Les Landes Républicaines N° 2 309

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« Notre temps est arrivé, les femmes » Ce 25 novembre 2020, Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, a lieu en pleine crise sanitaire, pendant un deuxième confinement, tout aussi risqué que le premier pour les femmes et les enfants dans les foyers où la violence règne. Cela est bien connu, les violences à l’âge adulte prospèrent sur le terreau de celles connues dans l’enfance, du côté des victimes comme des agresseurs d’ailleurs. Pour briser ce cycle infernal, il est fondamental de détecter, écouter, prendre en charge et réparer dès les premières violences. Nous sommes dans un contexte à la fois enthousiasmant et difficile. Enthousiasmant du fait de la nouvelle vague féministe, aux ramifications multiples, qui déferle depuis octobre 2017, depuis l’émergence de #Metoo. Abaissement du niveau de tolérance aux violences, prise de parole, prise de conscience du caractère massif des violences faites aux femmes et aux enfants : une fenêtre mondiale s’est ouverte pour des conquêtes majeures. Le contexte est néanmoins difficile parce que la Covid, le confinement, le couvre-feu et autres mesures qui peut-être sont devant nous, mais surtout la crise économique qui en découle, ont des conséquences catastrophiques pour l’emploi et le pouvoir d’achat des femmes. Elles ont déjà gravement renforcé les inégalités domestiques et d’accès aux droits, le nombre de mammographies a baissé de 50 % par rapport à d’habitude, ce qui laisse présager des détections tardives et toutes les conséquences qu’on peut imaginer sur la prise en charge du cancer du sein. La question se pose également pour les IVG, sans parler du débat qui a secoué la semaine dernière l’Assemblée nationale concernant l’allongement du délai. Les premières de corvée, sur le pont des métiers « essentiels », féminisés et précaires, seront les premières victimes de cette crise. Depuis notre échelle jusqu’à l’ONU, les études fleurissent sur les conséquences genrées de la crise et tout confirme que nous sommes face à un énorme défi pour éviter les régressions pour les droits des femmes. Nous sommes féministes : Notre sexe, notre genre nous conduit à devoir être dès la naissance des infatigables militantes pour l’égalité. En 2020, en France, 6e puissance économique mondiale, des

RÉPUBLICAINES

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C.P.N° 0621P11523 – N° 2309– Jeudi 26 Novembre 2020

êtres humains se font assassiner parce que ce sont des femmes : ce sont des féminicides. Une femme tous les 2 jours est tuée par son conjoint ou son ex conjoint ! Les violences faites aux femmes sont le bras armé du patriarcat. Elles sont partout. Elles sont diverses : emprise, injure, harcèlement, coup, viol… À chaque fois, les violences sexistes et sexuelles constituent un cinglant rappel à l’ordre patriarcal et capitaliste. Elles ne relèvent pas du domaine privé, mais d’une problématique publique et politique. Elles peuvent être arrêtées par des politiques publiques, volontaristes et financées. C’est pourquoi nous exigeons que le gouvernement arrête les tours de passe-passe : le milliard promis pendant le Grenelle est un milliard dû aux femmes victimes de violences et à leurs enfants ! Parce que nous sommes communistes, nous portons un féminisme-lutte des classes. La casse des services publics et le démantèlement des solidarités héritées du Conseil national de la Résistance, notamment les retraites et la Sécurité sociale, aggravent encore la situation économique des femmes. La Covid et le confinement, les fermetures des écoles, ont épuisé particulièrement les femmes au travail comme à la maison ! Appauvries et précarisées, elles sont encore plus vulnérables face aux violences. Pourtant, le confinement a révélé au grand jour le rôle primordial des femmes, premières de corvée dans les secteurs les plus indispensables à la société. Les femmes et leurs alliés se lèvent pour dénoncer le système patriarcal qui les domine. Le mouvement social massif des femmes se lève, nous en sommes pleinement : #Metoo, #Balancetonporc, #Iwas, en mobilisation le 8 mars 2020 contre la nomination de G. Darmanin, elles expriment clairement et massivement leur refus de continuer à subir ce système injuste ! Les violences faites aux femmes sont Suite page 2


systémiques. Il est illusoire de vouloir les éradiquer avec des textes parcellaires et des mesures parcimonieuses.

Le PCF demande immédiatement 1 milliard pour lutter contre les violences faites aux femmes ; le PCF demande l’adoption d’une loi-cadre sur les violences qui rassemblerait l’ensemble des problématiques dont le travail éducatif de prévention et d’accompagnement. À toutes les femmes qui ont révélé leurs souffrances, toutes celles qui se battent pour obtenir justice et soutien, pour se protéger et protéger leurs enfants, pour se reconstruire, retrouver la sérénité et le goût d’aimer à nouveau. À ces femmes qui aiment les femmes et qui subissent la double discrimination en tant que femme et lesbienne. À ces femmes de toutes origines et de tous milieux sociaux. Nous savons et nous réaffirmons qu’une alternative féministe ne peut être dissociée du combat contre les réactionnaires et l’extrême droite, contre le racisme, tout comme contre les LGBT-phobies. À toutes celles qui n’ont pas encore parlé. À toutes celles et tous ceux qui veulent construire une société solidaire et sororale, tou·te·s les bénévoles, les militant·e·s politiques et associatifs, ces agent· e· s du service public, ces professionnel·le·s de santé, ces voisin·e·s, ces élu·e·s locales, qui savent que « le privé est politique » et accompagnent les femmes vers la sortie des violences, tous ces gens qui pallient l’indifférence de l’État et sauvent des vies avec des bouts de ficelle. Aux hommes alliés des femmes, qui se questionnent sur leurs idées et leurs pratiques, et qui écoutent et soutiennent les femmes, par humanité, par solidarité. Nous voulons dire qu’il est possible d’en finir avec les violences faites aux femmes et aux enfants. Les militant·e·s et les élu·e·s communistes et féministes ont revendiqué le 21 novembre avec « Nous toutes » et le 25 novembre 2020, Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, comme le reste de l’année, dans tout le pays, contre les traitements indignes et contre toutes les violences faites aux femmes et aux enfants. Le temps de la colère, les femmes Notre temps, est arrivé ! Connaissons notre force, les femmes ! Découvrons-nous des milliers !

« Nous pouvons gagner ce milliard historique ! » Hélène BIDARD

responsable nationale de la commission, féministe/droits des femmes du PCF

Covid-19 / Macron :

Face à une gestion inefficace, autoritaire et sécuritaire de la crise, imposons d'autres choix !

Après le fiascos des masques, des tests, du manque de moyens pour nos hôpitaux, la politique du pouvoir lors de ce deuxième confinement éprouve très durement notre pays. Surmortalité dans les quartiers populaires, soignant.e.s épuisés, enseignant.e.s méprisés, vague de pauvreté et de misère, détresse psychologique, violences faites aux femmes et aux enfants en augmentation, commerces en faillite pendant qu'Amazon et autres GAFAM se gavent, collectivités privées de ressources et associations abandonnées, plans de licenciements par de grands groupes bénéficiant d'aides publiques : voilà la réalité de la politique Macron-Castex ! Les annonces du Président ce mardi soir ne sont pas à la hauteur de la crise que vit notre pays. Si l'allègement progressif du confinement était attendu, l'annonce d'un calendrier ne définit pas une politique sanitaire efficace. Ces annonces ne permettront pas de faire reculer durablement l'épidémie et de répondre aux exigences de protection, de liberté et d'égalité des français.e.s. Le Président de la République s'obstine à imposer une gestion inefficace, autoritaire et sécuritaire de la crise ! Le Parti communiste français exige que le Conseil de défense soit remplacé par un Comité d'urgence nationale, prenant appui sur des structures similaires dans les territoires, pour une démocratie sanitaire impliquant tous les acteurs. Le PCF appelle à relever deux défis majeurs : ♦ Le défi d'une stratégie sanitaire efficace pour faire reculer durablement l'épidémie, d'une maîtrise publique du vaccin et la garantie de sa gratuité. ♦ Le défi de la lutte contre le chômage et la pauvreté, par l'emploi et la formation, le soutien à l'école et à la culture, pour une vie digne et l'émancipation de chacun.e. Cela implique de mettre en œuvre d'autres choix. C'est une urgence pour des millions de français.e.s, notamment pour les jeunes de notre pays, abandonnés par ce pouvoir alors qu'ils sont l'avenir de la France. Agir et rassembler pour d'autres choix politiques, c'est le sens de l'engagement du PCF dans l'initiative citoyenne européenne qui sera lancée le 30 novembre prochain pour faire passer la santé publique avant les profits privés et garantir que les vaccins et traitements antipandémiques deviennent un bien public mondial, librement accessible à tous. C'est aussi le sens des propositions portées par le PCF et qui seront diffusées lors de la semaine nationale d'action « contre le chômage et la pauvreté, pour l'emploi, la dignité et l'égalité républicaine » que nous organisons du 5 au 11 décembre. ■


diplôme de secourisme pour venir en appui du personnel hospitalier afin de faire face à la saturation des hôpitaux.

Ouverture de lits, recrutement, hausse des salaires…

IL Y A URGENCE POUR L’HÔPITAL !

Ce n’est pas l’aumône que nos s o i g n a n t s demandent au gouvernement, ni des mesures gadgets ou des grandes discours. Nos infirmières, aides-soignantes, médecins, et tout le personnel hospitalier veulent d’abord être respectés et pouvoir faire leur travail dans des conditions dignes pour eux et pour leurs patients. L’hôpital a besoin d’actes forts de la part du gouvernement pour que les Français disposent enfin d’un système de santé efficace, avec les moyens nécessaires pour lutter contre le coronavirus. Mais le gouvernement et le Président Macron n’ont rien changé de leur politique libérale depuis la première vaguer épidémique de mars. La politique de tests qui a suivi le déconfinement du 11 mai a été un véritable échec : délais trop longs, aucun traçage des « cas contacts » ni des malades, absence de prise en charge des quarantaines, etc… Même le vaccin contre la grippe est aujourd’hui en rupture de stock ! La seconde vague est plus grave et rien n’est fait pour permettre aux malades d’être mieux pris en charge : Macron et Castex portent sur leurs épaules l’échec de la politique sanitaire de la France et doivent en tirer d’urgence les conclusions pour que nos vies soient enfin protégées, pour que nous puissions être dignement soignés.

Un plan d’urgence et de mobilisation générale doit être décrété pour avoir les moyens de mener la guerre au virus : ♦

Première urgence : revenir sur les réformes néfastes menées depuis vingt ans et qui ont cassé l’hôpital. Deux maternités sur trois ont fermé depuis 1980. 100.000 lits ont été fermés depuis 2000. Pourquoi, alors qu’en mai 12.000 lits de réanimation étaient ouverts, seulement 7.000 lits sont disponibles cet automne ? Réquisition de tous les professionnels médicaux et paramédicaux du public et du privé pour renforcer l’hôpital. Mise en œuvre d’une brigade sanitaire nationale constituée de renforts de la sécurité civile et de ceux qui ont passé le

Pour notre avenir, pour notre santé, soigner durablement l’hôpital : ♦

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un plan national d’ouverture de lits d’hôpitaux avec la création de 15.000 lits de réanimation ouverts d’ici deux ans pour atteindre le niveau de l’Allemagne. Plus aucune fermeture de lits d’hôpitaux : le tout ambulatoire ne doit pas servir à supprimer des lits d’hospitalisations. Nationalisation de l’industrie pharmaceutique et du médicament. Création d’une filière industrielle nationale de fabrication de masques, de blouses, de gants. Ouverture de nouvelles filières de formation. Stagiairisation et titularisation des contractuels.

La santé n’est pas une marchandise et l’hôpital pas une entreprise. Le personnel hospitalier doit être enfin respecté par le gouvernement. Pour que les soignants aient envie de (re) venir travailler à l’hôpital, il faut augmenter leurs salaires à la hauteur de la pénibilité et la dureté du métier. ■

Évacuation de migrants : « Pour eux c'est la matraque d'abord, pour nous c'est l'Humain d'abord ! »

Ce lundi soir, à Paris, Place de la République, des centaines de migrants accompagnés de plusieurs associations ont été brutalement chassés par la police. Leurs tentes ont été arrachées et confisquées. Cette évacuation est indigne de notre République. Les ordres du Préfet Lallement, validés par le ministère de l’Intérieur, visant à « dégager » les migrants à coups de matraques sont une honte ! Le gouvernement porte l'entière responsabilité de cette situation, suite à l'évacuation chaotique du campement de Saint-Denis, intervenue le 17 novembre, et qui a laissé plusieurs centaines d'exilés à la rue dans un dénuement extrême. Alors que la Mairie de Paris, par la voix de Ian Brossat, a proposé de mobiliser deux centres de congrès parisiens, inoccupés pendant la crise sanitaire, pour accueillir les migrants, l'État ne s'en est pas saisi... comme s'il fallait impérativement empêcher ces gens de dormir. La liberté des hommes et des femmes est gravement attaquée. Nous condamnons les violences subies hier par les migrants, les militants associatifs et les journalistes, et nous demandons à l’État de trouver dès aujourd'hui des solutions d'hébergement pour tous les migrants à la rue. Alors que pour eux c'est la matraque d'abord, pour nous c'est l'Humain d'abord ! ■


Modef des Landes

Chassons l'influenza aviaire !

La chasse fait partie des moyens concrets de lutter contre la propagation de l'influenza aviaire. Le Modef des Landes demande une réouverture de la chasse, en particulier à la palombe, comme moyen de protection contre le virus. Le 6 novembre, la préfète des Landes a accordé une dérogation à la chasse au gros gibier, en tant que nuisible pour les cultures. Les 16 et 20 novembre, des cas positifs au H5N8 étaient recensés en France. Il est avéré que l'activité de chasse autour des zones d'élevage, en particulier à la palombe, permet de lutter contre le virus de l'influenza aviaire. En effrayant les oiseaux et en les maintenant à distance, la chasse réduit efficacement la circulation des migrateurs autour des fermes avicoles. Dans ce contexte, le Modef des Landes a sollicité la préfecture des Landes pour qu'elle reconsidère la possibilité d'autoriser plus largement la chasse, en particulier à la palombe. ■

Souscription du centenaire du PCF

Initialement prévue comme souscription annuelle de la Fête des Pins, au regard de l’actualité elle a été transformée en souscription du centenaire du PCF. Les camarades et amis qui ont contribué à son succès sont à remercier, particulièrement les sections qui ont fait un effort dans ce moment politique, social et sanitaire très perturbé.

Les numéros gagnants : 12957 03129 07423 11337 04152 00340 06321 09461 06799 19885 11728 01530 07001 10786 08088 02189 02355 03192 07231

06654 13324 11769 07370 04040 10677 01550 12997 00073 08905 08393 09437 10616 19920 07785 02261 03394 06766 11137

11521 13956 07559 04007 06137 01732 13457 00169 11309 08341 09445 19088 09145 02177 10808 12657 07638 11176 08894

06788 10860 11689 13932 04053 11165 06233 07396 01827 00049 08633 08181 09621 19905 07909 13813 12786 ■

Les lots sont à retirer à la Fédération des Landes du PCF avant le 18 Décembre 2020

HARO SUR LE DIMANCHE

...Celle qui ne possède en or, que ses nuits blanches/ Pour la lutte obstinée, de ce temps quotidien/ Du journal que l’on vend, le matin d’un dimanche/ A l’affiche qu’on colle, au mur du lendemain/ Ma France !… Extrait de la chanson MA FRANCE de Jean Ferrat (né Teneinbaum 1930-2010). Le 3 juillet 321, Constantin (272-337, 34ème empereur romain), a fait du dimanche un jour de repos légal. Le dimanche, dit jour du soleil, est le premier jour de la semaine, celui où, raconte la Bible, Dieu s'est reposé après avoir créé le monde et ce jour de repos «sacré» au départ, est devenu au fil du temps un bien commun «de temps à soi» laïque, bien ancré dans la population. Le 13 juillet 1906, la loi sur le repos hebdomadaire accorde à tous les salariés de l’industrie et du commerce un repos de 24 heures après six jours de travail par semaine. Loi encore en vigueur aujourd’hui, constitue la base de notre organisation sociale du temps. De nos jours, elle se trouve dans le collimateur de nombreux pourfendeurs du repos dominical, notamment dans les commerces, qui la jugent incompatible avec la liberté du commerçant, avec les lois de la libre concurrence à l’époque d’internet et avec les souhaits du consommateur, avide de faire ses courses aussi les dimanches… La législation sur le repos hebdomadaire est le fruit des luttes sociales. Ainsi, le dimanche 19 février 1905, une manifestation de 2000 employés de commerce à Toulouse, revendique la fermeture des magasins le dimanche après-midi, brise les vitrines et endommage les devantures des commerçants qui se montrent réfractaires à cette revendication. Le dimanche suivant, les employés récidivent avec le soutien des syndicats ouvriers de la ville. Les commerçants locaux sont effrayés, la police est en alerte. Ce mouvement social est le résultat d’une privation de tout repos des employés de commerce, de l’hôtellerie, de la restauration, ainsi que des coiffeurs, des travailleurs de l’industrie alimentaire, des domestiques… Cette absence d’un repos régulier a des conséquences : l’espérance de vie se limite à moins de 40 ans chez 45 % des employés et des coiffeurs. De même, ces catégories professionnelles se plaignent de l’absence de toute vie familiale et de leur exclusion des divertissements du dimanche. Le rapport de Camille Beausoleil au IVe congrès de la CGT à Rennes en 1898, souligne tous les bienfaits du repos dominical pour la vie familiale, le développement intellectuel et les activités civiques du citoyen. Le mouvement syndical ouvrier soutient ainsi efficacement les syndicats des employés dans leur lutte pour le repos dominical, sur un plan organisationnel, mais aussi, en appelant au boycott des commerces qui font travailler leurs employés le dimanche. Grâce à la journée de 8 heures conquise en 1919 et au repos du samedi après-midi, puis de la semaine de travail des 40 heures, conquise après les grèves de juin 1936, dans «les accords Matignon» sous le gouvernement de «Front Populaire», le repos hebdomadaire et la réduction du temps de travail entrent dans les mœurs définitivement après 1944. Les adversaires d’un repos collectif le dimanche n’ont jamais cessé leurs assauts sous tous les prétextes. L’offensive antisociale bien coordonnée vient du patronat, du gouvernement, de parlementaires macronistes, de droite, soi-disant de gauche, mais aussi de maires comme récemment ceux de Capbreton et Hossegor qui viennent à la rescousse pour déroger encore plus au repos dominical et dégrader un peu plus les conditions de vie des salarié-e-s. Entà plan bibe amasses défendèm lo dimenge e lo repaùs setmanèr (Pour bien vivre ensemble, défendons le dimanche et le repos hebdomadaire). Roger La Mougne


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