A U T O M N E 2 0 1 7 07 SEPT GARE SAINT SAUVEUR 9 WEEK-ENDS GRATUITS DÈS LE 07 SEPTEMBRE
JEUX
05
NOV
REVUE DE PRESSE
RITUELS & RÉCRÉATIONS UNE EXPOSITION DU 40e ANNIVERSAIRE DU CENTRE POMPIDOU
EXPOSITION
Béatrice Natale
A Lille, deux expos proposent un très vaste panorama de la performance artistique. Si la performance ne peut tenir en une seule exposition, la double manifestation lilloise, à la gare Saint-Sauveur et au Tripostal, organisée dans le cadre des 40 ans du Centre Pompidou, en livre un cadre exaltant. Marcella Lista et Bernard Blistène, commissaires de Performance !, ont rassemblé des pièces majeures qui rappelent que des générations d’artistes issues de pratiques multiples ont pris leur corps comme objet d’exploration et placé “au cœur de l’œuvre l’expérience du spectateur”. Comme suggère au de biche”…). Entre les le mots et lesl’accrochage peaux, Tripostal, la performance est entrée les jeux et les métempsychoses, Sophie au Carone musée par le biais de la vidéo. Calle et Serena contaminent Filmées, les performances l’imaginaire du monde animal de leur sont aussi l’objet du film,decomme dans fantaisie humaine, où la pulsion vie Saint-Sauveur, le visiteur découvre Present, Continuous, Past(s) (Dan s’ajuste à la conscience de l’éclipse. par l’idée Performance !des–œuvres Lestravaillées collections Graham, 1974) où le spectateur du jeu (Ed Atkins, Neïl Beloufa, Jean-Marie Durand du Centre Pompidou, 1967-2017 de biche”…). Entre les mots et les peaux, Au dernier étage, deux nouvelles Cameron Jamie, Raphaël Zarka, faitœuvres, l’expérience son image les jeux et les métempsychoses, Sophie Le Chasseur français de et A l’espère, Pipilotti Rist…). A Lille, les Jusqu’au 14 janvier 2018, Lille Calle et Serena Carone contaminent complètent un travail déjà considérable multiples facettes de la performance (Tripostal) décalée dans le annonces temps, grâce à un l’imaginaire du monde animal de leur sur le langage des petites artistique trouvent l’écrin brillant fantaisie humaine, où la pulsion de vie amoureuses,le consignées dans les!archives de leur épopée. JMD Beau doublé, Monsieur marquis Jeux – Rituels et récréations dispositif de et d’écrans s’ajuste à la conscience de l’éclipse. du journal fétiche dumiroirs monde de la chasse, Performance ! – Les collections Jusqu’au 11 février musée Jusqu’au 5 novembre, Lille Jean-Marie Durand ainsi 2018, que dans un corpus élargi de du Centre Pompidou, 1967-2017 dede télé. Cet éloge du Jusqu’au 14 janvier 2018, Lille messages de prédateurs fantasmant de la Chasse et la Nature, Paris IIIedéplacement (gare Saint-Sauveur) (Tripostal) un corps croisé dans les transports, où Beau doublé, Monsieur le marquis ! Jeux – Rituels et récréations traverse les œuvres domine un vocabulaire se référantexposées, au Jusqu’au 11 février 2018, musée Jusqu’au 5 novembre, Lille de la Chasse et de la Nature, Paris III (gare Saint-Sauveur) monde animal (“crinière léonine”, “regard dont celle 93 qui inaugure le parcours, 18.10.2017 Les Inrockuptibles 93 18.10.2017 Les Inrockuptibles Walk the Chair de La Ribot, qui a mis cinquante chaises pliantes à disposition du public, devant un mur de citations sur le mouvement. Si certaines œuvres (Vito Acconci, Lili Reynaud Dewar, Bruce Nauman, Jérôme Bel, Brice Dellsperger…) sont traversées par cette même notion, d’autres Béatrice Natale
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Tour de force
A Lille, deux expos proposent un très vaste panorama de la performance artistique. Si la performance ne peut tenir en une seule exposition, la double manifestation lilloise, à la gare Saint-Sauveur et au Tripostal, organisée dans le cadre des 40 ans du Centre Pompidou, en livre un cadre exaltant. Marcella Lista et Bernard Blistène, commissaires de Performance !, ont rassemblé des pièces majeures qui rappelent que des générations d’artistes issues de pratiques multiples ont pris leur corps comme objet d’exploration et placé “au cœur de l’œuvre l’expérience du spectateur”. Comme le suggère l’accrochage au Tripostal, la performance est entrée au musée par le biais de la vidéo. Filmées, les performances sont aussi l’objet du film, comme dans Les Inrockuptibles n°1142 -Continuous, Du 18 au 24 Octobre 2017 Present, Past(s) (Dan Graham, 1974) où le spectateur fait l’expérience de son image décalée dans le temps, grâce à un dispositif de miroirs et d’écrans de télé. Cet éloge du déplacement traverse les œuvres Tour deexposées, force deux expos proposent dont celle quiA Lille, inaugure le parcours, un très vaste panorama de lade La Ribot, performance artistique.qui Walk the Chair Si la performance ne peut tenir en une seule exposition, la double a mis cinquante chaises pliantes manifestation lilloise, à la gare et au Tripostal, à dispositionSaint-Sauveur du public, devant un organisée dans le cadre des 40 ans du Centre Pompidou, en livre mur de citations sur le mouvement. un cadre exaltant. Marcella Lista et Bernard Blistène, commissaires Si certaines œuvres (Vito Acconci, de Performance !, ont rassemblé Lili Reynauddes pièces Dewar, Bruce majeures qui rappelent que des générations d’artistes Nauman, Jérôme Bel, Brice issues de pratiques multiples ont pris leur corps comme objet Dellsperger…) sont ettraversées d’exploration placé “au cœur de par l’œuvre l’expérience du spectateur”. cette même notion, d’autres Comme le suggère l’accrochage au Tripostal, la performance est entrée (Christian Marclay, au musée par leSaâdane biais de la vidéo.Afif, Filmées, les performances sont Doug Aitken,aussiStan Douglas, l’objet du film, comme dans Present, Continuous, Past(s) (Dan Robert Filliou, Mike Kelley, Graham, 1974) où le spectateur fait l’expérience de son image Guy de Cointet, Pierre décalée dans le temps,Huyghe…) grâce à un dispositif de miroirs et d’écrans ont le son pour A la gare de télé.enjeux. Cet éloge du déplacement traverse les œuvres exposées, Saint-Sauveur, le qui visiteur découvre dont celle inaugure le parcours, Walk the Chair de La Ribot, qui des œuvres travaillées parpliantes l’idée a mis cinquante chaises à disposition du public, devant un du jeu (Ed Atkins, Neïl mur de citations sur le Beloufa, mouvement. Si certaines œuvres (Vito Acconci, Cameron Jamie, Raphaël Zarka, Lili Reynaud Dewar, Bruce Nauman, Jérôme Bel, Brice Pipilotti Rist…). A Lille, les par Dellsperger…) sont traversées cette même notion, d’autres multiples facettes la performance (Christiande Marclay, Saâdane Afif, Doug Aitken, Stan Douglas, artistique trouvent l’écrin brillant Robert Filliou, Mike Kelley, Guy de Cointet, Pierre Huyghe…) JMD de leur épopée. ont le son pour enjeux. A la gare
e
Septembre 2017
17 octobre 2017
Performance ! les 40 ans du Centre Pompidou à la Gare Saint Sauveur de Lille Lille 3000 le voyage continue, tel est le slogan de cette aventure démarrée en 2004 et que ne cesse de renaître au fil des grandes thématiques choisies où l’art contemporain occupe une place majeure. On se souvient de la collection Pinault, de la Saatchi gallery, des 25 ans de la galerie Perrotin.. Pour l’heure il s’agit des 40 ans du Centre Pompidou déployés sur 2 lieux : la gare Saint-Sauveur et le Tri Postal autour des pratiques et enjeux de la Performance. Une gageure en apparence contradictoire relevée avec brio par Bernard Blistène, directeur du Musée national d’art moderne et Marcella Lista, conservatrice du Musée, tous deux commissaires. L’occasion de redécouvrir une collection unique et magistralement mise en scène dans ces vastes espaces.
1ère Partie : Des jeux de l’enfance aux rituels de domination adultes à la Gare Saint Sauveur
Le parcours dans une semi-pénombre offre une plongée dans les images spectaculaire et immersive. Les 6000 kms de fil en coton noir de l’œuvre de Cildo Meireles dans lesquels on se prend les pieds, nous tendent un piège et appellent au discernement. Intitulée « la Bruja »la sorcière se déploie différemment selon chaque contexte d’exposition. On découvre à la fin du parcours le balais objet chargé de force primitive et mythique, épicentre énergétique de l’installation. Sur fond des « Children’s Games » de Francis Alÿs, tour du monde des territoires de l’enfance qui s’inscrivent coute que coute dans des contextes contraires ou défavorables (zones de conflit en Irak), d’une grande poésie. Cette fresque devient le support de notre imaginaire. Traversée des possibles avec Pipilotti Rist « à la belle étoile »installation à même le sol doublée d’une musique Pop dans un dédale de couleurs acidulées, la question du corps et d’une perte de repères est engagée. Natacha Nisic avec « Catalogue de gestes », œuvre en continu autour de la répétition muette et en gros plan de ses mains, interroge la mémoire et le visible. Le visage de Maïder Fortuné apparaît dans ce temps de l’enfance fantasmé de la petite fille qui saute à la corde, même si son visage seul est dévoilé dans un long plan séquence au ralenti. Puis Apiochatpong Weerasethakul et Christelle Lheureux avec « Ghost of Asia »tourné sur une plage thaïlandaise après le tsunami de 2004 nous disent la faculté d’adaptation des enfants à évacuer le traumatisme pour laisser place à l’imaginaire. Même sentiment avec les images de Mireille Kassar tournées sur la place d’Ouzaï dans la banlieue de Beyrouth au sein d’un camp de réfugiés palestiniens ces enfants jouant dans les vagues malgré le contexte d’exil et d’enfermement.
Dure traversée de l’adolescence et apprentissage de l’âge adulte avec Cameron Jamie et ces jeux de catch clandestins de jeunes américains dans les quartiers urbanisés. Cette violence palpable qui répond au culte de la performance d’une société dont ils se sentent exclus entre rite de passage et folklore grunge rock. Latoya Ruby Frazier avec « Momme Portrait Series »décrit un dialogue compliqué avec sa mère tourné en circuit fermé comme pour décrire les projections impossibles de l’enfance. Salla Tykkä avec « Lasso » nous offre un conte où deux personnages ne se rencontrent jamais mais la jeune femme se plaçant en position de spectateur devant le corps svelte d’un jeune homme qui s’entraîne au lasso interpelle nos pulsions voyeuristes. Mark Leckey revient sur l’épisode des free parties sous l’Angleterre Thatcher et le phénomène extrême du hardcore comme outil de revendication politique et sociale.
Neïl Beloufa à partir de la fiction narrative puisée dans l’animisme et l’Afro futurisme et leur possible distorsion repousse les limites communément admises du documentaire. Ed Atkins et son avatar virtuel nous plonge dans les dérives sombres d’un monde entièrement numérique. Ses incursions dans la poésie ajoutent une touche romantique post-apocalyptique. Danse, chorégraphie, langage sonore, pratiques corporelles, voix polyphoniques, happenings (ateliers de Claudia Triozzi pour l’Hôtel Europa pas très convaincants) les territoires habituels de l’art étant contaminés par la performance en différents points de fuite et échos inédits, nous pouvons aborder le second volet du panorama au Tri Postal. Marie-Elisabeth de La Fresnaye
Septembre 2017
Let’s Motiv n°133 - Octobre 2017
Wéo Nord Pas de Calais 29 Septembre 2017 3 minutes 30
« Trois thèmes importants, celui de l’enfance, de l’adolescence et de l’imaginaire de l’adulte » « Nous invitons les familles à venir avec leurs enfants, c’est très ludique » Sylvie Douala-Bell Chargée de projets pour le centre Pompidou
nord pas-de-calais picardie
19/20 10 septembre 2017
Samedi 9 Septembre 2017 Lille Métropole
La copie, la reproduction et la diffusion sont soumis aux droits d’auteurs et nécessitent une déclaration préalable, conformément aux dispositions du code de la propriété intellectuelle. (Art L.335-2 et L.335.3)
Samedi 9 Septembre 2017 Lille Métropole
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ration préalable, conformément aux dispositions du code de la propriété intellectuelle. (Art L.335-2 et L.335.3)
Ça fait toujours plaisir, une nouvelle expo à la gare Saint-Sauveur. C’est toujours l’occasion d’aller y flâner un après-midi, pluvieux ou non. Pour cet automne, Lille3000 a concocté une expo autour du jeu, en collaboration avec le Centre Pompidou. Visite guidée. On vous explique. Cette année, le Centre Pompidou célèbre ses 40 ans d’existence. Pour fêter ça, se sentant généreux, le centre a décidé de s’exporter à droite à gauche en France. Il faut dire qu’il peut partager quelques unes de ses 140 000 œuvres sans se sentir tout nu. A Lille, il prête deux expos : l’une à Saint-Sauveur, qu’on peut déjà visiter, et une qui sera visible au Tri Postal dès le 6 octobre. Les œuvres de la vingtaines d’artistes exposés à Saint-So sont donc toutes issues du Centre Pompidou. Et sont essentiellement vidéographiques. Des jeux d’enfant, des jeux d’adultes, des pauses récréatives… Les œuvres abordent toutes à leur manière ce rapport que le jeu et le ludique entretiennent avec le temps, ce que les hommes du monde entier font de leur temps libre. Quels rituels reviennent chaque jour, quels moments restent uniques. Il est parfois difficile de rentrer dans une oeuvre vidéo. Heureusement pour vous, à Saint-Sauveur, depuis longtemps, il existe des médiateurs, qui se promènent dans l’exposition et qui sont là pour vous expliquer telle ou telle installation. Il ne faudra pas hésiter lorsque vous ne comprendrez pas le propos de l’artiste.
Et puis il y a cette oeuvre un peu hallucinante, qui s’étend sur tout le plateau de l’exposition. La gare Saint-Sauveur est une grande habituée des œuvres démesurées, mais là il faut avouer que celle là fait son petit effet. Appelée La Bruja (la sorcière), la création du brésilien Cildo Meireles est tout à fait canon. Dès l’entrée, on la remarque. De longs fils de coton noir qui viennent du plafond pour former une toile d’araignée géante. Puis le visiteur, lorsqu’il s’enfonce dans l’expo, réalise que l’espèce de tapis noir sur lequel il marche, que ce qui pend des colonnes de ciment du bâtiment, est en fait un gigantesque nœud de ces mêmes fils noirs. Plus il remonte l’expo, plus il y en a. Jusqu’à arriver, tout au bout, dans une pièce à part, à l’origine de ces amas de coton : un balai, posé dans un coin. Aussi simple est efficace que ça. Et vraiment à voir. L’exposition Jeux, rituels et récréations se tient à la Gare Saint-Sauveur jusqu’au 5 novembre. Comme tout à Saint-Sauveur (sauf la bière), elle est gratuite, et ouverte du mercredi au dimanche de midi à 19 heures. Le site internet qui va bien : Gare Saint-Sauveur.
Lucie Delorme
Jeudi 7 septembre 2017
opie, la reproduction et la diffusion sont soumis aux droits d’auteurs et nécessitent une déclaration préalable, conformément aux dispositions du code de la propriété intellectuelle. (Art L.335-2 et L.335.3)
nord pas-de-calais 5 septembre 2017 - 16H 22 minutes
ÉVÈNEMENTS
Dimanche 5 Novembre 2017
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Lundi 30 octobre 2017
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Vendredi 27 octobre 2017
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Dimanche 22 octobre 2017
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Lundi 25 septembre 2017
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Lundi 18 septembre 2017
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Lundi 18 septembre 2017
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Dimanche 17 septembre 2017
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Samedi 16 septembre 2017
Samedi 16 septembre 2017
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Samedi 16 septembre 2017
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Vendredi 8 septembre 2017
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N° 2715 Jeudi jeudi 7 septembre 2017 Page 6 342 mots
7 septembre 2017
GRAND LILLE—ÉVÉNEMENT
«MANGE, LILLE !» DE RETOUR en partenariat avec Art Point M, le banquet populaire avec grandes tablées ou la grande pâtisserie», souligne Marie-Laure Fréchet, la présidente du collectif.
Une trentaine de chefs lillois participent à la 2eédition du festival «Mange, Lille !». Photo : © GRANDLILLE.TV
«Promouvoir la gastronomie à Lille, aider les chefs du Nord à se faire connaître et créer une dynamique autour de leur cuisine.» Tels sont les maîtres mots du festival «Mange, Lille !». Pour présenter la deuxième édition de ce programme qui réunira une trentaine de chefs cuisiniers de la métropole, du 18 au 24 septembre, les responsables du collectif se sont réunis, hier, à la gare Saint-Sauveur de Lille, avec dans leurs casseroles des nouveautés : «L'opéra culinaire,
Du savoir-faire au faire-savoir Florent Layden, chef cuisinier lillois très médiatisé et pilier de l'événement, est d'ores et déjà enthousiaste : «Le savoir-faire, c'est bien, mais il reste le faire-savoir qui est très important, et qui est bien mis en avant grâce au festival.» Selon lui, le paysage culinaire lillois se serait même métamorphosé «en seulement quatre ou cinq ans».
Un festival déjà imité Martine Aubry, la maire de Lille, a aussi montré son intérêt : «Je crois
que la gastronomie participe à l'attractivité d'une métropole comme la nôtre, ces jeunes chefs font venir les touristes.» «Mange, Lille !» devient même un festival qui fait mouche dans les autres communes de France. «On est très observé. A Avignon, par exemple, un grand pique-nique de chefs s'est organisé à l'image de celui que nous avons mis en place à Lille l'an passé», indique Marie-Laure Fréchet. «Mange, Lille !» serait-il un modèle qui tend à se développer ? «Peutêtre, mais notre souhait premier est de créer “Mange, Lille !” partout en France, pour que nos chefs se fassent connaître et aillent à la rencontre d'autres chefs.» • ■
Programme : mangelille.com
Vendredi 1 septembre 2017
et la diffusion sont soumis aux droits d’auteurs et nécessitent une déclaration préalable, conformément aux dispositions du code de la propriété intellectuelle. (Art L.335-2 et L.335.3)
ÉQUIPES Centre national d’art et de culture Georges Pompidou Président, Ivan Renar Conseiller artistique, Didier Fusillier Administratrice Générale, Dominique Lagache Coordinateur Général, Thierry Lesueur Comptable, Chantal Dupond Programmation artistique et coordination arts visuels, Caroline Carton, Ji-Young Lee, Justine Weulersse Avec Claire Baud-Berthier, Hélène Cressent, Faustine Fournet et Prisca Gomez Coordination Gare Saint Sauveur, Marc Ménis Coordination Projets Métropole, Kahina Lattef Avec Marion Brun Directeur Technique, Frédéric Platteau Avec Camille Ortegat Direction technique des expositions, Stéphane André Direction technique de la Gare Saint Sauveur, Guy Fabre Régie Générale des expositions, Charles Hartley, Corentin Check Production, Emilie Bailleux, Samuel Da Costa Avec Marjorie Acquette Responsable Communication & Relations Presse, Olivier Célarié Avec Louise Longle Chargée de Communication & assistante de direction, Vanessa Duret Avec Quentin Faye, Marine Fourneau Chargée des Relations Publiques, Magali Avisse Avec Maÿliss Champeville, Sarah Cnudde, Coralie Dupont, Marion Tinoco Assistante Mécénat, Valentine Boccas Coordination Médiation Gare Saint Sauveur, Mélina Hue et Camille Delplanque Référente Ferme urbaine, Anaïs Scotto Webmaster, Emmanuel Dejonghe (www.kwtprod.com) Graphisme, Olivier Leulier (www.ozone-studio.com), Agathe Vuachet Traducteur, Garry White
Le Centre national d’art et de culture Georges Pompidou est un établissement public national placé sous la tutelle du ministère chargé de la culture (loi n o 75–1 du 3 janvier 1975) Président, Serge Lasvignes Directrice générale, Julie Narbey Directrice générale adjointe, Julia Beurton Directeur du Musée national d’art moderne – Centre de création industrielle, Bernard Blistène Directrice du Département du développement culturel, Kathryn Weir Président de l'Association pour le développement du Centre Pompidou, Jack Lang Président de la Société des Amis du Musée national d’art moderne, Didier Grumbach Commissariat, Bernard Blistène, directeur du Musée national d’art moderne Marcella Lista, conservatrice en chef de la collection Nouveaux Médias Chargée de projet, Sylvie Douala-Bell, Attachée de conservation de la collection Nouveaux Médias Chargée de recherches, Elsa Daviau
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