Atelier vie ouvrière

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Fiche d’observation ETAT-CIVIL Date de naissance :……………………………………. Photo de l’ouvrière

Lieu de naissance :…………………………………….

Photo de la maison

Adresse :………………………………………………... …………………………………………………

Environnement familial Lien Nom Prénom Age Emploi Employeur

Service des Publics 02 35 15 69 11 ou musees.departementaux@cg76.fr

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Les employés de la Corderie Vallois

ALLAIN Lucie

BREANT Louise

GRENIER Marie

AUGER Aimé

CORMIER Augustine

GROUT Hélène

TERNISIEN Henriette

BAZILLE Marie

DELAUNAY Marthe

MICHEL Berthe

VASSEUR Hélène

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BIVILLE Eugénie

BREANT Frédéric

DUBOC Germaine

DUBORD Pauline

MICHEL Hélène

SAMSON Blanche

VASSEUR Aline 2


Analyse des observations

Le logement : en observant la maison de l’employé, indiquez les éléments qui vous semblent trop contemporains pour correspondre à son état d’origine.

……………………………………………………… ……………………………………………………… ……………………………………………………… ……………………………………………………… ……………………………………………………… ……………………………………………………… ……………………………………………………… ……………………………………………………… Synthèse : en utilisant l’ensemble des renseignements obtenus au recto et en vous aidant du règlement joint, rédigez un petit texte imaginant la journée de l’employé étudié, du lever au coucher, en passant par son travail à la Corderie Vallois .…………………………………………………………… …………………………………………………………… …………………………………………………………… …………………………………………………………… …………………………………………………………… …………………………………………………………… ………………………..................................................... ..................................................................................... ..................................................................................... ..................................................................................... ..................................................................................... ..................................................................................... ..................................................................................... ..................................................................................... ..................................................................................... ..................................................................................... ..................................................................................... ..................................................................................... .....................................................................................

Extrait du règlement d’une fabrique d’indiennes au Houlme

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Les postes de travail

Cannetière

Doubleuse

Métier à cordes Métier valseuse

Bureau du contremaitre

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Nettoyage des fils

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Les postes de travail

Aire de cordier

Dévidoir

Le nettoyage

Différents postes de travail existaient à la Corderie Vallois. Au rez-de-chaussée, on trouvait l’atelier des cordes câblées. La matière première, le fil de coton en provenance des filatures, était répartie sur des bobines par les dévideuses, à l’aide d’une machine appelée dévidoir. Ensuite, le travail des machines à cordes, sur lesquelles étaient placées plusieurs de ces bobines, consistait à tordre ensemble les fils afin d’obtenir du « mouliné », du« câblé fin »ou du « toron ». Le coton était une matière première qu’il fallait nettoyer de façon continue car elle peluchait et pouvait empêcher les machines de fonctionner. C’était le rôle des nettoyeuses. Au premier étage, les métiers-valseuses fabriquaient de la tresse en entrelaçant plusieurs fils. Cette opération s’effectuait en plusieurs étapes : Tout d’abord, les fils étaient assemblés par deux ou trois sur des bobines grâce à la doubleuse ; le produit ainsi obtenu était ensuite transféré sur de plus petites bobines, les bobinots, à l’aide de la cannetière ; enfin, ces bobinots, placés sur les métiers-valseuses, permettaient la réalisation de la tresse plate ou ronde. Une employée au nettoyage était chargée de l’entretien général du lieu. A l’extérieur du bâtiment,, sur l’aire de cordier, on continuait à fabriquer des cordes de façon artisanale. L’ensemble des employés travaillait sous la direction vigilante du contremaître engagé par le directeur de l’usine, Jules Vallois.

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Les logements Ă Notre-Dame-de-Bondeville

35, route de Dieppe

169, route de Dieppe

238, route de Dieppe

74, route de Dieppe

175, route de Dieppe

276, route de Dieppe

308, route de Dieppe

77, route de Dieppe

181, route de Dieppe

280, route de Dieppe

157, route de Dieppe

185, route de Dieppe

298, route de Dieppe

316, route de Dieppe

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