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ALTERNATIVE INVESTMENTS

FR Les plus grands gestionnaires d’actifs du monde ont choisi le Luxembourg comme centre de leurs gammes de fonds internationaux. L’émergence rapide des stratégies de marché privé a donné naissance à une nouvelle catégorie de fonds : Les fonds d’investissement alternatifs. Les actifs nets sous gestion dans les fonds luxembourgeois, tous types de fonds confondus, s’élevaient à 5 028 milliards d’euros fin 2022, et devraient atteindre 1,1 trillion d’ici 2025.

EN The world’s leading asset managers have chosen Luxembourg as the centre for their international fsund ranges. The rapid emergence of private market strategies has given rise to a new class of funds: Alternative Investment Funds. The net assets under management in Luxembourg funds amounted to EUR 5,028 billion at the end of 2022 across all fund types and are expected to reach 1.1 trillion by 2025.

16 May

2023 18:30 22:30

Forum Geesseknäppchen

40, bd Pierre Dupong

L- 1430 Luxembourg

La présidente de la Fedil et administratrice déléguée d’Alipa et No-Nail Boxes, Michèle Detaille, aime voyager et découvrir des contrées parfois insolites.

Vous êtes plutôt cigale ou fourmi ?

Un mix. J’ai conscience qu’il faut épargner et je le fais. Mais en même temps, je pense qu’il faut pouvoir profiter un peu de l’argent.

Comment en profitez-vous ?

Avec des voyages, par exemple. J’aime les expériences nouvelles, comme l’Arabie saoudite, où j’ai découvert récemment le site d’Al-’Ula, qui est un petit peu dans la même veine que Pétra.

Quel est le voyage le plus marquant que vous ayez fait ?

Sur le plan humain, je dirais le Japon, même si ça remonte à 40 ans en arrière. Au niveau des paysages, le nord de l’Argentine m’a marquée. Globalement, je reviens de chaque voyage avec de bons souvenirs et des choses qui m’ont intéressée.

Vous êtes plutôt accumulatrice ou minimaliste avec les objets ? Plutôt accumulatrice, mais je ne veux pas qu’on le voie. C’est pour cela que j’ai de grands placards dans lesquels je cache tout [rires].

Je vous invite à partir sur une île déserte et vous avez 5 minutes pour boucler votre valise, qu’est-ce que vous emportez ?

Mon iPhone : c’est ma bibliothèque, mon appareil photo et mon moyen de paiement.

Mais l’île est déserte…

S’il n’y a pas de réseau, je suis mal [rires]. Alors je prendrais un morceau de chocolat noir !

Le prix de certaines choses vous dérange ?

Oui, par exemple le parking. Il y a des gens pour qui la voiture est indispensable pour se déplacer, et pour la garer, le prix est parfois excessif : 400 euros par mois, cela est énorme au vu du salaire de Monsieur Tout-le-Monde.

Vous qui avez commencé dans la politique avant d’entrer dans l’entrepreneuriat, estimez-vous que le rapport à l’argent est identique ou différent dans ces deux sphères ?

Sur le plan professionnel, il est différent. Parce que lorsque vous dirigez une entreprise, l’objectif est de créer de la valeur, et donc de gagner de l’argent. Dans la politique, le rapport à l’argent est bien plus compliqué que dans le monde entrepreneurial. Lorsque vous dirigez une commune, par exemple, est-ce qu’il vaut mieux avoir un budget à l’équilibre, mais avoir rongé sur des investissements, ou, au contraire, être en déficit parce que l’on a investi pour ses concitoyens ? Il est difficile d’avoir un référentiel sur la question.

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