16 minute read
LA VIE ÉCONOMIQUE
LIGHTAIR
célèbre ses vingt ans !
Innover dans le milieu de l’enseigne et des habillages communicants, avec une appétence particulière – et singulière ! – pour le format XXL, en vingt ans, LightAir s’est fait à la fois, un nom et… une image. Désormais sortis de l’adolescence, Julien et Jean-Baptiste Aguettant, ainsi que Laurent Tassard s’émancipent : ils ont décidé de grandir. Parce qu’à vingt ans, tous les rêves sont possibles…
Texte : Christophe Magnette - Photos © DR
Avoir vingt ans en 2022 n’est pas forcément anxiogène. Bien au contraire, chez eux, “c’est la brigade du kiffe”. Entre agilité et prospective, entre technicité et innovation, mus par une politique RSE et de RH engagée, les deux frangins – Jean-Baptiste et Julien Aguettant – ainsi que Laurent Tassard, les trois dirigeants-associés de LightAir, l’assurent de concert : “Nous faisons tout, beaucoup mieux qu’il y a vingt ans.” En atteste la dimension environnementale prise à bras le corps et matérialisée par des encres 100 % écologiques, une flotte de véhicules hybrides, un plan d’actions, appelé à œuvrer sur une réduction de l’empreinte carbone de l’entreprise, ou encore, 1 000 m² de panneaux solaires… sur le futur bâtiment (livraison prévue fin 2023), qui signe le projet d’extension de LightAir, enclin à pousser les murs pour poursuivre sa marche en avant (bientôt donc, 2 500 m² au total). À cette première cerise sur le gâteau, une deuxième a succédé : la première croissance externe du trio d’associés, annoncée mi-octobre, autour du rachat de Fimel, maison iséroise fondée en 1949, reconnue comme acteur majeur dans la fabrication, de même que la pose d’enseignes traditionnelles et signalétiques. Experts en enseignes numériques, JeanBaptiste, “l’agitateur”, Julien, “le visionnaire” et Laurent, “le producteur”, ajoutent ainsi, une deuxième corde (ultra complémentaire), à leur arc de compétences : l’expertise enseigne dite traditionnelle. De trente collaborateurs, les voilà passés à quarante-sept, avec l’intégration de l’ensemble des salariés de Fimel. Surtout, en intégrant les deux savoirs, les trois dirigeants se félicitent “de proposer une offre tout intégrée, incluant la conception, fabrication et installation de tous types d’enseignes.”
PREMIÈRE CROISSANCE EXTERNE, AVEC LE RACHAT D’UN EXPERT EN ENSEIGNES DITES TRADITIONNELLES ET EXTENSION DE 1 000 M ² DES LOCAUX DE LENTILLY, PRÉVUE POUR FIN 2023 !
En capitalisant ainsi, sur un bureau d’études expert, un studio graphique, un parc machines compétitif, ainsi qu’un maillage d’installateurs renforcé sur le territoire, les activités complémentaires des deux PME permettent aujourd’hui, d’envisager une véritable synergie des métiers de l’enseignenumérique et traditionnelle, sans oublier la signalétique. Tablant sur un chiffre d’affaires de huit millions d’euros, LightAir — spécialisée depuis l’origine dans l’enseigne et la communication grand format — poursuit à dessein, sa volonté d’innover à travers des habillages communicants, soutenus par une offre transversale, unique sur le marché. “Notre ADN demeure le grand-format, mais en élargissant notre champ des possibles, nous renforçons également notre légitimité auprès des grandes marques”, souligne Jean-Baptiste. Un florilège ? Maisons du Monde, Grand Frais, Würth, 123 Pare-Brise, Ekosport ; Bouygues, Icade, Vinci, DCB, Capelli, Promoval, s’agissant du secteur de l’immobilier, tout porte à croire qu’il fait bon vivre (et travailler), chez LightAir. Preuve en est, la certification Great place to Work pour optimiser l’environnement de travail et le bien-être des collaborateurs, en cours de réalisation au sein de la PME lyonnaise, bien décidée — par ailleurs —, à faire entendre sa voix, quant au règlement local de publicité (RLP) que la Métropole de Lyon tend à vouloir restreindre. Et c’est un doux euphémisme. À l’unisson, Jean-Baptiste et Julien Aguettant se confient : “Nous regrettons que l’écologie soit dissociée de l’économie, comme nous avons vivement regretté que la Métropole ait outre-passé ses droits, en oubliant [sic] que la gestion des bâches publicitaires n’entrait pas dans son champ de compétences, puisqu’elle est gérée par décret… En outre, nous sommes tellement fiers d’avoir reversé aux propriétaires, plus de huit millions d’euros pour la rénovation du patrimoine français que nous entendons bien faire valoir nos droits. Sans oublier, la perte potentielle de milliers d’emplois : la posture de la Métropole est déraisonnée. Et déraisonnable.” Pas de quoi mettre à bas “la brigade du kiffe” : à vingt ans on rêve — en grand —, en grand format.
BANQUE RICHELIEU FRANCE
Edouard Madinier : « Notre rôle, c’est de continuer à valoriser et protéger la fortune de nos clients »
En amont d’une conférence d’investissement rassemblant plusieurs dizaines de clients, Edouard Madinier, membre du directoire de Banque Richelieu France, évoque avec nous un contexte actuel fortement perturbé par les crises successives. Si l’activité économique s’en retrouve impactée, Banque Richelieu France, spécialisée dans la Gestion de Fortune continue néanmoins de grandir et de développer son réseau. Entretien.
Propos recueillis par Morgan Couturier - Photos © Saby Maviel
Dans votre invitation à votre
conférence, vous parlez « d’environnement de marché très complexe », à quoi faites-vous référence ?
Aujourd’hui, nous avons un environnement géopolitique qui est compliqué, qui crée tout un tas de répercussions dans l’économie. Il y a également eu le Covid, des plans de relance par les banques centrales qui ont dû injecter beaucoup d’argent. L’activité est certes repartie très fort, mais les reprises de production n’ont pas suivi. D’un côté, nous avions beaucoup de demandes et de l’autre, peu d’offres. Tout cela, a créé des tensions sur les prix, une inflation et une remontée des taux. Et quand les taux remontent, les valorisations baissent et dans une période où la croissance économique est mise à l’épreuve, le cocktail est détonnant. Les marchés vont se rééquilibrer sous un nouveau paradigme, mais plus cela prend du temps et plus cela sème le doute.
La Banque Richelieu est spécialisée dans la gestion de la fortune. Avec toutes ces crises, votre rôle n’a-t-il pas été renforcé ?
Notre rôle est important pour nos clients car nous avons, avec nos experts, une lecture des événements qui se fait en temps réel. Aujourd’hui, on essaye dans cet environnement nouveau, d’avoir une vision un peu plus long-termiste et d’anticiper au mieux l’évolution des marchés. On sait que l’on est rentré dans une période de hausse des taux assez pérenne, grâce à laquelle nous sommes à nouveau capables de proposer des produits à capital garanti ayant un rendement positif, ce que l’on ne pouvait plus faire depuis 11 ans. On entre dans une nouvelle phase de marché. Il y aura des opportunités.
À l’inverse, peut-on craindre une certaine récession ?
Effectivement, on peut craindre que le chômage augmente et que la croissance baisse. Dans ce contexte, il va y avoir 6, 8 à 12 mois pendant lesquels il faudra être prudent, le temps que les entreprises s’adaptent. En revanche, nous ne sommes pas du tout comme en 2008 (avec la crise des
De gauche à droite : Vincent Boisbourdin, conseiller advisory Olivier Walter, conseiller produits structurés Alexandre Hezez, stratégiste Groupe Marie Guibert, Ingénieur Patrimonial Edouard Madinier, Membre du Directoire Eric Birotheau, Directeur de l’Ingénierie Patrimoniale Claire Luzinier, Directrice Communication Groupe Jacques-Aymon Lapluye, Membre du Directoire
subprimes, ndlr), les banques sont solides. Psychologiquement, ce sera difficile car le contexte sera négatif. Pourtant il y aura des opportunités car le marché est en avance de phase. On ne verra que des mauvaises nouvelles, et pourtant, il faudra y aller. C’est là où nous rentrons en jeu. C’est à nous d’expliquer tout cet environnement.
« NOUS SOMMES CAPABLES DE PROPOSER DES PRODUITS À CAPITAL GARANTI AVEC UN RENDEMENT POSITIF, CE QUE L’ON NE POUVAIT PLUS FAIRE DEPUIS 11 ANS »
Cet environnement a-t-il remis en cause vos affinités avec les start-ups ?
Non ! On continue de « marcher très fort » avec les start-ups, en raison de notre proximité et de notre agilité. Ce que leurs fondateurs aiment chez nous, c’est notre réactivité et notre compréhension de leur environnement. Notre force, c’est qu’on a un seul métier. On ne se pose pas la question de savoir si on privilégie le corporate, le retail, etc… En revanche, l’environnement des start-ups est assez compliqué. Il y a un peu moins de levées et de dynamique. Pour autant, tout va se réajuster et se remettre à niveau. Ça va repartir !
Quelles sont vos perspectives en matière de choix stratégiques pour réagir à ce contexte ?
La situation actuelle ne remet pas en cause notre développement. On ne va pas réduire la cadence. En revanche, nous nous devons d’être très proches de nos clients, de communiquer régulièrement afin de les conseiller au mieux sur le placement de leurs actifs. Il faut faire des choses raisonnables. On gère la fortune qu’ils ont créée sur le long terme Notre but, c’est de la valoriser et de la protéger.
Vous fêtez, cette année, vos 20 ans d’existence dans la capitale des Gaules. Que représente cette date pour vous ?
Nous sommes très contents. Mais maintenant, il faut que les 20 prochaines années permettent au bureau lyonnais de devenir un acteur de premier rang. Nous devons continuer notre développement de manière plus forte. Et recruter !
Olivier Walter, conseiller produits structurés, Alexandre Hezez, stratégiste Groupe, Marie Guibert, Ingénieur Patrimonial, Eric Birotheau, Directeur de l’Ingénierie Patrimoniale et Jacques-Aymon Lapluye, Membre du Directoire
OBIZ©
Brice Chambard (OBIZ) entouré de Laura Bigal (Vatel) et Hervé Bigal (Influactive)
Romain Chazottier, Camille Maitrugue, Florian Cointet, Anthony Mornand et Alexandre Thaveau, défi Solid’air (OBIZ)
Le Colonel de Gendarmerie Gilles Molinari, Le Colonel de Gendarmerie Gilles Molinari, et Paul-Maurice Morel (C-Gastronomie), et Paul-Maurice Morel (C-Gastronomie), Lieutenant-Colonel de Réserve Lieutenant-Colonel de Réserve
Didier Lamaison (France TV) et sa fille Émilie Lamaison (Moabee)
Du beau monde et du haut gradé pour inaugurer la terrasse d’OBIZ© sur les bords de Saône, à l’occasion de la Journées nationale des réservistes (JNR2022) placées sous le thème « Réservistes au cœur des territoires »
Texte : Marc Engelhard - Photos © Saby Maviel
« La réserve sera un des enjeux majeurs de la Défense » a déclaré en préambule le Général Gilles Darricau, gouverneur militaire de Lyon, en reprenant les mots du Président de la République qui souhaite faire passer le nombre de réservistes de 30 000 à 50 000, soit un doublement des effectifs. Cet effort a pour objectif de développer la cohésion nationale et de souder encore davantage la population et son armée. La sécurité est plus que jamais l’affaire de tous. À ce titre, OBIZ© est, depuis 2018, une entreprise partenaire de la défense nationale. Parmi ces civils, également Réservistes Citoyens ou Opérationnels, se trouve peut-être votre voisin de palier, votre notaire, votre plombier ou encore votre médecin. Mais aussi le fromager MOF Christian Janier, ou Paul-Maurice Morel, DG du groupe de brasseries Paul Bocuse. « Être réserviste c’est être deux fois citoyen. On y croise des personnes généreuses qui donnent de leur temps pour servir les autres » témoigne le Général Renard, « dont des personnes comme Brice Chambard, PDG du Groupe OBIZ© qui consacre une trentaine de journées par an à la Réserve Opérationnelle au profit de la Gendarmerie Nationale ».
Le fromager affineur Christian Janier, M.O.F, Brice Chambard (OBIZ) et le Colonel de Gendarmerie Benoit Vinnemann
Claire Ferreira, Geoffrey Duran et Léa Streicher (Hop)
Le Général Gilles Darricau, gouverneur militaire de Lyon, et Paul-Maurice Morel, DG des Restaurants et Brasseries Bocuse®)
Marc Engelhard (Lyon People), le fromager affineur Christian Janier, M.O.F et Paul-Maurice Morel (Restaurants et Brasseries Bocuse®)
A B C D E
F
G 212g CO2/km
ABITIBI
L’expert qui réchauffe l’ambiance de nos maisons
Après avoir longuement construit sa réputation dans l’univers du chauffage, la société lentilloise s’est, depuis, fait un nom dans l’univers de la ventilation, de la plomberie et de la climatisation. 25 ans d’expertise au nom du confort des particuliers et des professionnels, qu’Abitibi renforce depuis peu, par l’activité « solaire photovoltaïque » et par une réactivité dans le dépannage et l’entretien de plus en plus importante.
Texte : Morgan Couturier – Photos © Saby Maviel
Patron d’Abitibi, Stéphane Siffert d’origine suisse, doit l’avoir dans le sang, cette faculté à avancer à vive allure, à ne reculer devant rien, avec le succès pour seule conclusion. Un héritage familial que les fans d’automobile reconnaitront à son nom, Siffert. Celui de Joseph, illustre pilote Porsche dans les années 60. Et tant pis si le Lentillois s’estime mauvais pilote, sa rapidité tient à autre chose : l’efficacité de ses hommes (57 répartis sur Lentilly, Villefranche et Tarare) et leur capacité à répondre prestement aux attentes de ses clients. « Nous savons faire votre climatisation, votre ventilation, la plomberie, le chauffage et la petite électricité. Pour 90% des problèmes de votre maison, nous avons la solution », expose-t-il, alors que l’installation de panneaux solaires va compléter une offre déjà conséquente. Et ce, en dépit d’un marché où une concurrence parfois malhonnête trouble l’image de la profession. « Nous faisons moins cher, mieux et avec toutes les garanties », poursuit Stéphane Siffert, chiffres à l’appui.
Avec près de 500 installations par an et 12 000 contrats de maintenance assurés chaque année, Abitibi se démarque en effet par la réussite de ses travaux, accomplis aussi bien pour les particuliers que les professionnels. « On entretient près de 400 sites professionnels, dont Babolat, LDLC, Pia Gazil encore la Brasserie du Mont-Blanc à Chambéry », dévoile Stéphane Siffert. Reste qu’à l’instar du pilote éponyme, le fondateur aspire à passer la vitesse supérieure et doubler rapidement ses résultats. L’objectif ? Atteindre la barre des « 25 000 contrats annuels d’ici 5 ans ». Une ambition louable appuyée par la « formation interne ABITIBI » de 10 jeunes chaque année (ou adultes en reconversion), lesquels peuvent profiter d’un certain confort de travail et d’une mobilité urbaine facilitée par l’entreprise.
ABITIBI.FR, UN SERVICE WEB POUR PRENDRE RENDEZ-VOUS EN UN CLIC
Reste qu’entre les séances de musculation construites pour le bien-être des salariés, les séances mensuelles d’ostéopathie et les parties de billard, Abitibi s’évertue avant tout à élargir son empreinte. Non pas carbone, que son directeur s’aventure à réduire (avec de nouveaux moyens de déplacement urbain), mais bien son poids, que son directeur souhaite plus important dans la région au travers de ses agences de proximité. À commencer par Lyon intramuros, où les 5000 clients déjà référencés ont motivé l’installation, « d’ici quelques mois » de nouveaux bureaux, dans le 5e arrondissement. Une nouvelle agence censée booster un peu plus encore la réactivité du service maintenance et entretien entre Rhône et Saône. Puis sous d’autres cieux (Annecy et Megève sont en réflexion). Une question de rapidité toujours, alors qu’Abitibi veut garantir un service sans sous-traitance.
Une manière aussi, de justifier le slogan de la maison, prête à « s’engager pour le futur et agir dans le présent », et ainsi emporter les métiers manuels sur des supports plus numériques. « Depuis 3 ans, nous dépannons beaucoup de nos clients grâce à notre hotline téléphonique composée d’hyper-techniciens. À partir de 2023, nous la déploierons sous format vidéo pour encore plus de performance. Également, nous avons créé le concept MyAbitibi : un contrat de maintenance proposé aux clients dès la fin du premier trimestre 2023, grâce auquel nous viendrons les dépanner en un coup de téléphone. Une fuite d’eau, un problème de chauffage ou de ventilation, le client pourra se rendre sur le site abitibi.fr et prendre rendezvous comme sur “Doctolib” », expose Stéphane Siffert. La machine est lancée. Alors comme le dirait un commentateur sportif bien connu de la F1 : « montez le volume, et rendez-vous au prochain dépannage » !
> Plus d’infos sur www.abitibi.fr
Le crossover redéfini.
À partir de
237€ TTC /mois (2)
1er loyer de 4 000 €
LLDsur49 moiset 40 000 km
Kia Lyon Vaise
Tél.: 04 72 53 14 80 www.kia-lyon.com
KIA Caluire
Tél.: 04 78 23 11 06 www.kia-lyon.com
KIA Vénissieux
Tél.: 04 37 25 05 00 www.kia-lyon.com
KIA Villefranche
Tél.: 04 37 55 29 29 www.kia-villefranche.fr
KIA Roanne
Tél.: 04 77 23 70 00 www.kia-roanne.fr
Nouveau Kia XCeed Nouveau Kia XCeed Hybride Rechargeable Consommations mixtes du Nouveau Kia XCeed: de 5,0 à 6,4 L/100 km, du Nouveau XCeed Hybride Rechargeable: de 1,4 à 1,7 L/100 km.
*Garantie 7 ans ou 150 000 km (1er des deux termes échu) valable pour tous les modèles Kia en France métropolitaine et Corse (hors DOM-TOM) et dans tous les États membres de l’UE ainsi qu’en Norvège, Suisse, Islande et Gibraltar sous réserve du respect du plan d’entretien défini par le constructeur et présenté dans le manuel utilisateur. (1) Movement that inspires = Du mouvement vient l’inspiration. Mentions légales KIA FINANCE (2) Exemple de Location Longue Durée (LLD) de 49 mois et 40 000 km pour le financement d’un Nouveau Kia XCeed Motion 1.0 L essence T-GDi 120 ch ISG BVM6 (hors options). 1er loyer majoré de 4 000 € suivi de 48 loyers mensuels de 237 € TTC. Exemple hors assurances et prestations facultatives. Modèles présentés: Nouveau Kia XCeed GT-line Premium 1.6 essence T-GDi 160 ch ISG DCT (avec peinture métallisée et pack confort). 1er loyer majoré de 4 000 € suivi de 48 loyers mensuels de 467 € TTC. Nouveau Kia XCeed Hybride Rechargeable Lounge avec options. 1er loyer majoré de 7 100 € (couvert à hauteur de 1 000 € par le Bonus Écologique, et à hauteur de 2 500 € par la Prime à la Conversion)(3) suivi de 48 loyers mensuels de 387 € TTC. Sous conditions de reprise. Exemples hors assurances et prestations facultatives. (3) Conditions d’éligibilité au Bonus Écologique sur service-public. fr et primealaconversion.gouv.fr. Offres réservées aux particuliers, non cumulables, valables du 01/10/2022 au 31/10/2022 chez tous les distributeurs Kia participant. Sous réserve d’acceptation du dossier par Kia Finance, Kia Finance est une marque exploitée par Hyundai Capital France, SAS au capital de 94 545 500 euros, 69 avenue de Flandre 59700 Marcq-en-Barœul SIREN 491 411 542 RCS Lille Métropole. Les marques citées appartiennent à leurs propriétaires respectifs. Conditions sur kia.fr.