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C
Édito
her licencié, chère licenciée, c’est évidemment le moment de vous remercier. Lors de la dernière assemblée générale organisée à Samer, je profite de l’occasion pour remercier la municipalité de son accueil, vous avez renouvelé votre confiance à mon comité directeur. C’est évidemment pour mon équipe une belle satisfaction après des « tracas administratifs » qui ont obligé notre district à fonctionner au ralenti depuis l’assemblée générale de novembre. Avec 72 % des suffrages en faveur de notre liste, la victoire est totale et elle confirme votre volonté de vous inscrire dans la stabilité après une période de flottement née des différentes procédures. En effet, comment lancer des chantiers sans avoir la moindre certitude sur l’avenir ? Comment engager les équipes du district sans être sûr de pouvoir mener les actions à leur terme ? Cette élection venue confirmer votre confiance est un point de départ vers un nouveau mandat. Un peu plus de trois années maintenant durant lesquelles nous serons à vos côtés avec la volonté de renforcer la proximité entre le district et ses clubs comme nous l’avons évoqué dans notre programme. Vous connaissez nos intentions, elles visent uniquement le bien-être des clubs et donc de nos licenciés. Nous sommes à votre disposition et viendrons autant que faire se peut à votre rencontre lors de vos différentes manifestations. Encore merci pour votre confiance ! Chaleureusement, Georges Flouret, Président du district Côte d’Opale de football
Sommaire 4 et 5 7 8 et 9
L’invitée du mois
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La FMI
Le bénévole du mois
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l’Amicale des éducateurs à la relance
La séance de...
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Le partenaire
Rencontre avec Corinne Dufour, directrice administrative du district Côte d’Opale
Bernard Dubois, fidèle d’Essor
Jérôme Fouble, éducateur des U8/U9 à Surques-Escoeuilles
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Bien joué monsieur l’arbitre
12 et 13
Dans les coulisses de Bezinghem
18 et 19
Poser une réserve d’avant-match avec la FMI
Les infos pratiques
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L’invitée du mois
« NOUS SOMMES
AU SERVICE DES CLUBS »
Chaque semaine, Corinne Dufour maintient le contact avec les différents clubs. Elle est en quelque sorte la speakerine du district Côte d’Opale de Football, celle dont tous les clubs connaissent la voix mais pas forcément le visage. Depuis une trentaine d’années, Corinne Dufour arpente les couloirs du District Côte d’Opale de Football et orchestre la vie de plus de 40 000 licenciés de la Côte d’Opale. Une mission intense et en perpétuelle évolution qu’elle remplit avec le souci du détail et du travail bien fait. Rencontre avec celle pour qui le District Côte d’Opale de Football n’a pas le moindre secret. Corinne Dufour, si l’on vous dit que vous faites partie des meubles du District Côte d’Opale de football, êtes-vous d’accord ? Ce n’est pas forcément à moi de le dire ! J’entame ma 32e année. Je suis entrée en 1985 suite à un stage proposé par l’Assedic. Je devais me présenter au District Maritime Sud dont le siège était déjà à Guines. C’était une autre époque. Je me souviens des présidents qui préparaient tous les championnats avec leurs petites cases à remplir pour toute la saison. Il y a eu une première révolution avec l’arrivée du Minitel et les résultats à saisir puis l’ordinateur a évidemment tout bouleversé. Vous avez donc également vu défiler les présidents ? Pas tant que ça, quatre au total. Arthur Ducher d’abord avant Fernand Duchaussoy, Daniel Bloume
et Georges Flouret depuis plusieurs années maintenant. Quatre présidents en 32 ans, c’est plutôt stable. Finalement, vous êtes un peu arrivée au district par hasard ? Un peu oui. Je ne côtoyais pas du tout le monde du football mais je ne refuse jamais le travail, c’est une question de valeurs, celles transmises par mon père. Je fais toujours correctement mon travail, je ne compte pas mes heures et mon investissement. Tout doit être bien fait. Quitte à être un peu stressée… Ce n’est pas faux. Cela fait partie de ma personnalité. Nous avons des centaines de matches à gérer chaque week-end et le moindre détail peut avoir son importance. Nous sommes évidemment au service des clubs et devons leur apporter les réponses les plus précises possibles, j’y tiens énormément. Nous
sommes payés pour ça et travaillons avec un comité directeur dont les représentants sont bénévoles. Ils ne comptent pas leurs heures, animent et organisent des réunions le soir, se dépensent sans compter.
« De plus en plus, le football, c’est quand je veux, où je veux. » Nous devons être à la hauteur des clubs et de nos représentants. Quand vous dites « nous », de qui parlez-vous ? De mon équipe : Germaine Pierru qui gère toute la partie disciplinaire et juridique mais aussi l’accueil des clubs ici au district et Damien Somville qui gère toute la partie événementielle, à travers la journée
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Corinne Dufour et Germaine Pierru, deux des chevilles ouvrières du District Côte d’Opale de football. des débutants ou des U6, U7, U8 et U9 la partie communication et la partie juridique-discipline. Une équipe resserrée pour gérer plus de 26 735 licenciés… On peut se dire cela effectivement maintenant notre travail est lui aussi en totale mutation. L’arrivée de la FMI par exemple a totalement simplifié nos différentes procédures. Demain la licence dématérialisée aura le même impact même s’il nous faudra accompagner les clubs, les sensibiliser, les former. On ne va pas s’ennuyer. Pouvez-vous nous décrire l’une de vos semaines ? Elle débute toujours très fort. Le lundi matin, j’ai sur ma boîte 100 à 200 mails en attente. Il s’agit des événements du week-end. Il nous faut apporter une réponse à chaque cas et définir ceux qui relèvent de la discipline par exemple ou du juridique. On scrute les rapports également. Il y a ensuite toute la vie du district à organiser, à anticiper en veillant toujours aux aspects administratifs. Le moindre vice de forme peut avoir de très lourdes conséquences. Nous gérons de plus en plus de dérogations également, plus de 1 000 depuis le mois de septembre. Cela concerne les équipes qui préfèrent
jouer tel jour plutôt qu’un autre, à telle heure... Je suis également présente en permanence au district le mardi jusqu’à 19 h et le samedi matin de 9h à 12h afin d’apporter une réponse aux problèmes de dernières minutes qui pourraient survenir pendant le week-end. Nous venons de terminer l’hiver par exemple et il fallait gérer les arrêtés de dernière minute.
« J’ai en effet observé un important turn-over des dirigeants . » Des comportements qui confirment cette tendance selon laquelle les clubs veulent pouvoir s’organiser ? Tout à fait, de plus en plus, le football, c’est quand je veux, où je veux. Il faut nous adapter. Idem pour les arrêtés, les anciens nous racontent souvent que de leur temps, ils jouaient dans la bouse de vache ! Aujourd’hui c’est impossible et les municipalités veillent à l’état de leur terrain. Je les comprends, il s’agit de deniers publics mais cela a de nombreuses conséquences sur notre
travail au quotidien. Nous passons par exemple beaucoup de temps à refaire les calendriers. Nous devons aussi surveiller les arrêtés de complaisance, il y aura d’ailleurs de plus en plus de contrôles. Avez-vous perçu une évolution chez les dirigeants ? J’ai en effet observé un important turn-over des dirigeants. Beaucoup ont jeté l’éponge, dépassés par la FMI ou les problèmes règlementaires. Depuis deux ans, la modernisation de nos moyens de communication est partie en flèche, de nombreux dirigeants se sont sentis bousculés même si nous avons tout fait pour les accompagner. Une nouvelle génération a pris le relais dans certains clubs. Vous orchestrez finalement le football local sans jamais aller sur les terrains ou presque ! Je m’intéresse au football mais pas au point d’aller sur les terrains le week-end. Je regarde l’équipe de France mais sinon dans mes loisirs, je coupe. J’adore les randonnées, au bois de Guines ou à la plage par exemple. J’ai besoin de ça pour évacuer tout le stress accumulé durant la semaine.
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Le bénévole du mois
L’ESSOR EN FAMILLE POUR BERNARD DUBOIS 1 semaine avec
Bernard
Membre du comité directeur de l’ESSOR (Entente Sportive Saint-Omer Rural) depuis 1988, Bernard Dubois en a été trésorier (de 1988 à 1991 et de 1995 à aujourd’hui) et président (de 1991 à 1995).
Qui est-ce ? Directeur de groupe commercial pour un établissement bancaire, Bernard Dubois gère 18 agences, ce qui lui laisse peu de temps à consacrer au football. « Mais même si je suis moins présent, je suis utile pour ma capacité à analyser, à décortiquer les situations. » L’ESSOR demeure de toute manière une échappatoire indispensable à l’équilibre de vie de ce père de trois garçons qui a longtemps accompagné leur parcours au sein du club, cumulant par période sa fonction de trésorier avec des responsabilités d’entraîneur ou de dirigeant d’équipes jeunes.
a famille comme boussole, Llarge au sens propre ou plus quand il s’applique à
un club de football. Pour Bernard Dubois (52 ans), actuel trésorier de l’ESSOR (Entente Sportive Saint-Omer Rural), le mot prend tout son sens. « Mon papa était membre du comité à la création du club en 1977 au moment de la fusion entre l’Olympique Moullois-Houllois et la Jeunesse Sportive Tilques-Moringhem. J’ai moi-même commencé à y jouer en 1978 en pupilles 2e année. » Avec un frère et une sœur dirigeants au club et un fils joueur de l’équipe première, Bernard Dubois n’a pas besoin de convaincre de la dimension familiale de l’engagement au sein de l’ESSOR.
« Ça ne fonctionne que si on est une équipe » « Mais c’est aussi un ensemble de bénévoles qui font le club, poursuit celui qui est également entraîneur adjoint au sein de l’équipe 1 du club audomarois. Ça ne fonctionne que si on est une
équipe. » La famille toujours, mais dans son acception la plus étendue. « Stéphane Lecointe, qui est président du club depuis 1998, sait être le moteur de cet esprit de famille », témoigne Bernard Dubois qui a lui-même occupé le fauteuil de président de 1991 (à l’âge de 26 ans) jusque 1995. « J’avais promis à mon épouse de prendre un peu de recul à la naissance de notre troisième enfant. J’ai donc repris la casquette de trésorier en 1995. » Membre du comité directeur depuis 1988, entraîneur chez les jeunes au gré de l’évolution de ses propres fils qui sont tous passés par l’ESSOR, Bernard Dubois a également trouvé le moyen de prolonger sa passion pour le football au travail : chaque année, il sélectionne les joueurs qui représenteront l’équipe Nord/Pas-de-Calais au championnat de France interne du groupe Banque Populaire Caisse d’Epargne. Avec un certain succès : « On a remporté le titre en 2011 et 2016. » Il visera le triplé à Bordeaux du 2 au 5 juin.
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La semaine football de Bernard Dubois débute avec un point sur les finances du club le lundi. « J’y jette un regard rapide et une fois par trimestre on fait le point avec le trésorier adjoint. » Actuellement, le trésorier de l’ESSOR profite également de ce premier jour de semaine pour mettre à jour la page Facebook consacrée aux 40 ans du club. « Du mardi au vendredi, c’est 100% boulot, hormis quelques contacts avec le coach et la lecture des PV du district pour être certain de ne passer à côté de rien. » Le vendredi soir, Bernard gère les tablettes du club. « Et le dimanche, je suis aux côtés de l’équipe première tout l’après-midi. » Et quel que soit le résultat, la semaine s’achève autour de la buvette.
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La séance de… Jérôme Fouble
« TRAVAILLER LES
CONTRÔLES ET LES PASSES » Jérôme Fouble (à droite) prépare le jeu sous le regard de Philippe Havart, son président. Rendez-vous ce mois-ci en plein cœur de la vallée audomaroise, à Surques-Escoeuilles, association réunissant deux villages autour d’un même sport, le football. Gros plan sur une séance technique proposée aux U 8 et U 9 afin de répéter leurs gammes techniques.
U
n bout de terrain avec la vallée licquoise en guise de décor, le cadre est idéal pour les jeunes footballeurs de Surques-Escoeuilles. Ce mercredi, ils sont une bonne quinzaine des catégories U 8 et U 9 pour la première séance d’entraînement sur herbe de cette année 2017. En plein cœur du mois de mars, impossible d’occuper le seul terrain de ce club fort de plus de 150 licenciés dont trois équipes seniors ! Jérôme Fouble a préparé une séance technique, contrôle-passe mais il n’est pas seul à s’activer pour encourager ses ouailles. A ses côtés, Philippe Havart, le président, François Rommel et Marie-Laure son épouse. Trois éducateurs et une éducatrice pour 24 enfants, du pur bonheur pour les bambins. « Notre club compte 93 enfants de - de 13 ans, nous sommes d’une certaine manière la principale association du village », détaille François, professeur de sport dans la vie. Surques-Escoeuilles, c’est aussi la capitale du système D. L’éclairage du terrain a par exemple été hissé à grands coups d’huile de coude des dirigeants et...
de bons plans. « Un bénévole a amené les piquets, un autre la pelleteuse et on a tout fait par nos propres moyens », souffle le président Philippe Havart. Le coût défie évidemment toute concurrence : 1 000 euros. Mais les jeunes pousses du club n’auront pas besoin d’éclairage pour ce mercredi après-midi. Au programme : cinq ateliers animés dans une ambiance propice à l’apprentissage. « On souhaite d’abord qu’ils s’amusent, qu’ils prennent du plaisir, précise Jérôme Fouble. Les aspects techniques sont évidemment très importants mais dans un club comme le nôtre, ce n’est pas l’essentiel ». Ce qui n’empêche pas Jérôme ou François de distiller des conseils à bon escient dans les déplacements ou pour, déjà, offrir à leurs protégés quelques prémices tactiques. La séance débutera par un rassemblement prévu entre 14 h et 14 h 15 avec une zone d’accueil jonglage et se terminera par un jeu histoire de bien préparer le rendez-vous du week-end programmé à Boulogne-sur-Mer.
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Exercice n°1
Echauffement (10‘)
A
A
Matériel : coupelles, plots, chasubles.
Le principe : le joueur A va traverser le carré pour ensuite faire une passe au joueur B qui réalise le même exercice dans le sens inB verse. Les joueurs sont ainsi répartis en deux colonnes. Ensuite, le joueur A va se rendre en conduite de balle dans le carré puis chercher un joueur libre (B,C ou D) en effectuant une passe dans la porte qui lui permettra le joueur ciblé.
B D A C
C
D
Les critères de réalisation : ils sont d’abord techniques lors de la conduite de balle par exemple, le joueur doit conserver la maîtrise du ballon. Une fois dans le carré, il s’agit d’insister sur la prise d’information sans perdre le contrôle du ballon. Insister évidemment sur les critères de réalisation d’une bonne passe : le pied dur, un ballon suffisamment appuyé, le bruit du ballon qui claque sont autant d’éléments de communication intéressants à partager avec vos jeunes joueurs.
Exercice n°3
Morpion moteur
(12‘)
P A S S E S
Le matériel : coupelles, piquets, chasubles, cerceaux.
Le principe : les deux équipes sont réparties en chasubles chasubles deux colonnes et doivent réaliser le parcours. Afin de les sensibiliser aux différentes difficultés, le parcours sera d’abord testé sans ballon. Avec ou sans ballon, l’objectif reste le même : déposer la chasuble dans l’un des cerceaux. Avec le ballon, une fois dans le carré, le joueur fera demi-tour et remettra le ballon à son coéquipier avant de saisir la chasuble pour la déposer dans l’un des cerceaux. L’équipe qui remplit le plus de cerceaux a gagné. Les critères de réalisation : insister sur la qualité technique évidemment mais aussi sur la rapidité d’exécution. Il s’agit par contre d’être instransigeant sur le respect du parcours.
e Circuit techniqu (10 à 12‘)
Exercice n°2
A’
C’
B’
Le matériel : piquets, coupelles, plots, chasubles. Le principe : il s’agit d’un passe et suit classique où le joueur A cherche le joueur B puis ainsi de suite. Dans le circuit numéro 1, le parcours se termine par une frappe au but suite à un contrôle orienté. Dans le circuit 2, le parcours débouche sur un centre puis une frappe en une touche de balle. Cet exercice se termine par une frappe au but. Attention à ne pas imposer de trop longues distances à vos jeunes joueurs. Il s’agit d’une séance technique, l’intérêt se trouve donc dans la répétition du geste et la correction apportée par l’éducateur. Les critères de réalisation : ils sont importants pour ce passe et suit où le joueur est en mouvement permanent. L’éducateur démontrera les différents gestes afin de guider ses joueurs. Insister sur la qualité de la passe mais aussi sur les déplacements au moment de recevoir ou d’appeler le ballon.
Exercice n°4
Béret
(10‘)
source
source
Matériel : plots, coupelles, chasubles, piquets Le principe : chaque joueur a un numéro, l’éducateur indique d’abord le numéro qui sera dans le but puis enchaîne avec des combinaisons qui déboucheront sur des confrontations à deux contre un, deux contre deux voire trois contre un. À chaque situation, les joueurs doivent s’adapter et tenter de marquer. Les critères de réalisation : lors d’un trois contre deux par exemple, l’éducateur insistera sur l’utilisation de la largeur par exemple. Lors d’un trois contre deux idem mais les consignes pour les défenseurs seront différentes avec des indications concernant le cadrage de l’adversaire ou le fait le défendre debout.
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Bien joué monsieur ou madame l’arbitre
DAVID GOETGHEBEUR
Goetghebeur entame sa neuvième saison de sifflet du District MaDavid ritime Nord de football. Ses week-ends, il les passe sur les pelouses à
encadrer les rencontres de différentes catégories : « J’arbitre des rencontres adultes mais aussi de jeunes, explique le licencié de l’US Warhem. Il m’arrive aussi de faire la touche en Ligue (PH et PHR, NDLR). » Question piège : une préférence entre les adultes et les jeunes ? « Difficile (rires) ! Plus ça avance et plus de préfère encadrer les jeunes, c’est plus simple je trouve jusqu’à U 19. Ensuite, ça se complique un peu », glisse celui qui est également président du club des supporters de l’US Warhem. Joueur par le passé, David mit fin à sa carrière suite à une vilaine blessure avant de se tourner vers l’arbitrage, domaine totalement complémentaire de sa vie professionnelle. « Je travaille dans le management et cette activité a plein de points communs avec l’arbitrage. Dans ces deux domaines, il faut développer une capacité à prendre des décisions et à les assumer. Il s’agit de faire preuve d’autorité sans autoritarisme », explique David qui a choisi d’aborder un thème qui lui est cher : l’influence de l’extérieur sur le bon déroulement d’une rencontre.
Loi n°5
Arbitre au centre en district, David fait également la touche en PHR et PH.
Attention aux abords du terrain Parfois, malheureusement, si tout se passe bien sur le rectangle vert, l’atmosphère autour d’une rencontre peut rapidement prendre une mauvaise tournure. Le rôle des différents acteurs, du joueur aux arbitres en passant par le délégué de terrain, est alors guidé par les textes. Tous les footeux vous le diront, le plus dur parfois, ce n’est pas ce qui se passe sur le rectangle vert mais autour. Aucun niveau n’est épargné, de la quatrième division de district à la Ligue 1. Si l’arbitre veille au bon déroulement de la rencontre, il peut s’appuyer sur deux normes qui lui permettent d’agir sur l’environnement du terrain. La loi 5 concernant les pouvoirs et les responsabilités de l’arbitre ainsi que les règlements généraux de la Fédération Française de Football qui s’appliquent évidemment aux Ligues et aux Districts. La loi 5 est très claire : l’arbitre peut décider d’interrompre le jeu, de suspendre le match ou de l’arrêter définitivement en raison d’une infraction aux Lois du jeu ou d’une quelconque interférence extérieure. Par exemple, si un arbitre, un joueur ou un officiel d’équipe est touché par un objet lancé par un spectateur, l’arbitre peut alors laisser le match se poursuivre, l’interrompre, le suspendre ou l’arrêter définitivement en fonction de la gravité de l’incident.
« Le règlement oblige l’arbitre à faire abstraction de ce qui se passe autour du terrain, les joueurs doivent faire de même. Un joueur qui tenterait de répondre d’une manière ou d’une autre à une provocation du public risque une expulsion. Par contre, l’arbitre doit également prendre ses responsabilités en cas d’insultes racistes par exemple. Il se doit d’intervenir auprès du délégué de terrain pour que cela cesse et il doit décider d’arrêter la rencontre si cela continue. Petit message aux parents d’ailleurs, ils doivent encourager leurs enfants et ne pas se concentrer sur l’arbitre. A l’occasion de certains matches de jeunes, c’est malheureusement une déviance de plus en plus fréquente. Le club recevant est responsable de la police du terrain et la présence d’un délégué est obligatoire selon les règlements de la FFF, quel que soit le niveau. S’il n’y en a pas, le match se jouera évidemment mais le club sera sanctionné avec une amende. »
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Vos photos
édric traînés par C stival n e , fc ru C u mes du fe Les U13 d sent deuxiè 13 Pitch disputé s la c e s , le il tU Sch d’Opale Foo omplexe district Côte t du mois de mars au c n er. dans le coura s-de-Gaulle à Saint-Om e rl a h sportif C Un exercice de jongles qui se concluait par un tir de précision était organisé pour les 200 jeunes footballeurs du district participant à ce festival Pitch U13.
Chaque équipe avai t cin ter, et à gagner, pour q rencontres à dispuaccumuler des points Huit d’entre elles se . sont qualifiées pour le tour départemental.
Les jeunes arbitres du district étaient sollicités pour diriger les rencontres.
C rs U13 de l’ES u e u jo s se t e s e place. Romain Labre t à la quatrièm n e in rm te e n Coulog
Vous voulez nous envoyer vos photos ! N’hésitez pas ! marketing@nordlittoral.fr
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Dans les coulisses de…
BEZINGHEM, LES COPAINS D’ABORD Créée en 1978, l’AS Bezinghem a toujours fonctionné sur le modèle de l’association de copains. Ce qui n’empêche pas le club, qui possède un salarié, de nourrir des ambitions nouvelles sous la houlette de son nouvel entraîneur, Fabien Delplanque.
L’AS Bezinghem compte une trentaine de débutants et des équipes U11, U13 et U15. temps semble s’être figé du Lans,ecôtél’équipe de Bezinghem. Depuis vingt A évolue en 2 division e
de district, tandis que les B jouent en 3e division après avoir refusé à deux reprises la montée. « On a toujours voulu faire une équipe familiale, sympathique, monter n’a jamais été notre but premier », révèle Michel Delplanque (65 ans), le trésorier qui a rejoint le club comme joueur en 1980 à l’époque où il a fait bâtir sa maison dans le village. Cette idée de camaraderie qui prime sur le résultat sportif était de toute manière contenue dans la genèse du club. « Ce sont des copains qui ont créé l’AS Bezinghem. Pour la plupart, ils avaient plus de trente ans et n’avaient jamais joué au foot. On a pris des sacrés cartons la première année », se remémore avec le sourire Raoul Delplanque, le frère de Michel, que les créateurs du club étaient allé sortir de sa retraite de joueur pour donner un peu de poids à l’équipe. « On jouait dans des pâtures que les agriculteurs mettaient à notre disposition », complète Michel. Toute une époque ! Les temps ont tout de même chan-
gé depuis ces débuts héroïques. Depuis 20 ans, le club dispose d’un terrain mis à disposition par la municipalité et de vestiaires qui ont été construits par les bénévoles avec des matériaux réglés par la commune. « On a un confort rudimentaire qu’on améliore au fur et à mesure », euphémise Michel Delplanque. Les premiers rôles en 2e division Sur le terrain, les choses évoluent également. Sous l’impulsion de Fabien Delplanque, le nouvel entraîneur, fils de Raoul, l’équipe A senior joue les premiers rôles dans son championnat. « C’est sa première saison, il a des ambitions. On a un effectif assez important de 35 seniors qui ont un entraînement poussé en semaine. Dans l’équipe A, il y a 8 à 10 joueurs qui ont été formés au club. Mais maintenant, on va être attendu à chaque match », souligne Michel Delplanque. Chez les jeunes, le dynamisme est également de mise avec notamment le recrutement d’Adrien Quenu, un éducateur en contrat aidé, présent pour la seconde saison
consécutive. Un coup de main salvateur pour accueillir une trentaine de débutants et des U11, U13 et U15 où Bezinghem peut présenter des équipes complètes. Reconnu pour son tournoi senior du mois d’août, le club va également lancer cette saison un tournoi U11 – U13 qui réunira 16 équipes. Reste le problème du trou qui existe actuellement entre les U15 et les seniors. « L’an prochain, nous aurons 7 ou 8 U15 qui changent de catégorie », calcule Michel Delplanque. Entente avec un autre village ou recrutement de nouveaux jeunes, Bezinghem va devoir trouver une solution d’ici la rentrée prochaine pour conserver ces futurs U18.
Le chiffre 25 Le nombre d’années de présidence de Raoul Delplanque, de 1983 à 2008, sur les 39 années d’existence du club. L’actuel président, Jérémy Dantin, a été élu il y a deux ans.
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La fiche
AS Bezinghem Année de création : 1978
Nombre de licenciés :
118 lors de la saison 2016/2017. 2 équipes seniors masculines en 2e et 3e division
L’équipe A de Bezinghem évolue depuis vingt ans en 2e division. Mais cette saison, le club, sous l’impulsion du nouvel entraîneur, Fabien Delplanque, est un candidat à la montée.
Le bureau :
Président : Jérémy Dantin Vice-président : Cédric Delplanque Secrétaire : Laurent Delplanque Trésorier : Michel Delplanque
Michel Delplanque, trésorier de l’AS Bezinghem L’AS Bezinghem possède 118 licenciés. C’est près du tiers de la population du village (369 habitants selon le dernier recensement de 2014). Comment expliquez-vous le succès du club ? « Quand on a créé le club il y a 40 ans, on était une vingtaine mais au fil des années, les enfants des joueurs de la première heure sont arrivés, puis ils ont ramené leurs copains. Aujourd’hui encore, ça reste une équipe de copains. Mon garçon a commencé au club quand il était petit, aujourd’hui à 35 ans il joue en équipe A. Autour de lui, il y a encore un noyau de joueurs avec qui il jouait enfant. » Après avoir fonctionné en regroupement avec d’autres villages chez les jeunes, Bezinghem vogue de nouveau seul. « On trouvait notre bonheur dans ce regroupement. Ça permettait à tous les enfants de jouer dans leur catégorie. Aujourd’hui pour créer une équipe, on est parfois obligé de surclasser un gamin qui n’est pas forcément à son niveau. Mais quand on se marie avec d’autres clubs il y a parfois des divorces. » Vous êtes trésorier du club depuis 1983. A quoi ressemble ce rôle dans une petite structure comme l’AS Bezinghem ? « Il faut forcément jongler pour boucler le
budget, jusqu’à présent, nous y sommes toujours parvenus. Après ce sont quelques responsabilités, quand on fait une fête il y a un peu d’argent qui circule. J’ai été content de la faire pendant 40 ans, mais je serai aussi content de céder ma place à quelqu’un de plus jeune en fin de saison. » Vous avez également encore une responsabilité d’encadrant auprès des jeunes. C’est quelque chose à quoi vous êtes attachés ? « S’occuper de jeunes, c’est superbe. En revenant de l’entraînement, on a les cheveux encore un peu plus blancs qu’en partant, parce qu’ils nous donnent des soucis, mais c’est génial d’être avec eux. »
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FMI
UTILISER LA FMI COMME UN PRO
Première étape : Cliquer sur l’onglet réserves d’avant match.
La FMI, en plus d’offrir une économie de papier, peut aussi faciliter la vie des éducateurs qui auraient détecté une anomalie au cours d’une rencontre. Par le passé, il fallait maitriser les textes sur le bout des crampons afin de déposer une réserve dans les règles de l’art. Désormais, une bonne maîtrise de la FMI peut vous aider à déposer une réserve technique sans la moindre faille puisque les textes sont déjà prêts !
Réserves d’avant match
2. Type de réserve
Deuxième étape : 1. Choisir le ou les joueur(s)
Troisième étape :
Choisissez le joueur concerné par la réserve comme indiqué dans la photo ci-contre avant de sélectionner ensuite le type de réserve.
Choisir
Pour notre exemple, nous avons choisi le cas d’un joueur suspendu aligné sur la feuille de match.
Quatrième étape :
1. Posez votre réserve
2. Signature
Cinquième étape : Vous procéderez enfin à la signature de la réserve en cliquant sur l’onglet signature avant de confirmer par une nouvelle signature (équipe recevante) après avoir pris soin de certifier la conformité de votre réserve.
Vous sélectionnez votre réserve et le texte s’inscrira ensuite automatiquement dans le cadre prévu à cet effet. Cliquez ensuite sur poser votre réserve avant de valider votre réserve en cliquant sur OK. Attention, si vous ne réalisez pas cette étape, votre réserve ne sera pas enregistrée.
1. Cocher
2. Signer
3. Valider
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Portrait
L’AMICALE DES ÉDUCATEURS À À LA RELANCE
Anthony Lemettre, coach à Lumbres, a présenté les différentes propositions de son groupe. plus de 300 adhérents I80lsil yétaient a moins de trois ans. Ils sont aujourd’hui…. À ce rythme-là,
les jours de l’Amicale des Educateurs du District Côte d’Opale sont comptés ! Hors de question évidemment pour Eric Picot, le président nouvellement nommé de cette amicale, de voir le bateau couler. Récemment, dans les locaux de la brasserie du Maie à Rinxent, il a donc réuni les plus fervents des éducateurs de la Côte d’Opale, les « référents techniques » comme il les appelle. Dans l’assistance, les frères Ledet, Philippe et Florian Brame de l’AS Marck, Jérôme Dutitre du Crufc, Laurent Chevalier d’Enquin-les-Mines et une bonne quinzaine d’autres visages connus du football local parmi lesquels celui d’Alain Pochat, coach de l’USBCO dont la présence prouve qu’il a su rester proche de la base. Sous la houlette de Gérard Sergent et Benjamin Hochart, les éducateurs du District Côte d’Opale, les « cerveaux » ont donc planché sur un panel d’actions à mener afin de relancer l’Amicale. « On a coutume de dire qu’un éducateur seul est un éducateur isolé et donc en danger, c’est tout le but de cette amicale, détaille Gérard Sergent. Quel que soit l’éducateur, il se doit d’être curieux et l’amicale favorise ces échanges. » Eric Picot, le président, mesure aujourd’hui l’ampleur de la
mission : « nous avions prévu d’organiser un déplacement en Angleterre pour aller voir un match. Faute de participants, nous avons annulé, regrette-t-il. Il faut repartir de l’avant et pour cela, nous aurons besoin de l’adhésion de l’ensemble des éducateurs. »
Des propositions en veux-tu, en voici Ceux présents ce soir-là fourmillent d’idées dans tous les cas. Par la
voix d’Anthony Lemettre, coach à Lumbres, plusieurs pistes ont été abordées : l’idée d’installer des référents dans les clubs chargés de promouvoir l’Amicale, celle de ventiler un questionnaire chargé de comprendre les besoins des éducateurs ou de partir à la rencontre d’entraîneurs pros d’autres sports comme Patrick Cazal coach de l’USDK ou d’Eric Girard, coach de l’ESSM Le Portel. La mise en place d’un tarif étudiants a également été abordée comme l’intégration de l’adhésion à l’Amicale (22 euros) dans les tarifs de formation. « Pourquoi pas adapter la dotation aux pourcentages d’éducateurs amicalistes dans le club », interroge Florian Brame (AS Marck). Laurent Chevalier reste de son côté très pragmatique : « en tant qu’éducateur diplômé, nous devons procéder à des recyclages. Pourquoi ne pas organiser ces soirées de recyclage ici sur la Côte d’Opale au sein de l’Amicale des éducateurs. » Le catalogue de propositions est intéressant. Reste maintenant à étudier la faisabilité et à, qui sait, donner un nouveau souffle à l’Amicale des éducateurs de la Côte d’Opale.
Eric Picot, président de l’Amicale des éducateurs de la Côte d’Opale, remet la newsletter aux participants de la soirée.
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De droite à gauche : Eric, Thomas, François, Aurélie, Annie et Aurélia.
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La cave du Berguenard, sur les berges du canal de Bergues, est installée depuis toujours dans un ancien chai à vin. Fidèle parmi les fidèles du District Maritime Nord de football, Eric Blanckaert, patron de l’entreprise Blanckaert Vasseur Boissons baigne dans le milieu du ballon rond depuis toujours ou presque. ric Blanckaert, patron de la E Blanckaert Vasseur Boissons en connaît sans doute autant sur l’al-
cool que sur le football. Les amateurs du ballon rond du grand Dunkerque ont sans doute à un moment ou un autre croisé la route du fiston, Paul Blanckaert, défenseur gaucher aux chevauchées fantastiques. Un jeune au parcours cousu d’or : 14 nationaux à Dunkerque, 16 et 18 nationaux à Avion avant un retour à Dunkerque en CFA 2 puis un passage par Gravelines. Aujourd’hui, « Paulo » s’amuse à Warhem, le fief des Blanckaert…et pas seulement pour le foot. Dans ce village, à deux pas de Dunkerque, se situe l’entrepôt de BVB aujourd’hui géré par Eric et Paulo justement : « Il apprend le métier comme l’on dit,» souffle Eric qui a saisi une belle opportunité il y a deux ans. « On ne pouvait pas trop s’agrandir à Warhem, explique-t-il. Je travaillais avec monsieur et madame Vasseur
depuis plusieurs années et ils voulaient vendre. J’ai repris il y a deux ans la cave de Berguenard. » Sa zone de chalandise est aussi vaste que la variété de ses produits. Il n’est pas rare de croiser dans ses rayons des Belges, des Anglais et une panoplie de régionaux : « Dans un rayon de 40 kilomètres environ », précise Eric qui a mis fin au service de livraison proposé par ses prédécesseurs. La typologie de sa clientèle est elle-aussi très vaste : des particuliers, des hôtels, des restaurants voire des associations toutes et tous travaillés en proximité évidemment.
La Zonneblussch, la bière spéciale
Au total, répartis entre Warhem et Bergues, l’équipe de BVB est composée de dix équivalents tempsplein et deux contrats à temps partiel. Un staff aux petits soins pour
les clients et aux premières loges des nouvelles tendances. En ce moment par exemple, le whisky et le rhum (à consommer avec modération évidemment) se livrent une bataille sans merci. « De plus en plus, le rhum, grâce à de nouvelles variétés beaucoup plus fruitées notamment et moins agressives, attirent de nombreuses femmes. Le rhum Don Papa est également très apprécié », souligne Eric qui a aussi créé sa propre bière : la Zonneblussch. Une spécialité développée bien avant la mode des micro-brasseries où chacun mijote son propre houblon. « Nous l’avons lancée à l’occasion de la fête agricole de Hondschoote, la Karyole Feest, précise Eric. Chaque année, nous en produisons 2 000 litres environ. » Un brassin spécial concocté à Blaringhem, là où est née la fameuse Anosteké. Souhaitons-lui le même succès !
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Les rendez-vous de vos districts Les échéances clubs en Côte d’Opale Le district Côte d’Opale rappelle aux clubs les échéances suivantes : • Changement de nom : la demande doit arriver au District avant le 1er juin 2017. • Groupement de Jeunes : pour une création, le projet doit arriver au District pour le 30 avril 2017. Pour une modification (ajout/retrait de catégorie/de club) la demande doit arriver au District pour le 15 juin 2017.
Les Bleus à tarif réduit Le mardi 13 juin prochain, la France recevra l’Angleterre dans un match de prestige organisé au Stade de France (21h). Les clubs et les licenciés peuvent à cette occasion profiter d’un tarif préférentiel. Il suffit pour cela de remplir le bon de commande disponible sur le site de la ligue des Hauts-de-France (nordpasdecalais.fff.fr avant le lundi 24 avril.
L’agenda des commissions - Jeudi 6 avril à 18h30 : Comité de direction du district maritime nord - Vendredi 7 avril à 18h : Commission des Coupes Seniors Côte d’Opale - Lundi 10 avril à 18h : Commission de discipline (matches jusqu’au 2 avril inclus) du district maritime nord - Lundi 10 avril à 18h30 : Commission de Discipline district Côte d’Opale - Mardi 11 avril à 16h30 : Commission des Jeunes à 11 district Côte d’Opale - Mardi 11 avril à 18h30 : Commission d’appel disciplinaire et juridique du district maritime nord - Mercredi 12 avril à 18h45 : Commission d’Ethique et Gestion des Conflits district Côte d’Opale - Jeudi 13 avril à 18h30 : Commission centrale d’achats district Côte d’Opale - Vendredi 14 avril de 18h à 20h : Formation Cap’Ligue (district maritime nord) - Mardi 18 avril à 18h : Commission de discipline (matches jusqu’au 9 avril inclus) du district maritime nord - Jeudi 27 avril à 18h30 : Assemblées générales ordinaire et extraordinaire du district maritime nord - Jeudi 4 mai à 19h à Socx : Comité de direction élargi district maritime nord / Flandre
Assemblées générales ordinaire et extraordinaire du District Maritime Nord de football. Le jeudi 27 avril à partir de 18h30 au siège du District Maritime Nord de football se réuniront les différents décideurs du DMN au premier rang desquels les clubs. Il s’agira notamment d’adopter le projet de fusion indispensable à la création du futur District de Flandre le 1er juillet prochain. Il est impératif que le président du club ou son représentant soit muni de sa licence afin de la présenter à son arrivée pour le pointage. La présence des clubs aux Assemblées Générales du District est obligatoire. Le pouvoir donné par le Président du club ne peut l’être que pour un membre licencié de son club. Dans tous les cas, les délégués devront être obligatoirement munis du pouvoir, de leur licence pour représenter leur club et pour voter. Mail : licences@nordpasdecalais.fff.fr
District Foot Mag - Supplément numérique gratuit édité par le Groupe Nord Littoral Directeur général et directeur de la publication : David Guévart - Directeur commercial : Jérôme Dimarcq Responsable Marketing : Ahmed Kara - Service commercial du groupe Nord Littoral : 03 21 01 66 00 Création : Prémédia du Groupe Nord Littoral - Rédaction : Philippe Lefebvre et Ahmed Kara
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La journée nationale des débutants à Coudekerque-Branche
Formation BMF / BEF saison 2017/2018 La Ligue de Football des Hauts de France, désignée Centre Interrégional de Formation par la FFF, renouvellera les formations BMF et BEF délivrant des Titres à Finalité Professionnelle (TPF) lors de la saison 2017-2018. Si vous souhaitez vous professionnaliser dans lesecteur de l’entrainement, veuillez compléter le dossier de candidature BMF ou BEF session 2017-2018 disponible sur le site du district maritime nord (http://maritime-nord.fff.fr) et le retourner àla Ligue de Football des Hauts de France (service Formation) avant le 10 avril 2017, délai de rigueur.
Vous voulez parler de vos événements ? envoyer vos infos à marketing@nordlittoral.fr
Après Villeneuve d’Ascq en 2016, c’est Coudekerque-Branche qui a été choisi pour accueillir la journée nationale des débutants pour le département du Nord. La manifestation aura lieu complexe Delaune le samedi 10 juin de 13h30 à 17h.
Vos gardiens de but vous remercieront Le District Côte d’Opale propose à nouveau ses centres de perfectionnement pour les gardiens et gardiennes de but. Ils concernent comme la saison dernière,w es catégories U11, U13 et U15. Si vous voulez faire profiter vos licencié(e)s de ces séances spécifiques, encadrées par des spécialistes détachés par le District, prière de nous envoyer le nom de vos joueurs et joueuses ainsi que la catégorie et le secteur sur lequel vous voulez qu’ils participent. Rendez-vous le 27 avril à Saint-Omer et le 17 mai à Boulogne-sur-Mer.
Georges Flouret réélu Comme annoncé, une nouvelle assemblée générale élective a été organisée par le district Côte d’Opale de football suite aux recommandations du CNOSF. C’est la liste de Georges Flouret, président sortant, qui a été réélu avec 72 % des voix pour une nouvelle mandature de quatre ans.
Crédic Agricole Mozaïc Foot Challenge C’est reparti pour le Crédit Agricole Mozaïc Foot Challenge, une opération qui récompense chaque saison les équipes qui marquent le plus de buts. Ce classement s’appuie sur les résultats des matchs de championnat de la Fédération Française de Football (niveaux Ligues, Districts, National). Il récompense les meilleures équipes au niveau de chaque District et au niveau national. Le Crédit Agricole Mozaïc Foot Challenge est ouvert à 6 catégories : U13, U15, U17, U19, Seniors et Féminines Seniors (à 11 et à 7).
Cher licencié, chère licenciée, Les districts Côte d’Opale et Maritime Nord de football s’associent au Groupe Nord Littoral*, pour donner vie à District Football Mag, le mensuel numérique d’information sur la vie de votre district.
Le numéro 6 de ce magazine qui combine portraits, reportages et infos pratiques sera disponible le mercredi 10 mai 2017
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Pour recevoir gratuitement District Foot Mag Rendez-vous sur : districtfootmag.com *Éditeur notamment du quotidien Nord Littoral et des hebdomadaires Le Phare dunkerquois, Le Journal des Flandres, La Semaine dans le Boulonnais, Les Echos du Touquet, Le Journal de Montreuil, Le Réveil de Berck, L’Echo de la Lys.