LOUIS DUPREZ ARCHITECTURE - PORTFOLIO
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4. Curriculum vitae 6. Un lieu de l’émergence des idées Un centre d’innovation navale Entre immensité et exiguïté
16. Réhabilitation - École d’architecture de Mons Un centre universitaire d’architecture Réhabilitation d’un bâtiment existant
22. Un lieu de l’harmonisation des différences Un centre d’accueil pour réfugiés Entre intime et partagé
30. Au rythme d’une pause Un refuge pour randonneurs Habitat structure bois
38. Un lieu d’adaptation et du changement pour demain Un centre de sensibilisation et de recherche Architecture bleue - Projet de TFE 2017
48. Conception d’un appartement insolite Réalisation des différentes phases esquisses Projet réalisé chez GCG Architectes, Paris - 2017
52. Étude de faisabilité - Projet de logements / bureaux Rehaussement d’un immeuble déjà existant - Respect du contexte Étude réalisée à l’Atelier Parisien, Paris - 2018
56. Projet de photographie - Art Asia Voyage itinérant - 4 mois - 2018 Échanger, partager et immortaliser
CURRICULUM VITAE
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FORMATION Master d’Architecture - ISA St Luc, Tournai - Belgique Reçu avec les distinctions
2015 - 2017 Juin 2017
Licence d’Architecture - ISA St Luc, Tournai - Belgique Reçu avec les distinctions
2011 - 2014 Juin 2014
Baccalauréat section S - Institution Libre de Marcq-en-Barœul Reçu avec la mention « Bien »
DUPREZ Louis Architecte diplômé d’État
Né le 29/07/1993 24 ans 7 Allée du Croquet 59170 Croix
0650782325 louisduprez@gmail.com
- COMPÉTENCES Mac OS X Windows Photoshop Indesign Autocad SketchUp Revit Pack Office Imovie - LANGUES Anglais : courant Espagnol : bases Italien : bases
2011 Juillet 2011
EXPÉRIENCES PROFESSIONNELLES Architecte collaborateur - Freelance - L’Atelier Parisien - Paris Oct 2017 - Fév 2018 Conception et suivi de différents projets à Paris (4 mois) Élaboration des différentes phases esquisses et des plans d’exécution Études de faisabilité, déclarations préalables, dossiers d’aménagement intérieur Travail d’images et de synthèses architecturales sur les différents projets
Architecte dessinateur projeteur - Freelance - GCG Architectes - Paris Oct - Nov 2017 Conception architecturale - Projet d’appartement insolite - Région de Paris (2 mois) Élaboration des différentes phases esquisses du projet Modélisations 3D et synthèses architecturales
Stage d’architecture au musée en plein air de Villeneuve d’Ascq Sauvegarde et valorisation du patrimoine local Mise en place d’un dossier visant à la reconstruction d’une chaumière Suivi des différents chantiers sur le site
Juillet 2014 (1 mois)
Juillet 2013 Stage en cabinet d’Architecture - VDDT - Lille Suivi et participation à l’élaboration de deux projets en cours (1 mois) Montage de maquettes numériques - Investissement réel au sein du cabinet
CENTRES D’INTÉRÊT Projet de photographie - Asie Voyage itinérant - Philippines, Malaisie et Sri Lanka Rencontres et échanges avec les populations locales Travail photographique sur les échanges réalisés Tour du monde Voyage itinérant - Asie, Océanie et Amérique du Sud Organisation, gestion du projet et de son budget Découverte de nouvelles cultures / Missions humanitaires Volontariat Bénévolat dans les bidonvilles de Varanasi - Inde du nord Cours de mathématiques et d’anglais / Organisation d’activités Loisirs Artistiques : Théatre d’improvisation (plus de 7 ans) Sportifs : Kitesurf (passionné) / Ski / Course à pied / Randonnée
Février - Juin 2018 (4 mois)
2014 - 2015 (10 mois)
2014 (1 mois)
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ATELIER 1.618 - UN LIEU DE L’ÉMERGENCE DES IDÉES Programme: Un centre d’innovation navale Thème: Entre immensité et exiguïté Superficie: 5800 m2 Lieu: Gdansk, Pologne Année: Master 2, 1er semestre
- CONTEXTE -
Située au nord de la Pologne, la ville de Gdansk s’est formée au cours du temps en fonction de l’univers portuaire qu’elle côtoie. Son fleuve, la Vistule, divise le paysage et sépare les immensités des exiguïtés. Elle définit la dimension du bâtiment et se veut morcelée par les darses de l’activité portuaire. Dans la vieille ville, les vides sont donc petits et cintrés par le bâti alors qu’au niveau du port, les espaces sont définis par l’immensité. Enfin, les chemins de grue sont très linéaires et rythment le bord de l’eau avec des alignements importants dans le tissu urbain.
Entre immensité et exiguïté. Implantation urbaine. Plan masse. Échelle de base: 1.2000.
- IMPLANTATION -
Le site d’implantation du projet est un point charnière entre la ville et l’activité portuaire qui y est présente. Ce site s’appuie sur un projet d’urbanisme mettant en relation trois entités urbaines qui s’organisent autour d’un parc urbain. Une déambulation à l’échelle des chemins de grue s’installe dans cet espace. Ces trois structures pérennes sont le Solidarnosc Museum de Gdansk, un pôle de construction navale et le projet mis en place.
Le parc urbain est hiérarchisé entre trois espaces. On a tout d’abord un espace public très végétal, puis un autre semi public que l’on considère comme un espace vert à l’intérieur duquel on se pose et on se promène, et enfin, une dernière zone privée et composée de bâtiments industriels liés à la construction navale.
Un lieu charnière entre la ville et l’activité portuaire. Photographie du site.
UN LIEU DE L’ÉMERGENCE DES IDÉES
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- UN CENTRE D’INNOVATION NAVALE -
Pour répondre à un lieu de l’émergence des idées, j’ai décidé de réaliser un centre d’innovation navale. Ce projet s’organise autour d’espaces de partage qui favorisent les échanges de la connaissance. J’ai en effet mis en place des interactions fortes entre les différents espaces du projet. J’ai décidé de travailler sur une volumétrie simple et caractérisée par l’intemporalité grâce à sa forte matérialité. L’idée est d’éviter l’obsolescence fonctionnelle et stylistique à travers le projet.
Intemporalité. Plans de spatialité interne - rez de chaussée et r+1. Échelle de base: 1.200.
Ce centre est à l’échelle des deux autres pôles dynamiques du projet urbain. Il s’oriente à la fois vers la ville, mais aussi vers le port et l’eau du fleuve. Il se place légèrement en porteà-faux sur la Vistule pour maximiser le rapport à l’eau. Son implantation offre une continuité de la masse bâtie située au bord du fleuve. Ce centre s’organise face à un parvis qui met en relation l’eau et l’espace urbain grâce à un jeu topographique qui séquence les espaces. Par cette topographie, le bâtiment se détache peu à peu du sol. Ce parvis est à l‘image du projet et glisse à l’intérieur des ateliers du rez de chaussée. La volumétrie du projet est ponctuée par des patios végétaux. Ces patios sont des espaces verts immenses, qui offrent des lieux d’échanges extérieurs et des interactions à travers le projet. Topographie. Photographies de maquettes. Insertion dans le contexte urbain. Volumétrie du projet. Échelle de base: 1.500 et 1.200.
UN LIEU DE L’ÉMERGENCE DES IDÉES
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SPATIALITÉ INTERNE
- STRUCTURE -
Ce centre d’innovation fonctionne avec un système de voiles en béton sur lesquels s’appuient différentes dalles nervurées. Le sens de leur portée n’est pas le même selon les niveaux. Ce principe structurel m’a permis d’ouvrir le projet différemment. Aussi, grâce à l’utilisation de voiles en drapeau et de porte-à-faux, j’ai pu libérer et ouvrir toutes les façades du projet en partie inférieur. Le bâtiment semble donc flotter sur un socle qui lui glisse par dessous. L’utilisation de dalles nervurées m’a aussi permis d’ouvrir le projet en partie supérieure.
Flottaison du volume. Glissement de la façade. Coupe et élévation du projet. Échelle de base: 1.50.
- ESPACES -
Certaines façades du projet sont composées de deux différents plans qui glissent entre eux dans l’espace et offrent des apports de lumière. Le seuil d’entrée du projet est accentué par ce jeu de décalage et se démarque en façade. Le centre s’organise autour d’un lieu immense, un forum de partage où l’on échange sur la connaissance. Ce lieu est maintenu par la distribution verticale et fonctionne en double hauteur. Cet espace est caractéristique du projet. C’est un espace d’échange et de partage entre les individus qui participent à ce lieu de l’émergence des idées.
UN LIEU DE L’ÉMERGENCE DES IDÉES
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- COMPOSITION -
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ATELIER DE CONSTRUCTION - RÉHABILITATION - ÉCOLE D’ARCHITECTURE DE MONS Programme: Un centre universitaire d’architecture Thème: Réhabilitation d’un bâtiment existant Superficie: 2100 m2 Lieu: Mons, Belgique Année: Master 1, 2ème semestre
- CONTEXTE ET IMPLANTATION -
Dans le cadre d’un projet en atelier de construction, J’ai participé à un programme visant à réhabiliter l’un des bâtiments universitaires de l’école d’architecture de Mons, en Belgique. Cet édifice nommé « bâtiment G », peut être défini comme une articulation entre la ville de Mons et le campus de l’école. Il s’implante directement sur la rue et agit comme une vitrine représentative de l’université. À l’échelle du campus, ce bâtiment est accessible à partir du parking principal et s’implante le long d’une promenade paysagère. J’ai dans l’immédiat cherché à garder la structure existante et l’aspect général du bâtiment. Les façades ont donc été retravaillées avec de la brique rouge pour rappeler l’identité du lieu.
Articulation du bâtiment. Vitrine de l’université. Implantation du projet dans son contexte. Échelle de base: 1.500. Spatialité interne du r+1. Échelle de base: 1.100.
Orientation des différents espaces. Représentation schématique du projet.
- STRUCTURE J’ai tout de suite remarqué que le bâtiment se situait sur une topographie qui lui permettrait une accessibilité coté ville directement par l’étage. À partir de cette contrainte, J’ai voulu jouer sur une dualité en façade. Ainsi, la façade côté rue est ouverte à l’étage et fait office de vitrine. À l’inverse, celle coté université est fermée à l’étage mais ouverte au niveau du rez de chaussée. L’identité du bâtiment a été sauvegardée par l’utilisation de murs préfabriqués en parpaings et en briques de parement, isolés de l’intérieur. Dualité en façade. Hall communiquant. Représentation graphique de la spatialité interne du projet.
RÉHABILITATION - ÉCOLE D’ARCHITECTURE DE MONS
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SPATIALITÉ INTERNE
- RÉHABILITATION DU BÂTIMENT 10 1
Le bâtiment prend deux postures différentes. Le premier étage est en effet tourné vers la ville. J’ai donc essayé de rendre le bâtiment attractif en créant un parvis aménagé face à celui-ci. Ce parvis surélevé, est ponctué par des patios végétaux qui offrent des sous espaces et des apports de lumière au niveau du rez de chaussée. Cet aménagement urbain surplombe le campus et peut accueillir des activités ouvertes au public. À l’inverse du premier étage, le rez de chaussée est tourné vers le campus de l’université. Ce niveau est majoritairement d’ordre privé et se destine aux étudiants et au personnel universitaire. On y retrouve deux grands espaces, un espace de travail et de rencontres professionnelles et un autre espace de détente et de restauration.
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- ESPACES -
Le premier étage du bâtiment est dédié aux entreprises et aux fonctionnalités liées à la ville alors que le rez de chaussée est utilisé par les étudiants et l’université d’architecture. Ces deux niveaux communiquent entre eux par un grand hall où les différentes personnes qui participent au lieu échangent entre elles. 5 6 7 8 9
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RÉHABILITATION - ÉCOLE D’ARCHITECTURE DE MONS
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Bâtiment sauvegardé. Coupe technique du projet. Murs préfabriqués en parpaings et en briques de parement, isolés de l’intérieur.
1. Attache rupteur thermique 2. Rupteur thermique 3. Briques de parement 9 cm 4. Joint en retrait 5. Rupteur thermique en verre cellulaire 6. Attache rupteur thermique 7. Finition de dalle en béton 8. Châssis métallique 9. Double vitrage 10. Acrotère en Béton préfabriqué 11. Vide ventilé 2cm 12. Isolation multicouche 4cm 12’. Par pluie (int) - Par vapeur (ext) 13. Mur porteur en parpaings 14. Finition enduit intérieur 15. Fondation existante
Bâtiment identitaire. Axonométrie éclatée de la structure du projet. Dualité en façade. Élévations nord-est et sud-ouest.
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ATELIER 1.618 - UN LIEU DE L’HARMONISATION DES DIFFÉRENCES Programme: Un centre d’accueil pour réfugiés Thème: Entre intime et partagé Superficie: 4500 m2 Lieu: Matera, Italie Année: Master 1, 1er semestre
- CONTEXTE Située au sud de l’Italie, la ville de Matera s’implante dans un contexte topographique très engagé. Se balader à travers ses rues et ses impasses, c’est comme traverser un labyrinthe où chaque tournant vous laisse admiratif du lieu dans lequel vous êtes. La ville s’est formée selon la topographie existante et en fonction des formations creuses présentes dans la roche érodée par le temps. L’architecture de ces « sassi » est pour moi représentative d’un modèle de vie parfaitement en harmonie avec la Nature. La ville de Matera, ponctuée par quelques édifices religieux, est un ensemble d’habitations, de galeries et de ruelles qui passent les une à travers les autres pour former un sorte de gigantesque sculpture.
Entre intime et partagé. Intégration et continuité par rapport au contexte. Implantation urbaine. Plan masse. Échelle de base: 1.500.
- IMPLANTATION Le site d’implantation du projet se situe dans la Gravina de la ville, au cœur du tissu urbain. J’ai donc choisi d’intégrer le projet en suivant les différents plateaux topographiques présents sur le site. Cette topographie met en place des lignes directrices pour réaliser le projet. Ainsi, celui-ci est en parfait accord avec la continuité et l’échelle du tissu urbain existant. Il peut rapidement être caractérisé par deux masses bâties qui viennent se confronter l’une et l’autre. Ce point de tension offre une dualité entre verticalité et horizontalité. L’espace au centre du projet donne place à un cœur dynamique et partagé.
Gigantesque sculpture formée par les sassi. La topographie génère un tissu urbain chaotique. Photographies du site.
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- UN CENTRE D’ACCUEIL POUR RÉFUGIÉS -
Pour répondre à un lieu de l’harmonisation des différences, il m’a paru pertinent de concevoir un centre d’accueil pour réfugiés. Dans un projet comme celui-ci, l'harmonie est présente à partir du moment où l’acceptation, la tolérance, le respect, la connaissance et l'ouverture d'esprit sont intégrés au lieu. Les gens qui y participent viennent de différents horizons et partagent un mode de vie contraire. Le projet doit donc offrir des espaces susceptibles de créer des rencontres et des interactions entre les individus. Mais il doit aussi pouvoir offrir des salles appropriables par chacun de manière personnelle.
La topographie séquence les espaces. Dualité entre verticalité et horizontalité. Représentation graphique du projet en coupe et en perspective.
Le projet se base donc sur le thème de l’intime et du partagé. Dans la ville de Matera, la limite entre les espaces intimes et publics est floue. Dans le projet, j’ai séquencé les espaces qui vont du partagé vers l’intime. À partir des espaces communs, une déambulation se met donc en place à travers tout le projet jusqu’aux logements.
UN LIEU DE L’HARMONISATION DES DIFFÉRENCES
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- STRUCTURE -
La structure du projet est relativement simple. L’ensemble est défini par différents voiles porteurs en béton disposés suivant une trame régulière et en accord avec la topographie existante sur le site. Ces longs voiles offrent au projet une certaine longueur ponctuée par des vues et des percées visuelles.
Linéarité du projet. Architecture troglodytique. Plan de spatialité interne du rez de chaussée. Échelle de base: 1.200.
- ESPACES Les deux masses bâties ont été pensées d’une manière différente. Ainsi, les alignements, les vues et les orientations varient. L’espace intérieur du projet est généré par un meuble habité visible en façade. Les différents espaces entre les voiles se vivent à la manière de l’intime et du partagé. Certains lieux intimes du projet, ont donc été pensés de manière troglodytique et rappellent l’identité même de la ville de Matera.
Topographie. Intégration dans le contexte urbain et paysager. Photographies de maquettes. Volumétrie du projet. Échelle de base: 1.200.
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ATELIER DE STRUCTURE - AU RYTHME D’UNE PAUSE Programme: Un refuge pour randonneurs Thème: Habitat structure bois Superficie: 25 m2 Lieu: Reykjadalur, Islande Année: Master 2, 1er semestre
- CONTEXTE -
La région de Reykjadalur est située au sud-ouest de l’Islande. Cette vallée au climat froid, est ponctuée par de nombreuses sources d’eau chaude reliées les unes aux autres par différents sentiers de randonnée.
La structure rythme le parcours. Plan de spatialité interne. Échelle de base: 1.50.
- IMPLANTATION -
L’idée du projet est de venir créer un lieu de pause, une expérience de vie à travers le paysage. Ce refuge s’inscrit donc dans la topographie du site. Il surplombe la rivière et offre aux randonneurs un espace couvert le long du sentier.
- HABITER LE PARCOURS Le projet peut être défini par un volume fermé qui travaille en complémentarité avec son exosquelette. Celui-ci s’exprime alors par une série de portiques. Le détachement du volume par rapport à la structure offre de longues perspectives cadrées sur le paysage. Ce volume est travaillé de telle sorte qu’il est libéré du cadre rigide qui le contient, laissant la possibilité aux promeneurs de s’aventurer dans la structure. Les portiques définissent la structure du projet mais ils amènent également une qualité architecturale au lieu. Ils rythment le parcours et offrent des jeux de lumière au cours de la journée. Portée par les différentes poutres transversales, la toiture surplombe légèrement le reste de l’espace.
Une pause à travers le paysage. Implantation du projet dans son contexte. Échelle de base: 1.1000.
Contexte naturel. Photographie du site. Vallée de Reykjadalur, Islande. Sources d’eau chaude et sentiers de randonnée.
AU RYTHME D’UNE PAUSE
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SPATIALITÉ INTERNE
- STRUCTURE -
Au cours de cet atelier, j’ai exploré en profondeur l’aspect structurel d’une architecture en bois. Le volume et les portiques travaillent ici de façon complémentaire. Le contreventement de l’ensemble est obtenu grâce à la rigidité des panneaux OSB qui forment les différentes parois du projet. Aussi, la torsion est évitée grâce à la rigidité de la toiture. Etant donné la finesse des sections (7,5 cm x 17,5 cm), l’encastrement du portique se fait par un assemblage en tenon-mortaise associé à une triangulation complémentaire. Les traverses viennent détacher la toiture des parois afin de créer des jeux de lumière. Ainsi, la structure se vit également à travers le rythme créé par l’ombre et la lumière.
Structure du portique et du volume habité. Coupe technique transversale du projet. Composition de la paroi. Échelle de base: 1.20.
Cadrages. Implantation du projet dans son contexte paysager. Perspective intérieure - extérieure. Matière, ombre et lumière. Simulation de l’ensoleillement le 21 décembre 2016 à 16h30.
AU RYTHME D’UNE PAUSE
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DĂŠtails techniques: 1. Parement vertical - Pin sylvestre 2. Lattage 3. Panneau OSB - Par pluie 4. Isolation type laine de roche 5. Panneau OSB 6. Isolation 7. Par vapeur 8. Bardage intĂŠrieur en bois 9. Couverture en zinc 10. Feutre bitumineux
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- ESPACES -
L’espace intérieur du refuge est rythmé par les jeux d’ombres et de lumières. La façade ouverte sur le paysage, offre un cadrage aux randonneurs qui viennent profiter du lieu. Le rythme soutenu des portiques au bout du refuge, donne l’illusion aux promeneurs que la paroi est pleine. Cette disposition rapprochée permet d’offrir des espaces plus intimes par rapport au chemin.
Détachement de la toiture. Coupe transversale du projet. Échelle de base: 1.50.
Ombre et lumière. Rythme donné par la structure. Photographies de la maquette. Échelle de base: 1.50.
AU RYTHME D’UNE PAUSE
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ARCHITECTURE BLEUE TFE 2017
Mon travail de fin d’étude de master porte sur l’Architecture bleue en tant que réponse aux préoccupations urbaines et environnementales actuelles. Le projet que j’ai réalisé en relation avec cette thématique, met en application cette nouvelle typologie d’architecture. Nous savons que l’environnement dans lequel nous évoluons est en train de changer et l’homme va devoir s’adapter au plus vite. Il me paraît évident d’anticiper face aux préoccupations actuelles et d’allier le processus de conception architecturale à cette nécessité d’adaptation.
Lorsque j’ai choisi de réaliser mon mémoire sur la relation qui peut exister entre l’eau et l’architecture, j’étais loin de me douter de toutes les connaissances et opportunités architecturales que ce sujet allait m’offrir. Nous sommes selon moi à l’aube d’un changement majeur en architecture et cette étude m’a ouvert les portes d’une des solutions qui s’offrent à nous. L’eau est acteur de notre quotidien et nous avons tendance à l’oublier. L’architecture bleue nous invite aujourd’hui à vivre avec l’eau, au lieu de chercher constamment à la repousser.
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ATELIER 1.618 - UN LIEU D’ADAPTATION ET DU CHANGEMENT POUR DEMAIN Programme: Un centre de sensibilisation et de recherche Thème: Architecture bleue - Projet de TFE 2017 Superficie: 4500 m2 Lieu: Amsterdam, Pays Bas Année: Master 2, 2ème semestre
- CONTEXTE -
Dans le but de pouvoir mettre en application les propos énoncés au cours du TFE, j’ai décidé de choisir un site concerné par les problèmes liés à la montée des océans et à la pression urbaine. Le but étant ici d’étudier la capacité d’un territoire à s’adapter à une crise environnementale. J’ai donc choisi de m’implanter aux Pays Bas. La situation géographique de la Hollande est en effet très particulière puisque plus d’un quart du pays se trouve sous le niveau de la mer. J’ai alors décidé de venir m’implanter aux abords d’Amsterdam, ville symbole de l’architecture bleue. Cette ville rencontre aujourd’hui de réels problèmes liés à la croissance démographique et ses environs sont constamment menacés par la force de l’eau.
Un territoire menacé. Un paysage façonné par l’homme. Implantation urbaine. Plan masse. Échelle de base: 1.2000.
Hydrographie de la ville d’Amsterdam et de ses environs. Étude territoriale. Échelle de base: 1.25000.
- IMPLANTATION Plus précisément, je me suis implanté à l’est de la ville entre les îles artificielles d’Ijburg et le Diemerpark. Le site s’oriente vers le gigantesque lac artificiel du Markermeer, symbole d’un territoire constamment façonné par l’homme. Mon implantation est située le long d’une zone inondable, non diguée et non protégée. C’est donc pour moi un site symbolique en ce qui concerne l’architecture bleue et une implantation parfaite pour réaliser mon projet.
Adaptation. Un projet mobile et résilient. Mobilité en trois temps. Richesse spatiale et modulable à travers tout le projet. Échelle de base: 1.500.
UN LIEU D’ADAPTATION ET DU CHANGEMENT POUR DEMAIN
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- CENTRE DE SENSIBILISATION ET DE RECHERCHE -
Pour répondre à un lieu d’adaptation et du changement pour demain, j’ai décidé de réaliser un centre de sensibilisation et de recherche, associé aux préoccupations environnementales actuelles. Le projet est un ensemble flottant et résilient. Il peut donc s’adapter sans aucun problème à une montée des eaux soudaine. Il assure la fonction de passerelle habitée en faisant la connexion entre deux rives opposées. L’une de ces rives est caractérisée par un contexte urbain et artificiel alors que l’autre relève plutôt d’un contexte paysager et naturel. La rive orientée face à la ville, est aménagée par un parvis séquencé et résilient. Cet espace descend peu à peu vers l’eau et le projet, grâce à un jeu topographique.
Habiter la traversée. Plans de spatialité interne - rez de chaussée, r+1 et r+2. Échelle de base: 1.200.
L’architecture bleue est principalement définie par le principe de la mobilité. L’ensemble du projet est donc constitué de deux volumes qui flottent et peuvent être déplacés. Mon projet est défini par deux volumétries assez similaires qui se juxtaposent l’une à l’autre. Etant donné que le système flotte, l’un de ces deux bâtiments peut glisser contre l’autre et offrir une nouvelle spatialité en trois temps. Ces deux volumes en décalage se mettent alors en relation et lorsque le système se déplace, les espaces s’enrichissent et se connectent les uns avec les autres. Flottaison. Plein et vide. Photographies de maquettes. Insertion dans le contexte urbain. Volumétrie du projet. Échelle de base: 1.500 et 1.200.
UN LIEU D’ADAPTATION ET DU CHANGEMENT POUR DEMAIN
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SPATIALITÉ INTERNE
- STRUCTURE -
Le béton armé et le polystyrène expansé sont les matériaux majoritairement utilisés pour les fondations du projet. Cette alliance matérielle lui permet de flotter et lui offre la possibilité d’évoluer sur l’eau à travers le temps et l’espace. Structurellement, ce centre de sensibilisation et de recherche fonctionne sur trois niveaux. Le rez de chaussée peut être considéré comme une épaisseur habitée en dessous du niveau de l’eau. Sur ce socle repose des éléments techniques, des blocs de distribution ainsi que d’autres petites volumétries structurelles. Sur ces différents volumes structurels vient s’appuyer une longue volumétrie singulière caractérisée par une structure en poutres métalliques.
Flottaison du volume supérieur. Socle habité. Coupe et élévation du projet. Échelle de base: 1.50.
La volumétrie du projet est simple et horizontale. Une sensation de légèreté est provoquée par la dualité et le décalage entre le socle habité et le volume supérieur du projet. Cette dualité est renforcée par un jeu de matérialité. J’ai en effet choisi de travailler sur un contraste entre un béton banché et foncé pour le socle du projet et un béton de façade blanc et lisse pour le volume supérieur. Dans la même idée, j’ai fait le choix d’ouvrir le projet de deux manières différentes. Un contraste s’installe alors entre un socle fermé en façade et ouvert de façon zénithale et un volume supérieur ouvert sur toute la longueur de cette même façade.
- ESPACES -
Cette typologie d’habitat émane d’une nouvelle manière de penser l’architecture en offrant des espaces variés et situés sous le niveau de l’eau. À travers un principe simple qui est celui du plein et du vide, j’ai essayé d’offrir au sein de mon projet des espaces variables et séquencés en travaillant sur l’idée d’une épaisseur habitée. Un jeu topographique dans l’épaisseur de la flottaison se met alors en place à travers tout le projet.
UN LIEU D’ADAPTATION ET DU CHANGEMENT POUR DEMAIN
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- COMPOSITION -
À l’heure où les préoccupaaons environnementales du réchauffement climaaque sont de plus en plus présentes, ce lieu d’adaptaaon et du changement pour demain nous montre les possibilités que nous avons d’envisager une architecture sur l’eau. Situé au cœur du territoire en danger de la région d’Amsterdam, ce projet flooant est caractérisé par sa mobilité et par sa résilience. Il nous offre une nouvelle typologie d’architecture envisagée sur l’eau. Le projet assure la fonccon de passerelle habitée en faisant la connexion entre deux rives opposées. L’une de ces rives est caractérisée par un contexte urbain et arrficiel alors que l’autre relève plutôt d’un contexte paysager et naturel. Deux volumétries en décalage ri se meeent alors en relaaon et lorsque le système se déplace, les espaces s’enrichissent et se connectent les uns aux autres. La flooaison du projet est accentuée par sa volumétrie. La dualité et le décalage entre le socle habité du projet et le volume supérieur épuré nous offre en effet l’agréable sensaaon de légèreté.
PLAN MASSE 1/2000
A
B
C
A
C
B
PLAN REZ 1/200
COUPE CC 1/200
ELEVATION SUD 1/200
UN LIEU D’ADAPTATION ET DU CHANGEMENT POUR DEMAIN CENTRE DE SENSIBILISATION ASSOCIE AUX PREOCCUPATIONS ENVIRONNEMENTALES
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DUPREZ LOUIS MASTER 2
UN LIEU D’ADAPTATION ET DU CHANGEMENT POUR DEMAIN
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ATELIER 1.618
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PERSPECTIVE EXTERIEURE
TABLEAU DES SURFACES
PLAN R+1 1/200
PLAN R+2 1/200
PERSPECTIVE INTERIEURE
PLAN REZ 1/50
ARCHITECTURE MOBILE - 3 TEMPS
ELEVATION 1/50
ELEVATION EST 1/200
COUPE AA 1/200 COUPE BB 1/50
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CONCEPTION D’UN APPARTEMENT INSOLITE - PHASE ESQUISSE Programme: Conception d’un appartement insolite Thème: Épaisseur habitée - Parcours - Transparence - Dualité des matières Lieu: Région de Paris - Boulogne-Billancourt Superficie: 140 m2 Année: 2017
- L’ EXPÉRIENCE DU PROJET - Travail de scénographie (scène, espaces attribués à la musique, parcours) - Mise en place de différents types d’espaces (isolés, ouverts et polyvalents) - Rangements en grande quantité et mobilité du mobilier - Relation entre l’intérieur et l’extérieur (double bar) - Ouverture du projet (en façade + lumière zénithale avec les verrières) - Dualité des matières / Transparence
Plan du projet - Orientation
Épaisseur habitée
Parcours - Séquence des espaces
Entre l’intime et le partagé
Concept de la double peau
CONCEPTION D’UN APPARTEMENT INSOLITE
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SPATIALITÉ INTERNE
Plan du projet. Intention graphique Échelle de base : 1.100.
Axes recherchés et jeux d’espaces Échelle de base : 1.100.
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ÉTUDE DE FAISABILITÉ - PROJET DE LOGEMENTS ET DE BUREAUX - PARIS Programme: Rehaussement d’un immeuble déjà existant - Logements et bureaux Thème: Insertion dans le contexte urbain - Respect de l’existant Lieu: Boulevard Voltaire, Paris 75011 Superficie: Environ 500 m2 Année: 2018
- MISSIONS RÉALISÉES -
- Étude du plan local d’urbanisme (PLU) - Analyse des différentes figures du PLU - Calcul des espaces libres réglementaires - Mise en volume d’un gabarit enveloppe possible - Étude de volumétries possibles en fonction du gabarit enveloppe à respecter
Volumétrie possible en fonction du gabarit enveloppe à respecter - Solution 1
- SITUATION GÉNÉRALE DU SITE - En zone urbaine générale - Bâtiment protégé et qui ne peut être démoli - Hauteur maximum de 31 mètres - En zone à secteur de renforcement végétal - En zone sans risques potentiels
Projet à l’étude - Solution 1
Volumétrie possible en fonction du gabarit enveloppe à respecter - Solution 2
Projet à l’étude - Solution 2
ÉTUDE DE FAISABILITÉ - PROJET DE LOGEMENTS ET DE BUREAUX
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PROJECTION
Représentation graphique de la potentielle façade: - Insertion dans le contexte urbain - Verticalité renforcée par rapport à l’existant
Implantation possible en fonction du gabarit enveloppe à respecter. Échelle de base : 1.100.
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PROJET DE PHOTOGRAPHIE - ART ASIA - LES VISAGES DU MONDE Description: Voyage itinérant en Asie - 4 mois Thème: Échanger, partager et immortaliser Pays: Philippines, Malaisie, Sri Lanka Année: 2018
Amina - 80 ans - ÃŽle de Siquijor - Philippines
PROJET DE PHOTOGRAPHIE - ART ASIA
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Patcheen - Fermier de Bangaan - Ifugao - Philippines
Radna Sababadi - Temple de Nallur, Jaffna - Sri Lanka
PROJET DE PHOTOGRAPHIE - ART ASIA
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Periaka - Plantations de thÊ d’Haputale - Sri Lanka
L’ Architecture est la parfaite expression de notre imagination. En construisant l’espace, elle combine création artistique et processus de conception, par et pour l’homme.
Réflexion sur le centre d’accueil pour réfugiés à Matera. Novembre 2015.
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LOUIS DUPREZ ARCHITECTURE - PORTFOLIO