Festival Musical de Namur 2009, programme concert Ausonia

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eurostar baroque lun 06 juillet 20h ĂŠglise de foy notre-dame dinant

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La Ville et la Province de Namur, partenaires du Festival Musical de Namur www.festivaldenamur.be 081 226 026 ou 070 22 88 88

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Festival Musical de Namur Denis Mathen Président, Patricia Wilenski Administratrice-déléguée, Jean-Marie Marchal Directeur Artistique, Jean Ghiste Trésorier, Laurent Cools Promotion Mesdames Suzanne Boonen-Moreau, Sylvaine Collin, Carine Debelle, Anne De Gand, Dominique De Spoelbergh, Anne Hallet, Anne-Marie Straus, Messieurs Bernard Anselme, Jean-Luc Balthazar, Guy Carpiaux, Laurent Collin, Patrick Colpé, Laurent Cools, Amand Dalem, Bernard Ducoffre, Jacques Etienne, Michel Gilbert, Philippe Hermal, Eric Lemmens, Charles Loiseau, Guy Maquet, Baudouin Muylle, Emmanuel Poiré, Bernard Poncelet, Jean-Marc Poncelet, Ali Serghini, Jean-Marc Van Espen, Administrateurs Le Festival Musical de Namur ouvre chaque année le Festival de Wallonie. Organisé par l’asbl Festival de Namur, il met à l’honneur les ensembles du Centre d’Art Vocal et de Musique ancienne ; les Agrémens et le Chœur de Chambre de Namur, l’un des meilleurs ensembles vocaux d’Europe. Le Festival Musical de Namur est coréalisé avec le Théâtre de Namur.

Le FmN est soutenu par N.E.W. Contact Jean-Marie Marchal, Centre d’Art Vocal et de Musique Ancienne Avenue Jean 1er, 2 B – 5000 Namur T +32 (0)81 711 500 F +32 (0)81 742 194 www.cavema.be

Le Festival de Wallonie, membre de l’Association Européenne des Festivals. Sous le Haut Patronage de sa Majesté la Reine Fabiola Avec l’aide du Ministère de la Communauté française (Direction générale de la Culture, service de la Musique), de Wallonie-Bruxelles International, du Parlement de la Communauté française, de la Présidence du Gouvernement wallon, du Commissariat général au Tourisme de la Région wallonne et de la Région Bruxelles-Capitale Avec le soutien de la Loterie Nationale, de la Banque Nationale, de la Société Régionale d’Investissement de Wallonie Avec l’appui de Musiq3, Le Soir, Bank Card Company Avec Electrabel/Groupe GDF SUEZ, Peugeot, Distrigas, partenaires structurels Avec BASF, Cera, Coca-Cola, Dexia, Ethias, EVS Broadcast Equipment, GlaxoSmithKline Biologicals, Lhoist Group, SNCB, UCM, partenaires de concerts Avec ArcelorMittal, CMI Group, Herstal Group, Magotteaux International, Techspace Aero, — Institut du Patrimoine Wallon, amis du Festival

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Eurostar Baroque Lun 06 Juillet 20h Eglise de Foy Notre-Dame (Dinant)

eurostar baroque Programme

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Londres-Paris 1650-1690 Frenzied Counterpoint, Dance and Poetic Follies — Louis Couperin Carillons Les Carillons de Paris, à 4

Courante Ayre Saraband — Brulard Branle Gay Branle à Mener Branle Double

— Matthew Locke Fantazie in F, the first part

— Anon Allemande Cromatique

— Louis Couperin Simphonie, à 3 Chaconne en ré

— Henry Purcell Sonnata IX of III Parts Sonnata Largo Canzona Adagio Allegro

— Henry Purcell Sonnata I of III Parts Sonnata Vivace Adagio Presto Largo — François Roberday Fugue 6me — Louis Couperin Canaries — Jean-Baptiste Lully Ballet du Roy dansé à Fontainebleau, 1664 Médecins et chirurgiens Les Thébins Les Mêmes

— J. H. d’Anglebert Passacaille — Henry Purcell Chaconne Ausonia Mira Glodeanu, violon Bénédicte Pernet, violon Catherin Ambach, haute-contre de violon James Munro, basse de violon Frédérick Haas, clavecin et direction

— Louis Couperin Fantaisie du IVe Ton, à Paris, le 4 juillet 1653 — J. C. de Chambonnières Gaillarde — Matthew Locke The Consort of Four Parts : Suite No 5 in G minor Fantazie 5


eurostar baroque

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Presque à toutes les époques de l’histoire des arts et des idées, le sérieux et l’amusant sont placés en opposition. La vocation première de l’art est sans doute de divertir, sa vocation finale d’élever : à cela pourraient se ramener les termes du paradoxe. Or si l’art qui n’est qu’amusant manque inévitablement de consistance, l’art qui n’est que sérieux est inévitablement lourd et froid : le dénominateur commun de ces deux extrêmes inaboutis serait l’ennui. Ennui des divertissements sans développement, sans structure et sans forme, dont le foisonnement d’abord séduisant tourne bientôt à vide, ennui des formes soignées pour ellesmêmes dans le souci tout abstrait d’élaborer des architectures que l’on n’imagine peutêtre même pas devoir être communicatives. Mais au dix-septième siècle, l’ennui est une faute grave, peut-être la plus grave de toutes. Elle est la faute de goût la plus totale, la plus inacceptable – et du reste on pourrait dire qu’une absence de goût revient à de l’ennui absolu. Le milieu du dix-septième siècle est une époque particulièrement fascinante, puisque c’est un moment où les techniques d’écriture musicale changent de façon très importante, donnant lieu à une période de recherche et d’entre-deux extrêmement vivante. Les anciennes manières y ont toujours cours, alors même qu’on découvre avec passion de nouveaux goûts. L’art le plus vigoureux côtoie le plus apparemment frivole, à cette époque où l’amour sacré ressemble tant à de l’amour profane, la louange divine à la pompe royale – et ce sont bien souvent les mêmes musiciens qui servent à l’église et à la chambre : au hasard des occasions, des fonctions attribuées. La forme change, mais le fondement demeure, superbement commun, de ces pièces spéculatives toujours ludiques, et de ces pièces

de divertissement jamais vulgaires – bien plus tard seulement les froids commentaires d’école feront de la pensée de Descartes, toujours inventive et en mouvement le référent plat de leurs spéculations figées, et de l’ivresse des romanciers dits précieux tentant par tous les moyens possibles de sonder et de comprendre les sinuosités du cœur humain ou de la vie de l’âme un mauvais exemple, pratique, et à ne pas suivre, de décadence méprisable et oisive. On ne comprendra alors plus non plus le génie flamboyant et grave de la musique française régénérée par l’italien Lully. Mais la réalité est bien plus mêlée et plus riche, à cette époque qui cherche, qui trouve, et qui n’exclut pas. Qu’est-ce qu’une manière, sinon une technique ? Pour un musicien, la technique, c’est le développement. Au début du XVIIe siècle, trois réponses étaient données : le contrepoint, qui permet des formes longues, mais touffues (voir ici les fugues et fantaisies), la variation, qui permet des formes longues mais répétitives (ou obsessionnelles, si le compositeur le peut : voir ici les chaconnes, passacaille, carillons), le développement rhétorique, d’introduction plus récente, associé souvent à des structures chorégraphiques, où la fantaisie du compositeur se déploie en suivant les aspérités d’un texte, imaginaire ou non, dans des formes courtes, mais chatoyantes et aérées. Au milieu du XVIIe siècle, de nouvelles techniques arrivent d’Italie, pays d’architectes qui inventent un traitement de la musique en éléments associant une figure mélodique et une caractéristique rythmique, agencés en séquences : de nouveaux développements sont possibles, de formes longues mais aérées, unitaires mais variées. Ce style italien, d’essence fondamentalement instrumentale, a été spontanément associé à la famille des violons : 7


puisque la netteté des violons et leur étendue, leur accord favorable aux grands intervalles rapides, ont été les parfaits vecteurs de ses nouveautés. Le recueil des pièces pour le violon à quatre parties de différents autheurs, publié par Ballard à Paris en 1665, avec les branles de Brulard, l’allemande chromatique anonyme, et les extraits du ballet du Roy dansé à Fontainebleau de Lully, est donc un document particulièrement intéressant, puisqu’il témoigne d’une première étape de la complémentarité des goûts français et italien à l’époque baroque – complémentarité, et non opposition, tant il est vrai que les deux manières sont fondamentalement compatibles : génie architectural italien, d’une part, maître du développement des structures, et sensibilité poétique française d’autre part, qui innerve la linéarité du discours musical de sa conscience rhétorique aux subtilités sans précédent. Si querelle il y eut, elle n’est peut-être qu’un signe de plus de l’intensité des liens vitaux unissant à cette époque les arts de deux nations occupées en fait à des aspects distincts de la même question, rendant ainsi possible d’avance le concept fameux des goûts réunis. La saveur de toutes sortes de péripéties politiques a offert une vaste toile de fond où parler des relations de la France et de l’Italie au XVIIe siècle. Il est beaucoup moins souvent question de la France et de l’Angleterre de ce temps, dont pourtant les couronnes se sont alors trouvées liées de nœuds puissants et vénéneux. Mais puisque les sensibilités nous intéressent ici, il est passionnant de mettre en miroir deux pays de grands poètes et de grands musiciens : deux pays où les grands musiciens sont poètes. Nous y trouvons des moyens d’écriture très semblables : en particulier dans le 8

traitement des dissonances, qui sont le sel de la musique et la marque des grandes écritures ; prolongées en résonances, ou placées en gestes rhétoriques vers le haut, sur les parties faibles des temps, et multipliées sous tous les prétextes que peuvent autoriser les jeux de l’ancien contrepoint, elles innervent toutes les textures de la musique de leur présence radiante. Ainsi des sonates de Matthew Locke, où dialoguent la danse et la polyphonie, tellement intéressantes à entendre entre l’allemande chromatique du recueil de Balard, par exemple, et une fantaisie de Louis Couperin (le grand Louis Couperin, surtout connu aujourd’hui pour ses magnifiques pièces de clavecin, l’est un peu moins pour ses pièces d’orgue, malheureusement si peu accessibles. Titon du Tillet, dans son fameux article sur la famille Couperin nous le décrit comme violoniste et compositeur : telle a été la première image qui en a été donnée à la postérité). Vers 1660, les Anglais, qui aimaient tant le monde des violes, écrivaient des consorts pour les violons. Vingt ans plus tard, vingt ans après Louis Couperin, Brulard et Roberday, Henry Purcell porte les spéculations merveilleuses de l’ancien art du contrepoint, qui a survécu dans l’île britannique à peine dégelée des années du Commonwealth, à un point d’accomplissement fascinant et paradoxal : Purcell, qui a entendu à Londres Cadmus et Hermione, et a si bien su s’inspirer des œuvres de Lully comme des nouveautés venues d’Italie, laisse s’épanouir l’espace d’un instant une fusion riche de la plus grande des tensions émotionnelles, en concentrant à la façon d’un phénomène optique remarquable l’ensemble des faisceaux qu’il nous permet de mieux goûter. Musique à danser, musique à divertir, musique pour prier, pour rêver, pour jouer, pour


faire sonner ou pour se taire : nous avons cherché ici à la manière des anciens ballets à faire entrer la musique sous différents éclairages qui pourront manifester son relief, ses couleurs, et – nous l’espérons – sa vie. Frédérick Haas

Ausonia Ausonia est un ensemble d’instrumentistes et de chanteurs fondé et dirigé par Frédérick Haas et Mira Glodeanu, attaché à faire vivre la musique des dix-septième et dix-huitième siècle à travers une pratique exigeante des techniques anciennes d’interprétation, et une recherche constante des possibilités d’expression contenues dans cette musique. Les recherches d’Ausonia autour de François Francoeur ont permis de découvrir l’intensité poétique inattendue d’un compositeur très oublié. En 2002, enregistrement de sonates de violon (Calliope) « le style exubérant de Mira Glodeanu n’est jamais contraire à l’esprit des œuvres et de leur époque. Quant au soutien prolixe de l’ensemble Ausonia, il est tout simplement magnifique » (Diapason). En 2004, enregistrement de sonates et d’airs extraits d’opéras (Alpha) « Le « musicien facile et gracieux » de Louis XV est entre de bonnes mains » (Diapason). En 2007, production de Zélindor divertissement en un acte au Centre de musique baroque de Versailles. (Enregistrement live dans le coffret anniversaire des vingt ans du CMBV) « Zélindor, roi des Silphes a stupéfié par sa densité dramatique et sonore, impeccablement rendue par Ausonia et une exemplaire équipe de solistes » (La lettre du musicien). « Il est vrai que la réalisation

musicale est de premier ordre. Ausonia bénéficie d’atouts majeurs : sonorité d’une rare densité ; couleurs profondes ; homogénéité telle que, sans forçage aucun, les dix instrumentistes sonnent comme vingt. La partition, pourtant riche, est saisie dans toutes ses dimensions. » (Opéra magazine). En 2004, à la demande de musique en Wallonie, enregistrement de cantates de ThomasLouis Bourgeois avec la soprano Isabelle Desrochers. « Avec son sens approfondi, mais jamais exagéré, de l’expression rhétorique et de la théâtralité, Isabelle Desrochers présente avantageusement ces œuvres. Ausonia se montre un ensemble attentif et solide, aussi à l’aise dans l’accompagnement que dans les symphonies instrumentales » (le Monde de la Musique). « Isabelle Desrochers singt sehr schön, spielt den dramatischen Charakter dieser Kantaten aus, ohne zu übertreiben. Die Instrumentalisten lassen keine Wünsche offen. » (Toccata) La création de programmes originaux produits en petite formation d’interprètes choisis a mis en évidence la puissance troublante de la musique de Jean Philippe Rameau indépendamment des complications de la scène. En 2003, de Platée à Dardanus, (festivals d’Ambronay et Pontoise, Printemps baroque du Sablon, Festival de Wallonie). En 2005, Feste et orages, de Rameau à Lully (ouverture des festivals Jean de La Fontaine, Brezice et Zagreb baroque). En 2006, Zoroastre et Zaïs, au Centre de musique baroque de Versailles et aux Journées musicales d’automne de Souvigny et au festival Are More de Vigo. Ce programme a été enregistré pour les éditions Alpha en juillet 2008. En 2008, ouverture du festival d’Arquesla-Bataille : grands motets de Lully, petits 9


motets de Charpentier, pièces d’orgue de Grigny, avec le chœur de chambre de Rouen, sous la direction de Frédérick Haas. Pour la partie la plus ancienne de son répertoire, Ausonia poursuit des recherches en matière d’instruments : clavecin cordé en boyau, violon polonais et violone italien du dix-septième siècle, lirone, etc. En 2006-2007, production du Rosaire de Heinrich Biber dans un programme en trois volets réunissant des œuvres vocales et instrumentales du 17e siècle et des interventions de Masato Matsuura, maître du théâtre Nô (Festival baroque de Pontoise, festivals de Spa, Ambronay, Lanvellec, Concerts Parisiens, festival Montréal Baroque…). « Les virtuoses d’Ausonia proposent en trois concerts une intégrale des Sonates du Rosaire, avec la participation absolument fascinante du danseur Nô Masato Matsuura. Le violon de Mira Glodeanu est ce qu’il y a de mieux dans le concert à l’ancienne, tout à fait à la hauteur de ce vertigineux parcours spirituel. » (Cadences). Ausonia s’est produit au Centre de musique baroque de Versailles, aux festival d’Ambronay, festival baroque de Pontoise, Printemps des Arts de Nantes, Printemps baroque du Sablon, Festival de Wallonie, Semaines Musicales de Quimper, Festivals de Souvigny, Lanvellec, Arques-la-Bataille, Deauville, Catalogne Romane, Callas, Spa, Baarn, Abbaye du Relec, Abbaye d’Aulne, St Petersburg international early Music Festival, festival Jean de La Fontaine, Festival Brezice (Ljubljana), festival baroque de Zagreb, festival Montréal Baroque… Ausonia reçoit le soutien de la Communauté française de Belgique.

Frédérick Haas Passionné dès l’enfance par le clavecin, Frédérick Haas en commence la pratique à l’âge de douze ans, après des débuts classiques de clavier. Il étudie auprès de plusieurs professeurs, et reçoit des diplômes de soliste au Sweelinck Conservatorium d’Amsterdam et au Conservatoire Royal de Bruxelles, ainsi qu’une licence de musicologie à la Sorbonne. Il se forme lors de master classes pendant lesquelles il recueille les conseils de nombreux maîtres, et étudie l’orgue avec André Isoir. Fréquentant assidûment les ateliers de facteurs, il apprend à connaître le clavecin en profondeur, et à travers l’art de l’accord et des réglages, à en exploiter tout le potentiel sonore. Il entre très tôt en contact avec des instruments originaux comptant parmi les plus beaux, dont la fréquentation régulière lui permet de développer un idéal sonore très riche et d’apporter une contribution décisive à la redécouverte des possibilités expressives du clavecin. Frédérick Haas se produit en soliste, ou à la tête de l’ensemble Ausonia, pour lequel il conçoit des programmes originaux (Centre de musique baroque de Versailles, Festival d’Ambronay, Festival baroque de Pontoise, Bozar Music Bruxelles, Concertgebouw d’Amsterdam, Académies Musicales de Saintes, Castello Sforzesco di Milano, Château d’Assas, Festival Bach de Bucarest, Concerts parisiens, Printemps des Arts de Nantes, Festival Brezice Ljubljana, International early music Festival Saint Petersbourg, Montréal Baroque, Académie Bach d’Arques-la-Bataille... ) Il a enregistré pour les éditions Calliope un disque consacré aux Suites de J. H. d’Anglebert : « Peut-on imaginer plus vibrant

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accord entre l’œuvre et l’interprète ? Pas une seconde d’ennui ou de monotonie à l’écoute de ce disque qui est une incontestable réussite. » (Diapason), une intégrale de l’oeuvre pour clavecin de J. Ph. Rameau : « Haas, whose complete Rameau is a spectacular achievement » (Gramophone), des Suites Anglaises de J. S. Bach : « Bach nous apparaît épuré, facile, sans contrainte et tellement réinventé ! » (Classica), et un programme de 21 Sonates de D. Scarlatti. « Une fois de plus, Frédérick Haas apporte un éclairage essentiel au répertoire qu’il touche, et nous livre un disque fascinant, aussi mûrement pensé qu’imaginatif. » (Piano Magazine), « This is a stunning recording. » (Gramophone), « Fulgurance, souplesse et carrure, voici les trois mots qui caractérisent cette interprétation haut de gamme ! » (Répertoire). En 2007, parution aux éditions d’Ambronay de l’intégrale des six sonates pour violon et clavecin obligé de J. S. Bach, avec Mira Glodeanu. « They both play with captivating confidence, flexibility and maturity of insight. A triumph » (Goldberg). « Une nouvelle référence à retenir » (ResMusica. com). Enregistrement d’une série de quatre disques Couperin pour les éditions Alpha en septembre 2007, dont la première partie paraîtra en novembre 2008 « Ainsi pensés et joués, ces cinq Ordres exaltent la puissance, au-delà du traditionnel style baroque français de « François le Grand ». Ils transcendent l’instrument » (Le Monde de la musique). Frédérick Haas est professeur de clavecin au Conservatoire Royal de Bruxelles. Il enseigne régulièrement en master classes : en Allemagne, Italie, France, Angleterre, Belgique ou Roumanie.

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Prochainement

Festival musical de namur 2009 Vous trouverez le programme détaillé des prochains concerts à l’entrée de cette salle. www.festivaldenamur.be Accueil et restauration

Le salon de Mr Haydn II le 7 juillet 12h Maison des Mariages (Citadelle)

Pour les concerts à Saint-Loup, un bar sera ouvert dans la Cour de l’Athénée. Il sera tenu et animé par des bénévoles amis du festival. Le bar du festival sera le lieu de ralliement des artistes La billetterie sera située également dans la Cour de l’Athénée.

The Elfin Knight le 7 juillet 20h Eglise Saint-Loup

Te Deum & Dixit Dominus le 8 juillet 20h Eglise Saint-Loup

Alte Musik Köln le 9 juillet 12h Palais Provincial 12

Pour les concerts au Théâtre Royal, le Foyer vous accueille dès 19h. Le chemin de Cèdre restaurant, situé dans la Cour Saint-Loup, vous ouvre ses salles et son jardin. Il propose avant ou après le concert une carte variée à des prix très attractifs. Réservez votre table de la part du Festival Musical de Namur. www.lechemindecedre.be 081 26 25 15


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