Monkeys Spotters Magazine N°9 by Monkeys Spotters Magazine

MONKEYS SPOTTERS MAGAZINE janvier-fevrier 2017

Monkeys Spotters Magazine

Sommaire: # 6

IWM 2016 (Gb)

# 26

Sar meet koksijde 2016 (b)

# 42

adieu s.E.M. 2016 (f)

# 58

night shoot kb 2016 (B)

# 74

air power 2016 (a)

# 90

black blade 2016 (b)

# 106

malta air show 2016 (m)

Editeur responsable: Jean-Paul Lardinois Rédacteur 134 Rue des Canadiens 7370 DOUR Contact: info@monkeyspottersmag.com Ont participé à ce numéro: Jean-Yves Van, Sylvain Gourheu, Devid Ryckewaert, Patrice Dochain, Jean-Paul Lardinois Toute reproduction même partielle du présent magazine et des éléments qu’il contient est strictement interdite sans autorisation préalable. La revue monkeys spotters magazine n’est pas responsable des textes, photos qui lui sont envoyés sous la seule responsabilité de leurs auteurs

Monkeys Spotters Magazine

EDITO N°9 (ou l’ouverture de la troisième saison du Monkeys Spotters Magazine). Bonjour chers amis lecteurs, Et oui voici le numéro neuf qui ouvre ainsi la nouvelle année, ce qui pour moi est inespéré car à la conception du premier, je me demandais déjà avec beaucoup d’incertitude ce que j’allais pouvoir inclure dans les deux numéros suivants. Et puis après ces presque deux années, il faut se rendre à l’évidence, je ne me pose plus trop la question et j’essaye même de ne pas faire grossir la revue pour qu’elle reste agréable à feuilleter. Et si nous en sommes là, c’est bien grâce à vous et à vos petits messages de sympathie et d’encouragement. Alors je vous remercie tous et je profite bien évidemment de ce moment pour vous souhaiter du fond du cœur une merveilleuse année 2017 aéronautique avec plein de meetings chez nous ou à l’étranger. L’étranger qui commence à être incontournable à mes yeux, souvent plus proche et plus abordable qu’on le croit avec les compagnies low cost ou en covoiturage. Quand aux hôtels, ils ne doivent pas non plus faire partie de la piste aux étoiles (nous y arrivons souvent tard et en repartons tôt). Et puis certains pays sont aussi plus accessibles que d’autres (ce qui n’est malheureusement pas le cas de l’Angleterre qui a pourtant le plus grand potentiel de manifestations). Bref, se documenter, fouiner, c’est déjà le début de l’aventure. Moi en général je me fixe un petit budget maximum, je cherche la meilleure façon de faire des économies, et si je dépasse le target, j’annule tout simplement. Changer ses habitudes c’est la meilleure façon de se créer des souvenirs à la pelle et de ne pas partir avec l’idée de savoir qu’on évitera pas l’incontournable et infecte frite « sensas » Vivez vos rêves. Je vous souhaite une bonne lecture de ce numéro 9.

Lardinois Jean-Paul

8 juillet 2016 Texte et photos Van Jean-Yves

American air museum IWM Duxford Le 19 mars de cette année, le musée américain de Duxford ouvrait à nouveau ses portes au public.Voilà un prétexte idéal (s’il en fallait un) pour visiter à nouveau ce musée. Inauguré en 1997, celui-ci a subi une rénovation en profondeur qui a nécessité le déplacement temporaire de la collection soit à l’extérieur, soit dans les autres hangars de l’Imperial War Museum. Ces changements ont été l’occasion de pourvoir admirer sous d’autre angles certains avions, comme le B-29 qui a été (brièvement) exposé à l’extérieur. Cette rénovation était nécessaire pour tenir compte de l’évolution de la collection. La transformation qui a coûté quelque trois millions de livres sterling a entrainé le réaménagement complet de la présentation et l’ajout de nouvelles pièces. En outre, les technologies multimédia ont été intégrées à la présentation des pièces exposées. L’exposition est divisée en trois thèmes majeurs : World wars, couvrant les différents théâtres d’opération durant les deux guerres mondiales (Boeing PT-17, B-17G et B-29, North American T-6, et B-25, Douglas C-47, Republic P-47D, SPAD XIII et Consolidated B-24). Cold war, illustrant les moyens déployés par l’USAF en cas d’une possible confrontation avec l’URSS (Lockheed SR71 – le seul exposé en Europe -et U2, Bell UH-1H, Boeing B52, McDonnell Douglas F-4 et F-15). War in the mountains and deserts, présentant les forces déployées lors des récents conflits du Golf et d’Afganisthan (General Dynamics F-111, Fairchild A-10). A côté de cela, une grande quantité d’objets, de livres et de films complète l’exposition. Même pour ceux qui connaissaient déjà le musée sous son ancienne forme, une nouvelle visite en vaut largement la peine et pour ceux qui n’ont pas encore eu l’occasion d’y aller, je ne peux que les inciter à le faire. Un dernier conseil : venez si possible en-dehors des grands évènements comme le Flying Legends, afin de profiter au mieux de la visite. L’Imperial War Museum Duxford est une branche de l’Imperial War Museum située près de Duxford, dans le Cambridgeshire, en Angleterre. Adresse : Duxford, Cambridge CB22 4QR, Royaume-Uni. Horraire: Tous les jours de 10:00 a16:00 en hivers et jusqu’a 18h00 en été. Droit d’entrée: 18£ (ensemble des musées).

11 octobre 2016 Texte et photos Dochain Patrice

Le Spotterday du Search and Rescue Meet 2016 de Coxyde s’est déroulé par une après- midi ensoleillée. Suite à la défection de la moitié des participants, le plateau n’était pas celui espéré. Mais, la cellule Event de la Force aérienne avait bien fait les choses : nous étions placés en bord de piste pour assister aux décollages et retours des hélicoptères participants aux missions du jour. Ainsi, nous avons eu la chance de voir évoluer quelques hélicoptères qui , bientôt, se feront rares dans notre ciel noir, jaune, rouge : Alouette 3 belge et autrichienne mais aussi, Sea King allemand et bien sûr belge. L’édition de cette année coïncidait avec deux anniversaires pour la Composante Air belge.

D’une part, on fêtait les 45 ans de l’Alouette III SA.316B dont le rôle principal consiste en des missions de liaison et de lutte anti-piraterie. D’autre part, les Sea King Mk48 soufflaient également leurs bougies. Eux ont permis de sauver plus de 2000 vies depuis leur mise en service, il y a 40 ans déjà. Ils sont intervenus notamment lors du naufrage du Herald of Free Enterprise en 1987 ou plus récemment lors des attentats tragiques de Bruxelles. Et, comme si leur 40ème anniversaire était une cure de jouvence, ce sont justement ces vieux ‘Rois des mers’ du 40Sqn belge qui se sont mis en évidence en remportant le Grand prix du concours international de sauvetage 2016. Une édition qui s’est donc terminée en apothéose pour nos Sea King Mk48 et, qui nous a permis d’y participer dans les meilleures conditions possibles.

«Alouette» III

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12 juillet 2016 Texte et photos Jean-Yves Van

Super Etendard Modernisé – l’adieu aux armes En écho à mon article précédant sur la fin de carrière du SEM dans l’aéronavale française, je vous propose un compte-rendu du dernier vol de ce vieux guerrier. Etant membre de l’association Spot’Air, j’ai pu bénéficier d’une des places disponible pour assister à la cérémonie du retrait du service du Super-Etendard. C’est ainsi que je me retrouve le mardi 12 juillet 2016 à l’entrée de la BAN de Landivisiau, en compagnie des autres spotters et journalistes conviés à cet évènement. Le temps de récupérer mon badge, nous embarquons dans un car qui nous mène directement au hangar abritant l’exposition consacrée au SEM et les stands des traditions des différentes flottilles.

Nous sommes directement dirigés vers le stand presse pour y recevoir le dossier presse de la cérémonie. Je n’avais plus eu l’occasion de revenir à Landivisiau depuis le Tiger Meet de 2008 mais je constate avec plaisir que l’accueil y est toujours aussi cordial et l’organisation efficace. La première partie de cet après-midi commence avec la conférence de presse durant laquelle les intervenant abordent non seulement la carrière bien remplie du SEM dans la marine française mais aussi tous les enjeux et défis relatifs au passage au « tout Rafale » et le ressenti des pilotes au moment de changer de monture. Une fois la séance de questions-réponses achevée, nous nous dirigeons vers le tarmac pour assister à la cérémonie militaire et à la démonstration aérienne. Cette dernière partie porte bien son nom : soucieuse de bien faire les choses et de souligner l’importance de ce passage de témoin, l »a Royale » a mis les petits plats dans les grands en mettant en l’air les tous derniers SEM opérationnels accompagnés de deux rafales et d’un Hawkeye. Etaient invité également des avions de collections ayant volé au sein de l’aéronavale (MS 733 Alcyon, MS 760 Paris, Fouga Zephyr,…). Après une belle présentation en vol, les quatre SEM (dont le n° 51 en livrée prototype et le n° 01 en camouflage d’origine) sont venus se garer côte à côte une dernière fois. La descente des pilotes de leur monture s’est bien évidemment faite en respectant les traditions ! L’émotion était palpable pour les pilotes, les mécaniciens et les spectateurs (pour une bonne part, d’anciens de l’aéronavale). Mais le temps passe vite et après un dernier passage sur l’exposition statique, il est temps de clôturer cette belle après-midi et de regagner le car. Je tiens à remercier encore l’association Spot’Air qui m’a permis d’être présent, le commandement de la BAN de Landivisiau pour nous avoir reçu ainsi que tous ceux qui ont œuvré à l’organisation de cette journée mémorable.

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13 octobre 2016 Texte et photos Dochain Patrice Lardinois Jean-Paul

Bonsoir, En ce 13octobre, ou plutôt la veille, je reçois un mail tant espéré et puis cette première phrase :

« You’re kindly invited to participate in the night shoot of the F-16 FA-77 “Tiger” and FA-123 “Blizzard” at Kleine-Broge Airbase. »

Pas de doute, c’est la cerise sur le gâteau de ma fin de saison 2016 et tu parles d’une belle cerise. Ce sera mon quatrième night shoot de la saison mais de loin le plus beau. Je reprends mes esprits pour passer un petit coup de fil à Patrice, il est ok aussi, chouette nous allons sûrement passer une très belle soirée.…

Et c’est donc vers 17h30 que je rejoins le groupe de passionnés où je retrouve avec plaisir des amis du nord du pays Patrice, lui, est arrivé juste à la seconde où le car commençait sa route. Pas facile de traverser le royaume aux heures de pointe. Mais il est là c’est le principal.

Quelques minutes plus tard : Wahoooo les deux F16 nous attendent magistralement au milieu de la piste et de plus celle-ci est allumée. Mais pas de temps à perdre, le soleil se couche déjà derrière le Tiger et c’est la photo la plus difficile à réussir de la soirée : un beau contre-jour soleil couchant (grrrr pas facile dans cette précipitation). Bref un peu plus tard, l’excitation passée, on reprend nos esprits et les bonnes bases de photo de nuit. Je dois quand même signaler que nos hôtes nous ont mis les petits plats dans les grands : éclairage (un pour chaque avion) camion de pompier pour arroser copieusement la piste, et de plus ils sont a l’écoute totale des photographes un peu capricieux dont je fais partie. Chapeau bas Messieurs !

Mais quel plaisir, presque deux heures d’un bonheur total puis un café bien chaud en face, chez nos amis pompiers de la base, merci à eux également.

Je remercie sans nommer nos encadrants de la base de KB pour tout et je pense qu’il eut été bien difficile de faire mieux Grace à vous, ce sera certainement un très beau numéro du Monkeys Spotters Magazine. MERCI. Place aux photos.

s. e

e u d s s

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2-3 septembre 2016 Texte et photos Devid Ryckewaert

Il m’a fallu attendre cinq longues années pour pouvoir enfin me rendre à Zeltweg pour assister au célèbre Air Power, car pour l’édition 2013 j’ai du malheuteusement annuler mon déplacement. Ce n’est donc pas une grosse surprise de voir qu’il y a un un gros sponsor principal privé autrichien, la société Red Bull, qui je pense a beaucoup investi pour la sauvegarde de cet événement. Mon déplacement n’a pas été des plus facile, car mon compagnon de voyage s’est désisté au dernier moment. Mais qu’à cela ne tienne, j’étais trop désireux de m’y rendre. Alors j’ai pris mon courage à deux mains car pour rien au monde je n’aurais voulu rater ce meeting. De plus la météo était annoncée excellente et, cerise sur le gâteau, à Zelweg il y a un magnifique arrière plan comme je les aime. J’ai donc pris la route seul au volant de ma voiture pour rejoindre l’Autriche, 1250 km quand même. Je suis là à temps le vendredi matin, un peu fatigué, pour assister à l’arrivée des avions. Le point spot est facile à trouver du fait de l’unique piste, piste 26, et donc pas beaucoup de questions à se poser pour se placer. Je m’installe le plus confortablement possible et commence à faire des photos dans ce décor montagneux majestueux : Falcon Norvégien, Saab Viggen/Tunnan/Draken/105,Typhoon Allemands (décoré),Pilatus PC9 Slovène et beaucoup d’autres...

Énormément de monde, surtout le samedi, normal pour un meeting tellement attendu et le plateau de rêve annoncé. A 06:30 je me présente devant l’entrée et à mon étonnement il y a déjà quelques centaines de personnes devant moi. La démonstration des forces Autrichien «Bundesheer» est remarquable avec une bonne vingtaine d’hélicoptères, comme le Kiowa (Jetranger version militaire), AB212, Blackhawk et Alouette 3. Bien évidement toute la collection du Flying Bulls basée à Salzburg est présente en statique et en démonstration. Cette collection est de très belle qualité, son état exceptionnel, avec des avions mythiques qui ont marqué toute les grandes pages de l’histoire de l’aviation. Mon but principal, il faut bien l’avouer, était de voir le seule exemplaire du Brystol Sycamore volant au monde. En plus dans cet écrin Autrichien…une vraie révélation. Et puis le retour, avec de bien beaux souvenirs en tête.

Laurent Lardinois TĂŠl. : 071 55 55 21 88

Route de Mons 379A, B 6560 Erquelinnes 89

15 Days Texte et photos Dochain Patrice Lardinois Jean-Paul

Opération «Black Blade» Ce n’est pas le titre de la dernière BD de Buck Danny, mais bien le nom d’un exercice très sérieux de l’Agence Européenne de Défense qui a pour but de mettre en œuvre et de coordonner les opérations de plusieurs pays afin d’avoir une efficacité maximum. Le point central de cet exercice 2016 est la base de Florennes où sont stationnés 13 hélicoptères de trois pays : Autriche, Slovaquie et Belgique bien évidemment. Monkeys spotters magazine a été invité sur trois sites : Florennes, où nous avons pu photographier une partie des hélicoptères et assister à la préparation et à l’envol de deux UH-60 Black Hawk autrichiens. Arendonk dans le nord du pays : on nous placé sur le bord d’un terrain, à l’orée d’une forêt, qui va servir de point d’arrivée et de départ. C’est impressionnant de voir à quelle vitesse les hélicoptères débarquent les forces spéciales, qui disparaissent aussi vite dans les bois. Deux hélicoptères pour les forces en elles-mêmes, un pour un groupe de sécurité de la zone au sol et un autre toujours en vol pour la sécurité dans les airs. Au loin nous entendons des tirs, puis réapparaissent les soldats et en deux temps trois mouvement ce beau monde embarque, décolle, puis survient le dernier, pour récupérer le dernier groupe de sécurité. Elsenborn dans l’est du pays pour la dernière partie de ce reportage et c’est Patrice qui va le couvrir. Même style d’exercice mais cette fois-ci c’est une libération d’otages. Et l’action se passe cette fois-ci devant la presse. Arrivée des forces spéciales à bord d’un NH90 et Black Hawk. Là aussi la mécanique est bien rodée.Tous les hommes savent pertinemment bien ce qu’ils doivent faire. En plus des hommes, il y a la présence d’un chien d’une terrible efficacité sur la neutralisation du preneur d’otage. Voilà, cela nous a permis de faire des photos d’action, ce qui est peu fréquent, et de pouvoir aussi relayer le message sur l’efficacité, au combien, des forces qui nous protègent. Monkeys Spotters Magazine remercie tous les participants et bien évidemment et particulièrement le bureau de relations publiques de la composante air.

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NOUVEL OBJECTIF AF-S 70–200MM F/2.8E FL ED VR Amsterdam, Pays-Bas, 19 octobre 2016 : Le nouveau modèle du zoom téléobjectif au format FX de Nikon prisé des photographes professionnels offre une rapidité, une légèreté et une polyvalence inégalées. Conçu pour l'excellence, le nouvel objectif AF-S NIKKOR 70–200mm f/2.8E FL ED VR continue de donner une longueur d'avance aux photographes adeptes des reflex numériques à prise de vue rapide de Nikon. Quel que soit votre domaine, sports, action, actualités ou reportages, le tout dernier modèle de cet objectif de renom intègre plusieurs améliorations qui font toute la différence sur le terrain. Grâce aux fonctions de suivi du sujet et de contrôle de l’exposition améliorées, combinées au mode VR SPORT, les résultats de la prise de

vue en rafale sont exceptionnels. En comparaison du modèle précédent, les performances sont accrues sur tout le champ et la décroissance de la lumière a été réduite. Désormais de 1,1 m, la distance minimale de mise au point est impressionnante, et le rapport de reproduction maximal est passé de 0,11x à 0,21x. Grâce aux commandes configurables sur le barillet, son fonctionnement est intuitif, et la position des bagues de zoom et de mise au point est inversée pour une prise en main plus équilibrée. En raison du nouveau barillet en alliage de magnésium, et des lentilles en fluorite et à indice de réfraction élevé, cet objectif est d’une légèreté incomparable, et pourtant d’une solidité à toute épreuve.

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Dirk Jasper, responsable du marketing produit chez Nikon Europe, explique : « Le nouveau NIKKOR 70– 200mm f/2.8E offre une qualité d’image incroyablement supérieure, et la rapidité et l’aisance d’utilisation ont été améliorées sur tous les plans. La réduction de vibration en mode SPORT et l’ergonomie héritées des récents téléobjectifs Nikon 400 mm, 500 mm et 600 mm font toute la différence pour les photographes utilisant un reflex numérique professionnel comme le D5 pour saisir les mouvements rapides et imprévisibles. »

RÉCAPITULATIF DES PRINCIPALES CARACTÉRISTIQUES Amélioration de la réduction de vibration et de la précision de l’objectif à l’appareil photo Le système de réduction de vibration dernière génération de Nikon permet d’utiliser des vitesses d’obturation jusqu’à quatre fois plus lentes¹ et s’active dès que vous appuyez à mi-course sur le déclencheur. Le mode VR SPORT offre une image de visée plus stable lors de la prise de vue de scènes à très grande vitesse. Grâce au suivi du sujet amélioré, la réponse aux changements d’autofocus est rapide et précise. Un mécanisme d’ouverture électromagnétique garantit une grande homogénéité du contrôle de l’exposition automatique, même lors des prises de vue en mode rafale. Une intégrité exceptionnelle : la précision optique jusqu’au bord du cadre La nouvelle construction optique garantit d’excellentes performances sur tout le champ. Elle comprend six lentilles en verre ED, une lentille en fluorite et une lentille à indice de réfraction élevé. Le traitement nanocristal réduit les images fantômes et la lumière parasite pour une meilleure clarté des images. Les aberrations chromatiques et les distorsions sont réduites sur toute la plage de focales. Source: Nikon.be

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23-24 septembre 2016 Texte et photos Lardinois Jean-paul

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Malte, petite île méditerranéenne au sud de la Sicile, organise chaque année son meeting aérien fin septembre. C’est toujours avec une petite excitation que je prends l’avion pour rejoindre La valette car en plus du meeting, c’est également mon week-end vacances. Mais cette année est un peu spéciale pour l’organisation du meeting, avec pas mal de changements dus aux nouvelles consignes de sécurité européenne. En effet, la partie dynamique ne se fera plus à l’aéroport, mais bien au dessus de la mer. Le public sera installé sur une corniche naturelle à Sienna. Ce qui impose à l’organisation de se diviser et de courir toute la journée : le matin à l’aéroport pour le statique, puis fermer le site pour s’installer sur la corniche, ce qui a pour incidence de n’avoir quasiment aucune rentrée pécuniaire. Effectivement le public n’est pas au rendez-vous du statique matinal bien évidement, de plus celui-ci est complètement visible par la petite

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route qui longe le tarmac. L’après midi les organisateurs doivent se déplacer dans la circulation afin d’installer les caisses sur la corniche, mais ceux-ci arrivent trop tard, la foule est déjà en place. Coup du sort qui s’acharne sur l’organisation, le lendemain il y a trop de vent et les démos sont purement et simplement annulées. Bref financièrement c’est le flop, hormis les préventes. Par contre pour moi ce fut une réussite, j’ai pu la vielle faire les photos du dynamique lors des répétitions et, grâce a mon accréditation, faire mes plus belles photos de nuit sur un tarmac vide de tout public. Je tiens a remercier l’organisation pour tous les efforts fournis par cette équipe plus que sympathique. A l’année prochaine avec de meilleures conditions météo, je l’espère.

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