Rédigée dans le cours de la dramatique année 2015, cette “Porte sur l’été”, dixième tome de “L’Europe et la Profondeur”, est sans doute le plus « politique » des volumes du « grand récit » de Pierre Le Coz. Mais tonalité qui, comme d’habitude chez cet auteur, n’exclut nullement les relectures (toujours passionnées) et interprétations (souvent vertigineuses) de certains grands textes de la tradition littéraire ou philosophique ; étant toujours apparu clair au « scripteur » de cette “Profondeur” que ce qu’il est convenu d’appeler la « grande culture » n’est rien si, pour chaque époque considérée, on ne cherche pas à en faire “usage”.