PORTFOLIO | Meyris Foubert - Concepteur Paysagiste d'Etat by Meyris

Meyris Foubert

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Portfolio 2020

Aller au dedans du paysage, travailler avec, porter ce qui veut naître, ce qui est déjà là. Accompagner l'impulsion, lui faire de la place, lui donner place.

Meyris Foubert

La Grande Huaudière 53340 Bannes

13.09.1996

06 48 61 94 74

meyris.f@hotmail.fr

FORMATIONS

https://meyris.wixsite.com/nomadeenpaysage

EXPÉRIENCES (STAGES, JOBS) Février/Juillet 2019

2016 - 2019

DIPLOME D’ETAT DE PAYSAGISTE (MASTER)

Ecole Nationale Supérieure du Paysage - Potager du roi (Versailles, 78)

2014 - 2016

Projet de conception pour le développement d’une communauté rurale autonome

(analyse du territoire et du site d’implantation, création de plans, développement du projet, exposition)

Dordogne, 24

BTS DESIGN D’ESPACE

Juin/Juillet 2018

Lycée Adophe Chérioux (Vitry sur seine, 94)

Stage en conception de projet de paysage dans un jardin botanique (analyse de terrain, création de plans, développement du projet, mise en maquette, traçage des repères pour travaux...)

2012 - 2014

BACCALAUREAT

Auroville, Inde

En Sciences Techniques du Design et des Arts Appliqués Lycée d’Avesnières (Laval, 53)

Mars et Juillet 2017

Stage en maraîchage biologique avec pratique d’agroécologie/ agroforesterie et permaculture (semis, mise en place de planches de culture, plantation, taille, récoltes, vente...)

COMPÉTENCES ET INTÉRETS

Eure, 27

Juillet/Août 2016

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Acad

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SKP

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Travaux manuels et de construction liés au paysage et à l’habitat alternatif

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Pratiques de la terre, du vivant et des méthodes de protection de la nature

Conception et vente de cuisines à Leroy Merlin

(analyse, conseil et conception d’espaces et d’équipements, suivi de dossier de la création à la réalisation)

Dessinatrice depuis 10 ans et donne des cours

Randonné dont parcours du chemin de Compostelle

LANGUES :

AUTRES :

Photographie & montage vidéo

Anglais lu / parlé

Permis B

Voyage hors des sentiers battus

Allemand lu

Paris 4ème

Juillet/Août 2015

Travaux dans une exploitation agricole biologique

(récoltes, mise en place d’espaces de culture et entretien de jardins)

Mai/ Juin 2015

Mayenne, 53

Stage en agence d’architecture «Atelier32Architecte»

(Développement de projet, confection de plans et coupes sur Autocad, intégration sur photoshop...) Paris 10ème

D’une carrière au parc urbain

PROJET

PLANTER UN PARKING

COMPRESSION D’UN NOUVEAU SOUFFLE

Une alliance entre véhicules, piétons et biodiversité

ACCROCHER LE PAYSAGE AU SOL Du fuyant/traversant à l’ancrage au territoire

UNE FERME PILOTE AU SERVICE DU TERRITOIRE Autonomie électrique et circuit court

PROJET

ETUDE URBAINE

Une transversalité en perdition

PROJET

ZAC DES HAUTES BRUYÈRES - VILLEJUIF

WATER BOND

L’écoulement de l’eau comme dessin au projet d’urbanisation

Etude des unités paysagères autour de Mortain Bocage

VOLTE FACE

Elancée du PNR de la vallée de Haute Chevreuse vers le grand parc d’Orly

ECOLOGIE

MEMOIRE

LA CABANE, UNE PROMOTION DE LA VILLE Vue comme maquette et laboratoire de la vie urbaine

ENCHÂSSER UNE NOUVELLE COMMUNAUTÉ AGRIAIRE À UNE CAMPAGNE ORDINAIRE

ANALYSE BOTANIQUE EN MILIEU HUMIDE

ILLUSTRATIONS

PAYSAGES CROISÉS

DIPLÔME

Une balade rythmée en milieu humide

PROJET

AU FIL DE L’EAU

ECOLOGIE

PROJET

ETUDE RURALE

SOMMAIRE

JARDINER LA LISIÈRE ET L’ESPACE OUVERT Analyse de l’écologie du site pour une gestion future

IN SITU

ETUDE URBAINE

ZAC DES HAUTES BRUYÈRES - VILLEJUIF UNE TRANSVERSALITÉ EN PERDITION

ETUDE EN GROUPE | DÉCEMBBRE 2017

Conçu sous la direction d’Alexandre Chemetoff en 1986, la ZAC des Hautes Bruyères vient comme une réponse à l’étalement urbain de la banlieue parisienne. L’étude de ce projet 34 ans après nous a orienté vers la notion de transversalité et d’ouverture, centrale dans la philosophie initiale du projet.

L’ossature végétale participe grandement à ce sentiment de transversalité et de diversité. Elle fait le lien entre les bâtiments en affirmant dans un même temps des identités multiples, s’accordant aux différentes architectures. La trame végétale vient également comme outil pour délimiter les espaces, notamment les clivages privés, publics. L’étude s’est attachée à analyser si ce paradoxe faisait partie intégrante du projet de départ ou s’il était aujourd’hui le résultat de l’appropriation du projet par ses habitants ou d’une mauvaise gestion.

Par plusieurs arpentages et travaux d’analyse sur les antécédents du projet, nous avons pu remarquer de nombreux éléments incohérents. Une mauvaise gestion couplée à une politique sécuritaire notamment ont entravé la transversalité souhaitée. Les espaces collectifs ont été en majorité anéantis en dépit de la protection. En revanche, la gestion paysagère actuelle laisse entrevoir parfois de nouveaux horizons pertinents par l’ouverture d’espaces parfois trop sombres ou multipliant ailleurs la biodiversité du milieu.

PROJETS

PLANTER UN PARKING UNE ALLIANCE ENTRE VÉHICULES, PIÉTONS ET BIODIVERSITÉ

PROJET DE GROUPE | AVRIL 2017

Le parking de la Place d’Armes qui accueille les touristes du château à Versailles envisage la construction d’un parking souterrain. Pour ce faire, le temps des travaux, la ville a besoin d’un parking provisoire. Ce nouvel espace de stationnement va s’installer sur le « terrain de la pépinière », un site idéalement placé puisqu’il offre deux accès au château. L’enjeu premier de ce projet vise à donner une lisibilité aux qualités d’ambiance du site en intégrant notamment la végétation existante pour penser le parking.

UN AMÉNAGEMENT DURABLE POUR UN PARKING PROVISOIRE

Par un relevé sur le terrain et une identification fine, s’est dessiné trois ambiances végétales (graminées, prairie et bois). Autour d’elles, la conservation d’un maximum d’arbres du bois dans les bandes végétales qui entourent ces futures poches de stationnement est une priorité. Ces trois atmosphères viennent s’articuler par deux chemins : la boucle pour la circulation automobile et la ligne droite du chemin piéton. Chacun d’eux amènent les usagers à appréhender l’espace du parking comme un espace de promenade, vivant et riche en biodiversité. Une action qui n’est pas anodine puisqu’il anticipe le devenir de ce site lorsque le parking ne sera plus nécessaire après les travaux de la Place d’Armes réalisés. Le choix des matériaux à été pensé afin que leurs empreintes soient plus ou moins définitives selon les futurs usages du site et que les coûts engagés soient rentables.

l’eau a toute son importance au coeur du projet. Par un travail topographique et la mise en place d’ un réseau de noues , elle approvisionne les jardins partagés qui bordent le site.

COMPRESSION D’UN NOUVEAU SOUFFLE D’UNE CARRIÈRE AU PARC URBAIN

SEPTEMBRE 2017

La ville de Clichy-sous-Bois est occupée sur 24ha de sa surface par le parc national de la Fosse Maussoin. Celui-ci est composé de deux espaces significatifs: un boisement de 12ha au nord ouvert au public et une ancienne carrière en comblement non accessible. En vue de réhabiliter ce terrain, un parc urbain contemporain est envisagé.

Inscrit dans un contexte de forte densification urbaine ce terrain apporte un grand souffle à la ville. La sensation de compression périphérique a permis d’observer que naissait de ce contexte sa propre identité. Par son contraste, la densité vient mettre en avant l’ouverture. La compression vient révéler le souffle vers le panorama qu’il offre en surplomb de la ville, ouvrant vers la capitale.

Un travail de topographie sur maquette a cherché à incarner l’influence de la compression, se libérant ensuite vers cette grande ouverture vers l’horizon, s’échappant au-delà des limites du site. L’intention du projet visait à mettre en matière l’idée de la compression vers le souffle.

UN TERASSEMENT ÉQUILIBRÉ

La rencontre de trois forces vient dessiner le relief du terrain au sud-est, comme un pli, un tissu qui se froisse, se déforme. L’usager a accès au parc au creux de ces plis, ne voit pas l’horizon. Une succession de plateaux l’entraine ensuite vers la perspective, dévoilant peu à peu l’horizon. Le projet trouve son équilibre dans les volumes de terre disponibles sur le site. Il se façonne avec l’eau, créant une ambiance à hauteur de chacun des niveaux topographiques.

ACCROCHER LE PAYSAGE AU SOL DU FUYANT/TRAVERSANT À L’ANCRAGE AU TERRITOIRE La ville d’Entre-deux-Guiers est la porte d’entrée, le seuil ouvrant vers la Chartreuse. Encadrée par quatre grandes villes que sont Chambéry, Grenoble, Lyon et Voiron, la ville d’Entre-deux-Guiers est tirée de tous les côtés. C’est une ville traversée qui ne retient pas les flux. Son contexte et son inscription dans la plaine la place comme observatrice des dynamiques qui l’entourent. Des lignes de circulations fortes la traversent, la coupent, l’orientant vers l’extérieur. Ils la scindent, dissociant les quartiers les uns des autres. La ville se perd, son identité est questionnée. Elle semble tournée ailleurs, ne pas vraiment être ici. Ses perspectives transportent ailleurs, elle cherche son socle.

LES ECHELLES

AVRIL 2018

EXTRAIT DU FILM DU PROJET

ENTRE-DEUX-GUIERS

LES ECHELLES

ENTRE-DEUX-GUIERS

Le Guier vif, la rivière qui la traverse est aujourd'hui une rupture naturelle supplémentaire dans son maillage. Néanmoins, par le projet, elle constitue un élément central structurant permettant à la ville de s’ancrer dans son territoire. Le projet de paysage vient basculer un cadrage aujourd’hui pointé sur l’horizon vers celui du sol. De la rivière habitée se déploient des voies végétalisées, développant les circulations douces vers la campagne périphérique, ouvrant une dynamique sociale, économique et agricole entre la ville et les activités rurales qui la bordent.

ACCROCHER ACCROCHER LE LE PAYSAGE PAYSAGE AUAU SOL SOL

DU DU FUYANT/TRAVERSANT FUYANT/TRAVERSANT A L’ANCRAGE A L’ANCRAGE AU TERRITOIRE AU TERRITOIRE

AT7 -AT7 ENSP - ENSP VERSAILLES VERSAILLES 24/05/2018 24/05/2018 FOUBERT FOUBERT MEYRIS MEYRIS

UNE FERME PILOTE AU SERVICE DU TERRITOIRE AUTONOMIE ÉLECTRIQUE ET CIRCUIT COURT

PROJET DE GROUPE | OCTOBRE 2018

Au cours d’une semaine de Workshop avec des ingénieurs agronomes nous avons travaillé par groupe sur le développement énergétique de la Bergerie de Villarceau. Situé dans le parc naturel du Vexin, la ferme (qui est aussi centre d’écodéveloppement) a pour ambition d’être une structure pilote pour son territoire. Après une étude des besoins énergétiques actuels et l’analyse des ressources disponibles ont été définis des pistes de projets pour développer l’activité de la ferme et ses nouveaux équipements pour être autonome.

Par ailleurs, afin d’être pilote à l’échelle du territoire, des plans sur plusieurs décennies ont été réalisés afin d’envisager l’autonomie en chauffage pour les foyers environnants et les complexes publiques avec les ressources locales.

TRANSFORMATIONS À OPÉRÉRER POUR UNE AUTONOMIE EN ÉNERGIE

WATER BOND L’ÉCOULEMENT DE L’EAU COMME DESSIN AU PROJET D’URBANISATION

PROJET DE GROUPE | MARS 2018

Bordé par un vieux quartier en périphérie de Barcelone et la rivière de Llobrigat, un projet d’extension urbaine est en cours sur d’anciennes terres maraichères. Du vieux quartier à la rivière, la question de l’écoulement de l’eau est centrale pour mener ce projet et préserver tant la richesse de ce site que son caractère agricole. Sur ce terrain en pente vers la rivière, la conduite de l’eau donne le dessin du projet. Elle délimite les nouveaux îlots d’habitations et définit les bassins de stockage nécessaires pour préserver l’activité agricole au pied des habitations. L’eau est au cœur des aménagements et c’est aussi elle qui crée les espaces publics. Elle devient le guide qui lie les différents espaces entre eux, connectant par succession le vieux centre à la rivière, passant par les nouvelles habitations, les parcelles agricoles et enfin le parc.

AU FIL DE L’EAU UNE BALADE RY THMÉE EN MILIEU HUMIDE

PROJET DE GROUPE | FEVRIER 2019

Le site du moulin intègre le domaine du château de Guedelon en Bourgogne. Envisagé comme gite au service des visiteurs, son environnement proche est à aménager. Le site majoritairement boisé autour des bâtisses borde également un lac qui rend certaines zones très humide et inaccessible par période pluvieuse. Cette proximité nous l’on fait choisir comme espace de projet permettant aux visiteurs d’appréhender sa biodiversité et ses ambiances remarquables. Par un repérage sur le terrain, ont été repérés plusieurs espaces à révéler au public.

Une balade haute a été proposée pour permettre l’arpentage du bois, ses arbres en bascule, sa flore foisonnante, le cheminement de l’eau dans le bois… Ce cheminement vient épouser les accidents arborés en hauteur, vient effleurer le sol par endroit. Il permet de redécouvrir ce milieu au fil des saisons sans porter atteinte à ce milieu fragile.

VOLTE FACE ELANCÉE DU PNR DE LA VALLÉE DE HAUTE CHEVREUSE VERS LE GRAND PARC D’ORLY D’ici 2050, l’Essonne va être sujette à de nombreuses influences et plus particulièrement à une dynamique Nord/Sud portée par les projets du Grand Paris. A la fois économique, de mobilité, de logement, l’emprise foncière de ces projets est forte car ils sont interconnectés entre eux. Orly, Rungis, Massy, Saclay, la lisière entre le Grand Paris et l’Essonne tend à se densifier. Le site d’étude, compris entre la RN20, la francilienne et l’Orge est fortement soumis à cette pression urbaine, économique et écologique. En cela son identité paysagère, les terres fertiles et les différentes activités agricoles sont fragilisées. Pour les habitants du territoire, habiter la banlieue c'est aussi profiter des connexions urbaines tout en côtoyant le paysage rural. Mais qu’en sera-t-il dans 30 ans ? La métropole va continuer de croître, la lisière entre le Grand Paris et l’Essonne va abriter de nouveaux pôles rayonnant et de ce fait, accroître l’étalement urbain au dépit de l’espace rural.

SEPTEMBRE 2018

Le projet s’attache ici à développer une armature paysagère telle une élancée de nature partant du sud vers le nord en vue de protéger le territoire du développement urbain sur ses terres agricoles. Il inscrit le site d’étude à une échelle plus grande pour lui apporter plus de poids et d’influence. Une continuité entre le PNR de la haute vallée de Chevreuse jusqu’à Orly est proposé, traversant le parc de l’orge et le plateau agricole de l’Hurepoix. Ce bras agricole et boisé devient un élément moteur dans la production et la consommation locale et vient créer une continuité écologique. Couplée à cette structure verticale une seconde transversale se dessine. Elle vient développer les liaisons Est/Ouest en tissant les villes bordant la RN21 aux parcelles agricoles jusqu’à l’Orge. Ainsi, des déplacements doux peuvent se déployer et permettre une mobilité transversale. Les axes viennent affirmer des continuités écologiques et restaurer certains bras de rivières ainsi que leur accès.

ZOOM SUR LA POINTE D’ORLY, INTERFACE ET CARREFOUR PAYSAGÉ ENTRE LE GRAND PARIS ET LE GRAND PARC DE CHEVREUSE

ETUDE RURALE

PAYSAGES CROISÉS ETUDE DES UNITÉS PAYSAGÈRES AUTOUR DE MORTAIN-BOCAGE

ETUDE DE GROUPE | SEPTEMBRE 2018

En collaboration avec quatre paysagistes, les paysages et le territoire Mortainais situé au sud de la Manche en Normandie ont été étudiés. Plusieurs arpentages individuels et collectifs au sein du territoire ont permis d’identifier cinq unités paysagères qui le composent. Cette étude rurale a tenté de comprendre les transitions visuelles et physiques entre ces entités ainsi que de comprendre les interactions entre l’activité économique, agricole et la vie du territoire dans l’évolution des paysages. Des rencontres avec des acteurs locaux sont venues enrichir cette étude pour apporter leur vision et leur vécu dans ce grand paysage aux multiples facettes. Sur plusieurs mois cette étude s’est emparée de plusieurs outils tels que la maquette, le croquis, la photographie, les interviews pour appréhender ce territoire. Des jeux d’échelles ont été nécessaires pour comprendre sa complexité et percevoir les entités définies dans une empreinte plus large encore. C’est aussi un zoom à l’échelle parcellaire qui a permis de voir les influences des entités entre elles.

L’étude s’est achevée par une restitution auprès des habitants du territoire sous forme de balade. Un itinéraire organisé a pu donner à voir notre lecture du paysage et a permis d’envisager par groupe des discutions sur l’avenir du territoire, notamment sur les questions de préservation et d’économie touristique.

DIPLÃ&#x201D;ME

20 m

ENCHÂSSER UNE COMMUNAUTÉ AGRAIRE À UNE CAMPAGNE ORDINAIRE

0° 56′ 22″ E 45° 35′ 24″ N

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Longitude : Latitude :

0° 56′ 22″ E 45° 35′ 24″ N

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0° 230 56′ 22″ E 45° 35′ 19″ N

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460m Longitude : Latitude :

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0° 230 56′ 22″ E 45° 35′ 19″ N

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2 terrain terrain terrain constructibleconstructible constructible

Le hameau se Le tourne vers hameau seLetourne hameauvers se tourne vers son paysage sur son les paysage son sur paysage les sur les parcelles de parcelles la communauté deparcelles la communauté de la communauté horizon lointain Chemin communal Propriétés privées composant la Propriétés ouvert,Paysage horizon ouvert, lointain horizon lointain Chemin communal Chemin communal Paysage ouvert, Paysage Propriétés privées composant privées la composant la structure du hameau actueldu hameau structure structure actuel du hameau actuel Paysage fermé, cloisonnement Paysage fermé,Paysage cloisonnement fermé, cloisonnement Chemin agricole Chemin et pédestre agricoleChemin et pédestre agricole et pédestre Parcelles de la communauté Parcelles de la communauté Parcelles de la communauté en relation directeenavec le directe relation en avec relation le directe avec le Plantations Plantations Plantations Orientation du hameau à venir Orientation du hameau Orientation à venir du hameau à venir hameau hameau hameau Propriété ferméePropriété par un mur fermée par un mur Propriété fermée par un mur Rythmes et séquences Rythmes et séquences Rythmes et séquences

terrain terrain terrain constructible constructible constructible Grange de la Grange communauté de laGrange communauté de la communauté 20 m

20 m

0° 56ƍ 23Ǝ E 45° 35ƍ 43Ǝ N

Longitude : Latitude :

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0° 56ƍ 48Ǝ E 45° 35ƍ 43Ǝ N

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Longitude : Latitude :

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0° 56ƍ 47Ǝ E 45° 35ƍ 28Ǝ N

350

20 m

JANVIER 2019

Longitude : Latitude :

Le projet prend place au cœur du hameau de Puyregonde dans la commune de Firbeix au Nord-Est de la Dordogne. Il s’appuie sur l’installation d’une communauté agraire qui a pour projet de vivre avec une faible empreinte en étant le plus autonome tout en contribuant à la dynamique de son territoire rural. Les 20ha présentés à l'étude s’insèrent dans un hameau vieillissant et en partie habité par des anciens. L’arrivée de la communauté composée de 18 personnes vient interroger la structure actuelle du hameau et son fonctionnement. Car ce sont ici deux structures et formes de vie rurales qui vont venir se rencontrer. L’une dynamique et tournée vers le collectif, l’autre plus individuelle et isolée. Le développement de la communauté viendra inévitablement transformer la vie du hameau, d'autant plus par son ouverture au public. La conception de ce projet vient ainsi questionner l’influence que peut avoir cette nouvelle forme de vie rurale sur la structure présente. Elle questionne l’attache, la greffe. Quelle charnière mettre en place pour prolonger le hameau vers le champ, une autre forme de vie rurale ? Comment les deux cohabitent, s’accordent, se soutiennent ? Le projet fait état des liaisons, questionne les bords, les relations, les attaches, les joints. Le développement du projet de la communauté s’appuie sur une situation réelle pour la porter à plus grande échelle. Le projet vient se positionner comme support au hameau de Puyregonde, il en fait un projet global ou plusieurs charnières spatiales entrent en jonction pour tourner le hameau vers son paysage agricole.

0° 56′ 22″ E 45° 35′ 24″ N

0° 56ƍ 22Ǝ E 45° 35ƍ 24Ǝ N

20 m 20 m

0° 56ƍ 34Ǝ E 45° 35ƍ 23Ǝ N

Longitude : Latitude :

0° 56ƍ 47Ǝ E 45° 35ƍ 22Ǝ N

20 m

20 m 20 m

0° 56ƍ 22Ǝ E 45° 35ƍ 19Ǝ N

0° 56ƍ 35Ǝ E 45° 35ƍ 18Ǝ N

Longitude : Latitude :

0° 56ƍ 45Ǝ E 45° 35ƍ 19Ǝ N

ENJEUX DE PROJET

• Une intervention sur l’ensemble du hameau pour faire du projet Terra Nostra un support à la structure actuelle. Inclusion des habitants dans le projet communautaire. Deux pièces en cohésion qui conservent leur caractère singulier. Voierie centrale structurante – espaces communs et partagés pour les habitants de Puyregonde – décloisonnement des habitations

L’ÉCHELLE D

Espaces co envisagés

Espaces pr ouverts

• Souligner et rendre lisible les seuils en interraction (entrée, vieux hameau, carrefour pédestre, communauté). Des charnières comme rythmes et liaisons structurantes. marquer les séquences paysagères - composer avec les rythmes analysés

• Tourner le développement du hameau vers son paysage, des points de vue comme élément de composition, des lignes structurantes qui prennent appui sur des vues remarquables. Lotir avec le paysage - orienter les mobilités vers les perspectives -

• Signifier les accès à grande échelle pour se raccorder aux chemins pédestres et aux déplacements locaux Connexion inter-hameau - visibilité

place retourner les habitants vers l rue, ouvrir vers le collectif

Plan du projet

jardin cultivé près des habitations

terrasse jardin partagé/ plantes medicinales

placeplace commune commune

frange enherbée qui longe le muret du carrefour pédestre poulailler et compost

jonction vieux hameaau/champs place du vieux hameau

jardin fruitier

pied à terre volontaires/itinérants

prairie fleurie

jardins solidaires

MÃ&#x2030;MOIRE

LA CABANE, UNE PROMOTION DE LA VILLE VUE COMME MAQUET TE ET LABORATOIRE DE LA VIE URBAINE

Ce mémoire s'intéresse aux rôles de la cabane dans la considération des espaces transitoires urbains et plus largement sur ce qu'apporte la cabane au paysage.

SEPTEMBRE 2018

La question qui a orienté la démarche s'est attachée à savoir en quoi ces espaces qu’on ne considère plus puisque délaissés, laissés pour compte, suscitent pourtant un vive intérêt par ceux qui vivent la ville. Pour les enfants, les rêveurs, les artistes, aventuriers, sans-abris, migrants… le désir de refuge en ces lieux (qu’il soit choisi ou contraint) mène à une occupation. La cabane devient dans ce paysage le marqueur d’un intérêt qu’on ne réserve plus tant aux espaces délaissés qu’aux individus dont la ville ne satisfait pas les besoins. Je me suis alors demandée qu’elle stabilité l'on donne ou l'on peut apporter à toutes ces formes qui s’échappent des structures dédiées, quels terrains d’accueil pour les individus rejetés des places qui n’ont pas de disposition pour l’autre ? Mon intention était de savoir ce que peut apporter la cabane au paysage. Si elle est viable, est-ce qu’elle permet de se construire et d’engager une certaine forme de remise en question de la société dans son rapport à l’habitat, au dehors et au vivre ensemble ?

ECOLOGIE

JARDINER LA LISIÈRE ET L’ESPACE OUVERT ANALYSE DE L’ÉCOLOGIE DU SITE POUR UNE GESTION FUTURE

JUILLET 2018

Dans un contexte de difficultés financières, la ville de Versailles renonce à l’entretien de certains espaces du domaine du château et notamment celui à l’extrémité sud de la pièce d’eau des Suisses. Comprise entre une grande étendue de prairie bordant le bassin et la voie ferré cadrant le domaine, une large bande boisée aujourd’hui se développant en semi-spontané s’installe.

C’est sur cette lisière qu’une forte dynamique végétale tend à émerger sans entretien, jusqu’à pouvoir s’étendre sur la prairie du bassin. Une analyse sur site a ainsi été mené afin d’observer la gestion actuelle, le développement de la flore, les dynamiques présentes ainsi que la tendance à venir sans intervention humaine. Cette étude a pu définir les mesures à prendre vis-à-vis des fortes dynamiques observées et mettre en place une gestion économique par le pâturage mais également par des interventions mécaniques moins régulières aux périodes propices.

ANALYSE BOTANIQUE EN MILIEU HUMIDE

MARS 2018

Situé le long de la rigole des Clayes du Bois d’Arcy, cette petite étude visait à appréhender le milieu humide et notamment la flore spontanée présente et leur dynamique.

ILLUSTRATIONS