Au sein des sociétés qui ont expérimenté l’horreur d’un génocide et sa création de l’image de fin du monde, le survivant est figé dans une terrible solitude autour de lui et dans son monde interne.
La solitude renvoie à l’absence, l’absence d’une relation, d’une relation à partir de laquelle se construit la parole, le discours - discours premier, celui qui vous conduit au confort de l’appartenance.