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BULTHAUP

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Une jeunesse  

Une jeunesse   engagée

« Notre but est que les étudiants, qu’ils soient à l’étranger ou au Luxembourg, soient bien entourés et soutenus, qu’ils fassent partie d’un cercle d’étudiants ou non », explique Polina Bashlay, 24 ans, présidente depuis décembre dernier de l’Association des cercles d’étudiants luxembourgeois (Acel). La jeune Russo-Luxembourgeoise est actuellement à Munich pour étudier un master en génie civil. « Une de nos missions est de nous faire connaître auprès des jeunes. » Le comité est composé de 15 personnes, et l’association dit représenter environ 10.000 étudiants à travers le monde. « Depuis 2005, nous réalisons le Student fir 1 Dag, qui est un voyage d’une journée lors duquel des jeunes peuvent se rendre au sein d’une université qu’ils vont ou voudraient intégrer, et sont accueillis par des membres de l’Acel qui leur expliquent les différentes démarches et leur font visiter la ville. »

Photos GUY WOLFF

Ils ont moins de 30 ans, sont nés ou ont grandi au Luxembourg, et ont fait le choix de s’engager. Pour le climat, la recherche, la politique, pour les jeunes et l’avenir en général. Pour faire entendre leur voix. Et, hasard ou non, ce sont une majorité de jeunes femmes qui le font au Luxembourg.

Sophie Barberon

Lors du 51e concours national Jonk Fuerscher, Sophie Barberon, 16 ans, a présenté son application Bien Lire. Elle a été distinguée et s’est qualifiée pour l’Eucys, le plus grand concours de science de l’Union européenne, qui aura lieu en septembre prochain. « Mon application est destinée aux réfugiés pour leur apprendre à parler français », explique la jeune femme inscrite à l’International School of Luxembourg. « C’est mon expérience personnelle qui m’a donné envie de créer cette application, car je suis née en France d’une mère japonaise et d’un père français. Nous avons notamment vécu en Angleterre, à Singapour, et nous sommes maintenant au Luxembourg. Avec mes deux grandes sœurs, nous avons donc dû apprendre différentes langues rapidement », ajoute Sophie Barberon. Celle qui a développé seule son application travaille d’ailleurs à la diversification de ses options.

Jana Degrott

Née à Munich d’un père luxembourgeois et d’une mère togolaise, Jana Degrott peut déjà faire valoir un long CV à seulement 26 ans. Élue conseillère communale pour le DP dans sa ville de Steinsel en 2017, elle a également cofondé la plateforme We Belong Europe. « Il s’agit de donner la parole à des personnes qui peuvent servir de modèle aux jeunes. Moi-même, je ne me suis pas sentie représentée, et c’est pour cela que je me suis engagée en politique. J’ai dû faire face à beaucoup de stéréotypes, et je veux montrer à une petite fille de couleur que tout est possible. » Le jeune frère de Jana présente également un trouble du spectre de l’autisme. « Je m’engage donc pour une société plus inclusive à tous les niveaux. » Actuellement en master de droit international et public à Bruxelles, Jana Degrott a été choisie en janvier comme leader pour la région Europe par la Fondation Obama. « Et je vais rencontrer Barack Obama en juin prochain !»

Lou Reckinger

«C’est durant un stage que j’ai réalisé au sein du Conseil national des femmes qu’est venue l’idée de créer un pendant pour les jeunes, et par les jeunes», raconte Lou Reckinger, 25 ans, qui a donc cocréé le mouvement Voix de Jeunes Femmes en 2017. Elle en est la porte-parole. « Mais j’aimerais aujourd’hui passer le relais à une nouvelle génération de jeunes femmes engagées dans le mouvement, annonce celle qui vit et travaille désormais à Zurich. Voix de Jeunes Femmes est une plateforme d’échange, mais aussi de soutien pour les victimes de violences physiques et/ou sexuelles. La sororité est très importante pour moi aussi. Il faut se battre contre les nombreuses inégalités qui existent toujours entre femmes et hommes pour changer notre société construite par et pour les hommes. Il ne faut pas avoir peur d’être féministe et le revendiquer, et de parler des vrais problèmes. »

Jan Berlo

À 24 ans, Jan Berlo a déjà eu plusieurs vies en une. Né dans un corps de fille, il a fait le choix de devenir un homme. « J’ai fait mon coming out à 19 ans en écrivant une lettre à mes parents, et j’ai posté une vidéo sur YouTube pour expliquer mon choix de changer de sexe», explique le jeune homme, qui exerce le métier d’infirmier. «J’ai eu beaucoup de chance, car ma décision a très bien été acceptée, et j’ai toujours été soutenu. Mais je sais que, malheureusement, ce n’est pas forcément le cas pour tous, et les conditions des LGBT+ ne sont pas les mêmes dans tous les pays», raconte encore celui qui est membre du conseil d’administration de l’asbl Rosa Lëtzebuerg, qui défend les intérêts des personnes LGBT+ et est actif dans le domaine des questions sociales liées aux sujets LGBT+. « En tant que membre, je peux aider des parents ou des jeunes qui ont été dans la même situation que moi.»

Angèle Mersch

Coprésidente des Lëtzebuerger Landjugend a Jongbaueren (Jeunesse rurale et jeunes agriculteurs du Luxembourg) depuis 2018, Angèle Mersch a passé le relais à Marthe Bourg le 26 mai dernier. « Je m’occupe du volet Jeunesse rurale. J’ai moi-même grandi au sein d’une ferme équestre, dont s’occupent toujours mes parents, à Noertzange, évoque la jeune femme de 26 ans, enseignante au Lycée technique agricole de Gilsdorf. Je veux désormais laisser la parole à des plus jeunes que moi. Nous sommes 800 personnes actives au sein de l’asbl, une grande famille qui œuvre pour l’avenir des jeunes agriculteurs et des jeunes en milieu rural. Notre objectif est de sensibiliser, motiver les jeunes à reprendre des exploitations. » Pour Angèle Mersch, en effet, « il faut aider les jeunes à se lancer, moderniser l’agriculture, et la réforme en cours du gouvernement va dans la bonne direction».

Pit Gaspar

Pit Gaspar, 18 ans, a reçu l’insigne d’argent du Mérite Jeunesse en octobre dernier – le concept du Mérite est celui du défi personnel, il offre au jeune un programme d’activités volontaires qui favorise notamment son épanouissement et son service pour la communauté. « Pour changer mon rythme quotidien, j’ai pris la décision de commencer le Mérite, pour me lancer dans un engagement à la fois dans le sport, l’art et le bénévolat, explique celui qui étudie au Lycée Josy Barthel à Mamer. J’ai réalisé, durant 6 mois, le volet Sport – la marche –, durant 6 mois le volet Talent – l’astrophotographie – et, durant 12 mois, le volet Engagement – avec les sapeurs-pompiers. Je suis engagé depuis environ 9 ans au sein du CGDIS, et je veux poursuivre cet engagement dans les années à venir. J’ai trouvé, par ce biais, ma place dans la société, la possibilité d’utiliser mon temps simplement pour le bien. »

Halina Laidebeur

«J’avais envie de faire bouger les choses», indique Halina Laidebeur, 16 ans. Lycéenne à l’Athénée de Luxembourg, elle a intégré le Jugend Parlament (Parlement des jeunes) dès qu’elle a atteint l’âge minimum, c’est-à-dire 14 ans. « Je voulais m’engager pour l’égalité, pour réaliser des petits changements à mon niveau, mais qui peuvent peut-être changer le monde. » Devenue, en octobre dernier, secrétaire générale du Parlement des jeunes, Halina Laidebeur explique vouloir étudier à l’étranger une fois son bac obtenu : « Mais je ne sais pas encore dans quel domaine… la politique, la musique, les deux m’intéressent. » Elle qui s’est engagée tôt pour défendre ses idées analyse que «de nombreux jeunes ont peur du mot ‘politique’ ». « Même si on leur explique que l’on parle d’engagement, et qu’ils se montrent intéressés, dès que le mot ‘politique’ est employé, ils se rétractent », regrette-t-elle.

Géraldine Mersch

« J’ai eu très tôt envie de devenir avocate, de défendre une cause. Être confrontée, au quotidien, à de nouvelles problématiques juridiques et entretenir des échanges constants avec les clients et les autres professionnels du domaine juridique… c’est vraiment le métier qui me correspond, confie Géraldine Mersch, 29 ans, avocate à la Cour au sein du cabinet Lutgen + Associés. J’ai eu envie aussi de m’investir pour les jeunes avocats, dont je fais partie. C’est pour cela que j’ai intégré la Conférence du Jeune Barreau de Luxembourg, avec l’opportunité de vivre mes premières expériences en tant que membre du comité entre 2017 et 2019. » Aujourd’hui vice-présidente de la Conférence, Géraldine Mersch en deviendra la présidente en septembre prochain. « Notre institution veille aux intérêts des avocats inscrits au tableau de l’Ordre des avocats depuis moins de 11 ans, soit plus de 1.750 membres. »

Sébastien Cayotte

«Tout est parti d’une blague entre amis, en 2015, d’aller à Paris en Vel’oh (le vélo de la Ville de Luxembourg, ndlr). Au début, personne ne me prenait au sérieux, raconte Sébastien Cayotte. Je voulais mettre en lumière le combat des enfants atteints du cancer, et l’action de la Fondatioun Kriibskrank Kanner.» Depuis, les défis ont continué, toujours pour la bonne cause. Tour de Luxembourg en trottinette, GR20 en Corse, Esch-Rome en Vël’Ok, Tour de France à vélo… En sept ans, ce sont un peu plus de 10.000 euros qui ont été récoltés pour la fondation. Et le jeune Eschois de 27 ans, enseignant à l’École internationale d’Esch-sur-Alzette, ne s’arrête pas en si bon chemin. Après avoir profité des vacances de l’Ascension pour se rendre à Copenhague, au Danemark, il marchera cet été aux côtés de sa compagne – et toujours au profit de la Fondatioun Kriibskrank Kanner – à l’île de La Réunion.

Selma Vincent

De nationalités luxembourgeoise, américaine et belge, Selma Vincent, 19 ans, incarne la diversité et la multiculturalité qui font la richesse du Grand-Duché. « Je suis également d’origine marocaine, par ma maman », ajoute la représentante du mouvement Youth for Climate au Luxembourg. « Le rapport du Giec en 2018 a vraiment été un déclic pour moi, il fallait faire quelque chose. Au Luxembourg, il n’y a pas souvent de mouvements de foule ou de manifestations, et le succès de nos marches pour le climat a montré que les jeunes et les moins jeunes voulaient s’engager. Les émissions de gaz du pays sont parmi les plus hautes du continent. Un changement est donc attendu », insiste la jeune femme, qui est aujourd’hui en 2e année à Sciences Po. Elle effectuera sa 3e année en Thaïlande l’année prochaine, et intégrera là-bas la fondation Raks Thai, qui œuvre pour l’environnement.

La tendance du « travail hybride » s’est accé lérée ces dernières années et les entreprises cherchent des solutions flexibles qui s’adaptent à leurs besoins. Et c’est exactement ce que The Office propose : espaces de coworking, bureaux privés, salles de conférence, salles de formation et studio vidéo. Les travailleurs indépendants, start-ups et autres acteurs du secteur financier peuvent ainsi se délester du poids de la gestion des locaux et des installa tions, tout en réduisant leurs coûts et ainsi se concentrer sur leur croissance. Ce n’est pourtant pas le seul objectif. En agitateur, The Office veut aussi secouer le marché de l’im mobilier et créer une offre inédite.

MISER SUR LA DURABILITÉ

03_texte_courant_1er_paragraphe Agnien diste « Le développent durable fait en effet partie intégrante de l’ADN de The Office », explique Gosia Kramer, CEO de The Office. « Nous avons revitalisé d’anciens bâtiments et leur avons donné une seconde vie ». L’espace Charlotte a été aménagé dans un ancien garage. Ce sont ensuite les archives de la Bibliothèque Nationale qui ont accueilli les coworkers de City. Les bureaux de Suits ont été créés dans un ancien immeuble d’habitation. « Nous ne nous sommes pas simplement arrêtés aux murs. Nous avons poussé cette logique jusqu’à l’aménagement, en utilisant d’une part des matériaux respectueux de l’en vironnement mais aussi en réutilisant et en recyclant d’anciens matériaux, le tout en conversant un style élégant et raffiné ». Plus de 40 tonnes de déchets tertiaires ont été uti lisés pour la rénovation des espaces. Des fenêtres venant d’une usine démantelée ont été ins tallées à Charlotte. Des parois de séparation venant de bureaux du Kirchberg et du centreville ont été placées à City et Suits. Ces mêmes parois ont ensuite été recouvertes de maté riaux respectueux de l’environnent. Le monde du travail reste la première source de gaspillage de mobilier, avec 9 millions de tonnes de déchets. Un point qui n’a pas été négligé par The Office puisque le mobilier en économie circulaire a été privilégié.

Gosia Kramer Gosia Kramer CEO, The Office CEO, The Office

Gosia Kramer CEO, The Office

I’m gonna make you an offer you can’t refuse Casser les codes de l’immobilier : après avoir amené la flexibilité, le bien-être et l’économie circulaire au monde du travail, The Office s’attaque à d’autres innovations.

Gosia Kramer CEO, The Office I’m gonna make you an offer you can’t refuse I’m gonna make you an offer you can’t refuse

Casser les codes de l’immobilier : après avoir amené la flexibilité, le bien-être et l’économie circulaire au monde du travail, The Office s’attaque à d’autres innovations. Casser les codes de l’immobilier : après avoir amené la flexibilité, le bien-être et l’économie circulaire au monde du travail, The Office s’attaque à d’autres innovations.

Gosia Kramer CEO, The Office I’m gonna make you an offer you can’t refuse I’m gonna make you an offer you can’t refuse

Casser les codes de l’immobilier : après avoir amené la flexibilité,

Casser les codes de l’immobilier : après avoir amené la flexibilité, le bien-être et l’économie circulaire au monde du travail, The Office s’attaque à d’autres innovations. le bien-être et l’économie circulaire au monde du travail, The Office s’attaque à d’autres innovations.

AGIR LOCALEMENT POUR UN IMPACT GLOBAL

C’est ce même souci d’avoir un réel impact qui a poussé The Office à créer Lokaal, le concept de restauration basé sur une alimentation végétale et de saison. Initialement pensé I’m gonna make you an comme un simple service pour les coworkers, Lokaal a su s’imposer comme un restaurant à part entière, et a spécialement convaincu ceux qui souhaitent s’engager pour l’environ offer you can’t refuse nement. Changer son alimentation et réduire sa consommation de viande, de laitage et d’œuf permettent de réduire grandement les émis sions de CO2 et de préserver les ressources en eau. « Bien évidemment, nous ne nous atten dons pas à ce que tout le monde devienne Casser les codes de l’immobilier : après avoir amené la flexibilité, végan. Mais opter pour un plat végétalien, le bien-être et l’économie circulaire au monde du travail, The Office même de façon sporadique, crée un impact positif » explique Gosia Kramer. Proposer une s’attaque à d’autres innovations. telle alternative, c’est aussi offrir un confort

La tendance du « travail hybride » s’est accélérée ces dernières années et les entreprises cherchent des solutions flexibles qui s’adaptent à leurs besoins. Et c’est exactement ce que The Office propose : espaces de coworking, bureaux privés, salles de conférence, salles de formation et studio vidéo. Les travailleurs indépendants, start-ups et autres acteurs du secteur financier peuvent ainsi se délester du poids de la gestion des locaux et des installations, tout en réduisant leurs coûts et ainsi se concentrer sur leur croissance. Ce n’est pourtant pas le seul objectif. En agitateur, The Office veut aussi secouer le marché de l’immobilier et créer une offre inédite.

MISER SUR LA DURABILITÉ

03_texte_courant_1er_paragraphe Agniendiste « Le développent durable fait en effet partie intégrante de l’ADN de The Office », explique Gosia Kramer, CEO de The Office. « Nous avons revitalisé d’anciens bâtiments et leur avons donné une seconde vie ». L’espace Charlotte a été aménagé dans un ancien garage. Ce sont ensuite les archives de la Bibliothèque Nationale qui ont accueilli les coworkers de City. Les bureaux de Suits ont été créés dans un ancien immeuble d’habitation.

« Nous ne nous sommes pas simplement arrêtés aux murs. Nous avons poussé cette logique jusqu’à l’aménagement, en utilisant d’une part des matériaux respectueux de l’environnement mais aussi en réutilisant et en recyclant d’anciens matériaux, le tout en conversant un style élégant et raffiné ». Plus de 40 tonnes de déchets tertiaires ont été utilisés pour la rénovation des espaces. Des fenêtres venant d’une usine démantelée ont été installées à Charlotte. Des parois de séparation venant de bureaux du Kirchberg et du centreville ont été placées à City et Suits. Ces mêmes parois ont ensuite été recouvertes de matériaux respectueux de l’environnent.

Le monde du travail reste la première source de gaspillage de mobilier, avec 9 millions de tonnes de déchets. Un point qui n’a pas été négligé par The Office puisque le mobilier en économie circulaire a été privilégié.

AGIR LOCALEMENT POUR UN IMPACT GLOBAL

C’est ce même souci d’avoir un réel impact qui a poussé The Office à créer Lokaal, le concept passant d’une place en coworking à un grand de restauration basé sur une alimentation bureau privé. végétale et de saison. Initialement pensé D’autres entités régulées par la CSSF ont comme un simple service pour les coworkers, également rejoint The Office, comme Orbital Lokaal a su s’imposer comme un restaurant Venture et GP Bullhound. C’est une formule à part entière, et a spécialement convaincu qui plait à un large panel, le tout formant une ceux qui souhaitent s’engager pour l’environ- communauté mixte et enrichissante de pronement. fessionnels.

Changer son alimentation et réduire sa The Office peut aussi compter sur le souconsommation de viande, de laitage et d’œuf tien de la famille de Maurice Lévy, investisseur permettent de réduire grandement les émis- stratégique et président du conseil de surveilsions de CO2 et de préserver les ressources en lance de Publicis Groupe. Représenté par son eau. « Bien évidemment, nous ne nous atten- fils Michael Lévy, il souhaite voir la vision de dons pas à ce que tout le monde devienne The Office se développer. Et ce n’est pas sans végan. Mais opter pour un plat végétalien, coïncidence puisque Mr. Lévy a ouvert L’Escamême de façon sporadique, crée un impact lateur à Paris, un incubateur à startups dédié positif » explique Gosia Kramer. Proposer une au développement durable. « On dit que l’astelle alternative, c’est aussi offrir un confort censeur social est en panne : qu’à cela ne tienne,

supplémentaire aux coworkers en leur préparant des plats sains et équilibrés.

Au-delà d’encourager des nouvelles idées, de nouveaux projets et de nouvelles innovations, The Office souhaite avant tout mettre l’accent sur le côté humain et soutenir les entrepreneurs et travailleurs indépendants.

ATTIRER LES TALENTS

Ce concept a immédiatement fonctionné, attirant de nombreux talents du Grand-Duché. Plus de 200 sociétés et 450 coworkers sont désormais membres de The Office. Parmis eux, des acteurs majeurs du secteur digital tels que Nexten (la plateforme de recrutement IT fondée par Eric Busch) et The Dots (la nouvelle agence marketing de Kamel Amroune).

Les solutions flexibles et évolutives permettent de voir les clients grandir et s’épanouir. C’est notamment le cas de Gaëlle Haag et sa plateforme d’investissement Capitana, qui a vu son équipe grandir considérablement

on prendra L’Escalator » déclare Maurice Lévy. « Les synergies entre les deux capitales de Startups que sont Paris et Luxembourg, doivent aller au-delà de tout aspect traditionnel et se centrer sur de nouvelles solutions et innovations durables » complète Gosia Kramer.

LOUER UN BUREAU ET SE L’APPROPRIER

« Les bureaux, comme tout autre actif, devraient être facilement accessibles et échangeables, surtout pour les investisseurs privés ». Le marché de l’immobilier est un secteur qui n’a pas beaucoup évolué lors des dernières années et qui est peu impacté par de nouvelles innovations. Les taux d’intérêts augmentent et les investissements traditionnels sont moins attractifs. Il est temps que ça change. Il faut se projeter et ouvrir la voie aux générations futures qui comptent investir différemment. « The Office veut insuffler un changement sur le marché. Une transformation radicale Notre priorité serait de s’intéresser aux solutions de DLT. La tokenisation simplifierait les achats et perrestera toujours de mettrait d’éviter les intermédiaires, l’actif pouvant être transféré directement de ven-s’associer aux deur à acheteur. Cette technologie permettrait startups et d’ouvrir le marché et de le rendre accessible à de nouveaux investisseurs qui n’y avaient pas entrepreneurs accès jusqu’à présent. « En plus de rendre le marché plus flexible et plus accessible, il faut locaux pour trouver de nouvelles aussi le rendre plus attractif et durable » poursuit Gosia Kramer. Dans ce nouveau modèle, The Office pourrait solutions imaginer convertir ses loyers perçus en cashback pour ses locataires. Avec ce système, les sociétés technologiques et particuliers qui ne peuvent pas investir entièrement dans l’immobilier pour-raient à » défaut acheter une part de leurs bureaux. GOSIA KRAMER CEO, The Office EN SAVOIR PLUS THE OFFICE LUXEMBOURG +352 621 703 530 office@theoffice.lu www.theoffice.lu Logo La tendance du « travail hybride » s’est accélérée ces dernières années et les entreprises à placer sur fond blanc cherchent des solutions flexibles qui s’adaptent à leurs besoins. Et c’est exactement ce que The Office propose : espaces de coworking, bureaux privés, salles de conférence, salles de formation et studio vidéo. Les travailleurs indépendants, start-ups et autres acteurs du secteur financier peuvent ainsi se délester du poids de la gestion des locaux et des installations, tout en réduisant leurs coûts et ainsi se concentrer sur leur croissance. Ce n’est pourtant pas le seul objectif. En agitateur, The Office veut aussi secouer le marché de l’immobilier et créer une offre inédite.

MISER SUR LA DURABILITÉ

03_texte_courant_1er_paragraphe Agniendiste « Le développent durable fait en effet partie intégrante de l’ADN de The Office », explique Gosia Kramer, CEO de The Office. « Nous avons revitalisé d’anciens bâtiments et leur avons donné une seconde vie ». L’espace Charlotte a été aménagé dans un ancien garage. Ce sont ensuite les archives de la Bibliothèque Nationale qui ont accueilli les coworkers de City. Les bureaux de Suits ont été créés dans un ancien immeuble d’habitation.

« Nous ne nous sommes pas simplement arrêtés aux murs. Nous avons poussé cette logique jusqu’à l’aménagement, en utilisant d’une part des matériaux respectueux de l’environnement mais aussi en réutilisant et en recyclant d’anciens matériaux, le tout en conversant un style élégant et raffiné ». Plus de 40 tonnes de déchets tertiaires ont été utilisés pour la rénovation des espaces. Des fenêtres venant d’une usine démantelée ont été installées à Charlotte. Des parois de séparation venant de bureaux du Kirchberg et du centreville ont été placées à City et Suits. Ces mêmes parois ont ensuite été recouvertes de matériaux respectueux de l’environnent.

Le monde du travail reste la première source de gaspillage de mobilier, avec 9 millions de tonnes de déchets. Un point qui n’a pas été négligé par The Office puisque le mobilier en économie circulaire a été privilégié.

AGIR LOCALEMENT POUR UN IMPACT GLOBAL

C’est ce même souci d’avoir un réel impact qui a poussé The Office à créer Lokaal, le concept passant d’une place en coworking à un grand de restauration basé sur une alimentation bureau privé. végétale et de saison. Initialement pensé D’autres entités régulées par la CSSF ont comme un simple service pour les coworkers, également rejoint The Office, comme Orbital Lokaal a su s’imposer comme un restaurant Venture et GP Bullhound. C’est une formule à part entière, et a spécialement convaincu qui plait à un large panel, le tout formant une ceux qui souhaitent s’engager pour l’environ- communauté mixte et enrichissante de pronement. fessionnels.

Changer son alimentation et réduire sa The Office peut aussi compter sur le souconsommation de viande, de laitage et d’œuf tien de la famille de Maurice Lévy, investisseur permettent de réduire grandement les émis- stratégique et président du conseil de surveilsions de CO2 et de préserver les ressources en lance de Publicis Groupe. Représenté par son eau. « Bien évidemment, nous ne nous atten- fils Michael Lévy, il souhaite voir la vision de dons pas à ce que tout le monde devienne The Office se développer. Et ce n’est pas sans végan. Mais opter pour un plat végétalien, coïncidence puisque Mr. Lévy a ouvert L’Escamême de façon sporadique, crée un impact lateur à Paris, un incubateur à startups dédié positif » explique Gosia Kramer. Proposer une au développement durable. « On dit que l’astelle alternative, c’est aussi offrir un confort censeur social est en panne : qu’à cela ne tienne,

supplémentaire aux coworkers en leur préparant des plats sains et équilibrés.

Au-delà d’encourager des nouvelles idées, de nouveaux projets et de nouvelles innovations, The Office souhaite avant tout mettre l’accent sur le côté humain et soutenir les entrepreneurs et travailleurs indépendants.

ATTIRER LES TALENTS

Ce concept a immédiatement fonctionné, attirant de nombreux talents du Grand-Duché. Plus de 200 sociétés et 450 coworkers sont désormais membres de The Office. Parmis eux, des acteurs majeurs du secteur digital tels que Nexten (la plateforme de recrutement IT fondée par Eric Busch) et The Dots (la nouvelle agence marketing de Kamel Amroune).

Les solutions flexibles et évolutives permettent de voir les clients grandir et s’épanouir. C’est notamment le cas de Gaëlle Haag et sa plateforme d’investissement Capitana, qui a vu son équipe grandir considérablement

on prendra L’Escalator » déclare Maurice Lévy. « Les synergies entre les deux capitales de Startups que sont Paris et Luxembourg, doivent aller au-delà de tout aspect traditionnel et se centrer sur de nouvelles solutions et innovations durables » complète Gosia Kramer.

LOUER UN BUREAU ET SE L’APPROPRIER

« Les bureaux, comme tout autre actif, devraient être facilement accessibles et échangeables, surtout pour les investisseurs privés ». Le marché de l’immobilier est un secteur qui n’a pas beaucoup évolué lors des dernières années et qui est peu impacté par de nouvelles innovations. Les taux d’intérêts augmentent et les investissements traditionnels sont moins attractifs. Il est temps que ça change. Il faut se projeter et ouvrir la voie aux générations futures qui comptent investir différemment. « The Office veut insuffler un changement sur le marché. Une transformation radicale

Notre priorité serait de s’intéresser aux solutions de DLT. La tokenisation simplifierait les achats et perrestera toujours de mettrait d’éviter les intermédiaires, l’actif pouvant être transféré directement de ven-s’associer aux deur à acheteur. Cette technologie permettrait startups et d’ouvrir le marché et de le rendre accessible à de nouveaux investisseurs qui n’y avaient pas entrepreneurs accès jusqu’à présent. « En plus de rendre le marché plus flexible et plus accessible, il faut locaux pour trouver de nouvelles aussi le rendre plus attractif et durable » poursuit Gosia Kramer. Dans ce nouveau modèle, The Office pourrait solutions imaginer convertir ses loyers perçus en cashback pour ses locataires. Avec ce système, les sociétés technologiques et particuliers qui ne peuvent pas investir entièrement dans l’immobilier pour-raient à » défaut acheter une part de leurs bureaux. GOSIA KRAMER CEO, The Office EN SAVOIR PLUS THE OFFICE LUXEMBOURG +352 621 703 530 office@theoffice.lu www.theoffice.lu Logo à placer sur fond blanc La tendance du « travail hybride » s’est accélérée ces dernières années et les entreprises cherchent des solutions flexibles qui s’adaptent à leurs besoins. Et c’est exactement ce que The Office propose : espaces de coworking, bureaux privés, salles de conférence, salles de formation et studio vidéo. Les travailleurs indépendants, start-ups et autres acteurs du secteur financier peuvent ainsi se délester du poids de la gestion des locaux et des installations, tout en réduisant leurs coûts et ainsi se concentrer sur leur croissance. Ce n’est pourtant pas le seul objectif. En agitateur, The Office veut aussi secouer le marché de l’immobilier et créer une offre inédite.

MISER SUR LA DURABILITÉ

03_texte_courant_1er_paragraphe Agniendiste « Le développent durable fait en effet partie intégrante de l’ADN de The Office », explique Gosia Kramer, CEO de The Office. « Nous avons revitalisé d’anciens bâtiments et leur avons donné une seconde vie ». L’espace Charlotte a été aménagé dans un ancien garage. Ce sont ensuite les archives de la Bibliothèque Nationale qui ont accueilli les coworkers de City. Les bureaux de Suits ont été créés dans un ancien immeuble d’habitation.

« Nous ne nous sommes pas simplement arrêtés aux murs. Nous avons poussé cette logique jusqu’à l’aménagement, en utilisant d’une part des matériaux respectueux de l’environnement mais aussi en réutilisant et en recyclant d’anciens matériaux, le tout en conversant un style élégant et raffiné ». Plus de 40 tonnes de déchets tertiaires ont été utilisés pour la rénovation des espaces. Des fenêtres venant d’une usine démantelée ont été installées à Charlotte. Des parois de séparation venant de bureaux du Kirchberg et du centreville ont été placées à City et Suits. Ces mêmes parois ont ensuite été recouvertes de matériaux respectueux de l’environnent.

Le monde du travail reste la première source de gaspillage de mobilier, avec 9 millions de tonnes de déchets. Un point qui n’a pas été négligé par The Office puisque le mobilier en économie circulaire a été privilégié.

AGIR LOCALEMENT POUR UN IMPACT GLOBAL

C’est ce même souci d’avoir un réel impact qui a poussé The Office à créer Lokaal, le concept passant d’une place en coworking à un grand de restauration basé sur une alimentation bureau privé. végétale et de saison. Initialement pensé D’autres entités régulées par la CSSF ont comme un simple service pour les coworkers, également rejoint The Office, comme Orbital Lokaal a su s’imposer comme un restaurant Venture et GP Bullhound. C’est une formule à part entière, et a spécialement convaincu qui plait à un large panel, le tout formant une ceux qui souhaitent s’engager pour l’environ- communauté mixte et enrichissante de pronement. fessionnels.

Changer son alimentation et réduire sa The Office peut aussi compter sur le souconsommation de viande, de laitage et d’œuf tien de la famille de Maurice Lévy, investisseur permettent de réduire grandement les émis- stratégique et président du conseil de surveilsions de CO2 et de préserver les ressources en lance de Publicis Groupe. Représenté par son eau. « Bien évidemment, nous ne nous atten- fils Michael Lévy, il souhaite voir la vision de dons pas à ce que tout le monde devienne The Office se développer. Et ce n’est pas sans végan. Mais opter pour un plat végétalien, coïncidence puisque Mr. Lévy a ouvert L’Escamême de façon sporadique, crée un impact lateur à Paris, un incubateur à startups dédié positif » explique Gosia Kramer. Proposer une au développement durable. « On dit que l’astelle alternative, c’est aussi offrir un confort censeur social est en panne : qu’à cela ne tienne,

supplémentaire aux coworkers en leur préparant des plats sains et équilibrés.

Au-delà d’encourager des nouvelles idées, de nouveaux projets et de nouvelles innovations, The Office souhaite avant tout mettre l’accent sur le côté humain et soutenir les entrepreneurs et travailleurs indépendants.

ATTIRER LES TALENTS

Ce concept a immédiatement fonctionné, attirant de nombreux talents du Grand-Duché. Plus de 200 sociétés et 450 coworkers sont désormais membres de The Office. Parmis eux, des acteurs majeurs du secteur digital tels que Nexten (la plateforme de recrutement IT fondée par Eric Busch) et The Dots (la nouvelle agence marketing de Kamel Amroune).

Les solutions flexibles et évolutives permettent de voir les clients grandir et s’épanouir. C’est notamment le cas de Gaëlle Haag et sa plateforme d’investissement Capitana, qui a vu son équipe grandir considérablement

on prendra L’Escalator » déclare Maurice Lévy. « Les synergies entre les deux capitales de Startups que sont Paris et Luxembourg, doivent aller au-delà de tout aspect traditionnel et se centrer sur de nouvelles solutions et innovations durables » complète Gosia Kramer.

LOUER UN BUREAU ET SE L’APPROPRIER

« Les bureaux, comme tout autre actif, devraient être facilement accessibles et échangeables, surtout pour les investisseurs privés ». Le marché de l’immobilier est un secteur qui n’a pas beaucoup évolué lors des dernières années et qui est peu impacté par de nouvelles innovations. Les taux d’intérêts augmentent et les investissements traditionnels sont moins attractifs. Il est temps que ça change. Il faut se projeter et ouvrir la voie aux générations futures qui comptent investir différemment. « The Office veut insuffler un changement sur le marché. Une transformation radicale Notre priorité serait de s’intéresser aux solutions de DLT. La tokenisation simplifierait les achats et perrestera toujours de mettrait d’éviter les intermédiaires, l’actif pouvant être transféré directement de ven-s’associer aux deur à acheteur. Cette technologie permettrait startups et d’ouvrir le marché et de le rendre accessible à de nouveaux investisseurs qui n’y avaient pas entrepreneurs accès jusqu’à présent. « En plus de rendre le marché plus flexible et plus accessible, il faut locaux pour trouver de nouvelles aussi le rendre plus attractif et durable » poursuit Gosia Kramer. Dans ce nouveau modèle, The Office pourrait solutions imaginer convertir ses loyers perçus en cashback pour ses locataires. Avec ce système, les sociétés technologiques et particuliers qui ne peuvent pas investir entièrement dans l’immobilier pour-raient à » défaut acheter une part de leurs bureaux. GOSIA KRAMER CEO, The Office EN SAVOIR PLUS THE OFFICE LUXEMBOURG +352 621 703 530 office@theoffice.lu www.theoffice.lu Logo à placer sur fond blanc La tendance du « travail hybride » s’est accé lérée ces dernières années et les entreprises cherchent des solutions flexibles qui s’adaptent à leurs besoins. Et c’est exactement ce que The Office propose : espaces de coworking, bureaux privés, salles de conférence, salles de formation et studio vidéo. Les travailleurs indépendants, start-ups et autres acteurs du secteur financier peuvent ainsi se délester du poids de la gestion des locaux et des installa tions, tout en réduisant leurs coûts et ainsi se concentrer sur leur croissance. Ce n’est pourtant pas le seul objectif. En agitateur, The Office veut aussi secouer le marché de l’im mobilier et créer une offre inédite.

MISER SUR LA DURABILITÉ

03_texte_courant_1er_paragraphe Agnien diste « Le développent durable fait en effet partie intégrante de l’ADN de The Office », explique Gosia Kramer, CEO de The Office. « Nous avons revitalisé d’anciens bâtiments et leur avons donné une seconde vie ». L’espace Charlotte a été aménagé dans un ancien garage. Ce sont ensuite les archives de la Bibliothèque Nationale qui ont accueilli les coworkers de City. Les bureaux de Suits ont été créés dans un ancien immeuble d’habitation. « Nous ne nous sommes pas simplement arrêtés aux murs. Nous avons poussé cette logique jusqu’à l’aménagement, en utilisant d’une part des matériaux respectueux de l’en vironnement mais aussi en réutilisant et en recyclant d’anciens matériaux, le tout en conversant un style élégant et raffiné ». Plus de 40 tonnes de déchets tertiaires ont été uti lisés pour la rénovation des espaces. Des fenêtres venant d’une usine démantelée ont été ins tallées à Charlotte. Des parois de séparation venant de bureaux du Kirchberg et du centreville ont été placées à City et Suits. Ces mêmes parois ont ensuite été recouvertes de maté riaux respectueux de l’environnent. Le monde du travail reste la première source de gaspillage de mobilier, avec 9 millions de tonnes de déchets. Un point qui n’a pas été négligé par The Office puisque le mobilier en économie circulaire a été privilégié.

AGIR LOCALEMENT POUR UN IMPACT GLOBAL

C’est ce même souci d’avoir un réel impact qui a poussé The Office à créer Lokaal, le concept de restauration basé sur une alimentation végétale et de saison. Initialement pensé I’m gonna make you an comme un simple service pour les coworkers, Lokaal a su s’imposer comme un restaurant à part entière, et a spécialement convaincu ceux qui souhaitent s’engager pour l’environ offer you can’t refuse nement. Changer son alimentation et réduire sa consommation de viande, de laitage et d’œuf permettent de réduire grandement les émis sions de CO2 et de préserver les ressources en eau. « Bien évidemment, nous ne nous atten dons pas à ce que tout le monde devienne

Casser les codes de l’immobilier : après avoir amené la flexibilité, végan. Mais opter pour un plat végétalien, le bien-être et l’économie circulaire au monde du travail, The Office même de façon sporadique, crée un impact positif » explique Gosia Kramer. Proposer une s’attaque à d’autres innovations. telle alternative, c’est aussi offrir un confort

Gosia Kramer CEO, The Office

La tendance du « travail hybride » s’est accélérée ces dernières années et les entreprises cherchent des solutions flexibles qui s’adaptent à leurs besoins. Et c’est exactement ce que The Office propose : espaces de coworking, bureaux privés, salles de conférence, salles de formation et studio vidéo. Les travailleurs indépendants, start-ups et autres acteurs du secteur financier peuvent ainsi se délester du poids de la gestion des locaux et des installations, tout en réduisant leurs coûts et ainsi se concentrer sur leur croissance. Ce n’est pourtant pas le seul objectif. En agitateur, The Office veut aussi secouer le marché de l’immobilier et créer une offre inédite.

MISER SUR LA DURABILITÉ

03_texte_courant_1er_paragraphe Agniendiste « Le développent durable fait en effet partie intégrante de l’ADN de The Office », explique Gosia Kramer, CEO de The Office. « Nous avons revitalisé d’anciens bâtiments et leur avons donné une seconde vie ». L’espace Charlotte a été aménagé dans un ancien garage. Ce sont ensuite les archives de la Bibliothèque Nationale qui ont accueilli les coworkers de City. Les bureaux de Suits ont été créés dans un ancien immeuble d’habitation.

« Nous ne nous sommes pas simplement arrêtés aux murs. Nous avons poussé cette logique jusqu’à l’aménagement, en utilisant d’une part des matériaux respectueux de l’environnement mais aussi en réutilisant et en recyclant d’anciens matériaux, le tout en conversant un style élégant et raffiné ». Plus de 40 tonnes de déchets tertiaires ont été utilisés pour la rénovation des espaces. Des fenêtres venant d’une usine démantelée ont été installées à Charlotte. Des parois de séparation venant de bureaux du Kirchberg et du centreville ont été placées à City et Suits. Ces mêmes parois ont ensuite été recouvertes de matériaux respectueux de l’environnent.

Le monde du travail reste la première source de gaspillage de mobilier, avec 9 millions de tonnes de déchets. Un point qui n’a pas été négligé par The Office puisque le mobilier en économie circulaire a été privilégié.

AGIR LOCALEMENT POUR UN IMPACT GLOBAL

C’est ce même souci d’avoir un réel impact qui a poussé The Office à créer Lokaal, le concept passant d’une place en coworking à un grand de restauration basé sur une alimentation bureau privé. végétale et de saison. Initialement pensé D’autres entités régulées par la CSSF ont comme un simple service pour les coworkers, également rejoint The Office, comme Orbital Lokaal a su s’imposer comme un restaurant Venture et GP Bullhound. C’est une formule à part entière, et a spécialement convaincu qui plait à un large panel, le tout formant une ceux qui souhaitent s’engager pour l’environ- communauté mixte et enrichissante de pronement. fessionnels.

Changer son alimentation et réduire sa The Office peut aussi compter sur le souconsommation de viande, de laitage et d’œuf tien de la famille de Maurice Lévy, investisseur permettent de réduire grandement les émis- stratégique et président du conseil de surveilsions de CO2 et de préserver les ressources en lance de Publicis Groupe. Représenté par son eau. « Bien évidemment, nous ne nous atten- fils Michael Lévy, il souhaite voir la vision de dons pas à ce que tout le monde devienne The Office se développer. Et ce n’est pas sans végan. Mais opter pour un plat végétalien, coïncidence puisque Mr. Lévy a ouvert L’Escamême de façon sporadique, crée un impact lateur à Paris, un incubateur à startups dédié positif » explique Gosia Kramer. Proposer une au développement durable. « On dit que l’astelle alternative, c’est aussi offrir un confort censeur social est en panne : qu’à cela ne tienne,

supplémentaire aux coworkers en leur préparant des plats sains et équilibrés.

Au-delà d’encourager des nouvelles idées, de nouveaux projets et de nouvelles innovations, The Office souhaite avant tout mettre l’accent sur le côté humain et soutenir les entrepreneurs et travailleurs indépendants.

ATTIRER LES TALENTS

Ce concept a immédiatement fonctionné, attirant de nombreux talents du Grand-Duché. Plus de 200 sociétés et 450 coworkers sont désormais membres de The Office. Parmis eux, des acteurs majeurs du secteur digital tels que Nexten (la plateforme de recrutement IT fondée par Eric Busch) et The Dots (la nouvelle agence marketing de Kamel Amroune).

Les solutions flexibles et évolutives permettent de voir les clients grandir et s’épanouir. C’est notamment le cas de Gaëlle Haag et sa plateforme d’investissement Capitana, qui a vu son équipe grandir considérablement

on prendra L’Escalator » déclare Maurice Lévy. « Les synergies entre les deux capitales de Startups que sont Paris et Luxembourg, doivent aller au-delà de tout aspect traditionnel et se centrer sur de nouvelles solutions et innovations durables » complète Gosia Kramer.

LOUER UN BUREAU ET SE L’APPROPRIER

« Les bureaux, comme tout autre actif, devraient être facilement accessibles et échangeables, surtout pour les investisseurs privés ». Le marché de l’immobilier est un secteur qui n’a pas beaucoup évolué lors des dernières années et qui est peu impacté par de nouvelles innovations. Les taux d’intérêts augmentent et les investissements traditionnels sont moins attractifs. Il est temps que ça change. Il faut se projeter et ouvrir la voie aux générations futures qui comptent investir différemment. « The Office veut insuffler un changement sur le marché. Une transformation radicale

Notre priorité serait de s’intéresser aux solutions de DLT. La tokenisation simplifierait les achats et perrestera toujours de mettrait d’éviter les intermédiaires, l’actif pouvant être transféré directement de ven-s’associer aux deur à acheteur. Cette technologie permettrait startups et d’ouvrir le marché et de le rendre accessible à de nouveaux investisseurs qui n’y avaient pas entrepreneurs accès jusqu’à présent. « En plus de rendre le marché plus flexible et plus accessible, il faut locaux pour trouver de nouvelles aussi le rendre plus attractif et durable » poursuit Gosia Kramer. Dans ce nouveau modèle, The Office pourrait solutions imaginer convertir ses loyers perçus en cashback pour ses locataires. Avec ce système, les sociétés technologiques et particuliers qui ne peuvent pas investir entièrement dans l’immobilier pour-raient à » défaut acheter une part de leurs bureaux. GOSIA KRAMER CEO, The Office EN SAVOIR PLUS THE OFFICE LUXEMBOURG +352 621 703 530 office@theoffice.lu www.theoffice.lu Logo à placer sur fond blanc La tendance du « travail hybride » s’est accélérée ces dernières années et les entreprises cherchent des solutions flexibles qui s’adaptent à leurs besoins. Et c’est exactement ce que The Office propose : espaces de coworking, bureaux privés, salles de conférence, salles de formation et studio vidéo. Les travailleurs indépendants, start-ups et autres acteurs du secteur financier peuvent ainsi se délester du poids de la gestion des locaux et des installations, tout en réduisant leurs coûts et ainsi se concentrer sur leur croissance. Ce n’est pourtant pas le seul objectif. En agitateur, The Office veut aussi secouer le marché de l’immobilier et créer une offre inédite.

MISER SUR LA DURABILITÉ

3_texte_courant_1er_paragraphe Agniendiste « Le développent durable fait en effet partie intégrante de l’ADN de The Office », explique Gosia Kramer, CEO de The Office. « Nous avons revitalisé d’anciens bâtiments et leur avons donné une seconde vie ». L’espace Charlotte a été aménagé dans un ancien garage. Ce sont ensuite les archives de la Bibliothèque Nationale qui ont accueilli les coworkers de City. Les bureaux de Suits ont été créés dans un ancien immeuble d’habitation.

« Nous ne nous sommes pas simplement arrêtés aux murs. Nous avons poussé cette logique jusqu’à l’aménagement, en utilisant d’une part des matériaux respectueux de l’environnement mais aussi en réutilisant et en recyclant d’anciens matériaux, le tout en conversant un style élégant et raffiné ». Plus de 40 tonnes de déchets tertiaires ont été utilisés pour la rénovation des espaces. Des fenêtres venant d’une usine démantelée ont été installées à Charlotte. Des parois de séparation venant de bureaux du Kirchberg et du centreville ont été placées à City et Suits. Ces mêmes parois ont ensuite été recouvertes de matériaux respectueux de l’environnent.

Le monde du travail reste la première source de gaspillage de mobilier, avec 9 millions de tonnes de déchets. Un point qui n’a pas été négligé par The Office puisque le mobilier en économie circulaire a été privilégié.

AGIR LOCALEMENT POUR UN IMPACT GLOBAL

C’est ce même souci d’avoir un réel impact qui a poussé The Office à créer Lokaal, le concept passant d’une place en coworking à un grand de restauration basé sur une alimentation bureau privé. végétale et de saison. Initialement pensé D’autres entités régulées par la CSSF ont comme un simple service pour les coworkers, également rejoint The Office, comme Orbital Lokaal a su s’imposer comme un restaurant Venture et GP Bullhound. C’est une formule à part entière, et a spécialement convaincu qui plait à un large panel, le tout formant une ceux qui souhaitent s’engager pour l’environ- communauté mixte et enrichissante de professionnels.

Changer son alimentation et réduire sa The Office peut aussi compter sur le souconsommation de viande, de laitage et d’œuf tien de la famille de Maurice Lévy, investisseur permettent de réduire grandement les émis- stratégique et président du conseil de surveilsions de CO2 et de préserver les ressources en lance de Publicis Groupe. Représenté par son eau. « Bien évidemment, nous ne nous atten- fils Michael Lévy, il souhaite voir la vision de dons pas à ce que tout le monde devienne The Office se développer. Et ce n’est pas sans végan. Mais opter pour un plat végétalien, coïncidence puisque Mr. Lévy a ouvert L’Escamême de façon sporadique, crée un impact lateur à Paris, un incubateur à startups dédié positif » explique Gosia Kramer. Proposer une au développement durable. « On dit que l’astelle alternative, c’est aussi offrir un confort censeur social est en panne : qu’à cela ne tienne,

supplémentaire aux coworkers en leur préparant des plats sains et équilibrés.

Au-delà d’encourager des nouvelles idées, de nouveaux projets et de nouvelles innovations, The Office souhaite avant tout mettre l’accent sur le côté humain et soutenir les entrepreneurs et travailleurs indépendants.

ATTIRER LES TALENTS

Ce concept a immédiatement fonctionné, attirant de nombreux talents du Grand-Duché. Plus de 200 sociétés et 450 coworkers sont désormais membres de The Office. Parmis eux, des acteurs majeurs du secteur digital tels que Nexten (la plateforme de recrutement IT fondée par Eric Busch) et The Dots (la nouvelle agence marketing de Kamel Amroune).

Les solutions flexibles et évolutives permettent de voir les clients grandir et s’épanouir. C’est notamment le cas de Gaëlle Haag et sa plateforme d’investissement Capitana, qui a vu son équipe grandir considérablement

on prendra L’Escalator » déclare Maurice Lévy. « Les synergies entre les deux capitales de Startups que sont Paris et Luxembourg, doivent aller au-delà de tout aspect traditionnel et se centrer sur de nouvelles solutions et innovations durables » complète Gosia Kramer.

LOUER UN BUREAU ET SE L’APPROPRIER

« Les bureaux, comme tout autre actif, devraient être facilement accessibles et échangeables, surtout pour les investisseurs privés ». Le marché de l’immobilier est un secteur qui n’a pas beaucoup évolué lors des dernières années et qui est peu impacté par de nouvelles innovations. Les taux d’intérêts augmentent et les investissements traditionnels sont moins attractifs. Il est temps que ça change. Il faut se projeter et ouvrir la voie aux générations futures qui comptent investir différemment. « The Office veut insuffler un changement sur le marché. Une transformation radicale

Notre priorité serait de s’intéresser aux solutions de DLT. La tokenisation simplifierait les achats et perrestera toujours de mettrait d’éviter les intermédiaires, l’actif pouvant être transféré directement de ven-s’associer aux deur à acheteur. Cette technologie permettrait startups et d’ouvrir le marché et de le rendre accessible à de nouveaux investisseurs qui n’y avaient pas entrepreneurs accès jusqu’à présent. « En plus de rendre le marché plus flexible et plus accessible, il faut locaux pour trouver de nouvelles aussi le rendre plus attractif et durable » poursuit Gosia Kramer. Dans ce nouveau modèle, The Office pourrait solutions imaginer convertir ses loyers perçus en cashback pour ses locataires. Avec ce système, les sociétés technologiques et particuliers qui ne peuvent pas investir entièrement dans l’immobilier pour-raient à » défaut acheter une part de leurs bureaux. GOSIA KRAMER CEO, The Office EN SAVOIR PLUS THE OFFICE LUXEMBOURG +352 621 703 530 office@theoffice.lu www.theoffice.lu

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