El rincón de francés

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Micaela Sánchez López Profesora de Francés


J

OURNÉE DE LA PHRANCOPHONIE Le concours :Dis-moi dix mots … 

Images et définitions des

mots 

“Un vrai rêve » conte laureat

avec le 1º prix 

Bande dessinée

Un film : « Les Émotifs anonymes »


Como cada año, los alumnos de 4º de Eso, Optativa Francés Segunda Lengua Extranjera, grupo formado por alumnos de 4º A y 4º E, han participado, junto a estudiantes de Francés de Institutos de toda la provincia, en la JOURNÉE INTERNATIONALE DE LA FRANCOPHONIE que tuvo lugar el pasado 3 de abril, organizado por el ÁREA DE FILOLOGÍA FRANCESA de la FACULTAD DE FILOSOFÍA Y LETRAS de la UEX, en colaboración con

Estas JORNADAS tienen como objetivo la promoción y la difusión de la lengua y la cultura francófonas entre los estudiantes de Eso y Bachillerato


El programa consiste en la proyección de una película en lengua francesa, con subtítulos en castellano. Este año , “Les émotifs anonymes” de Jean-Pierre Améris A continuación, los alumnos participantes, realizan un quizz sobre la película, que en esta ocasión ganó la alumna de 4º A, Yolanda Escobar. Después de una pequeña pausa, en la que se nos ofreció una pequeña colación, asistimos a la proyección de un video sobre la presencia de la lengua y la cultura francesa en el mundo: “Le Français, votre atout pour l’avenir” y a la presentación de los estudios de “Grado en Lenguas y Literaturas Modernas: Francés” que oferta la Facultad. Finalmente llegó el momento de la entrega de premios a los participantes en el concurso convocado por L’ORGANISATION INTERNATIONALE DE LA FRANCOPHONIE en torno al tema Dis-moi dix mots


El concurso se convoca en tres modalidades; cuento, historieta y video, Todas ellas deben incluir las diez palabras elegidas este año como lema del concurso Nuestros alumnos y alumnas han participado en las tres modalidades, pero como todavía no hemos incorporado ni el audio ni el video en nuestra revista, (todo se andará), no podemos disfrutar del magnífico trabajo realizado por las hermanas Arias, Isabel y Mercedes, Blanca Mena y María Bernal, con un cameo a cargo de Jaime Jiménez, en la modalidad de video. Pero sí os podemos enseñar el trabajo presentado, en formato “bande dessinée” por el grupo formado por Águeda Rodríguez, Yolanda Escobar, Jaime Jiménez, Marta Solano y Juan Miguel Anaya






LES MOTS DU CONCOURS Ces dix mots sont choisis chaque année par les différents partenaires francophones : la France, la Belgique, la Suisse et l’Organisation internationale de la Francophonie (qui regroupe 77 États et gouvernements dans le monde), dans le cadre de l’opération de sensibilisation à la langue française et de la Semaine de la langue française et de la Francophonie organisée par le ministère de la Culture et de la Communication (Délégation générale à la langue française et aux langues de France), en collaboration avec le ministère des Affaires étrangères, le ministère de l’Éducation nationale, l’Institut français et le SCÉRÉN [CNDP-CRDP]. Pour cette année, ils ont choisi


DES MOTS …À LA FOLIE ! AMBIANCER

À TIRE-

LARIGOT CHARIVARI S’ENLIVRER FARIBOLE HURLUBERLU O UF TIMBRÉ TOHU-BOHU ZIGZAG


Tire-larigot (à) [atiʀlaʀigo] loc. adv. – ÉTYM. 1536 ; de 1. tirer (IV.) « aspirer », et larigot *. Beaucoup, en quantité. Boire à tirelarigot. → *Larigot [laʀigo] n. m. – ÉTYM. 1534 « flûte » ; refrain d’une chanson, 1403 ◊ pour l’harigot, d’origine inconnu. Charivari [ʃaʀivaʀi], n.m. -ETYM. v. 1370 ; Grand bruit collectif, agitation.. Fig. Musique discordante. Enlivrer(s’) [sɑ̃livʀe] verbe pronominal. Néologisme créé par Constant Chardon, élève de CM2 à Neuilly-sur-Seine (92), dans le cadre du « Camion des mots. » Être ivre de lectures. Faribole [faʀibɔl] n. f. – ÉTYM. 1532, Rabelais ; peut-être du latin frivolus (Frivole) ;. Chose, propos vain et frivole. Dire, raconter des fariboles. DÉRIVÉS Fariboler


Hurluberlu [yʀlybɛʀly] n. m. – Personne extravagante, qui parle et agit d’une manière bizarre.Original Ouf [uf] interjection qui exprime le soulagement. Ouf ! enfin, on respire. adj. et n. – ÉTYM. 1988 verlan de fou → Fam. Fou. T’es ouf, ou quoi ? Timbré, ée [ tɛ̃bʀe ] adj. – ÉTYM. XVIIe ; de timbre. Fam. Un peu fou*. Tohu-bohu [tɔybɔy] n. m. inv. – ÉTYM. 1764 ; Cour. Bruit confus, tumulte. Zigzag [zigzag] n. m. – ÉTYM. 1718 ; en zigzag, 1694 Ligne qui formet des angles aigus. Tracer des zigzags.



Las autoras, escritoras e ilustradoras, de este cuento han querido rendir homenaje a sus lecturas infantiles a través de personajes clásicos como Cendrillon, Blancheneige, Peter Pan…. poniéndolos en situaciones tales que la utilización de las palabras propuestas se presentan de forma natural. Al mismo tiempo, aparecen temas tales como las relaciones familiares, sociales… que se han tratado en clase a lo largo del curso.


Il y a sept ans. «……. et le prince et la princesse ont vécu heureux pour toujours. » La femme caresse la jeune fille, et lui chuchote « bonne nuit » et elle sort de la chambre.Tout à coup, on frappe à la porte. Diana ouvre . Ce sont sa soeur et son beau-frère qui rentrent d’un voyage d’affaires.Ils vont à la chambre de Léa pour lui dire bonne nuit. -Léa, mon petit chou. nous sommes déjà arrivés. -Papa! Maman!. Et elle les embrasse La tante Diana vient de me raconter une histoire


sur une prince et une princesse qui se man... -QUOI?, dit la mère en s’adressant à sa soeur. Pourquoi tu racontes des fariboles à la fille? -C’est une fille, i1 n’arrive rien si je lui ils des contes. -Mais elle doit grandir! -Je veux être comme Peten Pan ! dit Léa. -Léa va faire dodo, bonne nuit man petit chou. Maintenant... Léa se lève, il est huit heures d’un samedi à Saint-Cinq-Lapopie, un petit village dans le sud de la France.Elle va à la cuisine pour


prendre son petit-déjeuner et rencontre so tante. -Bonjour! -Bonjour Léa. Tu as bien dormi? Diana commence à servir le petitdéjeuner. -Emm... Tes parents sont partis en voyage. -Encore ? Léa s’énerve et s’en va à sa chambre. Elle ferme la porte et commence à pleurer. À 12:OO heures, Léa descend les escaliers et arrive à la cuisine.Il y a un silence embarrassant -Tante Diana, pourquoi tu as arrêté de me raconter des histoires quand j’étais petite? -Ta mère me l’a interdit.


-Pourquoi’ -Elle voulait que tu grandissais. -Et tu sais où sont taus ces livres? -Non... ta mère les a pris... je pense. Mais Léa sait où ils pourraient être. Elle est allée au grenier et elle a trouvé un coffre fermé. Elle est descendue, elle a cherché dans le tiroir des clés. Elle a trouvé une petite clé différente, qu’elle n’avait jamais vue. Elle l’a essayée et le coffre s’est ouvert. Elle a trouvé des livres pour enfants

à tire larigot.

Elle commence à lire. Peu à peu, elle commence à halluciner. Après un temps, elle aperçoit que la chambre


s’envole. Tout à coup, elle tombe au vide, tombe à l’eau. Léa voit un bateau, elle crie «à laide » et un homme, qui à l’air familial, la ramasse. -Cest le Capitaine Crochet ! Il lui demande son nom et d’où vient-elle. Elle craint qu’il ne lui fasse quelque chose de mauvais, cependant il commence à danser le «Gangnam Style».Et Léa pense : «Cela ne peut pas m’arriver». donc elle décide de fermer les yeux et de compter jusqu’à trois. Quand elle les ouvre, elle pense qu’elle est à nouveau chez elle.Mais elle rencontre Peter Pan, Clochette, les enfants perdus, le crocodile et tout l’équipage en dansant et en


chantant dans une comédie musicale. Tout à coup, Peter Pan la prend dans ses bras et il la ramène au bord de l’eau. Elle a tellement peur qu’elle commence à crier effrayée et elle effraie aussi Peter Les deux s’enfuient à travers les bois en courant en zig zag, en se poursuivant l’un à l’autre et toutà coup,ils trouvent une grande tour avec une fénêtre d’où une touffe de longs cheveux roses tombe.


Léa suppose que c’est le conte de Rapunzel. Elle décide de monter par les cheveux pour échapper de Peter Pan. Soudain, les cheveux commencent à s’ecarter de la fénêtre et elle tombe par terre. Rapunzel apparaît dans la fénêtre. -C’est une perruque , dit Peter.- Je le savais! Crochet me doit 10€! J’ai gagné le pari. Elle continue à courir pour se cacher de Peter. Elle trouve une petite cabane. Elle y entre, et lorsque elle ferme la porte, sept nains l’entourent et elle s’évanouit. Quand elle se réveille, elle se rend compte qu’elle est dans un lit. Elle


se lève et observe qu elle est habillée en femme de ménage, se dirige vers la porte et quand elle l’ouvre, elle se trouve dans l’entrée d’un grand palais. Au loin, dans une autre pièce, elle aperçoit deux jeunes laides et grosses qui se disputent avec sa mère, une femme élégante et étirée.Les deux sœurs commencent à donner des ordres à Léa: « Lave cette robe ! » « Repasse-la! » « Balaie la cuisine ! » « Nettoie les fénêtres! »... Elle les ignore, ouvre la porte du palais, s’échappe et heurte Peter Pan. -Toi, encore toi! Arrête de me poursuivre !


-Ne cours pas! OUF !! Comment tu t’appelles? -Je m’appelle Léa. Je veux rentrer chez moi et je ne sois pas pourquoi je suis ici. -Calme-toi. D’où tu viens?: du Pays imaginaire du Royaume des mers? De Barbievillage...? -Eh? Je viens de Saint-CinqLapopie et je ne comprends pos ce que tu dis. -De Saint-Cinq-Lapopie? C’est moi qui ne comprends rien. Comment tu es arrivée ici? -J’étais en train de lire une dans ma chambre et,tout à coup, je suis tombée à l’eau, et Crochet ma ramassée .En ce moment j’ai su que ce n’était pas réel, quand j’ai vu


Crochet en train de danser le «Gangnam Style». Et toi, pourquoi tu me poursuis? -Quand je t’ai vue tu m’as semblé familiale. Il y a longtemps une fille a été ¡ci ,elle était pareille à toi. Elle s’appelait Claire. Tu ne connais pas quelqu’un qui s’appelle Claire? -Non... Et tout à coup son nez commence grandir, et grandir, et grandir... -Tu es sûre? Je crois que tu as quelque chose sur le nez. Léa se regorde et elle crie: -Aaaaoaahhh! Qu’est-ce qui se passe? -Chez moi si tu mens le nez croit. donc...


-C’était ma mère, dit-elle en l’interrompant. -Pourquoi m’as-tu menti? -Parce que je ne veux pos parler d’elle. Elle me laisse toujours seule. Il paraît que son travail est plus important que moi. Et elle commence à pleurer. Quand Peter va la prendre dans ses bras, la porte s’ouvre et... la bellemère apparaît! -Cendrillon! Va faire tes tâches! Et toi, hors d’ici! La belle-mère tire du bras de Léa et Peter Pan l’attrape par le nez et ils commencent à faire de grands efforts. Léa dit :Lachez-moi!


Et elle s’en fuit vers le bois. Elle s’assied sous l’ombre d’un arbre et continue à pleurer.Tout coup quelqu’un attire son attention. -Tsss! Tsss! Elle regarde vers le haut et voit un grand fauve habillé à la monière des années quotre vingts allongé, sur la coupe de l’arbre.


Elle reste en état de choc. -Bonjour!, dit la bête. Léa reste silencieuse et avec un tic à l’oeil elle dit : -Mais... quelle classe des créatures vivent ici? -Des gens normaux, simples... Certains pensent que je suis un

hurluberlu. mais ma mère dit de

ne pas leur faire ottention, elle dit

que ce ne sont que des fariboles. -Et qui est ta mère? -Clochette!, dit- il en souriant. -Elle m’a adopté quand je étais un enfant parce que je étais trés seul, personne ne. m’aimait et la bête commence à pleurer en faisant beaucoup de charivari.


-Et toi, pourquoi tu pleures? , demande la bête. -Je veux m’en aller! -T’en aller d’où? -D’ici. Je suis française, de SaintCinq-Lapopie. -Aaaahh! Tu viens du monde réel? Il y a longtemps une fille qui était pareille à toi a été ici. Elle voulait aussi s’en aller et moi je l’ai aidée, donc je crois que je pourrais t’aider toi aussi.La bête lui donne une tasse en plastique. -Mets-la sur to tête et saute cinq fois en disant: «HURLUBERLU». -Quoi? Je ne vais pos faire cela... C’est ridicule. -Bon, alors il sera difficile de sortir d’ici.


-Bon, je vais le faire. J’espère que tu ne plaisantes pos Léa fait ce qu’il dit et tout à coup, ¡ls apparaissent un gros nuage de poussière et beaucoup de vent.Elle apparaît aussi une fée grasse et aussi hurluberlu que la bête. -Quel est ton désir?, demande la fée. -Je veux m’en aller chez moi! -D’occord, mais ovant tu dois occomplir une mission. -Une mission?, dit Léa. -Oui, comme ta mère a déjà fait. -Aaah! bonc, tu connais aussi ma mère? -Bien sûr, ici, tout le monde connaît Claire. Bon, ta mission est la suivante: L’histoire de Cendrilion


est dans un point mart. Tu dois trouver la chaussure en verre qui n’est pos sur les marches du palais. Tu dois la rendre au Prince pour que l’histoire devienne normale. -C’est bien, mais comment je vais aller habillée comme ça à un bal royal?dit Léa en montrant ses vêtements. -Ce n’est pas un problème , ma chère. La fée agite sa baguette et les vêtements de Léa se transforment en une belle robe bleue. -Oh! C’est beau, merci. Léa sourit. -De rien, mon amaur... Et maintenant, allons-y ! un bal t’attend! Peter t’accompagnera. -Pourquoi lui?


-Parce qu’il connaît le chemin, et je suppose que tu ne le connaîs pos. Lo fée agite so baguette à nouveau et apparaît Peter. -Salut! Pourquoi avez-vous besoin de moi?, dit Peter à la fée. -Tu dois accompagner Léa au palais afin qu’elle trouve la chaussure. -Pourquoi e ne peut pas réaliser cette mission une autre personne?, dit Léa intriguée. -Parce que tu es la seule personne réelle.,répond la fée.Donc, allez-y ! Quand ils arrivent au palais, ils commencent à chercher la chaussure. -Elle n’est pas là, dit Léa.


-Le seul endroit où nous n’avons pos regardé c’est dans la salle du bal. Allons-y.,dit Peter. Quand ils trouvent la salle du bal, elle est tout ambiancée. ils regardent sous les tables, les chaises, dans chaque coini du palais.Soudain, Léa voit une lumière brillante au-dessus du roi. Elle se rapproche et voilà! La chaussure que seulement elle pouvait voir. -Regarde ¡ci! ,dit Léa. -Où,? Je ne vois rien., dit Peter. Peu à peu, la chaussure devient de plus en plus visible à tout le monde et Léa peut enfin la rendre au prince. -Merci beaucoup!, dit le prince.


Mais au moment où, Léa va dire «de rien», la salle du palais a commencé à tourner. Et... Lea se réveille. -C’était seulement un rêve? Cela semblait trop réel. Je suis dans un

tohu-bohu.

Quand elle va placer dans le coffre le livre qu’elle avait pris, une lettre tombe. -Qu’est-ce que c’est?, se demande Léa. Elle ouvre la lettre et commence à lire. «Merci beaucoup pour tout ce que tu as fait : Même si tu ne t ‘es pos rendu compte, grâce à toi, nous avons réussi à conserver encore la magie. PS: Malheureusement, on ne peut pos remonter au passé. Je suís désolée mais les années passent, nous grandissons et nous oublions ce que c ‘est rêver. Bien que tu ne songes pos cela arrivera.?»


Y, cómo no, las ganadoras del 1º PREMIO, en la modalidad de cuentos, posando con el diploma que las acredita como tales

Yara Holgad, Jemila Dávila, Beatriz Periáñez, Andrea Serrano y Eva Sanabria


Emotifs anonymes FICHE TECHNIQUE Date de 22 décembre 2010 (1h20min) sortie Réalisé par Jean-Pierre Améris Isabelle Carré, Benoît Poelvoorde, Avec Lorella Cravotta plus Genre Comédie , Romance Nationalité Français , belge Synopsis et détails Jean-René, patron d’une fabrique de chocolat, et Angélique, chocolatière de talent, sont deux


grands émotifs*. C’est leur passion commune pour le chocolat qui les rapproche. Ils tombent amoureux l’un de l’autre sans oser se l’avouer. mais leur timidité maladive tend à les éloigner. Mais ils surmonteront leur manque de confiance en eux, au risque de dévoiler leurs sentiments. Récompenses 1 prix et 4 nominations

*émotif,ive (adjectif) Qui a rapport à l'émotion. Qui s'émeut facilement.

Sources http://www.allocine.fr/ http://dictionnaire.tv5.org/dictionnaire/definition/emotif

DÉFINITION(S) Ambiancer [ɑ̃bjɑ̃se], verbe transitif (1976 ; de ambiance, français d’Afrique noire) Créer une ambiance joyeuse et festive dans (un groupe, un lieu). Ambiancer une soirée.


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