '90, las privatizaciones, el neoliberalismo. Yo no creo que haya un ciclo nuevo de la derecha que vaya a llegar a América Latina. Primero porque las condiciones de los '90 no están presentes hoy. Macri enfrenta una clase obrera intacta que ha recibido beneficios, ha formalizado su poder y entonces tratar de imitar lo que existía en los '90 es falso, porque en esa época, por los efectos de la dictadura y la hiperinflación, había una clase obrera muy debilitada. Eso no existe ahora. Segundo, el clima en América Latina no es tolerante. No hay gobernantes como Cardoso, Menem, Sanguinetti, etc. que fomentaban la misma política; hay un cuadro mucho más heterogéneo en la América Latina de hoy.
En tercer lugar, EEUU no puede ser el principal mercado para la integración, podemos decir que China ha reemplazado a Washington. Y Macri, pese a declarar su amor carnal con Washington, necesita diversificar las exportaciones y va a depender de China. Entonces el abrazo con Washington es contraproducente si se piensa en los agro minerales como base El terrorismo parte de una política de exportación, porque es otro país y reaccionaria y antimujer, que está otro mundo el actual. presente en EEUU y no le han En tercer lugar, debemos reconocer que encontrado solución ni los republicanos Macri no tiene el control sobre el ni los demócratas. El terrorismo Congreso. Hay peronistas de todos los norteamericano es parte integral de sus pelos, corruptos muchos, reaccionarios políticas en el país y ni hablemos de la otros, centro izquierdistas y facilidad que tienen los terroristas de kirchneristas muchos más, y Macri tiene conseguir armas automáticas y de que negociar. Con la devaluación va a funcionar abiertamente. golpear seriamente a todos los sectores Todos víctimas de esta red terrorista norteamericana que está en el centro del debate político entre los candidatos republicanos que han hecho una campaña infernal contra los centros de mujeres. Y no es algo marginal, no es un loco suelto como tratan de presentarlo los medios, es parte de algo integral.
El segundo punto que quiero tocar, es algo más extenso pero voy a tratar de ser breve. Muchos hablan ahora del fin del ciclo de la centro izquierda, citando la victoria de Mauricio Macri en
populares, incluso a los peronistas de base. Y eso va a fomentar muchos más conflictos y posiblemente, al final de cuentas, Argentina va a caer en la hiperinflación y el estancamiento que va
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a debilitar a cualquier gobierno minoritario de Macri. Entonces, pensar que la victoria de Macri significa automáticamente una vuelta a la política neoliberal, me parece equivocado. Finalmente en Brasil, uno puede decir que los fiscales, los investigadores, han debilitado al capitalismo más que el hecho de perjudicar al Partido mal llamado de Trabajadores (PT). Los principales acusados son los grandes dueños y jefes de casas de inversiones, de empresas de construcción, y capitalistas de toda índole. Y eso ha debilitado la imagen de los capitalistas e implica la corrupción entre el PT pseudo izquierdista, mostrando los vínculos entre el gran capital y la clase política. Eso podría fomentar un sentido anticapitalista. Entonces, la caída del PT no significa una derrota para la izquierda, porque no era un partido de izquierda sino un partido del gran capital como lo demuestran las corrupciones, las coimas que han recibido de los grandes capitalistas. Por tanto, no creo que haya una ola de la derecha pendiente, por el hecho de que Macri gane y el PT caiga.
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Venezuela, desde hace años, grita libertad Detalles Publicado en Viernes, 04 Diciembre 2015 11:30 Categoría: Noticias externas Escrito por Alfredo Serrano Mancilla Por primera vez estoy plenamente de acuerdo con el titulo de un artículo de opinión aparecido en El País de España. Venezuela grita libertad. Esta es la demanda firmada por Mariano Rajoy (presidente del Gobierno de España), David Cameron (primer ministro del Reino Unido), Thorbjørn Jagland, (secretario general del Consejo de Europa), Felipe González (expresidente español) y Ricardo Lagos (expresidente chileno). Los cincos, autoproclamados garantes de la democracia, reivindican el valor de la libertad en Venezuela de cara a las elecciones legislativas del próximo 6 de Diciembre. Se agradece la preocupación de la mal llamada comunidad internacional para que Venezuela vote en plena libertad. Sin embargo, esta opinión VIP (Very Important Person) presenta demasiados errores, descuidos u omisiones como para ser tenida en cuenta. He aquí algunos ejemplos. 1. El artículo hace mención especial al pensamiento político demócrata de Montesquieu en relación a la división de poderes. Por un lado, sorprende que personalidades como Rajoy o González den ejemplo de división de poderes cuando jamás han permitido un Tribunal Constitucional que no haya sido elegido por los partidos que ambos representan. Además, también llama la atención que no hayan considerado –ni
de pasada- que en Venezuela, bajo la nueva Constitución, hay un poder electoral propio, independiente de ningún ministerio –no cómo sucede en España. Tampoco se dice nada acerca de que el rector del órgano electoral venezolano, Luis Emilio Rondón, es abiertamente opositor tal como lo ha demostrado en infinitas ocasiones. 2. El grupo VIP sigue empecinado en recordar el artículo 9 de la Declaración Universal de los Derechos Humanos: “Nadie podrá ser arbitrariamente detenido, preso ni desterrado”. Cierto es, y así debe ser cumplido. Pero ocultan que en Venezuela el señor Leopoldo López es detenido y está preso no de manera arbitraria, sino por ser responsable de instigar un derrocamiento contra un gobierno constitucional que acabó con más de 40 muertes. 3. El artículo VIP continúa tapándose los ojos afirmando que “las manifestaciones que se iniciaron en febrero de 2014 fueron pacíficas”. Mas que ceguera, a estas alturas, podríamos hablar de mentira. ¿Cómo pueden pronunciar el término “pacífico” luego de haber habido tantas muertes? 4. Siguen erre que erre con su visión colonizadora. No logran entender que el cambio de época en América latina ha traído consigo un sentimiento de soberanía que es incompatible con la presencia de los observadores internacionales independientes propuestos por la Organización de Estados Americanos y la Unión Europea. ¿Es que los Estados Unidos (OEA) y la Unión Europea (UE) permiten a los países latinoamericanos ser notarios de elecciones en sus propios territorios? No. Como debe ser. La recuperación de la soberanía implica precisamente eso: tratarse de igual a
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igual, de tú a tú, sin supremacía de un bloque geopolítico sobre otro. Es por ello que Venezuela acepta que sea la Unasur, y no la OEA ni la UE, quien tenga la misión de acompañamiento electoral. Esto, obviamente, no se menciona en ningún lugar de esta reclama VIP. En definitiva, desde afuera de la región latinoamericana, se sigue comprendiendo poco o muy poco lo que pasa adentro. El caso venezolano, por su gran transformación, es seguramente el país más desconocido desde los centros hegemónicos de poder. Todavía creen que los venezolanos votan leyendo la prensa extranjera. Venezuela, desde hace años, grita libertad para votar según sus propias valoraciones, sus símbolos, su nueva identidad política. El club VIP del orden dominante internacional no logra entender que el tiempo de “vuelven las carabelas” ya es tiempo pasado. A partir de ahí, veremos qué sucede el próximo domingo donde está en juego el futuro de Venezuela en esta América latina en disputa. Fuente: CELAG
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Crímenes históricos franceses
de
militares
asesinaron 89.000 personas para “pacificar” una rebelión en Madagascar, una isla de África en el Océano Índico. (Le Monde Diplomatique, marzo de Detalles Publicado en Viernes, 04 Diciembre 1997) Durante la larga guerra francesa en Indochina, los militares franceses 2015 13:00 mataron a muchos más vietnamitas, laosianos, camboyanos y algunos Categoría: Noticias externas chinos hasta que el imperialismo Escrito por John Catalinotto francés fue finalmente expulsado en Muchos jóvenes en París fueron 1954. víctimas inocentes del ataque del 13 de Incluso en el mismo París, el 17 de noviembre, pero eso no quiere decir octubre de 1961, la policía francesa que el estado imperialista francés es abrió fuego contra una manifestación inocente. Aunque la Revolución de 30.000 argelinos, matando entre 70 Francesa de 1789 levantó las consignas y 300 personas. Si usted no ha oído idealistas de libertad, igualdad y hablar de esto, es porque la policía fraternidad, el imperialismo francés, francesa y los medios de comunicación que se desarrolló a partir de esa conspiraron para mantenerlo en secreto revolución burguesa, tiene una historia hasta que finalmente se verificó en la sangrienta en el mundo. Las acciones década de 1990. (“La batalla de París,” de la clase dominante francesa han Jean-Luc Einaudi, 1991) creado muchos enemigos, pero es la Esta historia de intervención militar gente común, no a las élites, quienes imperialista continúa. Aviones franceses pagan el precio. abrieron la guerra aérea contra Libia en Cuando Francia imperialista acababa 2011, llevando a la destrucción bárbara de salir de la ocupación alemana de ese país por la OTAN. Aviones después de la Segunda Guerra Mundial, franceses están bombardeando hoy en los pueblos árabes y bereberes Siria e Irak, junto a la “coalición” comenzaron manifestaciones masivas y liderada por Estados Unidos. levantamientos en Argelia contra el www.workers.org dominio colonial francés. Para suprimir la rebelión, durante varios días las tropas y la policía francesas, actuando por orden del presidente francés emitida el 8 de mayo de 1945, masacraron cerca de 45.000 argelinos que pacíficamente se manifestaban en las ciudades de Setif, Guelma y Kherrata. (tinyurl.com/ncqzar5) Los ocupantes franceses mataron tanto como un millón de argelinas/os intentando aferrarse a esa nación, hasta que el pueblo finalmente ganó su liberación en 1962. En 1947, las tropas coloniales francesas 71
La
lucha contra la oligarquía: segundo frente de la guerra de Donbass
Detalles Publicado en Lunes, 07 Diciembre 2015 10:08 Categoría: Noticias externas Escrito por Viktor Shapinov
hicieran con “el viejo régimen” ucraniano, sin tener en cuenta siquiera la existencia de las Repúblicas Populares. La “restauración tranquila” del antiguo orden ucraniano que se prepara para la RPD y la RPL es más peligrosa incluso que los preparativos militares de las fuerzas ucranianas. Y es peligroso porque inyectar a las jóvenes repúblicas el viejo veneno moribundo de la oligarquía podría descomponer desde dentro el mecanismo, que aún no se ha consolidado, del nuevo estado. Y estos grupos cuentan ya con experiencia en lo que se refiere a la destrucción del Estado.
Los clanes oligárquicos, nacidos de la realidad ucraniana, siguen manteniendo influencia tanto en lo político como lo económico en la República Popular de Lugansk. Esto supone un riesgo importante a la construcción de la República y a su propia existencia y La oligarquía ucraniana es un enemigo dificulta además la integración gradual contra el que no se puede luchar con de la RPL en el espacio económico artillería. Requiere una lucha larga y común de Rusia y la Unión Euroasiática. sistemática mientras continúa la Durante la rebelión de Donbass en la construcción del nuevo modelo político primavera de 2014, los participantes en y económico para Donbass, el mismo el movimiento popular sintieron que al modelo que soñaba la población en la rechazar a las odiadas autoridades de primavera de 2014, para lo que votó en Kiev, la región se olvidaría también de el referéndum del 11 de mayo. nombres de Rinat Ajmetov, Yuri ¿Por qué se han convertido en un Enakievsky, Natalia Korolevskaya o problema para las Repúblicas Populares Sergey Kurchenko. En pocas palabras, los oligarcas ucranianos? ¿Harán los la rebelión se concibió no solo como grandes negocios y las grandes movimiento de liberación popular (anti inversiones que los oligarcas pretendan nacionalista) sino también como un convertirse en grandes patriotas de movimiento social (contra los Donbass? ¿Por qué no trabajar juntos? oligarcas). La realidad es que los intereses de los Y mientras los nacionalistas se clanes oligárquicos y los del pueblo de encontraban al otro lado de la línea del Donbass son incompatibles. Y no se frente, los miembros de la oligarquía, trata solo del típico conflicto postunos en Kiev, otros en la cárcel, otros soviético entre el pueblo empobrecido y en la Costa Azul y alguno (¿lo la élite que se enriqueció a base del confesará?) en Moscú, comenzaron a salvaje proceso de privatización. hacer negocio. ¿Cuál es esa incompatibilidad? Los clanes oligárquicos de los tiempos de Yuschenko y Yanukovich, que no En primer lugar, los grupos oligárquicos buscan principalmente aprendieron ni olvidaron nada en la ucranianos maximizar sus beneficios, algo que primavera de 2014, siguen intentando actuar de la misma forma que los objetivamente contradice los intereses 72
estratégicos para el desarrollo de la República. Por ejemplo, la República fracasó en su intento de desarrollar las estructuras para restaurar los edificios propiedad de los oligarcas. Esos oligarcas (en la RPL se siente principalmente la influencia de Efremov, Abramov, Kurchenko y Ajmetov) prefirieron aprovecharse especulando con la gasolina y el combustible, arruinando las posibilidades de trabajar de forma sistemática en la recuperación de esta región asolada por la guerra. En segundo lugar, los negocios de los clanes oligárquicos están íntimamente ligados a Ucrania, por lo que los intereses económicos de esos oligarcas pasan por el regreso de Donbass a control de Kiev. Por supuesto, ni Ajmetov ni Ivanyuschenko son seguidores de los nazis, de Bandera o de Shujievich, pero los negocios son los negocios. Pero esto supone que la presencia de oligarcas ucranianos en Donbass es, a priori, peligrosa para la RPD y la RPL.
oligarcas ucranianos y puede que en situaciones clave pueda incluso dirigir sus actividades según sus propios intereses. La restauración de la oligarquía ucraniana en Donbass es una amenaza a la existencia de las Repúblicas Populares. ¿Comprenden las autoridades de la RPD y la RPL esta amenaza y están dispuestas a abrir un “segundo frente” en la guerra de Donbass contra la oligarquía ucraniana? Frente al resto de Ucrania, donde tras la victoria de Maidan los oligarcas lograron consolidar sus posiciones convirtiendo regiones en sus feudos, el poder de los oligarcas sufrió un duro golpe en Donbass. Y dice mucho que el liderazgo de la RPD y la RPL esté dispuestos a continuar trabajando por acabar definitivamente con el poder de la oligarquía en Donbass. En la próxima ocasión hablaremos de los detalles de esa lucha.
En tercer lugar, los oligarcas ucranianos también acarrean la amenaza de reproducir la corrupción en el aparato estatal de la RPL y recuperar esas plagas del sistema oligárquico que el pueblo de Donbass deseaba dejar atrás al votar por la independencia en referéndum. Finalmente, los clanes oligárquicos ucranianos miran hacia Occidente. Ahí están su capital, sus propiedades, sus intereses y es ahí donde estudian sus hijos y donde esperan ser aceptados por las élites capitalistas occidentales. Todos recordamos cómo el “patriota de Donbass” Rinat Ajmetov apoyó Euromaidan tras una informativa conversación con la representante del Departamento de Estado de Estados Unidos Victoria Nuland. Occidente conoce todas las “debilidades” de los 73
Venezuela: las dos tácticas de la derecha Detalles Publicado en Lunes, 07 Diciembre 2015 11:06 Categoría: Noticias externas Escrito por Atilio Borón Mucho se ha hablado de que la derecha no hizo campaña para las elecciones del Domingo 6 de diciembre en Venezuela. No es así. En realidad, la MUD (Mesa de Unidad Democrática) trabajó intensamente para tratar de derrotar al gobierno de Nicolás Maduro. Sólo que su campaña no la hizo en el terreno electoral, porque es un espacio en el cual ha sido sistemáticamente derrotada desde el triunfo del Comandante Hugo Chávez Frías en las elecciones presidenciales de diciembre de 1998. Su táctica ha sido otra: promover el desabastecimiento programado de artículos de primera necesidad para, de ese modo, desatar la ira popular en contra del gobierno; “calentar la calle” mediante provocaciones, el terrorismo mediático y la desinformación; establecer vínculos y articular acciones desestabilizadoras dentro del país con la ayuda del paramilitarismo sudamericano comandado por Álvaro Uribe Vélez desde Colombia; y contribuir a una campaña internacional, de una intensidad y coberturas muy pocas veces vista en la historia, para satanizar al gobierno bolivariano. Distorsionar las informaciones sobre lo que está ocurriendo en ese país y reclutar, bajo las órdenes de José M. Aznar en su calidad de lugarteniente de Washington, una legión de presuntos guardianes de la democracia que con sus escritos y conferencias atacan sin
cesar, desde los medios hegemónicos, al gobierno de Nicolás Maduro. Esa derecha tiene un ADN incorregiblemente autoritario: apoyó fervientemente el golpe de Abril del 2002 y con sus dirigentes tomó por asalto Miraflores pensando que el pueblo chavista sería indiferente ante la usurpación del poder presidencial; apoyó el antipatriótico paro petrolero y el lock-out patronal de Diciembre 2002Febrero 2003; y más recientemente, convalidó la sedición encabezada por Leopoldo López precipitada el resultado de la elección presidencial de 2013 y, sobre todo, por la categórica derrota sufrida en las regionales de Diciembre de ese mismo año. Se trata, por lo tanto, de una formación política profundamente antidemocrática y que sólo juega una de sus cartas en las lides electorales; la otra la reserva para librar batalla en la economía, en la sociedad y en el sistema internacional, con cualquier arma, legal o ilegal. Una de sus líderes, Lilian Tintori, esposa de Leopoldo López, ha repetido hasta el cansancio que “el 6 de diciembre o gana la oposición o hay fraude.” Sería difícil encontrar una muestra más irrefutable de espíritu contrario a la democracia que una expresión como esa. ¿Qué hará entonces la derecha venezolana? Hay dos escenarios posibles. Si llegara a ganar, siendo que “ganar” significa obtener una mayoría en la Asamblea Nacional, seguramente que proclamará el carácter plebiscitario de la elección y exigirá la renuncia de Nicolás Maduro. Dado que se trata de una elección parlamentaria y que la presidencia no está en juego es obvio que aquél jamás podría aceptar un chantaje de ese tipo. No sólo él sino también y sobre todo el pueblo
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chavista. Además, dado que gracias a la Constitución bolivariana existe un mecanismo, el “referendo revocatorio”, que puede ser utilizado para remover legalmente a un presidente al promediar su mandato, una oposición respetuosa de las reglas del juego democrático en lugar de apostar a la sedición o a la guerra económica debería organizarse para dar la batalla en dicho referendo. Pero no es el caso de la derecha venezolana. Llama la atención que entre los presidentes latinoamericanos que han pretendido darle lecciones de democracia al gobierno bolivariano – Ricardo Lagos y Fernando H. Cardoso entre los más conspicuos- ninguno de ellos cuenta en su país con un mecanismo legal tan profundamente democrático como el que asegura la Constitución chavista. Pero esa falencia es una minucia que no los arredra. Es más, en el caso de Chile, ninguna de las constituciones que rigieron su vida política surgió de una asamblea expresamente elegida por la ciudadanía para tal efecto. Eso no impide que el ex presidente Lagos pontifique sobre los problemas de la democracia en Venezuela.
competir según las reglas del juego democrático provoque otra vez un caos como el desatado en esa ocasión y que le costó al país 43 muertos, más de trescientos heridos y considerables daños materiales. Podrá discutirse, y mucho, sobre cómo se ha llegado a esta situación. El perverso accionar del imperialismo y la derecha vernácula ha sido de una tremenda malignidad, agigantando los problemas de ineficiencia y corrupción oficial. Pero, en un momento en que arrecian las críticas a los yerros y torpezas del gobierno bolivariano, es preciso subrayar, con más fuerza que nunca, que los aciertos históricos del chavismo superan con creces las deficiencias que se le puedan atribuir al gobierno de Maduro.
En conclusión: la derecha apelará a sus dos tácticas para tratar de obtener la ansiada “salida” de Maduro y el “cambio de régimen” que Washington alienta sin disimulos. Si prevalece en la elección argumentará que el pueblo se manifestó en su contra y que debe renunciar; y si las urnas favorecen al gobierno gritará “fraude” con todas sus fuerzas. Desgraciadamente, estas dos tácticas de la oposición sólo pueden desatar la violencia, tal como ocurriera en los primeros meses del 2014. Será una dura prueba para el gobierno bolivariano evitar que la conducta de una coalición que no está dispuesta a 75
Venezuela, nosotros democracia
y
la
Detalles Publicado en Miércoles, 09 Diciembre 2015 14:39 Categoría: Noticias externas Escrito por Fidel Díaz Castro
En nuestro noticiario en la mañana, nuestro reportero en Caracas dijo que el pueblo había hecho voto de castigo contra la gestión económica de Maduro; incluso el propio Maduro se ve presionado por esas ideas que imponen reconocer que no se fue efectivo, cuando la realidad es que no se puede ser efectivo cuando los poderes económicos lanzan una guerra abierta y la culpa la pagan los atacados. ¿Cómo gobernar en contra de la oligarquía nacional e internacional (unida, como soñó Marx para los proletarios del mundo)?
Venezuela demostró ayer –contrario a lo que se ha canonizado- que la democracia con economía y medios de comunicación en manos privadas no existe. Es lamentable, pero no puede avanzar una revolución social con el El voto no fue de castigo contra una poder real en las manos de la deficiente gestión, sino un voto de oligarquía. supuesta salvación, de alivio, ante una prolongada angustia en la Con los medios y los poderes económicos en contra es imposible vida cotidiana del venezolano; Maduro sacar adelante un gobierno que no tuvo una gestión deficiente, sino favorezca al pueblo. Ya pasaron los imposible. tiempos en que logramos sorprender a la derecha, y en especial al imperio yanqui, que tenía a su traspatio latinoamericano medio al garete; obviamente ya están reforzando su cerco contra el Sur. Lo peor del revés de la Revolución bolivariana ayer, no está ni siquiera en la derrota en las urnas, tan aplastante, lo cual venía casi cantado, si no en el discurso de la izquierda, que le sigue el juego a los conceptos que nos imponen los grandes circuitos globales, entre ellos el cacareo de la democracia tal como la entiende el imperio.
La maquinaria mediática internacional echa las culpas sobre Maduro, sobre este gobierno, incluso lo contrapone al de Chávez; tratando de hacernos creer que esto es otra cosa, y que Maduro es o villano, o incapaz; cuando en realidad la pelea ha sido titánica. No estoy seguro siguiera que, con Chávez, los resultados hubieran sido distintos; de no ser mucho más radical en las medidas, lo cual se hace difícil con las reglas de juego impuestas, ¿cómo impedir unos medios feroces tergiversando, desinformando, calumniando, sin piedad ni ética? ¿Cómo controlar una economía que está en poder de las oligarquías? ¿Cómo poder hacerle frente a esa situación económica si por otra parte los organismos económicos internacionales son parte de ese juego?
Cacareamos que ganó la democracia, cuando en realidad lo que quedó demostrado es que se hace imposible ejercer la democracia; la democracia electoralista solo sirve a la derecha, la izquierda no puede gobernar con ella en medio de un mar de poderes fácticos Queríamos alegrarnos de que las económicos y mediáticos en manos de elecciones transcurrieran en plena calma, sin violencia, y para mí no era una minoría antidemocrática. 76
más que –lamentablemente- muy mal síntoma. Las elecciones se desarrollaban en paz, porque la oposición se sabía con grandes posibilidades de ganar. La campaña de no reconocer los resultados, y de salir a armar güarimbas en las calles, imperó para cumplir su objetivo, el miedo. Salvo los de mayor conciencia, cualquier ciudadano que lleva meses haciendo colas infinitas, viendo como los precios se disparan astronómicamente, y como se desaparecen incluso los alimentos y encima le auguran días de alta violencia si gana el chavismo, pues vota en su contra, a ver si llega un poco de paz a su vida.
los planes aplazados, o la necesidad de buscar nuevas vías, pero la esencia del problema no está en los defectos de la izquierda sino en aceptar las reglas del juego de las derechas –nacionales y globales- que han cerrado cerco, lo cual no permite avanzar en los proyectos y tener que dedicar la mayor parte del tiempo a apagar los fuegos que imponen en su alianza con Estados Unidos.
Rusia today denunciaba el presupuesto de 18 millones de dólares de financiamiento de los Estados Unidos para la guerra contra Venezuela, 3 de ellos específicamente para las elecciones, junto al sabotaje económico y la guerra mediática, y nosotros ¿Eso es la democracia? ¿Tener que llamamos al efecto de todo eso votar no por un proyecto si no por democracia… miedo a lo que se viene desatando desde la guerra de la oposición? En Telesur en plena incertidumbre de la espera de los resultados, una socióloga ecuatoriana, comenzó a cuestionar las revoluciones que estamos haciendo en el continente, como desgastadas, obligadas al replanteo, lo cual me parece bien como principio; lo que cuando escuchaba sus argumentos no aparecía por ningún lado la ingobernabilidad a que están sometiendo a las izquierdas, con una campaña mucho mejor orquestada a nivel continental; y esa sinfonía ya sabemos quién la dirige, los amos del Norte. Un grupo de opositores festejan la jornada electoral con banderas de EE.UU por las calles de Caracas este 6 de diciembre de 2015. Foto: Carlos Becerra/ Bloomberg Todo pareciera que es que los gobiernos de izquierda están anquilosados, que supuestamente tienen que plantearse nuevas metas, y una viabilidad económica; no excluyo los errores, ni 77
La OTAN sigue extendiéndose Detalles Publicado en Jueves, 10 Diciembre 2015 09:32 Categoría: Noticias externas Escrito por Manlio Dinucci La decisión «histórica» del Consejo del Atlántico Norte de invitar a Montenegro a iniciar el proceso para convertirse en el miembro número 29 de la alianza atlántica constituye un nuevo paso en la estrategia de EEUU y la OTAN para cercar a Rusia.
en general. Hay en su territorio 10 grandes búnkeres subterráneos construidos en tiempos de la Federación Yugoslava, instalaciones donde aún quedan más 10 000 toneladas de munición antigua por liquidar o por exportar. También hay en Montenegro hangares fortificados para la aviación, que fueron bombardeados por la OTAN en 1999. A la restructuración de esas instalaciones están dedicándose desde hace tiempo millones de dólares y parte de ese dinero viene de la Unión Europea. De esa manera, la OTAN tendrá en Montenegro búnkeres donde, después de la modernización, podrá almacenar enormes cantidades de municiones, incluso nucleares, así como hangares para sus cazabombarderos.
¿Qué importancia tiene para la OTAN Montenegro, el último de los Estados (desde 2006) formados como resultado del desmembramiento de la Federación El primer ministro Milo Dukanovic, Yugoslava, destruida por la propia OTAN dueño y señor de Montenegro desde hace 25 años. mediante la infiltración y la guerra? Para responder esa pregunta basta con Montenegro, cuya incorporación a la OTAN es ya prácticamente un hecho, es mirar un mapa. también candidato a entrar en la Unión Más pequeño que la región italiana de Europea, 22 de cuyos 28 miembros Apulia –a sólo 200 kilómetros del otro son también miembros de la OTAN, lado del Adriático– y con apenas bajo el mando de EEUU. 630.000 habitantes –la sexta parte de la población de Apulia–, la posición Un papel importante en el acercamiento estratégica de Montenegro es de Montenegro a la OTAN ha sido el de Mogherini, quien visitó extremadamente importante. Tiene Federica como ministra de fronteras con Albania y Croacia (ya Montenegro miembros de la OTAN), con Kosovo Exteriores de Italia en julio de 2014. momento, Mogherini (de hecho ya prácticamente miembro En aquel que «la política de de la OTAN), con Serbia y con Bosnia- recordaba Herzegovina (socio de la OTAN). Tiene ampliación es la clave del éxito de la dos puertos, Bar y Porto Montenegro, Unión Europea –y de la OTAN– en la utilizables ambos con fines militares promoción de la paz, de la democracia hacia el Mediterráneo. Fue en el y de la seguridad en Europa» y segundo de estos puerto donde hizo felicitaba al gobierno montenegrino por escala, en noviembre de 2014, su «historia de éxito». el portaviones italiano Cavour. Así hablaba Mogherini del gobierno Montenegro resulta estratégicamente encabezado por el primer ministro Milo importante como depósito de Dukanovic, un individuo al que la propia municiones y de material de guerra Europol (la policía de la Unión Europea) cuestionó en 2013 porque Montenegro 78
se ha convertido en importante vía de tránsito del tráfico de droga proveniente de Afganistán (donde opera la OTAN) hacia Europa y en el más importante centro de lavado de dinero. Esta «historia de éxito» es muy similar a la de Kosovo, que demuestra que hasta el crimen organizado puede ser utilizado con fines estratégicos. Veamos un recuento de la expansión de la OTAN hacia el este: - En 1999, la OTAN absorbe los 3 primeros países del desaparecido Pacto de Varsovia: Polonia, la República Checa y Hungría. - En 2004, la OTAN se extiende a otros 7: Estonia, Letonia, Lituania (3 Repúblicas ex soviéticas), Bulgaria, Rumania, Eslovaquia (ex miembros del Pacto de Varsovia) y Eslovenia (antiguamente parte de Yugoslavia). - En este momento, a pesar de la fuerte oposición interna, duramente reprimida, se trata de absorber Montenegro, que precedería a otros «países aspirantes», como Macedonia, BosniaHerzegovina, Georgia, Ucrania y otros más a quienes que se les deja «la puerta abierta». Al extenderse hacia el este, acercarse cada vez más a las fronteras de Rusia con sus bases militares y tropas, así como con su armamento nuclear, la OTAN abre en realidad la puerta a todo tipo de escenarios catastróficos para Europa y el mundo. Il Manifesto / Red Voltaire
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Nemo, un brigadista internacional en Donbass Detalles Publicado en Jueves, 10 Diciembre 2015 14:46 Categoría: Noticias externas Escrito por Julio Zamarrón/DISOPress Donestkly, noviembre de 2015. Primera línea de frente en la Guerra del Donbass, a tan solo 300 metros se encuentran las posiciones enemigas del ejército de la Junta de Kiev. Nos encontramos en una guerra de baja intensidad, bombardeos y disparos nocturnos desde las posiciones ucranianas que son respondidas por las posiciones más avanzadas de la Brigada Prizrak. Delante de mí se encuentra Nemo, como es conocido aquí. Comisario político de la Unidad de voluntarios internacionales, italiano delgado, 36 años a sus espaldas y natural de Roma. Antes de venir al Donbass trabajaba como funcionario, labor a la que dice piensa retornar cuando termine su estancia aquí. Sin cargas familiares, soltero y sin hijos se licencio en economía. Cuando hablo con él durante las largas guardias nocturnas o las patrullas por primera línea me doy cuenta que me encuentro ante una persona con un alto nivel cultural, que se desenvuelve con soltura entre términos políticos económicos y militares. 1- ¿Qué te animo a venir aquí? Soy comunista y antifascista internacionalista. No podía asistir impasible a la vuelta del nazismo en Europa por eso decidí contribuir personalmente en esta lucha. Ucrania
es el laboratorio de un nuevo modelo de injerencia, por ello solo podemos generar un nuevo modelo de respuesta basado sobre la solidaridad del pueblo. Estoy convencido que las diferencias entre la esfera política y la esfera militar son las precondiciones necesarias para que se lleve a cabo un golpe como el que hemos visto en Ucrania. Aquí intentamos salvar este obstáculo. 2- ¿Cuál es tu formación política? He militado en diferentes partidos, movimientos e organizaciones comunistas. Y tengo experiencia internacionalista previa. 3- ¿Son las ideas tan importantes, por que venir a una guerra que no es la tuya? Indudablemente cuando uno está convencido de sus propias ideas está dispuesto a todo por ellas. Yo creo que en la pregunta se esconde uno de los mayores malentendidos relativos a esta guerra, en cuanto a que este conflicto es muy cercano y también nos afecta. Se trata de un conflicto desatado por los intereses occidentales y ahora no podemos cerrar los ojos. Además si el fascismo retoma el poder en algún lugar de Europa es un problema que nos concierne a todos nosotros. 4- ¿De qué unidad formas parte y cuál es tu labor dentro de la misma? Desde hace meses formo parte de la Brigada Prizrak (Brigada Fantasma) que opera en la República Popular de Lugansk(LNR). Aquí siempre he trabajado en estrecho contacto con el Comisario Político de la Brigada Alexey Marcov conocido como “Dobrij” (el bueno). Con él y el comandante Arkadic se acordó crear una unidad internacionalista antifascista occidental: InterUnit. En este momento soy el
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comisario político de esta unidad y en la misma desempeño actividades políticas y militares. En este momento InterUnit está formada por siete personas procedentes de: España (país con mayor apoyo), Italia, Chile , Israel y EEUU.
quieren acrecentar sus ataques contra los trabajadores. La mía es una posición personal, pero no estoy convencido de que haya un plan organizado tras lo ocurrido en Odessa sino que es la inevitable consecuencia de todo lo ocurrido meses antes en Ucrania y que Forjados sobre el ideario de la Guerra se ha traducido en la legitimización de Civil Española, la Resistencia Italiana y los fascistas que han adquirido un gran el Internacionalismo inspirado en poder. Ernesto Che Guevara. Estamos Para los que revisan lo ocurrido aquel estudiando un nuevo modelo día hay dos tipos de teorías: una organizativo, un sujeto político capaz de independiente y la oficial. La primera operar, con diferentes instrumentos, en basándose en los testimonios directos y todas las partas del mundo. A una el material audiovisual, conseguidos y ofensiva global debemos dar una que reconstruyen en un brevísimo respuesta global. periodo de tiempo toda la dinámica de 5- ¿Con que clase de compañeros los hechos. Y la segunda: obviamente compartes el día a día? ¿Cuál es su la autoridad no está interesada en encontrar la verdad, las investigaciones situación? oficiales nunca llegaron siquiera a Mis compañeros son como mis comenzar. El gobierno ucraniano no hermanos. Venimos de lugares y está interesado en encontrar culpables, situaciones completamente diferentes, ya que se trata de sus aliados nazis. pero esta experiencia nos ha unido de un modo completamente indisoluble. 7- ¿Se habla de que en lado y en el de Novorrosia participan Somos todos personas normales, casi ejercito fuerzas especiales rusas, es cierto? todos sin experiencia militar, animados, con gran determinación y solidaridad. Yo te puedo hablar con certeza solo de Amamos la vida y odiamos el fascismo. mi experiencia personal dentro de la 6- ¿Tras Odessa se habla de que el lado Brigada Prizrak y te puedo garantizar Ucraniano ha cometido crímenes de que se trata de un ejército del pueblo y lesa humanidad? ¿Qué sabes de ello? no de fuerzas especiales extranjeras. Si detrás de nuestro ejército estuviese la ¿Qué has podido comprobar? fuerza rusa tendríamos recursos La masacre de Odessa fue el elemento económicos, armas modernas, munición desencadenante de la insurrección en ilimitada, etc. Pero la realidad es otra, Ucrania. Después de ello la población basta mirar en qué condiciones comprendió que no era posible de modo combatimos para entender como están alguno un enfrentamiento democrático las cosas: estamos armados con viejos y pacífico. La única vía para enfrentarse fusiles soviéticos, munición a la violencia fascista tuvo que ser la limitadísima, poca comida y vivimos en resistencia armada. Yo creo que la casas abandonadas. lección que debemos sacar de Odessa es que los fascistas nunca dejan de Además no hace falta venir a verlo serlo: más cuando se encuentran bajo personalmente basta con realizar un las ordenes de la burguesía y al servicio sencillo razonamiento político: nosotros de los poderes internacionales que combatimos contra el fascismo y por el socialismo, ¿A Rusia le interesa esto? 81
¿Se encuentra en un camino de vuelta al socialismo? ¿Quiere empezar a discutir el sistema político que sostiene a las actuales clases dominantes? ¿Quiere combatir contra la oligarquía? No lo creo. Es cierto que no puedo asegurar lo que acaece en otras partes de Novorrusia que pertenecen a otras realidades diferentes a la nuestra.
una ingente cantidad de trabajo y esto no les interesa.Añadiría que tenemos con ellos una anómala sincronización que les hace venir a vernos cuando estamos preparando cualquier tipo de ataque.
En esta fase nosotros no perpetramos ningún tipo de ataque, aunque obviamente nos defendemos. El ejército ucraniano ataca cotidianamente, a veces con provocaciones criminales como los bombardeos sobre población civil. Esto responde a la búsqueda de una escalada de violencia que nos lleve de nuevo a un conflicto de alta intensidad. Esto les serviría para poder presentarse ante las altas instituciones financieras internacionales con una falsa situación de emergencia que les permitiría pedir nuevos préstamos económicos. En la situación actual nadie otorgaría dinero al estado Ucraniano pero en caso de guerra sería muy difícil negárselo.
instrumento del enemigo, pero sinceramente creo que tienen un serio problema a la hora de seleccionar su personal.
Unido a ciertas casualidades, hace un mes, nada más recibir su visita el enemigo ha situado, atacado y 8- ¿Tras los acuerdos de Minsk se destruido uno de nuestros bunkers. Una acordó un alto el fuego, está siendo extraña coincidencia… respetado? No estoy diciendo que la OSCE sea un
9- ¿Cuál está siendo el papel de la OSCE? ¿Existe cierta permisividad? Primero aclarar que a esta pregunta respondo de manera personal y que no representa la opinión colectiva de la Birgada ni de InterUnit. Soy muy escéptico con las operaciones de la OSCE . Viéndolos trabajar tengo la sensación de ver los peores vicios de los trabajadores desganados y parasitarios: haciendo el mínimo posible para poder justificar sus desproporcionados sueldos. Los ves dar paseos haciendo fotografías y entrevistas que no pueden aportar ningún tipo de prueba. Si quisieran indagar de verdad deberían afrontar
10- ¿Qué tipo de intereses se esconden para ti tras esta guerra? ¿Cuál es el papel de la unión europea? Toda acción humana que varía el estado de las cosas, responde a unos intereses. Esta guerra no es una excepción. Desde hace años la OTAN está realizando una maniobra de cerco a Rusia, pero se han acercado tanto que corren el riesgo de que se produzca algún tipo de reacción. La OTAN podría desencadenar deliberadamente la tercera guerra mundial. Paradójicamente nuestro conflicto sirve también para mantener la paz mundial, si evitamos que las fuerzas armadas occidentales lleguen a las fronteras rusas seguramente se genere una situación más estable. Hay también intereses económicos y financieros relacionados con los recursos económicos y la industria, pero subordinados a la situación geopolítica. En esta ocasión la Unión Europea ha demostrado no ser capaz de ser un sujeto geopolítico unitario, incapaz además de afrontar grandes desafíos. Los diferentes países europeos actúan con autonomía, de manera descoordinada y contradictoria. Incluso
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muchos de ellos han cambiado su dificultad de adaptarme al clima de este posicionamiento durante la evolución de lugar. Hace mucho frío y las noches son esta crisis. Una escena patética. extremadamente largas. Resistir en 11- Hace más de un año que el primera línea es muy duro, pero conflicto dejo de tener repercusiones en nosotros hemos venido para realizar los medios de comunicación cualquier trabajo o actividad que se nos internacionales. ¿Crees que existe encomiende. Queremos contribuir allí algún motivo político o algún tipo de donde más se necesita. pacto de silencio?
13- ¿Que ha sido hasta el momento Creo que los medios occidentales para ti lo mejor y lo peor de esta prefieren ignorar este conflicto porque guerra? tienen la conciencia manchada. El peor momento es siempre cuando se Occidente ha desencadenado una ha de enfrentar la muerte. No importa guerra fratricida y han reavivado el quien muera, la muerte es siempre nazismo: algo inaceptable para horrible, también la del enemigo. Más cualquier país democrático. Que mejor aun cuando este enemigo se trata de entonces que callar, ignorar todo tras reclutados forzosos a los que se manda un hipócrita silencio. No creo que se a ser masacrados al frente. Obviamente trate tanto de un diseño político, sino cuando muere un civil o un compañero que se trata de un mecanismo sufrimos otro tipo de dolor, un psicológico. sentimiento mucho más profundo e hiriente. 12- ¿Cómo es la vida en primera línea? Nosotros no somos un ejército regular y por ello no contamos con las mismas garantías. Combatimos en una guerra que por un lado es muy similar a la Primera Guerra Mundial. Pero por otro lado adoptamos técnicas de guerrilla. Tenemos posiciones defensivas con trincheras y fortificaciones, y existen también pequeños grupos que realizan incursiones tras las líneas.
El mejor momento sin duda es poder ver a los civiles volviendo a sus casas que se encontraban en territorio enemigo, le hemos liberado pero sobretodo les hemos restituido un futuro. Esa sensación de felicidad es indescriptible.
Algunos de nosotros permanecemos en el regimiento, mientras otros viven en casas abandonadas a 300m de las líneas enemigas. Afortunadamente nuestra logística funciona muy bien y casi siempre recibimos comida y municiones. A diferencia de lo que se puede pensar el grueso de la actividad militar no recae en el combate sino en otras actividades como son las patrullas, guardias, logística… cosas por otro tanto absolutamente necesarias. Desde el punto de vista personal mi mayor dificultad se encuentra en la
La mayoría de la población civil nos considera héroes, pero nosotros no nos sentimos como tal. Obviamente que hay quien nos odia, pero se trata de una pequeña minoría que en todos casos respetamos. En este momento la guerra se encuentra en una fase estática, pero todos pensamos que antes de la llegada del frio invierno volveremos a combatir intensamente.
14- ¿Cuál es la relación con la población civil? ¿Cuál es su situación general a estas alturas de la guerra?
15¿Cómo te encuentras personalmente? ¿Has pensado en volverte? ¿Esperas repercusiones a tu vuelta?
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Se trata de una experiencia completa que afecta a todos los ámbitos de la vida privada. Estoy muy cansado pero también muy feliz. Estoy en el frente desde hace cuatro meses y nunca he ido a la retaguardia, nunca había estado tanto tiempo en un espacio tan limitado. Soy un poco prisionero de este lugar pero también un poco más libre que al principio.
volverse un lugar horrible. Pongamos todo de nuestra parte para que eso no ocurra. Julio Zamarrón/DISOPress
Todavía no sé cuándo volveré a casa, depende todo de cómo evolucione la situación. No creo que sufra ninguna consecuencia, no estoy cometiendo ningún delito aunque he salvaguardado mi anonimato. Si lo he hecho es porque no quiero que ningún ukro (trato despectivo a los nazis ucranianos) pueda tomar represalias 16- ¿Qué piensa tu familia? Cuando se enteraron, sufrieron un estado de shock: obviamente en estas circunstancias siempre existe el riesgo de poder morir y se trata de una situación impensable para la familia. Aún así respetan mi elección, pero les gustaría que me encontrará en casa con ellos. 17-¿Cómo ves la meses próximos?
evolución
en
los
No es fácil hacer previsiones, pero en gran parte prevemos que antes de la llegada del crudo invierno el conflicto reflejará una fase de alta intensidad. Nosotros continuaremos luchando y estando listos para todo. 18-¿Algo que añadir? Me gustaría hacer un llamamiento a todos los antifascistas internacionalistas del mundo: ¡Uníos a la InterUnit! Venid a luchar con nosotros por la libertad y el socialismo. No hace falta ser un héroe, solo hace falta voluntad y determinación. Si el fascismo consiguiese pasar el mundo podría 84
Golpes electorales: la injerencia extranjera es un fraude Detalles Publicado en Viernes, 11 Diciembre 2015 13:00 Categoría: Noticias externas Escrito por Stella Calloni
de Europa, en su mejor momento, hoy son parte de la red intervencionista de las ultraderechas, transformadas en el “ejército civil” de la Organización del Atlántico Norte (OTAN), que opera ilegal y criminalmente fuera del territorio que supuestamente debía defender y sin control de Naciones Unidas. Son estas Fundaciones las que están ahora detrás de lo que bien puede llamarse “Operación elecciones” o “golpes electorales”. Por una parte siembran dólares en oficinas políticas de diversos partidos de las llamadas “nuevas derechas”, identificables por su mediocridad y por la dependencia absoluta de la asesoría y el financiamiento externo.
Estamos asistiendo a un nuevo esquema de intervención en nuestros países, que bien podemos llamar “los golpes electorales” y como era previsible, los expertos en contrainsurgencia y guerra psicológica de Washington entendieron al fin, que a pesar de la gran ofensiva contra los gobiernos de América Latina, claves en Han logrado, como pocas veces, el proyecto de integración manejar los hilos de las estructuras emancipatoria, no lograban derrotarlos judiciales, que en cada uno de nuestros en ninguno de los procesos electorales. países juega su papel, fallando en favor Millones de dólares gastó Estados de los grandes poderes económicos y Unidos desde el golpe de Estado contra externos. El ejemplo de Honduras es el ya fallecido ex presidente de muy evidente. El golpe contra el Venezuela Hugo Chávez Frías, en abril presidente de Honduras no hubiera sido del 2002, que fue derrotado por el posible sin una justicia, cuya Corte pueblo venezolano en sólo 48 horas. En Suprema había sido nombrada por el Honduras (2009) y Paraguay(2012) parlamento de ese país, cooptado lograron su cometido, con un nuevo (comprado) por el inefable y eterno esquema golpista, pero fracasaron en el embajador del terrorismo imperial John mismo intento en Argentina, Bolivia, Negroponte, como se comprobó. Ecuador y varias veces más en De acuerdo a la Corte Suprema de Venezuela. Honduras en 2009 no hubo golpe de El dinero de Washington fue y es Estado, sino que se actuó en favor “de repartido por las centenares de la democracia” justamente a meses de Organización No Gubernamentales, una elección, donde no se iba a reelegir convertidas en verdaderos “grupos de el ex presidente Manuel Zelaya, pero tarea” de las ultraderechistas donde el pueblo hondureño podía votar Fundaciones de la Central de por un candidato que diera continuidad Inteligencia (CIA) creadas para a una gestión, que por primera vez supuestamente encubrir a esta actuaba en favor de los sectores más institución. pobres y olvidados. También algo También diversas Fundaciones similar ocurrió en Paraguay. europeas, surgidas en el marco del La red de Fundaciones,como la National “florecimiento” de la socialdemocracia Endowment Foundation(NED,) conocida 85
como Fundación para la Democracia, ( como debe ser en la concepción de EE.UU, es decir “democracia colonial), la Agencia Internacional para el Desarrollo(USAID) así como los Institutos Demócratas y Republicanos, entre otras, están activada en estos tiempos. Lograron tener una buena cantidad de representantes en nuestras estructuras judiciales, que nunca se democratizaron,y que fueron parte de toda la historia oscura y trágica de nuestra América. EE.UU ha creado una especie de nuevas “Escuelas de las Américas” para formar no sólo policías y militares, sino también los “nuevos juristas” que necesitan y a políticos jóvenes, sindicalistas y otros. Asimismo infiltraron a diversos movimientos, sociales, indigenista y políticos, sectores profesionales y empresariales, que estarán bajo su mando central y ejercerán la obediencia debida(y bien pagada)como ejércitos de otras guerras.
ética que actúan con absoluta impunidad y son parte esencial de “la guerra sucia”..
Además, el poder hegemónico controla la mayoría de los medios masivos de comunicación en el mundo y el 95 por ciento de la información está bajo ese control absoluto. A esos medios, que jamás han dejado su espacio abierto a la libertad de expresión de las mayorías, les gusta llamarse independientes, cuando en realidad son cada vez más dependientes del poder imperial, que intenta expandirse por todo el mundo.
En Argentina la guerra sucia contra los gobiernos de Néstor (2003-2007) y de Cristina de Kirchner(2007-2015) fue dirigida por el grupo mediático y monopólico del diario Clarín, a los que se agregan La Nación, y otros de menor circulación, pero tan nocivos como éstos. Cumplen a la perfección su función de “soldados de fortuna”, capaces de operaciones de inteligencia y tan criminales como las que se realizaron durante las dictaduras de la Seguridad Nacional en los años 70-80.
Los poderosos monopolios informativos, actúan hoy como la dirigencia intermedia entre el poder hegemónico y los partidos de oposición, como transmisores de las siempre renovadas estrategias de dominación y control.
Ante la imposibilidad de que las derechas del continente accedieran al gobierno mediante elecciones, los procesos electorales comenzaron a ser el eje de la desacreditación periodística, en la última década. Adelantos de posibles fraudes, que no se cumplieron, son ahora un mecanismo aplicado casi mecánicamente. La amenaza de fraude y la campaña sucia, sostenida por el financiamiento externo, estuvo en el escenario donde debió moverse la presidenta de Brasil, Dilma Rouseff en las elecciones que finalmente ganó en una segunda vuelta en octubre de 2014. Como no pudieron lograr derrotarla electoralmente, comenzó la campaña más corrosiva que recuerde Brasil, intentando llevarla a un juicio político y destituirla.
La mentira y el asesinato civil, moral y político de sus “enemigos internos” en este caso los gobiernos y pueblos que en América Latina cometieron el “crimen” de querer independizarse definitivamente, se convierten en un El control de los medios de arma indispensable para intentar comunicación les permite sustentar las terminar con los rebeldes del “patio mentiras, desacreditaciones, campañas trasero”.. de guerra sucia, con periodistas sin 86
Son esos mismos sectores, cómplices y “partícipes necesarios”, de la dictadura global económica que se impuso en los años 90 y que sumieron a una población estructuralmente empobrecida, condenándola a sumirse y desaparecer en los más extensos arrabales de pobreza sobre pobreza. Así como a lo largo del siglo XX nos impusieron dictaduras militares, porque teníamos la desafiante idea de resistir como podíamos, a fines de los años 80 y en los 90 nos impusieron la “dictadura neoliberal”, que en sus comienzos fue desafiada en Venezuela por aquel memorable “Caracazo” de febrero de 1989, con la rebelión popular ante las primeras medidas neoliberales que intentó imponer el entonces presidente Carlos Andrés Pérez, cuya represión entonces dejó más de mil muertos y centenares de heridos. El “caracazo” desperó a un pueblo olvidado en las falsas democracias que se sucedían en Venezuela y fue el relámpago que iluminó y despertó también al continente. Los pueblos empobrecidos a extremos asombrosos, por la destrucción de todos sus derechos además de las fuentes de trabajo convertidos en marginales absolutos.s en se lanzaron a las calles y carreteras de América Latina en una acción colectiva, sobre cuya creatividad aún no se ha escrito en profundidad, que derrotó en un país tras otro al “neoliberalismo” rampante.
en Argentina, fue clave para aquel “NO” contundente al más acabado proyecto de recolonización de Estados Unidos en nuestra región que fue el Area para el Libre Comercio de las Américas (ALCA). En noviembre de 2005 en Mar del Plata. Kirchner, como anfitrión de la Cumbre de las Américas en un memorable discurso dijo aquel NO, del Mercosur, nada menos que al presidente de Estados Unidos George W.Bush, en un hecho histórico en la región y en el mundo. No parece muy casual que una década después Washington intente cobrarse la humillación de aquel “No” y ataque con intensidad de golpe tras golpe a los tres países claves en ese proceso de integración. Millones de dólares se han invertido a través de las redes de ONGs, que están en cada rincón de nuestros países en una inversión destinada a la sucesión de golpes “blandos”, en los cuales el fraude ya no es potestad de los Estados, sino del poder hegemónico y económico. Sin olvidar las más de 49 bases militares y los establecimientos de apoyo a las mismas que han establecido a lo largo y ancho de Nuestra América.
La injerencia de un gobierno extranjero, en este caso de la mayor potencia imperialista del mundo, creando las coaliciones políticas opositoras, corrompiendo todo con millones de dólares, es el verdadero fraude que En esa lucha,, parieron a los nuevos puede imponerse en estos tiempos. gobiernos, que surgieron en el siglo Además del poder tecnológico, la XXI, como el de Hugo Chávez Frías, depredación cultural que logra la cabeza y alma de la integración propaganda mediática, facilita la emancipatoria que llegaría en 2011 a la cooptación de una población cautiva y creación de la Comunidad de naciones también la compra de votantes, Latinoamericanas y Caribeñas(CELAC). fiscales, políticos. La trilogía de Venezuela, bajo el En Argentina con la guerra mediática gobierno de Chávez, Brasil con Luis verdaderamente “terrorista” por su Inacio “Lula” da Silva y Néstor Kirchner 87
intento de aniquilar figuras mediante las armas de la manipulación, las acusaciones falsas, las mentiras, se ha impuesto un gobierno de ultraderecha, cuyo gabinete está integrado mayoritariamente por figuras que pertenecen a las Fundaciones de Estados Unidos, o a sus ONGs. Más aún. Muchos de ellos fueron parte de la pasada dictadura militar, especialmente en el sector económico-financiero y en el resto de los ministerios estratégicos, como si realmente hubiera sucedido un golpe de Estado. De manera que si bien pueden aducirse errores, en cualquiera de los países errores que en estos tiempos no podemos permitirnos , el factor clave en todos los casos, es que son víctimas de una guerra de Baja intensidad, que muchos consideraban como una nterpretación “conspirativa” de los más serios investigadores de la región. En este período de expansión global del imperio y sus asociados dependientes, perder la mirada estratégica sobre el plan de recolonización trazado por Estados Unidos sobre nuestros países, sólo puede llevar al autosucidio. En los países con gobiernos “insumisos” las derechas coloniales intentan una restauración conservadora y neoliberal que en realidad es directamente fascista o neofascista. Estamos bajo una invasión letal mediante la cual Estados Unidos está asumiendo el gobierno en las figuras de sus serviles figuras de plomo. Están tratando de
lograr el “control” absoluto de su “patio trasero” sin que se vea el antiguo esquema de golpe de Estado. Y si esto no se logra, no tendrían ninguna duda en invadirnos con mercenarios-que ya los tienen en forma paramilita en la región -y la gendarmería de la OTAN. No les va a ser fácil. En esta última década los pueblos recuperaron derechos en todo el continente. Tenemos el poder de la razón y de la justicia de nuestra causa y una historia de resistencia con gran poder de imaginación y creatividadcomo demostró y demuestra la heroica Cuba- , que la violencia brutal desconoce. América Latina está en pie ante un imperio decadente que se va desmoronado lentamente, junto a sus socios europeos, cuyos gobiernos entregaron a sus pueblos atados de pies y manos. La violencia brutal y genocida que están aplicando en el mundo, es un signo de su decadencia imperial y será su propia derrota. Nosotros seguimos siendo el continente de la resistencia, y aunque perder batallas, no es perderlo todo, no podemos seguir perdiendo una más: Se nos va la mayor esperanza de independencia y liberación que hemos construido y cada golpe que nos dan, significa volver a comenzarlo todo, lo cual en tiempos de un avance imperial de tal magnitud, es una peligrosa vuelta atrás cuando se está jugando la vida y el futuro de nuestros pueblos
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