© Mohamed Yamani
« MOMO ou l’étrange histoire des voleurs de temps et de la jeune enfant qui rendit aux gens le temps volé. » Spectacle fam ille & Théâtre m usical 02.07 > 27.10
DOSSIER DE PRESSE
SOMMAIRE 1. COMMUNIQUE DE PRESSE
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2. LE LIVRE & L’HISTOIRE
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LE LIVRE
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L’HISTOIRE
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QUAND LES ENFANTS RENVERSENT LE COURS DU MONDE
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3. BIOGRAPHIES
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LES ENFANTS, chanteurs, danseurs et acteurs
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PATRICK LETERME, direction artistique et création
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LIONEL COUCHARD, ténor
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CHRIS DE MOOR, baryton
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LEANDRO LOPEZ GARCIA, baryton
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NICOLAS STEVENS, arrangements musicaux, violon, claviers
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GAEL BROS, costumes
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MATTEO GHEZA, chorégraphe
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4. DISTRIBUTION
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5. EN TOURNEE
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6. REMERCIEMENTS & PARTENAIRES
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Les Festivals de Wallonie « MOMO »
1. COMMUNIQUE DE PRESSE Après « Okilélé » (2015) et « Yôkaï » (2016), Les Festivals de Wallonie confient une nouvelle fois la création et la direction artistique de leur production plus spécialement destinée au jeune public à Patrick Leterme. Depuis 2009, Les Festivals de Wallonie s’attachent à produire chaque été un spectacle d’opéra ou de théâtre musical à l’attention des familles. Ces rendez-vous sont l’opportunité pour une bonne part du public de découvrir souvent pour la toute première fois l’univers de la musique classique et du spectacle vivant. Amenées à tourner tout l’été et l’automne, ces productions réunissent chaque année plus de 3500 spectateurs. L’une de leurs particularités a souvent été de placer sur la scène des enfants et des jeunes, sélectionnés sur base d’auditions, dont le professionnalisme n’a eu de cesse de s’accroître au fil des dernières années. « Momo ou l’étrange histoire des voleurs de temps et de la jeune enfant qui rendit aux gens le temps volé », la création 2017 des Festivals de Wallonie, ne manquera pas à cette règle puisqu’elle réunira sur le plateau pas moins de 13 musiciens, autant de jeunes choristes et danseurs de 10 à 14 ans, et trois solistes de la scène lyrique : Chris De Moor, Lionel Couchard et Leandro Garcia Lopez. À la tête de cette enthousiaste petite bande, l’inépuisable, polyvalent et toujours surprenant Patrick Leterme, qui signe à la fois le livret, les paroles des chansons et la partition de ce spectacle entièrement original. Adapté d’un best-seller de la littérature jeunesse en Allemagne (son auteur, Michael Ende - plus connu sous nos contrées pour être également l’auteur de L’Histoire sans fin - a obtenu pour ce roman le Prix allemand et européen de la Littérature Jeunesse en 1973), « Momo » apparaît comme un conte initiatique et philosophique qui touche par sa générosité, son humanité… et son étonnante actualité. L’histoire est celle d’une petite fille issue de nulle part, plongée au cœur d’une cité dont le quotidien des habitants va se trouver chamboulé sous l’impulsion de mystérieux Messieurs Gris. Travailler toujours davantage, rentabiliser son temps au maximum, économiser les moments inutiles… tel devient le mantra de ces adultes soudainement obnubilés par cette course éperdue à la productivité, quel qu’en soit le prix à payer, quitte à abandonner leurs enfants à leur propre sort… Mais s’il y a bien une chose que Momo sait faire mieux que quiconque, c’est écouter, et cette petite fille délivrée de toute attache matérielle, contre laquelle les Messieurs Gris n’ont aucune prise, aura tôt fait de découvrir qu’elle a la capacité de changer le cours des choses et du monde qui l’entoure. Dépassant un propos anti-capitaliste qui aurait pu être réducteur, « Momo » propose une très belle réflexion sur le temps et sur sa relativité et en ce sens, s’adresse tout autant aux adultes qu’aux enfants à partir de 8 ans auxquels l’équipe créatrice du spectacle le destine plus particulièrement. Patrick Leterme fédère autour de lui une belle palette de talents, s’associe l’énergie d’un tout jeune (à peine 18 ans !) chorégraphe aux inspirations urbaines (Matteo Gheza) et profite des expériences acquises par Nicolas Stevens sur les scènes pop partagées aux côtés d’Alice On The Roof (dont il est le claviériste) pour offrir un son un peu plus électro à ses compositions. À l’instar des précédentes productions, la création des costumes et une nouvelle fois confiée à Gaël Bros (Atelier Natan).
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2. LE LIVRE & L’HISTOIRE •
LE LIVRE
Michael Ende commence en 1966 l’écriture du livre « Momo - oder Die seltsame Geschichte von den Zeit-Dieben und von dem Kind, das den Menschen die gestohlene Zeit zurückbrachte » (« Momo – ou l’étrange histoire des voleurs de temps et de l’enfant qui ramena aux hommes le temps volé »). Il sera publié en 1973 et recevra dans la foulée le prix allemand et le prix européen de la Littérature Jeunesse en Allemagne. « Momo » a été écrit en Italie (à Genzano), et Michael Ende affirme qu’il est un témoignage de gratitude autant qu’une déclaration d’amour à ce pays. Six ans plus tard, il publiera son ouvrage le plus célèbre : Die unendliche Geschichte (L’Histoire sans fin).
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L’HISTOIRE
Momo est une petite fille sans âge, sans parents, venue d’on ne sait où. Elle a trouvé refuge dans un amphithéâtre en ruine et vit dans un petit réduit que ses amis ont aménagé pour elle. - Tu dis que tu t’appelles Momo, c’est ça ? - Oui. - C’est un joli nom, je ne l’avais encore jamais entendu. Qui te l’a donné ? - Moi, dit Momo. - Tu t’es toi-même donné ce nom ? - Oui. - Quand es-tu née ? Momo réfléchit. - Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours été là. Tous les gens simples et pauvres qui vivent dans le quartier où est situé l’amphithéâtre aiment Momo. Quand ils viennent chez elle pour lui raconter leurs problèmes, ils repartent soulagés : ils ont trouvé solution à leurs problèmes et pourtant Momo ne fait rien d’autre que de les écouter. D’anciennes disputes et malentendus se résolvent comme par miracle. Les enfants viennent volontiers pour jouer dans l’amphithéâtre et il suffit qu’elle les regarde pour qu’ils soient inspirés et qu’ils imaginent plein d’histoires et de jeux. Momo s’est fait de nombreux amis : les enfants mais surtout Beppo, un balayeur doux, lent et philosophe et Gigi, un guide touristique extraverti et joyeux. Momo offre aux gens de son temps, ce qui les rend heureux et inventifs. Mais le quotidien de Momo et de ses amis est menacé lorsque d'étranges Messieurs Gris commencent à apparaître régulièrement dans la ville, toujours accompagnés de courants d'air froid et d'une insupportable odeur de cigare. Ils sont les représentants de la Banque de sauvegarde du Temps : ils proposent aux habitants de la ville de déposer une partie de leur temps à la Banque, qui le leur rendra plus tard avec des intérêts. Les gens à qui ils parlent oublient tout des Hommes en gris, mais gardent en tête la consigne d'épargner autant de temps que possible.
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La vie en ville est peu à peu transformée par ce nouvel état d'esprit : toutes les activités considérées comme des pertes de temps, par exemple les loisirs, les arts, la vie sociale ou le sommeil, sont abandonnées ou réduites autant que possible, les bâtiments et les objets sont tous produits à l'identique afin de gagner du temps, et le rythme du quotidien atteint progressivement une cadence infernale. En fait, les habitants ne profitent finalement jamais du temps qu'ils épargnent. Ce temps reste indéfiniment enfermé à la Banque, où il est concrétisé par des fleurs horaires ; Les Messieurs Gris utilisent ces pétales pour se confectionner des cigares qu'ils fument, et le temps ainsi consumé est perdu. Par leur innocence et leur capacité à prendre le temps pour des activités gratuites, les enfants en général et Momo en particulier échappent aux manœuvres des Messieurs Gris. Mais Momo voit tous ses jeunes amis tomber les uns après les autres sous leur influence, notamment par l’intermédiaire de leurs parents qui n’ont plus le temps, et se retrouve seule face à ses ennemis. “Les parents n’y sont pour rien”, disaient certains, “ la vie moderne ne leur laisse pas le temps de s’occuper des enfants convenablement. C’est à la municipalité de s’en charger. Il faut créer des institutions qui fassent d’eux des membres de la société, utiles et performants.” “Au lieu de préparer nos enfants au monde de demain, nous les laissons gaspiller des années de temps précieux en jeux qui ne servent à rien. C’est une honte pour notre civilisation et un crime contre l’humanité future !” En cherchant un moyen de sauver la ville, la petite fille entend parler du mystérieux Maître du Temps, Secundus Minutus Hora, et de la tortue Cassiopée, qui est capable de voir une demi-heure dans le futur. Ensemble, ils réussiront à vaincre les Messieurs Gris, une prouesse qui ne sera possible que grâce au pouvoir de Maître Hora d’arrêter brièvement le temps.
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QUAND LES ENFANTS RENVERSENT LE COURS DU MONDE
A la fin des années 60, Michael Ende dénonce déjà les excès du capitalisme : Obsédés par la rentabilité, les Messieurs Gris sont l’incarnation de la devise « time is money ». La vie doit être fonctionnelle et mise au service d’un large système, qui exige plus et plus vite, si bien que l’empressement devient la norme. Ce système ne redistribue absolument pas le temps économisé de façon équitable : les hommes se dépêchent pour économiser, mais les Messieurs Gris l’entassent et en consomment une partie. Les fleurs horaires partent en fumée à travers leurs cigares, tandis que les habitants auxquels ils arrachent le temps économisé ne voient pas la récompense de leurs efforts. L’amour des autres, l’écoute, la créativité, la poésie, la philosophie sont inconnus aux Messieurs Gris. Trop empressés pour réfléchir à ce qu’ils font, ils n’ont aucun recul par rapport au but qu’ils poursuivent. « Voilà, dit le Monsieur Gris avec son mince sourire. Mais dans quelques jours, on recommence à s’ennuyer! Dans ce cas, il faut encore plus d’affaires. Voici par exemple, un petit sac à main en peau
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de serpent. Voici un petit appareil photo. Une raquette de tennis. Une télévision de poupée qui fonctionne pour de vrai. Un bracelet, un collier, des boucles d’oreilles, un revolver, des bas de soie, un chapeau à plume, un chapeau de paille, un chapeau de printemps, des mini-clubs de golf, un petit carnet de chèques, des flacons de parfum, des sels de bain, du déodorant. Faisant une pause, il observa Momo qui avait l’air paralysée, assise au milieu de tout ce bazar. - Tu vois, reprit le Monsieur Gris, c’est très simple. Il en faut toujours plus, comme ça on ne s’ennuie jamais. » L’avidité des Messieurs Gris est un puits sans fond : ils sont lancés dans une course à la « solution finale » où tout le temps de tous les hommes leur appartiendrait. En fait, leur soif de possession est insatiable : ils correspondent aux « 1% » qui, de nos jours, détiennent 50% des richesses du monde, sans pour autant avoir le sentiment d’avoir atteint une limite. Loin des adultes, de leurs monnaies et de leurs ambitions, Momo se distingue par la chose qui devient la plus précieuse au monde : sa capacité à écouter les autres. La faculté d’empathie dépasse toutes les autres valeurs. Face aux Messieurs Gris et à leurs victimes adultes, les enfants semblent être les seuls qui refusent de céder leur temps, de le rendre systématiquement « utile ». Ils jouent gratuitement, sans chercher à donner à leurs jeux un but fonctionnel. Momo, plus encore que les autres, est l’enfant sur laquelle les Messieurs Gris ne parviennent à avoir aucune prise. Dans « Momo », ce sont les enfants, par leur nature même, qui donnent une leçon de vie aux adultes pressés.
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3. BIOGRAPHIES LES ENFANTS, chanteurs, danseurs et acteurs Tessa Balzano, Clara Barlow, Aïssatou Barry, Manuel Bros Vasquez, Boyan Delattre, Kloé Habazaj, Louka Humblet, Léa Jospa, Alyssia Lemaire, Eloïse Pierre, Julius Proost, Loïse Quertinmont et Nour Verkindere. Les Festivals de Wallonie ont auditionné une cinquantaine d'enfants et en a retenu 13 qui forment le choeur interprétant l'opéra de Patrick Leterme. Parmi ceux-ci se trouve la petite fille qui interprète Momo. Ces enfants, âgés de 10 à 15 ans, ont travaillé avec énormément de motivation pendant leurs vacances et tous les dimanches des mois de mai et juin. Ils sont présents sur scène du début à la fin du spectacle et sont solistes, acteurs, danseurs et choristes en alternance pendant toute la tournée.
PATRICK LETERME, direction artistique et création Patrick Leterme travaille en tant que directeur musical, pianiste, chef de chant, compositeur et homme de médias. Après avoir achevé une Licence en piano d’accompagnement avec Grande Distinction au Conservatoire Royal de Liège, il effectue à la Musikhochschule de Cologne un Zusatzstudium (Post- Graduate Master) en Liedbegleitung (Accompagnement de mélodie) dans la classe de Jürgen Glauss. Il travaille régulièrement dans les différentes maisons d’opéra belges. Il est sollicité par l’Opéra des Flandres, le Théâtre Royal de la Monnaie... De 2008 à 2013, il est coach vocal à l’Opéra Studio des Flandres et enseigne à partir de septembre 2014 dans le département
vocal
de l’IMEP (Namur) en tant que coach
vocal et professeur d’accompagnement. Patrick Leterme assume depuis 2011 la direction musicale de différentes productions de la compagnie Ars Lyrica et du Palais des Beaux-Arts de Charleroi, la dernière en date étant le spectacle « Un Violon sur le Toit », qui tournera à travers la Belgique et dans de nombreuses maisons d’opéra françaises jusque fin 2017. Il assume également la codirection artistique de cette production, en plus de sa fonction de directeur musical, ce qui l’amène à diriger à l’Opéra Royal de Wallonie (Liège), à l’Opéra de Reims, au Palais des Festivals de Cannes, à l’Opéra d’Avignon... Durant l’été 2014, pour Les Festivals de Wallonie, il dirige « Brundibár », opéra pour enfants de Hans Krása, spectacle repris en 2015 en Pologne et en France. En 2015, il compose l’opéra pour enfants «Okilélé» sur base d’un livre de Claude Ponti. Le spectacle, produit par Les Festivals de Wallonie et rassemblant 16 enfants et un orchestre de chambre, est joué à travers de nombreuses salles belges (Flagey, Opéra de Liège…). En 2016, toujours pour Les Festivals de Wallonie, il assure
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la direction artistique du spectacle « Yôkai! », inspiré de l’univers des mangas de Shigeru Mizuki et de la musique traditionnelle japonaise. Parallèlement à ses activités de musicien, Patrick Leterme travaille à la RTBF (télévision / radio francophone belge) en radio (Musiq’3) et en télévision. Il conçoit et écrit également (en coproduction avec France Musique, Radio Canada et la Radio de la Suisse Romande) les capsules vidéo « Je Sais Pas Vous » (JSPV), dans lesquelles il vulgarise la musique classique de façon moderne et décalée avec la complicité du graphiste Etienne Duval. Il participe à l’écriture et assure la présentation de la série « Sensations », réalisée en coproduction avec l’Orchestre Philharmonique Royal de Liège. Il coprésente d’autre part en télévision les soirées de finale du Concours Musical International Reine Elisabeth (CMIREB).
LIONEL COUCHARD, ténor Lionel Couchard débute ses études musicales par l’apprentissage du piano. Bercé dès son enfance par les mélodies de jazz chantées par sa mère, ce n’est que tardivement qu’il s’intéresse au chant et découvre le chant lyrique à l’académie de Watermael-Boitsfort. Après des études universitaires, il décide en 2012 de poursuivre son apprentissage du chant lyrique au Conservatoire Royal de Bruxelles et entre dans la classe de Mme Christine Solhosse. En 2013, il fait ses premiers pas sur la scène lyrique de l’Opéra Royal de Wallonie dans « L’Enfant et les Sortilèges » de Maurice Ravel. Il endosse ensuite un premier rôle dans l’opéra-bouffe « Les Bavards » de Jacques Offenbach avec la compagnie « Les Bavards d’Europe », joué en France et à Bruxelles. Depuis on l’entend régulièrement tant à l’opéra qu’en oratorio en Belgique et en France. En 2015, Il participe entre autres à la création de l’opéra de chambre contemporain « Verlaine au secret » du compositeur Adrien Tsilogiannis à Mons, capitale européenne de la culture. En parallèle de sa formation, il se produit régulièrement en Belgique en concert avec le chef d’orchestre et pianiste belge Ayrton Desimpelaere.
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CHRIS DE MOOR, baryton Né à Anvers, Chris De Moor commence par étudier à Bruxelles les langues classiques, l’art graphique, le dessin et l'histoire de l’art. Entré dans les Chœurs de La Monnaie en 1973, il en reste membre jusqu’en 1982. En parallèle, il entame ses études au Conservatoire de Bruxelles (où il étudie notamment la mélodie, le chant d’opéra et de concert),
et
obtient diverses distinctions aux concours de chant d’Anvers, de Paris, d’Ostende, de Barcelone et de Vercelli. En Belgique, Chris de Moor chante très régulièrement pour le Vlaamse Opera, mais aussi pour l’Opera Royal de Wallonie,
pour
les
Festivals des Flandres et de Wallonie, Bozar et au Singel. À l'étranger, il chante un peu partout en Europe et plus particulièrement en France. Son répertoire compte de nombreux opéras mais aussi des comédies musicales où il fait valoir ses réels talents d’acteur. Il a chanté « l’Homme de la Mancha » et joue actuellement le rôle principal du « Violon sur le Toit », en tournée en France pour Ars Lyrica.
LEANDRO LOPEZ GARCIA, baryton Après avoir obtenu le 1er prix au Conservatoire Royal de Bruxelles, il fait ses débuts à l‘Opéra Studio de l’Opéra Royal de La Monnaie.
Il participe, sous la direction de Gerard
Mortier, d’Ostende et de Marmande. Parmi ses engagements, citons « La Veuve Joyeuse » à l’Opéra National de Lyon ainsi que Monterone dans « Rigoletto » à l’Opéra National de Bordeaux, à Nantes et à Angers. Il a enseigné au département supérieur des jeunes chanteurs autour du Jeune Chœur de Paris sous la direction de Laurence Equilbey. Il a également été conseiller vocal au Centre de Musique Baroque de Versailles. Il donne des master class aux Conservatoires de Paris, de Bordeaux, ainsi qu’au Centre de Musique Baroque de Versailles.
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NICOLAS STEVENS, arrangements musicaux, violon, claviers Né en 1974 en Belgique, Nicolas Stevens suit pendant toute la décennie 1980 des cours de violon et de piano à l’académie de musique en Belgique avant de suivre un cursus classique complet de 1990 à 1996 aux Conservatoires Royaux de Musique de Mons et Liège pour obtenir son diplôme supérieur de violon avec distinction et fonder le groupe Soledad. Il enchaîne en parallèle avec le Conservatoire de jazz à Bruxelles, où il obtient un second prix en 1998 et commence à jouer avec le chanteur Philippe Lafontaine. Chef d’orchestre et Premier violon pour William Sheller au début des années 2000 avant de le retrouver en 2005, il accompagne Yann Tiersen en 2001-2002 puis Alain Bashung dans le cadre de « La tournée des grands espaces » en 2003-2004. Il joue ensuite du violon et des claviers avec Miossec pour les tournées « L’Etreinte » (2006-2007) et « Finistériens » (2009-2010). De 2012 à 2014 Nicolas tourne dans le monde entier avec le spectacle de Patricia Kaas « Kaas Chante Piaf » (143 dates, 45 pays). Depuis 2014, il tourne avec Salvatore Adamo et depuis 2015 avec Alice On The Roof. Autres collaborations depuis 1998 à aujourd'hui (sessions, live et/ou arrangements) Calogero, Lara Fabian, Arno, Clouseau, Led Zeppelin, Ray Charles, Diana Ross, Puggy, Louis Chedid, Cocoon, Kris Dane, Jacques Dutronc, Hooverphonic, Joseph d’Anvers, Maurane, Perry Blake, Jimi Tenor, Stéphane Pompougnac (Hôtel Costes), Renaud, Venus… et de nombreuses b.o. au cinéma.
GAEL BROS, costumes Après des études de stylisme à Bruxelles, Gaël Bros se perfectionne en travaillant dans le département Couture de la célèbre maison de luxe bruxelloise, NATAN. C'est en réalisant des costumes pour le Théâtre de Poche en 2012 et pour le théâtre jeune public, qu'il apprivoise naturellement son goût pour les arts de la scène. Il fait son entrée dans le monde de la comédie musicale en créant, entre autres, les costumes de « Un Violon sur le Toit » qui tourne en Belgique et en France depuis sa création au Palais des Beaux-Arts de Charleroi en 2014. En 2016, il rejoint les Festivals de Wallonie en confectionnant des costumes aux inspirations
japonaises pour l'opéra « Yôkai ! » et renouvelle
l’expérience pour le spectacle « Momo », inspiré du roman de Michael Ende. Il signe également, cette année, les costumes pour l'opéra « Don Giovanni » au Théatre des Martyrs à Bruxelles et pour « Les Parapluies de Cherbourg » de Jacques Demy et Michel Legrand, adapté sur scène dès décembre 2017 en Belgique et en France. En combinant rigueur, créativité et sensibilité, Gaël Bros jongle également avec ses autres passions; la photo, la vidéo et le graphisme. Ce qui lui permet d'affiner son regard sur un plan large et de développer ses compétences aux travers de différents supports. Il participe donc à des shootings, réalise des reportages photos et crée des identités visuelles,
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destinés au web ou à la presse, pour plusieurs collections de mode, et pour différentes productions dans le milieu du spectacle.
MATTEO GHEZA, chorégraphe Danseur, professeur de hip-hop all styles et étudiant en Rhéto au Séminaire de Floreffe, Matteo a participé à diverses émissions TV, show et concours avec son ancien crew formé en 2010. Ils ont gagné «Belgium’s Got Talent» 1ère édition en 2012, « Hip Hop International Belgium» en 2011, « Dancin Harmony secteur 7 » en France la même année, « Qui sera le meilleur ce soir » (TF1). Ils ont été notamment en demi-finale de « Got to dance » Allemagne en 2014 et « La meilleure danse » M6 en France aussi en 2012. Matteo Gheza aussi été danseur
dans le show ECLECTIK au Palais des Beaux-Arts à
Charleroi en mai 2015 et a gagné «Disney dance talent » et divers show avec Kamel Ouali. Il se produit aussi en solo, en 2016, il est vainqueur de la Battle Hip Hop « Beat Camp » en Croatie. En 2017, il tente une nouvelle expérience en créant les chorégraphies du spectacle « Momo » des Festivals de Wallonie.
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4. DISTRIBUTION Patrick Leterme : Composition, direction artistique et musicale / Nicolas Stevens, programmation claviers / Matteo Gheza, chorégraphie / Gaël Bros, costumes Chanteurs solistes : Chris De Moor, Leandro Lopez Garcia, Lionel Couchard Chœur d’enfants : Tessa Balzano, Clara Barlow, Aïssatou Barry, Manuel Bros Vasquez, Boyan Delattre, Kloé Habazaj, Louka Humblet, Léa Jospa, Alyssia Lemaire, Eloïse Pierre, Julius Proost, Loïse Quertinmont et Nour Verkindere Musiciens : Laura Sandrin, Elke Elsen, flûtes – Frauke Elsen, hautbois – Michel Lambert, accordons – Michaël Tambour, Antoine Dawans & Maxime Wastiels, trompettes – Simon Drachman, percussion/batterie – Nicolas Stevens, violon & clavier – Roxane Leuridan, violon – Aubin Denimal, violoncelle – Adrien Tyberghein, contrebasse Equipe technique : Geoffrey Magbag, Régie générale Luc Henrion : son Julien Placentino, éclairage Production : Claire Ringlet Elise Viola, assistante
Création 2017 Une production des Festivals de Wallonie, en coproduction avec le Palais des Beaux-Arts de Charleroi) et le soutien de l’Opéra Royal de Wallonie En collaboration avec Candide asbl. Avec le soutien d' Ouftivi, de l'Agence pour une Vie de Qualité et du Centre d'Action Laïque.
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5. EN TOURNEE
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Bruxelles I 02.07 I 11h I Flagey
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Marche I 15.07 I 15h I Centre Culturel
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Stavelot I 31.07 I 16 h I Salle François Prume
•
Tubize I 01.10 I 16h I Centre Culturel
•
Charleroi I 08.10 I 16h I Palais des Beaux-Arts
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Liège I 27.10 I 19h I Opéra Royal de Liège
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La Louvière I 28.04 I 17h I Théâtre Communale
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Welkenraedt I 29.04 I 16h I Centre Culturel de Welkenraedt
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6. REMERCIEMENTS & PARTENAIRES Partenaires Fédération Wallonie-Bruxelles / La Wallonie Partenaires institutionnels La Banque Nationale / Le Commissariat Général au Tourisme Le Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles / Wallonie Bruxelles International / Be Brussels / AVIQ Sponsors La Loterie Nationale / SRIW / Ethias / Coca / JTI Médias RTBF - Musiq'3 / Le Vif/L'Express / Ouftivi Coproducteurs PBA / ORW Centre d'action Laïque / Point Culture / Alpha Play
PRESS FESTIVALS DE WALLONIE I BE CULTURE General Manager : Séverine Provost Project Coordinator: Morgane Bretaud morgane@beculture.be +32 (0)490 19 82 03 + 32 (0)2 644 61 91 - beculture.be
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Spectacle “Momo”
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