les gens de l'oubli #36

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maison de la solidarité AGRÉÉE PAR LA FONDATION ABBÉ PIERRE

29 rue Ed 9 2 23 0 G m o n d d a r ∫ ois e n n e v il lie r s T 0 1 47 9 0 49 0 3 F 0 1 47 m s o lg e n 3 3 6 0 9 3 n @ fr e e. fr

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Edito s ! ntes ns-nou s pimpa r u Indigno le u o xc ison au Une Ma

driers : s calen t n ,… e r é f égirien Les dif ïque, h a r p. 2 / 3 b é h n, grégorie ulture u re e t c t a n e r t ties : en Nos sor m e nt s 4 . p emercie r , s e ir H o ra

ÉDITORIAL par Anne Cosquer, directrice

Qui dit année nouvelle, dit «  bonnes  » résolutions : arrêter de fumer, se mettre au sport, faire un régime, prêter un peu plus d’attention aux autres… Bref, se fixer nombre d’objectifs à atteindre en douze mois.

INDIGNONS-NOUS !

d'année en année L' année nouvelle débute le 1er janvier, tout au moins pour les personnes qui se réfèrent au calendrier grégorien (lui-même issu du calendrier julien — voir explications en pages 2 et 3). En effet, si le calendrier grégorien s’est imposé comme norme internationale, d’autres calendriers continuent néanmoins à être plus ou moins largement utilisés dans le monde. Ainsi, même si la Chine a officiellement adopté le calendrier grégorien en 1911, le calendrier traditionnel chinois demeure-t-il très utilisé, comme le souligne l’impor-

dit, ou bien peu de choses, sur les drames humains des migrants.

par Benjamin Steinberg De temps à autre, les médias et particulièrement la télévision nous montrent les images affligeantes de ces hommes, femmes et enfants qui fuient leurs pays d’origine pour tenter leurs chances dans des régions plus prospères et espérées comme suffisamment accueillantes.

Si nous évoquons cet aspect violent de la marche du monde, qui a d’ailleurs tendance à s’amplifier, c’est que pour nous, à la Maison de la Solidarité, cela fait partie de notre raison d’être. En effet, sont nombreuses les personnes que nous accueillons et qui sont loin de leurs lieux d’origine et à qui nous apportons une aide au mieux de nos possibilités.

Et puis, vu la densité extrême des évènements mondiaux, ce qui n’est pas une excuse vraiment valable, d’autres sujets s’imposent et plus rien n’est

Amis lecteurs de notre journal, dont le titre bien significatif est « Les Gens de l’Oubli », la dénonciation de cette situation -qui s’apparente à la négation des droits de

tance des célébrations du Nouvel An asiatique (cette année, le 1er février 2014). Nous avons choisi de vous raconter l’histoire de quelques-uns des calendriers toujours d’actualité. Nous vous souhaitons une très belle année 2014, chaleureuse et solidaire, au nom de toute l'équipe de salariés, bénévoles et membres du Conseil d'administration.

l’homme- est constamment nécessaire, de même que tous les actes racistes qui en découlent. Rappelons-nous, il y a 30 ans : des marcheurs et marcheuses partaient de Marseille pour revendiquer la fin de toutes les discriminations. Ils étaient accueillis à Paris par une manifestation de 100 000 personnes… Actuellement, sur nos écrans, un film rappelle cette manifestation courageuse qui avait ouvert un espoir. Il reste beaucoup à faire… donc aux citoyens à agir (« Indignez-vous » aurait dit Stéphane Hessel), pour faire respecter les Droits de l’Homme, de tous les humains.

UNE MAISON AUX COULEURS PIMPANTES par Pascale Roux L'été est souvent la période propice au bricolage et aux travaux d'intérieur. La MS n'a pas dérogé à la règle : murs, sols, sanitaires, cuisine, meubles... Tout a commencé lors de la Journée citoyenne fin juin où une vingtaine de salariés de L'Oréal ont offert leurs bras, et leur bonne humeur, pour repeindre les murs et donner un coup de jeune à la terrasse, en compagnie des accueillis et de toute l'équipe de la Maison. Non sans une pause autour d'un barbecue et, pour les femmes, des ateliers de socio-esthétique.

A la rentrée, les commentaires et sifflements d'admiration fusent. Et qui de mieux pour en parler que les accueillis eux-mêmes ? Ce que certains ont exprimé par écrit lors d'une séance de l'atelier d'écriture, Au pays des mots, animé chaque semaine par Claudine, Michèle et Fatima : " La cuisine avec la couleur blanche, le sol gris comme le ciel et la terre "

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les différents calendriers

Le calendrier le plus couramment utilisé, calendrier dit « grégorien », fait office de référence internationale. Outre le découpage d’une année en mois et semaines, sa fonction reste le rappel des dates des différentes fêtes religieuses chrétiennes. Et l’existence d’autres calendriers de par le monde se justifie par cette référence aux dates des différentes fêtes de chacune des religions. Les calendriers musulman et hébraïque sont utilisés par les fidèles de ces religions, tout comme le calendrier persan, en Iran, le calendrier civil indien, le calendrier julien en usage dans de nombreuses Églises orthodoxes et orientales…

LE CALENDRIER GRÉGORIEN

Le calendrier en usage aujourd’hui dans la plupart des pays est directement issu du calendrier romain. Celui-ci avait été réformé en 46 av. J.-C. par Jules César (d’où son nom de calendrier julien) afin de remédier au décalage existant, alors, entre l’année du calendrier romain traditionnel (366,25 jours en moyenne) et l’année astronomique (365,24219 jours) nécessitant un système complexe de jours et mois intercalaires souvent mal appliqué. Parallèlement, le comptage des années qui se faisait à partir de la naissance de Rome (753 av. J.C.) dans le calendrier julien se fera à partir de la naissance présumé de Jésus au début des années 1000, suite aux calculs du moine scythe : Denys le petit (470 ?– 540 ?), repris par le moine anglais : St Bède le Vénérable (672 ? – 735). Cette référence à la naissance du Christ est importante car elle signe une nouvelle façon d’envisager le temps. Dans l’Antiquité, en effet, le temps est cyclique et s’inscrit dans le sacré : les mêmes rites répétés de saison en saison, d’année en année, permettent de revivre un « Âge d’Or ». À l’inverse, les chrétiens ont hérité du judaïsme une vision linéaire du temps où Dieu intervient directement dans l’histoire. L’Ancien Testament est ainsi la relecture, par le peuple juif, de l’action de Dieu dans son histoire, laquelle intervention culmine, pour les chrétiens, avec l’Incarnation de Jésus-Christ, Dieu fait homme. D’ailleurs, la liturgie et les fêtes chrétiennes découlent presque toutes du judaïsme. Ce calendrier chrétien, solaire, fixe le moment de chaque fête, à l’exception du jour de Pâques, établi à partir de la fête juive de Pessah, qui reste en lien avec le cycle de la lune.

Les principales fêtes chrétiennes sont : Noël : « fête de la naissance », de l’avènement de Jésus. Pâques : en mémoire du « passage » de Jésus de la mort à la vie et clôt la semaine Sainte. Ascension : 40 jours après Pâques : fête la montée au ciel de Jésus. Pentecôte : 50 jours après Pâques commémore le don du Saint Esprit aux Apôtres réunis avec Marie. Assomption : célèbre la glorification de Marie.

Le calendrier hébraïque est un cale ndrier luni-solaire composé d’années solaires, de mois lunaires, et de semaines de sept jours commençan t le dimanche et se terminant le samedi, jour du shabba t. De plus, le jour du calendrier hébreu commence au cou cher du soleil, pour être en conformité avec la Gen èse. Le calendrier hébraïque se réfère à la Genèse (« B eréshit » : « commencement »), le premier livre de la Bibl e, dont il fait correspondre le début à l’an : -3761 du cale ndrier grégorien. Jusqu’au IVe siècle, en terre d’Israël , c’est le Sanhédrintribunal religieux et civil- qui fixa it les dates du calendrier juif. Le patriarche Hillel II en aurait établi, en 359, les règles de calcul, rendues publiqu es et encore observées aujourd’hui. Chaque nouveau mois commence avec la nouvelle lune. Le calendrier s’aligne sur des luna isons de 29 jours 12 heures 44 minutes et 3 secondes + 1/3 de seconde. Il alterne des mois de vingt-neuf et de trente jours. Une année lunaire de douze mois fait 354,36 jours. Comme une année solaire fait 365,24 jours, près de onze jours se perdent chaque année. Pour les rattraper, les années compor tent successivement dou ze ou treize mois lunaires, selon un cycle « métoniq ue » (du nom de l'astronome grèc Méton d’Athènes, 433 av. J.-C.). Dans le monde entier, y compris en Israël, les communautés juives utilisent le calendr ier grégorien comme calendrier civil.

Aujourd’hui, le calendrier grégorien est régi par la norme ISO 8601 qui le définit comme norme internationale (dernière mise à jour en 2004). Ainsi, le point de référence du calendrier grégorien n’est plus la naissance du Christ mais le jour de la signature de la Convention du mètre (20 mai 1875) qui établit un système international de poids et mesures.

UNE MAISON AUX COULEURS PIMPANTES 10 km de bâches protectrices, 50 litres de peinture, 30 combinaisons blanches et masques, une trentaine de pinceaux et rouleaux

5 balais, 2 perceuses et visseu des centaines d'ampou aux mains, 21 boîtes de pansemen 12 flacons d'antisept


LE CALENDRIER HÉBRAÏ QUE

Le calendrier hébreu calcule les dates de leurs 8 fêtes religieuses : Roch Hashana / Nouvel An : le plus souvent, en octobre, jour anniversaire de la création du Monde. Kippour / Grand Pardon : 10 jours après Roch Hachana (les 10 jours de pénitence) et la plus importante solennité du judaïsme. Souccoth / Fête des Cabanes : quand la récolte est rentrée (5 jours après Kippour), on quitte la maison pendant 7 jours et on s’installe dans des cabanes. Cette fête célèbre l’aide de Dieu pendant la traversée du désert. Simhat Torah / Chemini Atséreth : tout de suite après Souccoth, à la fin de l’été , on demande à Dieu un hiver favorable. Hanoucca / Fêtes des lumières : au moment du solstice d’hiver et pendant huit jours, on allume sur un chandelier à huit branches les lumières de Hanoucca : ils symbolisent la victoire de l’esprit sur la force.

LE C A LENDRIER HÉGIRIEN (OU M USUL M A N)

Le calendrier musulman ou hégirien (hijri) est un calendrier lunaire, fondé sur une année de 12 mois lunaires de 29 à 30 jours chacun. Une année hégirienne compte 354 ou 355 jours, et est donc plus courte qu’une année solaire d’environ onze jours. L'année actuelle est l’an 1435 de l'hégire. L'année précédente, l’an 1434 de l'hégire, allait du 15 novembre 2012 au 4 novembre 2013. Son calcul est fondé sur la définition de l’an Ier du calendrier musulman, qui débute le premier jour de l’hégire, soit le 1er mouharram (le 15 ou le 16 juillet 622 de l’ère commune, selon les auteurs théologiens). La correspondance avec le calendrier grégorien peut être approximativement trouvée grâce à l’utilisation d’une fonction mathématique. Chaque mois démarre au moment où le premier fin croissant de lune « hilal » est visible. Il doit être aperçu avant qu'il ne disparaisse à l'horizon dans les lueurs crépusculaires du coucher du soleil. Selon l’endroit d’où est effectuée cette observation, le mois peut débuter plus ou moins tôt. Le mois de ramadan, par exemple, ne commence ni ne se termine le même jour pour tous les musulmans du monde.

Pourim : fête joyeuse et populaire. Célébrée aujourd’hui par un carnaval, avec déguisements, mascarades, représentations théâtrales. On prépare une multitude de gâteaux et les enfants, déguisés, se chargent de la distribution des cadeaux.

Le calendrier hégirien est ponctué par six fêtes : Mouloud : anniversaire de la naissance (et de la mort) du Prophète. Ras-es-Sana : jeûne de 10 jours qui marque le début du calendrier hégirien. Ramadan : mois de sacrifice et de mise à l’épreuve de la vraie foi pendant lequel le fidèle s’abstient de toute nourriture de l’aube au coucher du soleil ; il débute le 1er du neuvième mois lunaire. Aïd-el-Fitr : clôture du mois du Ramadan. Miraj : célébration le voyage nocturne (isra) du Prophète de la Mecque à Jérusalem, au cours duquel il monta au ciel. Aïd-el-Adha : grande fête au cours de laquelle chaque famille sacrifie un mouton en souvenir du sacrifice d’Abraham.

Pessah / pâque : Pessah (passage) célèbre la fin de l’esclavage en Egypte, ainsi que la fête de printemps. La date correspond parfois aux Pâques chrétiennes. Sources : D’où vient notre calendrier ? Nicolas Senèze. Le Monde de la Bible, éditions Bayard. Terre Sainte, guide Gallimard.

Chavouoth / Fête des semaines : le terme « Chavouoth » signifie semaines et tombe sept semaines après le début de Pessah. On fête la délivrance spirituelle d’un peuple.

uses, ules

nt, tique

des rires et des coups de fatigue...

plus de 100 litres de sueur, soit 58000 calories brûlées, 20 packs d'eau minérale, 10 kg de merguez et de poulet,


Entre nature et culture NOS SORTIES par Pascale Roux suite page 1

UNE MAISON AUX COULEURS PIMPANTES " La salle est magnifique avec ses nouvelles couleurs. Les douches refaites entièrement, l’eau chaude, c’est le top !! "

" De nombreuses couleurs : Rouge, blanc, vert anis, amarante, Source de vie et de joie. "

De la cueillette de fruits et légumes à Cergy à la visite de l'exposition du couturier Azzedine Alaïa en passant par une mini-croisière à la découverte du port de Gennevilliers, les accueillis ont pu appréhender quelques facettes de la région Ile de France. En septembre, et ce malgré la pluie, ils ont eu le plaisir de choisir, de cueillir, et parfois de goûter, dans les allées boueuses pommes de toutes espèces, tomates, fraises, framboises, courgettes, haricots verts, potirons, concombres, salades, radis, navets... un retour aux sources pour certains qui se souviennent d'un jardin, d'un potager ou d'un verger dans leurs " vies d'avant ". Nous remercions l'Epicerie solidaire, partenaire de cette sortie.

ACCÈS 29, rue Edmond Dar∫ois 92230 Gennevilliers M 13 Ga∫riel-Péri % 235 arrêt Basly

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" Une bibliothèque, Qui m’évoque un livre Dont le titre est : « La liste de mes envies » "

" Dans la grande salle la couleur rouge, le vert anis (couleur de l’espoir) ainsi que le magnifique tableau qui me parle, particulièrement cette phrase « je veux vivre debout » " " Le fond est rouge, ce qui signifie l’amour et les silhouettes blanches qui signifient la paix. C’est ce que les sans-papiers ont besoin c’est vraiment ce qu’il faut leur donner pour les rendre heureux et pour être vraiment solidaires avec eux. "

La toile est l'œuvre de Christiane Acas, artiste gennevilloise, fidèle et active bénévole de la Maison de la Solidarité : elle en a fait don à la collectivité, ce dont nous la remercions chaleureusement. Christiane présente son exposition " Sépia " jusqu'au 8 mars, à la Maison du Développement culturel de Gennevilliers (16, rue Julien Mocquard). Autre petit changement dans la vie quotidienne de la Maison : " L’équipe des salariés a décidé de faire payer le café à partir de 10 h. (0,20 € ndlr*) Je trouve que c’est une bonne idée, plus de gobelets dans la rue, ni sur les tables ". * Le petit déjeuner est servi gratuitement de 8 h à 10 h : baguettes, beurre, confitures, café, thé, lait. Remerciements Tous nos remerciements les plus sincères aux collaborateurs de L'Oréal, à la Fondation Julienne Dumeste, à la Fondation Abbé Pierre, à la société Ikéa, à tous les accueillis et accueillants, salariés et bénévoles, qui ont participé à l'entreprise, et tout particulièrement à Thierry sans qui la rénovation de la cuisine et de la terrasse n'auraient pu être menée à bien. Et notre vive reconnaissance aux infirmiers (-ières) qui ont soigné coupures, bleus, ampoules..., et épongé des litres de sueur !

Sur le territoire de Gennevilliers, qui sait que son port fluvial est le 1er d'Europe, étalé sur 400 hectares et fort de 510 000 m² de bâtiments (entrepôts, industries, bureaux) générant plus de 20 millions de tonnes de trafic et plus de 8 000 emplois directs ? Sans oublier sa politique en faveur de l'environnement et de la préservation de la biodiversité comme en témoignent la récupération et le recyclage du papier mais aussi du béton pour produire de l'agglomérat de revêtement des routes, ou l'accueil de six ruches d'abeilles. Ce sont ces découvertes que la mini-croisière a offertes aux accueillis-plaisanciers durant une heure et demie. La période hivernale est plus propice aux sorties d'intérieur. Ce 11 décembre pourtant, la présence du soleil a permis une belle ballade à pied via l'esplanade du Trocadéro avec vue sur les jardins et la Tour Eiffel, et séances photos, jusqu'au musée Galliera, destination du jour. Le petit groupe de visiteurs de la Maison de la Solidarité prend le temps d'admirer son imposante entrée de toute beauté et de poser le regard sur ses colonnades blanches . Ensuite, une conférencière raconte aux accueillis médusés l'histoire du lieu (ex-palais de la duchesse éponyme, qui devienda musée de la Mode en 1977), et surtout le parcours du couturier francotunisien Azzedine Alaïa qui expose ici pour la première fois ses créations des années 60 à nos jours. Peu connu du grand public, il a habillé, et continue de le faire, quelques-unes des femmes les plus célèbres, telles Arletty, Greta Garbo, Jessye Norman, Tina Turner, Naomi Campbell, Sofia Coppola et Michelle Obama. "Quand je travaille le vêtement, il faut que ça tourne autour du corps, de profil et de dos" (Azzedine Alaïa). Concept appliqué à l'expo où l'on peut admirer chaque pièce comme une sculpture appréhendée dans son mouvement avec la sensation que ça tient tout seul. Robes, jupes, vestes, tailleurs, chemisiers enveloppent des mannequins sans tête quasi invisibles, préparés dans les ateliers même d'Alaïa. Plusieurs des visiteurs répriment l'envie irrésistible de les toucher du bout des doigts. Un moment féérique que reprendra Lisa lors de l'animation hebdomadaire de ses ateliers couture à la MS. http://palaisgalliera.paris.fr/

HORAIRES D’OUVERTURE JUSQU'AU Hors période hivernale  : lundi - jeudi :  8 h - 12 h vendredi : 8 h - 11 h

En période hivernale  : lundi - vendredi :  8 h - 11 h / 12 h - 14 h 17 h 30 - 20 h

REMERCIEMENTS Merci à toute l’équipe de la Maison de la Solidarité, salariés et bénévoles, pour leur implication dans le fonctionnement de la Maison que cette édition du journal illustre en partie. Merci à Valérie, Lisa, Claudine et Michèle pour l’animation des différents ateliers proposés par la Maison de la Solidarité. Merci à tous nos partenaires pour leur aide précieuse et leur dévouement envers la Maison de la Solidarité et, plus particulièrement, nos partenaires financeurs : DRIHL, Fondation Abbé Pierre, ville de Gennevilliers, Conseil Général 92 (Politique de la Ville), Fondation Julienne Dumeste, IKEA France.

LES GENS DE L’OUBLI - N°36 Directeur de publication et président de l’Association Jean-François Burgos Comité de rédaction : Jeanine Boisard, Anne Cosquer, Olaf Mühlmann, Pascale Roux, Benjamin Steinberg, Ghislaine Valadou. Notre joyeuse frappeuse de textes  : Michèle Maffre Notre fidèle correctrice  : Jeanine Boisard Pour toute remarque, contactez-nous au 01 47 90 49 03. Directrice de la Maison : Anne Cosquer Crédits photos : D.R. Maison de la Solidarité, p.3-4 Nasa. Conception graphique : © rübimann design www.rubimann.com Impression : LNI Imprimé sur papier 100% recyclé, Cyclus print 115g/m2

Un grand merci aux salariés, bénévoles et stagiaires pour leur accompagnement bienveillant.

Merci à : Pascale, Ghislaine, Anne, Jeannine, Benjamin et Olaf pour l’élaboration de cette nouvelle édition de  "  les gens de l’oubli " .


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