“Ma rue est bourrée de vices. À chacun ses délices, à chacun sa 8.6” (Doc Gyneco).
Je vous parle d’un temps que les moins de 40 ans ne peuvent pas connaître : C'était bien avant l’uniformisation de la jeunesse et le va-tout yeezy/slim/suprême,.
La street n'était pas encore un refrain de chanson et les jeunes, croisés aux débords de ruelles délabrées, s'habillaient en fonction de leurs affinités musicales, leurs convictions et leurs fréquentations. Les fringues représentaient une carte d'identité délivrée par le ministère de la contre-culture.