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Sommaire Actiléa Néo 8 pages 2013.indd 1
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En bref
Décryptage
Focus
Prévention
Néo Territoires, les Français et leur système de santé, encore trop de médicaments vendus…
Halte au gaspillage ! « Dépenser au hasard, inutilement », c’est la définition du mot « gaspiller ». Chaque année, la facture annuelle du gaspillage en France se monte à 140 milliards d’euros, soit 7 % de la richesse produite ! Une aberration ! Disons « halte au gaspi » !
Ces animaux qui nous soignent Les animaux, domestiques ou non, sont présents à nos côtés depuis la nuit des temps ! Depuis quelques années, nous avons pris conscience qu’ils pouvaient aussi nous soigner. Découvrez ces médecins d’un nouveau genre !
Le soleil, ami ou ennemi ? Le soleil rythme nos cycles biologiques, intervient dans notre équilibre psychique, renforce notre système immunitaire… La liste de ses bienfaits est importante, mais ses dangers sont aussi bien connus. Alors, comment en profiter en toute sécurité ? Petits conseils d’avant vacances…
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Nutrition
De A à Z
CNM & Vous
Les bienfaits de l’huile d’olive L’huile d’olive est aujourd’hui reconnue pour ses nombreux bienfaits santé : anti-cholestérol, anti-âge… Mais devant une offre sans cesse grandissante, il n’est pas toujours facile de bien la choisir…
L comme… Loi de financement de la Sécurité sociale…
CNM Innov@tion Services Passage en revue des nouveaux services que la CNM vous propose : site Internet, espace adhérent aux fonctions élargies, système d’alerte de remboursement par mail…
Retrouvez toute l’information de votre mutuelle sur le site Internet
www.cnmsante.fr
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N° 35 / Juin 2014 Une publication de la Caisse nationale mutualiste. Mutuelle régie par le livre II du Code de la mutualité, inscrite au Registre national des mutuelles sous le numéro de Siren 784 492 100.
ÉDITORIAL
Sommes-nous tous des irresponsables ?
Siège social : 93A, rue Oberkampf 75553 Paris cedex 11
Chers adhérents,
Directeur de la publication : Jacques DE JAEGER
Après avoir rendu obligatoire l’adhésion à une mutuelle pour tous les salariés du privé et, dans le même temps, fiscalisé la participation de l’employeur à cette même complémentaire santé, le gouvernement a enclenché la réforme des contrats responsables (95 % des contrats de complémentaire santé dont nous sommes les uns et les autres équipés).
Rédacteur en chef : André PELTIER
Si la volonté de rendre notre couverture santé plus solidaire et plus responsable est un objectif louable que nous partageons, les modalités pour y parvenir sont une nouvelle fois très étonnantes et… critiquables ! Pourquoi vouloir imposer aux mutuelles (et autres assureurs de santé) de prendre obligatoirement en charge les dépassements d’honoraires pratiqués en médecine de ville ou hospitalière ? Si la Sécurité sociale estime que ses bases de remboursement ne sont plus assez élevées, ne devrait-elle pas plutôt les revoir et les augmenter que d’hypocritement demander aux mutuelles santé de prendre en charge leur dépassement ? Pourquoi vouloir imposer aux mutuelles des minima (ou planchers) et maxima (ou plafonds) de remboursement en optique ? Les Français et leurs mutuelles ne sont-ils pas capables d’évaluer tout seuls la couverture optique la plus adaptée à leur situation ? Est-il logique que des Français sans aucun problème de vue soient obligés de se couvrir pour ce risque, et dans le même temps d’imposer à d’autres Français – avec de lourds soucis de vision – une limite de remboursement (sauf, bien sûr, à accepter de payer deux fois plus de taxes que les autres) ? Car c’est bien la sanction ! Si vous sortez des clous en souscrivant à une complémentaire santé moins couvrante ou, au contraire, plus protectrice que celle arbitrairement considérée comme « responsable », vous serez financièrement pénalisé par une TSCA (l’équivalent de la TVA pour les produits d’assurance) à 14 % au lieu de 7 % ! Il me semble avoir connu d’autres illustrations plus glorieuses de nos valeurs de Liberté, d’Égalité et de Solidarité. Jacques De Jaeger Président de la CNM Prévoyance Santé
Comité de rédaction : Jean ASTOR, Paul HUMBERT, Michel LACHAISE, Louis LOTRIAN, André PELTIER, Jean THIEC Conseillère technique : Françoise PARISI Conception/création/rédaction : STRATÉGIE & CONTENUS pour le compte d’ALISO CONSEIL Impression : Presses de Bretagne 16, rue des Charmilles - Z.I. Sud Est 35577 CESSON-SÉVIGNÉ © Caisse nationale mutualiste Toute reproduction d’articles, de photos ou d’illustrations doit faire l’objet d’une demande écrite auprès du rédacteur en chef. La rédaction n’est pas responsable des documents qui lui sont adressés spontanément. La Caisse nationale mutualiste se réserve le droit de refuser toute insertion sans avoir à justifier sa décision. Document non contractuel. Tirage : 51 500 exemplaires Commission paritaire : N° 0316M07771 Dépôt légal : 2e trimestre 2014
+ www.cnmsante.fr D’INFOS
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# En bref
Médicaments : des remboursements en baisse,
mais un nombre de boîtes vendues en hausse ! Bonne nouvelle : les dépenses liées aux remboursements pharmaceutiques sont en retrait de 0,4 % par rapport à 2012, grâce notamment aux baisses de prix et au recours plus important aux génériques. Mais cette bonne nouvelle en cache une mauvaise… Pour la deuxième année consécutive, le montant des dépenses liées au remboursement des médicaments est en baisse en 2013, et ce même s’il reste encore important, s’élevant à 22,6 milliards d’euros. Cette tendance à la baisse est due notamment à la diminution du prix de nombreux médicaments et à l’utilisation des génériques. Aujourd’hui, le taux de substitution est 82,2 % au lieu de 71,7 % en 2012.
médicaments vendues et remboursées. Si cette tendance se confirme, il se peut que les chiffres 2014 soient moins bons !
Cependant, cette amélioration des dépenses cache deux tendances préoccupantes : le report de prescriptions vers des médicaments plus coûteux, notamment en cas de traitements lourds, et une hausse du nombre de boîtes de
La santé des salariés :
une priorité pour les entreprises ! plus en plus d’employeurs lancent des opérations de prévention au sein de leur entreprise. Ils seraient 86,6 % à l’avoir fait, soit une hausse de 2 % par rapport à l’année précédente. Il s’agit essentiellement d’actions visant le stress et les risques psychologiques. La manière de traiter ces problèmes évolue elle aussi, car on passe d’une communication globale à des opérations plus ciblées, s’adressant à moins de salariés à la Selon le baromètre 2014 de la qualité de vie et de la santé au travail de CSP Formation, de
fois et essayant de les faire réagir et devenir acteurs de la prévention des risques en entreprise.
CNM & VOUS Attention ! Depuis le 1er juin 2014, les dentistes ont vu leurs actes changer de nomenclatures (CCAM). Cette CCAM répertorie environ 700 actes et se substitue à l’ancienne nomenclature jugée obsolète et peu précise. Désormais à chaque libellé correspond un code et un seul, ce qui évite tout problème d’interprétation par les différents organismes concernés. Le mode de présentation des devis dentaires change. Ils devront indiquer la distinction entre le montant des prestations médicales du praticien et le prix de vente de la prothèse, ainsi que son pays d’origine. Attention donc, si vous avez déjà demandé un devis à la CNM avant la mise en place de la nouvelle nomenclature, en prévision de travaux dentaires, ce devis est obsolète et votre praticien doit vous faire un nouveau devis respectant la nouvelle CCAM.
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L’attachement des Français à leur système de santé
Selon un sondage réalisé par l’Ipsos et la Fédération hospitalière de France, 73 % des Français estiment que notre système de santé est le meilleur du monde !
Des restes à charge hétérogènes
selon les hôpitaux Une enquête de 60 millions de consommateurs jette un pavé dans la mare des hôpitaux : l’opacité des tarifs est pointée du doigt. De 360 à 2 230 euros par jour pour la même prestation, telle est la différence de prix entre certains hôpitaux français. La raison d’un tel décalage ? une opacité du système. En effet, les tarifs journaliers sont fixés après validation de l’agence régionale de santé sur proposition discrétionnaire du directeur de l’établissement de santé, sans que cela soit forcément en rapport avec le coût réel de production des soins. Le ministère des Affaires sociales et de la Santé a demandé par voie de circulaire aux agences régionales de santé que cette dérive soit rectifiée. Rendez-vous dans quelques mois…
Pour une très grande majorité de Français, notre système de santé est le meilleur qui existe, et nos hôpitaux offrent des soins de qualité selon plus de 89 % d’entre nous. Si la satisfaction est grande, elle ne masque cependant pas les inquiétudes quant à son avenir. 94 % des sondés estiment que les problèmes de financement le menacent gravement, ainsi que la mauvaise répartition des médecins sur le territoire (91 %). Autre problème révélé par ce sondage, la trop grande importance du reste à charge pour les patients, qui pousse 48 % d’entre eux, soit près d’une personne sur deux à renoncer à certains soins.
1 personne sur 2 renonce à des soins faute de moyens financiers
95 euros/an Une nouvelle garantie à la CNM : Néo Territoires La CNM crée Néo Territoires, un nouvelle gamme santé destinée aux fonctionnaires, agents non titulaires et retraités de la fonction publique territoriale (mairies, conseils généraux et régionaux...). Gamme labellisée, Néo Territoires permet de profiter de la participation financière de l’employeur à la protection sociale complémentaire.
Néo Territoires GAMME LABELLISEE FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE
Parce que vous êtes fonctionnaire, agent non titulaire ou retraité d’une collectivité territoriale,
Parce que vous n’avez pas les mêmes besoins que vos collègues,
Parce que vous aimez avoir le choix…, La CNM a conçu pour vous Néo Territoires.
La complémentaire santé des agents territoriaux Actiléa Néo 8 pages 2013.indd 1
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c’est la somme dépensée en médicament par habitant.
Halte au gaspillage
!
« Dépenser au hasard, inutilement », c’est la définition du mot « gaspiller ». Chaque année, la facture annuelle du gaspillage en France se monte à 140 milliards d’euros, soit 7 % de la richesse produite ! Une aberration ! Et ce gaspillage touche tous les domaines de notre vie quotidienne : notre alimentation, notre consommation d’énergie, de médicaments, de produits high-tech… Et pourtant, certains gestes simples pourraient nous permettre de réduire considérablement la facture. Voici quelques conseils pour faire la chasse au « gaspi » !
Aliments non déballés, « bidules high-tech » démodés aussitôt achetés, robinets qui coulent, lumières allumées en notre absence, vêtements non portés… si l’on voulait faire la liste de ce que nous gaspillons au cours de notre vie, nous n’aurions pas assez de ce magazine ! Essayons de faire tout de même un état des lieux et d’appliquer quelques mesures simples pour réduire la facture !
Stopper le gaspillage alimentaire Nous jetons à la poubelle chaque année 1,2 millions de tonnes d’aliments non consommés. Et ce alors même qu’un milliard de personnes souffrent de la faim dans le monde !
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7 Il existe cependant quelques mesures es simples pour endiguer ce phénomène. Toutt d’abord, prenons l’étape incontournable des courses. Voici sept astuces à tester : • Avant de partir faire vos courses, réflfléchissez calmement aux menus que vous souhaiteriez uhaiteriez composer pour la semaine. • Faites ensuite un inventaire de vos placards et frigos afin de voir ce que vous avez déjà « en magasin ». • Établissez une liste précise. • Essayez de prévoir les bonnes quantités en fonction de ce que vous avez prévu, de votre agenda et du nombre de personnes attendues à chaque repas. • Si vous avez une famille nombreuse, profitez des lots et de leurs prix promotionnels ; mais ne le faites pas si vous n’êtes que deux ! • Privilégiez les produits en vrac, qui vous permettent de choisir LA quantité dont vous avez besoin. • Commencez vos courses par les produits les plus lourds et les plus encombrants. Cela laissera moins de place dans le caddie pour les différentes tentations…
Le casse-tête des dates de péremption Le moment des courses est aussi celui du décryptage des dates de péremption, et ce n’est pas une tâche facile, car elles ne signifient pas la même chose et cachent des réalités différentes. Voici un petit tableau qui peut vous aider à ne pas jeter des aliments dont la date vous semble dépassée, mais qui sont encore tout à fait consommables.
Mention sur l’étiquette Date limite de consommation (DLC) Denrées très périssables (viandes, poissons, œufs, produits laitiers).
Date limite d’utilisation optimale (DLUO) Denrées moyennement et peu périssables : les produits secs, stérilisés, lyophilisés et déshydratés. La mention « À consommer de préférence avant le… » n’est pas impérative. Elle informe le consommateur sur le délai au-delà duquel les qualités gustatives et nutritionnelles du produit peuvent s’altérer.
Signification
« À consommer jusqu’au », accompagné du jour et du mois.
Au-delà de la date indiquée, le produit ne peut plus être ni vendu ni consommé, car il pourrait provoquer une intoxication alimentaire.
« À consommer de préférence avant le », accompagné du jour et du mois Exemple : « À consommer de préférence avant le 18-02 ».
Aliments dont la date de consommation optimale est inférieure à 3 mois.
« À consommer de préférence avant », accompagné du mois et de l’année Exemple : « À consommer de préférence avant fin mai 2002 ».
Aliments dont la DLUO est comprise entre 3 et 18 mois.
« À consommer de préférence avant », accompagné de l’année Exemple : « À consommer de préférence avant fin 2003 ».
Aliments dont la DLUO est supérieure à 18 mois.
Bien doser les quantités cuisinées pour éviter les restes Pour une personne adulte, les doses moyennes sont les suivantes : • Lentilles : 3 cuillères à soupe bien remplies • Riz : ½ verre • Pâtes : 1 verre • Poisson : 140 g • Brocolis : 2 « bouquets » • Pommes de terre : 5 petites • Laitue : 1 bol type bol de céréales (Source Ademe)
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20 kg par an et par personne d’aliments non consommés sont jetés à la poubelle
# Décryptage
LE SAVIEZ-VOUS ? Un œuf frais se conserve de 10 à 12 jours à partir de la date de ponte, mais un œuf dur ne reste bon que 2 à 3 jours.
Dernière étape du recyclage alimentaire, valoriser les déchets et les transformer en « or noir des jardiniers » : le compost. Faites-le vous-même, il n’y a rien de plus simple ! Vous pouvez y mettre tout ce qui est d’origine végétale. En revanche vous ne pouvez pas y incorporer les tissus synthétiques, les plastiques, métaux, verres, couches, litières d’animaux ou sacs d’aspirateur.
L’art d’accommoder les restes
140 milliards d’euros de gaspillage par an
Si malgré ces conseils vous avez encore des restes dans votre frigo, il existe de nombreuses recettes qui peuvent vous permettre de leur donner une seconde vie ! Sous réserve, bien sûr, qu’ils soient encore consommables ! • le hachis parmentier : vous pouvez le réaliser avec des restes de viandes déjà cuites. Le bouillon de pot-au-feu peut quant à lui être congelé après filtration et servir pour une soupe de vermicelles ; • la ratatouille : idéale pour recycler les légumes déjà cuits, ou même crus mais un peu « touchés » ; • le crumble : idéal pour consommer les pommes (mais pas seulement) un peu vieillies ; • les croquettes de pommes de terre peuvent se faire avec les restes de purée ; • Le pain dur peut être transformé en chapelure pour faire des escalopes panées (en le râpant) ; en croûtons pour la soupe ; en pain perdu pour le goûter (faire tremper les tranches de pain dans un mélange de lait et d’œuf puis les faire frire à la poêle et les saupoudrer de sucre), ou encore en tartines d’apéritif frottées à l’ail et la tomate.
Malheureusement, le gaspillage ne s’arrête pas à notre réfrigérateur ! Nous avons aussi une forte propension à gaspiller l’eau, l’énergie ou les médicaments…
Eau et énergie : les autres victimes du gaspillage L’eau est un des biens les plus précieux que nous offre notre planète. Si nous, simples citoyens, ne pouvons pas faire grand chose pour éviter le gaspillage d’eau dans le réseau de distribution, nous pouvons une fois encore avec des gestes simples tenter d’économiser cette ressource. 1. Prendre une douche plutôt qu’un bain. Une douche de 4 à 5 minutes consomme 30 à 80 litres d’eau, alors qu’un bain en demande 150 à 200. 2. Optimiser sa chasse d’eau et ses robinets. Plus d’un tiers de la consommation domestique d’eau potable est consacré aux toilettes ! Fixez des économiseurs d’eau, ils peuvent réduire le débit de sortie jusqu’à 50 %. 3. Vérifier qu’il n’y a pas de fuite. 20 % de la consommation domestique d’eau est la conséquence de fuites. Pour déterminer s’il y a des fuites, il suffit de relever le compteur d’eau le soir (ne pas faire fonctionner le lave-linge ou le lavevaisselle cette nuit-là), et de comparer la valeur avec celle lue le lendemain matin.
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4. Fermer les robinets systématiquement quand on se lave les dents, les mains, mais aussi quand on fait la vaisselle. Un robinet ouvert pendant trois minutes représente l’équivalent de 36 bouteilles d’eau d’1 litre perdues. Une astuce : un bac pour la vaisselle et un bac pour le rinçage. 5. Récupérer son eau de rinçage. Pour cela, il suffit de disposer un récipient sous les robinets, qui récupérera l’eau utilisée pour laver ses mains ou sa salade. Cette eau peut servir à arroser les plantes, voire à faire sa vaisselle ! 6. Utiliser le lave-vaisselle... quand il est plein ! Pour plusieurs repas, le lave-vaisselle utilise 15 litres d’eau, soit deux à trois fois moins que la vaisselle à la main. 7. Faire moins de machines et privilégier le programme économique ! 8. Récupérer l’eau de pluie pour arroser ses plantes. L’eau de pluie a l’avantage, en plus de sa gratuité, de n’être ni calcaire ni chlorée. 9. Arroser son jardin durant les heures les plus fraîches de la journée (tôt le matin ou à la tombée de la nuit) pour éviter l’évaporation avant la consommation par les plantes. Réduire sa consommation d’énergie, ça passe bien évidemment par le choix d’appareils moins gourmands : ampoules basse consommation, machine à laver classée A, ordinateur optimisé… Mais c’est aussi, quand on le peut faire, préférer certaines énergies pour se chauffer, améliorer l’isolation de sa maison, surveiller la température des pièces (19 °C dans les pièces à vivre et 16 °C dans les chambres). Le plus compliqué aujourd’hui est peut-être de maîtriser les dépenses énergétiques dues au matériel informatique (ordinateurs, téléviseurs,
consoles de jeu), car contrairement aux appareils électroménagers, ils ne bénéficient pas d’un étiquetage permettant de connaître avec précision leur consommation d’énergie. Vous pouvez cependant choisir des matériels équipés du label « Energy Star », qui s’applique désormais non seulement aux ordinateurs fixes ou portables, mais aussi au reste de l’informatique domestique (consoles de jeu par exemple) – malheureusement, seul un quart des équipements mis sur le marché a reçu le droit d’arborer son logo en forme d’étoile… Autre précaution indispensable : ne pas laisser votre ordinateur allumé en permanence. Évitez les économiseurs d’écran, qui vont maintenir celui-ci allumé ! Mieux vaut configurer votre ordinateur pour qu’il se mette automatiquement en veille au bout d’un quart d’heure. Lorsque vos appareils restent inutilisés, pensez à les éteindre. Ce qui signifie couper leur alimentation !
OÙ PASSE L’EAU ? • 39 % de votre consommation sont utilisés pour votre hygiène : bain, douche, lavabo ; • 26 % pour les sanitaires ; • 17 % pour la cuisine dont 10 % pour la vaisselle ; • 12 % pour le lavage du linge ; • 6 % pour le jardin et le lavage de la voiture.
C’est en combinant l’ensemble de ces gestes simples que l’on pourra mettre un frein au gaspillage
Le gaspillage des médicaments On estime à 23 500 tonnes la quantité de médicaments non utilisés par les particuliers en un an ! Soit 7 milliards d’euros ! À cela, il faut ajouter le gaspillage émanant des hôpitaux, pour l’essentiel des produits que ces établissements sont obligés d’avoir en stock, mais qui se périment. Pour réduire le gaspillage, les pharmaciens ont un rôle important à jouer en incitant les patients à respecter leur traitement, y compris dans sa durée, et en les conseillant sur le bon usage du médicament.
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# Focus
Ces animaux
qui nous soignent Les animaux, domestiques ou non, sont présents à nos côtés depuis la nuit des temps ! Nous les mangeons, nous les faisons travailler, chasser, ou ils nous tiennent tout simplement compagnie ! Mais depuis quelques années, nous avons aussi pris conscience qu’ils pouvaient nous soigner. Découvrez ces médecins d’un nouveau genre !
De nombreuses études menées à travers le monde ont révélé l’action bénéfique des animaux sur différents troubles, aussi bien physiques que cognitifs, psychologiques ou sociaux. On trouve désormais toutes sortes de thérapies assistées par les animaux : équithérapie, asinothérapie, delphinothérapie… certaines sont assez étonnantes !
Des médecins pas comme les autres ! Connaissez-vous l’asticothérapie ? Depuis de nombreuses années, on étudie ces petites bêtes étonnantes que sont les asticots, pour leur capacité à hâter la cicatrisation des plaies. En effet, les larves de mouches, communément appelées « asticots », produisent des enzymes protéolytiques qui ont la propriété de « digérer » les tissus nécrosés tout en détruisant les bactéries, y compris les bactéries résistantes comme le staphylocoque doré. Déposés sur les plaies purulentes, les asticots se nourrissent des tissus malades et accélèrent la cicatrisation. Cette thérapie originale avait déjà été utilisée dans les années 1940, mais fut ensuite abandonnée au profit de techniques
plus aseptisées. Elle est aujourd’hui remise au goût du jour dans certains hôpitaux, notamment pour traiter des patients diabétiques souffrant de plaies difficilement cicatrisables. Après les asticots… les fourmis et les poissons ! Les premières permettent de détecter un diabète sans pratiquer de prise de sang. Mises en présence d’un échantillon d’urine, les fourmis s’agglutinent comme s’il s’agissait de miel si le patient est diabétique. Certains poissons originaires d’Anatolie, quant à eux, peuvent vous faire une pédicure sur mesure et guérir le psoriasis en grignotant les lésions cutanées !
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Des thérapeutes à poils ou à écailles ! De nombreux chercheurs se sont penchés sur l’aide que les animaux de compagnie peuvent apporter aux enfants souffrant de troubles psychologiques, de retard mental ou de handicaps moteurs. Lorsque l’enfant se trouve en présence d’un animal tel que le chien, le chat, ou le cheval, une relation se crée et l’état de l’enfant s’améliore. Mais cet apport bénéfique ne se limite pas aux enfants : aux États-Unis, des psychiatres utilisent l’animal de compagnie dans le traitement de certains patients schizophrènes, grâce à lui, ils peuvent limiter de 10 à 25 % l’utilisation des psychotropes.
Les chats au chevet des malades et des prisonniers À l’hôpital Charles Foix d’Ivry, des chats se baladent en liberté dans le parc, mais aussi dans les chambres des patients de longue durée. Ces chats, sous contrôle vétérinaire régulier, participent à l’amélioration de l’état tant physique que psychique des malades et favorisent la rééducation des personnes à mobilité réduite. À la prison de Lortin, à Washington, des chats errants ont été recueillis par des détenus condamnés à de lourdes peines et ont contribué directement à réduire l’agressivité et la dépression au sein de l’établissement.
En outre, le seul fait de caresser un animal est susceptible de calmer l’anxiété, le stress et d’abaisser le rythme cardiaque. Les animaux de compagnie, et notamment les chiens, sont également un excellent moyen pour les personnes âgées de maintenir une certaine activité physique et sociale : en sortant de leur solitude pour le promener par exemple. De plus en plus de maisons de retraite font elles aussi appel à des animaux afin de donner un but, une responsabilité aux personnes âgées, qui sont ainsi plus motivées à continuer la route…
Le cas particulier de l’équithérapie « Le cheval est un bon maître, non seulement pour le corps mais aussi pour l’esprit et le cœur », disait déjà Xénophon, cinq siècles avant Jésus-Christ. Les soins avec les chevaux, destinés aux personnes autistes ou handicapées, donnent de très bons résultats. Au contact de l’animal les patients sortent peu à peu de leur isolement et de leur attitude défensive. En prenant soin du cheval, ils apprennent à communiquer et à créer des liens avec leur entourage. Le cheval a aussi un rôle à jouer en kinésithérapie, psychomotricité, psychothérapie, réinsertion… Mais attention, le cheval ne guérit pas. Il fait partie du cadre thérapeutique et peut ainsi servir de médiateur entre le patient et son thérapeute. Une bonne façon de « remettre le pied à l’étrier » !
LA CNM & VOUS Pour en savoir plus : • Consultez la liste des maisons de retraite qui acceptent les animaux de compagnie sur la région parisienne sur le site de la Fondation 30 millions d’amis : www.30millionsdamis.fr - Société française d’équithérapie : sfequitherapie.free.fr - Fédération nationale des thérapies avec le cheval : www.fentac.org
# Prévention
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Le soleil, ami ou ennemi ? Le soleil rythme nos cycles biologiques, intervient dans notre équilibre psychique, renforce notre système immunitaire, joue un rôle important dans la synthèse de la vitamine D, qui fixe le calcium sur les os… La liste de ses bienfaits est importante et indéniable, mais ses dangers sont aussi bien connus. Alors, comment en profiter en toute sécurité ? Peut-on se fier aux indices des crèmes solaires ? Comment protéger nos enfants ? Petits conseils d’avant vacances…
7 000 cas de mélanomes découverts chaque année
2/3 des mélanomes sont dûs à une trop grande exposition au soleil
L’hiver a été long et nous guettons tous le moment où nous allons enfin sentir les chauds rayons du soleil sur notre peau… Mais pour que cela reste un plaisir bon pour notre santé, il est important de prendre conscience des méfaits du soleil et de s’en protéger.
Comment le soleil agit-il sur la peau ? Le soleil émet de nombreux rayons, qui vont des ultraviolets, responsables des coups de soleil, aux infrarouges, responsables des coups de chaleur. Bénéfiques à petites doses, ces rayons nous aident à fixer la vitamine D et nous donnent une jolie couleur. Cette coloration est une réaction naturelle de la peau et notamment des mélanocytes, qui, en cas de fort rayonnement solaire, vont libérer de la mélanine, un pigment brun chargé d’absorber les UV. Mais cette protection n’est que partielle et parfois c’est le coup de soleil !
Comment éviter les méfaits du soleil 1 - Évitez de vous exposer entre 12 et 16 heures. 2 - Recherchez les endroits ombragés (sous un parasol). 3 - Protégez-vous avec un chapeau, des lunettes de soleil, un t-shirt anti UV. 4 - Hydratez-vous le plus souvent possible. 5 - Faites attention à la réverbération, même lorsque vous êtes à l’ombre. 6 - Examinez votre peau régulièrement pour vérifier qu’elle ne rougit pas. 7 - Choisissez une crème solaire à l’indice adapté à votre type de peau.
Qu’est-ce qu’un coup de soleil ? Le coup de soleil (ou érythème actinique) est une brûlure provoquée par les UV qui pénètrent la peau. La gravité de cette brulure dépend de la surface, de son intensité et de sa localisation : le visage, les mains, les pieds sont particulièrement sensibles. Un coup
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de soleil détruit des milliers de cellules de l’épiderme et au fur et à mesure des années les dommages s’accumulent, provoquant des lésions dégénératives (tâches brunes, grains de beauté, allergies), un vieillissement précoce et une augmentation des risques de cancer de la peau. On estime que, comme dans le cas d’une brûlure classique, il y a trois degrés de brûlures dues au soleil : • Le premier degré : à ce stade, les vaisseaux sanguins superficiels se dilatent, provoquant un rougissement de la peau dans les six à douze heures suivant l’exposition. La rougeur, qui blanchit quand on appuie dessus, ne dure que quelques heures. • Le deuxième degré : dans les deux à douze heures qui suivent l’exposition, la peau devient rouge vif. Sensible au frottement, elle supporte difficilement les vêtements et mettra au moins trois jours à se soigner. De petites cloques peuvent se former qu’il ne faut pas percer pour ne pas risquer d’infection. • Le troisième degré : la peau se boursoufle et devient violacée dans les six heures. La douleur est intense. L’épiderme et le derme sont atteints.
Que faire en cas de coup de soleil ? Suivant son degré de gravité, il est recommandé d’appliquer une crème apaisante spécifique pour les brûlures. En cas de cloques, l’idéal est de les recouvrir d’un pansement stérile et surtout de boire beaucoup. En cas de douleur, ne pas hésiter à prendre du paracétamol.
LE SAVIEZ-VOUS ?
le soleil et les enfants S’exposer intensément au soleil pendant l’enfance représente un facteur majeur de risque d’apparition de mélanome à l’âge adulte. Les parents ne sont pourtant pas toujours conscients de l’extrême vulnérabilité de leurs enfants. De plus, les antécédents familiaux, la couleur de la peau et des cheveux, le nombre et le type de nævus (ou grains de beauté) sont autant de facteurs à prendre en compte pour moduler la durée et les conditions d’exposition au soleil. Voici quelques mesures de protection : • les nourrissons de moins de douze mois ne doivent JAMAIS être exposés au soleil, car leur peau et leurs yeux sont encore très fragiles ; • quelles que soient l’heure et le lieu d’exposition, les enfants doivent toujours porter un chapeau et des lunettes avec un filtre anti UV et des montures enveloppantes ; • l’application de crème solaire est recommandée pour tous, mais seulement en complément d’autres mesures de protection.
Attention aux crèmes solaires ! Une enquête de 60 millions de consommateurs révèle que six crèmes solaires pour enfant sur dix protègeraient moins que ce qu’elles affichent ! La différence entre ces produits vient en partie de la nature de leurs filtres solaires. Pour faire simple, afin d’afficher un haut indice de protection, les fabricants incorporent des anti-inflammatoires dans leurs crèmes, ce qui retarde l’apparition des effets du coup de soleil, mais n’empêche pas la peau de brûler ! Donc prudence ! Retrouvez l’ensemble de l’enquête sur le site http://www.60millions-mag.com/
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# Nutrition
Les bienfaits
• La couleur : elle n’a pas de lien avec le goût de l’huile. Elle dépend simplement de la couleur du fruit d’origine et du moment de la récolte. • Les appellations : pour être sûr de choisir une huile de qualité, mieux vaut opter pour un produit bénéficiant d’une AOP (appellation d’origine protégée). En France, huit terroirs sont concernés : Nyons, la Vallée des Baux de Provence, Aix-en-Provence, Provence, Nice, Corse et Nîmes. Chaque huile a un goût différent, alors n’hésitez pas : goûtez, goûtez encore jusqu’à trouver celle qui vous plaira le plus. Enfin, ne vous laissez pas tenter par des huiles à bas prix, car elles seront à coup sûr de mauvaise qualité. Comptez environ 15 euros le litre.
de l’huile d’olive IDÉE RECETTE
Star du régime crétois, utilisée depuis la nuit des temps pour la cuisine ou la beauté, l’huile d’olive est aujourd’hui reconnue pour ses nombreux bienfaits santé : anti-cholestérol, anti-âge… Mais devant une offre sans cesse grandissante, il n’est pas toujours facile de bien la choisir. Voici quelques conseils.
Anti-cholestérol et anti-âge… Grâce à ses acides gras mono-insaturés, l’huile d’olive nous permet de lutter contre la formation des radicaux libres responsables du vieillissement de la peau. Ces acides gras favorisent aussi le « bon » cholestérol au détriment du mauvais et protègent ainsi notre système cardiovasculaire. Ces effets bénéfiques interviennent à partir d’une consommation quotidienne de vingt grammes. Attention cependant à ne pas en abuser, car l’huile d’olive reste malgré tout une matière grasse !
Toutes les huiles d’olive ne se valent pas on en compte plus de six cents variétés, qui toutes ont des qualités gustatives différentes. Voici quelques trucs pour ne pas se tromper. • Extra-vierge, vierge : On considère généralement que la meilleure huile d’olive est l’extra-vierge, car il s’agit du pur jus des olives. Elle a un goût très prononcé et un taux d’acidité très bas. L’huile d’olive vierge, quant à elle, est issue d’un raffinage avec des fruits qui peuvent présenter certains défauts et des degrés de maturité différents. Il est important de choisir une huile de l’année, car elle peut perdre ses qualités gustatives et gagner en amertume. • La mention « 1ère pression à froid » n’est pas un gage de qualité, car toutes les huiles sont issues d’un pressage mécanique à froid.
Petits sablés à l’huile d’olive et au basilic Pour 20 sablés • Préparation : 10 min • Cuisson : 12 min Ingrédients : • 150 g de farine • 30 g de parmesan en poudre • 50 g de beurre salé mou • 7 cl d’huile d’olive • 50 g de basilic • 1 œuf Préparation : 1 - Préchauffer le four à 180 °C (thermostat 6). 2 - Dans un saladier, mélanger la farine, le parmesan et le basilic haché. 3 - Ajouter le beurre mou et l’huile d’olive, et sabler le mélange entre les doigts. 4 - Ajouter l’œuf, bien amalgamer et former une boule avec la pâte. 5 - Réserver au frais pendant 1 h minimum. 6 - Étaler la pâte ; pour éviter qu’elle ne colle au plan de travail, poser la boule de pâte entre deux feuilles de papier sulfurisé et l’étaler au rouleau jusqu’à ce qu’elle fasse 2 mm d’épaisseur environ (si on aime les sablés très moelleux, on peut étaler la pâte un peu moins finement). 7 - Découper les sablés à l’aide d’un emporte-pièce, puis les percer à la fourchette. 8 - Enfourner à 180 °C, pendant 12 min.
L E MAG AZ IN E D ’ IN F O R MAT IO N D E L A C N M - N ° 35
La protection sociale
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de A à Z Les secteurs de la santé et de la protection sociale utilisent parfois certains termes dont la compréhension n’est pas toujours évidente. La CNM vous donne les clés pour tout comprendre….
CIALE : NT DE LA SÉCURITÉ SO ■ LOI DE FINANCEME nt vote de 1996, le Parleme Suite à la réforme Sécuride financement de la chaque année la Loi des déxe l’objectif national té sociale (LFSS) et fi ment ladie (Ondam). Le Parle penses d’assurance ma es et les prévisions de recett se prononce ainsi sur , qui s de la Sécurité sociale les objectifs de dépense eures sses financières supéri mettent en jeu des ma l’État. à celles du budget de
■ LO I SU R LA SÉ CU RIS AT IO N DE L’E MP LO I : La Loi sur la sécurisation de l’em ploi transcrit l’Accord nat ional interprofessionnel (ANI) du 11 janvier 2013. Cette loi con sacre de nouveaux droits pour les salariés et impose de nou velles obligations aux employeurs, not amment dans le cadre de la protection sociale complémentaire : elle impose en particulier « une participation de l’employeur, quelle que soit la taille de l’entreprise, à la création obligatoir e et au financement d’u ne couverture santé collective avant le er 1 janvier 2016 ». Les aut res points de la loi concernent l’encad rement du temps partiel , le maintien de l’emploi, la mobilité profes sionnelle...
L 11 loi dite « Madelin » du ■ LOI MADELIN : La se pri à l’initiative et à l’entre février 1994, relative et ce conditions d’existen individuelle, favorise les e plifi s individuelles et sim d’activité des entreprise t son tives auxquelles elles les formalités administra confrontées. du la possibilité de déduire Elle donne par ailleurs ux rcia bénéfices non comme bénéfice imposable – – C) (BI riels et commerciaux (BNC) ou bénéfices indust sticon chaque année pour se les cotisations versées n ou tio lisa ita cap par te rai ret tuer un complément de pléde prévoyance et de com acquérir des garanties lle). mentaire maladie (mutue fisd’aménager le régime Elle offre ainsi l’avantage iviind iale des entrepreneurs cal de la protection soc r de celui des salariés. duels pour le rapproche liorer rmet par rebond d’amé Cet avantage fiscal pe enép ces professionnels ind la protection sociale de est f d’accès à ce dispositi dants. La seule condition liga ob isations aux régimes d’être à jour de ses cot sse. toires maladie et vieille
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La CNM et vous
CNM Innov@tion Services CNM est une mutuelle nationale, mais qui ne bénéficie pas d’un dense réseau d’agences. L’amélioration de la qualité de ses services passe donc principalement par des moyens de communication modernes tels que les courriers électroniques et Internet. Chaque adhérent, quel que soit son lieu de résidence, peut ainsi bénéficier d’une même qualité de service.
Passage en revue des nouveaux services qui seront déployés au cours de l’été pour être pleinement opérationnels dès la rentrée : Un nouveau site Internet : outre son graphisme modernisé, et une ergonomie de navigation améliorée, celui-ci dispensera surtout beaucoup plus d’information que par le passé. Il sera également la porte d’entrée vers des espaces Adhérents et Professionnels de santé modernisés, et vers un tout nouvel espace dédié aux entreprises – doté de nombreuses fonctionnalités. Un espace Adhérent aux fonctions élargies : plusieurs nouveautés en la matière. • Il vous sera désormais possible de créer votre espace Adhérent en quelques secondes, juste en choisissant un identifiant et un mot de passe. Au sein de votre espace, outre les services classiques de suivi de garanties et de remboursements que vous connaissez déjà, vous pourrez désormais : • Modifier votre adresse postale. • Déclarer ou modifier vos coordonnées téléphoniques et mail. • Nous adresser des messages pour demander par exemple une réédition de carte de tiers payant ou nous informer de vos changements de coordonnées bancaires. • Souscrire au service d’alerte remboursement (voir ci-dessous).
La mise en place d’un service d’alerte remboursement par mail : pour souscrire à ce service entièrement gratuit, il suffira d’en faire la demande sur votre espace Adhérent. Vous serez ainsi automatiquement averti par mail à chaque remboursement de prestations sur votre compte.
mais de les scanner au format PDF et de nous les adresser par mail : prestations@cnmsante.fr. Attention toutefois : vous devrez impérativement conserver les originaux papier de vos justificatifs de dépense, et être en mesure de nous les fournir sur simple demande pour que nous procédions au remboursement.
L’acceptation de vos justificatifs de dépense par mail au format PDF. Fini le courrier qu’il faut affranchir et remettre aux bons soins de La Poste. Pour nous communiquer vos justificatifs de dépense, il vous suffit désor-
D’autres services, comme la mise en place de la télétransmission avec les caisses de régime obligatoire des fonctionnaires et des étudiants sont également à l’étude pour une mise en place début 2015.